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Les malheurs de Gustave

Chapitre 1

Inceste
Les malheurs de Gustave
Le cadre de cette histoire se situe dans un coin retiré de la Suisse Romande au lendemain de la dernière guerre mondiale.
Les protagonistes:• Le père Auguste de 55 ans, Industriel ayant fait fortune pendant la guerre avec des habitudes de nouveau riche. Il a tailléet fourni des pierres précieuses pendant la dernière guerre, tant aux Allemands qu’aux alliés. Il possède une très bellevoix de baryton qu’il met en avant lors des concerts de la paroisse en tant que soliste.• La mère Nelly, 45 ans, très belle femme, douce ménagère au foyer, également une très belle voix comme son mari etégalement soliste lors de concerts religieux.• La fille ainée Marie, 25 ans, en formation artistique à Paris, on est souvent sans nouvelle de sa part.• Le fils cadet Gustave, 18 ans, un vrai chenapan faisant les 400 coups comme beaucoup de cadets de familles aisées.
Gustave vient trouver sa mère assez gêné et dit d’un air contrit :
– Maman, j’ai un problème avec ma queue.– Tu veux dire avec ta verge. Qu’est-ce qui se passe ?– Voila, je n’ai normalement pas de problème, mais depuis un certain temps, je me réveille le matin avec la queue gonflée qui me fait vraiment très mal, jusqu’à ce que je pisse pour évacuer la pression. Après, cela va pas trop mal, mais c’est vraiment douloureux. Je pensais que cela passerai, mais cela persiste.– Bon je vais prendre un rendez-vous avec le nouveau médecin qui est spécialiste des voies urinaires et sexologue.– Merci.
La mère, Nelly prend le téléphone et demande à parler à la doctoresse Tille.
– Bonjour Docteur, j’aimerai un rendez-vous pour mon fils qui a un problème d’adolescent.– Pouvez-vous m’en dire davantage ?
– Voila, le matin quand il se réveille, son sexe est gonflé et le fait horriblement souffrir qu’il m’a expliqué, jusqu’à ce qu’il urine.– Je vois, quel âge a votre fils ?– 18 ans.– Encore une petite question : est-ce que votre fils est circoncis ?– Non, pas que je sache.– Alors venez demain matin à 8h30 à l’hôpital– Merci docteur pour votre diligence
Le lendemain matin, à la place d’aller à l’école comme d’habitude, les deux partent en voiture vers l’hôpital. En arrivant, ils sontdirigés vers la salle d’attente de la doctoresse Tille qui n’a pas encore de patients. Souriante, elle apparaît et leurs fait signed’entrer dans la salle de consultation.C’est aussi une femme élégante, de 30 à 35 ans, avec des beaux cheveux roux maintenus dans un bonnet blanc.
– Alors jeune homme, je vous prierai de vous déshabiller et de vous étendre sur cette table d’auscultation.– Tout ?– Non, tu peux garder tes chaussettes. On est pas en Arabie Saoudite où les auscultations se font à l’aveugle.
Rougissant comme un puceau (qu’il est encore) devant cette MILF il descend son slip et elle s’approche en mettant une paire de gants de latex ; elle saisit cette verge au repos et tire le prépuce vers l’arrière faisant apparaître un abondant fromage de bite.
– Il faut de temps en temps nettoyer dit-elle en sonnant soeur Maria.
Cependant, dû à cette manipulation de sa verge, elle prend des dimensions très importantes.
– Aïe, cela fait mal gémit Gustave
Arrive d’un local attenant, Maria, une soeur probablement d’origine portugaise ou valaisanne, dont la lippe supérieure est ornée d’un soupçon confirmé d’une moustache bien noire et une bouche qui fait penser à un museau de rat.
– Maria, voilà un petit travail pour toi, nettoie cette verge et au besoin décongestionne la.– Oui docteur et d’une chiquenaude bien appliquée, elle fait disparaître l’érection, elle sort une serviette et commence à récolter le smegma qui recouvre la verge.– Maria, tu mets ceci de coté, je vais l’observer au microscope pour voir si il n’y a pas de germes suspects.
Là dessus, elle prend la mère à part dans son bureau pour une petite conversation :
– Je ne vois pas, dans l’immédiat, l’utilité d’une intervention chirurgicale, ce qui présente de maigres avantages en présentant pas mal d’inconvénients. Votre garçon est gâté par la nature, il a un sexe que l’on peut classer parmi les sexes de grandes tailles, ce serait dommage de le circoncire. On va essayer d’aider la nature à remettre en place tout ceci.Voila ce qui serait bien de procéder :
– Deux fois par jour, il faudrait au repos, tirer la peau du prépuce vers l’arrière, mettre de la vaseline et une pommade un peu anesthésiante et de le masturber sans que le prépuce passe devant le gland, dans l’espoir qu’il s’étirera et s’élargissent pour devenir normal. J’ai aussi vu qu’il a un testicule qui est resté en arrière, ce qui arrive souvent à la naissance, mais se remet en place normalement tout seul, là, à 18 ans, il faudra un peu aider la nature et le tirer doucement, petit à petit vers sa place normale, faut de quoi, il deviendra stérile, vu que son sperme ne sera pas refroidi dans le scrotum. Je vous fais une ordonnance pour la vaseline et la pommade anesthésiante, Je sais qu’il existe quelque chose qui réunit les deuxpropriétés, mais je ne suis pas sur que ce soit disponible ici en Suisse sur le marché.On se revoit dans 15 jours pour voir les progrès enregistrés.– Oui, mais tout cela je comprends, mais, je suis quand même sa mère et de le manipuler de la sorte ? Je ne sais si je vais en être capable.– Éventuellement faite appel à une prostituée, mais je ne peux pas distraire une employée car elles sont déjà au maximum de charge actuellement.– Ah ! Non pas une prostituée, dit la mère révoltée, avec toutes ces maladies qu’elles ont et le fait qu’il risque d’y prendre goût.– Bon, c’est vous qui voyez, mais si vous voulez éviter l’opération, pensez que c’est votre fils et qu’entre nous, de masturber ce magnifique instrument, cela ne devrait pas être trop pénible.
Elles rentrent à nouveau dans la chambre de consultation où la soeur a bien récolté le fromage de bite et nettoyé le sexe à Gustave qui brille comme un sou neuf en pendant tristement entre ses cuisses.
– Voyons cela maintenant que c’est présentable, dit la doctoresse en saisissant à nouveau à pleine main l’organe.
