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Chapitre 7

Un congé bien occupé.

Avec plusieurs hommes
La semaine de la Toussaint était bien entamée et les premières vacances de l’année scolaire venaient de débuter. La convention signée entre l’IUT et les entreprises de la région stipulait que l’employeur devait accorder trois jours de congés à ses stagiaires à cette même période. Anne avait donc décidé de profiter de cette pause pour rendre visite à sa grand-mère installée sur la côte landaise avec son second mari. Elle s’était mise d’accord avec Mamy Gigi lui indiquant qu’elle prendrait le train le jeudi matin jusqu’à la gare de Dax où Henri pourrait venir la récupérer avant de l’emmener dans leur maison proche de la mer.
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Anne avait choisi de profiter de la faible affluence dans la rame pour voyager dans un des compartiments disponibles. Pour se rendre chez sa grand-mère et effectuer le trajet d’une heure trois quarts, elle avait opté pour un gilet en laine fuschia porté à même la peau, une jupe portefeuille noire qui descendait à la limite de ses genoux, des bas plumetis noir maintenus par un porte jarretelle discret, un ensemble tanga plus soutien-gorge en dentelle couleur turquoise et des bottes à talons hauts.
Assise à côté de la fenêtre, Anne espérait pouvoir bénéficier d’un trajet tranquille mais elle fut rapidement tirée de sa rêverie par trois jeunes âgés de vingt-cinq ans environ qui la rejoignirent dans le compartiment en chahutant bruyamment. Un grand noir et un blanc de taille moyenne se posèrent sur la banquette qui lui faisait face. Le troisième, d’origine maghrébine, plus petit que ses camarades, choisit la place située à sa gauche.
Les types échangèrent d’abord des clins d’oeil lourds de sous-entendus en matant ostensiblement la jolie blonde. Anne les ignora et ils se calmèrent un peu avant que le train démarre.
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Le contact inattendu de la main de son voisin se posant sur sa cuisse fit sursauter Anne. — Ça ne va pas non ! s’insurgea t-elle en se tournant vers le type avant de repousser sèchement son bras.
Les deux jeunes assis en face d’elle se mirent à rire. — Ça ne va pas non ! Répéta le blanc en prenant une voix aiguë. — Tu vas où comme ça ma jolie ? demanda le noir hilare. — Ça ne vous regarde pas! — Ça ne vous regarde pas ! Répéta le blanc avant de s’adresser à ses copains:
— Putain les gars, elle est sacrément bien gaulée la gonzesse... Et elle a une de ces paires de nibards!
Alors qu’Anne choquée par les réflexions du blanc bec n’osait plus rien dire, le jeune beur arracha le sac de sa voisine et se leva d’un bond.
— Hééé! Rendez-moi mon sac! s’écria la jeune femme stupéfaite en quittant sa place pour rattraper son voleur. Mais celui-ci pivota brusquement avant de lancer son butin au noir qui se leva à son tour en le tenant à bout de bras le rendant ainsi inaccessible à la jolie blonde.
— Pas la peine de te démener ma chérie, même avec tes talons tu ne pourras pas l’attraper, lâcha le grand type. — Mais si tu reprends gentiment ta place et que tu nous laisses nous concerter, on va t’expliquer comment tu vas faire pour récupérer tes petites affaires.
Impuissante, Anne se résigna à faire ce que Kamal lui demandait.
Michaël, le jeune blanc, s’exprima à nouveau. — Je ne sais pas ce que vous en pensez les gars. Mais moi j’aimerais bien que la jolie poupée nous montre ce qu’elle cache sous son gilet.
Anne tressaillit avant de pousser un petit cri. — Vous êtes malades ! Il n’en est pas question! s’exclama t-elle.
Le noir haussa le ton. — Écoute bien ma jolie. Tu commences à nous casser les pieds. T’as entendu ce qu’a dit mon pote. Alors tu vas gentiment défaire quelques boutons de ton pull. Sinon on va s’en occuper nous même. Anne rougit d’un coup et se tassa sur la banquette. — Et Magne toi! Poursuivit-il d’un ton sec.
Maîtrisant difficilement l’accélération de son rythme cardiaque, la jolie blonde défia le noir du regard avant de dévoiler la dentelle de son soutien-gorge aux loubards.
— Ouaouh! lâcha Hocine qui se tenait debout devant la porte du compartiment. Voilà qui donne envie de voir un peu mieux ce joli soutien-loche, vous croyez pas les mecs ?
— C’est sûr! Appuya Kamal. Allez ma poule, dépêche toi de déboutonner ton gilet.
Anne hésita mais une nouvelle injonction brutale du noir eut raison de sa résistance. Michael se leva alors et écarta les pans du vêtement offrant une vue complète du buste de la jeune femme à l’Assemblée. — Putain! j’ai jamais vu d’aussi beaux lolos! s’exclama le jeune blanc les yeux brillants. — T’as raison! continua Hocine. Ce serait cool qu’elle retire son soutif. — C’est hors de question! S’écria Anne en rougissant de plus belle. — Comme tu voudras! reprit le noir d’une voix calme. Mais tu vas quand même l’enlever pour faire plaisir à mes potes.
