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Les magasins associés.

Chapitre 3

Deuxième semaine de stage.

Hétéro
Il était un peu plus de dix-neuf heures ce mardi soir. Anne avait entamé sa deuxième semaine d’activité aux "Magasins Associés" de Pau.Sa journée de travail terminée, elle se dirigeait vers la maison de sa mère chez qui elle résidait en attendant de s’installer avec Aurélien son petit ami. Juchée sur ses talons aiguilles de quatorze centimètres, vêtue d’une courte jupe ballon, d’un cache coeur au profond décolleté, et d’une veste cintrée en toile, la jolie blonde ne passait pas inaperçue dans les rues de la cité béarnaise.
Un coup de klaxon fit sursauter Anne alors qu’elle s’apprêtait à traverser l’avenue. Elle se retourna et découvrit un magnifique cabriolet dont le conducteur n’était autre que le patron d’Aurélien, son fiancé. La voiture était une Oldsmobile Cutlass rouge de 1964. Aussi rutilante qu’imposante, elle était dotée de profonds sièges en cuir marron clair.
— Mais je te reconnais! s’exclama le conducteur.C’est bien toi la petite amie de mon mécano. Quelle prestance ma belle! Une vraie pin-up. Tu sais que tu serais tout à fait à ta place en tant que passagère de cette superbe bagnole. Tu n’aurais pas envie de faire un petit tour par hasard ?
Anne examina la voiture avant de poser son regard sur le conducteur. L’homme était vêtu d’un 501 Lévis, d’une chemise à carreaux dans le plus pur style western largement ouverte sur son poitrail velu et de bottes de gaucho en daim marron. Un médaillon en cuir orné d’une tête de bison disparaissait dans son épaisse toison et il ne manquait que le Stetson à Robert Delasson pour ressembler à un pur texan.
Constatant l’hésitation de la jolie blonde, le garagiste insista. — Allons! Fais toi plaisir! je suis sûr que tu en meurs d’envie. Je t’assure: ces vieilles bagnoles américaines sont faites pour trimballer des beautés sexys telles que toi, ajouta-t-il en se penchant pour ouvrir la porte avant droite du véhicule. Flattée par le compliment, Anne s’assura préalablement que le garagiste n’était pas couvert de cambouis, mais la seule marque visible qu’elle remarqua fut le tatouage de femme dévêtue qu’il arborait sur son avant bras. Et comme elle avait trop envie de faire un tour dans cette belle voiture qui lui rappelait la série "Happy Days" qu’elle regardait lorsqu’elle était enfant, elle finit par accepter l’invitation. — D’accord, je veux bien vous accompagner mais il ne faut pas que ce soit trop long. On m’attend pour le dîner. Lorsque la jeune femme s’installa, Robert aperçut avec ravissement l’attache de son porte jarretelle.
"Décidément cette petite est pleine de surprises" pensa le macho en matant les cuisses gainées de nylon de sa passagère avant de tourner la clef de contact.
Après avoir quitté la ville, Robert se mit à draguer Anne. — J’adore ta tenue ma jolie. C’est rare les femmes de ton âge qui portent de la lingerie fine et des talons hauts. Ça me plaît beaucoup. — c’est madame Dalembre la cheffe qui demande à ses vendeuses de porter les sous-vêtements qu’elles proposent aux clientes. Elle pense que c’est bon pour le commerce répondit ingénuement la jeune femme. — Et toi, tu en penses quoi ? Tu aimes mettre ce genre de dessous ?— Ça ne me déplaît pas et d’après Linda ma collègue, les messieurs apprécient beaucoup que je les conseille ainsi habillée. — Je confirme ma jolie. C’est très stimulant pour un amateur de lingerie sexy comme moi.
Ça t’embête de me montrer ce que tu portes en ce moment. Je dois faire un cadeau à mon épouse pour notre anniversaire de mariage et ça pourrait m’aider à me décider.
Anne se mit à rougir. — Je ne pense pas que ce soit très correct... lâcha t-elle d’une voix hésitante. — Allons, ne fais pas ta timide. Je sais me tenir.
Anne finit par soulever furtivement sa jupe dévoilant son porte-jarretelle gris perle et son tanga turquoise au garagiste. Celui-ci ne put retenir un sifflement admiratif:— Ouaouh ! Mais si je ne me trompe pas, ton slip est fendu à l’entrejambe. C’est sacrément excitant dis moi!