Elle se penche un peu pour voir de plus près et de ce fait découvre un peu sa poitrine très mignonne ce qui provoque que cette chose flapie qui pendait lamentablement entre ses cuisses reprend vie et gonfle à vue d’oeil. Rapidement la doctoresse tire sur le prépuce pour le passer derrière le gland et l’oint d’une huile relaxante.
– Voila comme il faut procéder dit-elle en s’adressant à Nelly, en caressant le sexe en en ramenant la peau coupable à raz la fin du grand et en retirant en arrière quelques fois. Faites attention, votre fils a l’air très réactif. Autrement tout à l’air de fonctionner normalement.– Tu peux te rhabiller et 2 fois par jour, il faudra faire ce traitement. Avant que tu durcisses, il faut que ta mère te soigne comme je lui ai indiqué.
Le soir venu, la mère lui demande de passer sous la douche, de bien se nettoyer, y compris le sexe, elle ne veut pas avoir à nettoyer ce fromage pas très ragoutant et de venir en peignoir dans sa chambre.
– Couche toi sur le dos lui dit-elle en écartant les pans du peignoir et en empoignant la boite de vaseline et le tube de crème.– Ah ! Non, tu ne vas pas bander à l’avance, je dois d’abord tirer la peau en arrière et je n’y arrive pas, je reviendrai quand tu seras calmé.– Mais tu ne peux pas me laisser comme cela, tout excité.– Si tu veux, je peux demander à Soeur Maria de venir faire les soins si tu le désires.– Non Maman pas ça s’il te plait. Gémit Gustave complètement traumatisé.– Alors calme toi et appelle moi quand cela sera possible de faire le nécessaire.
Après une dizaine de minutes :
– Maman, tu peux venir !
Effectivement le sexe est au repos, allongé gentiment entre ses cuisses. Sa mère le saisit et d’un coup sec, tire le prépuce en arrière.
– Aïe, gémit Gustave, soit moins brutale stp.– Excuse-moi dit-elle, mais ceci m’irrite dit-elle en induisant le sexe de vaseline et de crème.
Lentement elle commence à lui prodiguer une masturbation en faisant bien attention que la peau du prépuce ne dépasse pas le bout du gland, la verge se gonfle bien.
– Maman, c’est délicieusement douloureux.– Je sais, mais il faut ce qu’il faut.
Après quelques va et vient, Nelly sent que la mayonnaise est en train de prendre et elle arrête le traitement pour s’occuper de la descente du testicule et elle le pousse en direction du scrotum et finalement elle réussit à le faire y arriver, mais dès qu’elle relâche la pression, il remonte où il était précédemment, mais cela a réussi à calmer les palpitations de Gustave et elle reprend sa masturbation en faisant deux aller et retour puis retourne sur le testicule rébarbatif pour le faire redescendre à nouveau.
– Maintenant, tu peux aller te coucher, je crois que j’ai fait ce que j’ai pu.– Mais maman, tu ne peux me laisser comme cela, je ne vais pas dormir cette nuit avec la pression qui est dans mon sexe.
Tiens, c’est vrai se dit Nelly, et je ne veux pas l’encourager à l’usage de la masturbation.
– Bon je vais faire le nécessaire, mais tu ne le dis à personne.– Promis juré craché lui répond Gustave qui ne se sent plus de joie devant l’acceptation de sa mère de l’amener jusqu’à conclusion.
Énergiquement, Nelly secoue sa grosse mantule qui grossit de plus en plus et heureusement qu’il y a la pommade qui calme un peu la douleur sur le prépuce et finalement, un violent jet jaillit de ce sexe et qui atterrit sur la joue de sa mère et pour les suivants, elle a eu le temps de mettre un linge pour protéger et se protéger.
– Voila mon chéri, maintenant fais de beaux rêve.– Merci Maman, je vais sûrement rêver de toi, tu es si belle.– Taratata, petite canaille et elle s’en va dans sa chambre, passablement troublée par cette conclusion.
Elle prend cette traînée du liquide épais que son fils lui a envoyé sur sa joue et en prend un peu par curiosité pour voir quel goût il a. Un peu fort, mais supportable. Pendant la nuit, elle n’arrive pas à trouver le sommeil, il y a toujours ce goût de sperme qui reste dans sa bouche et les images de la journée qui la perturbent. Délicatement, elle glisse sa main vers le pyjama de son mari et commence à le caresser.
– Laisse moi tranquille, demain, je vais à Genève pour un long trajet jusqu’en Japon où je dois négocier des ventes de nos pierre avec Monsieur Kawasaki et je ne veux pas être trop fatigué.– Bon bonne nuit.
Mais cela ne calme pas ses anxiétés et cela tourne dans sa tête comme un mauvais film. Le lendemain, le père est parti aux premières heures du matin et madame va réveiller son fils avant de préparer le petit déj.Elle le trouve endormi avec le sexe complètement mou, chique se dit-elle, je n’aurai pas à le faire se calmer pour entreprendre la thérapie. Elle va chercher le nécessaire et commence à tirer la peau vers l’arrière du frein et à appliquer un peu de vaseline et de crème pour commencer le traitement.– Bonjour mon chéri dit-elle en commençant à secouer le sexe qui reste mou de chez mou. Elle a beau secouer, branleravec application, rien n’y fait.– Qu’est-ce qui se passe lui demande-t-elle ? Cela ne te plaît pas ?– Je ne sais pas ce qui se passe, mais ce matin, je n’arrive pas à être excité.– Si je te montre ma poitrine, penses-tu que tu réagirais ?– Essaye, on verra bien
Ni une, ni deux, elle fait tomber le haut de son peignoir et montre ses beau seins à son fils qui réagit positivement.
– Ha, cela fait plaisir de voir que tu les apprécies, pas comme ton père qui n’a pas daigné m’honorer ce matin avant de partir. Dit sa mère en reprenant sa masturbation.
Subitement, le fils d’une main leste, pose ses doigts sur la poitrine de sa mère.
– Oups, c’est quoi là ! Je ne te permets pas. Enlève ta main immédiatement.– Pardonne-moi maman, mais tu es si belle et si avenante, que je n’ai pu m’empêcher de toucher tes seins.
Du coup du fait de la réprimande, le sexe de Gustave se recroqueville à une portion congrue.
– C’est pas vrai, comment veux-tu que je t’applique le traitement maintenant si tu es tout mou.– Je fantasme sur tes seins et j’aimerai tant les sucer je crois que cela regonflerait ma pine lui répond Gustave.
