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Les métamorphoses de Sylvie

Chapitre 15

Divers
1es métamorphoses de Sylvie
— Une découverte immobile.
Il m’a allongée sur le dos, précautionneusement, en restant enfoui en moi. Il s’est enfoncé au maximum dans moi, je sentais qu’il ne pouvait pas aller plus loin, parce que nos bassins se bloquaient mutuellement.Il s’est un peu redressé en prenant appui sur ses bras tendus, il m’a longuement regardée et il m’a dit :— Apprête-toi à vivre une expérience que tu n’as probablement jamais vécue. Mais avant, il faut qu’on s’arrange un peu. Tu me sens bien dans toi ?J’ai fermé les yeux pour lui dire que oui. Il a repris :— Bon ! Il a mis ses jambes de chaque côté des miennes, puis il m’a demandé :— Sylvie, il faut que tu serres tes cuisses l’une contre l’autre.Je me demandais comment j’allais faire avec sa grosseur dans mon ventre mais ça s’est très bien passé. Ce que je n’avais pas prévu, c’est que j’avais ses deux grosses boules, bien dures, pleines de sa liqueur dont il m’arrosait si souvent, juste contre mes cuisses, à l’intérieur. Elles me faisaient un effet fou.Il a pris mes mains dans les siennes et il nous a unis de telle manière que j’avais chacun de mes doigts entre deux des siens. Il m’a tendu les bras vers le haut, de chaque côté de mon oreiller puis il s’est allongé sur moi. Il m’a dit :— Tu sens comme nous sommes bien unis ?— Oui !— Maintenant, nous n’allons plus bouger. Je vais grossir en toi et toi tu vas me serrer dans ton ventre, avec les muscles de ton vagin.C’est ce que nous avons fait. Il me fixait droit dans les yeux, je lui rendais son regard mais au bout d’un moment il a fallu que je ferme les yeux pour mieux me concentrer sur mes sensations. Il en a fait autant, il me l’a dit après.C’était fabuleux : à chaque mouvement de l’un ou de l’autre, je me sentais m’ouvrir encore plus, je coulais autour de lui, le drap sous moi était complètement inondé mais je m’en moquais : je jouissais de plus en plus jusqu’à atteindre un point ultime où j’ai hurlé, littéralement. Je me suis demandé, au début, d’où pouvait provenir ce hurlement de gorge que je ne connaissais pas jusqu’au moment où je me suis rendu compte que c’était moi qui criait, d’une voix que j’ignorais, calquée sur les émotions que je ressentais.Soudain, il s’est allongé totalement sur moi, il a mis sa tête dans mon cou et il a éjaculé longuement dans mon sexe, tandis que mes cris montaient encore en intensité. D’un seul coup, nos muscles se sont relâchés.
Nos mains se sont séparées. Nous nous sommes regardés longuement, comme pour nous dire silencieusement que nous nous aimions. J’ai ouvert ma bouche, il a posé la sienne dessus et nous avons refait un combat de langues. Tout en nous fixant dans les yeux, je l’ai caressé derrière de la tête, il a pris la mienne dans ses deux mains. J’ai dit à voix toute basse, en espérant qu’il ne l’entende pas, parce que je ne voulais pas qu’il le sache, même s’il s’en doutait :— Je t’aime.Il n’a rien répondu, mais il a fermé les yeux pendant une fraction de seconde, comme s’il voulait apprécier ce que je venais de lui déclarer.Il a rouvert les yeux, m’a fixée longuement puis il a pris mes seins dans chacune de ses mains et il m’a dit, en se soulevant légèrement de moi :
— Je crève de faim et de soif. Je t’emmène au restaurant et, cette fois-ci, dans ma voiture.Je lui ai souri.Il s’est doucement retiré de moi et j’ai encore senti cette impression de vide dans mon ventre. J’ai posé ma main dessus, comme pour le sentir encore un peu. J’ai compris alors que tout ce qu’il m’avait mis dans le sexe voulait s’écouler. Je me suis brusquement redressée sur le lit, le bousculant un peu. J’ai mis ma main droite sous mon sexe et j’ai attendu qu’elle soit pleine de son sperme, puis je l’ai remplacée par ma main gauche pour que, à son tour, elle recueille le reste de ce qu’il m’avait mis. Pendant ce temps-là, j’ai bu comme une altérée ce que j’avais dans ma main droite.Il m’a regardée faire en souriant et m’a confirmé :— Toi vois, je t’avais dit que tu étais la déesse du sexe et de l’amour.J’ai fini de lécher la paume de ma main en le fixant dans les yeux puis je me suis livrée à la même opération avec ma main gauche. Il s’est levé, m’a prise dans ses bras et m’a longuement embrassée à pleine bouche. Ensuite, il m’a dit :— Viens, nous allons nous doucher.Ses yeux se sont portés à ce moment sur le lit. Machinalement, j’ai suivi son regard. Le drap du dessus était à terre depuis longtemps, mais le drap du dessous était à tordre, empli de nos liqueurs. Il m’a dit en souriant :— On le change tout de suite où on attend d’être revenus ?Je lui ai répondu :— Tout de suite, et je vais le mettre dans ma machine à laver. Comme ça, nous aurons juste à nous recoucher...Je n’ai pas terminé ma phrase mais il avait déjà compris que, lorsque nous reviendrions, j’espérais qu’il me fasse encore l’amour avec son instrument divin. J’ai arraché le drap du lit, pour m’apercevoir que des taches maculaient, ça et là, mon beau matelas tout neuf. Lui aussi s’en est rendu compte et il m’a dit :— Nous pourrions peut-être laisser le matelas sécher un peu.Je lui ai répondu :— Non ! Regarde !Et d’un geste décidé, j’ai retourné le matelas. J’ai ajouté :— Voilà, maintenant, nous pouvons mettre un autre drap.Je suis allée vers mon armoire d’où j’ai sorti un drap flambant neuf. Il m’a aidée à le mettre sur le matelas et surtout à le border. Comme je voulais remettre le drap du dessus, il m’a demandé :— Crois tu que ce soit vraiment utile ?J’ai souri puis je me suis faite chatte en me frottant contre lui. Je lui ai répondu :— Peut-être pas, Monsieur ! Nous verrons !Il m’ a attirée contre lui et m’a caressée partout, en insistant sur mes seins et mon sexe. Un tendre baiser nous a réunis et, la main dans la main, nous sommes allés nous doucher. Je sentais déjà que j’allais peiner à être séparée de lui.
Nous nous sommes douchés, habillés puis nous sommes descendus jusqu’au garage où il m’a ouvert la portière passager de sa voiture.C’est ainsi que nous nous sommes dirigés dans la grande ville la plus proche, à une trentaine de kilomètres au sud. En conduisant, il m’a appris :— Je ne veux pas que ta réputation de future commerçante soit gâchée parce que des personnes nous verraient ensemble.J’ai posé ma tête sur son épaule et ce fut ainsi que nous fîmes tout la route jusqu’au restaurant.(à suivre)
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