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Les machinations de Laure

Chapitre 3

Inceste
Elle m’avait demandé de prendre une douche d’abord, et j’avais accepté. La précédant à travers la maison, je l’avais amenée jusqu’à la salle de bain dont je lui avais ouvert la porte. Elle entra et se dirigea droit vers la cabine de douche, et ouvrit le robinet.— Tu as du gel douche et du shampooing dans le présentoir, si tu veux. Et laisse la porte ouverte. Je veux te regarder.
Hello me jeta un œil amusé. — Sérieux ?— Sérieux. Maintenant, qu’est-ce que c’est que cette histoire ?— Ah bon, tu ne me laisses pas prendre ma douche d’abord ?— Sûrement pas, dis-je en approchant une chaise de la cabine de douche avant de m’y asseoir à califourchon, coudes sur le dossier. Donc, repris-je, tu es de mèche avec Laure depuis le début. C’est elle qui t’a envoyée jusqu’ici ?— Evidemment, dit-elle.
Elle risqua un orteil sous le jet d’eau vaporeux pour en contrôler la chaleur, trouva la température à son goût, et entra dans la cabine. L’eau qui ruisselait sur son corps traçait à la surface de sa peau des striures translucides, des itinéraires limpides aux embranchements nervurés. On aurait dit une feuille de chair. J’eus du mal à reprendre :— Pour me consoler de ce qui s’est passé plus tôt avec Milo ?— Elle te l’a dit, non ?— Donc tu es au courant de ce qui s’est passé là-bas ?
Elle interrompit sa friction de gel douche pour me regarder.— Tu veux que je m’épile intégralement ? demanda-t-elle.— Hein ? Je ne sais pas, voyons, je...— Ecoute, tu as quelque chose de prévu ce soir ?— Non, mais...— Moi oui, mais je peux décommander. Tu as envie que je reste ?
Je la regardais avec attention. Ses manières félines, sa grâce d’orchidée, me tournaient la tête. Si je n’y prenais pas garde, je serais une nouvelle fois en érection quand elle sortirait de la douche. Je crus plus prudent d’admettre :— Oui.— Alors, qu’est-ce que tu préfères ? Epilée, ou pas épilée ?
— OK, épilée, dis-je.— Passe-moi un rasoir, du coup, tu veux bien ?
Je me levai, farfouillais un instant dans la partie du placard réservée à Laure et y dénichais un rasoir jetable. Je le tendis à Hello.— Merci, dit-elle. Eh oui, je suis au courant, pour ce qui s’est passé cet après-midi.
Je restais un instant silencieux à admirer la grâce avec laquelle elle levait un talon pour mieux ouvrir les cuisses et examiner son épilation. Le rasoir glissa, expert, sur la toison résiduelle. En quelques passages, pas un poil ne restait. Mais je vis bien qu’elle se donnait une contenance, au regard, soucieux sous son feint amusement, qu’elle me lança. Elle reprit la parole.— Franck.
Elle employait mon prénom pour la première fois, et ce mot dans sa bouche me procura un curieux frisson de satisfaction. Elle continua :— Un gars m’a dit un jour : ce que tu fais avec plaisir, tu devrais pouvoir en parler sans honte.
Elle posa le rasoir dans le porte-savon, se rinça une dernière fois, et sortit de la cabine. Je n’arrivais pas à détacher mes yeux de son corps, à réfléchir à autre chose qu’à ses courbes et aux fantasmes qu’elles m’inspiraient. J’étais toujours assis à califourchon sur ma chaise et Hello passa devant moi sans un regard. Elle marcha jusqu’à la première serviette-éponge qu’elle trouva sur l’étendoir, s’en empara, se sécha rapidement et se l’enroula autour des cheveux. Je demandai : — Ça ne te choque pas ?
Elle avança jusqu’au lavabo, se regarda dans le miroir qui le surmontait. Le lavabo était fixé dans un long meuble blanc qui formait placard. Hello en ouvrit les portes, jetant un œil à l’intérieur pour repérer les cosmétiques de Laure. Elle dit :— On n’a pas le même teint, ta fille et moi. Ça ne va pas être évident.— Réponds-moi.— Si, ça me choque.
Elle tira du placard un fond de teint, du mascara, une palette de maquillage.— Mais d’un autre côté..., reprit-elle en se posant sur les joues et le front des noisettes de fond de teint.
J’attendis. Je la regardais. Son cul musclé, rond, parfait, attirait mon regard. Elle plia légèrement la jambe droite, la tournant un peu vers l’extérieur. Mes yeux remontèrent le long des reins, dans la cambrure du dos, jusqu’aux épaules, et soudain, dans le miroir, mon regard croisa le sien. Espiègle. Un début de sourire poignait à la commissure de ses lèvres. Tout en s’étalant le fond de teint sur le visage, elle dit :— Moi, par exemple. Je suis bien la fille de quelqu’un, aussi. Ça t’inspire des scrupules ?— Aucun.— Laure, de son côté... Enfin, tu sais bien.— Je sais bien quoi ?
Elle ouvrit le tube de mascara, s’en orna les cils de l’œil droit, et dit :— Enfin, je me comprends.— Vous vous êtes rencontrées où ?
Elle orna les cils de son œil gauche, puis souligna chacun d’un trait de noir. J’insistai :— Comment vous êtes-vous rencontrées ?
La jambe droite d’Hello se dirigea vers le haut. Son genou atteignit le rebord du meuble. Elle prit appui sur les deux mains, et releva également la jambe gauche. Elle était maintenant à genoux sur le placard, le pubis largement ouvert juste au-dessus du lavabo. Hello saisit la palette et entreprit de se maquiller les paupières d’une touche dorée à peine perceptible. Je sentais qu’elle n’avait pas envie de répondre à ma question. Je changeai de tactique :— Bon, d’accord. Tu es bien la fille de quelqu’un. Et alors ? C’est mon âge qui te gêne ?
Elle ricana. Referma la palette. La reposa sur le bord du lavabo. Fit la moue. Je repris :— Pourquoi Laure t’a-t-elle demandé de venir ici ?