Nelly est bien embêtée et ne sait que faire, elle est arrivée à un carrefour où il n’y a que des routes sans issues. En attendant, elle pousse le testicule vers le bas en se disant que cela reviendra peut-être tout seul, mais après un long moment de massage, la bite est toujours en berne. Ne voulant pas rester le reste de la matinée et vu que le départ pour l’école commence à devenir pressant, elle rouvre son peignoir se penche en avant.
– Tiens, mais il faut que cela reste absolument entre nous.
Gustave ne se sent plus de joie, il approche sa bouche et sa main du sein maternel et commence à sucer délicatement et ce qui le fait arriver à l’orgasme voulu, mais cette fois, elle a pris ses précautions pour ne pas se faire asperger de cette crème de poireaux.
Ouf pense sa mère, je crois que je suis sauvée par le gong, mais j’ai vraiment l’impression de jouer sur une corde vraiment raide, mon peignoir doit être complètement trempé, tellement que ces suçons étaient délicieux. Je deviens folle. D’une part cette obligation pour éviter une opération, d’autre part mon mari qui me néglige un peu et en plus ce sexe qui vaut deux fois celui de mon époux. Que vais-je devenir ?Elle se lève brusquement et va sous la douche froide pour se remettre les idées en place puis toujours en peignoir se rue à la cuisine pour préparer le petit déjeuner.
Une fois Gustave parti pour ses cours, elle se change les idées en faisant son ménage et se prépare à faire sa lessive quand elle aperçoit sa culotte de hier pleine d’un liquide comme de la crème, elle se penche, pas de doute, c’est du sperme et c’est pas celui de mon mari. Ce cochon de Gustave se branle dans mes culottes pense-t-elle, c’est pas étonnant que je n’arrivais pas à le faire décoller ce matin, il avait déjà donné, mais cette odeur de jeune mâle me trouble également, je sens que je vais devoir me calmer un peu et elle remonte dans sa chambre, ôte son peignoir et constate une grosse tache de mouillon sous son cul.
– Mon Dieu minaude-t-elle, qu’est-ce qui m’arrive, j’ai mouillé comme une folle...
Elle continue en se caressant sa fourrure blonde de son minet et en introduisant 3 doigts dans sa chatte, de l’autre main, elle singe le suçon de Gustave sur son sein et brusquement sans attendre, l’orgasme libérateur arrive.Elle plie son peignoir et le met dans la machine à laver avec le reste des affaires de la famille, passe sous la douche pour éliminer ce supplément de plaisir qui lui colle entre les jambes.Elle se fait du soucis pour ce soir, comment cela va-t-il se passer, saura-t-elle résister à l’appel des sens.A la fin de l’après-midi, son mari lui téléphone depuis Osaka où il est bien arrivé et l’informe que tout va bien. La discussion se termine là, mais bizarrement cela n’a pas raccrocher de coté de son mari et surprise Nelly entend :
– Hum c’est bon, attention pas avec les dents, oui voilà, cela vient, tu avales tout Mélanie et à la suite un bruit de déglutition.– Tu es quand même la reine des suceuses. Merci. Je pourrai aller l’esprit plus clair dans les discussions.– Mais qu’en est-il avec ta femme ? Est-ce que tu envisages de t’en séparer pour qu’on se mette ensemble ?– C’est difficile, son père a financé mon entreprise et mes gros clients restants sont du coté de sa famille, on est en communauté de bien, si bien que si je divorce avec des torts, je serais pratiquement ruiné. Qu’est-ce qui est le mieux : un amant fortuné ou un vieux mari ruiné ?– Tu as raison et ton fils est un peu trop jeune pour sauter une génération, même si son sperme a meilleure goût que le tien, sa queue elle pue littéralement.– Quoi, tu as goûté à mon fils, tu es vraiment une vrai pute. Mélanie.– Bin oui, une fois que le conseil s’éternisait avec Grosjean qui s’écoutait tant parlé, je m’ennuyais alors je me suis ditpourquoi pas comparer le père au fils. Mais rassure toi, on en est resté à la turlute, il n’a pas voulu continuer et c’est un rapide. L’Orient-express.
Excédée, Nelly ferme la réception, elle en sait assez sur son salaud de mari, toujours fourré à l’église et qui fourre à tour de bras dès qu’elle a le dos tourné. Elle va se venger, pas plus tard que ce soir. Très énervée elle part préparer le souper, mais le coeur n’y est pas, elle n’arrive pas à se concentrer sur des choses très simples, cela tourne en boucle dans sa tête, son univers est en train de basculer. A l’arrivée de son fils, elle lui annonce qu’ils iront manger à l’Hôtel du cheval blanc.
— Prépare-toi, enlève tes jeans, passe sous la douche et mets une tenue un peu correcte.
Après 10 minutes, elle entre dans la chambre de bain pensant qu’il finit de s’habiller et que voit-elle, son fils avec sa culotte du jour, passablement tâché des différentes émotions, entrain de la lécher et se masturbant à mort.
– Mais que fais-tu, je t’attends.– Excuse Maman, mais je crois que je suis amoureux de toi, j’ai une bonne nouvelle, j’ai eu le seul 10 de la classe en composition française.– Oui, mais ceci n’explique pas ce que tu fais maintenant.– Je sais, mais je ne peux me retenir quand je sens ton odeur intime venir chatouiller mes narines.– Tu fais ceci depuis longtemps ?– Non, depuis le début du traitement, avant je n’avais rien remarqué.– Je vois, moi aussi je suis un peu perturbée par ce traitement. Finis de t’habiller et on va souper et on en reparlera ce soiraprès.– Oui Maman et il la prend dans ses bras pour l’embrasser, mais elle a juste le temps de se dégager avant que cela ne dérape.– Dépêche toi !
Bras dessus, bras dessous, ils se dirigent vers le restaurant du Cheval Blanc.
– Madame Bruner, quel honneur ! Vous venez souper ?, je vous mets là avec votre fils près de la fenêtre– Merci dit-elle en enlevant son manteau de zibeline que son mari lui avait offert quand il était encore amoureux ou pour se faire pardonner, elle n’était pas sûr maintenant.– Voila la carte, le soir, on ne fait pas le menu.– Vous avez des huîtres ?– Oui, toutes fraîches.– Alors amenez comme entrée deux douzaines avec deux flûtes de champagne.– Vous fêtez quelque chose, Madame Bruner ?– Oui, en quelque sorte.– Je vous les apporte tout de suite, dit le maître d’hôtel en s’éloignant vers les cuisines. Je vous laisse consulter le solde de la carte.– Au fait Gustave, je ne t’ai pas demandé si tu aimais les huîtres.– Jamais essayé. C’est le moment de commencer.
