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Les malheurs (?) de l'avocat

Chapitre 11

Hétéro
MISE AU POINT AVEC LES STAGIAIRES
— Whaou ! André s’appuie contre le mur, les jambes flageolantes. Qui aurait imaginé cela une heure auparavant ? Les deux verres d’alcool pris à jeun lui montent à la tête. Il lui faut grignoter quelque chose. Après un passage chez la secrétaire et avoir introduit les visiteurs chez Jérôme, il se dirige vers le distributeur à coté de la machine à café. Il y retrouve Annie. La confidence de Luc resurgit dans sa mémoire. On peut dire qu’elle l’a déçu celle-là ! Se plaindre auprès du garçon, une véritable trahison ! Il croyait pourtant la jeune fille satisfaite de son séjour. Comme quoi, ainsi qu’avec Jérôme, on pense connaître les gens et tout à coup on découvre qu’il n’en est rien. Il l’ignore ostensiblement, sans succès : — André, s’il vous plait, est-ce que je peux venir dans votre bureau ? Le premier réflex de l’avocat est de refuser. Puis il réfléchit : vaut mieux crever l’abcès tout de suite ! — Moi aussi j’ai à te parler An… euh… J’ai à VOUS parler Mademoiselle Garland. Le brusque recours au vouvoiement qui n’était plus de mise, inquiète la jeune fille. Que lui veut André ? Qu’a-t-elle fait de mal ?
L’avocat, raide derrière son bureau, ne l’invite pas à s’asseoir. — Ainsi vous ne vous plaisez pas parmi nous ? — Co… Comment ? — La rumeur circule que vous désapprouvez de la manière dont vous êtes traitée. Vous me décevez beaucoup mademoiselle Garland. Beaucoup ! Vous auriez pu m’en parler au lieu de vous répandre dans les couloirs. — Je… Je ne comprends pas. Annie est abasourdie. Qui peut colporter de tels ragots ? — C’est Luc qui raconte ces calomnies ? Il va m’entendre celui-là ! — Vous prétendez que vous ne vous êtes pas plainte de mes méthodes ? — Jamais de la vie ! Je lui ai peut-être dit que je les trouvais… Euh… Comment dire… Peu orthodoxe, mais c’est tout… Je vous assure. — Vous ne regrettez pas maître Martin votre précédent directeur de stage ? — Oh non alors ! Non, elle ne regrette pas l’accident qui a écourté son séjour dans cette première étude. Certes maître Martin n’a jamais eu envers elle, ne serait-ce que l’ébauche du commencement d’un geste indélicat, mais en deux mois, à part classer des dossiers poussiéreux, servir le café et les petits fours aux clients, elle n’a rien appris sur le métier d’avocat. Ici au moins, dès son arrivée, elle a travaillé sur des cas réels qui lui ont fait découvrir plusieurs ficelles de la profession. Cela excuse bien des privautés, pas si désagréables au demeurant. — S’il y a une chose que je ne regrette pas c’est bien celle-là ! La sincérité de l’exclamation ébranle la conviction de l’avocat. La prétendue plainte de la jeune fille ne serait qu’une invention de Luc ? — Vous êtes donc satisfaite de votre séjour ? — Oh oui maître et je vous remercie de vous occuper autant de moi.
