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Les malheurs (?) de l'avocat

Chapitre 6

Hétéro
LA FILLE AU PAIR (SUITE)
Le matin, Ingrid prépare le petit déjeuner comme si rien ne s’était passé. André habillé s’installe à table. Ingrid le sert. — Ton Gérard est encore là ? — Non, MON Gérard est parti tôt ce matin. Tu dormais, j’ai demandé il ne fait pas de bruit. — Je te remercie. — Quand Odile revient ? — Pourquoi ? Tu as tellement hâte de refaire ensemble vos cochonneries ? — Oh ! Ça va ! Je ne peux plus demander des nouvelles des habitants de la maison… — Excuse-moi, je n’ai pas bien dormi. Je lui téléphone tout à l’heure…
Au bureau, André éconduit Annie et Joseph qui se disputaient pour entrer avec lui. Il a besoin d’être seul pour téléphoner à sa femme. Les débuts sont difficiles. Il ne peut s’empêcher de lui reprocher ses coucheries avec Ingrid et son comportement avec les jeunes gens lors de la soirée. Elle contre-attaque en brocardant ses penchants pour les jeunes stagiaires, des deux sexes précise-t-elle. André respire un grand coup et se calme. Il n’a pas l’intention de quitter Odile. Il faut éviter de lancer des paroles irréversibles. Elle se calme à son tour. Il l’engage à revenir. Il promet de ne pas l’empêcher de rejoindre la fille au pair si cela est nécessaire à son équilibre, pas trop souvent quand même. Il soupire de soulagement au rire que cette dernière boutade déclenche chez sa femme. Dans ces conditions admet-elle, elle l’autorise à rendre visite, de temps en temps pas plus, à la jeune fille et promet son retour le lendemain. André contemple le combiné qu’il vient de raccrocher. Ni lui ni Odile n’ont fait allusion à l’étreinte avec Martine. Il en est soulagé. Par contre qu’est-ce qu’Odile trouve à Ingrid ? Plutôt que de se priver de ses caresses elle l’encourage à coucher avec ! Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd ! Sa femme ne rentre que demain, il a toute la nuit pour lui ! Une ride de contrariété barre son front : Que faire si Gérard est présent ? Tant pis pour Gérard ! Ce n’est pas ce mal élevé qui contrariera ses projets, il le subira si nécessaire pourvu qu’il ne l’empêche pas de baiser la fille au pair !
Gérard n’est pas là. Ingrid consciente d’avoir poussé le bouchon un peu loin la veille, multiplie les prévenances. Après le repas, elle entraîne l’avocat au salon et commence à le mignarder. André ravi se laisse cajoler. Les mains de la jeune fille papillonnent sur son corps, il s’efforce de lui rendre la monnaie de la pièce et quelques minutes plus tard, il a la joie de pourfendre la jolie fille sur le canapé qui a vu Odile aux prises avec Luc…
Satisfait d’avoir fait l’amour, l’air béat, le sexe en berne, il contemple d’un œil vide la télévision qui s’époumonait en pure perte. — Ben vrai ! Je ne m’étonne pas que ton femme cherche le plaisir avec moi ! La remarque acerbe d’Ingrid lui fait l’effet d’un coup de massue. — Qu’est-ce que tu as ? Ce n’était pas bien ? Je croyais que ça te plaisait. — Tu parles pour toi mon gros nounours, moi je n’ai pas eu le plaisir. Tu commences et Pout ! Pout ! Pout ! C’est fini ! Les femmes nous sommes plus longues à partir, nous ne sommes pas satisfaites. — Euh… — Tu n’as pas appris que nous aimons beaucoup les caresses, les baisers sur les parties du corps, toutes les parties, avant que tu entres ton… Euh… Comment il disait Jean ?… Ah oui ! Ton queue, ton zob. Ce n’est pas un peu de dedans et dehors de ton zob, qui nous donne le grand plaisir. André est désolé. — Euh…
— Est-ce que tu as embrassé ton femme en dehors de la bouche ? — Euh… Oui… Sur les seins… Avant… — Avant ? Ah oui ! Tu n’aimes pas ses gros seins, n’est-ce pas ? Tu es tort, c’est tendre, c’est doux. Odile adore la caresse sur la poitrine. Tu dois te souvenir et ne pas être comme un égoïste. André baisse la tête sous le reproche. — Et autre part ? Un baiser sur le sexe ? Tu as pensé ? — No… Non. Il n’est pas ignorant, il sait que cela se pratique, il a visionné des vidéos sur Internet, mais il n’a jamais osé, ni avec Odile, ni avec une autre femme. Ingrid le regarde avec commisération. — Je peux poser une question ? — Oui, vas-y. — Hier soir j’ai sucé toi, tu n’as pas aimé ? — Oh oui ! — Tu veux je refais ? — Euh… Il n’ose le demander mais Ingrid n’a pas besoin de son approbation, elle sait qu’il en meurt d’envie, comme tous les hommes. — Ben nous c’est pareil ! Si tu embrasses ma sexe, je sucerai après. — Euh… Je n’ai jamais fait… — No problème, je montre ! Ingrid écarte les cuisses et fait sortir le bouton du clitoris. — Tu vois ce petit morceau ? Tu prends entre tes lèvres… Tu vas ! Tu n’as pas peur, il ne mord pas… Oui… Yeee !