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Les métamorphoses de Sylvie

Chapitre 40

Divers
40 - La visite de la mère de Marc et la suite de la préparation de l’ouverture de mon magasin.Je ne m’attendais pas à recevoir autant de compliments de la part de la mère de Marc. Il me l’avait toujours décrite comme une personne assez peu expansive en ce qui concernait l’expression de ses sentiments, je dois dire que ce n’est pas du tout l’impression que j’ai eue.Il faut dire que le fait d’être reçue chez la seule femme qui aie su retenir l’attention de son fils, ainsi qu’elle me l’a dit et surtout qui l’aie tellement influencé qu’il ne parlait plus que d’elle, l’avait certainement favorablement impressionnée.Quoiqu’il en soit, elle m’a décerné compliments sur compliments avant même que Marc nous rejoigne après avoir mis sa voiture au garage.La chambre l’a impressionnée au moins autant que toutes les personnes qui l’avaient vues. Je lui ai tout montré et elle a jugé que son fils avait beaucoup de chance de m’avoir rencontrée. En revanche, juste avant que nous soyons rejointes par Marc, elle a fait une petite allusion à son frère ; je lui ai appris qu’il était mon parrain. J’ai eu l’impression qu’elle voulait me dire quelque chose mais Marc nous a rejointes juste à cet instant et nous avons changé de conversation.Marc, il me l’a avoué après, a été très heureux de constater que sa mère et moi nous entendions bien.
Nous nous sommes livrés à la fin de la préparation du repas ensemble. J’étais très heureuse de me rendre compte qu’elle aimait les mêmes choses que moi, comme son fils.Entre discussions plus ou moins sérieuses, échanges de recettes culinaires diverses et éclats de rire, le temps passa vite.Une fois que tout fut prêt, avant de mettre au four, j’ai proposé :— Voulez-vous que nous allions visiter mon magasin ? C’est qu’il ouvre demain !— Bien sûr ! fut la réponse unanime de la mère et du fils.Nous sommes donc descendus et j’ai fait admirer dans le détail la manière dont j’avais disposé les différents éléments qui occupaient l’intérieur de mon magasin. La mère de Marc était admirative.Elle le fut encore davantage lorsqu’elle vit mon choix pour la vitrine. Elle m’a dit :— Ma petite Sylvie (ce qui m’a fait rire car elle n’était pas plus grande que Nadine), ton magasin va être une véritable réussite, je le sens. Et dans ce domaine, je ne me trompe jamais. N’est-ce pas, Marc ? ajouta-t-elle à l’intention de son fils qui était un peu en retrait.Il lui a répondu :— C’est vrai, maman, !S’adressant à moi, il repris :— Si elle te le dit, c’est que ça va se passer comme ça. Bravo, Sylvie.Il m’a enlacés et, sous les yeux attendris de sa mère, il m’a fait un long baiser d’amour.Elle a voulu ensuite passer une revue détaillée de tout ce qui était exposé et m’a expliqué comment je pouvais aider les femmes à choisir en fonction de ce qu’elles désiraient obtenir de leur mari. Je souriais et Marc aussi, car j’ai deviné qu’elle devait être une très grande consommatrice des dessous que je présentais. Elle conclut d’ailleurs en me disant :— Vois-tu, Sylvie, à mon avis, en présentant tes dessous, tu vas rentrer dans l’intimité des femmes qui veulent te les acheter pour les porter. Il faut donc que tu saches exactement ce qu’elles souhaitent pour les aider. Entre femmes, on se confie des petits secrets que ces Messieurs ne doivent pas entendre, n’est-ce pas ?J’acquiesçai de la tête en souriant, sous les yeux un peu étonnés de Marc. Constatant le fait, elle lui apprit :— Eh oui, mon chéri, tu devrais savoir que si les hommes se racontent des histoires salées, les femmes, entre elles, se livrent à des confidences dont tu ne devinerais jamais la nature !Et elle termina par un grand rire qui nous força à la rejoindre.
Marc rompit notre hilarité en déclarant :— Sylvie, si tu veux que nous mangions à une heure raisonnable - et j’avoue que je boirais bien un petit quelque chose pour arroser la réussite de ton magasin - il faudrait peut-être que nous remontions, ne crois-tu pas ?— C’est vrai !
