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Les malheurs (?) de l'avocat

Chapitre 9

Orgie / Partouze
ÇA NE S’AMELIORE PAS !…
Gérard n’est pas revenu les jours suivants. André se persuade qu’il en a fini avec ce… Ce… Ce malotru. Il a compris qu’il était vain d’empêcher les relations qu’entretiennent les trois femmes : elles peuvent faire ce qu’elle veulent pourvu qu’elles lui permettent de jouir de sa fille et de ses stagiaires ! Malgré tout, dans ses moments de spleen, il se surprend à regretter… Si le garçon n’avait pas été si brutal… Enfin c’est le passé… Un soir il rentre joyeux à la maison après une journée excellente au bureau. D’abord Annie l’a gratifié d’une délicieuse fellation qu’elle préfère à l’étreinte, ce dont il ne lui tient pas rigueur. Ensuite, il a gagné un procès important et a ainsi ramené plusieurs nouveaux clients au cabinet. Enfin, Joseph lui a cédé son cul, André ayant renoncé à vouloir le faire changer d’habitude. C’est donc satisfait et un peu fatigué qu’il pousse la porte du salon. Il retrouve les trois femmes en déshabillé. Elles se précipitent pour l’embrasser. Il sourit de deviner leur corps nu sous le léger tissu mais se demande la raison de cette gentillesse inaccoutumée. Lorsqu’elles relâchent leur étreinte, il veut monter à l’étage. — Où tu vas ? demande Ingrid. — Ben, me mettre à l’aise et prendre ma robe de chambre. — Il n’est pas utile, elle est là. Elle montre le vêtement sur le dos d’un fauteuil. — Tu déshabilles ici. Nous aidons. Odile et Martine s’empressent pour le dévêtir. Enchanté il se laisse faire sans oublier de caresser les corps mal protégés… Pas protégés du tout, car les femmes perdent leur déshabillé dans la mêlée ! Il en profite sans vergogne pour peloter les fesses et les seins de sa fille. — Well ! annonce Ingrid. Il sera pareil tous les jours. André sourit, ce n’est pas pour lui déplaire. Par contre, il fronce les sourcils lorsqu’il voit la fille au pair brandir un martinet sorti de dessous un coussin. Ce n’était pas prévu ça ! Qu’ont-elles derrière la tête ? Quel scénario ont-elles imaginé dont il est sûr de faire les frais ? — Avant de manger, poursuit Ingrid, tu devras nous faire un gros plaisir. — A toutes les trois ? — Tu ne crains pas. Nous ne sommes pas des monstres. Une seule à la fois… Pour commencer. André respire. Ingrid agite le martinet. — Si tu ne réussis pas à donner un gros plaisir, tu es puni. Elle ponctue son affirmation d’un léger coup sur les fesses. — Aïe ! — Je n’ai pas fait mal ! Pour le premier fois, tu choisis qui tu veux. André dévisage tour à tour Martine et Odile. Leur figure sérieuse l’inquiète, elles ne plaisantent pas, surtout sa fille qu’il devine capable d’appliquer la sentence. Il pâlit : Il va peut-être payer cher le plaisir d’avoir enculé Joseph juste avant de venir. — Alors ? insiste Ingrid. Tu choisis qui ce soir ? Les courbes juvéniles de Martine l’attirent mais il réfléchit que dans son état il risque de ne pas pouvoir se maîtriser. Il est préférable de se tourner vers les charmes plus mâtures de sa femme qu’il enlace sous les sourires des deux filles. - Tu donnes un très gros plaisir à Odile, mon gros. Nous aidons.