Anne était devenue rouge pivoine et ne pouvait cacher sa gêne d’autant plus que l’énorme proéminence apparue au niveau des boutons de son jean ne laissait aucun doute sur l’effet produit sur Robert par la découverte du slip coquin. La jeune femme était en outre très impressionnée par la grosseur du paquet qui venait de se déployer et elle ne put s’empêcher de mouiller légèrement.
Le macho se rendit compte du trouble de la jeune femme et il s’adressa à elle en posant doucement sa main sur sa cuisse appétissante. Le contact de la poigne puissante fit frissonner la jolie blonde mais elle n’osa pas la repousser. — Si tu le veux bien, je vais t’amener dans un endroit où on a un magnifique point de vue sur la ville. Çà devrait te plaire, ajouta Robert en glissant un doigt sous la jupe d’Anne dont le minou s’humidifia un peu plus. le majeur de Robert avait désormais atteint la fente du slip et le macho l’enfonça d’un coup dans la vulve trempée arrachant un bref gémissement à la blonde. — Vraiment pratique ce slip ma chérie! déclara l’homme avec assurance. Tu devrais t’occuper de ma queue parce que je me sens vraiment à l’étroit dans mon futal.
La curiosité l’emporta sur la gêne et Anne s’empressa de dégraffer les boutons de la braguette de Robert. — Allez ma jolie ! L’encouragea l’homme. Dépêche toi de libérer le colosse.En tremblant, la beauté blonde plongea sa main dans le caleçon fleuri pour en extirper un long braquemart très épais. Les dimensions de l’engin étaient sans commune mesure avec celles du sexe d’Aurélien ce qui bouleversa la jeune femme qui pensait jusqu’alors que tous les membres virils se ressemblaient.Anne était de plus en plus rouge d’autant plus que Robert avait commencé à faire coulisser son majeur dans sa chatte.
Apercevant une aire de pique-nique, le chauffeur alla se garer sous un grand platane et fit glisser son siège vers l’arrière. Puis il fit basculer le dossier d’Anne avant de se pencher vers elle pour lui rouler une pelle. La jolie blonde très excitée répondit avec fougue au baiser brûlant écartant les cuisses pour faciliter le doigtage du garagiste. Mais celui-ci avait un autre plan. Il vint se positionner avec souplesse au dessus d’Anne et saisit son manche à pleine main pour le planter dans la vulve offerte. La jeune femme eut un hoquet lorsqu’elle fut entièrement remplie par l’imposant calibre.Robert se mit alors à la limer sur un rythme soutenu arrachant des gémissements de plus en plus bruyants à Anne qui connut le premier orgasme vaginal de sa courte vie sexuelle au bout de dix minutes de pilonnage intensif de son con par le vigoureux garagiste. Son hurlement de jouissance coïncida avec l’éjaculation conséquente de Robert dans son conduit intime.
Le mâle épuisé par l’effort qu’il venait de produire resta allongé plus d’une minute sur Anne tandis que sa semence mélangée à la cyprine s’écoulait lentement sur le luxueux siège en cuir. — Merde! gueula Robert en se redressant vivement après s’être rendu compte que son sperme risquait de faire une tache indélébile qu’il aurait bien du mal à expliquer à sa femme Gisèle. Il récupéra précipitamment une peau de chamois dans le vide poche et essuya du mieux possible le siège et la chatte poisseuse d’Anne qui poussa un cri horrifié.— Mais c’est dégueulasse de m’essuyer avec votre chiffon tout crasseux. — Allons ma belle ! Ne complique pas les choses, je n’aurais jamais essuyé un cuir aussi délicat avec un chiffon crasseux comme tu dis. Cette peau de chamois sort du lave-linge. Elle était nickel avant que je l’utilise sur ton minou gluant. — la faute à qui si mon minou est gluant! Rétorqua Anne vexée. — Allons ! Détends toi. Je ne voulais pas être désagréable. D’autant plus qu’on vient de passer un bon moment tous les deux pas vrai. Je suis sûr que t’as jamais pris un pied pareil avec ce morveux d’Aurélien.
La jolie blonde se contenta de hausser les épaules. — Je t’avais bien dit qu’une pouliche telle que toi a besoin d’un vrai mâle avec une grosse bite. La crudité du propos fit rougir Anne à nouveau. — Il faut que je rentre chez moi maintenant! lâcha t-elle d’une voix passablement énervée. — Ok bébé. On y va.