Le plat arrive et le maître d’hôtel les ouvre devant eux.
– Alors Gustave, qu’est-ce que tu penses des huîtres ?– C’est une drôle de consistance, mais j’aime bien le goût.– Moi, j’adore.– Tu sais, j’ai la certitude que ton père me trompe avec sa secrétaire, je suis très fâchée contre lui.– Tu es sûr ? C’est vrai que cette pétasse m’a déjà un peu agressé, elle voulait absolument me lécher la queue. Je l’ai laissé faire, mais ce n’est pas allé plus loin, je n’aime pas son museau de rat fouineur, ni ses jambes comme des allumettes.– Pour la suite en regardant la carte, j’ai envie d’une demi entre-côtes charolaise, avec des épinards et des frites, est-ce que tu partages avec moi ?– Oui, cela me convient.
A la fin du repas, après avoir encore bu une bouteille de St Émilion entre les deux, Mme Bruner, appelle le maître d’hôtel et lui demande d’envoyer la facture à l’entreprise de son mari en ajoutant 20% de pourboire.
– Viens on rentre, on a encore les soins à faire.
Les deux se dirigent vers la maison en s’appuyant l’un sur l’autre, tant l’un que l’autre ne sont pas habitués à boire autantd’alcool.
– Va prendre ta douche et prépare toi dans ma chambre, lui dit-elle, et je te suis.– Oui, Maman, tout de suite.
Quelques dix minutes plus tard, elle rentre dans sa chambre, vêtue d’une nuisette et de son peignoir par dessus et Gustave est couché sur le dos avec une grosse érection.
– Je t’avais dit de ne pas t’exciter à l’avance, c’est trop dur de retirer la peau du prépuce.– Essaye, j’ai l’impression que cela va plus facilement et que tes soins n’ont pas été vains.
Alors Nelly, s’asseye sur le bord du lit et prend le sexe de son enfant en main et tire fermement la peau contre en bas, cela passe, mais Gustave ne peut réprimer une grimace de douleur et des larmes pointent à ses yeux.
– Je t’ai fait mal mon amour ? Dit Nelly dans un ton angoissé. Et elle plonge pour donner un petit bisou sur la trique biendégagée.– Oui, mais ce que tu m’as fait me permettrait de supporter toutes les douleurs.– Attends, je vais mettre un peu de vaseline et de crème.– Tu ne penses pas qu’un peu de salive pourrait suffire maintenant.– Toi je te vois venir coquin, mais pourquoi pas, du moment qu’on a commencé. Et elle prend dans sa bouche la bite de son fils et l’oint d’une salive abondante.– C’est bien que tu te sois bien lavé avant de venir, ton sexe ne sent pas mauvais maintenant. Il est même agréable à sucer.Dit-elle en faisant quelques aller et retour avec sa bouche. On va continuer le traitement de manière plus standard.– Dommage, c’était bien bon. J’aimerai bien aussi être obligé de t’humidifier le tien.– N’y pense pas. Dit-elle mais pas trop fâchée avec un petit frisson dans le dos.
Ils continuent le traitement et finalement Gustave gicle une quantité importante de sperme que Nelly recueille dans le linge etlui dit :
– Reste comme cela, je vais te nettoyer ta verge avec la bouche.– Oups, tu es trop bonne. Est-ce qu’en échange, je pourrai téter un sein comme quand j’étais petit.– C’est un peu limite, mais de toutes façons, cela fait un moment qu’on est sur la corde raide et moi je vois qu’il n’y a pas que la corde qui est raide.
Au moment où elle se penche sur la tige pour la nettoyer, sans rien dire, Gustave met sa main sur sa cuisse en commence à lui caresser l’intérieur jusqu’à arriver à la fourche, où il constate un manque de culotte, sa mère a la motte à l’air et vraiment très mouillée.
– Maman, je pense que je vais plutôt nettoyer ton sexe avec la langue, il est tout humide.– Comme on est parti, on va se faire un petit 69 pour me venger de ton père.– Maman, j’adore ces vengeances, j’espère qu’on va se venger souvent.
Sa mère sans autre enlève son peignoir et apparaît toute nue devant lui elle lui présente son entre-jambes perlés de nombreuses gouttes de miel et elle replonge vers cette tige qui l’attire inexorablement. Gustave a devant lui un magnifique tableau avec une belle toison blonde, de grandes lèvres bien gonflées de désir, sans parler des petites lèvres qui attendent sa bouche pou nettoyer, mais le plus beau, c’est un très joli clitoris bien dégagé qui appelle ses lèvres et sa langue pour le cajoler. Il commence à lui lécher l’entre-jambe en se régalant de ce jus si délicieux puis il remonte en léchant le méat urinaire qui offre un goût différent pour arriver au clitoris qu’il prend entre ses lèvres, ce qui déclenche un violent orgasme chez sa mère.
– Oh Gustave, ça on ne me l’avait pas encore fait, j’ai un tel plaisir quand tu t’occupes de moi, j’aime tes caresses et tes baisers. Mais tu ne diras rien à ton père, ni à ta soeur, ce serait la catastrophe. Je vois que tu es de nouveau d’attaque, il semble que mon miel est fortement aphrodisiaque. Viens sur moi, je veux t’avoir dans moi, mais tu te retireras, on n’a pas le droit de faire des enfants ensemble et je suis pas encore comme la bonne de Monsieur le Curé.– Maman, on va faire l’amour, les deux ?– Oui, mon chéri, ton père préférant le faire avec sa secrétaire, pourquoi je ne profiterai pas d’avoir un bel étalon, je te prie de croire que je n’y perds pas au change.
Les deux se font face et la mère prend cette magnifique épée et la plante au plus profond de son corps.
– MMM c’est bon, tu es beaucoup plus grand et gros que ton père, je te sens bien, je sens que je vais avoir un autre plaisir.Viens tout au fond et plonge toi dans moi le plus profond. Dit-elle en se cabrant de plaisir.– Oh ! Maman, cela rejoint mes rêves les plus fous, j’aimerai que cela dure toujours. Répond Gustave en faisant un mouvement en avant et en arrière. C’est beaucoup mieux qu’à la main et cela ne fait pratiquement pas mal. On va fairecomme cela dorénavant ?– Si tu veux mon trésor, je vois que tu es endurant, c’est bien, si on changeait un peu, j’aimerai bien venir sur toi.– Oui Maman attend que je désengage pour me mettre sur le dos.