Après un long baiser, André allonge sa femme sur le canapé. Il se souvient en cet instant des conseils d’Ingrid : bien la caresser avant de conclure. Il s’amuse à patouiller la douce poitrine pendant qu’il bécote le visage. Ses lèvres descendent dans le cou, les épaules, les seins. Odile l’attire contre elle. Il suçote les tétins. — Mmmh ! Il délaisse la poitrine, agace le nombril du bout de la langue. Ses doigts écartent les grandes lèvres, découvrent le petit bouton de chair. — Aaah ! Il approche la bouche. C’est la première fois qu’il caresse sa femme de la sorte. Il est tout ému de la sentir frissonner quand il fait rouler le clitoris entre ses lèvres. — Ouii ! — Tu fais bien, l’encourage Ingrid. Tu continues ! André se décontracte. Il se sent bien. Il va faire jouir sa femme, c’est certain ! Placé entre les cuisses qui s’écartent, il remonte, embrasse au passage les seins et guide sa verge dans le vagin humide. — Mmmmh ! gémit Odile. En fin de course, l’avocat se redresse sur les avants bras. Ils restent quelques secondes immobiles puis il entame la danse d’amour. — Tu lui donnes le grand bonheur ! Ingrid et Martine s’agenouillent près du canapé et partagent leur plaisir par des caresses. Il est fier de sentir Odile vibrer. Il va réussir… Las ! Martine a une initiative malheureuse. Croyant faire plaisir à son père, elle s’amuse à glisser un doigt entre les fesses, tout près de l’anus. Cela déconcentre André qui ne maîtrise plus la montée du sperme et s’effondre trop tôt, beaucoup trop tôt ! — Oooh ! Le cri désappointé d’Odile résonne douloureusement à ses oreilles et lui fait encore plus mal que les lanières dont Ingrid le cingle. — Aouh ! — Tu étais averti ! lance-t-elle en levant à nouveau son bras armé. André pivote en vitesse pour épargner ses fesses. Le second coup l’atteint sur le sexe qu’il n’a pas le temps de protéger. — Wouah ! Ssssh ! Il se retourne et tombe sur le tapis. Il vaut mieux recevoir la correction sur le postérieur ! — Martine ! Odile ! Vous tenez lui ! La jeune fille se précipite et s’assied sur les épaules de son père, le plaquant au sol. — Aouh ! gémit-il quand la fille au pair fait retomber le martinet. — Odile, tu montres tu n’es pas contente. La jeune femme a pitié de son mari. Malgré sa déception elle n’appuie pas ses coups. Il n’en est pas de même de Martine qui fesse son père avec la fougue de sa jeunesse. — Tu arrêtes ! commande Ingrid qui empoigne le martinet. Le punition est suffisant. Elle lance la robe de chambre. — J’espère tu as compris et demain tu donneras un gros plaisir. Tu viens manger maintenant. — Euh… Je peux monter dans ma chambre ? Je dois aller aux toilettes. — D’accord le gros nounours. Tu rejoins à la salle à manger. André examine son postérieur devant la glace. Il est zébré de traces rouges. — Elles n’y sont pas allées de main morte ! Il ne pense pas se révolter : il a promis de leur obéir. Ah ! Il paye cher le plaisir de faire l’amour à sa fille, car il en est certain, c’est de l’inceste dont Martine et Odile se vengent, surtout Martine. Est-ce que ce sera pareil tous les soirs ?
Les sombres prévisions de l’avocat se confirment : le lendemain, dès son arrivée les trois femmes l’entourent pour le déshabiller. Il est inquiet et se taxe d’imprudence, car dans l’après-midi il n’a pas résisté à la bouche d’Annie et au cul de Joseph. Il pense quand même s’en sortir quand Martine, sa fille chérie, l’entraîne sur le canapé. De la tenir dans les bras lui rendra sa vigueur espère-t-il. Las ! Quelques coups de queue plus tard, il s’effondre lamentablement. La jeune fille est furieuse. Elle arrache le martinet des mains d’Ingrid et en cingle de violents coups sur les fesses paternelles. — Qu’est-ce qu’il faut faire pour que tu comprennes ! — Aouh ! Pas si fort ! Aïe ! — C’est bien fait ! La prochaine fois débrouille-toi pour ne pas venir les couilles vides ! — Aïe ! Aïe ! Aïe ! — Il suffit ! Ingrid stoppe le bras qui s’abattait une nouvelle fois. — Nous ne sommes pas des sadiques, nous n’aimons pas faire le mal. Martine boude sur une chaise, un peu confuse de sa sortie. — Ta fille est raison, continue Ingrid. Nous sommes prioritaires dans la maison. Tu dois souvenir. Je ne peux pas arrêter la colère de Martine tous les jours. Les deux filles sortent se tenant par l’épaule. Odile qui n’avait rien dit jusqu’ici, s’approche d’André toujours à plat ventre sur le canapé. Elle caresse les fesses rougies. — Je ne frapperai pas aussi fort, moi.
