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Les magasins associés.

Chapitre 9

Huitième semaine de stage.

Erotique
Mercredi, onze heures quarante-cinq. L’heure de fin de service approchait pour Anne.Mélanie, une vendeuse du rayon maroquinerie se dirigeait vers la jolie blonde pour lui rappeler qu’elle avait donné son accord pour venir manger chez elle en compagnie de deux autres filles qui terminaient elles aussi leur journée à midi.
En effet, le lundi précédent, Mélanie avait invité ses collègues à un déjeuner dans sa maison de Tarbes pour fêter son trente-deuxième anniversaire. Mélanie s’était faite embaucher aux Magasins Associés deux ans plus tôt.Elle avait été heureuse de retrouver cet emploi après plus de huit mois de chômage consécutifs à la faillite de la boutique où elle officiait comme vendeuse. Il s’agissait d’un magasin du centre-ville de Tarbes qui vendait des chaussures et de la maroquinerie de cuir. Malheureusement les affaires n’avaient cessé de décliner les dernières années et l’entreprise avait dû cesser son activité laissant le personnel sur le carreau.
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— Nous serons six filles, avait expliqué Mélanie à ses collègues après avoir reçu leurs réponses positives. — Il y aura Mathilde, ma soeur de vingt-trois ans, ainsi que Jeanne une copine tarbaise qui ne bosse pas le mercredi. Avec Mathilde, elles se chargeront de préparer le déjeuner et lorsque nous arriverons, nous n’aurons plus qu’à nous installer pour l’apéro.
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Anne était assise à l’arrière de la Renault à côté de Deborah, une brune assez forte aux cheveux courts, qui bossait à la comptabilité des Magasins Associés. Deborah avait trente-huit ans. Elle était mariée et mère de deux ados. Devant, outre Mélanie, se trouvait Christine, 37 ans. Divorcée depuis peu, elle était la mère de Cécile, âgée de douze ans, qui passait une partie des vacances scolaires et un week-end sur deux chez son père.Afin de pouvoir honorer l’invitation de sa collègue, Christine s’était arrangée pour que Cécile aille passer l’après-midi midi chez une copine.
Pour sa part, Mélanie était mariée à un chauffeur routier et elle avait deux enfants de six et sept ans dont s’occupait la plupart du temps sa mère, femme au foyer, pendant la semaine. — Nous préférons rester à Tarbes pour le moment même si je dois faire l’aller et retour cinq fois par semaine avait déclaré la vendeuse à ses copines. En effet, mes parents habitent à six cents mètres de la maison et ils peuvent garder les enfants. En général, Patrick ne bosse pas le week-end. C’est lui qui gère Kévin et Anita pendant que je suis à mon boulot le samedi. — C’est l’inconvénient dans la distribution, commenta Christine. On est souvent obligé de travailler le samedi. Heureusement qu’il y a la famille pour s’occuper des gamins.
— Et toi Anne ? demanda alors Deborah. Tu songes à fonder une famille quand tu auras ton diplôme. La jolie blonde répondit avec sa candeur habituelle. — Oh la la. J’ai bien le temps. Je ne suis pas pressée d’avoir des enfants. Pour l’instant, j’ai envie de vivre et de m’amuser. Avant de commencer mon stage, je pensais qu’à la fin de l’année scolaire, j’allais m’installer avec Aurélien, mon petit copain de l’époque. Mais, j’ai laissé tomber cette idée.
— Pourquoi? C’est fini avec Aurélien. — Oui et heureusement. Je suis passée à autre chose. — Si je comprends bien c’est toi qui a rompu. — Oui. Les filles étaient curieuses d’en savoir plus. — Et pourquoi? demanda Mélanie. — Pour plusieurs raisons: Il était casanier, moraliste et il préférait regarder la télé plutôt que de faire l’amour. — Ah bon. Il était comment au lit ? — Nul! lâcha Anne sans fioritures ce qui déclencha le rire chez les trois femmes. — Tu as un petit copain en ce moment ? demanda Christine. — Je sortais avec Karim le magasinier mais on a décidé de faire un break. — Ah bon! Pourquoi il est nul au lit lui aussi ? Demanda Mélanie. — Non, de ce côté ça va. Il assure mais il est un peu trop jaloux et possessif à mon goût et je préfère avoir ma liberté.— Tu as bien de la chance! lâcha Deborah. Profite pendant que tu es jeune. En tout cas, tu n’as pas peur de t’habiller sexy.