Le fils se met sur le dos et la mère vient s’empaler sur sa bite qui la remplit si bien et son garçon a de cette façon sa poitrine à disposition. Elle se penche pour lui donner ses seins à sucer tout en continuant un mouvement chaloupé. Elle sent qu’à nouveau, une fébrilité monte de son ventre et un nouvel orgasme se prépare, mais en parallèle, elle sent que les soubresauts de la bite de son fils annonce qu’il va bientôt éjaculer. Elle se dégage et lui prend la bite dans la bouche.
– Viens mon fils, donne moi ce que je ne veux pas recevoir de ton père, donne moi ta semence dans la bouche.– Ah ! Je viens , c’est trop bon, mais toi, maman, je sentais que tu étais aussi sur le point de conclure, pour un moment, mon sexe est hors service, laisse-moi te donner un plaisir avec la bouche et après on pourra aller dormir.
La mère s’avance sur son fils et place ces genoux de coté des épaules et lui présente sa motte luisante.
– Tiens mon fils mange-moi, bois mon miel.
Par la même occasion, le fils pétrit les fesses de sa mère qui sont bien fermes, c’est pas pour rien qu’elle fait de la gymnastique intensément. Elle part à nouveau dans un orgasme où l’aspect interdit épice encore son plaisir.
– Je suis au bout, je n’en peux plus, mais le traitement a été fait très soigneusement on peut dire. Reste encore avec moi cette nuit, on ne sait jamais si une petite envie ne nous prend pas.
Les deux essayent de s’endormir dans les bras l’un de l’autre, mais cela ne va pas et de caresses en caresses, ils voient que si ils continuent, la nuit risque d’être très courte, si bien que raisonnablement ils se la jouent en l’hôtel du cul tourné.
Le lendemain matin, le soleil commence à pointer par dessus les crêtes du Jura quand Gustave émerge de son sommeil qui fut quelque peu agité. Il repasse en boucle les événements de hier, incroyable, ce souper avec sa mère, puis ses confidences sur la frivolité de son père, la suite amoureuse. Du coup, le thermomètre qu’il a entre les jambes est pas loin d’exploser, tant sous la pression de l’urine que de l’excitation. Il sent encore sur ses lèvres, le parfum intime de sa mère, ce qui augmente encore son excitation, mais le prépuce, il sert encore bien. Doucement et lentement, il essaye de le tirer, mais cela ne va pas bien, alors il se lève discrètement et va se soulager aux WC et revient doucement à sa place pour ne pas réveiller trop tôt son adorable mère. Elle est couchée sur le dos, exposant au soleil levant son anatomie magnifique.
– Qu’est-ce qu’elle est belle ma mère, murmure Gustave, comment qualifier sa délicieuse poitrine, avec ces seins en forme de poire qui restent bien fermes, malgré les maternités et les années et cette magnifique peau nacrée, douce est ferme malgré tout.Les yeux de Gustave ne peuvent se détacher de cet image d’Épinal, plus bas ce ventre légèrement bombé qui surmonte un pubis orné d’un charmant duvet de poils blonds.Plus bas en portant son regard, il ne peut qu’admirer cette vallée bordée de deux lèvres bien pleines et cette mer de corail en son centre.C’est trop fort, Gustave ne peut résister et au risque de réveiller la belle endormie, il se penche sur ce petit paradis terrestre, la lippe en avant, la langue conquérante, bien tendue qu’il plante dans cette fournaise qui l’appelle sans possibilité de se détourner.– Pouah ! Cela pue le vieux sperme desséché. Grommelle-t-il en se redressant.– Qu’est-ce que tu fais Gustave, gémit sa mère qui sort d’un doux rêve avec un chevalier blanc qui était entrain de la sauver du méchant dragon avec une belle lance.
Du rêve, il ne reste que la lance qui palpite à proximité de sa main. Elle émerge en sentant la douce attention de son fil, tout d’abord, elle est complètement bouleversée de voir son fils, la langue pendante qui sort de son sexe qu’elle sent tout poisseux et sa vessie qu’elle a toujours pleine.– Mon dieu, pense-t-elle, j’ai failli lâcher ma vessie puis ce sentiment d’inceste épouvantable, puis tout lui revient, les soins, le téléphone, le souper, la suite flamboyante avec ses multiples orgasmes.Fondante d’amour :
– Viens mon chéri, on va d’abord prendre un bain pour laver nos excès de hier, mais avant je vais soulager ma vessie, fais couler le bain.– Oui maman, mais j’aimerai te voir pisser.– Tu es un petit cochon, répond-elle toute émoustillée de l’intérêt que porte son cadet à ses parties intimes, mais c’estd’accord.
Il fonce à la salle de bain, met le bouchon dans la baignoire et fait couler l’eau et ensuite se dirige vers le WC où sa mère est déjà assise sur la lunette.
– Tu aurais pu attendre que je sois là pour bien voir.– Mais tu peux toujours bien voir mon chéri, j’ai pas commencé.
Il s’installe juste en face de la lunette, le regard braqué sur la toison de sa mère qui commence à éjecter un joli jet doré, à ce moment là, le fils ne peut s’empêcher un geste un peu douteux, il met la main au paquet et sa main est aspergée du flux de sa mère.
– Tu es un cochon.– Oui maman, mais toi tu es trop bonne dit-il en léchant sa main encore toute humide du jet doré de sa mère, je te bois.– Allez hop dans la baignoire, on a pas que cela à faire et on est déjà en retard répond-elle en se levant et se dirigeant d’un pas décider vers les étuves.– Je viens maman.– Tu penses qu’il y a de la place pour deux,– Certainement, si on se sert un peu, je viendrai derrière toi.– Pour commencer, tu pourras comme cela bien me savonner le dos.– Pas que cela.....aussi les bras, le bas du dos et.....ce qui est le meilleur, ta moule.– Taratata, canaille en piste.
Les voilà les deux dans le bain et Gustave en fils bien aimant commence à lui savonner le dos, le bas des reins, puis il passe devant en s’emparant de la belle poitrine de Nelly qu’il masse consciencieusement, ce qui commence à troubler à nouveau sa mère.
– Tu pourrais aussi te lever un peu, il y a encore une place que je n’ai pas bien nettoyé et cela ne sentais pas bon ce matin.Nelly se décolle du fond de la baignoire et elle sent tout de suite les mains savonneuses de son fils qui lui font un shampoing de sa petite moule, il insiste bien partout partout, ya le soldat qui garde l’entrée de la vallée, puis il descend jusqu’au puits abyssal et commence à caresser un peu cette petite rosette ce qui trouble à nouveau sa mère.
