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Les délices d'un entremets.

Chapitre unique

Lesbienne
Les délices d’un entremets.

    Palerme, samedi, première semaine de juillet .    C’était du feu qu’il tombait dehors, la canicule s’était abattue depuis plusieurs jours déjà sur la Sicile et Teresa, la maîtresse de maison avait prévu que le repas d’anniversaire de son fils chéri, Luca aurait lieu dans la vaste salle à manger où la climatisation faisait régner une fraîcheur bienfaisante.
    Ce soir, peut-être, si la brise de mer se levait et arrivait à tempérer quelque peu la fournaise qui régnait au dehors, pourrions nous profiter de la douceur d’une soirée embaumée du parfum des orangers de la plantation.
    Ami de Luca j’avais eu l’honneur d’être convié, en personne par Massimo, le patriarche, à me joindre à la famille et aux amis pour célébrer ensemble l’anniversaire et le retour de Luca dans son pays natal.
    Quittant la France où nous nous étions connus, il revenait chez lui, à Palerme, à la demande de son père pour prendre désormais la direction du domaine.     Cela faisait déjà deux semaines que j’étais l’hôte des Daidonne, qui m’avaient adopté comme si j’étais un des leurs et je passais auprès d’eux un séjour idyllique. D’autant plus idyllique que Luca m’avait fait rencontrer une de ses ex, adorable petit diablotin belle comme un ange qui répondait au doux nom de Honey. Elle le devait à son père, ancien vétéran de l’opération Husky, le débarquement de Sicile, revenu des U.S pour s’installer dans le pays de rêve qu’il n’avait pu oublier et où il avait trouvé l’amour.
    Le seul cadeau que Luca avait exigé pour la fête qui le sacrait « capo delle Giardini-Naxos»
chef des jardins Naxos : nom du domaine
était que son repas d’anniversaire ne fût constitué que de recettes du terroir issues de la « Cucina dei poveri »
cuisine du pauvre
, cuisine d’anciens produits de subsistance devenus aujourd’hui produits d’excellence vendus à prix d’or, faisant en cela un cadeau à sa mère qui prenait un plaisir toujours renouvelé à concocter les recettes de son enfance.

    Nous étions donc attablés, parents et amis, autour de l’immense table en « U »couverte de nappes d’un blanc immaculé, dégustant panzerotti, beignets d’aubergine, et autres délices, que Teresa nommait la « Noblesse de la cuisine » dans une ambiance chaleureuse qui m’obligeait à aimer l’humanité, tout au moins ses représentants qui m’entouraient aujourd’hui et me souriaient.
    Honey était assise, loin de moi, il fallait bien faire semblant... à côté d’un gros veau qui lui faisait un gringue d’enfer, elle se marrait, me jetait des coups d’œils entendus et me tirait la langue... petite conne!
    Nous en étions à ce point du repas où les antipasti ayant été servis, les invités bavardaient qui le verre à la main, d’autres grignotant amandes ou pistaches en attendant le primo piatto
premier plat
.