André apprend à se ménager. Pour satisfaire la boulimie sexuelle de « ses femmes » comme il dit, il restreint les entrevues avec les deux stagiaires : un par jour maximum et le matin de préférence pour avoir le temps de récupérer avant de rejoindre le logis familial. Ce n’est pas toujours suffisant et ses fesses reçoivent alors la punition promise. Néanmoins, il n’envisage ni de négliger ses stagiaires dont la docilité le console, ni de se soustraire à la tyrannie domestique. Puis, quelques coups de martinet ce n’est pas cher payé la joie de baiser sa fille en plus d’Ingrid et de sa femme. Il s’en accommoderait fort bien si Gérard n’intervenait pas… Trop souvent à son gré…
…Il comprend tout de suite quand Ingrid l’accueille seule le soir à son arrivée. — Elles sont en haut ?… Avec lui ? — Oui. Tu dépêches. Gérard est impatient de rencontrer toi. André se déshabille de mauvaise grâce. Il sait ce qui l’attend mais n’a pas la force, ou plutôt le courage de se dérober. Depuis qu’il a sodomisé l’avocat devant sa femme et sa fille, le garçon a pris l’habitude de venir un ou deux après-midi par semaine. André le soupçonne de faire exprès d’attendre l’heure de son retour du bureau pour baiser Odile ou Martine… Comme si ce qu’il endurait ne l’humiliait pas suffisamment ! Avec un soupir à fendre l’âme il enfile la robe de chambre que lui tend la fille au pair. — Tu fais une bonne figure… Mieux que ça. Gérard ne sera pas content… Il suit la fille au pair. Pour se justifier de ne pas réagir et de ne pas mettre le garçon à la porte, il met en avant le souvenir cuisant de la raclée subie la première fois et les reproches de « ses femmes » de faillir à sa promesse. Mais dans son for intérieur il sait que ce n’est pas la vraie raison. Le spectacle qui l’attend dans la chambre d’Ingrid n’a rien de réjouissant. Aujourd’hui c’est Odile que le copain de la fille au pair pourfend à grands coups de rein, c’est sa femme qui clame son plaisir sans pudeur. — Ouiii !… — Han !… La salope… Tu l’aimes ma queue sa… Han !… Salope ! — Aah ! Ta queue !… Encore !… Ouiii ! — Bonsoir Papa, s’empresse Martine, aussi nue que le couple. Ça s’est bien passé au bureau ? Elle lui donne un baiser sur la joue et reprend place sur le lit à coté des deux amants. André n’a même pas eu le temps d’esquisser une caresse. Il ne sait ce qui lui fait le plus mal, d’entendre sa femme bramer sa jouissance dans les bras d’un autre ou que sa fille trouve cela normal. Comment peuvent-elles supporter de se faire injurier, d’être ravalées au rang de bête lubrique ? — Parce qu’il nous fait jouir lui ! lui a répliqué Odile un soir qu’il lui reprochait son comportement. D’ailleurs, il n’avait rien à dire, a-t-elle poursuivi, lui qui prenait plaisir à se faire enculer devant sa fille. Ses dénégations n’ont convaincu personne… Gérard remarque sa présence. — Ah !… Han !… Te voilà !… C’est pas trop tôt !… J’en ai plus pour longtemps… Han !… Ta cochonne de femme va me faire jouir… Pré… Han !… Prépare-toi ! — Aaah !… C’est booon !… Ouiiii ! André au bord de la nausée assiste impuissant au délire d’Odile. Jamais avec lui elle n’extériorise une telle jouissance ! A ses cotés, sa fille regarde l’étreinte avec envie. Elle est jalouse de sa mère constate-t-il avec amertume. Il n’en revient pas de l’emprise exercée par le garçon sur sa famille ! Pour l’instant le couple atteint le sommet du plaisir. — Je viens !… T’es une vraie salope !… Han !… Aaah !… Aaaah !