– Tu ne crois pas que tu exagères un peu ?– Tu sais, si je veux te faire encore minette ce matin, autant qu’il n’y ait pas trop l’odeur de la fosse d’aisance qui me chatouille les narines.– Mais tu deviens un vrai cochon, mais cela me plait, je ne sais pas où cela va nous mener, mais on y va avec détermination. Je pense que je vais me faire poser un stérilet, bien qu’à mon âge, le risque n’est plus très grand, mais onne sait jamais.
Les deux sortent du bain, prennent les peignoirs respectifs et la mère :
– Je vais écrire que tu es un peu pâle ce matin, j’ai envie de profiter de toi avant que ton père ne revienne. Après il faudra bien se tenir, j’aimerai pas de surprise.– Viens on va faire l’amour comme jamais, j’ai des envies folles avec toi, mais j’aimerai pas que tu t’épanche dans moi. Tu comprends pourquoi. Je ferai autrement.– Oui maman, tout ce te tu voudras.
Les deux retournent dans la chambre nuptiale et comme deux fous, ils s’embrassent, se pelotent, se lèchent. Gustave est comme fous et saouls de sa mère, il faut qu’il explore tout, il met même sa langue sur le trou du cul de sa mère qui n’est vraiment pas habituée à ce genre de fantaisie, mais trouve ceci très bon, son cul en redemande.
– Le prochain coup que tu as envie de pisser, j’aimerai aussi te goûter à la source et remplacer le papier pour essuyer.– Mais Gustave, tu deviens de plus en plus cochon, dieu sait quelle fantaisie tu vas encore me demander. Répond-elle, toute guillerette.– Maintenant, directement, j’aimerai bien te lécher tes aisselles, j’aime aussi son odeur de blonde, c’est moins fort que celle des rousses ou des noiraudes.– Tu en sais des choses.– Tu sais quand on est à la gymnastique, après les exercices, quand tu passes derrière certaines filles, tu ne peux savoir ce que cela dégage. Des fois, je chope la trique quand l’odeur est bonne et forte, il y en a déjà 3 nanas qui m’ont caresser la queue en le voyant, mais je n’ai pas voulu donner suite. Elles n’étaient pas contentes, mais je connais, c’est toujours la même chose, elles sont toujours plus fortes pour allumer que pour éteindre.– Je ne m’étais pas rendue compte que tu avais autant grandi. C’est vrai qu’avec un démonte pneu pareille, tu as tout ce qu’il faut pour assumer. Au fait, on a pas fait la thérapie ce matin, comment c’est quand je tire la peau vers le bas. Tu as mal, dit-elle en prenant l’objet de ses désirs en main.– Oui, encore pas mal.– Si tu veux, je vais le lécher avant de faire les exercices.– Oui, mais j’aimerai aussi que ta station de lubrification soit en bon état et là, il faut aussi que je te lèche.– Ok on fait alors un 69. Ainsi fut fait et Gustave se trouvant dessous, pouvais admirer les sommets du Jura entre les poilsblonds du sexe de sa mère tout en goûtant son pistil qui était bien sorti de sa tanière.– Mère, je crois que jamais je ne me rassasierai de ta cramouille, j’aime ton jus intime et l’odeur de ta crousille.– Mon fils, j’aime aussi le goût de la crème de tes couilles, quand il est frais, ton bâton de berger a vraiment le goût de reviens-y– Qu’est-ce que tu penses Maman, on va jusqu’au bout en 69 ou si tu veux que je te bourre un peu.– Les deux mon amour, mais tu finiras dans ma bouche, en attendant le stérilet.
Gustave tire sa langue le plus possible pour pénétrer le plus profond dans la grotte de sa mère, qui débarrassée des restes de la veille a repris ses effluves délicieuses, le jus, comme le vin lors des fêtes, coule à flots, coquin, Gustave met son doigts à la sortie de la vulve et commence à masser en partant du vagin en direction du trou du cul de sa mère. En arrivant sur la rondelle, elle ne peut s’empêcher d’avoir un frisson, ce qui intrique fortement Gustave.
– Je t’ai fait mal ? Dit-il faussement inquiet.– Non, juste que je ne suis pas habituée à ce que l’on me caresse le trou du cul. Mais tu peux continuer, c’est pas désagréable.
Délicatement, il tourne autour du trou qui réagit de plus en plus comme si il voulait happer le doigt curieux.
– Je peux te mettre un doigt Maman ?– On me l’a jamais fait, mais tu peux essayer doucement.– Attends, je vais lécher un peu pour que ce soit plus lubrifier et il tend sa langue jusqu’au trou de Bâles qu’il oint copieusement de salive et simultanément, il plonge son majeur dans la fente de sa mère pour aussi le graisser.Retirant sa langue, mais pas son regard, il met son majeur sur la rondelle et doucement pousse vers l’intérieur. Doucement au début, puis finalement tout le doigts. Surprenant, une houle commence à agiter les reins de sa mère qui en redemande.– C’est bon ? Demande-t-il– Oui, c’est trop bon, continue, ne t’arrête pas.– Je pense que le prochain coup, je vais mettre quelque chose de plus gros.– Non, ton doigt, c’est parfait.– Et moi alors ?– Tu as l’autre trou qui t’attend avec impatience, mais continue, je sens que cela vient oh ! Oui, mets un deuxième doigt, stp soudain Nelly est prise d’un violent tremblement qui la secoue violemment.– C’était trop fort dit-elle, je suis à plat.– Et la thérapie.– Viens sur moi, mais je te laisse faire tout seul, il faut que je récupère.– Mais c’est meilleur quand tu es sur moi !– Après, commence normalement.
Passant sa main sur le sexe de sa mère, il constate que celui-ci est trempé comme jamais, cet enculage lui a vraiment faitde l’effet. Lentement, il plonge sa queue dans ce trou qui n’a pas eu sa ration de sensation, il arrive bientôt au fond et ilpioche pioche, c’est bon les travaux publiques.Sa mère lentement émerge de son orgasme monstrueux et commence à participer en comprimant par moment cettecolonne Vendôme qui la transperce de fond en comble.Finalement Gustave sent que la sauce est en train de monter, il ressort de la cavité bénie, comme promis et dirige son obélisque vers la bouche de sa mère :
– Le petit déjeuner arrive Maman, tiens ton biberon.
