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Les malheurs (?) de l'avocat

Chapitre 3

Orgie / Partouze
VISITE A UNE HONNÊTE FAMILLE (SUITE)…
Luc reprend place à coté d’André ravi de ce qu’il interprète comme un encouragement. Odile et Martine se serrent l’une contre l’autre au milieu du canapé pour permettre aux deux garçons de s’asseoir. Comme à la fin de la première mi-temps, Jean glisse la main sous le tissu du chemisier. La jeune femme frémit mais ne contrarie pas la progression. Ce n’est que lorsque la paume enveloppe le mamelon qu’elle murmure : — S’il vous plait, pas devant mon mari. — Si vous ne bougez pas, il s’apercevra de rien, rétorque Jean à mi-voix sans ôter la main. — Oh ! Vous n’avez pas honte ? Malgré sa révolte de façade, elle tourne le buste pour faciliter la caresse et grogne de plaisir quand les doigts triturent le téton. Elle efface d’un froncement du nez le faible remord qui l’effleure. Son mari, dont la main s’approche sournoisement de la bosse du sexe de Luc, est mal placé pour lui reprocher sa conduite. Elle peut s’octroyer ce petit plaisir, André n’avait qu’à pas la délaisser ces derniers temps. Marc se bat avec la jupe de Martine et tente, sans succès au début, de passer dessous. Ah ! Enfin ! Il touche la peau satinée et remonte le long de la cuisse. La jeune fille ne bloque la main que lorsque les doigts tentent de glisser sous la culotte. Ce n’est pas l’envie qui lui manque, mais la proximité des parents l’empêche de se laisser aller. Un mouvement du chemisier d’Odile l’alerte. Jean pelote la poitrine de sa mère qui ne fait rien pour l’empêcher ! Et devant son père en plus ! Un regard vers celui-ci accroit l’étonnement de la jeune fille : André caresse le sexe de Luc par dessus le pantalon. Oh mais ça change tout ! Puisque ses parents donnent l’exemple pourquoi se priver ? Quelle meilleure occasion de vérifier si les garçons caressent aussi bien qu’Ingrid ! Elle écarte un peu les cuisses ce dont Marc profite sur le champ. La poitrine de sa femme et la vertu de sa fille ne sont pas les préoccupations actuelles de l’avocat. Que ne donnerait-il pas pour isoler Luc ! Il rêve qu’à la fin du match les copains s’en vont et que le garçon reste. Il enverrait Odile et sa fille se coucher prétextant l’examen de cas d’école et là… Un gros soupir soulève sa poitrine. Un coup d’œil à l’autre canapé, tous semblent fascinés par le match. Placé comme il est, en léger retrait par rapport à sa femme, ses faits et gestes passeront inaperçus pourvu qu’il reste discret. A travers le tissu du pantalon, il empoigne la verge dont il éprouve la raideur. S’il osait, il ouvrirait la braguette et introduirait les doigts… En se levant, Martine le surprend. La main sur le sexe convoité, il n’ose bouger de peur d’attirer l’attention. — Où vas-tu ? interroge Odile.— Je reviens tout de suite Maman. Elle sort sans un regard à son père. Celui-ci se persuade que ni sa fille ni sa femme n’ont remarqué son geste et reprend la caresse interrompue. Cela fait sourire Marc : Quoiqu’en dise son copain, c’est mal parti pour venger les stagiaires, c’est plutôt l’avocat qui va faire une victime de plus ! Ma foi si ça plait à Luc c’est son problème, il ne le savait pas de l’autre bord. Lui, il se contentera de la fille qui, il en est sûr, ne le laissera pas tomber. Jean met le nez entre les seins. Odile l’attire contre elle. — Non pas ça ! L’exclamation d’André les fait sursauter. Ils s’écartent avec confusion, la tête tournée vers l’autre canapé. Un même soupir de soulagement s’exhale de leurs lèvres. L’avocat s’adresse à Luc et non à eux. Odile ne voit pas très bien ce qu’ils font mais comprend que les événements ne se déroulent pas comme le souhaite son mari. Il a trouvé son maître et pour une fois, ne dominera pas. Elle en éprouve une intense satisfaction. C’est le moment d’en profiter ! Elle presse la figure de Jean contre sa poitrine. Le garçon happe un téton et le suce la faisant gémir de plaisir : il y a longtemps qu’on ne lui avait pas caressé les seins de la sorte ! Sur le canapé deux places, la situation a changé. André à qui l’apparente docilité de Luc fait perdre toute mesure, a tenté d’ouvrir la braguette pour prendre le sexe entre les doigts. A sa grande surprise, le garçon, au lieu