Hello, toujours à genoux, pivota le buste vers la gauche, prit la pose de profil par rapport au miroir, et saisit ses cheveux pour les relever derrière sa nuque. Elle me jeta un sourire, m’envoya une mimique de baiser.— Réponds ! Pourquoi ces manigances ? Qu’est-ce que vous voulez de moi, toutes les deux ? Réponds-moi !
Hello me laissa égrener mes questions sans cesser de me regarder. J’avais à peine fini de parler qu’elle me gratifia d’un sourire ravageur et... pissa dans le lavabo.— Désolée, dit-elle, je ne pouvais plus me retenir, et toi, avec tes questions...
Je me levai soudain de la chaise, n’essayant même pas de masquer mon érection. Cette salope me rendait complètement fou. Je m’agenouillai sur le sol de la salle de bains, le nez juste à la hauteur du fabuleux cul d’Hello, et j’entrepris de lécher avidement les dernières gouttes d’urine restées sur sa chatte, non sans m’aventurer sur le pourtour de son anus. Les mains posées à plat sur le miroir, elle haletait déjà.— Baise-moi bien, Franck. C’est comme ça que je resterai, tu comprends ? Ta captive. Et si tu veux que je réponde à tes questions, il faut que tu... Oh... Oh, la vache... C’est tellement bon, ce que tu me fais...
Je venais de glisser mon index dans sa fente, pendant que mon majeur contournait son clitoris. Ma langue plongeait dans son délicieux petit anus. Elle le contractait au rythme de mes doigts, et se balançait d’avant en arrière, les deux mains sur le miroir, la tête baissée, suffocante.— Ho... Ho... Ho, merde, baise-moi ! Arrête de jouer avec moi, Franck ! Baise-moi avec ta bonne bite !
Mais c’était mon tour de la faire languir. Je continuai mes pourlèches aussi longtemps que je parvins à me contenir, et soudain je n’en puis plus. Mes doigts quittèrent sa chatte, contournèrent ses cuisses par les fesses, et je tendis les bras. Mes mains parcoururent l’arrondi des hanches, escaladèrent le ventre, saisirent les seins. Je me redressai alors de toute ma hauteur, et n’eus qu’à orienter mon bassin pour que ma verge tendue à se rompre pénètre la chatte trempée de Hello.
Elle se renversa en arrière, sa main gauche abandonnant la glace pour passer autour de mon cou et m’enlacer. Je tendis les lèvres : Hello m’embrassa avec fougue. Je regardais, fasciné, le bas du miroir : s’y reflétaient, éclairés par la blancheur du meuble et du lavabo, nos sexes en plein coït, et je ne parvenais pas à détacher mes yeux de son mont de Vénus montant et descendant, la base de ma bite visible par intermittence au-dessus de mes testicules que j’avais rarement vus aussi gonflés, aussi rouges. Hello se cambrait à un point tel que je redoutai qu’une jouissance trop soudaine ne lui fasse mal. Crainte infondée : elle se mit à jouir avec une telle énergie que j’eus à peine le temps de lâcher ses seins pour saisir in extremis les jambes sous les genoux. Elle rejeta son autre main derrière mon cou, me maintint par la nuque, et plaqua son dos contre mon torse, se fiant à ma force pour la soutenir.— Whoui... Whouiii...
Elle devait pourtant commencer à me connaître, parce qu’elle se força à se ressaisir. Je m’en aperçus à l’effort qui se peignit sur son visage alors qu’elle articulait à grand-peine :— Attends, retiens-toi s’il te plaît... Pose-moi...
Avec tout le soin et la délicatesse que je pouvais, je la soulevai un peu plus haut. Ma bite sortit d’elle et se colla contre mon ventre. J’inversai le mouvement de mes bras et je posai Hello sur le sol de la salle de bains tandis qu’elle ajoutait :— Je veux toi. Pendant des heures. Tu t’en crois capable ? Montre-moi que tu peux me faire plus jouir que n’importe quel autre type.
Elle me prit par la main et me tira hors de la salle de bains. Elle remonta le couloir et passa devant ma chambre sans s’arrêter. — Où m’emmènes-tu ?, demandai-je.— Là où on sera plus à l’aise.
Déjà, elle descendait l’escalier, un parfum de stupre dans son sillage. Elle alluma la lumière dans le salon tandis que j’en tirai les rideaux à la hâte : dans l’obscurité de la nuit, on nous aurait vus de la rue. Hello me poussa dans le canapé et s’installa à califourchon sur moi. Elle était tellement excitée qu’à peine posée sur ma bite, elle pressa du bassin de toutes ses forces et me plongea au plus profond d’elle. Elle se mit à jouir instantanément. Ses seins, juste au niveau de mes yeux, suppliaient ma bouche de les lécher. Maintenant qu’elle en était là, Hello ne s’arrêterait plus de bondir d’orgasme en orgasme : elle s’efforçait, cuisses bandées à toutes forces, de s’immobiliser pour goûter son plaisir tout à son aise, mais je ne lui en laissai pas le loisir. Je continuai d’aller et venir en elle, de viser son point G encore et encore, l’emmenant encore plus haut, encore plus loin. — Oh – la – vache !, cria-t-elle, alors que mes mouvements frénétiques nous faisaient lentement glisser du canapé jusqu’au tapis où nous continuâmes nos ébats avec une violence renouvelée.
J’avais l’impression que, où que se posent mes doigts, sur ses fesses, sur ses reins, sur ses seins, sur ses lèvres, sur sa nuque, je touchai une zone érogène qui prolongeait son plaisir. Jamais je n’avais fait l’amour aussi bien que ça. C’est pour cela que je ne prêtai aucune attention au bruit de voiture qui s’arrêtait dans la rue, au bruit des pas qui approchaient du perron, au cliquetis de la serrure. Quand je m’en aperçus, il était trop tard : la silhouette de Laure, suivie de celle d’un homme en costume sombre d’à peu près mon âge, se découpait dans l’embrasure de la porte.— Hé... Hello ?, bafouilla l’homme.— Papa, haleta Hello qui avait tourné la tête vers les nouveaux venus, tu tombes à pic... oui, oui... encore... whoui !