… Tu mana… Aah !… Manages bien… Oui… Tu continues… Tu passes la langue dessus… Bi… Bien… Tu lèches autour… André a un mouvement de recul. — Si !… Mais si ! Tu arrives si tu veux… Aah !… Tu vois… Plus bas… Tu écartes avec tes doigts… Tu caresses avec la langue… Oui… Encore plus bas… Oui dans le petit trou… Si !… Tu enfonces le pointe de la langue… Aaah ! Que c’est bon !… C’est vraiment le première fois ?… C’est comme tu as fait toute la vie… Pris au jeu il poursuit la caresse labiale complétée par l’introduction du doigt. — Ouiii !… Ooh ton doigt !… Oui !… Tu conti… Aah !… Continues ! Oui !… Je… Je pars… Yeeess ! Elle serre les cuisses emprisonnant la figure d’André. Il est fier des tremblements qui agitent la fille au pair. Ingrid se calme. Prenant la tête de l’avocat entre ses mains, elle l’attire à elle pour un baiser profond. — Je remercie. Tu vois, tu es capable de donner un grand plaisir. — Euh… Je t’ai bien embrassé ? — Oui, mon gros nounours, je suis fière de toi, et ton femme aussi sera fière. — T’avais promis… — J’ai promis une grosse sucette ? D’accord, mais je veux que tu caresses en même temps. — En même temps ? Un 69 ? — Tu connais ? — Oui… Euh… Non, je ne l’ai jamais fait. — Eh bien ! Je vais faire le éducation. Ingrid se couche sur le dos, cuisses écartée et place André tête bêche au dessus d’elle. — Tu vas, mon gros. Tu fais jouir comme tout à l’heure. Tu lèches ma pussy, pendant que je suce ton zob. — Tu… Tu n’oublies pas ?… Aaah ! L’avocat retrouve sur le gland la douceur des lèvres qui l’avaient tant ému la veille. — Eh ! Tu n’oublies pas aussi ! Il plonge la tête entre les cuisses, mordille le clitoris et explore le vagin du doigt. — Mmmh ! Mu par une intuition soudaine, il caresse de l’ongle la rosette brune de l’anus. — Aaah ! Ouiii ! André sait ce qu’il doit faire et alterne les introductions dans les deux orifices avec les suçons du clitoris et le léchage de la vulve rose…
Ingrid s’essuie la bouche avec un mouchoir en papier. — Ben tu vois, Il n’est pas difficile… Je dirai à ta femme que tu deviens civilisé et que tu n’es plus égoïste. — Oh ! Tu vas lui dire ce qu’on a fait tout les deux ? — Bien sûr ! Je ne cache rien. Je suis pressée de dire que tu améliores. Je suis sûre que ça fera plaisir. — Euh… Je préfèrerais lui apprendre moi-même. — Tu es maladroit. Tu ne sauras pas trouver le mot qu’il faut. Il est mieux que je dise. — Tu… tu crois ? — Tu fais confiance… Bon, mais il est tard, il est temps de dormir… A demain mon gros nounours. André retourne pensif vers chambre. Pourquoi n’a-t-il pas proposé que la fille au pair le rejoigne ? Oh, fatigué comme il est il ne lui aurait fait aucun mal mais il aurait aimé une compagnie pour dormir. Enfin on ne peut tout avoir…
André se réveille. Il tend l’oreille et entend Ingrid remuer des bols dans la cuisine. Sa verge dressée le démange. Sa paume se referme sur la tige et décalotte le gland… Non ! Pas question de se masturber ! Qu’est-ce qu’il entendrait s’il maculait les draps ! Un soupir soulève ses épaules. Les volets clos empêchent de voir si le jour est levé. Quelle heure est-il ? Il a laissé sa montre au salon avec ses habits hier soir. Il cherche des yeux sa robe de chambre… C’est vrai, il ne l’a pas prise. Il s’affuble de son pyjama récupéré sur le tapis et rejoint Ingrid à la cuisine. Il rougit quand la jeune fille pose un regard narquois sur la bosse qui déforme le devant du pantalon. — Alors mon gros ? Tu as bien dormi ? — Oui, je te remercie. Et toi ? — Moi aussi, merci. Elle lui sert le petit déjeuner qu’il avale sans un mot. Une fois dans la douche il se soulage d’une rapide caresse. — Aah ça fait du bien ! Ça aurait été mieux si Ingrid l’avait caressé… Ou Odile… Pourquoi n’a-t-il jamais eu l’idée de prendre la douche avec elle ? — C’est une chose à faire, dès son retour. Il rougit en réalisant que ce n’est pas seulement à sa femme qu’il pense en cet instant mais aussi à Martine. Perturbé par ses envies d’inceste il s’essuie rapidement et sort tout nu de la salle de bain. Il tombe sur Ingrid qui se moque de lui. — Eh ben ! Je dis que tu dévergondes, mon gros nounours. Vexé, il néglige de lui répondre et s’enferme dans sa chambre. Il ne va même pas saluer la jeune fille lorsqu’il quitte la maison pour se rendre au travail…
A suivre…
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