de profiter de l’aubaine, a écarté la main et dégrafé la ceinture de l’avocat déclenchant l’exclamation. Loin de se laisse intimider, le jeune homme insiste et commence à ouvrir le pantalon. Sa brusque détermination laisse André pantois et désemparé. Il contemple comme si cela ne le concernait pas la fermeture éclair coulisser et une main décidée s’engouffrer dans l’ouverture. Un soupir qui mêle frustration et plaisir s’échappe de ses lèvres lorsque les doigts empoignent la verge. Luc indifférent aux états d’âme de l’avocat dégage la queue de sa gangue de tissu. André jette un coup d’œil affolé autour de lui. Personne ne semble remarquer ce que fait le garçon, ce n’est pas le moment d’attirer l’attention. Il enrage que sa femme se fasse peloter par ce godelureau, il est vexé de subir ce qu’il voulait imposer mais la caresse de Luc lui ôte toute velléité de rébellion. Avec un soupir, véritable aveu de défaite aux oreilles de son tourmenteur, il se tourne à moitié pour se cacher de l’autre canapé. Martine reprend place. Elle soulève haut la jupe pour s’asseoir. Marc déchiffre le message et pose tout de suite la main sur la cuisse avant que le tissu ne retombe. Il étouffe un cri de surprise en découvrant la moiteur du sexe nu. La coquine a quitté sa culotte ! Il n’a plus de crainte pour la suite de la soirée ! Il mordille l’oreille tout en introduisant un index fureteur. — Aaah ! — Qu’est-ce que tu as ma fille ? interroge Odile. — Ri… Rien. Elle avance sur le siège pour faciliter la caresse. Encouragé Marc ajoute un deuxième doigt que la jeune chatte absorbe sans difficulté. A coté, Jean ouvre le corsage d’Odile et embrasse et patouille tour à tour les deux seins. La jeune femme veut le remercier. Sa main part à la recherche du sexe du garçon. Elle est étonnée de trouver la braguette ouverte: Jean avait discrètement pris cette précaution. Après une seconde d’hésitation, elle farfouille et referme la paume sur un barreau de chair ferme et tendre à la fois. Luc enveloppe la verge de ses doigts et décalotte le gland. André retient un gémissement. Il regarde le bout du sexe émerger du poing comme si ce n’était pas le sien. Le méat en s’ouvrant semble lui sourire. « Est-ce que mon sexe ressemble à ça quand il entre dans le cul de Joseph ? » Il rougit de cette pensée. Il n’en revient toujours pas de tolérer la caresse. C’est lui qui devrait la faire ! Il n’a pas la force de se rebeller et ferme les yeux pour emprisonner le plaisir qui envahit son bas ventre.
Odile réprime un hoquet de surprise en découvrant que Luc masturbe son époux (« Comment André ose-t-il ? Devant moi et sa fille en plus ? »). Elle rougit : Et elle ? Que fait-elle en ce moment ? Le parallèle de leur situation la fait ricaner. Le mari et la femme caressés par des étrangers l’un devant l’autre ! Jusqu’où leurs visiteurs les mèneront-ils ? Tel que c’est parti, on peut tout imaginer. Elle espère que la présence de Martine à leurs cotés empêchera André d’aller trop loin. Elle, elle ne sait pas si elle en aura la force… Un mouvement de la jupe de sa fille l’alerte. Que lui fait le garçon ? Serait-elle aussi victime des jeunes gens ? Victime ? Elle n’en donne pas l’impression, les yeux fermés, un rictus aux lèvres savourant la caresse. Quelle honte ! Odile va réagir mais un suçon plus appuyé de Jean brouille son sens moral. Martine est majeure à présent. Si sa fille ne se défend pas elle n’a plus à le faire à sa place se convainc-t-elle. A présent, ni elle ni son mari ne sont responsables de ses faits et gestes et à son âge elle avait déjà découvert le plaisir. Puis, si elle fait du scandale, quelle sera l’attitude d’André ? Peut-être renverra-t-il les garçons la privant d’une douce caresse sur la poitrine. Elle appuie la figure de Jean contre son sein, succombant aux baisers avec un délicieux sentiment de culpabilité. Marc s’amuse à titiller du pouce le petit clitoris. — Aa-ah ! Ou-ouiii ! — Qu’est-ce que tu as ma fille ? interroge son père. — Ri-rien. Oh ! Regarde !… Il va marquer ! Non… Si !