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Les métamorphoses de Sylvie

Chapitre 11

Divers
11 - Un lendemain enchanté.
Lorsque je me suis réveillée, je me suis rendu compte qu’il faisait grand jour. Comme je n’avais pas tiré les volets en rentrant hier soir ou plutôt ce matin, lorsque Marc et moi sommes revenus de l’anniversaire de Nadine, nous baignions dans la lumière.Je me suis aussi rendu compte d’autre chose, j’étais allongée de tout mon long sur Marc et son sexe incroyablement dur était toujours enfoui au plus profond de moi. Mon sexe baignait dans la béatitude du dernier orgasme que j’avais ressenti juste avant de m’endormir.
J’ai ouvert les yeux. Il me regardait, un sourire aux lèvres. Il me dit:— Bonjour, Madame! As-tu bien dormi?— Merveilleusement bien, Monsieur! Mais... j’étais sous toi et...— Oui, Sylvie, je me suis rendu compte, juste avant de te rejoindre dans le sommeil, que nous étions toujours unis. C’est la première fois de ma vie que je m’endors en étant au plus profond du sexe d’une femme, surtout aussi parfaite que toi. Je ne regrette pas, j’ai passé une excellente nuit. Mais comme je ne voulais pas t’écraser, je t’ai fait passer au-dessus de moi.— Mais nous ne nous sommes pas séparés du tout? Nous avons bien dû bouger en dormant, non?— Je ne sais pas. Tout ce que je sais, c’est ça!Il a accompagné son « ça » d’un grand mouvement en avant dans mon sexe. J’étais encore trempée de l’intérieur et il ne m’a fallu qu’un quart de seconde pour lui répondre.
J’étais fermement décidée à lui rendre la monnaie de sa pièce. Ah, Monsieur voulait recommencer? Eh bien, il allait voir!J’avais encore son sperme dans mon sexe, mélangé à tout ce que j’avais pu émettre. Certes, la plus grande partie était sur le lit et nous avions dormi dedans l’un comme l’autre, mais il m’en avait tellement mis et j’avais eu tellement d’orgasmes que je sentais bien huilée autour de sa grosseur qui était en train de se raidir et d’entamer des aller-retours dans moi.Sans rien dire, j’ai mis mes muscles internes en route, mon vagin s’est contracté autour de lui, puis s’est desserré et de nouveau, par un mouvement qui est devenu presque automatique, en fait je l’ai masturbé avec mes intérieurs.Il a paru surpris puis il m’a dit:— Tu vois que c’est vrai ce que je te disais, tu es la déesse du sexe et de l’amour.Subitement, la même envie, le même désir, nous a fait nous précipiter l’un contre l’autre. Là, il n’a pas hésité, il a quasiment sorti sa grosse queue de mon vagin, puis il l’a renfoncé à tout allure jusqu’à ce qu’elle touche complètement mon fond, je me suis serrée et desserrée autour de lui, nous avons joui comme des fous, nous avons hurlé, j’ai espéré qu’il n’y avait personne dans les alentours mais à vrai dire je m’en moquais, il est sorti de moi, m’ a regardée complètement ouverte puis il est revenu d’un coup, faisant sortir de mon sexe des liqueurs dont j’ignorais que je pouvais en produire autant. D’un seul coup, il s’est crispé dans moi, a buté tout au fond de mon vagin et il m’a de nouveau remplie de sa semence. Pour être sûre de ne pas le perdre, je le serrais dans mes bras et entre mes cuisses, de telle manière qu’il soit le plus près possible de moi. Comme il en faisait autant, j’ai eu l’impression que nos deux corps, réellement, n’en faisaient plus qu’un. Nous nous sommes décollés du lit à plusieurs reprises et puis, finalement, après un dernier orgasme encore plus important que les précédents, il s’est effondré sur moi. Vaincue, j’ai ouvert mes bras pour les poser sur le lit. Nous nous sommes embrassés une dernière fois à pleine bouche et nous sommes tombés dans une douce torpeur post-orgasmique.
