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Les malheurs (?) de l'avocat

Chapitre 8

Orgie / Partouze
LE COPAIN D’INGRID
Après le départ d’André, Odile prend une douche fraîche. Elle a besoin d’éclaircir ses idées. Mon Dieu qu’ont-ils fait ! Ce n’était pas Ingrid mais sa fille qui la caressait pendant que son mari lui faisait l’amour ! Forniquer en famille ! Ce qu’elle redoutait cette nuit est arrivé, plus vite qu’elle ne le pensait ! Le pire, c’est qu’elle n’éprouve aucune honte. Enfin elle a joui avec André ! Elle est prête à recommencer si au bout elle retrouve le même plaisir. Revigorée, elle rejoint la fille au pair. Elle n’est pas saturée de caresses et ne serait pas contre un autre câlin en attendant son mari. Il lui a promis de rentrer tôt cet après-midi, vers quatre heures. Pas de chance, Ingrid se prépare à sortir avec Martine. Les deux filles doivent suivre des cours à la faculté et annoncent leur retour pour midi. Déçue la jeune femme décide de flemmarder la journée en robe de chambre. Cela l’étonnerait qu’André la gronde s’il la trouve en déshabillé…
Odile accueille Ingrid qui rentre la première. La jeune femme est en manque de tendresse. Le baiser brûlant qu’elles échangent ne la soulage pas. Elle tente d’entraîner la fille au pair dans sa chambre à l’étage mais celle-ci a d’autres projets en tête. L’arrivée de Martine survient à propos pour tempérer les ardeurs d’Odile qui accepte de déjeuner dans le calme. Après le repas, Martine prétextant des examens à préparer, monte s’isoler dans sa chambre. — J’ai peut-être besoin tu viens, la prévient Ingrid. — Pourquoi faire ? La fille au pair néglige de répondre. Martine hausse les épaules et quitte la cuisine. Dès son départ Odile se jette sur Ingrid qui la repousse tendrement. — Tu n’es pas impatiente ! Je promets nous amuserons bien. — C’est qu’André rentre tôt cet après-midi. — Pas de problème, nous sommes le temps. A ce moment la sonnette de la porte d’entrée retentit. Odile fronce les sourcils. — Qui peut venir à cette heure-ci ? Ingrid jette un coup d’œil à sa montre, Gérard est ponctuel, ça va. — Comment tu veux que je sais, ment-elle avec aplomb. Tu vas attendre dans ma chambre. Je rejoins quand j’ai fini avec le gêneur. Odile s’allonge sur le lit de la fille au pair. Elle est satisfaite que Martine étudie. Elle aura Ingrid pour elle toute seule avant l’arrivée d’André. Un après-midi de caresses féminines ! Elle ferme les yeux et frôle ses seins par l’ouverture de la robe de chambre, anticipant le plaisir à venir. Précédant Gérard, Ingrid se glisse dans la pièce. Elle fait signe au garçon de se dévêtir en silence. Elle-même ôte son peignoir sous lequel elle ne porte rien. Elle évite les mains baladeuses et monte sur le lit. Odile, les yeux toujours fermés tend les lèvres pour un baiser qui ne lui est pas refusé. La fille au pair ouvre le déshabillé et découvre la poitrine laiteuse. — Whaou ! Ces nichons ! s’écrie Gérard. — Hiiii ! Odile tente de se recouvrir. — Tu calmes ma chérie. C’est Gérard, tu connais. La jeune femme s’assied sur le bord du lit. — Bonjour madame.
