Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 0 Commentaire

Les métamorphoses de Sylvie

Chapitre 41

Divers
41 - Le grand jour, l’inauguration de mon magasin.
Ce jour-là, je m’en souviendrai toute ma vie, pour de nombreuses raisons.
La première, c’est que ce jour a vu notre première dispute. Dès que je me suis réveillée, j’ai senti le sexe de Marc en moi, comme toujours. Je me suis beaucoup déhanchée sur lui jusqu’à ce que, n’en pouvant plus de tenter de me résister, il arrose mes intérieurs de son sperme tout chaud. Je me suis tourné vers lui en le maintenant à l’intérieur de moi et je lui ai dit :— Marc, mon amour, aujourd’hui est un grand jour pour moi !Il m’a répondu :— Je sais, Sylvie, c’est l’ouverture de ton magasin.— Oui. Tu sais ce que je veux ?— Réussir cette ouverture mon amour !— Oui, bien sûr, mais aussi autre chose.— Quoi ?— Je veux t’avoir en moi - enfin ton imitation - pendant cette journée.— Mais... tu es folle !— Non ! Et tu peux même me remettre un peu de sperme pour que je sois bien pleine avant de faire comme je te dis !— Mais...Nous nous sommes un peu disputés à voix basse, pour ne pas réveiller sa mère et il a fini, comme toujours, par accéder à mon désir. Il m’a retournée sur le lit, m’a pilonnée comme un fou et m’a remis une dose de sa semence chaude. Il s’est retiré précautionneusement et a mis en moi son imitation que je tenais dans une main. Il a fixé la ceinture, a vérifié que tout était hermétique puis m’a dit :— Tu es complètement folle !Je lu ai répondu :— Oui... de toi ! Et je te veux dans moi pour toute cette journée.— On aurait peut-être dû se doucher avant ! Tu vas sentir la femme pleine de sperme.— Et alors ? Tout le monde le saura ! Et si les femmes viennent dans mon magasin, ce n’est pas avec l’espoir d’acheter des livres religieux, mais avec celui de trouver une parure pour émoustiller leurs maris ou leur amants ! Alors ? De plus, je te rappelle que je vais me doucher et me parfumer. Non, c’est pour moi que j’ai fait ça, pour te sentir au plus profond de moi pour cette journée d’ouverture. Comme ça, même si tu t’éloignes de moi, je t’aurai toujours près de moi.Il n’a plus rien dit, mais s’est contenté de sourire. Nous avons pris une douche commune tout de suite après.Nous nous sommes essuyés mutuellement très tendrement, il a même déposé un baiser très doux sur mon ventre, à hauteur de l’extrémité de son postiche qui était en moi, puis il m’a dit :
— Va t’habiller, moi je me rase.Je suis revenu dans notre chambre et je me suis habillée. Je venais tout juste de finir lorsqu’on a frappé à la porte. C’était sa mère, qui m’a embrassée en me disant :— Tu est vraiment très belle, Sylvie ! Tu as dû faire des envieux qui auraient certainement pris la place de Marc.— Je ne sais pas, parce que quand il est là...Elle se mit à rire :— Je vois ! Si vous êtes heureux comme ça, tant mieux ! Au fait, où est-il ? — Il se rase !Juste à ce moment là, Marc entra dans la chambre, tout nu, bien sûr.— Bonjour, maman , je ne savais pas que tu étais déjà levée !Il m’a étonné, car il n’a pas fait un geste pour cacher son sexe. Il a embrassé sa mère, m’a pris les mains, a écarté mes bras et m’a dit en me contemplant :— Tu es vraiment magnifique, tu sais !J’étais gênée car il accompagnait cette déclaration d’un début d’érection que je fixais comme hypnotisée. Il a souri et m’a appris :— Je vais m’habiller.Il a rapidement mis un slip, une chemise toute blanche puis ses chaussettes et son pantalon, pendant que sa mère s’éclipsait dans la salle de bains pour prendre une douche.Marc sourit puis le dit :— Elle en a pour un moment, tu sais !Pourtant, cinq minutes après, sa mère, nue mais sèche, fit son apparition dans la chambre. J’ai ouvert de grandes yeux en me disant qu’elle était drôlement bien conservée mais elle m’a dit :— Excuse-moi, Sylvie ! J’ai oublié mon vanity case et je ne peux pas me maquiller. Mais il n’y a pas une autre porte à ta salle de bains ?— Non, mais c’est un détail qui m’avait échappé !— Tu devrais en faire ouvrir une autre, si tu as des invités.— Vous avez raison !Elle disparut puis revint quelques secondes après avec, au bout d’un bras une sorte de valise que je devinais remplie de produits de beauté, et, pliée sur son autre bras, une robe enveloppée dans une housse. Elle referma la porte de la salle de bains derrière elle et là, riant, Marc me dit :— Tu va voir, c’est maintenant qu’elle en a pour une heure ! Bon, je vais faire du café. As-tu faim ?— Oui... mais... nous n’attendons pas ta mère ?— Elle ne mange jamais rien le matin, malgré tous les efforts que j’ai faits pour la persuader du contraire. Elle se contentera d’un café.— Bon, alors allons-y !Contrairement à ce que je pensais, je n’ai pas pu manger grand chose. Marc s’en amusa mais me rassura en me disant de ne pas m’inquiéter, que tout irait bien. Lui, il a dévoré littéralement en me disant :— C’est ta faute, aussi, si j’ai faim : je sais ce que tu as dans toi, j’ai envie de l’ôter et de le remplacer par l’original, mais je ne vais pas m’amuser à défaire ta belle coiffure ni à froisser ta belle robe. Au fait, tu n’as rien mis en dessous ?