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Les métamorphoses de Sylvie

Chapitre 27

Divers
27 - Le soir du vendredi mémorable.
Toujours nue, j’ai préparé mon repas puis je me suis dépêchée de manger. Tout dans mon intérieur, de ma tête à mon sexe en passant par mes seins ou mes mains, était à la fête : il allait enfin venir et me combler.Une fois mon repas terminé, je suis retournée dans mon futur magasin. J’ai vérifié méticuleusement les traits que j’avais faits à la craie en les comparant à ce que j’avais mesuré sur mon plan. Tout était parfait.Prise d’une subite inspiration, parce que j’en avais envie, je me suis allongé sur le sol. Ce n’était pas très chaud, c’était même un peu frais, mais je m’en moquais. Je savais que j’allais me doucher, donc je n’avais pas de problème. Là, comme la première fois que j’étais venue vérifier mes mesures, je me suis masturbée mais j’ai pris tout mon temps : mon clitoris a été savamment mis à contribution pour que je puisse enfoncer doucement ma main droite dans mon sexe et faire comme il m’avait expliqué.J’étais ouverte, mon intérieur était gluant autour de ma main, des odeurs de femelle en rut arrivaient à mes narines, mes doigts enfoncés dans mon sexe s’écartaient d’eux-mêmes, jusqu’au moment où j’ai fait comme il me l’avais demandé, en fermant mon poing.Là, je me suis liquéfiée et quasiment évanouie tellement mon orgasme a été violent.
Lorsque je suis revenue à moi, j’ai ôté doucement ma main de mon sexe et je suis remontée, un peu flageolante, jusqu’à mon appartement où je me suis allongée sur mon lit pour récupérer un peu.Dans ma tête, tout se bousculait : si j’avais fait ça dans mon magasin, c’est parce que je savais qu’il allait venir. Je me suis demandé à un moment si je ne devenais pas folle, folle de mon corps, folle de son corps, folle de nos deux sexes.Je me suis un peu reposée en pensant à tout ça puis le téléphone a sonné. C’était lui.Il m’a appris :— Sylvie, nous serons chez toi vers dix-neuf heures, probablement, impossible de faire plus vite. Tu comprendras quand tu verras ce que je t’apporte.— C’est si lourd que ça ?Il se mit à rire :— Tu n’en a pas la moindre idée. Si je m’écoutais, je serais déjà là, mais il faut que je leur montre le chemin. Que vas-tu faire, en attendant ?— Je vais me préparer comme tu m’as montré.— Ah, ah ! Madame prendrait goût à la sodomie ?— Non, Monsieur ! Pas plus qu’à autre chose. Vous savez bien que je raffole de tout ce que vous me faites. Je veux simplement être bien propre pour vous, Monsieur.— Merci, ma Sylvie. Bon, nous repartons. Je me suis seulement arrêté à une cabine téléphonique pour te donner des nouvelles.— Je vais faire ce que je t’ai dit. A tout à l’heure, Marc.Je me suis préparée comme il m’avait montré. Après un passage aux toilettes, j’ai pris une longue douche après un bain relaxant au possible. Je me suis en même temps lavé les cheveux que je me suis fait sécher. Pas de maquillage, je sais qu’il n’aimait pas trop et moi non plus. J’ai passé une robe sous laquelle je suis restée nue.J’ai préparé les menus de nos repas, puis je suis sortie pour faire des courses, car dans mon esprit il était hors de question que nous perdions une seule minute de notre précieux temps à faire autre chose que nous aimer. En revenant, je me suis assise dans mon salon. Là, j’ai un peu lu tout en écoutant mon morceau de musique préféré, le second mouvement du Concerto pour piano  et orchestre de Mozart. Je m’étais offert une folie, une chaîne Bang&Olufsen avec un bras à déplacement latéral et tout le matériel associé, en particulier les enceintes. Le son était d’une fidélité rare. Je rêvais avec cette musique merveilleuse, j’avais l’impression de planer et de me préparer à jouir encore plus fort de l’étreinte future de mon merveilleux amant. J’ai remis ce morceau à plusieurs reprises, tellement j’avais plaisir à l’entendre.