Avant de quitter les magasins réunis, Anne avait troqué sa jupe et ses bas contre un short moulant et un collant fantaisie qu’elle portait avec ses cuissardes, une chemise épaisse et sa veste en fourrure. — je suis d’accord avec Deborah. Tu es sacrément sexy. Il paraît que la mère Dalembre exige que les vendeuses du rayon lingerie portent des bas, C’est vrai ? demanda Mélanie.— En effet, avoua la jeune beauté. — Et ça ne te gêne pas ? — Pas du tout. J’adore ça. J’en porte très souvent même en dehors du boulot. En général, les hommes apprécient... à part Aurélien. Cette dernière remarque fit rire à nouveau les collègues d’Anne.
Le repas et l’après-midi passèrent très vite et l’alcool aidant, les filles se laissèrent aller à quelques confidences. Anne avait très vite sympathisé avec la soeur de Mélanie, Mathilde qui n’avait que deux ans de plus que la jolie blonde. Mathilde était brune mais physiquement, elle ressemblait beaucoup à Anne et elle était elle aussi très attachée à sa liberté.
Il était presque dix-sept heures et les collègues mères de famille étaient reparties à Pau par le train. Jeanne venait de quitter la maison à son tour et Anne avait profité de l’absence passagère de Mathilde pour poser une question plutôt indiscrète à son hôtesse.Elle voulait savoir si pour obtenir le poste de vendeuse aux Magasins Associés, Mélanie avait dû payer de sa personne. La jolie trentenaire avait rougi et fait une grimace à Anne qui lui avait expliqué en retour la raison de sa question. — Linda, qui est chargée de m’accompagner pendant mon stage, m’a raconté que Frachon n’embauchait aucune vendeuse si elle refusait de passer à la casserole. Je me demandais s’il t’avait fait le coup à toi aussi. Mélanie avait pris un ton empreint de colère pour répondre :— Bien sûr que ce salopard a voulu me sauter quand je l’ai vu après avoir passé mon premier entretien avec Madame Crespin, la responsable des accessoires de mode.La vendeuse renifla bruyamment avant de continuer. — Frachon n’avait pas mis de gants pour me faire comprendre ce qu’il avait derrière la tête. Il m’avait dit: "Ma collaboratrice m’a confirmé que tu devrais faire l’affaire pour la place de vendeuse. Il te reste juste un dernier examen à passer. Si tu veux le job, tu te rendras demain vers midi et demie à la Ferme des Gueux où j’aurai retenu une table pour deux et après le repas, je m’assurerai personnellement de tes compétences".— J’étais désespérée et je me suis confiée à Mathilde.
C’est à ce moment que la jeune soeur de Mélanie rejoignit les deux collègues des "Magasins Associés" dans le salon. La maîtresse de maison jeta un regard affectueux à Mathilde avant de se tourner à nouveau vers Anne. — Bien sûr ma petite soeur chérie m’a réconfortée et elle m’a proposé de se rendre au rendez-vous à ma place.
