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Les malheurs (?) de l'avocat

Chapitre 13

Avec plusieurs hommes
ANTOINETTE
Ni Jérôme, ni Michel ne sont présents le lendemain quand André débarque au cabinet. Ils ont du faire des folies après son départ et récupèrent, sourit-il. Lui, ça va, il se sent en forme… Pas pour longtemps ! Une ride de contrariété barre son front : Luc, un sourire sardonique aux lèvres, l’attend à la porte de son bureau. — Laisse-moi le temps d’arriver ! maugrée-t-il en mettant la clé dans la serrure. — Je suis impatient de te prouver… Euh… Maître, pouvez-vous me recevoir ? Surpris par le changement de ton, André lève la tête. — Ah vous êtes là Antoinette ? Qu’est-ce qu’il y a ? — Le juge Germain vient de téléphoner. L’audition prévue pour cet après-midi est avancée. — Je vous remercie de me prévenir. Il ouvre la porte et s’apprête à entrer avec Luc. — Vous n’avez pas compris, insiste la secrétaire, c’est tout de suite que le juge vous attend. — Ah ! Bon. Juste le temps de rassembler mes documents et je m’y rends. Prévenez le juge et excusez mon retard… Mon petit Luc, tu vois ce n’est pas par mauvaise volonté mais je suis obligé de reporter notre entretien. — Tu t’en sors cette fois, mais ce n’est que partie remise, grommelle-t-il entre les dents vexé qu’André le qualifie de ‘petit’ devant la secrétaire.
Vers onze heures, André revient du Palais. Il est satisfait. Le juge Germain a requalifié les faits dans un sens favorable à son client. Il ne désespère pas obtenir le non-lieu lors d’une prochaine audition. Il ouvre sa porte de son bureau en sifflotant. La surprise le cloue sur le seuil : Luc baise à grands coups de rein Antoinette aplatie sur la table. — En… Han !… Entre fais… Han !… Fais comme chez toi… Je ne t’attendais pas si… Han !… Si tôt, prends… Han !… Prends place j’ai bien… Han !… Bientôt fini. André est abasourdi. Antoinette ! La jeune femme si convenable, celle qu’il mettait sur un piédestal, qu’il n’avait jamais osé aborder la croyant inaccessible ! Elle n’est pas meilleure que les autres, toujours à la recherche d’une queue ! Luc n’a pas mis longtemps à le découvrir alors que lui qui la côtoie depuis plusieurs années… Machinalement il met le verrou et s’avance au milieu de la pièce attendant que le couple ait terminé. Il se sent idiot d’assister en spectateur à l’étreinte mais n’a pas l’intention de s’en aller. Que diable se justifie-t-il, c’est son bureau, il est chez lui ! La jeune femme est en chemisier, la jupe enroulée sur les hanches. Il ne la voit pas bien, juste sa figure apeurée (« Elle se figure que je vais la punir. Non, ce ne serait pas juste. Je suis sûr que ce n’est pas sa faute, mais celle de Luc… Puis maintenant, elle n’osera pas se refuser si je lui demande »). Cela lui ouvre des perspectives intéressantes. Les gémissements s’amplifient. — Aah !… Aaah !… Aaaah !… Ouiiii !… Aaaaah ! Luc prend deux ou trois profondes inspirations et libère Antoinette. — Aah ! Ça fait du bien n’est-ce pas ? Il lui donne une petite claque sur les fesses. La jeune femme rabaisse sa jupe, rassemble les pans du chemisier ouverts sur ses seins nus et reste debout, regardant tour à tour André et Luc. Elle est inquiète, que va dire son patron ? Luc la défendra-t-il contre André ? Pour l’instant le jeune homme ôte la capote qui recouvre la verge et la jette dans la corbeille à papier. — Antoinette mon chou, va chercher une lingette dans le cabinet de toilette. La secrétaire obéit à la stupéfaction d’André. Qu’est-ce qu’il a ce garçon ? Comment se fait-il que tout le monde, lui compris, obéisse ?