… Aarrgghh ! — Ouiiii ! Le silence retombe. On n’entend plus que la respiration haletante des deux amants. Ingrid ôte la robe de chambre des épaules d’André. Celui-ci frémit : c’est bientôt son tour. Gérard se redresse. Martine s’empresse. Elle ôte la capote souillée qu’elle jette dans une corbeille. En quelques coups de langue elle restaure la virilité du garçon. Cuisses écartée, Gérard se laisse faire. Il lance un regard de triomphe à André l’air de dire « Tu vois ce qu’elles font pour moi ! Ce n’est pas à toi que cela arriverait ». — Merci ma jolie, ça suffit. Martine habille la verge raide d’un préservatif neuf. Elle veut entraîner le garçon. — Mais non ma toute belle. Ton père est impatient. Ce n’est pas bien de vouloir passer devant. Oh non ! Je ne suis pas pressé ! pense André en montant à quatre pattes sur le lit, malgré sa répugnance. Gérard se présente derrière. — Ingrid ! Aide-moi ! La fille au pair écarte les fesses de l’avocat et badigeonne de gel. La queue revêtue de latex tourne un instant autour de l’anus puis s’enfonce d’un maître coup de rein. — Han ! — Ouch ! — Ton cul s’améliore de jour en jour !… Hein que tu aimes… Han !… Te faire trouer la rondelle ! — Ja… Jamais de la… La vie ! Sa verge qui s’allonge le contredit. Odile s’approche et avec un sourire la caresse doucement. — Mmmmh ! Plus rien ne compte que le plaisir malsain de se faire enculer devant sa femme et sa fille. Il se laisse entraîner par la jouissance et ne met pas longtemps à rendre les armes. — Aarrgghh ! — Oh ! Le gros sale ! Odile ! La prochaine fois tu mets un condom sur son zob ! Je dois toujours laver le couverture ! — Ouiii ! éructe Gérard qui s’affale sur le dos de l’avocat. Il n’y reste pas longtemps et s’assied sur le bord du lit. — André ! Ton travail ! Celui-ci descend avec peine du lit. Il sait ce qu’il doit faire. Il s’agenouille entre les cuisses écartées et ôte le préservatif qu’il jette dans la poubelle que tend Odile. — Dépêche-toi ! Martine s’impatiente ! Avec un gros soupir, André embouche le sexe flasque qu’il nettoie sur toute la longueur. Il est conscient du spectacle dégradant qu’il offre à sa femme et à sa fille, mais ne peut s’empêcher de s’appliquer à sa tâche. — Aaah ! Tu es un champion ! C’est toi qui sait le mieux me remettre en forme ! Le compliment fait plaisir et l’avocat, toute honte bue, s’active de la bouche et des doigts pour redresser la verge. — Bon ! Ça suffit ! André recrache le gland. Il pique une capote dans le tiroir de la table de chevet et recouvre la tige vivante. — Merci ! A ton tour Martine ! — Oh oui ! L’enthousiasme de sa fille fait mal à André qui se traine vers la porte, soutenu par Odile. Dans leur chambre, elle le fait s’allonger sur le lit à plat ventre et tamponne doucement l’anus malmené. Au moins cet après-midi il a cette consolation, car lorsque Gérard baise Odile après l’avoir enculé, ni Ingrid ni Martine ne pensent à le soigner et il doit se morfondre seul à attendre le retour de sa femme gavée de sexe pour descendre diner… L’annonce du départ d’Ingrid pour une semaine sonne agréablement à ses oreilles. Enfin un peu tranquillité à la maison ! Il espère qu’Odile et Martine le laisseront jouir de ses deux stagiaires avec lesquels il a hâte de reprendre des relations qu’il considère comme normales. De fait le week-end se déroule dans le calme. Martine les laisse seuls pour rencontrer des copains de fac. Odile et lui passent les deux soirées tendrement enlacés devant la télévision…
André franchit la porte du cabinet. Il est en retard ce lundi matin, mais cela n’entame pas sa bonne humeur. Une semaine sans Ingrid et surtout sans Gérard ! Il va pouvoir s’occuper sérieusement de ses stagiaires, rattraper le temps perdu. Il sourit de voir Annie et Joseph se précipiter dès son arrivée pour être le premier convoqué. Cet empressement lui fait du bien et le console des restrictions qu’il a du s’imposer les semaines précédentes. Par qui commencera-t-il la journée ? Que préfère-t-il ce matin : un cul, un vagin ou une bouche ? Avant qu’il ne se décide, Jérôme passe la tête par la porte entrouverte de son bureau. — André, s’il te plait, pourrais-tu venir une minute ? L’avocat s’excuse auprès des stagiaires et pénètre chez son associé. Son bureau est semblable au sien, meublé de la même façon juste un peu plus vaste. A peine entré, André se fige…
A suivre…
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