Sous les yeux de sa mère qui souriait, il m’a prise dans ses bras et c’est dans cet équipage que nous sommes arrivés dans la cuisine, où il m’a reposé à terre. Je l’ai récompensé d’un long baiser puis j’ai vérifié que tout allait bien. J’ai mis mon rôti au four et j’ai conduit mes deux invités au salon. Là, j’ai demandé à chacun ce qu’il voulait. C’était du porto pour tout le monde, mais soudain Marc s’est frappé le front en disant :— Non, attendez, j’ai oublié quelque chose.Il a dévalé l’escalier, s’est engouffré dans le garage et est revenu avec une grande boîte réfrigérée dans laquelle il y avait deux bouteilles de champagne.Il a demandé :— Personne n’a rien contre le champagne, j’espère ?Devant notre non-réponse, il a compris que nous l’approuvions. Il a ouvert la première bouteille tandis que je disposais trois coupes sur la table du salon. Il les a remplies et nous avons bu à la réussit de mon magasin.En moi-même, j’étais très heureuse : j’avais près de moi la mère de mon merveilleux amant, nous nous entendions bien, je m’étais parfaitement habituée à ses « sautes de vocabulaire » comme les avait qualifiées Marc, j’étais heureuse que Marc ait pensé à apporter du champagne.Notre belle entente dura. À la fin du repas. Marc décida que nous devions aller nous coucher tôt, parce que demain il allait falloir se lever pour tout ouvrir et l’inauguration de mon magasin était prévue pour dix heures, s’il en croyait les invitations imprimées.Après quelques instants de discussion, Marc a fait ses adieux à sa mère. Elle m’a retenue pour que je l’accompagne à sa chambre, la chambre d’amis que j’avais rangée exprès pour elle. Elle m’a demandé de bien vouloir l’aider à vider ses valises. J’ai été un peu surprise mais je l’ai fait. J’ai pendu ses vêtements sur les cintres qui étaient là pour cette raison, j’ai été étonnée par le nombre de vêtements qu’elle avait pris avec elle. Je me suis demandé si elle n’avais pas compris qu’elle restait une semaine entière ! Devant mon air surpris, elle m’a précisé :— Tu sais, Sylvie, mon fils me reproche toujours, quand je pars, de faire un vrai déménagement. En fait, c’est parce que je veux choisir ce qui convient le mieux à l’instant où je m’habille. Heureusement que tu as une grande armoire.Nous avons bavardé encore un peu puis je suis allée rejoindre Marc.
Il était déjà nu dans notre lit. Il m’a dit :— Eh bien, Sylvie, qu’en dis-tu ? Tu as fait la connaissance de ma mère apparemment tu lui plaît beaucoup, mais je crois que tu plairais bien plus à son fils si tu voulais te déshabiller et me rejoindre !Je lui ai souri et j’ai commencé à me déshabiller. Ce ne fut pas très long. Il sourit en voyant mon harnachement :— Sylvie, tu as eu mon imitation dans le sexe pendant tout ce temps ?— Je te l’avais dit, Marc !— Oui, c’est vrai, mais je pensais que tu l’aurais enlevé pour la visite de ma mère !— Pourquoi ? J’ai adoré te sentir dans moi alors que tu étais à mes côtés.Il sourit encore puis me fit signe de m’approcher de lui. Il m’a dit :— Écoute, mon amour, je vais t’ôter ça et le remplacer par l’original. Ça te convient ?Tu parles, que ça me convenait !Il s’est assis sur le lit et il a doucement ôté la ceinture. Il a fait glisser hors de mon sexe son imitation et il l’a léchée en me regardant dans les yeux. Il m’a appris :— Tu as un goût merveilleux. Viens !Dans un seul mouvement, il a rejeté le drap qui était encore à moitié sur lui, il m’a soulevée en me prenant par la teille et il m’a guidée juste à la verticale de son gros bâton d’amour, sur lequel je me suis laissée glisser jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien de lui dehors. Nous ne pouvions pas être plus unis que dans cette position.Il m’a serrée contre lui en m’enlaçant entre ses deux bras tandis que je lui en faisais autant. J’avais réellement l’impression que nous ne faisions plus qu’un. Il a un peu desserré son étreinte, il a repoussé mes cheveux d’une main puis il m’a murmuré à l’oreille :— Je t’aime, ma Sylvie, je t’aime comme je ne pensais même pas que c’était possible.Je lui ai répondu aussi doucement :— Je t’aime aussi, Marc, tu le sais très bien.Il m’a serré encore davantage contre lui et il m’a dit :— On va essayer de ne pas faire de bruit, mais ça n’a pas beaucoup d’importance. Ma mère se doute parfaitement de ce que nous sommes en train de faire. De plus, comme le voyage a été long et qu’elle n’a pas trop l’habitude des déplacements - pour elle, trois kilomètres c’est le bout du monde ! - je pense que ce n’est pas ça qui l’empêchera de dormir.Il s’est allongé sur le lit. Il a pris mes mains dans les siennes en mélangeant nos doigts puis il a mis ses reins en route, me faisant ainsi monter et descendre sur son énormité. J’ai très rapidement joint mes mouvements aux siens et nous nous sommes faits un premier plaisir : j’étais ouverte et trempée autour de lui et j’ai obtenu rapidement un premier orgasme. Il m’a laissée me reposer un peu en m’allongeant contre lui, mes seins s’écrasant sur sa poitrine. Tout en me caressant les cheveux, il m’a dit :— Heureuse ?J’ai confirmé en hochant la tête. Il m’a alors fait passer sous lui et nous sommes repartis pour une merveilleuse chevauchée à l’issue de laquelle, après son éjaculation dans mon sexe impatient de le recevoir, je me suis endormie doucement, toujours unie à lui. Je crois que c’était la détente après cette journée un peu éprouvante pour moi.Il n’a pas tardé à me rejoindre dans mon sommeil, comme il me l’a avoué le lendemain matin.(à suivre)
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