— Euh… Bonjour Gérard. Il ne lui vient pas à l’esprit de partir ni d’empêcher la fille au pair de retirer le déshabillé, la livrant nue et sans défense au visiteur. Elle n’a d’yeux que pour la verge qui pointe droit dans sa direction. Elle est plus grosse que celle d’André juge-t-elle. Lui fera-t-elle mal ? Le garçon s’avance tenant la queue en main. Il promène le gland sur les seins, s’attardant sur les tétons qui dardent. — Oh ces nichons ! répète-t-il. Tu m’avais dit mais je le croyais pas. Il insère le bout entre les mamelons. Odile se souvenant de la soirée avec les copains de Luc, serre les seins, emprisonnant la tige. — Oh ! Elle est bonne cette meuf ! Il donne quelques coups de rein. Le gland coulisse, apparaissant et disparaissant tour à tour entre les sphères de chair. — Oh ces roberts ! Jamais baisé des lolos pareils ! Odile est partagée entre la fierté de recevoir des compliments sur sa poitrine et la déception de ne pas faire l’amour. Qu’ont-ils donc tous ces hommes à vouloir souiller ses seins alors qu’elle est prête à leur accorder son corps ! Elle soupire et donne un petit coup de langue sur le méat qui émerge. — Ouii ! Tu es bonne !… Je te remercie Ingrid… Oh ces nichons… Ouiii !… Quel plaisir de les niquer… Aah ! Il amplifie ses coups de rein. Odile presse plus fort. — Oh ! Le pied !… Je viens !… Ouiii !… Je vais t’asperger de mon foutre… Ouiiii ! Le sperme jailli, s’écrase sur le menton d’Odile et retombe sur les seins. Gérard fléchit sur ses jambes et s’assied lourdement sur le lit. — Ah ! Je regrette pas d’être venu. Tu es une bonne toi. Odile veut se lever. — Où tu vas ? — Mais je vais me nettoyer. — Tu feras ça plus tard, j’ai pas fini avec toi. Tu grimpes à quatre pattes sur le plumard et tu attends. Ces paroles redonnent un peu d’espoir à la jeune femme. Peut-être va-t-elle la recevoir cette queue si appétissante ! Elle s’installe sur le couvre lit et regarde avec curiosité Ingrid à qui Gérard a confié la charge de lui rendre sa vigueur. Elle est étonnée de la voir porter la verge en bouche ! Une chance qu’il ne le lui ait pas réclamé ce service, elle n’aurait pas su faire. Jamais André ne le lui a demandé. Pourquoi ? A voir la tête du jeune homme cela n’a rien de désagréable ! Elle admire comment la jeune fille lèche la hampe, suce le gland, caresse les testicules. Saurait-elle faire aussi bien ? — Bon ça suffit ! A toi la vieille ! Je t’ai demandé de te mettre à quatre pattes ! — Excusez-moi. Odile s’empresse d’obéir. Gérard grimpe sur le lit et se positionne derrière le postérieur blanc. — Stop ! ordonne Ingrid. Elle tend un préservatif. — Tu mets ! — Pas la peine. — Tu mets ou tu pars… Tout de suite ! insiste-t-elle voyant que le garçon ne bouge pas. — Bon ça va, ça va, mais c’est toi qui me l’enfiles la capote. — No problème. Odile tremble d’impatience pendant ces préparatifs. Cela ne l’aurait pas gênée de baiser sans protection. Enfin Gérard insère la queue entre les fesses. Le bout chatouille l’anus. Odile pâlit, ne va-t-il pas l’enculer ? Elle ne l’a jamais fait… Non, la verge cherche son chemin un peu plus bas. Soulagée elle écarte les genoux. Gérard trouve la bonne ouverture et s’enfonce de toute la longueur du sexe. — Ouch ! — Tu calmes Gérard ! Il est le temps. Le vagin d’Odile prend la mesure de la grosse queue. Après les quelques tiraillements du début, les va-et-vient la font frémir. C’est aussi bon que ce matin avec André, meilleur même. Elle s’efforce de résister aux poussées. — Ouiii ! gémit-elle… Mmmh ! — Tu es bonne toi !… Han !