Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 9 J'aime
  • 0 Commentaire

Les métamorphoses de Sylvie

Chapitre 5

Divers
5 - Un lendemain difficile.
Lorsque je me réveille, le lendemain matin, j’ai la surprise de voir Nadine près de moi. Elle a une chemise de nuit, alors que je suis toujours nue. Je tente par réflexe de me cacher sous le drap, ce qui la fait sourire. Elle me rappelle :— Tu ne te souviens pas que nous nous sommes baignées toutes nues toutes les deux pendant très longtemps? Et quand nous nous faisions des confidences, que nous étions nues l’une comme l’autre? Je t’ai déjà vue, tu sais. Cela dit, je trouve que tu es de plus en plus belle et je ne comprends pas ton mari.Un peu gênée, je lui réponds:— Si, je me souviens, mais c’est que là...Elle reprend :— Là... As-tu au moins un peu dormi ?Je lui réponds:— Oui !Elle me signale:— Ta nuit n’a pas dû être de tout repos, elle a même dû être agitée !En souriant, elle ramasse les quatre clichés qui étaient bombés par terre et les remet dans l’enveloppe qu’elle repose sur ma table de nuit.
Je la regarde agir, je ne peux pas m’empêcher de pleurer.Elle s’assied sur le lit, tout près de moi, prend ma tête dans ses bras et me berce doucement comme une mère le fait pour son enfant. Mes pleurs redoublent, ses caresses aussi. Elle me dit doucement:— Pleure, ma Sylvie, pleure, ça te fera du bien!Je me niche contre ses seins et j’entoure son cou de mes bras. Je me sens si bien contre elle que je lui dis, tout en reniflant:— Nadine, tu es gentille, tu es un amour avec moi!Elle a des gestes d’une tendresse incroyable, elle remonte ses genoux pour que ma tête soit mieux soutenue, elle caresse doucement mes joues recouvertes de larmes, elle m’effleure aussi les cheveux. Elle me dit de sa douce voix:— Sylvie, tu es mon amie! C’est normal que je m’occupe de toi.Nous restons blotties l’une contre l’autre un bon moment, puis je lui dis:— Il faut que je me lève et que je me lave. Tu vas me prêter une robe et j’irais chez moi chercher quelques affaires.— D’accord, mais je vais avec toi, pour le cas où. — Et les enfants?
— Ils dorment encore. Va vite te laver, moi je finis de me préparer.
Quelques instants plus tard, après un petit déjeuner rapide et une douche expédiée à toute vitesse, nous sommes dans ma 2CV, en route vers la maison où s’est déroulé le « forfait » comme le nomme Nadine.La maison est fermée à clé. Je l’ouvre. Il n’y a personne, comme je m’y attendais. Mon mari - lorsqu’il est là - part tôt le matin pour aller au travail. Je suppose qu’il est parti avec sa conquête.Aidée par Nadine, j’ouvre toutes les armoires et j’en sors tout ce qui m’appartient. C’est vite fait, il y a essentiellement mes vêtements et mes sous-vêtements. Je bourre tout dans les trois grosses valises de la maison, aidée par Nadine qui s’assied dessus quand je les ferme, ce qui nous fait rire.Nous chargeons le tout dans ma deudeuche. Au moment de partir, je veux laisser un mot à mon encore mari. Nadine m’empêche de le faire, en arguant du fait que lui ne m’a pas prévenue, au contraire!Lorsque nous revenons chez Nadine, les enfants dorment encore. Nous prenons de multiples précautions pour ne pas faire de bruit en plaçant mes affaires dans l’armoire que Nadine a mis à ma disposition.
Dès le réveil des enfants, j’aide Sylvie, en m’occupant plus particulièrement de mon filleul, bien entendu.La journée se passe à peu près bien. Pour m’occuper, Nadine me suggère de reprendre les photos que j’ai faites de mon futur magasin et d’examiner comment je peux tout arranger. Comme elle a beaucoup d’idées aussi sur la décoration, la journée passe vite entre mes projets, la cuisine, les enfants, etc.