La jeune beauté brune eut un rire cristallin et relata sa rencontre avec Frachon à Anne. — C’était au mois de mai. Une très belle journée anormalement chaude pour la saison. Je portais des talons hauts, une jupe courte et un top dos nu très décolleté avec rien en dessous. Quand Frachon m’a vu débarquer, j’ai cru qu’il allait avaler son dentier. Mais ce salaud s’est vite repris. Je lui ai alors expliqué que ma soeur étant mariée et mère de deux jeunes enfants, il était hors de question qu’elle trompe son mari. Puis j’ai ajouté que moi, je voulais bien la remplacer s’il s’engageait à signer le contrat d’embauche de Mélanie le jour même. Il a bien sûr essayé de me la faire au sentiment mais j’ai été intraitable. Alors il a accepté le marché et je me suis lâchée. J’ai pris ce qu’il y avait de plus cher au menu et j’ai dû descendre au moins une demi bouteille de vin histoire de me mettre en condition. J’avais bien fait parce qu’après j’ai pris cher. Quand on s’est retrouvé dans la piaule et qu’il a déballé son matoss, j’ai cru halluciner. Ce type est monté comme un cheval. Un sacré baiseur, j’ai eu droit à la totale dans tous les trous et finalement je ne regrette pas cette partie de jambes en l’air parce que ce fumier m’a bien fait jouir.
Anne avoua alors aux deux soeurs qu’elle avait, elle aussi eu droit à la prestation de Frachon et qu’elle avait pris un pied d’enfer bien qu’il se fut comporté comme une ordure lorsqu’il l’avait sautée. — Croyez-moi, ce salaud m’a coupé toute envie de remettre le couvert avec lui, conclut-elle en faisant une moue horrifiée, ce qui fit bien rire Mathilde.
Les filles s’amusaient comme des petites folles et ce fut Patrick, le mari de Mélanie qui interrompit la fête en rentrant à la maison.Mélanie demanda alors à sa jeune collègue si ça l’intéressait de rentrer à Pau en camion taxi et l’idée ravit Anne toujours à l’affut de nouvelles expériences.Mathilde lui fit un clin d’oeil avant de déclarer :— Tu n’aurais pas le fantasme du beau routier par hasard, ce qui fit rigoler Patrick.— Mathilde est taquine, lâcha t-il, parce que la plupart du temps, les chauffeurs n’ont rien de très excitant.— À part toi bien sûr mon cher beau-frère, reprit Mathilde. Dommage pour Anne que tu ne sois pas libre. — C’est sûr qu’Anne tient plus d’un fantasme pour routier ordinaire que le contraire, confirma Patrick. Bon je vais quand même essayer de te trouver un beau mâle pour rentrer. Le maître de maison se rendit alors dans son atelier où il passa un appel avec sa CB pour essayer de contacter un chauffeur prêt à déposer la belle stagiaire à Pau.
Il finit par entrer en contact avec Marek, un chauffeur tchèque qui passait souvent dans le coin et qui accepta de conduire Anne jusqu’à Pau puisque c’était sur son itinéraire avant d’atteindre l’Espagne.
Le routier était arrivé un quart d’heure plus tard et avait attendu à l’entrée de la rue que la jeune femme le rejoigne.
Marek était un colosse blond d’un mètre quatre-vingt dix aux cheveux très courts. Malgré ses trente-cinq ans, il était vêtu à même la peau d’une large salopette en jean sous laquelle il ne portait visiblement aucun sous-vêtement. Les parois de sa cabine étaient tapissées de posters de femmes peu vêtues aux formes pulpeuses et une des filles exposées ressemblait étrangement à Anne. Sur la photo, la femme blonde aux gros lolos portait une chemise déboutonnée intégralement masquant tout juste ses tétons. Son short entrouvert laissait deviner la naissance d’une fente parfaitement épilée.
Après avoir salué la jeune beauté blonde qui venait de s’asseoir sur la place passager, Marek la regarda retirer sa veste en fourrure avant de lui indiquer le poster avec la fille ressemblant à la stagiaire. L’atmosphère particulière de la cabine fit mouiller légèrement Anne qui trouva le colosse aryen à son goût et le paquet dissimulé entre ses cuisses fort prometteur. — Tu seras plus à l’aise si tu défais les boutons de ta chemise, dit l’homme avec un accent de l’Est prononcé en démarrant le camion.