… Tu vois, tu as… Eu raison de rester… Je vais te faire… Han !… Te faire jouir… Ah non Ingrid… Je regrette pas… D’être venu… Tu en as beaucoup des sur… Han !… Des surprises comme ça ?… Han ! Martine attirée par le bruit ouvre la porte. — Oh maman ! Qu’est-ce que tu fais ? — Ta mère prend connaissance avec Gérard, la renseigne Ingrid. Martine a vu sur internet des couples faire l’amour en levrette mais que sa mère se comporte aussi bestialement dépasse son entendement. — Il ne lui fait pas mal ? — Non… Han !… Je lui fais pas mal, rugit le garçon en donnant un violent coup de rein. — Ouiii ! — Tu vois ! Elle en redemande… Prends-ça !… Han ! — Ouiii ! — Encore… Han ! Ingrid prend Martine sous son aile. — Gérard est adroit, susurre-t-elle. Tu ne veux pas essayer ? — Oh non ! Il me fait trop peur, il me fera mal. — Ta mère ne plaint pas. Tu dois profiter. Tu sais il n’est pas bien tu fais crac-crac avec ton père seulement. Il n’est pas bon. — Tu crois ? — Je suis sûre, faire crac-crac entre papa et fille n’est pas moral en Europe. — Ce n’est pas ce que je voulais dire. Je sais bien que ce que nous faisons Papa et moi n’est pas bien… — Mais agréable n’est-ce pas ? — Tais-toi ! Non, je voulais dire, j’ai fait l’amour l’autre jour avec le copain de Luc, ça suffit pas ? — Dans l’amour, trop d’expériences variées n’existe pas ! Pendant ce dialogue, le couple sur le lit s’en donne à cœur joie. Martine envie sa mère dont le plaisir évident, plus démonstratif que celui qu’elle manifestait ce matin avec son père, ébranle sa conviction : Gérard semble si habile. Ingrid qui la devine presque consentante, insiste : — Je conseille essayer. Tu profites. Tu vois ta mère a un très gros plaisir. Sûrement toi aussi. Odile, épuisée par trois orgasmes successifs, n’a plus la force de crier. Elle se contente de résister tant bien que mal aux coups de buttoirs. — Aaah !… Ouiii ! Je viens !… Ouiiii !… Je remplis ta chatte de mon foutre !… Aarrgghh ! hurle-t-il, oubliant le préservatif.— Aah !… Sssh ! gémit Odile qui regrette en cet instant la présence du latex. Ingrid les laisse souffler une petite minute. — Martine, tu nettoies Gérard. Elle entraîne Odile vers la salle de bain, laissant la jeune fille un peu interloquée, fixer la verge encore grosse qui fléchit entre les jambes du garçon. — Tu peux t’approcher, suggère Gérard. S’il te plait, enlève la capote. Comme elle ne bouge pas il ôte l’enveloppe de latex et la jette dans une corbeille. Martine regarde autour d’elle. — Tu cherches quoi ? — Des mouchoirs en papier. — Tu sais, c’est mieux si tu nettoies avec la langue… Je t’assure, ajoute-t-il devant la mine dégoutée. — Je… J’ai jamais fait. — Raison de plus pour commencer. Ça manque à ton éducation. Cette dernière remarque détend la jeune fille. — Tu parles comme Ingrid, sourit-elle. Elle s’agenouille entre les cuisses et tend la main vers le sexe luisant. C’est doux, c’est tendre cette tige molle, presque émouvante de fragilité. Elle approche les lèvres mais n’ose mettre le bout en bouche. — T’as pas à avoir peur, ça ne mord pas. Elle donne un petit coup de langue timide. Un goût bizarre, pas désagréable. — Oui, c’est bien, l’encourage Gérard. Elle s’enhardit, lèche la tige, suce le bout. — Ouiii ! Plus profond ! Martine fait entrer le gland. — Oui !… Tu fais ça très bi… Sssh !… Bien… Elle est douée la petite, claironne-t-il à l’attention d’Ingrid qui sort de la salle de bain… Continue !