Laure souriait avec une malice satisfaite. Son air de lutin la rendait encore plus ravissante que d’habitude. Déjà, abandonnant son blouson sur le canapé et ôtant ses bottines, elle marchait droit vers Hello et moi.— Eh ben !, s’exclama-t-elle, je ne t’ai jamais vue dans cet état-là, chérie !— Ho, ton père, meuf, ton père... Personne ne m’avait jamais fait jouir comme ça... La vache...— Euh... Pourrait-on m’expliquer..., s’immisça l’homme.— Oui, et à moi aussi, ajoutai-je.
Laure et Hello se regardèrent, se sourirent, et Laure déclara, tournant les yeux vers moi puis vers le nouveau venu :— Comment, vous n’avez pas compris ? Bon, l’autre jour, j’étais chez Hello et j’ai rencontré son père, Alain.— C’est moi, dit l’homme.— Ah ouais, au fait, compléta Laure, Alain, Franck, Franck, Alain.— Bonsoir monsieur, dis-je.— Bonsoir, répliqua l’autre, visiblement interloqué.— Donc !, coupa Laure, j’ai rencontré Alain et tu m’as fait tout de suite du gringue. — Euh...— Quand Hello nous a laissés seuls une minute, tu en as profité pour me dire que si tu avais quelques années de moins, tu m’aurais volontiers, je te cite, baisée toute la nuit. Avoue !— Vous pouvez parler sans crainte, monsieur, intervins-je pour le mettre à l’aise. Je ne désapprouve rien de la conduite de ma fille.— Bref. Alors évidemment, comme tu n’es pas non plus entièrement repoussant...— Merci, siffla Alain, vexé._ ... et que j’ai un faible pour les hommes plus âgés, je t’ai dit non au départ, mais peut-être pas non définitivement. J’ai gagné un peu de temps que j’ai mis à profit pour négocier avec Hello : j’étais d’accord pour coucher avec toi, à condition que Hello m’aide à compenser une petite frustration que j’avais causée à Papa. C’est chose faite, tout rentre dans l’ordre. Alors : toujours envie de me baiser toute la nuit, mec ?— Je te préviens, Papa, dit Hello. Laure est une vraie chaudasse, et il va falloir que tu assures de ouf.— Comme mon père a eu l’air d’assurer avec ta fille, dit Laure en se tournant vers Alain.— Dites-moi, Alain, intervins-je, c’est moi ou nos filles respectives sont en train de nous mettre au défi ?
J’étais en train de me dégager de Hello, et je me relevai du tapis où s’imprimait la marque de mon dos en sueur. Je tendis la main vers Alain. Il la serra.— Enchanté de vous rencontrer.— Moi de même, Franck.— J’en profite pour vous féliciter : Hello est une jeune femme formidable.— Euh... Je ne doute pas que vous preniez plaisir à sa compagnie...
Hello éclata de rire.— Papa, depuis le milieu de cet après-midi, je n’ai pas arrêté de prendre mon pied. Franck est un mec top. Sérieux.
Alain regarda Hello, tourna les yeux vers moi, puis à nouveau vers Hello, et dit :— Pardonnez-moi, mais je suis un peu abasourdi par la situation et ce que je viens d’entendre. Je... Enfin, c’est invraisemblable !— Monsieur..., répondis-je avant de me reprendre : enfin, Alain. A notre époque, des jeunes filles de vingt ans, à plus forte raison aussi jolies que les nôtres, doivent avoir une sexualité épanouissante, non ? Nous devrions en être fiers. Enfin, c’est mon avis.— Non mais, enfin, cela n’a rien à voir !, tonna tout à coup Alain. Mais ça ne choque personne, ici, que je surprenne ma fille dans le plus simple appareil, en plein coït avec le père de ma nouvelle conquête ? Enfin, je... Je...
Il bafouillait et ne parvint jamais à finir sa phrase parce que son regard rencontra soudain celui de Laure, qui venait de se dénuder entièrement depuis notre poignée de main.— J’espère que je te plais, dit Laure.
Elle posa sa main droite sur la chemise de Franck et entreprit de la déboutonner.— Mais devant ton père, Laure ! Ton père, quand même !— Eh bien quoi ? Tu crois qu’il ne m’a jamais vue en train de baiser ?— Attends, quoi ?, s’exclama Alain.— Je t’ai dit, Papa, coupa Hello, Laure est une chaudasse de première.— Non, Hello, interrompis-je. Tu n’arriveras à rien comme ça.
Je m’approchai de Laure, la saisis par les hanches et l’approchai d’Alain.— Cher Alain, expliquai-je, auriez-vous la bonté de laisser ma fille se prendre votre bite, vu qu’elle en a envie plusieurs jours ? Je profite de cette occasion pour vous préciser que votre fille et moi baisons sans relâche depuis des heures, et que je n’ai aucune envie de m’arrêter.
Alain me jeta un air de défi.— Devant toi, Franck ?, demanda-t-il, crâneur.— Je veux le meilleur pour ma fille, Alain. Je veux qu’elle profite de ses vingt ans plus que je n’en ai profité moi. Alors si tu le peux, fais-la jouir. — Oh, là, là, les mecs, mais qu’est-ce que vous êtes compliqués, merde !, s’exclama Hello. Top départ, Laure.
En un instant, la bouche d’Hello se referma sur mon sexe flasque. Dans le même élan, Laure ouvrait la braguette d’Alain, fouillait le caleçon et en tirait un dard épais et noueux, gorgé de sang.— Hé, il bandait déjà !, s’exclama Laure.— H’en éhais hûre, répliqua Hello.— J’ai une idée, dit Laure.— Je crains le pire !, m’exclamai-je, presque déjà en train de rebander grâce au traitement délicat d’Hello.— Celle qui fait jouir son mec le plus vite ? Comme cet été, tu te rappelles ?
Hello hocha la tête avec enthousiasme. Elle m’enfournait complètement, mais remonta pour l’occasion, me recracha, et dit :— Mais je te laisse une longueur d’avance, parce que moi, ton père, il s’est retenu pendant je ne sais pas combien de temps avant que vous arriviez.— Tout ça était prévu d’avance, constata soudain Alain. Nous avons été joués, mon cher Franck.— Joués comme des bleus, renchéris-je.— Mais peut-être pouvons-nous prendre notre revanche ?— Nous le devons, mon cher Alain.