La jeune femme fixa le type d’un oeil mauvais, s’interrogeant sur le meilleur comportement à tenir. Anne avait deux options: hurler et se ruer à l’extérieur du compartiment ou affronter ces trois petites frappes et leur prouver qu’elle n’avait pas froid aux yeux.Car étonnamment, la situation commençait à exciter la beauté blonde. Et elle préféra se redresser tout en bombant fièrement le torse. Pour masquer le trouble indéfinissable qui s’était emparé d’elle, Anne entreprit de dégrafer les attaches de son soutien-gorge avec des mouvements calculés devant le regard subjugué des trois jeunes.
— Bordel de merde! Qu’est-ce que c’est beau! jura Michael en découvrant les seins qu’Anne venait de dévoiler sans trembler. N’y tenant plus, le jeune empauma les mamelons arrogants avant de les masser délicatement.
À la grande honte de la jeune femme, ses tétons se hérissèrent un peu plus sous la caresse du jeune homme. — Elle a l’air d’aimer ça dis moi, lâcha Hocine qui s’était mis à bander. — C’est sûr, rétorqua le blanc avant de se pencher pour emboucher le bout d’un nichon bien ferme et en agacer la pointe avec sa langue agile.
Anne ferma les yeux malgré elle pour mieux profiter de la caresse experte. — Hé ! bouffe pas tout! s’écria Hocine en rigolant. Laisses-en pour les copains.
— Du calme les gars, intervint Kamal, je suis sûr que notre belle copine a encore plein de trésors à nous montrer. Michael! laisse un peu Hocine s’amuser! Ordonna t-il ensuite.
À contre coeur, le blanc se releva pour échanger sa place avec le beur. Hocine s’approcha alors pour palper à son tour les nichons d’Anne puis il dirigea ses mains vers les pans de la jupe qu’il souleva d’un coup dévoilant le tanga, le liseré des bas et la partie dénudée des cuisses de la belle blonde.
— Putain, vous avez vu ce que porte la nana sous sa jupe. C’est des dessous de chaudasse çà, ou je ne m’y connais pas ! s’exclama Hocine en promenant ses doigts sur la peau nue avant de glisser l’index sous le tissu du Tanga. — Anne dont le visage avait pris une teinte cramoisie se mordit les lèvres.
— Hé les gars, matez la tache à l’entrejambe! s’écria Michael. Elle mouille comme une chienne en chaleur, cette poupée.
— T’as raison mon pote ! J’ai l’impression qu’elle en veut ! déclaraKamal en se levant et en dégraffant sa ceinture avant d’attraper l’épaule du beur et de le repousser vers la porte.
— Surveille l’entrée toi! Il est temps que je m’occupe de Mademoiselle, ajouta le noir en extirpant une énorme queue turgescente de son pantalon.
Il s’accroupit ensuite face à la belle blonde tétanisée puis il glissa ses doigts sous le triangle du Tanga qu’il arracha d’un geste dévoilant la vulve trempée d’Anne à l’assistance. Celle-ci poussa un cri en proie à un sentiment mêlé de crainte et d’excitation incontrôlable.
Sans se soucier de ses compères, Kamal glissa ses bras sous les cuisses d’Anne qu’il souleva en les maintenant largement ouvertes avant de s’adresser à la jeune femme. — Attrape ma queue ma jolie et pose mon gland sur ta fente! Anne obéit docilement écartant inconsciemment les cuisses pour faciliter l’accès au mandrin qui s’immisçait lentement mais sûrement entre ses petites lèvres.
D’un violent coup de reins, Kamal s’enfonça dans le vagin trempé qu’il remplit à fond avant de commencer à limer la belle blonde. Offerte à la puissance du mâle, Anne ne tarda pas à gémir lascivement sous les puissants coups de boutoir. Fascinés par le spectacle du membre énorme coulissant dans la chatte écartelée d’Anne, incapable de maîtriser son désir, Michael et Hocine avaient sorti leur queue pour se branler. Hocine s’approcha alors pour poser sa longue bite fine sur les jolies lèvres de la blonde. Anne répondit à l’invitation en saisissant la tige pour emboucher le gros gland turgescent du beur avant de le relâcher peu après complètement focalisée sur le plaisir de plus en plus prégnant procuré par la majestueuse mentule qui fouillait son intimité sans répit.
Lorsque l’orgasme déforma le beau visage de la jeune femme, Hocine l’arrosa simultanément de son foutre précédant de peu Kamal dans la jouissance. Le noir se raidit alors tandis que les tressautements de sa queue permettaient à sa semence de se répandre dans la chatte de sa maîtresse.
Ne voulant pas rester sur la touche, et sentant son plaisir arriver, Michael s’approcha du petit groupe pour éjaculer sur le torse magnifique de la jolie blonde.
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L’annonce au haut parleur d’une arrivée imminente en gare tira brusquement Anne de son sommeil.
En entrouvrant les yeux, elle put distinguer les trois garçons qui sortaient du compartiment en rigolant bruyamment.En proie à un soudain sentiment de panique, elle jeta un coup d’oeil à son sac à main et put constater avec soulagement qu’il n’avait pas changé de place de même que sa petite valise posée dans le panier au dessus de la banquette. Et la jolie blonde fut totalement rassurée en constatant que sa tenue était toujours dans le même état que lors de sa montée dans le wagon et qu’aucune tache suspecte ne maculait sa jupe et sa veste.