    Je surveillais depuis un moment déjà, le manège de deux très jolies convives. J’avais remarqué le petit jeu, auquel se livrait la sublime Béatrice, avec la belle Simona. Béatrice était une rousse aux yeux verts au caractère exécrable mais à la beauté incomparable qui m’avait été présentée peu de temps après mon arrivée et dont on m’avait dit le tempérament volcanique. Elles étaient à table, l’une en face de l’autre, et j’avais noté l’intérêt croissant, qu’elles semblaient mutuellement se porter.
    Ce n’étaient que, brefs regards et sourires furtifs, dans une attitude alanguie, une muette connivence, commune aux deux jolies femmes, qui laissait deviner leur trouble, indiscernable pour qui n’y était pas attentif, mais pourtant bien réel.
    Simona que je connaissais depuis des années, avait ce joli corps délié, de brune sensuelle, aux petits seins dressés par un désir perpétuellement en éveil, un mignon petit fessier, nerveux, qui appelait la caresse autant que la fessée. Son visage, aux traits fins et spirituels, dans lequel de grands yeux bruns, ombrés de longs cils, donnaient un air faussement sage, retenait immanquablement le regard des hommes. La belle bouche charnue, aux lèvres délicieusement ourlées, semblait faite autant pour le baiser, que pour la morsure. Aussi, je ne fus pas surpris, de voir que la belle et perverse Béatrice n’était pas insensible à ses charmes.
    Je fis exprès de faire tomber mon couteau et me baissant pour le ramasser, en profitai pour glisser un regard sous la table et là, au milieu de la forêt verticale des jambes des convives, je vis la jolie jambe de Béatrice, qui avait enlevé son escarpin, traînant sous sa chaise, tendue sur l’entre-jambes, indécemment et délicieusement offert de Simona, qui accueillait la secrète et grossière caresse avec de lentes ondulations du bassin.    Je me relevai, à temps, pour voir Béatrice, lécher ses lèvres d’une petite pointe de langue humide, et regarder avec un imperceptible signe d’acquiescement, sa tendre proie. Elle se leva, et empruntant le corridor, se dirigea vers la salle de bains. Personne n’y prêta attention. Je me levai, négligemment, avec un clin d’œil à la jolie Honey, et la suivis certain de la suite des événements.
    Comme de juste, Simona, quelques instants plus tard, se leva, et prit, elle aussi, la même direction, alors que les conversations, à table, continuaient dans un joyeux brouhaha.    Béatrice ayant laissé la porte ouverte, certaine de la venue de Simona, je me glissai dans la pièce et me dissimulai dans l’entrée de la cabine de douche masquée par un rideau, juste avant l’arrivée de la jolie brune.
    Béa se tenait devant le miroir d’une commode, arrangeant l’ordre des mèches de sa coiffure, et quand Simona entra dans la pièce, un sourire canaille sur ses jolies lèvres, la belle vicieuse se jeta sur elle et prenant son visage à deux mains, dans un geste d’avide impatience :
— Oh ! Viens, salope !
    Dévorant sa jolie bouche, d’ un baiser passionné.
    Simona se mit à gémir immédiatement, tant elle attendait, impatiente, cette étreinte, et dans un geste de consentement amoureux, emprisonna , elle aussi, fiévreusement, le visage de Béatrice dans ses mains, répondant au baiser de son impérieuse maîtresse, avec avidité.
    J’étais subjugué par l’énergie érotique que dégageait cette scène, la puissante tension de sensualité que dégageaient ces deux beautés sublimes, enlacées, embrasait mon âme. Instantanément, je me mis à bander.
    Béatrice, s’accroupit devant la belle Simona et remonta sa jupe sur sa taille, baissant son string sur ses chevilles. Dans un long feulement de gorge, elle précipita sa bouche, sur la mignonne fente déjà trempée de cyprine de sa belle amante et se mit à la lécher et et à mordiller sa jolie framboise turgide, tout en éructant des mots décousus, qui disaient son plaisir
— Oh ! Salope !... Oh ! Que tu es bonne... ! Tu es délicieuse ! Mmmh, je t’aime, chienne !
    La belle Simona se tendait, grinçant des dents, aspirant l’air entre ses dents serrées, sous le délicieux baiser de sa perverse maîtresse, dont elle avait saisi à pleines mains, la nuque, l’attirant convulsivement, sur sa chatte en fusion.    Béatrice, du geste et de la voix, fit se tourner sa belle amante dont elle embrassa passionnément les magnifiques fesses.,
— Penche toi, et écarte les jambes, petite chienne ! Montre moi ta jolie rosette ! Mmh ! Quelle beauté !
    Simona, les yeux fermés sur sa jouissance, se tenant des deux mains au rebord du lavabo, se cambrait vers la caresse qu’elle appelait de tout son corps frémissant.    Béatrice se rua, de sa bouche avide, sur le trésor nacré, qu’elle convoitait, et imprimant de lents et lascifs mouvements à sa langue experte, la darda dans l’antre moelleux de son amante, qui se crispait sous l’obscène et délicieuse caresse, en proie à une tension lascive, qui la tordait jusqu’aux tréfonds.
    Béatrice, écartant les lobes soyeux, des fesses de sa maîtresse, cracha à plusieurs reprises sur le mignon petit anneau froncé. Simona, devinant ce que sa maîtresse envisageait de lui faire subir, la supplia dans un râle :
— Oh... ! Oui! Oui! Comme ça, chérie...Prends moi... !
    Son amante, réunissant ses doigts en coupe, les posa sur l’armille soyeuse, et leur imprimant un lent mouvement, commença à les faire pénétrer dans l’orifice velouté de sa tendre amie.
    C’est à ce moment, que Honey, choisit de faire son entrée.
— Ah, Ah ! Je vous y prends, toutes les deux, petites coquines ! J’en étais sûre! Quand je vous ai vu vous éclipser, je me suis dit, qu’il y avait quelque anguille sous roche. Je ne m’étais pas trompée...— Quelle conne, celle là, alors !
    Béatrice laissait échapper sa colère, sa honte et sa frustration. Une fois de plus, cette gourde, qui avait été sa collaboratrice, du temps de sa splendeur, venait encore lui gâcher la vie.
— Toujours à foutre ton nez là il ne le faut pas... ! Tire toi !
    La jolie Honey, eut un rire indulgent:
— Tu as du être élevée au vinaigre, ma pauvre Béa... Allez, je vous laisse... Simona, vous êtes très jolie, si vous avez un peu de temps, après, je suis toute disposée, moi aussi, à vous faire deux doigts de conversation... voire plus !