… Ouiiii ! — GOOOL ! crie Odile ravie. — Ce… Ce n’est que jus… Justice, bafouille André sous la caresse de Luc. Ça fait un moment que la France domine. Odile a compris que Marc est responsable de l’émotion de sa fille. Elle est persuadée maintenant que rien n’arrêtera les garçons. Comment cela va-t-il finir ? Une baise collective ? Elle sera incapable de s’y opposer. Pourvu qu’elle y prenne du plaisir… — Il faut marquer le coup, décide Luc. Il fait lever André. Surpris, celui-ci n’a pas l’idée de retenir son pantalon qui glisse sur les chevilles. — Pourquoi cesses-tu la care… Euh… Je veux voir la suite du match, corrige-t-il vexé de son aveu. — Mais oui, mais oui, sois tranquille… Marc, s’il te plait, aide moi. Le garçon abandonne un instant la jeune fille. — On tourne le canapé dans l’autre sens. — Mais je ne verrai plus rien ! s’inquiète l’avocat. Il est trop perturbé pour se réajuster. Les yeux de Martine s’agrandissent en apercevant le gland violacé émerger du slip, mais elle s’abstient d’émettre une remarque. — Mais si tu verras, le calme Luc. — Je ne comprends pas. — Tu comprendras… Viens ici. Mâté, André obéit. Luc le force à s’agenouiller sur le canapé les bras sur le dossier. Il ne rouspète même pas lorsque Luc le débarrasse du pantalon et du slip. Il devine ce qui l’attend : Luc va le sodomiser, il subira ce qu’il rêvait d’infliger. Cette constatation au lieu de l’effrayer le soulage. Il va enfin découvrir ce que ressent Joseph. Ce ne doit pas être si terrible puisque le stagiaire le réclame à chaque occasion. La seule chose qui le tracasse c’est que sa femme et sa fille assistent mais c’est insuffisant à le faire fuir. Il est satisfait de la nouvelle disposition du canapé qui leur cache ses fesses nues. Cela n’empêche pas Odile de juger de la situation. — Il va se faire enculer mon mari ? Jean lève la tête de la poitrine. La position de l’avocat est sans équivoque. — C’en m’en a tout l’air. Ça te gêne ? — Euh… No-non… Non ! Pas du tout ! Oh ! Que fais-tu ? Le garçon ôte le chemisier des épaules de la jeune femme. Elle se défend sans conviction. — S’il te plaît, mon mari peut voir. — T’occupe ! Il a d’autres préoccupations. Martine n’a pas le temps de se poser des questions sur la tenue de ses parents car Luc l’interpelle. — Martine mon chou, viens t’agenouiller à coté de ton père. Marc sourit : en avant pour la baise finale ! La jeune fille s’installe. Elle échange avec André un sourire qui réchauffe le cœur de l’avocat. Toute honte bue, malgré sa position humiliante, il est heureux qu’elle soit là, à ses cotés, comme elle aurait du l’être dans la salle de bain il y a deux mois… Cela lui donne le courage de tenter d’infléchir ses tortionnaires. — Que nous voulez-vous ? — T’en as pas une petite idée ? rétorque Luc. — Oh ! Pas ma fille, je vous en supplie. Elle est vierge. Pitié ! — Cette blague ! — Elle n’est jamais sortie avec un garçon, approuve Odile. N’est-ce pas Martine ? — Ça m’étonnerait, intervient Marc que ses investigations digitales ont renseigné. Martine prend la main de son père. — Euh… Papa… J’ai joué avec Ingrid. — Drôle de nom pour un mec ! — C’est notre fille au pair, renseigne André. Qu’est-ce que vous faites toutes les deux ? — Elle m’a montré avec un god… Euh… Un jouet en plastique. — Quelle honte ! Je vais la renvoyer celle-là ! Luc glisse la main entre les fesses. — Hé ! Oh ! Vous règlerez vos problèmes domestiques plus tard, quand nous serons partis. On a autre chose à faire. Marc soulève la jupe sur les hanches dévoilant le postérieur. Un cul bien proportionné, ferme et doux à la fois, pas trop volumineux, comme il les aime. — Il ne va pas lui faire du mal ? s’inquiète Odile. — Marc est un vrai gentleman, tu peux lui faire confiance, rétorque Jean qui s’est déshabillé entre temps. Il promène le gland sur les tétons tout fripés. — J’aimerais te faire l’amour entre les seins, tu veux bien ? — Tu veux jouir sur ma poitrine ? — Oui, rien ne me ferait plus plaisir. — Je… Je l’ai jamais fait, murmure-t-elle. — Tu verras ce n’est pas difficile. Il la fait s’asseoir sur les talons les jambes serrées et s’installe à califourchon sur les cuisses, le bas ventre à hauteur de la poitrine. — Tu vois la télévision comme ça ? — Oui, je peux suivre le match. Comment faut-il faire ? — Je place ma queue entre tes seins… Là tu vois ?