En revanche, la marque humide apparue sur sa culotte témoignait sans ambiguïté de l’effet produit par le rêve qu’elle venait de faire.La fin du voyage se termina sans incident notable et laissa le temps à Anne de retrouver toute sa lucidité.
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En arrivant à Dax, la jeune femme attrapa sa valise et se dirigea vers la porte du train. À peine descendue, elle aperçut Henri, le mari de sa grand mère qui lui faisait un grand signe de la main.Lorqu’il vit Anne, l’homme se déplaça pour venir l’embrasser et prendre ses bagages.Henri avait soixante et un ans. Ancien professeur de gymnastique, il avait pris sa retraite un an et demi plus tôt. C’était un sportif à la stature athlétique qui entretenait son corps avec assiduité.
En approchant de la petite fille de son épouse, Henri ne put réprimer une pensée égrillarde en constatant l’évolution intervenue chez la jeune femme depuis leur dernière rencontre. Il est vrai que La jolie gamine sage et réservée s’était muée en une beauté blonde affirmée et débordant de sensualité.
— Tu es splendide ma chérie! lâcha l’homme en découvrant le profond décolleté d’Anne dont les seins pointaient généreusement vers lui. Voulant à tout prix éviter de bander en compagnie de la jeune femme, il se mit à la questionner espérant ainsi évacuer ses pensées inappropriées. — As tu fait bon voyage ? Tu n’as pas pris de manteau ? — Ça a été... répondit Anne laconiquement en réprimant un frisson. Mon imper est dans la valise précisa t-elle ensuite. — J’ai déposé ta grand mère chez le coiffeur avant de venir expliqua Henri. Elle m’a dit de passer la prendre d’ici une petite demie heure. Ça nous laisse le temps de prendre un verre dans le coin. — Avec plaisir, lâcha Anne. — On va d’abord déposer ton bagage dans le coffre de ma voiture et on ira au café de la Place. On y sera tranquille pour papoter.
Lorsqu’Anne se pencha pour poser la valise, le bouton du haut de son pull se défit, amplifiant significativement son généreux décolleté.
Henri avait du mal à se concentrer sur autre chose que ce décolleté tentateur mais Anne n’osait pas refermer le bouton coupable par peur de vexer le sexagénaire. La jeune femme l’examina discrètement avec attention pour la première fois de sa vie. Et ce qu’elle découvrit la surprit agréablement. D’abord il faisait beaucoup plus jeune que son âge et il avait aussi beaucoup de charme avec son épaisse chevelure poivre et sel et son menton volontaire doté d’une jolie fossette. Anne ne put alors s’empêcher de faire le rapprochement avec Riton se demandant si au lit, Henri était aussi vigoureux que le père du roi du porno.Mais après tout, il était tout à fait légitime que sa grand mère, elle aussi très séduisante comme d’ailleurs la plupart des femmes de la lignée depuis plusieurs générations, eût épousé un bel homme comme Henri.
C’était plus fort que lui. Henri bandait désormais comme un cerf et sa contrariété, à ne pouvoir maîtriser les élans de sa libido, transparaissait sur son visage. — Tu vas bien Henri ? demanda Anne en voyant le visage de son vis à vis se décomposer. — Oui oui. J’ai juste un peu chaud. Ça peut arriver à mon âge. Il était hors de question que l’homme se lève dans son état car la nature avait été très (trop) généreuse en le dotant d’attributs virils hypertrophiés.
Anne percevait la tension sexuelle qui avait gagné Henri et elle décida d’aller faire un petit tour aux toilettes pour permettre à l’homme de se calmer.
En fait, l’intermède improvisé dans le train avec les trois loubards avait fortement émoustillé la jolie blonde et elle n’aurait pas dit non à une étreinte improvisée avec un séduisant étalon.
Au retour d’Anne, Henri semblait avoir retrouvé sa sérénité et il proposa à la jeune femme de se diriger vers la voiture pendant qu’il payait les consommations.
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Après le déjeuner pris en compagnie de sa femme et d’Anne, Henri quitta la maison. — Je vais jouer à la belote avec des copains, avait-il déclaré avant de refermer la porte derrière lui.
En voyant l’air triste de sa grand mère, Anne lui proposa de lui préparer une infusion. Après avoir versé l’eau chaude dans les grandes tasses, la jolie blonde interrogea sa grand-mère. — Que se passe-t-il Mamy ? Tu as l’air tout triste.
Gigi fondit en larmes avant de tomber dans les bras de sa petite fille et d’avouer. — Je pense qu’Henri me trompe! — Mais pour quelle raison ferait-il ça ? s’écria Anne sincèrement surprise. — En fait, il a toujours eu de très gros besoins sexuels et je n’arrive plus à suivre. S’il ne m’a pas sautée au moins trois ou quatre fois dans la journée, il n’est pas content et malheureusement avec l’âge, je ne lubrifie plus assez pour subir tous ses assauts d’autant plus que mon mari est monté comme un cheval. C’est vrai, pendant plus de six ans, ça a été fantastique. J’étais une femme comblée par un amant extraordinaire. Mais maintenant je n’y arrive plus, avoua Ghislaine Leroy entre deux sanglots. — Finalement ça devrait t’arranger qu’il aille voir ailleurs... lâcha alors Anne pragmatique. — C’est facile à dire pour toi. Mais j’ai peur qu’il me quitte pour une femme plus jeune ou plus disponible pour satisfaire son appétit sexuel hors normes. — si tu le permets Mamy, je parlerai avec Henri et je lui demanderai sa version du problème dont tu viens de me faire part. — Fais comme tu le sens ma chérie. Je n’ai plus rien à proposer de toute façon.