Nous nous assîmes d’un même geste sur le canapé. Il y avait dessus toute la place que nous pouvions souhaiter, pour nous deux et nos deux compagnes, que nous dirigeâmes vers nos bites durcies.— Regarde-moi, Papa !, s’exclama Hello. Tu vas me voir baiser un mec de ton âge. Tu es prêt ?
Avant qu’Alain n’ait le temps de répondre, je lui lançais : — Oui, Alain, vous avez enfanté une parfaite petite salope, et je ne vous cacherai pas que j’en suis fort aise, car moi aussi.— Mmm... dit Laure, qui s’asseyait sur Alain, le prenant au fond d’elle.— Ho la vache, j’arrive pas à y croire..., dit Hello.— Moi non plus..., admit Alain.
Tout à coup, il renonça à toute retenue, et s’exclama à l’adresse de Hello :— Vas-y, sale petite catin ! Fais-le éjaculer, salope ! Rends-moi fier de toi, sale petite chienne !— Oui, Papa, promis..., dit Hello, qui commençait à soupirer sous le traitement que je lui administrai.— Léchez-lui les seins, Alain, conseillai-je. Ma petite chienne de fille adore ça.— Je n’ai pas besoin de vos conseils, Franck, répliqua-t-il, en obtempérant tout de même, non sans glisser un bon gros majeur dans le cul de Laure.— Oh, oui..., soupira-t-elle.— Whoui..., ajouta Hello.
Les deux jeunes femmes se penchèrent l’une vers l’autre et leurs souffles s’unirent dans la même jouissance. Laure éclata de rire :— Ah, salope ! Mon père te faire jouir, hein ?
Elle expédia une gifle qui retentit avec brutalité sur la joue de Hello. Hello riposta aussitôt par une grande claque sur les fesses de Laure.— Tu attends quoi, toi ?
Rien, en réalité : Laure s’appuyait des deux mains sur le torse d’Alain et en deux mouvements verticaux bien calculés, se donna du plaisir. Je savais ce qu’elle venait de faire : elle avait soigneusement choisi l’angle de son bassin pour que le prépuce retroussé d’Alain imprime une pression maximale sur son point G. Laure frissonna, se tendit soudain, les yeux perdus, la bouche ouverte, et s’arracha à l’étreinte d’Alain. Un flot de cyprine incontrôlé dégringola de sa chatte, dégageant une odeur de femelle qui me rendit complètement fou d’excitation. Ma fille était une femme-fontaine. C’était aussi simple que cela, et cela me perturbait complètement. Heureusement que j’avais déjà en grande partie vidé mes couilles cet après-midi-là, sans quoi j’aurais sûrement éjaculé.
Par chance, Alain parvint aussi à se retenir. Il nous fallut à Laure, Alain et moi un moment de répit, mais Hello, de son côté, avait déjà reprit ses esprits. Toujours plantée sur ma bite, elle se pencha vers le visage de son père, déposant un sein sur mon torse, un sein sur celui d’Alain.— Bravo, Papa, dit-elle.
Elle passa le revers de ses doigts sur la tempe de son père, puis l’embrassa sur la bouche.— Chérie..., commença-t-il avec un geste pour la repousser, qu’il n’acheva pas car Hello, maintenant, l’embrassait à pleines lèvres.
Derrière l’épaule de Hello, je voyais Laure, poitrine redressée, et en quelques œillades et moues expressives, sans dire un mot, nous décidâmes de la suite à donner aux événements. Alain et Hello nous ignoraient totalement : les regards plongés l’un dans l’autre, ils n’avaient pas besoin de mots pour s’exprimer leur admiration mutuelle. Je n’eus donc aucun mal à dissimuler à leur attention le fait que, de la main, j’indiquais à Laure trois, puis deux, puis un seul doigt.
Au signal, Laure se souleva d’Alain au moment même où je me dégageai d’Hello. Dans un même mouvement, je saisis le bras droit d’Alain. Laure, de son côté, avait pivoté vers la gauche et lui saisissait le bras gauche.— Hé, protesta Alain, qu’est-ce qu’il se...
Hello l’embrassa encore, lui clouant le bec. Elle posa une main sur le torse de son père, la laissa dériver le long du flanc. Elle souleva, mais à peine, le torse, juste assez pour que les pointes de ses seins glissent le long de la poitrine d’Alain. Unissant encore son souffle à celui de son père, elle souleva sa jambe droite pour la passer à califourchon au-dessus de la bite toujours tendue, et ruisselante de l’éjaculation de Laure.— Hon... Non..., protesta Alain. Hello, tu es ma fille, tu...
Elle le regarda en souriant, et le calma :— Ch... Ch... Ça va aller, Papa...— Tu es... Je suis ton... Enfin, Franck ! Laure ! Vous...
Déplaçant son bassin avec lenteur, Hello faisait remonter sa fente le long de la bite d’Alain. Je suis sûr qu’il sentait la chaleur, la moiteur, l’excitation de sa fille. Elle lui dit :— Tu sais, cet été, quand Laure et moi nous nous envoyions dix mecs dans la nuit dans les clubs échangistes, on ne s’inquiétait pas des degrés de parenté.— On ne s’inquiétait déjà pas des prénoms !, s’exclama Laure, rieuse.
La chatte d’Hello se posta au sommet du gland d’Alain. Je ne voulais pas perdre une miette de ce spectacle. La vulve frémit, laissa le passage à la pointe du gland, s’épanouit pour s’introduire la verge paternelle, centimètre après centimètre. Alain soupirait d’aise. Hello avait cessé de l’embrasser et se cambrait pour mieux le pousser en elle. — Oh... Oh...— Elle est épaisse, hein ?, demanda Laure.— Oh oui, oh là là... — J’arrive pas à y croire... J’arrive pas à y croire..., psalmodiait Alain.