Devant la porte de la maison d’Anne, le garagiste déclara:— on devrait se revoir rapidement. Nous allons bientôt passer au magasin avec ma femme pour que je lui offre une nouvelle parure. Tu bosses toute la semaine aux "Magasins Associés" ? — Oui, répondit Anne sur un ton très commercial, mais pas le lundi matin, le mercredi après-midi et le jeudi matin. — C’est noté, on évitera ces créneaux.Je compte sur toi pour proposer à Gisèle tes jolis slips fendus.
— Tu as le permis ? Continua l’homme. — Oui. Je l’ai passé pendant les dernières grandes vacances mais je n’ai pas encore les moyens d’acheter une voiture. — Passe me voir pendant ton temps libre. J’aurai peut être une petite occasion à te proposer. — Je ne sais pas, lâcha Anne avant d’ouvrir la porte et de sortir du cabriolet dévoilant à nouveau les attaches de son porte jarretelle à Robert qui en profita pour se rincer l’oeil une fois de plus.
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Sa mère ne l’avait pas attendu pour le dîner. Elle avait déjà rejoint le petit salon de la maison pour regarder les informations du soir à la télévision et Anne dut se contenter des restes conservés dans le frigo.
Cette nuit là, la jeune femme eut beaucoup de mal à s’endormir. Elle se demandait ce qu’elle allait devenir une fois son stage terminé. Anne venait de découvrir le plaisir charnel et elle comprenait qu’Aurélien n’était pas le garçon qu’il lui fallait. Elle se remémorait les paroles de sa marraine une dizaine de jours plus tôt. Anne comprenait désormais qu’il était important de faire son expérience et de profiter de la vie avant de se caser. Après plus d’une heure à se retourner dans son lit sans trouver le sommeil, elle finit par se caresser jusqu’à ce que la jouissance l’apaise.
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Ce mercredi matin, peu avant l’ouverture au public du magasin, une certaine effervescence régnait au rayon lingerie.En effet, Karim, le jeune magasinier, venait de rentrer de convalescence après trois semaines d’arrêt consécutives à une chute de moto.Ce joli garçon musclé âgé de vingt-six ans était rapidement devenu le chouchou des filles qui appréciaient son caractère enjoué et son gentil baratin. Bien sûr, le grand jeune homme brun ne mit pas longtemps à repérer la jolie blonde qui avait intégré l’équipe pendant son absence. — Je vois que la direction n’a pas attendu mon retour pour embaucher mon remplaçant, lâcha t-il avec un clin d’oeil appuyé à Anne ce qui fit beaucoup rire les filles.
Linda s’adressa alors à la stagiaire : — Anne, je te présente Karim. Il bosse dans l’équipe qui gère les réserves du magasin et qui réceptionne les livraisons des fournisseurs. Méfie toi de lui: c’est un sacré baratineur.
La jolie blonde fit un grand sourire au magasinier et, comme les autres vendeuses, lui fit une bise de bienvenue. Elle le trouva tout de suite mignon et sympathique et de son côté Karim ne fit rien pour cacher son intérêt pour la jeune stagiaire.
— Comment va ton épaule ? tu as repris la moto ? demanda alors Lydie une des collègues du rayon prêt à porter masculin. — Je récupère mon deux roues au garage à la fin de la semaine mais je vais devoir garder pendant quelque temps une broche dans mon omoplate. Jusqu’à ce que l’os soit bien resoudé en fait.
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Anne faisait face à madame Dalembre. La jeune femme était allée voir sa chef pour se plaindre du froid qu’elle ressentait de plus en plus alors que l’hiver approchant, les températures baissaient régulièrement.— j’ai souvent froid aux jambes dans mon rayon avait expliqué Anne sans animosité. Irène était bien sûr opposée au port du pantalon et des collants pour ses vendeuses. Néanmoins elle était prête à leur autoriser les bottes et les bas en coton.— Tu iras voir de ma part, madame Lasalle au rayon chaussure avant ta pause de midi, ordonna Irène. Tu lui demanderas de te fournir des cuissardes à talons hauts. Elles couvriront une bonne partie de tes jambes et tu resteras sexy malgré tout.L’initiative plut beaucoup à la jolie blonde qui avait toujours espéré pouvoir s’offrir ce genre de bottes un jour. Elle débuta donc son service de l’après-midi chaussée de cuissardes en cuir gris à talons aiguilles de douze centimètres. Les bottes couvraient ses genoux tout en dévoilant un joli morceau des cuisses gainées de nylon de la jeune femme.