… Sssh ! Martine s’active maintenant sur un barreau rigide. Elle est fière d’être responsable de cette métamorphose. Le spectacle fait froncer les sourcils d’Odile qui les rejoint. Cela ne lui plait pas de voir sa fille en position humiliante. — Je suis contente de toi, Martine, encourage Ingrid. Il est bon de sucer un gros zob, il n’est pas ? — Mmh ! Mmh ! approuve la jeune fille qui avale le sexe de plus en plus profond. Odile n’ose l’interrompre et assiste sans broncher. Gérard se sent prêt pour la phase suivante. Il récupère sa queue. — Monte sur le lit ! ordonne-t-il. — Hé ! intervient Ingrid. Tu mets un condom ! — Euh… — Si ! — Bon, ok ! Mais c’est Martine qui l’enfile. La fille au pair pique un préservatif dans le tiroir de la table de nuit et le tend à la jeune fille. Celle-ci a des difficultés à le dépiauter. — Tu n’as jamais fait ? interroge Ingrid. — Non, c’est la première fois. — Je guide… Tu poses sur le bout… Non, pas comme ça… Tu pinces la caoutchouc… Oui… Tu laisses la place… — Héla ! Vous pouvez pas aller plus vite, j’ai pas que ça à faire moi. — Toi tu tais !… Martine tu déroules le long de la tige… Oui il est bien. Tu vois, il n’est pas difficile… Tu es prêt Gérard. — Pas trop tôt ! Il fait monter Martine sur le lit et s’installe pine en avant entre ses cuisses. — Il… Il va la baiser ? réalise Odile. — Ta fille aussi a droit a un gros plaisir. — Mais… — Tu n’as pas peur, Gérard est habile. Un ricanement silencieux secoue les épaules de la jeune femme. Pour être habile, le garçon l’est ! Elle en a encore le souvenir dans le ventre, mais que sa fille le subisse… — Tu laisses, tu n’es pas jalouse, la devine Ingrid. Nous caressons Martine pour qu’elle a le gros plaisir comme toi. Après la mère, la fille ! Odile ne se sent pas le droit de priver sa fille du plaisir que Gérard lui donnera sûrement. Elle s’approche et caresse la cuisse. Ingrid la remercie d’un sourire et l’encourage à peloter la poitrine. Martine attire le garçon. Gérard s’enfonce d’un seul coup. — Meeuuh ! — Il lui fait mal ! s’inquiète Odile. — Mais non ! Je lui fais pas mal… Elle prend son pied la petite… N’est-ce pas qu’elle est… Est bonne la queue de Gé… Han !… Gérard ? — Ouiii !… Mmmh !… Aaaah ! La sucette et les préparatifs ont exacerbé l’excitation de la jeune fille qui ressent une première jouissance…
André marche d’un bon pas. Il est satisfait de sa journée. La réconciliation avec ses femmes lui a porté chance. Il a trouvé dans l’acte d’accusation d’un gros client une faille qui lui fait espérer gagner le procès. Par contre cet après-midi, Joseph l’a déçu. L’avocat aurait aimé que le garçon le caresse, mais celui-ci n’a pas osé s’approcher de la verge qui pointait par l’ouverture du pantalon. André l’a renvoyé. Ce sera dur d’obtenir une autre attitude que la passivité de la part du stagiaire… Heureusement que ce matin Annie…
« …A son arrivée au bureau, Joseph et Annie l’assaillent, chacun voulant présenter son travail. Cela lui fait chaud au cœur de voir ses stagiaires se disputer ses faveurs. Ce serait bien de les recevoir en même temps, passer du cul de l’un à la chatte de l’autre… Euh… Il ne faut pas rêver. Une idée traverse son esprit. Oui, c’est à essayer. Avec Joseph ou Annie ? Plutôt avec la jeune fille, plus avertie à son avis. Il sera toujours temps en cas d’échec de demander à Joseph. Il fait entrer la demoiselle au grand dam du garçon jaloux. Tout en écoutant les explications d’Annie et en donnant quelques conseils, il ouvre sa braguette et extrait le sexe qu’il affute par de discrets coups de poignets. — Annie, pouvez-vous vous approcher ? La jeune fille s’avance. — Oh ! Un instant interloquée par la vue de la verge droite, elle dépose ses documents et s’agenouille aux pieds de l’avocat. Elle remplace la main de celui-ci sur la hampe et approche le gland de la bouche. — Mmmh ! gémit André ravi. C’était ça son idée, se faire sucer. Il est enchanté qu’Annie comprenne sans qu’il ait besoin d’insister. Ce n’est pas la première fellation qu’elle pratique. Elle alterne l’introduction du gland avec les léchouilles sur la tige. Elle est plus habile qu’Ingrid juge-t-il. Lorsque la jouissance monte, elle la stoppe en serrant la base du sexe et calme l’impatience d’André par des petits baisers sur la hampe avant de reprendre la sucette. L’avocat gémit. Il agrippe les accoudoirs de son fauteuil. Il demande d’accélérer. Annie fait non de la tête sans cesser de le pomper à son rythme. Enfin elle avale le gland et masturbe la tige jusqu’à ce que le sperme jaillisse. Elle l’avale consciencieusement et sort se rincer dans le cabinet de toilette. A son retour, il n’a pas bougé de son fauteuil, les yeux fermés, la respiration haletante. Annie sourit. Elle remet le sexe dans le slip, referme la braguette. — Voilà ! Voilà ! Voilà ! — Mer… Merci, balbutie André. Il prend plusieurs inspirations profondes. Il referme les documents qu’Annie avait étalés et les place à part sur une pile. — Je suis content de ton travail, continues ainsi. — Merci maître… Pardon, merci André. — Je préfère, sourit-il. Il lui tend un autre dossier. — Voici un autre cas à étudier. Tu m’en feras le compte rendu. Pense aussi à varier la présentation. C’est important tu sais la présentation. Annie ramasse le dossier et quitte la pièce laissant l’avocat tout seul à rêver à ce qui vient de se passer… »
André suspend sa veste dans le vestibule tout en souriant au souvenir de la sucette d’Annie. Il n’a qu’à se féliciter de l’avoir embauché celle-là ! Ce qu’il y a de bien avec ces filles émancipées, c’est qu’elles comprennent à demi-mots sans qu’il soit nécessaire d’insister. Entre la réconciliation avec Odile et Martine et les jeunes stagiaires, les prochaines semaines se présentent sous les meilleurs auspices… Personne pour l’accueillir au salon. Il tend l’oreille… Oui elles sont à l’étage encore entrain de se gougnotter, les gémissements sont explicites. Grand bien leur fasse ! Il va se servir un whisky quand une voix masculine qu’il croit reconnaître, le fait sursauter. — Ah non ! Pas de ça ! Il ouvre d’un coup sec la porte de la chambre d’Ingrid. Le spectacle le fige quelques courtes secondes : Gérard baise Martine qui noue ses talons sur les fesses, tandis qu’Odile et Ingrid caressent le couple. De voir sa fille aux prises avec le jeune homme renforce sa colère. Il se précipite sur le lit et tente d’en jeter bas le garçon. Prudentes, Odile et Ingrid s’écartent. Malgré les efforts de Martine qui ne veut pas être privée de sa jouissance, André parvient à désarçonner Gérard. Mal lui en prend car délivré du souci de ne pas blesser sa partenaire, le jeune homme maîtrise sans peine l’avocat qui se retrouve à plat ventre sur le lit, écrasé par le garçon assis sur ses épaules. — Vous m’aidez à le désaper ! Martine et Ingrid s’empressent. En un clin d’œil, André se retrouve cul nu. — Ah on veut m’empêcher de baiser ! Gérard assène une maîtresse claque sur les fesses. — Aouh ! — On veut empêcher Martine (Vlan !)