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Après le dîner et un passage au salon pour boire son infusion du soir, Gigi disparut dans sa chambre.
Anne avait profité de l’après midi pour prendre une bonne douche et comme elle n’avait pas jugé nécessaire de mettre un soutien gorge sous son chemisier, la lumière du lampadaire laissait deviner à Henri les gros tétons fièrement érigés de la jeune beauté.
— Je peux te parler ? demanda alors Anne au mari de sa grand mère en croisant les jambes ce qui permit à Henri d’apercevoir les attaches du porte jartelle fixées aux bas nylon d’Anne qui avait troqué ses bottes contre des escarpins vernis à talons aiguilles. — Bien sûr ma chérie. Qu’est ce que tu voudrais savoir ? répondit le sexagénaire subjugué par les charmes de la beauté blonde.
— Et bien, ma grand mère m’a avoué cet après-midi qu’elle était malheureuse à cause de toi. — Comment ça ! S’exclama Henri en pâlissant légèrement. — En fait, elle est persuadée que tu la trompes. C’est vrai ?
Henri était soudainement devenu très mal à l’aise. Anne continua néanmoins comme si elle ne s’était aperçue de rien. — je n’y crois qu’à moitié, affirma-t-elle d’une voix douce.
Le mari de Gigi baissa les yeux avant de répondre. — C’est pourtant vrai Anne. Depuis quelques mois, j’ai une maîtresse que je vois plusieurs fois par semaine. C’est une belle femme brune de quarante-quatre ans mariée à un dentiste, enfin notre dentiste Pierre L.— Pour quelle raison vois-tu cette femme ? — Tout simplement parce que son mari ne la baise pas assez et que Gigi se refuse de plus en plus à moi. Nous nous sommes donc trouvés, Agnès et moi, pour pallier le manque d’entrain de nos conjoints respectifs. — Que s’est il passé ? Qu’est ce qui à changé entre Mamy et toi ces derniers mois ? interrogea Anne. — Je ne comprends pas. Gigi adorait pourtant faire l’amour. Je la prenais tous les matins dans le lit, la douche ou sur la table de la cuisine. Et nous baisions au moins deux fois chaque nuit. Elle était aussi insatiable que moi. Quand elle a commencé à avoir moins de désir, je lui ai proposé de fréquenter des clubs échangistes pour qu’elle puisse coucher avec des hommes mois bien dotés que moi car elle avait commencé à prétendre que c’est la grosseur de ma queue qui la dérangait. Alors que jusqu’alors elle était ravie de se faire fourrer par un aussi gros engin. C’est du moins ce qu’elle me disait à l’époque.
Anne avait du mal à cacher son trouble en écoutant les confessions d’Henri.
— C’est pas toujours marrant d’être un étalon on dirait... lâcha-t-elle avec un petit sourire. — un étalon fidèle c’est sûr! précisa-t-il en remarquant les tétons de plus en plus gonflés de la jeune femme. — Tu devrais tout avouer à Gigi. Elle te connaît et elle sait bien que tu as des besoins sexuels qu’elle ne peut satisfaire. Vous pourrez peut être arriver à un modus vivendi satisfaisant pour tout le monde si tu lui montres que tu tiens à elle.
Même s’il avait honoré madame L. à deux reprises, quelques heures plus tôt, Henri restait toujours aussi prompt à réagir. Et une énorme érection mit soudain en péril sa braguette.
— Et bien dis donc ça te fait de l’effet ce que je te raconte. — Je crois plutôt que c’est toi qui me fait de l’effet.
Anne se leva alors et s’approcha du sexagénaire puis elle s’agenouilla à ses pieds, dégraffa son pantalon et descendit sa braguette faisant jaillir l’énorme braquemart de sa prison d’étoffe avant de l’emboucher. Le mari de Gigi se laissa faire les yeux clos appréciant en silence la technique affirmée de la jeune beauté blonde. Quelques minutes plus tard, Anne sentit la sève d’Henri gicler dans sa bouche alors que l’homme devait se forcer pour étouffer ses grognements de plaisir.
Anne se releva, quelques gouttes de sperme aux commissures de ses lèvres avant de se pencher pour chuchoter à l’oreille du sexagénaire. — Viens dans ma chambre maintenant. Je veux que tu m’encules. Henri masqua sa surprise et prit la main que lui tendait Anne pour la suivre dans la pièce située à l’autre bout de la maison.
Ayant procuré à la petite fille de son épouse le plaisir anal qu’elle espérait après avoir tapissé ses boyaux des quelques gouttes de sperme que ses multiples éjaculations du jour n’avaient pas libérées, Henri allongé aux côtés d’Anne lui fit quelques révélations.