— Très bien. Pourquoi vous… Euh… Pourquoi voulais-TU me voir ? Le retour du tutoiement sonne agréablement aux oreilles de la stagiaire. — Je me proposais de vous présenter mes conclusions sur le dossier H. Je cours le chercher. — Inutile. Si tu l’as bien étudié, tu n’as pas besoin de le consulter pour m’en parler. Ferme la porte s’il te plaît et viens ici. Annie met le loquet en souriant : André ne veut pas de témoin… Elle non plus ! Debout à coté de l’avocat, elle développe ses remarques. Sans surprise elle sent une paume glisser sur ses fesses, descendre à la limite de la jupe et remonter le long de la cuisse. — Tu ne t’es pas étonnée de ma façon de donner des conseils ? — Si un peu au début… Mais je la trouve très mo-mo-motivante, bafouille-t-elle quand un doigt glisse sous la culotte. Prenant une brusque décision, Annie descend le slip qu’elle expédie d’un coup de pied sur le canapé. — Il n’y a donc pas de raison d’en changer ? La main prend possession du sexe libéré. — Pas… Ssssh !… Pas du tout ! — Très bien, continue, j’écoute tes explications. Tout en l’encourageant, André doigte la jeune fille. Cela l’amuse quand le plaisir la fait bafouiller. Il ouvre sa braguette et extrait son sexe. Annie comprend illico et masturbe doucement la tige. Au bout de quelques minutes, il désire une nourriture sexuelle plus consistante. Il se lève de son siège, retrousse la jupe sur les hanches de la jeune fille. Il patouille le cul dénudé avant d’introduire son sexe entre les cuisses. Annie guide le bout en bonne place. — Aaah ! Quel plaisir de pénétrer un tendre vagin ! André se souvient des recommandations d’Ingrid. Il glisse une main devant la jeune fille et excite le clitoris. — Ouiii !… Aaaah !… Ouiii ! C’est la première fois qu’il la sent vibrer ainsi. Il accentue la pression du doigt. — Ouiii !… Aaaah ! L’avocat alterne les pénétrations et la caresse sur le sexe de la jeune fille qui n’en fini pas d’exhaler son plaisir. — Ouiii !… Aaaah !… Encore ! Il est fier de son pouvoir. Enfin il la fait jouir ! Après un long gémissement Annie s’affale hors d’haleine sur le plateau du bureau. André se sent en pleine forme, capable de la faire jouir une deuxième fois. Il se retire, s’installe sur son siège. — Assieds-toi sur mes jambes. Annie émerge. Que veut André ? Pourquoi il est sorti ? La vue du sexe humide qui darde entre les cuisses lui rend ses esprits. Avec un sourire, elle entortille la jupe à la ceinture, enjambe les genoux et guide la queue. — Ouisssh ! Prenant appui au sol elle monte et descend plusieurs fois sur la verge. Tout à coup elle s’arrête. — Qu’est-ce qu’il y a ? s’étonne-t-il. Je t’ai fait mal ? Elle sourit et ôte son t-shirt. Il le lui prend des mains et le jette sur le canapé auprès de la culotte. — Merci. — Attendez, c’est pas fini. Elle enlève le soutien-gorge. — Oh merci ! Il embrasse un sein, puis l’autre. Annie reprend sa chevauchée. Chaque fois qu’il le peut André happe un téton, le presse entre ses lèvres, le lâche pour le reprendre. De sucer cette jeune poitrine aussi parfaite que celle de Martine l’amène vite au point de non retour. Il prend Annie aux hanches et accélère le mouvement. — Aaah !… Aaaah !… Aarrgghh ! Dommage ! Elle allait prendre son pied une deuxième fois, regrette la jeune fille. Elle tente d’aller et venir sur le sexe, mais celui-ci s’amollit et échappe de l’orifice. Avec un soupir désappointé, Annie quitte les genoux d’André. Elle ramasse ses habits et s’isole dans le cabinet de toilette. — Bah ! Y-a du progrès. Pour une fois qu’il me fait jouir, je vais pas me plaindre ! Une lingette à la main, elle s’approche d’André prostré sur son siège, un sourire de bien-être aux lèvres. Elle essuie la verge nue… verge nue ? Elle a oublié de lui mettre une capote ! Ils ont baisé sans protection ! Par chance en ce moment elle prend sa pilule à heure dite. N’empêche, il ne faudrait pas que cela se reproduise. André sourit. Pour la deuxième fois de la journée quelqu’un le nettoie. Il préfère les doigts fins d’Annie ! Elle termine de refermer la braguette. — Voilà ! Voilà ! Voilà ! — Merci. Il se redresse sur son siège. — Je suis content de tes progrès, Annie. Continue comme ça. — Merci André. Je garde le dossier H. car je n’ai pas fini de l’étudier. Je m’efforce de varier la présentation comme vous me l’avez demandé. — C’est très bien, d’ailleurs… Euh… Il serre les lèvres car il allait ajouter : « Tu viens de m’en fournir la preuve ». Il se reprend. — Je ne peux que t’encourager à poursuivre. — Puis-je disposer ? — Je t’en prie. Il la regarde sortir. Dire qu’à cause de Luc il a failli se fâcher avec elle ! Un fouteur de merde oui ! Il se méfiera du garçon à l’avenir et ne prendra pas ses dires pour argent comptant. Il regarde sa montre, bientôt l’heure du repas. Cet après-midi, il travaillera sur deux ou trois dossiers puis rentrera tôt à la maison. Après sa réussite avec Annie, il est sûr de faire jouir une de « ses femmes », pourquoi pas les deux, on peut rêver…