… — Aouh ! — …De prendre son pied ! (Vlan ! Vlan !) — Aïïïe ! André tente de se libérer mais Gérard tient bon et donne plusieurs coups sur les fesses. — Meuuuh ! — Un peu moins fort Gérard, supplie Odile qui a pitié de son mari. — Bien fait pour lui ! grommèle sa fille qui ne pardonne pas l’interruption de sa jouissance. Ingrid devine le souhait de son copain. Elle va chercher un tube de crème dans la salle de bain. — Tu tiens, Martine. Tu tartines le cul. — Ouais c’est ça ! Je vais t’enculer pour te punir ! (Vlan ! Vlan !) — Aouh !… Non, pas Martine ! Pas Martine ! — Mais si ! Pour la dédommager. (Vlan !) La jeune fille s’approche sans un regard de pitié pour le cul cramoisi. Elle dépose une noisette de crème sur le doigt et enduit le pourtour de l’anus. — Tu mets un peu dedans, conseille Ingrid. — Mmmh ! murmure André qui ne peut s’empêcher d’apprécier. — Ça suffit ! ordonne Gérard. Ingrid tu me passes une capote. Elle s’approche pour l’enfiler. — Non, c’est le travail de Martine. J’aime bien ses doigts sur ma queue… Toi tu ne bouges pas, menace-t-il André, sinon je te flanque une dérouillée dont tu te souviendras longtemps. — Odile, tu m’aides, réclame la fille au pair en tenant le genou et la cheville… Tu verras, il n’est pas mal. Gérard est gentil. Gentil ? La jeune femme en doute, mais elle attrape l’autre jambe. Gérard libère l’avocat qui n’en profite pas, peur de représailles ou espoir de jouissance ? Sa passivité fait sourire Ingrid qui maintient néanmoins la cuisse, on ne sait jamais… Le garçon, une fois sa verge recouverte se place derrière André. Il promène le bout du sexe entre les fesses. — Soulève ton cul qu’on voit le trou de balle ! — Attendez, je vous aide. — Martine ! Voyons ! C’est ton père quand même, reproche Odile. — Il n’avait qu’à attendre que je finisse de jouir ! Elle écarte les globes. Gérard guide sa queue, trouve le bon emplacement et pousse. — Ouch ! — Aaah !… Ton cul est aussi bon que l’autre jour ! — Oui, Gérard a connu André quand tu n’étais pas là, renseigne Ingrid en réponse au coup d’œil interrogateur d’Odile. L’avocat ne se défend plus. L’introduction lui rappelle la précédente. Il grogne de bien-être lorsque les mains d’Odile et d’Ingrid glissent sous son corps à la recherche du sexe comprimé. — Gérard, s’il te plait. Tu dois soulever André, demande Ingrid. Le garçon prenant sa victime à bras le corps, l’installe à quatre pattes sur la couverture. Les deux femmes se sourient lorsque leurs doigts se rencontrent sur la verge raide, témoin du plaisir de l’avocat. — Martine, tu ne veux pas prendre la place ? Tu caresses ton père, offre Ingrid. — Non merci, déclare celle-ci toujours en colère. Les sensations combinées dans son sphincter et sur sa queue ont raison de la résistance d’André. — Aaggrrhh ! — Oh le gros cochon ! Il a tout sali le couverture ! se plaint Ingrid. — Je viens… Han!… Ouiii !… Ça… Ça… Ça y eeeeest ! Gérard s’effondre sur le dos d’André qui s’affale sur le lit. Ingrid retire son copain. Odile s’approche de son mari. — C’est fini mon chéri, viens te nettoyer. Elle veut l’entraîner vers la salle de bain. — Non, vous laissez Gérard et moi seuls. Il est mon tour ! Vous partez dans votre chambre… Toi aussi Martine. Elle pousse son copain vers le cabinet de toilette. — Oui, tu as raison, une bonne douche me remettra sur pied. Tu verras tu ne regretteras pas ta soirée, fanfaronne-t-il.
Soutenu par sa femme et sa fille, André rejoint sa chambre. — Vous prenez la douche avec moi ? Il y a de la place pour trois. — Non, déclare sa fille encore sous le coup de la déception, je vais me laver dans ma salle de bain. — Je suis là moi, le console Odile…
A suivre…
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