Il devait être à peu près dix-huit heures quinze. On a sonné. Je me suis dit en moi-même :— Flûte ! J’espère que la visite ne va pas durer trop longtemps.Je suis descendue pour ouvrir et je me suis fait la réflexion que la visite, au contraire, pouvait durer une éternité ! C’était Marc.Il m’a prise dans ses bras et m’a longuement embrassée, puis il m’a murmuré :— Attends, je vais expliquer aux Anglais ce qu’ils doivent faire et je reviens. J’espère que tu es nue là-dessous ?Je lui ai répondu de la même manière :— Oui, je suis nue, tu veux que je te montre.Il a arrêté le geste que j’avais eu de soulever ma robe. Il m’a dit :— Tu ne vas tout de même pas montrer à nos ennemis héréditaires combien les Françaises sont belles, non ?J’ai souri, j’étais follement heureuse.Il m’a appris :— Lundi matin, ton magasin aura une toute autre allure. J’ai conservé en mémoire tous les croquis que tu m’avais fait et c’est l’objet de ma surprise, quoique..— Quoique ?— J’en ai une autre pour toi, mais beaucoup plus intime. Bon, tu vas entendre du bruit, parce qu’ils vont casser le mur pour mettre ta vitrine.J’ai tenté de protester :— Mais...— Ne dis rien, ma Sylvie, tu vas avoir le plus beau magasin de lingerie de France, donc du monde !Je lui ai souri mais j’étais un peu angoissée : qu’allait-il faire de mon magasin ? Il a senti mes réticences et il a pris dans sa voiture un gros dossier qu’il m’a mis sous les yeux. Dessus, il avait collé la photo d’une vitrine ressemblant exactement à ce que je lui avais décrit alors que nous nous reposions entre deux combats amoureux. Il m’a dit :— Je ne crois pas que tu seras déçue, mais il va falloir que tu t’habitues entendre à quelques coups de marteau. Je reviens.Il est allé donner des instructions aux personnes qu’il avait conduites avec lui. En fait, je m’en suis aperçu à ce moment-là, il y avait trois camions, dont un qui était surmonté par des grandes vitrines disposées sur une sorte de chevalet.Il est revenu vers moi après avoir un peu parlé en anglais, mais il avait oublié que je maîtrisais parfaitement cette langue.Il leur a dit, je m’en souviens mot pour mot :— Je vous remercie, Messieurs. Travaillez pour que tout soit fini dimanche soir. Je vous ai déjà payé et si vous le faites comme je le veux, vous n’aurez pas affaire à un ingrat. C’est un cadeau que je fais à ma femme.La personne qui m’a semblé être le chef de tout ce petit monde lui a répondu :— Bien, Monsieur ! Nous ferons comme nous avons dit. Permettez-moi de vous dire que vous avez une très belle femme.Il a souri, les a remerciés puis il est revenu vers moi. Cérémonieusement, il a ouvert la portière de sa voiture, côté passager, puis il m’a appris :— J’ouvre la porte de ton garage et je rentre ma voiture dedans.J’étais aux anges ! Il avait fait croire à des inconnus que j’étais sa femme, il mettait sa voiture dans le garage et je savais ce que ça signifiait pour moi.Il a rentré sa voiture pendant que je lui demandais, l’air innocent :— Dis-moi, Marc, pourquoi leur as-tu fait croire que j’étais ta femme ?— Ah oui, c’est vrai tu connais l’anglais ! Disons que comme ça ils ne se poseront pas trop de questions.J’ai murmuré un « Hum ! hum » d’approbation. Il m’a demandé :— Je ne sais pas quoi faire en premier, ou plutôt si !Il m’a longuement embrassée à pleine bouche tout en m’ôtant ma robe. Alors que nous étions encore dans sa voiture, la porte du garage tout juste fermée, il s’est mis nu, lui aussi. Il m’a prise dans ses bras, il s’est assis à ma place et m’a dit :— Tu veux te mettre autour de moi, s’il te plaît ?Tu parles d’une question ! Je ne voulais que ça. J’ai ouvert les lèvres de mon sexe et je me suis assise sur lui. Petit à petit, sa grosse chose a disparu dans mon ventre, jusqu’au moment où elle a touché le fond de mon sexe. Il nous a sorti de la voiture, m’a enfoncée au maximum sur lui puis il m’a fait monter comme ça jusqu’à la chambre. Là, il m’a couchée doucement sur le lit. Il s’est redressé sur ses bras et, en me fixant droit dans les yeux, il s’est renfoncé dans moi en me disant :— Tu m’as tellement manqué ! Je ne veux pas quitter ta douceur.— Je ne veux pas non plus que tu sortes de moi.