Pour la première fois de sa vie, il était en train de baiser sa propre fille, une des plus belles femmes du monde sans doute, et je voyais sur son visage s’évanouir ses scrupules, ses doutes, ses peurs, ses hontes.— Touche-moi, Papa !, cria soudain Hello. Touche mes seins ! Prends mes fesses ! Caresse-moi partout ! Touche la chair de ta chair !— C’est vrai, ça, sourit Laure d’un ton docte. C’est une sorte de masturbation, au fond. — Une masturbation intergénérationnelle, complétai-je.— Voilà, convint Laure.
Nous n’avions plus besoin de retenir les bras d’Alain : ses mains malaxaient les fesses d’Hello, pétrissaient ses seins lourds : il profitait entièrement du moment et renonçait à toute retenue, remuant le bassin pour accélérer la venue du plaisir. Lâchant Alain, Laure contourna le couple primo-incestueux et vint me rejoindre, montant sur moi sans hésitation. — Tu sais quoi, Papa ?, demanda-t-elle. On va finir ce qu’on a commencé tout à l’heure.
Elle m’accueillit dans sa chatte encore trempée de sa précédente jouissance.— Dis donc, ma fille, dis-je, Malo sait que tu t’es pris trois queues aujourd’hui ? Il sait ce que tu es en train de faire ?— Il me croit au cours de zumba.— Oui !, la coupa Hello, s’époumonant à l’adresse de son père. Lèche mes seins ! Lèche les seins de ta salope de fille !— Bonne idée, compléta Laure à mon adresse.
Je m’enfournai son sein droit dans la bouche et titillai le mamelon de la langue, tout en imprimant mon rythme aux hanches de Laure.— Whoui ! Whoui !, cria Hello.— Sérieux, Papa, tu fais ça super bien, dit Laure avant de soupirer, d’haleter, et de crier son orgasme.
Alain grogna en se crispant, poussant les hanches de sa fille le plus loin possible sur sa bite pour atteindre le fond de son vagin. Je fis de même avec Laure. Alain et moi éjaculâmes dans la même poignée de secondes, avec un spasme de satisfaction.
Un ange passa. Une minute de pure grâce, de parfaite harmonie. Je sentais, avec la certitude tranquille des intuitions vraies, que parmi toutes leurs débauches estivales, dont Laure m’avait retracé les grandes lignes sans entrer dans le détail, Hello et ma fille n’avaient rien vécu de tel, ni même d’approchant.
Et dans cet instant, qui sembla durer des heures, et qui ressemblait à ce que doit vivre, mentalement, un être conscient à l’agonie, pour densifier ses derniers souffles et tirer le plus intense profit de ses dernières secondes, je me remémorai en une rapide synthèse toute la série des événements qui m’avait amené ici, ce soir, à éjaculer au fond du vagin de ma fille magnifique, à côté d’une jeune femme tout aussi magnifique qui venait d’arracher la jouissance à son père.
Surtout, le souvenir de notre première union envahit le champ de ma conscience. Laure avait dix-huit ans passés de quelques semaines. Elle avait tardé à m’avouer qu’elle voyait un garçon. Elle éprouva plus de difficultés encore à me dire qu’il avait été son premier amant. Il fallut que je lui arrache la confession que ce jeune homme, fort maladroit, s’y était si mal pris qu’elle n’en avait conçu aucune satisfaction, ni surtout aucun désir de recommencer. Ses refus avaient ensuite précipité leur rupture. Laure, le cœur brisé, pleurait à chaudes larmes sur mon épaule, et je sentais combien sa mère aurait su, mieux que moi, la réconforter. Je sus combien son absence, à ce moment précis, ajoutait au chagrin de ma fille. Nous étions assis sur le lit de Laure, et entre deux sanglots, les yeux dans mon cou, elle m’avait dit :— Tu sais, Papa, le pire, c’est que je suis sûr que ça pourrait me plaire.
J’avais fait mine de ne pas comprendre.— Quoi, le sexe ?, demandai-je.— Ben oui, évidemment, répliqua-t-elle avec un rire triste qui parvint tout de même à sécher un peu ses larmes.
Je posai un baiser tendre, paternel pour tout dire, sur son front.— Je ne sais pas quoi te répondre, ma chérie, qui ne soit ni un mensonge, ni une sottise, ni une évidence. Tu sais, dans ma vie, il y a eu ta mère, mais à part cela, je n’ai pas non plus une expérience... comment dire ? démesurée.
Laure s’était arrachée à mon étreinte. Les larmes taries net, elle m’avait toisé avec une insolence presque agressive. Puis elle lâcha, une moue de mépris lui tordant la bouche :— T’avais raison, c’est un mensonge.— Comment ?, demandai-je.
L’orage de sa colère déferla sur moi. Elle se leva, toute érinnye, et me hurla :— Tu me mens, merde ! Dans un moment comme ça, tu mens comme le premier salopard venu ! A ta fille, pauvre con ! Ta fille unique !— Chérie, je ne...— Ne le dis pas, Papa ! Ne me dis pas que tu ne comprends pas !— Mais je...— Mais tu as été vu ! Tu comprends, ce que je te dis ? — Vu ? Mais qu’est-ce que tu racontes ?
Laure avait soudain tiré de sa poche son téléphone portable, et elle pianotait dessus, browsant les photos, tout en fulminant :— Vu, oui, vu, ce qui s’appelle vu ! Par une fille de la promo précédente. Elle a eu le bac l’an dernier. Cassandra, elle s’appelle. Elle t’a reconnu, de l’autre jour, quand tu étais venu me chercher à la sortie du lycée. Elle t’a reconnu dans ce... club, c’est comme ça qu’on dit ? — On dit un club, oui, concédai-je, renonçant à me défendre ou à nier.— Voilà. Un soir où j’étais chez Papy et Mamy, je ne sais plus quel week-end. Et comme elle t’avait reconnu, elle s’est dit que ce serait marrant de... Enfin, tu l’as baisée. Tiens !
Elle me présenta l’écran de son portable, où s’étalait une photo parfaitement explicite de moi-même en compagnie d’une jeune femme, dans le plus simple appareil, sur fond de pénombre. Laure continuait :— C’est elle qui m’a envoyé la photo, Papa ! Elle m’a même dit par SMS que tu étais un sacré bon coup ! Merde ! Tu imagines, ce que ça fait, d’apprendre un truc pareil, comme ça, par SMS ? Tu imagines, deux minutes ?