Anne lui fit un petit sourire coquin et s’exécuta entrouvrant largement les pans de sa chemise avant de baisser la fermeture éclair et d’écarter les côtés de son short dévoilant son pubis au chauffeur grâce au collant complètement ouvert au niveau du bassin. — Tu préfères comme ça ? Demanda Anne favorablement impressionnée par la bosse volumineuse qui venait d’apparaître au niveau de l’entrejambe de Marek. Le routier conduisit alors Anne sur un parking pour camions quasi désert où il se gara dans le coin le plus isolé avant de tirer les rideaux de la cabine. Débarrassée de son short et de sa chemise, Anne ne tarda pas à se retrouver étendue sur la couchette dans la position du missionnaire, avec un énorme rondin de chair aux nervures saillantes qui coulissait entre ses cuisses sur un rythme soutenu.
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Après plusieurs échanges téléphoniques avec la jolie stagiaire qu’il avait rencontrée aux "Magasins Associés" lors de ses vacances béarnaises, Dick Londar avait réussi à convaincre Anne de participer au film qu’il souhaitait tourner dans sa région natale et en particulier dans le studio qu’il s’était fait aménager dans le sous-sol de sa luxueuse villa de la banlieue paloise.
Pour conclure l’affaire avec la jeune beauté blonde, Richard avait pris le temps, lors d’un long échange téléphonique, de lui décrire le synopsis qu’il avait élaboré avec un de ses amis, scénariste professionnel pour la télévision.
     !************!Anne, une belle jeune femme blonde est étudiante en psychologie à l’université de Toulouse. Elle habite dans un deux pièces en ville avec Jérôme son petit ami. Jennifer, la tante maternelle d’Anne l’invite à passer une semaine à Pau pour préparer ses examens de fin d’année dans la grande maison qu’elle occupe avec Richard son compagnon. Richard dirige une agence immobilière à Pau et il lui arrive régulièrement de séduire certaines de ses clientes. Jennifer est quand à elle la maîtresse de Malcolm, le lieutenant de police qui a pris sa déposition quelques mois plus tôt lorsqu’elle a porté plainte pour attouchements et vol à l’arraché.Un jour, Malcolm se rend à la villa de Richard mais le couple est absent et il est reçu par Anne qui tombe immédiatement sous le charme du beau policier noir. La jeune femme lui offre un café et ils passent un moment à converser jusqu’à ce que Malcolm retourne à ses occupations professionnelles après avoir proposé à la jolie étudiante de lui rendre visite au Commissariat.Celle-ci s’y rend le lendemain peu avant la fin du service de Malcolm qui l’invite à dîner au restaurant. La jeune femme accepte de prendre un dernier verre chez Malcolm et ils couchent ensemble. De retour chez sa tante le lendemain, Anne qui ignore la liaison entre Malcolm et Jennifer lui parle de son aventure avec le policier. Jennifer est furieuse mais ne peut rien dire sans révéler son infidélité à sa nièce. La tante d’Anne se rend donc chez son amant dès qu’elle le peut pour une explication houleuse qui se conclut par la fin de leur relation après une ultime partie de jambes en l’air. Richard mis au courant par Anne de sa rencontre avec Malcolm propose qu’ils aillent tous les quatre pique niquer en forêt le lendemain. Le rosé coule à flot et bien vite l’ambiance devient très chaude. Jennifer est prise en levrette par Richard pendant qu’Anne suce Malcolm avant de se faire prendre en double par les deux étalons.     !************!
La stagiaire n’avait pas trouvé le scénario d’une originalité folle mais comme Richard lui avait assuré que les scènes de sexe ne représenteraient pas plus de 50% de la durée du film et que la réalisation serait de grande qualité, elle avait accepté de jouer le rôle de l’étudiante.
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Afin d’être pleinement disponible pour le tournage, La jeune femme blonde avait réussi à obtenir deux journées de congés auprès d’Irène Dalembre sa responsable aux "Magasins Associés" .