    Elle eut son joli rire clair, et s’apprêtait à sortir, alors que les deux beautés reprenaient leurs ébats. Je l’attrapai par le bras, et lui chuchotai :
— Honey , reste...— Ah ! Tu es là, toi ? Tu les as vues, alors ?— Parle bas, bébé ! Tu parles, que je les ai vues, et ça m’a mis dans un état ! Tiens regarde !
    Je pris sa main, et la posai sur mon chibre, que, bien sûr, j’avais sorti.
— Eh, bien, mon salaud ! Ça te fait de l’effet ! Et naturellement, tu veux que je te suce... ?
    Je la regardai en souriant.
— Je t’adore!
    Sans plus se faire prier Honey s’accroupit, me prit en mains, goba mon gland de ses jolies lèvres, et se mit à me prodiguer, en experte, une divine caresse.    Pendant ce temps, Béatrice avait recommencé à s’occuper de Simona, qui pouvait maintenant profiter de la brutale caresse, que lui prodiguait sa belle maîtresse. Honey n’en perdait pas une. Simona témoignait de son plaisir, par des geignements et râles avec tant de conviction, que cela m’incita à pousser la porte de la chambre, la refermant... nous y étions déjà bien assez nombreux.    Alors que la belle brune extériorisait son plaisir, le mien arriva à son paroxysme sous la caresse de la jolie coquine, et je jouis, étouffant un râle, me vidant de tout mon sperme, dans la bouche gourmande de la belle, qui, me semble t-il, n’en perdit pas une goutte.    Alors que Béatrice achevait de faire jouir la volcanique Simona, je caressai le visage de ma jolie Honey, et lui chuchotai :
— Merci, ma belle... !
    Ce à quoi, elle répondit, dans un sourire, essuyant d’un revers de main ses jolies lèvres :
— Je t’en prie ! Tout le plaisir est pour moi...
    Nous quittâmes, sur la pointe des pieds, la salle de bains laissant, les deux amantes, conclure leur premier contact érotique. Nul doute qu’il y en aurait bientôt d’autres...                                                                                                      __________________________
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