Dans l’après-midi, je prends contact avec l’agent immobilier en lui expliquant ma nouvelle situation, puisqu’il y a de fortes chances que je divorce. Comme il connaît aussi très bien le père de Nadine, il me dit que ce n’est pas un problème, qu’il me réserve le local. Il me rappelle qu’il y a un appartement assez grand au-dessus du magasin et un garage pour deux voitures juste à côté, ce qui est appréciable en pleine ville. Finalement, alors que je m’attendais à avoir encore une nouvelle série de catastrophes, ça s’arrange plutôt bien... à la condition que je trouve l’argent qu’il souhaite.
Arrive la soirée. Là, j’ai un moment de découragement dont Nadine se rend compte. Malgré tous les efforts de mes deux amis, je me sens bizarre à l’idée de dormir pour la seconde fois dans la chambre qu’ils m’ont prêtée si gentiment.
Nous mangeons mais je n’alimente guère la conversation. A la fin du repas, Nadine m’entraîne pour endormir les enfants. En revenant vers Charles, elle lui dit:— Mon chéri, je ne vais pas me coucher tout de suite. Je vais border notre invitée, comme nous le faisions quand nous étions toutes petites et que nous avions des secrets à nous raconter.Charles répond paisiblement :— Comme tu veux, ma chérie! Je t’attendrai dans notre lit. Mais vous n’avez pas eu assez de la journée pour parler? Ah, vous êtes bien des femmes, toutes les deux!
Nadine, elle, a compris que j’ai besoin d’elle, mon amie. Nous nous préparons pour la nuit, puis elle vient avec moi dans la chambre. Elle me dit:— On fait comme avant?Je lui répond:— Oui.Nous nous couchons, nues toutes les deux, dans ce qui est devenu mon lit et nous parlons longuement. Je pleure beaucoup, elle me console beaucoup et tendrement, comme si elle était ma sœur aînée alors que c’est moi la plus âgée, de quelques mois seulement, certes, mais quand même. D’un seul coup, tout à trac, je lui déballe ce que j’ai fait la veille au soir, les photos de mon mari et de sa petite pute, mon énorme masturbation, mon orgasme incroyable et surtout inattendu. Je lui demande:— Tu crois que je deviens folle ?Elle me sourit en me disant :— Folle, certainement pas, mais tu es peut-être une voyeuse qui s’ignore. De toute manière, tu es en manque de sexe, c’est sûr!— Écoute, Nadine, c’est exactement ce que je me suis dit.— Tu sais, je te dis ça comme ça ! Mais... tu vas encore regarder les photos ce soir? Ou tu veux que je les enferme?En même temps, elle prend l’enveloppe qui est toujours sur ma table de nuit. Je la lui arrache des mains. Elle me sourit et me dit, en sortant du lit:— Bon, je vais voir Charles. Tu sais, nous allons faire l’amour. Ne t’inquiète pas si tu entends des cris, je suis assez expansive, si tu me comprends. Alors, profites-en pour te faire ton petit plaisir, on n’entendra rien!Elle se penche vers moi, me donne notre petit baiser habituel sur les lèvres et sort de la chambre pour rejoindre son mari
Seule, j’éteins la lumière. Je m’allonge, je mets mes mains sous l’oreiller. Je songe les yeux grands ouverts. Je n’arrive pas à m’endormir. Dans la chambre d’à côté, quelques petits gémissement étouffés me font penser que Charles commence à s’occuper de Nadine. Je rougis en les enviant, eux, au moins, ils sont réellement amoureux l’un de l’autre.Je rallume. Je prends l’enveloppe et regarde de nouveau les photos. Je les remets dans l’enveloppe et j’éteins de nouveau.Dans le noir, j’imagine la scène que j’ai vue, de plus en plus précisément, la gamine chevauche mon mari. Elle remonte et laisse échapper son sexe. Du sperme coule à flots continus de son vagin. Je n’en peux plus, surtout qu’à côté Nadine fait son petit concert. Je mets mes mains vers mon sexe après une lente caresse qui va de mes seins à mon ventre. De la main droite, je me massacre complètement le clitoris tout en me mettant trois doigts de ma main gauche dans le vagin. Je remue mes mains comme la folle de sexe en manque que j’ai l’impression de devenir et je finis par jouir âprement en même temps que Nadine.
Repue, les mains vers mon sexe, je m’endors d’un seul coup après mon violent orgasme.(à suivre)
Diffuse en direct !
Regarder son live