De retour, elle s’agenouille devant Luc et essuie le sexe. — Merci… Où vas-tu ? dit-il à la jeune femme qui se levait et se dirigeait vers la porte. Reste, on a encore besoin de toi. « Pourquoi faire ? » se demande André. — Tu sais ce que tu ferais si tu étais gentille ? continue le garçon. Tu ôterais cette jupe et ce chemisier disgracieux. La secrétaire hésite. André est de plus en plus étonné (« Il lui propose de se déshabiller devant nous et elle ne se rebiffe pas ! Qu’est-ce qu’il a ce garçon pour que tout le monde fasse ses quatre volontés ! »)— Allez ! insiste Luc. Montre-nous comme tu es belle dans l’éclat de ta nudité resplendissante. Doit-elle obtempérer ? Que va dire son patron ? Intéressé l’avocat l’encourage d’un battement de cil. En rougissant elle quitte les vêtements. — Que oui elle est belle ! murmure André. Il est surpris de découvrir une jeune femme très séduisante. Il faut dire que ses habits ordinaires ne la flattent pas. Sa verge tressaute dans le slip. Elle est même drôlement bandante ! sourit-il. Tout à coup son front se rembrunit. Qu’est-ce que Luc a derrière la tête ? Pourquoi a-t-il demandé à Antoinette de rester ? Le garçon le dévisage un rictus sardonique aux lèvres tout en masturbant une queue déjà raide. L’avocat rougit à son tour : Luc va l’enculer ! En présence d’Antoinette ! — A nous deux ! confirme le jeune homme. Approche André ! La voilà la surprise dont il parlait ! Drôle de surprise ! Malgré cela, l’avocat n’a pas l’idée ou le courage de s’enfuir. Pire, le picotement dans son bas ventre témoigne de son impatience. Il bande comme ce n’est pas permis ! A sa grande honte il obéit à son bourreau, et, en quelques secondes, se retrouve pantalon et slip aux chevilles sous le regard ahuri de la jeune femme. — Allez ! Enlève ça, ça te gêne, ordonne Luc. Fataliste, André se débarrasse de ses entraves. Le garçon le maintient aux hanches, insinue sa verge, trouve la bonne place et donne un coup de rein. — Han ! — Ouch ! — Pourquoi a-t-il mis une capote pour Antoinette et pas pour moi ? grommelle André. J’aurais peut-être eu moins mal, comme avec Jérôme. La jeune femme contemple la scène les yeux grands ouverts. C’est la première fois qu’elle assiste à une étreinte entre hommes et qu’un de ses patrons soit impliqué est encore plus extraordinaire. Luc empoigne la verge de l’avocat et la secoue. — N’est-ce pas qu’il a une jolie queue André ?… Je suis bête, évidemment que tu la connais ! Elle secoue la tête. — Non ?… C’est vrai André ? — Hon ! Hon ! — Ça alors ! Je ne l’aurais jamais imaginé. Il faut corriger ce manque tout de suite ! Antoinette fouille dans la poche de mon jeans… Oui… Tu trouves une capote… C’est ça. Tu l’ouvres et tu l’enfiles sur la queue d’André. « Est-ce que Luc veux que je baise Antoinette pendant l’enculade ? Ce serait trop beau ! » pense André. Il frémit quand des doigts fins manipulent son sexe. — Bon, C’est bien. Maintenant mon chou, tu t’allonges sur le canapé et tu ouvres bien grand les cuisses. Toujours soudé, le couple s’avance à petits pas. L’avocat est perplexe. Il reste persuadé qu’au dernier moment Luc changera d’idée, ne serait-ce que pour l’embêter. Il n’ose imaginer que son tourmenteur lui permette de baiser la secrétaire ! — Je ne vois pas bien, dit Luc. André, tu guides ta queue… Vous y êtes ? — Mmh ! Mmh ! — Bon, en avant pour une bonne baise !… Han ! — Aaaah ! — Ssssh ! André retrouve les sensations découvertes la veille entre Jérôme et Michel, meilleures même. Un vagin c’est supérieur à un cul aussi joli et tendre soit-il ! Il tempère l’ardeur de Luc qui voudrait accélérer. C’est lui qui conduit les débats, imposant son rythme qui semble satisfaire Antoinette et ne veut pas qu’on lui vole son plaisir…