— J’ai été surpris quand tu m’as demandé de te sodomiser car ta grand mère m’a toujours refusé de la prendre de cette manière. — Tu veux dire qu’elle est vierge de ce côté ? — Peut-être... Je ne lui ai jamais demandé. — C’est peut-être ça la solution pour que vous continuiez à avoir le nombre de relations qui te sont indispensables. Il faut que je convainque mamy de te laisser l’enculer. Est-ce qu’elle te suce de temps en temps ? — Elle a essayé mais elle trouve que je suis beaucoup trop gros. Elle prétend que mon engin l’étouffe. — Dans ce cas, il n’y a plus que la sodomie qui peut t’aider. Tu la trompes souvent. — Beaucoup trop, avoua Henri. En fait j’ai une véritable addiction pour le sexe et je l’ai toujours trompée même à l’époque où nous baisions cinq ou six fois par jour.— Tu n’as jamais consulté de psy ? — Tu consulterais un psy pour ça toi ? Répondit Henri avec un petit rire. — Jamais de la vie. J’aime trop baiser! avoua Anne sans fard. — Tu as bien changé depuis la dernière fois, déclara Henri amusé— C’est vrai. J’ignorais tout du plaisir charnel il y a quelques mois, expliqua Anne.Tu n’as jamais eu envie de me sauter avant aujourd’hui ? lança t-elle alors.
— Tu plaisantes ! A chaque fois que je te voyais depuis que tu as eu l’âge requis, je ne pensais qu’à ça et il fallait que je baise ta grand mère toute la nuit pour évacuer cette idée. — Je pense que j’aurais adoré que tu me dépucelles.Henri prit un air horrifié.— Je crois qu’il vaut mieux éviter d’aborder sur ce terrain glissant. — D’accord. Je ne t’embête plus avec mes questions mais en contrepartie tu vas me sauter, déclara Anne en attrapant l’énorme membre d’Henri.
— Tu es encore plus insatiable que moi, ma chérie, s’exclama Henri conscient que Anne avait pompé toute l’énergie sexuelle qu’il était capable d’accumuler au cours d’une seule journée.— Ta requête me fait plaisir mais je suis complètement vidé et je pense que ta grand-mère risque de s’impatienter si je tarde trop à regagner notre chambre.
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Henri avait rejoint sa femme et son lit depuis plus de vingt minutes, mais Anne ne parvenait toujours pas à trouver le sommeil. Elle se remémorait les événements de la journée qui venait de finir et bien sûr elle s’interrogeait.
Pourquoi avait-elle pris l’initiative de sucer le mari de sa grand mère alors que cette dernière comptait justement sur elle pour raisonner son époux volage ?
Pourquoi avait-elle fait ce rêve improbable lorsqu’elle avait partagé le compartiment de train avec les trois jeunes types. N’aurait-elle pas dû changer de place pour éviter toute ambiguïté ?
Était-ce la saveur de l’interdit, la recherche d’émotion forte ou tout simplement la nymphomanie qui la poussaient à se mettre dans de telles situations? Beaucoup des trois vraisemblablement. "J’aime trop baiser" avait-elle avoué à Henri et pour sûr, il l’avait bien baisée tout comme le grand black dans son rêve d’ailleurs. À chaque fois, elle avait pris son pied et elle ne le regrettait pas même si elle n’avait pas intérêt à s’en vanter.Dans le temps, on brûlait les femmes pour moins que ça et de nos jours d’autres se font lapider à cause d’une relation hors mariage ou d’un simple refus de se plier aux lois patriarcales. "Qui est normal et qui ne l’est pas ?" pensa Anne un peu désemparée.
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Après un rapide passage sous la douche, Anne était descendue prendre son petit déjeuner à la cuisine. Mamy Gigi ecarquilla les yeux en découvrant la tenue de sa petite fille. La blonde sexy portait en effet des sandales en corde à talons compensés de onze centimètres, un mini short qui moulait son beau cul rond et sa fente intime et une chemise blanche dont elle s’était contentée de nouer les deux pans sur son nombril ce qui lui faisait un décolleté descendant jusqu’en bas offrant ainsi une vue quasi intégrale sur ses beaux gros nichons libres de toute armature.
— J’espère que tu n’as pas l’intention de sortir dans cette tenue! avait déclaré sa grand mère visiblement choquée. — Rassure toi mamy. Je l’aurais fait si nous étions en été mais en ce moment, il fait beaucoup trop froid. Je n’ai pas envie de tomber malade. Mais comme la maison est bien chauffée, j’en profite. — Je pense surtout que c’est Henri qui va en profiter lorsqu’il rentrera des courses. Puisqu’on en parle, comment s’est passé ton entrevue avec lui hier soir ? — Très bien. J’ai appris beaucoup de choses. Henri t’aime sincèrement et il n’a jamais envisagé de te quitter. — C’est bien joli tout ça. Mais est-ce qu’il me trompe? — Tu vas sans doute mal le prendre Mamy, mais Henri m’a avoué qu’il t’a toujours trompée même quand vous faisiez l’amour quatre ou cinq fois par jour.