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Avant de quitter le magasin peu avant dix-neuf heures, Karim était retourné au rayon lingerie avec l’espoir de croiser à nouveau la jolie stagiaire que les filles lui avaient présentée la veille alors qu’il venait de rentrer de convalescence après son accident.
— Ça te dirait d’aller boire un verre après ton service? avait-il demandé à la jeune femme blonde. — Ce soir, je ne peux pas. Je dois dîner avec ma mère. Mais demain c’est vendredi et je pourrai t’accompagner. — Ok. J’aurai récupéré ma bécane et si ça te tente, je t’emmènerai faire un tour. — Avec plaisir. Je ne suis jamais montée sur une moto, avoua Anne avant de saluer Karim. Mais d’abord, je dois ranger le rayon avant de partir alors je n’ai pas trop le temps de discuter. Le garçon comprit le message et s’éclipsa discrètement.
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Anne s’était beaucoup amusée lorsqu’elle avait fait un tour comme passagère sur le trail Honda de Karim. Elle s’était laissée griser par le bruit strident du moteur après avoir passé ses bras autour de la taille du pilote par crainte de tomber en arrière. Avec ses cuissardes grises, sa jupe plissée noire, sa veste en fausse fourrure au col épais et ses cheveux blonds qui dépassaient du casque, Anne attirait le regard des conducteurs mâles que Karim doublait en ouvrant les gaz de son deux roues.
Après la balade motorisée plutôt stimulante pour sa libido, la jeune femme avait accepté de prendre un verre chez le séduisant magasinier. C’est pourquoi elle n’avait pas repoussé Karim lorsqu’il l’avait embrassée et qu’il avait glissé sa main sous sa jupe découvrant ravi le tanga fendu de la jolie blonde. Anne était désormais étendue sur le lit du jeune homme les jambes pointées vers le plafond. Karim l’avait aidée à se déshabiller lui demandant néanmoins de garder ses bottes, ses bas et son porte jarretelle pour subir ses virils assauts. Le membre de longueur moyenne et de belle épaisseur coulissait énergiquement dans le vagin trempé deLa jeune femme qui gémissait sous les coups de boutoir de son nouvel amant. Celui-ci s’appliquait à offrir le maximum de plaisir à la blonde sexy qui précéda de peu le mâle dans la jouissance.
Après une courte pause et quelques gorgées de bière, Karim demanda à sa conquête de se mettre à quatre pattes pour la baiser en levrette tout en assouplissant son anus avec les doigts. Anne appréciait les doigts inquisiteurs qui fouillaient délicatement son oeillet et Karim décida de quitter le vagin accueillant pour poser son gland turgescent sur le petit trou rose qu’il força d’un coup de rein enfonçant d’un coup la moitié de sa verge dans le conduit à la douceur inattendue.
Anne poussa un petit cri lorsque son sphincter céda mais elle trouva la sensation provoquée par la queue plantée dans son fion étonnamment agréable. Elle se mit donc à tortiller les fesses pour faciliter l’introduction de la tige dans son fondement. Ravi de l’aubaine, Karim se mit aussitôt à limer le conduit anal arrachant de petits cris satisfaits à la jolie blonde qui bascula doucement sur le flanc afin de pouvoir masturber son clitoris tout en se faisant enculer. Solidement agrippé au magnifique fessier de sa maîtresse, Karim continua à la besogner jusqu’à ce qu’elle jouisse en lui vrillant les oreilles. Karim extirpa alors sa queue de son fourreau et décida de se finir en répandant sa semence sur le joli cul de la blonde.
Après cette enculade, véritable révélation pour la jeune femme, Karim quitta le lit pour aller préparer une collation à sa conquête. Officiant entièrement nu devant la fenêtre de sa cuisine sans se soucier de sa voisine retraitée qui le matait discrètement, il concocta deux délicieux sandwichs que les deux tourtereaux avalèrent avant de remettre le couvert jusqu’à la fin de la soirée finissant par s’endormir épuisés par leurs nombreuses étreintes.