De ce fait, depuis le jeudi soir, les quatre chambres de la grande maison du roi du porno étaient toutes occupées. Richard partageait évidemment la sienne avec sa maîtresse. Son père, surnommé Riton, résident permanent de la grande maison, dormait avec la marraine d’Anne, Sandrine Péchenot qui avait fini par accepter l’invitation du sexagénaire à venir habiter avec lui. Il est vrai que plusieurs soirées de baise particulièrement jouissives avec Riton, après leur première rencontre, avaient convaincu Sandrine de faire un petit bout de chemin avec le vigoureux retraité.
Le cameraman et le preneur de son - accessoirement éclairagiste - occupaient les deux lits de la chambre d’amis tandis qu’Anne et Malcolm se découvraient mutuellement dans le grand lit à baldaquin de la chambre d’apparat.
Les premières scènes de sexe réunissant Dick et sa fiancée avaient déjà été filmées. Il en était de même pour la séquence dans laquelle Dick honorait une de ses clientes, jouée par Clarisse Bigass une actrice occasionnelle de la région.
Conformément au scénario, Malcolm Doublix, la star montante du X avait trois séquences de sexe à tourner.Celle avec Jennifer avait eu lieu en début de semaine. La première en intérieur avec Anne était programmée pour le samedi. Le dimanche était réservé pour les prises de vue du pique-nique qui devaient être réalisées en extérieur dans une belle propriété appartenant au député d’une circonscription voisine.
En attendant, l’acteur noir âgé de vingt-neuf ans et Anne, la nouvelle recrue avaient passé la plus grande partie des deux jours précédents à batifoler au lit. Malgré son inexpérience dans le cinéma pour adultes, la jolie blonde semblait très à l’aise devant la caméra lors des essais réalisés, mais Richard tenait néanmoins à ce que ses jeunes vedettes développent une véritable complicité afin que les scènes qui devaient les réunir soient le plus authentiques possibles.
En fait, dès les premières minutes de leur rencontre, un puissant courant s’était établi entre Anne et Malcolm et leur relation avait pris une tournure bien plus riche que celle réunissant habituellement deux partenaires de films pornographiques. Il est vrai que les deux jeunes gens formaient un très beau couple. Le corps élancé et la musculature parfaitement dessinée du grand noir à la coupe afro et la silhouette féminine aux formes épanouies de la belle blonde étaient esthétiquement très complémentaires.
C’est d’ailleurs une des raisons qui avaient amené Dick Londar à intégrer une séquence mettant en scène la belle plante blonde et le noir athlétique dans sa production. Les baisers tendres ou fougueux fréquemment échangés par les deux partenaires lorsqu’ils ne faisaient pas l’amour laissaient peu de doute sur le sentiment naissant qui les rapprochait peu à peu.
Anne avait constaté avec ravissement que Le plaisir physique que lui procurait Malcolm était décuplé par le trouble délicieux qu’elle ressentait lorsqu’elle se retrouvait dans les bras de l’étalon à la peau couleur d’ébène.
C’était d’ailleurs la première fois depuis ses dix ans que la jeune femme éprouvait un sentiment amoureux pour un garçon. Et sa marraine avait tout de suite identifié la nature du lien qui était en train de se tisser entre les deux jeunes gens.
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En revoyant les bandes qu’il avait filmées deux jours plus tôt, Richard longequeue comprit qu’il tenait là les plus belles scènes de sa carrière de producteur. Ce n’était pas de simples acteurs qui baisaient devant la caméra mais bien deux jeunes gens magnifiques follement épris l’un de l’autre et faisant l’amour comme si leur vie en dépendait.
"Ce film va être mon chef d’oeuvre" pensa le harder que le spectacle avait tellement ému qu’il n’avait pu se retenir d’éjaculer dans son caleçon en voyant Anne jouir au moment même où Malcolm libérait sa semence au fond de son vagin.