Ghislaine accusa le coup silencieusement. Anne lui prit la main pour la réconforter.— Ne t’en fais pas. Il a juste des besoins hors du commun. Il vaut mieux ça plutôt qu’il t’impose de coucher avec toi si tu n’en as pas envie n’est ce pas? Gigi étouffa un sanglot.— Mais il peut faire autrement. Il n’a qu’à se masturber. — Mamy! Tu ne penses pas ce que tu dis. Tu as épousé un véritable étalon capable d’offrir un plaisir incomparable à de nombreuses femmes frustrées. Et tu voudrais qu’il utilise ce don pour se branler. C’est un peu égoïste non? Au delà de ça, je pense que tu devrais faire preuve de plus d’inventivité au lit. Porter de la lingerie sexy par exemple, le masturber toi même et accepter la sodomie aussi. C’est dingue que tu n’aies jamais essayé cette pratique avec Henri.
Gigi se mit à rougir. — Tu te rends compte de ce que tu me demandes! — J’essaie de trouver des solutions pour t’aider Mamy. Si tu n’acceptes pas qu’Henri te trompe, tu dois être en mesure de satisfaire ses désirs sexuels.
C’est le moment que choisit Henri pour rentrer du marché. — Et bien vous en faites une tête? Anne répondit la première. — Je viens d’avouer tes infidélités à Mamy. L’Homme blémit d’un coup pendant qu’Anne poursuivait. — Je pense qu’elle a pris conscience de la situation et qu’elle est prête à faire des efforts d’un côté ou de l’autre.
Malgré lui, Henri ne pouvait s’empêcher de mater les longues jambes nues et l’incroyable décolleté d’Anne et la belle blonde préféra s’éclipser avant qu’il se retrouve avec une gaule phénoménale qui n’aurait fait qu’envenimer la situation.
— Je vous laisse faire le point déclara t-elle. Mamy? est-ce que je peux utiliser ton téléphone ? — Bien sûr ma chérie. Vas dans notre chambre. Tu seras plus tranquille.
L’échange avec sa grand mère avait quelque peu excité Anne et elle aurait bien aimé qu’Henri la prenne sauvagement n’importe où dans la maison. Mais elle savait que désormais il n’aurait plus beaucoup d’occasions de se retrouver seul avec elle avant qu’elle retourne à Pau.
Elle décida donc d’appeler sa mère pour lui donner des nouvelles.Anne venait juste de raccrocher lorsque des sanglots lui parvinrent du salon. Elle descendit alors discrètement pensant trouver sa grand mère effondrée sur le canapé. Mais si Gigi était effectivement sur le canapé, c’était à quatre pattes avec l’énorme calibre d’Henri qui lui ramonait le fondement. Et ce que la jeune femme avait pris pour des pleurs bruyants étaient en fait les gémissements lascifs de sa grand mère qui découvrait avec un plaisir non feint les bienfaits de la sodomie.
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Anne avait décidé de rentrer chez elle un jour plus tôt que prévu. Elle était allée à la gare la veille en empruntant la voiture de sa grand mère afin d’échanger son billet pour le trajet du dimanche matin contre un autre pour voyager le samedi à la même heure.En effet, depuis que mamy Gigi avait découvert le plaisir procuré par la sodomie, Henri et elle n’avaient pratiquement pas cessé de forniquer. Finalement après avoir appréhendé pendant toutes ces années de recevoir le calibre d’Henri dans son fondement, il avait suffi à sa grand-mère de se faire péter la rondelle une première fois, pour qu’elle convienne volontiers que rien ne valait une bonne enculade pour remettre un peu de liant dans une relation qui se délitait inexorablement.En tous cas, ce changement de paradigme fut synonyme d’une vraie renaissance pour le couple constitué par Ghislaine et Henri. De fait, Anne se convainquit rapidement qu’en prolongeant son séjour dans la jolie maison landaise, elle risquait d’interférer avec la dynamique en cours.
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Peu désireuse de se retrouver seule en inquiétante compagnie, Anne avait, cette fois, fait le choix de voyager dans un wagon équipé de rangées de sièges. Lorsqu’elle monta dans le train, elle put constater qu’il était bien rempli et elle mit un petit moment avant de s’installer à une des places situées côté fenêtre.Quelques minutes plus tard, une jeune femme aux cheveux teints en blond, vêtue d’un blouson et d’un short en cuir, d’un collant résille et de chaussures Doc Martens vint s’assoir à ses côtés.
Lorsque Anne se tourna vers sa voisine, celle-ci poussa un cri de surprise.— Çà alors! Tu es Anne Leroy n’est ce pas ? attaqua la nouvelle venue. — C’est vrai. On se connaît ? — je suis Sandrine M. Nous étions en classe ensemble en seconde. — Ah oui! C’est vrai, je te reconnais maintenant. Mais tu as bien changé de look depuis cette époque, remarqua Anne. — Toi aussi dis moi. Tu es une vraie bombe maintenant.
Anne qui portait un pull décolleté, une jupe évasée, un porte-jarretelle et des bas opaques marrons ainsi que ses bottes à talons hauts en cuir beige foncé, rosit légèrement sous le compliment.