… Maintenant serre tes nichons l’un contre l’autre… Oui… Aah ! Jean pistonne plusieurs coups. — Ça va ? s’inquiète-t-il. — Oui, mais toi tu ne vois rien. — Aucun problème, le spectacle que j’ai sous les yeux compense largement. Marc extrait de sa poche deux préservatifs avant de quitter son jeans. Il en tend un à Luc. Les deux garçons recouvrent leur verge puis grimpent ensemble sur le canapé qui gémit sous le poids supplémentaire. — Écarte les cuisses et pointe ton cul… Allez ! ordonne Luc. L’homme hésite. Ils sont tous les trois victimes de jeunes débauchés sans scrupule qui vont abuser d’eux. Son rôle de père de famille exigerait qu’il prenne la défense de sa femme et de sa fille. Mais il n’en a plus la force. C’est au début qu’il fallait se manifester, pas maintenant quand il est trop tard, se justifie-t-il pour excuser sa faiblesse. En plus aucune ne réclame de l’aide. Avec un soupir à fendre l’âme, il obéit à son tourmenteur. Un gémissement de plaisir en provenance de l’autre canapé lui fait tourner la tête vers sa femme mais Martine et Marc lui bouchent la vue. Qu’est-ce que l’autre énergumène fait à Odile ? Elle n’a pas l’air de se plaindre, ni sa fille à coté de lui. Luc introduit le doigt. — Meuhhh ! gémit sa victime. — Cesse de faire l’andouille, je te fais pas mal ! — Ne me faites pas mal non plus, quémande Martine à qui Marc caresse le sexe entre les jambes écartées. — Mais non ma jolie, mais non. — Pas dans le cul, dites, vous promettez ? — C’est ton joli petit con que je vais baiser, t’es d’accord ? Ces paroles font mal à André, les gémissements provenant du canapé voisin aussi. Il se traite de lâche mais ne réagit pas. Tout son être, toute son énergie est accaparée par le doigt qui va et vient dans son cul. Oh ! Il s’en va ! André regarde derrière lui : Luc prépare sa pine. — Marc, prête-moi de la mouille, rien de tel pour lubrifier. Celui-ci introduit le doigt dans le vagin et tourne pour l’enduire sous toutes ses faces. Martine se tord sous la caresse. — Ouiii ! — Tiens Luc, approche que je te badigeonne. Il tartine le latex. — Merci, ça suffit ! Luc se positionne derrière l’avocat. Il tient sa queue d’une main et de l’autre tente d’écarter les fesses. — Tu veux bien m’aider un instant. Marc qui s’apprêtait à embrocher Martine s’empresse à son secours. Il tire sur l’autre fesse sous le regard intéressé de la jeune fille. — Aaah ! gémit André. — Ouiiarrghh ! répond Martine en écho quelques secondes plus tard, quand la verge de Marc écarte à son tour les muqueuses. Odile regarde le gland surgir entre ses mamelons. Jamais une caresse sur la poitrine ne lui avait fait cet effet. Elle serre les seins l’un contre l’autre. — Ouiii ! gémit Jean. Luc farfouille devant André. Il empoigne la queue vibrante et la masturbe au rythme de ses coups de rein. — Meuhhh ! — Tu… T’as pas mal… Papa ? — Ssssh ! Marc s’amuse à chatouiller le clitoris de la jeune fille. — Ooooh ! — Qu’est-ce… Qu’il y a… Ma chérie ? interroge sa mère. — Rien… Rien… Tout… Tout va bien. Non rien ne va pour André, il se fait enculer, sa femme et sa fille se font baiser et il ne peut que subir ! Il prend la main de Martine et la serre convulsivement. Luc et Marc coordonnent leurs mouvements. — Han !… C’est bon, une pine dans le cul… Hein mon gros ! … Han ! — Beuuhh !… — Hein que c’est mieux… Qu’un gode ! — Aah ! … Ouiii ! — Han !… Tu voulais m’enculer… — Arggh ! — Une bonne grosse… — Ouiii ! — Avoue que… T’aime ça, te faire… Trouer la rondelle. — Arggh ! — Queue bien vivante… Dans la chatière. — Ouiii ! Jean les accompagne. Odile est fascinée par le gland qui pointe entre ses seins. Elle baisse la tête et donne un petit coup de langue timide sur le méat lorsqu’il apparaît. — C’est ça… Ouiii ! … Serre-la bien… Entre tes nichons… Aah ! La pièce s’emplit de gémissements. Les trois garçons échangent un regard de triomphe. Ils ont réussi dans leur entreprise : apporter la joie et l’animation dans une honnête famille.
Personne ne remarque la porte du salon pivoter sans bruit. Une jeune fille en brassière et mini jupe s’encadre dans l’ouverture. Elle sourit au spectacle des trois couples en pleine action : Enfin il se passe quelque chose d’intéressant dans cette maison ! Elle n’en espérait pas tant quand elle a saupoudré d’aphrodisiaque le repas du soir. La visite des trois jeunes gens est une bénédiction ! — Vous amusez beaucoup je vois.
A suivre…
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