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En cette fin de deuxième semaine, Madame Dalembre, la responsable du département lingerie et accessoires des "Magasins Associés" avait demandé à Anne la jolie et prometteuse stagiaire de passer la voir à son Bureau.
La jeune femme qui lui faisait face les jambes croisées, assise dans la chaise réservée aux visiteurs, avait pris pas mal d’assurance depuis son arrivée. Elle arborait sans complexe les tenues suggestives imposées par Irène, ne se souciant plus des réactions du voisinage au cas où elle aurait involontairement dévoilé une attache de son porte jarretelle ou une partie excessive de son décolleté. La cheffe avait appris qu’Anne sortait désormais avec Karim le magasinier et elle avait apprécié qu’elle rompe avec son petit ami précédent qui désapprouvait le port de lingerie fine qu’elle imposait depuis de longues années à son équipe de vendeuses.
— Je te trouve très en beauté ma belle, avait-elle commencé après avoir permis à Anne de s’installer. Vu le chiffre d’affaires de la semaine, je ne suis pas la seule de cet avis. Tu t’en sors très bien. Anne rosit sous le compliment. — J’ai l’impression que ça se passe bien pour toi avec notre magasinier. Il est jeune mais semble t-il bon amant si j’en crois certaines rumeurs. Anne ne releva pas essayant de masquer sa gêne naissante. — A-t-il une belle queue ? Plus grosse que celle d’Adrien ? Anne était devenue pivoine mais corrigea néanmoins sa cheffe par pur réflexe. — Aurélien madame. — Adrien, Aurélien, Émilien... peu importe. Ce qui compte c’est l’outil qu’ils ont entre les jambes et la manière dont ils s’en servent, n’est ce pas ? Anne resta silencieuse. — Allons détends toi. Il n’y a rien de blessant dans ce que je te dis. Ton corps parle pour toi. Il faut un mâle avec une bite énorme pour honorer tes belles formes si féminines.
Anne ne savait plus où se mettre. D’autant plus que le discours d’Irène commençait à la faire sérieusement mouiller. Irène se rendit compte du trouble de la stagiaire et préféra mettre fin à son petit jeu. — En tout cas, sache que je suis pour le moment très satisfaite de ta prestation. Sors-tu avec Karim ce soir ? — Oui. Il vient me chercher en moto devant le magasin dans un quart d’heure. — Très bien, je te laisse aller te rafraîchir aux toilettes déclara Irène avant de conclure :— Tu as de la chance d’être jeune et belle. Profites en bien. Ça ne durera pas éternellement. Tu sais ce que je ferais ce soir si j’étais à ta place. Je retirerais ma culotte avant d’aller retrouver mon copain motard. Rouler en moto en porte-jarretelle et sans culotte devrait te procurer certaines sensations. Anne quitta précipitamment le bureau alors que la tache qui maculait son tanga fendu ne cessait de s’étendre.
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Le retraité qui marchait tranquillement vers la moto sur laquelle s’apprêtait à monter une jeune femme blonde en cuissardes, faillit avoir une attaque en apercevant le joli triangle de poils clairs impudemment exposés à sa vue alors que la fille certes casquée mais dépourvue de culotte levait la jambe gauche pour s’installer sur la selle du deux roues.
Irène Dalembre avait raison: rouler en jupe courte, sans culotte, les bras enroulés autour de la taille du conducteur du deux roues était très excitant.Anne ne tarda donc guère à s’adresser à Karim, en criant pour couvrir le bruit du moteur, qu’elle avait très envie qu’il la baise au plus tôt. Le jeune homme ne se fit pas prier pour emprunter le premier chemin et garer sa moto avant d’en descendre. Constatant l’absence de culotte de sa nouvelle chérie lorsqu’elle descendit à son tour, et malgré la température déclinante, il retira prestement sa veste de cuir qu’il posa sur l’herbe voisine. Anne comprit le message et se mit à quatre pattes sur le vêtement attendant que son copain vienne s’agenouiller derrière elle et planter sa queue dure comme le béton dans sa chatte trempée d’excitation. Leur coït fut plutôt bref mais très intense et le cri de jouissance que poussa Anne en atteignant l’orgasme fit fuir tous les animaux à un kilomètre à la ronde. Néanmoins et heureusement pour le garçon, ce hurlement n’empêcha nullement Karim de vider le jus de ses couilles dans le con de sa copine quelques secondes plus tard.
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