Après ce biberonnage, les protagonistes se calment et prennent effectivement un petit déjeuner. La mère après se retire dans sa pièce où elle a ses affaires. Elle écrit d’abord un petit mot d’excuse pour l’école en expliquant que son fils étant en thérapie, il a des moments de faiblesse et ce matin, il n’était pas bien pour aller à la maison.Ensuite, elle prend le téléphone et demande aux renseignements l’adresse d’un bon bureau de détectives privés. (Google et internet n’existaient pas à cette époque, par contre les renseignements fonctionnaient bien.) Après avoir eu sonrenseignement, elle compose ce numéro et obtient l’agence Viét pas con.
– Bonjour, Madame Bruner au téléphone, auriez vous l’obligeance de passer dans la journée dans la maison, j’ai une recherche en adultère pour la semaine prochaine, mais il faut poser les appareils maintenant, pendant que le loup y est pas.– Certainement Madame Bruner. Je pourrais passer à 17h, cela vous convient-il ?– Si vous avez déjà votre matériel, ce sera parfait. Je vous expliquerais la situation et je vous montrerai les lieux.– C’est entendu, à 17h.
Gustave qui a entendu n’est pas trop content de l’allure que prend l’affaire, même si il fait cocu son père, il l’aime bien.
– Tu veux faire quoi ?– Simplement tenir ton père, je n’ai pas envie de divorcer, mais lui montrer qu’il n’est pas tout puissant et qu’il faut qu’il passe par où je veux qu’il passe. Je préfère avoir les atouts dans ma main que dans la sienne. Ce qui le retient dedivorcer, c’est pas son amour, mais le fait que si il a les torts, il se retrouverait comme simple employé. Donc je vais lui proposer un marché. De toutes façons, après ce que j’ai entendu, mon amour pour lui est mort et enterré, mais on peut rester amis et associés.– Ouah maman, tu es terrible, il vaut mieux t’avoir avec que contre toi, quoique j’aime bien t’avoir tout contre moi.– Si il veut tringler sa pétasse de secrétaire, je n’ai rien contre car maintenant, j’ai un vrai étalon qui ne rechigne pas au premier obstacle.
A 17h une voiture s’engage dans l’allée menant à la résidence des Bruner, en descend un homme élégamment vêtu, l’air très sportif.
– Dring, Dring
Nelly, ouvre la porte et fait entrer son vis à vis.
– James de l’agence Viet pas con pour vous servir.
Nelly lui raconte en détail le téléphone qu’elle a écouté par hasard et aimerait qu’il lui apporte les preuves nécessaires pour faire une séparation des corps.
– Sans être indiscret, puis-je visiter un peu la maison ?– Oui, mais c’est au bureau qu’on a le plus de chance de le coincer.– Mais quand même.
Arrivant dans la chambre à coucher, il ne peut s’empêcher de sourire en voyant la coiffeuse et son grand miroir en face du lit.
– Qu’est-ce qu’il y a dans la pièce d’à coté ?– Le bureau de mon mari.– Je peux y jeter un coup d’oeil ?– Oui, mais je n’ai pas les clés et il a l’habitude de fermer à clé.– Pas de problème, il y a peu de serrures qui me résistent dit-il en retournant à sa voiture et en prenant une petite trousse à outils. Il choisit un passe partout et en moins de temps qu’il me faut pour l’écrire, la porte est ouverte.
Il se dirige vers l’intérieur et découvre une installation sophistiquée de photographie avec un trou dans le mur.
– Je vois que votre mari est un adepte de la photo coquine.– Le salaud, je peux voir ce qu’il a pris comme photographies.– Oui, dit-il en rembobinant le film et en le tendant à Nelly, il vous reste plus qu’à trouver un photographe discret qui les développe. Mais je vais encore faire le tour des chambres pour voir si il n’y a pas d’autres surprises de ce type. C’est un excellent appareil de photo, très cher. Je vous conseillerai de vous l’approprier. J’ai l’impression qu’il appartient à une agence concurrente. Vous pouvez laisser le trépied et ne prendre que l’appareil, je peux vous fournir le mode d’emploi.Je vois qu’il y a plusieurs objectifs, vous avez fait là une belle acquisition. Maintenant, allons à la fabrique pour voir comment on peut disposer nos appareils.
Nelly laisse un petit mot à Gustave qu’elle rentrera plus tard, même assez plus tard, qu’il fasse ses devoirs et thérapie tout seul.
– Voila l’usine de pierre fine, le bureau de la secrétaire et celui de mon mari. C’est un peu le chenit.– C’est très bien, on peut d’autant plus facilement dissimuler ce qui ne doit pas se faire voir.– Je vais placer cette caméra qui se déclenchera si une présence se trouve sous le bureau. C’est un tout nouveau capteur de présence et on peut le relier à cette petite caméra qui ne fait pratiquement pas de bruit VHS super 8. Je vous proposerai de faire un essai grandeur nature. Je vous demanderai de vous asseoir sur le fauteuil de directeur et je vais jouer le rôle de la secrétaire.
Nelly se met assise sur le fauteuil et le détective se glisse sous la table et met sa tête entre ses cuisses. Tout d’abord elle est un peu choquée par ceci, surtout quand il sent la bouche arriver à son entre jambe qui commence à mouiller devant cette situation. Il reste un moment immobile sans faire de mouvement puis se retire en ayant bien respiré la chatte de Nelly avec une bosse importante qui déforme son pantalon.