Il est midi passé lorsque la jeune femme sort du bureau d’André. Encore sous le choc, elle se réfugie dans son cagibi. Toute l’après-midi, André cherche à lui parler. La secrétaire l’évite et il ne parvient à l’isoler qu’en fin de journée. — Vous m’avez déçu, Antoinette, vraiment déçu, lui assène-t-il avec une parfaite mauvaise foi. Dévergonder de la sorte les jeunes stagiaires ! Je n’aurais rien à redire si cela se passait en dehors des heures de travail, mais au cabinet ! Dans mon bureau ! — C’est Luc, André, je vous assure. Depuis son arrivée, il me tourne autour. Il disait que j’étais belle… C’est la vérité pense l’avocat. Il aurait du s’en apercevoir avant… — Je me sentais seule… Je n’ai pas de petit ami en ce moment, continue Antoinette, ce qui fait que je me suis mal défendue quand il m’a attiré dans votre bureau… Il disait que vous ne rentreriez pas de la matinée… Oh que j’ai eu honte quand vous êtes arrivé ! J’aurais voulu mourir… — Allons, allons Antoinette, ne soyez pas ridicule. Ma présence ne vous a pas empêché de jouir, reconnaissez-le. Elle baisse la tête. — N’est-ce pas ? insiste-t-il. — Ou… Oui. — Bon, l’incident est clos. Restons-en là, mais que cela ne se reproduise plus, laissez les stagiaires en paix. — Oh ! On ne m’y reprendra plus ! La jeune femme se dandine d’un pied sur l’autre. — Euh… — Que désirez-vous Antoinette. — Euh… Vous et Luc… Il vous… Il se doutait qu’elle poserait la question. Que dire ? Il choisit la franchise. — Oui, il me sodomise… Il m’encule, précise-t-il devant le regard d’incompréhension. — Vous… Vous aimez ça ? — Il a barre sur moi… Je suis obligé de le supporter. Son père est Bâtonnier et tant qu’il ne fait pas de faute professionnelle… — Je comprends. — Tout cela doit rester entre nous. — Vous pouvez me faire confiance. — Bon, ben, euh… Vous pouvez rentrer chez vous Antoinette. Je fermerai le cabinet. — Merci André… A demain. Elle prend son sac à main, hésite une nouvelle fois. — Vous voulez me dire encore quelque chose ? — Euh… Vous savez… Avec vous j’ai bien aimé. — Ah ? Vous dites cela pour me faire plaisir ? — Je suis sincère je vous assure. Je préfère qu’avec Luc. André note le « Je préfère ». Cela signifie, pense-t-il, qu’elle ne serait pas contre recommencer à l’occasion sinon elle aurait dit « j’ai préféré ». Lui aussi… Dans les mêmes conditions, en sandwich entre elle et une queue, car il est persuadé que cette position est responsable de son succès. Mais plus avec Luc, ça non alors ! — On verra ça… A demain Antoinette. — A demain, André. Il regarde la jeune femme chalouper vers la sortie. Qui aurait dit ce matin qu’il allait découvrir les charmes de la secrétaire de la plus agréable façon qu’il soit ? Puisqu’elle est d’accord, il remettra ça dès que possible, mais par qui remplacer Luc ? Une idée : convaincre Jérôme de l’inviter aux réunions hebdomadaires, c’est bien le diable si avec deux queues à sa disposition, il ne peut pas en recevoir une pendant qu’il baise la jeune femme ! Si son associé fait des difficultés, il lui met le marché en main, ou il accepte Antoinette, ou Michel ne participe pas !
Le soir il a la joie de faire vibrer Odile qui succombe avant lui. — Aaaah !… Que c’est bon ! André s’approche de Martine, tout fier de satisfaire les deux femmes le même jour. La jeune fille à demi couchée sur le canapé, écarte les cuisses pour le recevoir. Elle empoigne la verge poisseuse des sécrétions de sa mère et la guide vers son sexe. Las, la résistance de l’avocat atteint ses limites et il crache son sperme à l’orée du vagin. — C’est pas possible ! On dirait que tu le fais exprès ! Ça te fait rien Maman de savoir qu’il nous trompe avec ses stagiaires ?— Ce n’est pas un scoop ça, ma fille. Tu sais bien qu’il ne peut pas s’en empêcher. — Peut-être mais il ne doit pas oublier que nous sommes prioritaires. — Vous faites erreur toutes les deux. Ce ne sont pas mes stagiaires qui sont en cause, mais les affaires difficiles que nous avons en ce moment. D’ailleurs Jérôme et moi allons en discuter mercredi prochain. Je rentrerai assez tard. — Ben moi je m’en vais ! annonce Martine. — Où vas-tu ? demande Odile. — Sais pas, loin de vos figures de carême ! Ils entendent la porte d’entrée se refermer avec fracas. — On dirait qu’elle est en colère, constate André. — Bah, ça lui passera. Je vais prendre une douche. — Est-ce que je peux venir te frotter le dos ? Odile s’échappe en riant : — Que le dos ? André s’élance à sa poursuite…
A suivre…
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