C’est lui qui a réagi le premier:— Sylvie, m’a-t-il appelée en me caressant doucement, te souviens-tu que Nadine et son mari nous attendent?— Mon Dieu, oui ! Quelle heure est-il?J’ai tourné mon regard vers la table de nuit, il était près de treize heures.Je l’ai attiré contre moi et je lui ai appris, en le caressant, moi aussi :
— Il faut que je me douche... et toi aussi. Mais je n’ai pas de rasoir pour toi.Il s’est mis à rire et m’a dit :— Ça ne fait rien. Attends, je vais t’aider à te lever.Il a posé ses pieds par terre et il m’a attirée à lui. J’étais encore pleine de sa grosseur, qui n’avait que peu fléchi. Il m’a mise debout, j’étais enfoncée au maximum autour de lui. Il m’a dit en riant:— Indique-moi le chemin, je t’emmène te doucher.Je lui ai dit, alors que j’ouvrais la porte et que je me sentais m’enfoncer encore plus autour de lui:— J’aimerais que tu me portes comme ça tous les matins.Il m’a répondu, d’un air sérieux:— Tu sais, j’aimerais bien aussi. Dès que nous aurons des vacances ensemble, c’est ce que je ferai, je te le jure.Il m’a reposée au bord de la douche. C’est là que je me suis aperçu que, comme le petit Poucet, nous avions laissé des traces de notre passage, du sperme, tombé de mon sexe, jalonnait notre parcours. Quand il m’a soulevée pour me laisser me laver, j’ai d’abord ressenti un sentiment de vide extraordinaire mais je me suis rendue compte que tout un flot de sa semence s’écoulait de moi. J’ai fait un geste insensé, j’ai mis ma main sous mon sexe, j’en ai recueilli un maximum puis je l’ai bu. Il m’a regardé faire en souriant, l’air ému. Il m’a demandé:— Ça te convient, comme petit déjeuner?Je ne lui ai pas répondu, mais je pense que l’expression de mon visage a dû lui suffire. Il a rompu cet instant de tendresse en disant:— Maintenant, la douche, si nous ne voulons pas arriver chez Nadine à quatre heures de l’après-midi.
Comme il y avait suffisamment de place pour nous deux, nous l’avons prise en commun. Il m’a doucement nettoyée, y compris dans « mes intérieurs », comme il m’a dit, moi je l’ai savonné en entier sans oublier sa grosse verge qui, dès qu’elle a senti ma main, est repartie dans sa raideur. Il m’a appris d’un air amusé:— Tu vois que j’avais raison en te disant que tu as les mains si douces que rien ni personne ne doit te résister.— Oui, tu as peut-être raison. Mais il faut que nous nous dépêchions de nous habiller.— Petit problème, ici, je n’ai ni mon rasoir ni de sous-vêtements de rechange.— Je ne peux pas t’en prêter !— Bon ! Ils doivent se douter de ce que nous avons fait, le fait que je ne sois pas rasé va confirmer leurs doutes ... Veux-tu me faire plaisir?— Oui, pourquoi ?— Je voudrais que tu sois nue sous ta robe. Je sens que te savoir disponible près de moi va... raviver mes ardeurs!— Grand fou! ai-je ajouté en riant. Mais je me suis contentée de passer simplement ma robe, sans aucun dessous. Ça fait une drôle d’impression d’être nue sous des vêtements, mais à cet instant j’ai été persuadée que je m’y habituerai vite, d’autant plus qu’il a tout de suite été vérifier « pour voir » a-t-il prétendu, alors qu’il le savait, en fait pour me mettre un doigt dans le sexe qu’il a trouvé déjà trempé. Il a ajouté:— Bon, allons-y, si nous restons une minute de plus, je ne réponds plus de rien.Nous sommes descendus dans le garage. Il voulait à toute force me faire « étrenner » sa Mercedes, je lui ai dit que nous irions chez Nadine avec ma 2 CV. Il a accepté.(à suivre)
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