Il est vrai que pour ce film, le pornographe avait fait les choses dans les règles. Il avait notamment fait appel aux services d’un véritable scénariste pour se démarquer des productions médiocres habituelles, ces suites de coïts sans faveur, filmés à la chaîne par des techniciens démotivés sur des plateaux miteux aux éclairages blafards. Il y avait bien sûr le couple vedette constitué de Richard lui même et de son éternelle fiancée Jennifer Latrick, véritable cascadeuse du sexe qui n’avait jamais accepté d’être doublée même dans les scènes les plus périlleuses. Notamment, dans le film "Chaleur aux Caraïbes" où elle avait dû subir une double anale extrêmement risquée avec deux partenaires jamaïcains montés comme des alezans après avoir introduit une aubergine dans son vagin. Mais Jennifer entretenait son corps comme une athlète olympique et sa souplesse naturelle ainsi que l’elasticité de ses fourreaux intimes lui autorisaient des figures qui auraient eu des conséquences fâcheuses pour la plupart des femmes normalement constituées.
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Anne, ou plutôt Aliénor Marquis, selon le nom d’artiste imaginé par Richard pour sa jeune actrice, s’était vue confier trois scènes de sexe dans le film. La première avec Rudy Grochibre qui tenait le rôle de Jérôme son petit ami et que la jolie blonde devait sucer avant qu’il la sodomise. La seconde avec Malcolm lorsqu’il l’invitait chez lui (69 + levrette) et la troisième lors de la double pénétration avec les deux hommes lors du pique-nique qui marquait la fin du film.
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— Ta petite protégée est adorable et elle n’a pas froid aux yeux ni ailleurs. Telle était la déclaration qu’avait faite Jennifer à son compagnon après avoir assisté au tournage mettant en scène la jeune beauté blonde avec Rudy le second rôle masculin qui jouait le rôle de son petit ami étudiant. Il faut dire qu’Anne n’avait pas simulé son plaisir lorsque l’étalon lui avait ramoné le fondement de manière fort énergique.
— Je suis d’accord ma chérie, avait convenu Richard. En plus, tout comme toi, elle adore se faire enculer. J’ai aussi été surpris de la retrouver affublée d’un tatouage sur le bas du dos et d’anneaux d’or dans ses beaux gros tétons. — Ah bon, c’est une nouveauté ? s’étonna Jennifer.— En effet. Je suppose qu’elle a voulu associer un petit côté rebelle à son apparence de poupée blonde bien sage. Ça devrait plaire à nos spectateurs.Richard fit une pause avant de poursuivre. — Peu importe, comme tu le sais, Il faut que je pense à trouver une actrice digne de te succéder. Tu es toujours aussi bandante mais tu n’es plus toute jeune et même si les belles femmes matures font fantasmer les jeunes gens, la majorité de notre clientèle est avide de chair fraîche. — Tu sais qu’il n’y a pas que dans le porno qu’on jette les acteurs ayant atteint la date de péremption, conclut Jennifer avec philosophie.— C’est vrai ma belle. C’est pourquoi il est important que nous te trouvions une successeuse qui accepte de signer un contrat avec nous avant qu’un autre producteur nous devance. — En tout cas, avec Malcolm estima la star du X, ça se passe plutôt bien on dirait. Je ne l’ai jamais vu aussi heureux de baiser devant une caméra. — Tu as raison. Nous tenons peut être avec eux, le couple qui fera oublier Dick Londar et Jennifer Latrick aux amateurs de porno.
— C’est bien possible mon chéri lâcha Jennifer avec une pointe de nostalgie dans la voix. Je vais regretter tous ces gang bangs auxquels tu m’as fait participer dans tes films. — Je ne m’inquiète pas trop pour toi ma beauté. Tu n’auras aucun mal à trouver de jeunes étalons pour t’honorer. — Chic alors! Je vais pouvoir échanger mon vieux mec de quarante ans contre deux de vingt, s’exclama Jennifer avant de se pencher vers son fiancé pour l’emboucher.
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