Le lendemain matin, Luc attend André à la porte de son bureau. — Maître, vous pouvez me recevoir ? J’ai quelques précisions à vous demander. Devant Annie et Joseph qui dégustent leur tasse de café, l’avocat ne peut refuser. Il fait entrer le jeune homme. — Que veux-tu que je t’explique ? — Oh rien, c’était un prétexte pour demeurer seul avec toi. Je ne pouvais pas déclarer devant ces deux innocents : « Prépare-toi pour l’enculade du matin ! » répond-il en mettant le verrou. Toujours cette même langueur qui paralyse André en présence de Luc. Celui-ci le pousse dans la pièce tout en dégrafant la ceinture et la braguette. L’avocat se penche sur le bureau, le cul nu, pantalon et slip aux chevilles. Il éprouve une griserie malsaine à être humilié ainsi. — Dépêche-toi, qu’on en finisse. Je n’ai pas que cela à faire ! — Voyons, voyons ! Il ne faut pas gâter ces moments de pur bonheur ! — C’est toi qui le dis… Ssssh ! — Tu vois que tu aimes quand je te caresse, rétorque le garçon en chatouillant les testicules entre les jambes. André bombe le cul tout en se traitant de lâche de subir l’attouchement. Il tremble lorsqu’un doigt humide de salive tourne autour de l’anus et pénètre d’un gros centimètre. — Mmmh ! — Mais oui mon gros, ne sois pas si pressé, tu vas la recevoir ma queue ! Luc promène le gland sur la raie fessière. — Écarte tes fesses ! André appuie le ventre contre le bureau et tire sur les globes. Pour se justifier de son attitude servile, il se persuade que c’est la peur du mal qui le fait agir. — Ouch ! L’introduction, mal lubrifiée est douloureuse. L’avocat se campe sur les jambes pour résister aux poussées. Il manque de s’effondrer quand Luc empoigne la verge pour une caresse musclée, mais le bord du bureau lui fait mal au ventre. Il tend les bras pour s’en éloigner. Le garçon accélère. André résiste comme il peut. Malgré la douleur le plaisir monte et il éjacule dans un grognement pendant que Luc remplit l’intestin. André récupère plus vite que son partenaire. Au bout de quelques secondes, il repousse le garçon affalé contre lui. Il remonte slip et pantalon et s’enferme dans le cabinet de toilette. A son retour Luc n’a pas bougé. Cela le fait ricaner. — Serais-tu fatigué ? Le jeune homme grogne une réponse inintelligible. — La prochaine fois que tu viendras, je veux entendre tes observations sur les dossiers que je t’ai confiés. L’avocat s’installe sur son siège, range quelques documents. — Tu peux sortir, j’ai du travail. Luc essuie son sexe avec un mouchoir en papier qu’il jette dans la corbeille et remballe ses attributs. — A demain… Matin. — On verra, pense à tes exercices… Luc s’éloigne en maugréant. André pose la main sur l’interphone : — Bon ! Après cette corvée avec qui je vais me consoler ? Annie ou Joseph ?… Euh… Peut-être pas tout de suite, concède-t-il en soupesant son sexe mou. J’attends un peu. Je convoque Joseph avant midi et Annie en début d’après-midi. J’espère être suffisamment reposé pour mes femmes à la maison… Dans la journée il surprend Luc conter fleurette à Antoinette. — As-tu fini l’étude de tes dossiers ? Si oui je t’en confie d’autre. — Euh… Pas encore. — Alors ? Le travail ne se fait pas tout seul !
Mercredi matin. André arrive tôt au cabinet. Il doit passer la journée au palais de justice. Il prépare plusieurs dossiers quand Luc débarque dans le bureau. — Tu es bien matinal aujourd’hui. Ça ne me gêne pas. Mets-toi en place. André regarde ostensiblement la pendule. — Je regrette de te décevoir, mais ce matin tu devras te passer de m’enculer, je suis attendu au Palais. — Cinq minutes, juste cinq minutes. — Pas le temps te dis-je. André rassemble ses documents dans une mallette et s’apprête à sortir. — Débrouille-toi la prochaine fois de me réserver une parcelle de ton temps précieux sinon tu le regretteras, marmonne Luc entre ses dents. — Que veux-tu, j’ai des obligations professionnelles qui passent avant la gaudriole, je suis avocat n’oublie pas, rétorque André satisfait d’échapper à son bourreau…
A suivre…
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