Je secouai la tête et dis :— Je te demande pardon, ma chérie, je ne...— Au moins, pour tes...
Elle hésita sur le mot. Je l’aidai :— Orgies.— Pour tes orgies, voilà, tu pourrais au moins aller ailleurs, je ne sais pas, des clubs comme ça, il doit en exister, à cinquante, cent bornes, je ne sais pas, mais non ! Toi, tu vas au club local, là où tu peux croiser n’importe qui, la preuve ! Et tu croyais que ça resterait secret, que je ne le saurais jamais ! Avec ta sale petite comédie de « j’ai pas beaucoup d’expérience » ! Gros con ! T’es vraiment qu’un gros gros con !
Je déglutis.— Chérie, je suis désolé, je...
Laure s’était arrêtée de m’invectiver. Elle me regardait de toute sa hauteur, condescendante. J’avais le sentiment d’être un petit garçon pris en faute. Elle reprit :— Tu fais ça depuis longtemps ? Tu le faisais du temps de Maman ? Tu l’as trompée combien de fois ?— Non, non, jamais. J’aimais ta mère de toutes mes forces. Et quand... Enfin... Pendant des années, je n’ai rien fait. Du tout. Avec personne. — C’est ça. Fous-toi de ma gueule en plus.— Laure.
Le ton de ma voix avait changé. J’avais éduqué ma fille depuis assez longtemps pour qu’elle connût bien cette inflexion par laquelle je lui indiquais qu’à présent, j’étais plus sérieux que tout, et qu’il fallait qu’elle prît garde à ses propos parce qu’elle était tout près de franchir une ligne rouge. Un silence passa, et je repris :— Je n’ai jamais trompé ta mère. Jamais. Ma première fois en club, c’était l’été il y a trois ans, quand Papy et Mamy t’ont gardée pendant trois semaines.
Ce fut à Laure de réfléchir en silence un instant. Puis elle reprit, à nouveau agressive :— Et moi, alors ? Hein ? Qu’est-ce que tu dirais si c’était moi sur cette photo, avec un autre mec ?
Je soupirai.— Tu penses bien que j’y ai réfléchi avant de pousser pour la première fois la porte du club.— Ah, très bien. Bravo. Monsieur y a réfléchi. Et alors ?— Et alors, si cette façon de t’amuser te convient, je ne vois vraiment pas ce que je pourrais dire pour justifier de t’interdire d’y aller, puisque j’y vais, moi, et que cette façon de m’amuser me convient.
Laure hésita avant de répondre à ce que j’avais volontairement formulé comme une équation du second degré qu’on tenterait de résoudre de tête, ce qui me laissa le temps d’ajouter :— Je suis désolé si cette... Cassandra ? Oui, si cette Cassandra t’a annoncé cela de cette manière toute pourrie pourrave. Je te demande pardon.
Alors, avec une brusquerie soudaine, comme un parachutiste débutant décide tout à coup de s’élancer hors de la carlingue, elle me lança :— Je veux y aller. Pour voir. Je veux que tu m’emmènes. Juste pour voir. C’est possible ?— Personne ne t’obligera à quoi que ce soit. Je serai là, d’ailleurs. Mais enfin... Tu sais, quitte à y aller, je veux dire... Tu risques de rencontrer, là-bas, des tas de gens très, comment dire, sexuellement compétents.— Tu as une idée ?— Peut-être.
Laure soupira, haussa les épaules, et dit, comme si elle se parlait à elle-même :— Genre, meuf, ton père te trouve un plan cul, quoi. — Personne ne saura que tu es ma fille.— Sauf si Cassandra est là !— Je veillerai à ce que personne de notre connaissance ne nous voie. Il y a des salons privés, quand même. Discrets. Et sinon... Laisse-moi passer un coup de fil. Tu n’as pas tes règles ? — Non, non, pas avant une bonne semaine.
Je saisis mon portable et appuyai sur le bouton « appel » correspondant à une vieille connaissance de club, un trentenaire dont l’habileté sexuelle rivalisait avec sa délicatesse de séducteur, et sa résolution dans la débauche. Le cocktail parfait, me semblait-il, pour Laure. S’il acceptait ce blind date, elle s’en souviendrait longtemps. Il décrocha.— Allô ?— Allô, l’irrésistible ? C’est l’infatigable.— Hé, Franck ! Comment vas-tu ?
J’avais toujours trouvé que son accent presque méridional, mais pas tout à fait, faisait au moins cinquante pour cent de son charme. — Pas mal, répondis-je, sauf que j’ai un petit souci.— Tiens donc ! Toi, un souci. Et dis-moi lequel ?— Tu voudrais bien me rendre un service ?— Bien sûr, tu me connais.— Bon. Il s’agit de sauver une demoiselle en détresse. Sa première expérience n’a pas été, comment dire, top top, et elle risque de tourner bonne sœur si personne ne la remet dans le droit chemin, tu vois ? — Mmmm.— Et ce serait vraiment dommage. Vraiment dommage, mon vieux. Parce que, bon, dix-huit ans, un mètre soixante-dix, les cheveux châtain longs jusqu’aux reins, des jambes galbées comme je sais que tu aimes, des jolis seins 90C, et un cul, mon gars...— Franck, c’est qui cette gamine ?— Ce n’est plus une gamine, déjà, mais une jeune femme. Et je suis certain qu’elle mènera une carrière magnifique si seulement quelqu’un parvient à la consoler de son malencontreux dépucelage.— Elle l’a fait avec un mec de son âge ?— Evidemment.— Tu sais, Franck, on en a déjà parlé plein de fois, hein, eh bien je crois que nous sommes d’accord. Les puceaux et les pucelles, il ne faut pas les laisser découvrir tout ensemble. — Clairement.— Bon, écoute, c’est d’accord. Elle est open aussi ?— Je pense. Mais si jamais elle change d’avis...— Non mais tu me connais, ho !— Je suis sérieux. Je ne veux pas que tu la..., euh...