– Excusez-moi pour la familiarité, mais c’était nécessaire pour voir si le cadrage est bon. Voila, je vais faire passer au ralenti cette séquence. Regardez ! Cela s’est vraiment déclenché quand j’ai pénétré sous la table on voit bien mes fesses et votre visage qui change de couleur quand je suis arrivé à bonne hauteur.– Oui, mais on ne voit pas le visage de la personne et franchement avec une femme, c’est plus facile.– Rien ne nous empêche de jouer le rôle à l’envers, je replace la caméra et me place à la place du directeur.Nelly rampe sous le bureau et est impressionnée par la tente qui se profile au niveau du caleçon, mais autant jouer le jeu jusqu’au bout et elle commence à dégrafer le pantalon et extrait le sexe qu’elle secoue doucement et passe un coup de langue dessus.– Pas mal, mais passons aux choses sérieuses. Dit-elle en ressortant de dessous le bureau. Montrez moi, maintenant ce que cela donne. Sur le film, on voit bien quand elle a déjà la tête sous le bureau, ce qui rend anonyme qui suce, mais on voit bien les différentes expressions du détective suivant le déroulement de l’action.– C’est bien, mais si il la prend sur le bureau, cela ne va pas marcher, dit-elle.– C’est vrai, mais souvent le patron a besoin d’affirmer sa supériorité et abuse de ce rabaissement . Mais si vous voulez, on peut mettre une autre caméra, mais le problème, cela va être de ne pas la laisser en continu on peut tourner pendant une heure, mais guère plus sans recharger une autre bobine.– J’ai une idée, bien qu’elle ne soit pas très lourde, elle pèse quand même plus que 50 kg, ce qui veut dire que si il la pose sur le bureau, il y aura une surcharge de 50K, vous n’avez pas de capteurs qui puissent le faire ?– Vous avez raison, mais il faut que je le bricole à l’atelier, je vais faire 4 cellules de forces et faire une liaison ad hoc. Mais il faut que je revienne dans 2 ou 3 jours.– Téléphonez-moi dès que vous êtes prêt, mais il faut encore que l’on discute un peu du prix.– Il peut varier en fonction du paiement en nature, je suis un gros consommateur.– Cela m’intéresse, je suis passée du stade de l’épouse soumise et fidèle à son contraire.– Disons qu’un passage mensuel dans mon appartement à Lausanne pourrait représenter la moitié des honoraires (il faut quand même que je vive) Disons que 10’000.- pour le solde me semble bien à propos. Surtout si on compte que vous avez récupéré un appareil de photographie qui vaut la moitié et que je ne peux récupérer, je verrai mal mon concurrent constater que je lui ai fauché du matos.– Marché conclu, et je peux vous donner une petite avance, mais il faudrait trouver une endroit discret.
Nelly passe du statut d’épouse modèle à celui de saute au paf.
— Je vais organiser cela pour quand je reviendrai poser le complément. Pour le moment, une petite pipe fera l’affaire. Va donc sous le bureau.– C’est un peu cavalier, mais pourquoi pas. Dit Nelly en se glissant sous le bureau. Mais débranche les prises de vue.– Non, cela fait un contrôle supplémentaire.– Oui, mais après, tu effaces. C’est trop dangereux de laisser ou plutôt, tu mets une nouvelle cassette neuve et tu medonnes celle-ci après.
Une semaine se passe et Auguste n’est toujours pas revenu, le marché a l’air d’être laborieux ou la secrétaire spécialement zélée. Entre temps, Nelly est repassée chez la doctoresse Tille et a demandé de lui poser un stérilet, comme cela, elle peut y aller à bride relâchée. Voilà un petit intermède de la discussion avec la Doctoresse.
– Bonjour Doctoresse, j’aimerai me faire poser un stérilet, j’ai vu qu’ils viennent s’inventer une pilule contraceptive, mais j’ai également appris que ce n’était pas sans risque pour la santé avec un excès d’hormones.– Vous avez parfaitement raison, mais puis-je ce qui vous détermine de choisir la contraception actuellement.– J’ai appris avec certitude que mon mari me trompe avec sa secrétaire, aussi, je ne voudrai pas qu’un enfant vienne compliquer la situation, j’ai déjà 2 enfants, pratiquement hors de la coquille, j’en désire vraiment pas d’autres à mon âge, voilà. Ce serait irresponsable dans cette situation de tenter une nouvelle grossesse.– Je ne peux que m’incliner devant la sagesse de votre décision. Nous allons le poser tout de suite. Veuillez vous déshabiller et vous étendre sur la table d’auscultation, passer vos pieds dans l’étrier.
Après avoir mis un instrument qui lui ouvre le vagin, elle introduit un introducteur de stérilet, le place doucement et retire l’engin.
-Voila, il est en place, mais d’après ce que vous venez de me dire, vraiment je ne comprends pas votre mari. Vous avez un corps parfait après 2 maternités et 45 ans. Vos Cheveux sont amples et très volumineux d’un merveilleux blond naturel, vos yeux sont doux et apaisants, votre nez a une ligne parfaite, ni trop grand, ni trop petit, ni pied de marmite. N’oublions pas votre bouche,votre dentition est très blanche et régulière, vos lèvres bien pleines appellent le baiser.Plus bas, votre poitrine ferait rêver bien des femmes plus jeunes, vos seins en forme de poire doivent appeler les lèvres de tout séducteur potentiel. Votre ventre légèrement bombé est aussi un appel à la caresse. On a envie de se plonger dans votre délicate toison pour embrasser votre clitoris qui a juste la bonne dimension. Pour le reste, vos grandes lèvres sont parfaites, bien gonflées suscitent tant le baiser que baiser tout court. Vos jambes sveltes, sans carte maritime montrent bien le chemin à suivre. Vraiment votre époux est un homme qui manque de goût de laisser en friche une pareille beauté.
– Que de compliments, ne pratiqueriez-vous pas le culte de Lesbos ?– Oui, aussi à mes heures perdues, ne désireriez-vous pas que nous soyons amies ?– Cela m’enchanterai beaucoup, vous êtes aussi très désirable et cela me rappellera ma jeunesse où dans l’institut des bonnes soeurs, ce genre de culte était aussi voir plus fréquent que la messe. Mais ces temps, je suis un peu surbookée, mon mari rentre la semaine prochaine et je veux le prendre la main au sac pour acquérir une certaine liberté.– On doit se revoir la semaine prochaine pour votre fils, au fait comment cela se passe ?– Bien, maintenant, le prépuce arrive à franchir le gland avec encore quelques douleurs, mais cela a bien progresser.– Très bien. Bon alors à la semaine prochaine, je vous laisse vous rhabiller dit-elle en passant une dernière fois sa main sur son minou un peu mouillé.– Hum, je me réjouis, il a une bonne odeur, dit-elle en passant sa main devant son nez et en léchant ses doigt :– Le goût est pas mauvais non plus, votre fils doit être dans tous ses états quand vous faites sa thérapie.– C’est vrai que je l’ai vu qui reniflait une de mes petites culottes en se secouant. Je n’ai rien dit, car finalement il manipulait bien son prépuce et si il fait des heures sup. Je ne vais pas me plaindre.– Voila, à la semaine prochaine. On s’embrasse ? Dit la doctoresse en tendant ses lèvres.
Et les voilà qui se roulent un beau patin. Bien matrimonial en se caressant la poitrine.
– On arrête, sinon, je ne vais jamais pouvoir faire ce que j’ai à faire. Il faut que je me dépêche.– OK

...à suivre...

PS : cette histoire est un peu inspirée par une autre qui est parue sur le forum et je lui ai donné une orientation un peu différente.
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