Les deux jeunes femmes discutèrent un bon moment se racontant à tour de rôle leurs parcours depuis la fin de la seconde. — Maintenant, je travaille dans un bar-restaurant à Bayonne, expliqua Sandrine. Je rentre le week-end pour retrouver mon petit copain biker. C’est le numéro deux d’un groupe de motards roulant en Harley et dénommé Bearn’s angels. — Mon copain aussi fait de la moto, déclara Anne. Il a une Honda. Un trail je crois mais je n’y connais pas grand chose. — Les possesseurs de Harley n’aiment pas trop les motos japonaises tu sais... crut bon d’indiquer Sandrine— Comme je te l’ai dit, je ne connais pas grand chose à ce milieu, avoua Anne. Mais j’aime bien faire de la moto avec mon copain. Je trouve que c’est très grisant et même plutôt aphrodisiaque, précisa t-elle avec un petit sourire. — C’est encore plus vrai pour les pilotes de Harley qui sont plutôt machos, confirma Sandrine. Je pourrais te présenter la bande ce week-end si tu as envie d’en savoir plus. — Pourquoi pas. Mon petit ami est justement parti en week-end moto avec ses copains. Je n’ai donc pas de projet particulier. — Génial! J’en parlerai à Alan le chef. Comme il s’est séparé de sa copine il y a une quinzaine de jours, il aura même une place sur sa bécane pour te balader si tu es intéressée. — Çà me plairait bien mais je n’ai pas vraiment de tenue appropriée pour faire de la moto, confia Anne. — Qu’est-ce ce que tu portes quand tu voyages avec ton mec ? demanda Sandrine pragmatique. — Jupe, pull, manteau en fourrure, gants en laine, cuissardes et le casque que m’a prêté Karim. — On fait à peu près la même taille. Je pourrai te prêter mon deuxième blouson de cuir que tu mettras à la place de ton manteau. Pour le reste tu ne changes rien. Sandrine communiqua ensuite son adresse à Anne et lui proposa qu’elle vienne la retrouver le soir même chez elle à six heures et demie.
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Alan avait 38 ans. C’était un grand type musclé et tatoué avec la chevelure et la barbe du guitariste de ZZ Top. Il ne cacha pas son intérêt pour la belle plante blonde en cuissardes que venait de lui présenter Sandrine la petite amie de son lieutenant Franck. Et très vite, il se comporta en terrain conquis avec elle la prenant par la taille et la touchant à la moindre occasion. Comme Anne n’était pas insensible à la force dégagée par le mâle Alpha, elle se laissait tripoter sans déplaisir. Si bien qu’après une demi heure passée dans un pub du centre assise à côté d’Alan, celui-ci commença à rouler des pelles à la belle blonde et à explorer les dessous de sa jupe découvrant avec un vif intérêt les dessous sexy de la jeune femme qui lui sembla plutôt encline à approfondir ces échanges prometteurs.
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Anne n’avait pas vraiment l’habitude de boire des boissons fortes et le Bourbon ajouté aux joints qu’elle avait testés, non sans quelques quintes de toux, pour la première fois de son existence, l’avaient entrainée à faire des choses qu’elle n’aurait pas forcément cautionné deux jours plus tôt. Ainsi lorsque toute la petite bande s’était retrouvée dans une alcôve discrète d’une boîte de nuit, elle avait laissé Alan lui retirer sa culotte avant qu’il la doigte à loisir sans même prendre la peine de retirer sa grosse chevalière. Anne avait aussi mis beaucoup d’énergie à sucer la longue queue incroyablement épaisse du biker sans se soucier des regards du reste de la troupe.Ils repartirent tous peu avant deux heures du matin, vers le QG des Bearn’s Angels, une petite ferme abandonnée que la bande avait aménagée avec de vieux matelas et du mobilier de récupération. Anne avait apprécié la balade dans la forêt collée à son pilote qu’elle avait entouré de ses bras pour avoir le plus chaud possible. Tandis que Franck allumait un bon feu dans la vieille cheminée de la bicoque, Sandrine prit Anne à part pour lui expliquer qu’elle allait devoir se prêter à l’épreuve d’intégration qui lui permettrait de faire partie de la bande elle aussi. — Ah bon et de quoi s’agit-il? avait demandé la beauté blonde légèrement inquiète. Sandrine lui détailla les différentes phases du processus concernant les filles.— D’abord tu devras sucer tous les mecs de l’équipe en public. Ensuite Alan et Franck t’améneront dans une chambre pour te baiser en même temps. Alan te prendra la chatte pendant que Franck t’enculera. Enfin tu devras venir t’allonger nue sur le sol et accepter qu’une des filles te pisse dessus.Anne avait pâli au fur et à mesure de l’énoncé des diverses épreuves.— Et si je refuse ? — Aucune fille n’a jamais refusé l’honneur d’intégrer la bande. — Toi? Tu as fait tout ce que tu viens de me raconter ?— Bien sûr. Franck ne m’aurait pas garder comme petite amie si je n’avais pas passé l’initiation. Et les autres filles ne seraient pas là ce soir, elles non plus, si elles s’étaient défilées.
Anne jeta un coup d’oeil à Cynthia une jolie brunette mince aux formes discrètes, à Magali une jeune femme brune, elle aussi, mais dotée de rondeurs nettement plus plantureuses et enfin à Eli une rouquine au visage d’ange plutôt plate et aux membres très fins. Elle essayait de les imaginer en train de sucer un à un les hommes présents avant de se faire enfiler par l’énorme bite d’Alan se demandant notamment comment Eli avait pu accueillir un aussi gros engin entre ses cuisses maigrichonnes.— Qui choisit la fille qui doit pisser sur la candidate ? demanda alors Anne.— C’est le chef mais tu as de la chance car si tu deviens sa nana cette nuit et ça semble bien parti pour, il t’épargnera peut être cette dernière épreuve.