L’irrésistible profita de mon hésitation pour intervenir :— Me dis pas que c’est ta fille, Franck. Pas ta fille. Tu sais bien que c’est la règle. Pas les ascendants ni les collatéraux des copains.— On ne pourrait pas faire une exception à la règle ? Une seule ? Tu comprends, je te fais confiance, je t’ai vu avec d’autres, je sais que tu sauras comment t’y prendre.— Tu m’en demandes beaucoup. Ce n’est pas dans nos habitudes.— Je vais t’en demander encore plus. J’ai bien réfléchi, mais je pense que ce serait mieux que tu viennes chez moi pour ça.— Chez toi ? Non, non, non. Ça non. Tu sais bien, pas question de nous croiser en-dehors du club. Tu connais la consigne.— Non mais c’est juste pour cette fois. — Je ne veux pas savoir où tu habites. Je ne veux pas savoir qui tu es. Si jamais quelque chose arrive à cette môme par la suite, je serai suspect direct. Tu sais bien que toutes ces règles sont pour nous protéger nous.— Bon. Je te propose un truc. On se retrouve quelque part. Je viens te chercher en voiture. Tu me donnes l’adresse, et j’arrive.— Quand, maintenant ?— Tu as autre chose à faire ?— Pas vraiment, mais...— Tu montes dans ma voiture, et discrétos je te couvre les yeux, ou je t’enferme dans le coffre, ou quelque chose. Je t’amène chez moi. Personne ne te verra. Je ne t’enlèverai ton bandeau que dans la chambre. Là, tu feras ce qu’il faut pour que ma fille s’amuse bien, et découvre l’essentiel. Et après, retour, même cinéma. Tu ne sauras pas où j’habite, ni rien. Et personne ne l’apprendra.— Ce n’est pas raisonnable, Franck.— C’est ma fille. Tu comprends que j’aie du soin d’elle.
Il hésita en silence, et je sus que c’était gagné. Je le connaissais assez. Finalement, il lâcha.— Cinquante-trois, rue Léo Lagrange. Tu vois où c’est ?— Je vais trouver sur mon GPS. — C’est dans le quartier des Palounières.— Ah, OK. J’en ai pour un gros quart d’heure.— Ne me dis pas ça, Franck. Tu me donnes un indice.— Je te mens peut-être.— Ouais, ouais. A tout de suite.
J’avais à peine coupé la conversation et commencé à sortir de la chambre de ma fille pour descendre l’escalier et sortir de la maison, que Laure, sur mes talons, me déclara :— Pas dans ma chambre.— Comme tu voudras.— En bas, dans le salon.— D’accord.— Tu resteras avec moi tout le temps.— Promis.— Il s’appelle comment ?— Je ne te le dirai pas. Nous enfreignons déjà beaucoup de règles.— Papa, je serai en train de baiser avec lui dans trente minutes. Sous tes yeux. Dis-moi son prénom. Juste son prénom.
Je soupirai en enfilant mon manteau.— Philippe, lâchai-je. Il s’appelle Philippe. J’arrive avec lui dans une petite demi-heure. Tu seras prête.— T’inquiète pas.
C’est seulement plusieurs mois plus tard que Philippe devint un vrai problème. Ce soir-là, il se montra à la hauteur de l’espérance que j’avais mise en lui. Quand nous entrâmes dans le salon, il avait toujours son bandeau sur les yeux. Ce que je n’avais pas imaginé, c’était que Laure nous attendrait, intégralement nue, sur le canapé du salon, non sans avoir elle-même noué un épais foulard bleu marine autour de son crâne.— Je veux que tout soit très clair, dit Laure avant que Philippe et moi n’ayons mis un orteil dans le salon. Si je jouis, j’enlèverai mon bandeau. Peut-être. Si j’ai envie. Sinon, je le garde. Comme ça, je ne saurai rien de ton visage. Ni toi du mien.— Alors, je garde mon bandeau aussi, dit Philippe. Pas de jaloux.
Laure se leva du canapé et marcha en direction de la provenance de la voix de Philippe. J’enlevai mon manteau, ma veste, et m’installai dans le fauteuil qui faisait face au canapé. Je ne perdrais rien du spectacle. Laure avait rejoint mon invité, et colla son corps contre le sien, lui déposant un léger baiser sur la bouche. Les mains de Philippe caressèrent les fesses, remontèrent le long des hanches, effleurèrent les seins. Philippe, attentif, s’exclama entre deux baisers :— Mais tu es une vraie bombe !
Laure ne répondit rien : ses doigts, prestes, dégrafaient la ceinture et le bouton du jean. Le pantalon, le slip de Philippe dégringolèrent. Je connaissais bien Philippe et je l’avais déjà vu de nombreuses fois dans une situation intéressante, mais je ne me souvenais pas lui avoir connu une telle érection, sauvage, mutine. Le gland rubis se gonflait de superbe. Déjà, Philippe ôtait son T-shirt pour serrer Laure contre lui.— Voilà ce que je te propose, miss, dit-il. Je vais commencer par te faire l’amour. Je veux te faire jouir d’abord. Aussi fort que tu le pourras. Et après, je t’enseignerai la base. Ça te convient ?
Laure répondit :— Attends, d’abord, je veux vérifier un truc.
Elle avait saisi l’érection remarquable de Philippe et, sans plus de manières, s’agenouilla devant lui pour le prendre dans sa bouche. Les lèvres engloutirent le gland, descendirent à peu près à mi-hauteur, remontèrent, tentèrent de redescendre en poussant le plus loin possible, et remontèrent à nouveau. Sa menotte tenait toujours la base du phallus bien en poing et, même en y mettant toute la bonne volonté du monde, elle ne parvenait pas à rejoindre son index de ses lèvres : Philippe était juste fabuleux, ce soir-là. Laure remonta d’un coup, recrachant toute la chair qu’elle avait pu prendre en bouche, et dit :— Ouais, c’est ça. Tu es deux fois plus gros que mon mec.
Je sentis sa voix frémir d’excitation. Elle ajouta :— Attends une seconde.