Il s’est allongé sur moi en me prenant la tête entre les mains. J’ai passé mes bras derrière son cou et nous nous sommes longuement regardés ; en même temps, il faisait grossir son sexe dans le mien, moi je me crispais autour du sien.Il ne nous a pas fallu longtemps pour arriver à notre premier orgasme commun, tellement attendu comme une délivrance pour nous deux. La quantité de sperme dont il m’a remplie était encore plus importante que dans mon souvenir, mais il n’a pas bougé de moi. Nous étions bien. Il me caressait les cheveux, je caressais sa tête. Bêtement, des larmes ont jailli de mes yeux. Il s’est alarmé :— Je t’ai fait mal, ma douce ?— Non, tu ne me fais jamais mal ! C’est que je suis tellement heureuse !J’ai fermé les yeux parce que je sentais qu’il recommençait à grossir dans mon ventre et que mon sexe recommençait à se serrer convulsivement autour du sien.Il m’a encore donné une ration de sa précieuse semence et, sans me quitter, il a recommencé.Une heure après environ, il était toujours dans moi et venait de me donner son sperme, une fois de plus. J’étais plus qu’heureuse, je comptais plus mes orgasmes et nous ne bougions pratiquement pas, pourtant. J’ai encore une fois ressenti cette impression que nos deux corps ne faisaient plus qu’un, que nous étions soudés l’un à l’autre.Ce n’est qu’après sa troisième éjaculation, alors que nous étions envahis tous les deux d’un sentiment de plénitude extraordinaire, que je n’avais jamais ressenti, que j’ai repris conscience du monde extérieur. J’avais dû lui mordre les lèvres et la langue, j’avais un goût de sang dans ma bouche.J’ai repris sa tête dans mes mains. Je l’ai serré très fort contre moi. Mes lèvres ont quémandé les siennes et nous nous sommes fait un très long et très tendre baiser d’amour.Dans mon ventre, son sexe palpitait de nouveau. Je ne l’ai pas cru : c’était impossible qu’il me refasse l’amour une quatrième fois sans même quitter l’endroit où il s’était introduit il y avait si longtemps.Pourtant, il l’a fait. Une fois qu’il s’est déversé en moi pour la quatrième fois, sans que nous bougions ni l’un ni l’autre, à l’aide ses seules contractions de nos sexes réunis, il s’est effondré sur moi et m’a parlé doucement à l’oreille. Il m’a dit :— Ma Sylvie, je suis heureux avec toi comme je ne l’ai jamais été.J’ai eu l’impression qu’il avait un peu honte de ce qu’il venait de me dire, comme s’il m’avait fait une véritable déclaration d’amour alors que ça ne devait pas être dans ses habitudes. Il a caché son visage dans mes cheveux et il a mordillé le lobe de mon oreille, me faisant ainsi repartir.De nouveau, il s’est redressé en prenant appui sur ses mains puis il m’a dit, en me fixant :— Je ne peux pas te quitter comme ça, tu vas te vider d’un seul coup ! Attends, laisse-moi faire.Il a commencé une gymnastique invraisemblable qui m’a étonnée et ravie en même temps.(à suivre)
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