Anne était partagée entre excitation et répulsion mais elle finit par accepter de passer l’examen d’intégration. Sandrine prit alors la parole pour s’adresser au groupe. — Écoutez moi tous. Nous allons bientôt compter un membre de plus chez les Bearn’s angels. Anne a accepté de passer le Rite d’initiation.
Les filles applaudirent et se levèrent pour laisser le champ libre aux hommes assis. Sandrine aida sa copine de classe à retirer son pull et sa jupe et rapidement Anne se retrouva uniquement vêtue de ses bas, son porte jarretelle et ses cuissardes prête à commencer sa série de pipes. Tous les gars étaient plutôt bien équipés et la jolie blonde commença par sucer Jacky dont la queue courbée vers le haut était surmonté d’une gros gland violacé. Vint ensuite Marco le moins membré de l’équipe puis Jacky, Jeanlou et pour finir Franck le numéro deux dans la hiérarchie mais aussi au niveau de la grosseur de sa queue. Alan avait en effet été exempté car Anne l’avait déjà sucé dans la boîte de nuit. Seul Franck se vidangea dans la bouche experte d’Anne, les autres se contentant d’éjaculer sur les beaux gros seins de la blonde après qu’elle ait pompé à tour de rôle le noeud de chaque mec pendant quelques minutes.
Après ce tour de table, le chef se leva et donna la main à sa conquête qu’il emmena dans la chambre. La jolie blonde aida le mâle à se foutre à poil tout en lui roulant des pelles et lorsqu’il fût nu, elle le suça pour lui donner de la vigueur avant de venir s’empaler sur le dard ventru attendant qu’Alan la saisisse par la taille pour l’aider à coulisser sur le pieu dressé. Franck qui venait de les rejoindre les regarda copuler en se déshabillant avant de se branler pour raidir sa queue qu’il n’allait pas tarder à venir planter dans le fion accueillant de la future membre des Bearn’s angels. Les gémissements d’Anne montèrent d’un coup en volume lorsque les deux tenons furent fichés dans ses orifices. Les deux mâles accélèrent le mouvement ne s’arrêtant que lorsqu’ils déchargèrent leur semence dans les fourreaux malmenés de la beauté blonde qui enchaîna les orgasmes jusqu’à ce que les deux bikers s’immobilisent. Anne s’écroula alors sur le torse puissant d’Alan éjectant par la même occasion la queue de Franck de son trou du cul. Alan caressait tendrement les cheveux de la jeune femme tout en déposant de petits baisers sur son front. Franck s’éclipsa alors laissant son copain terminer sa nuit seul avec Anne. Après un dernier coït au cours duquel Alan encula à son tour sa maîtresse avant de la baiser en levrette, les deux amants s’endormirent épuisés.
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Après le réveil et le petit déjeuner improvisé par deux membres du groupe partis faire le plein chez le boulanger le plus proche, Anne était montée sur la moto d’Alan qui l’avait emmenée chez le tatoueur patenté de la bande accompagné par Franck et sa copine Sandrine. Anne avait désormais deux belles ailes d’ange tatouées en bas de ses reins à la naissance de sa raie culière. Et lorsqu’Alan lui avait suggéré de se faire percer les tétons pour y fixer de fins anneaux en or, elle ne s’était pas défilée. — Pour le moment tu évites d’accrocher quoi que ce soit avait conseillé le tatoueur. Lorsque ce sera bien cicatrisé tu pourras porter une chaîne de poitrine ou tout ce qu’il te plaira d’attacher à tes magnifiques nibards.
En fin d’après-midi, la jeune femme blonde avait retrouvé toute sa lucidité mais elle ne renia pas pour autant son tatouage et ses piercings tout neufs. Elle estimait même qu’avec un chemisier largement ouvert sur sa poitrine, une chaîne en or fixée à ses tétons serait du plus bel effet. Néanmoins elle refusa la proposition que lui fit Alan de devenir sa nouvelle SDS officielle. — Comme je l’avais dit à Sandrine j’ai déjà un petit ami, expliqua-t-elle au biker. Et je ne tiens pas à faire partie d’une bande. Je préfère garder une certaine indépendance comme tu as pu t’en rendre compte puisque j’ai accepté d’être ta maîtresse une bonne partie du week-end. — Dommage avait regretté le gars. T’es super bonne et plutôt classe. T’assures bien et tu en jettes quand tu es assise derrière moi sur ma bécane. Et c’est important pour un chef de bande d’avoir la nana la plus bandante et la plus classe. — Toi aussi Alan, tu assures. Sinon, je ne serais jamais sortie avec toi.— Et le fait que j’en ai une énorme à fini de te convaincre pas vrai ma chérie? reprit le gars en s’esclaffant.
Anne ne releva pas mais elle savait fort bien que le motard ne se trompait pas en faisant référence à son goût marqué pour les membres virils surdimensionnés.
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