Laissant Philippe planté au milieu du salon, parmi ses vêtements épars, elle alla s’asseoir dans le canapé, et se cala entre le dossier et l’accoudoir.— Papa, tu es là ?, demanda Laure.— Je suis là.
Elle tourna la tête vers Philippe et dit :— Viens, maintenant.
Ainsi le premier orgasme de ma fille coïncida avec ses premiers pas vers la débauche et le libertinage qui, deux ans plus tard, seraient devenus son quotidien. Philippe se surpassa, magistral de bout en bout, pendant deux bonnes heures au cours desquelles, j’en suis sûr, il amena Laure à l’orgasme au moins une demi-douzaine de fois. Enfin, il eut la présence d’esprit de sortir d’elle pour éjaculer, lui inondant le ventre et les seins d’un sperme lourd, chaud et crémeux, blanc comme un vieil ivoire. Aucun des deux n’avait ôté son bandeau.
Je me rajustai précipitamment, car je serais bien fat de prétendre être resté insensible à la scène dont j’avais été témoin. Je me levai, et dis :— Bravo, mon vieux. Et merci.— De rien, répondit Philippe. Je suis bien content d’avoir enfreint ces règles, tout compte fait.— Ah !, dis-je, victorieux, tout en lui tendant ses vêtements que je venais de rattraper au sol.— Merci, miss, dit Philippe en s’en emparant. — Merci à vous, dit Laure. Et peut-être à une prochaine fois ?— Pour une sublime créature comme vous, je viendrai de Montpellier à pied.— Il faudrait que tu ailles te doucher, chérie, dis-je à Laure.— Ouais, répondit-elle en se redressant. Je vais essayer de ne pas en foutre partout.
Je la vis grimper l’escalier avec une aisance de gazelle tandis que Philippe bouclait sa ceinture. Le bandeau toujours sur ses yeux, il me laissa le guider jusqu’à l’extérieur, jusqu’à la voiture, pour le ramener à son point de départ, comme si de rien n’était, comme si ces deux heures n’avaient été qu’un rêve.
Quand je rentrai, Laure s’était déjà endormie. Je pensai aussitôt que Philippe l’avait épuisée, surtout après les transports de colère et l’intensité des émotions dont j’avais été la cible un peu plus tôt dans la journée.
Je me préparai un rapide casse-croûte de viande froide et de fromage, puis allais me coucher à mon tour. Je ne parvins pas à trouver le sommeil. Les images de cette fin d’après-midi m’occupaient l’esprit. Je n’arrêtais pas de visualiser la bouche de ma fille soupirant de joie, le mouvement de son bassin sur Philippe, le balancement de ses seins sous les doigts experts, les remous des cheveux beaux comme des oscillations d’ombelles dans le zéphyr.
La porte de ma chambre s’ouvrit. Dans la pénombre, je distinguai, dans l’encadrement, la silhouette de Laure. Je n’essayai même pas de faire semblant de dormir et me retournai.— Laure ? Ça va ?, demandai-je.
Elle s’avança d’un pas et dit :— Merci, Papa. Tu es cool. Pas une de mes copines n’a un père aussi cool que toi. Je t’aime, Papa. Merci.
Je me redressai, m’assis sur l’oreiller.— Ne me remercie pas, voyons, tu...
Elle avança vers moi, arriva au bord du lit, se pencha vers mon visage et m’embrassa. Je répondis aussitôt à son baiser. Elle se lova dans mes bras. Quand bien même j’aurais essayé de lui cacher mon érection, je n’y serais pas parvenu. Elle dit :— Tu te souviens de quand j’étais petite et que j’avais peur, la nuit ? Je t’appelais, et tu venais. Tu t’asseyais sur mon lit. Tu me passais une main dans les cheveux. Cela suffisait à me rassurer. Je suçotais mon doudou, et je m’endormais presque aussitôt. Je ne sais pas combien de temps tu restais. Une heure ? Dix minutes ? En tout cas, je me rendormais. Merci, mon Papa.
Je lui entourai les épaules de mon bras, et lui répondis :— Je ferai n’importe quoi pour toi, ma fille. N’importe quoi.— Je sais, Papa. Moi aussi. Vraiment. N’importe quoi.
Elle m’embrassa à nouveau, et je sus à cet instant que cette nuit, si nous nous endormions l’un contre l’autre, ce ne serait plus du tout comme avant, dix ans plus tôt.
Je ne me trompais pas. A compter de ce jour, nous n’avions jamais complètement interrompu notre relation. Bien sûr, par périodes, elle rencontrait des garçons qui la satisfaisaient pendant quelques semaines, et elle s’éloignait de moi ; mais cela n’allait jamais très loin. Elle avait aussi des périodes de frénésie sexuelle où elle roulait jusqu’au bout de la débauche, telle que je la pratiquais moi-même, en tout cas, et dans ces moments-là, aucun homme n’aurait pu la combler. Elle devenait panthère. Mais nous eûmes aussi nos époques fastes, nos jours passés dans la chambre à tenter toutes sortes de positions. Le plaisir que j’y prenais payait assez, mais envenimait aussi, la honte que j’en éprouvais. Je suppose qu’il en allait de même pour elle.
Et tout cela, songeai-je, m’avait conduit ici, sur ce même canapé, deux ans plus tard, à renouveler ce même inceste auprès d’un autre couple que nous venions de convertir à l’inceste. — Hé, Papa, dit Laure en claquant des doigts devant mes yeux. Tu es avec nous ?— Pardon, ma chérie, répondis-je, j’étais parti loin dans mes pensées.— J’ai vu. Tu sais, il va falloir que je file. Je dois rentrer. Sinon, Malo va s’inquiéter.— Va, ma fille. Fonce. Vole. Vis ta vie.— Ouais. Ho, la vache, je suis encore pleine de sperme... Il faut quand même que je me nettoie un peu avant de partir.— Tu connais la maison, chérie.
Tandis qu’elle prenait une douche rapide, je demandai à Alain et à Hello : — Restez-vous pour dîner, les amis ?
Hello, un sourire désarmant sur le visage, me regarda, regarda son père, me regarda à nouveau.— Je peux plutôt choisir le combo dîner plus double péné, s’il vous plaît ?
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