— Non, mon amour, tu sais bien que lorsque tu es là je ne mets jamais rien.— Mets tout de même un slip, s’il te plaît : imagine ce qui viendrait à se passer si, en faisant un mouvement quelconque, tu laissais échapper un peu de ce que je t’ai mis dans le sexe !— Tu as raison, je vais en chercher un.Je suis revenue dans notre chambre et j’ai enfilé un slip. Juste au moment où je finissais de rabattre ma robe, la mère de Marc est sortie de la salle de bains. Elle m’a fait un beau sourire et m’a dit :— Ma petite Sylvie, je suis très heureuse que ce soit toi que Marc ait choisie. Je crois que je n’aurais pas mieux fait si j’avais eu à choisir moi-même ! termina-t-elle en éclatant de rire.J’ai joint mon rire au sien, puis elle a ajouté :— Alors, cette ouverture... pas trop impatiente ?— Oh si, vous savez !— As-tu prévu quelque chose pour « arroser » cette ouverture, une petite réception, un petit apéritif, quelque chose dans ce genre ?— Oui, mais nous allons être obligé de nous déplacer chez le traiteur ; c’est à deux pas d’ici.— Parfait !Nous avons rejoint Marc dans le salon et nous avons discuté. A mes yeux, le temps ne passait pas très vite mais soudain tout s’est précipité. Le téléphone a sonné.J’ai décroché, c’était Nadine. J’entendis sa voix qui me disait :— Bonjour, ma chérie, comment vas-tu ?— Très bien, merci ; et toi ?— Je suis impatiente de te voir. Charles et moi venons avec les enfants. Et j’ai une surprise pour toi : papa et maman vont venir visiter ton magasin environ une demi-heure après nous. Mais surtout, ne le dis pas à Marc ni à sa mère. Je voudrais voir la surprise ! Bon, tu peux nous ouvrir, nous serons tes premiers visiteurs.— D’accord, lui répondis-je en souriant.Marc s’inquiéta :— Que se passe-t-il ?— Ne t’inquiète pas, c’était Nadine qui m’a dit qu’elle arrivait avec son mari et leurs enfants dans une dizaine de minutes. Il va falloir ouvrir.— Bon ! Tu viens, maman, on descend !Nous nous sommes retrouvés très vite dans mon magasin. J’ai allumé toutes les lumières tandis que Marc remontait le rideau de fer. Sa mère, après avoir inspecté une dernière fois le magasin, est sortie pour contrôler la vitrine. Elle est rentrée en me disant :— C’est très beau, Sylvie... Tiens, voilà tes premières clientes !En fait de clientes, c’était Nadine et toute sa famille.
Ce qui se passa fut la seconde raison qui fait que je me souviendrai toute ma vie de l’ouverture de mon magasin.Alain est entré le premier et il s’est précipité dans mes bras. Il m’a fait un gros baiser puis m’a dit :— Bonjour, Marraine !J’ai répondu à son baiser puis je l’ai reposé à terre. Il s’est alors élancé vers Marc en lui disant :— Bonjour, Parrain ! Marc l’a pris dans ses bras et c’est à ce moment-là que le fils aîné de Nadine s’est rendu compte qu’il y avait une autre personne dans le magasin. Il a demandé à Marc :— Qui c’est, la dame ?— La dame, comme tu dis, c’est ma maman !— Ah bon ! Bonjour, Madame, dit-il en lui tendant la main.La mère de Marc l’a pris dans ses bras et l’a embrassé sur les deux joues en lui disant : — Si tu connais mon fils, tu ne vas tout de même pas me donner la main comme si j’étais une étrangère. Fais-moi un petit baiser !Et elle lui tendit la joue, sur laquelle il appliqua un gros baiser sonore. Elle le reposa à terre en souriant... pour se retrouver juste en face de Nadine qui l’interrogea :— Si j’ai bien compris, Madame, vous êtes la sœur de mon père.Elle lança un coup d’œil du côté de Marc, qui lui sourit en répondant :— Oui, maman, Nadine est ta nièce !Interloquée, elle répondit :— Mon Dieu, mais quel âge as-tu donc ?— Le même âge que Sylvie, ma tante !— Mon Dieu, comme le temps passe ! Alors, tu es la fille de... René ?— Oui ! Je vous présente mon mari, Charles et mes deux enfants, Alain, que vous venez d’embrasser et Christophe.En même temps, elle lui tendit son petit ange emmailloté, comme elle le disait. La mère de Marc l’embrassa doucement sur le front en disant :— Alors, mon frère a deux petits-fils !Elle ajouta doucement :— C’est tout de même idiot...Marc lui posa une main sur l’épaule et lui apprit :— Maintenant, tu as Sylvie !Une arrivée de nouvelles futures clientes interrompit la scène. J’ai été très occupée à vanter les mérites des dessous présentés dans le magasin et dans la vitrine, tandis que Nadine, Charles et leurs enfants s’isolaient avec Marc dans un coin du magasin. Ça n’a pas raté : toutes les femmes qui ont pénétré dans le magasin ont regardé Marc en se demandant probablement qui était ce beau garçon, puis elles se sont souvenues l’avoir vu lors de l’anniversaire de Nadine ; une seule, Sophie, celle qui était en terminale lorsque Nadine et moi entrions au lycée, celle aussi que Marc avait interrompue en demandant si nous savions où était Nadine, connue dans la ville pour faire porter des cornes à son mari, m’a posé la question :— Dis moi, Sylvie, c’est bien le beau mâle ténébreux qui a dansé avec toi le soir de l’anniversaire de Sylvie ?— Oui !— Donc il est en mains ! Dommage... pour moi ! termina-t-elle en me faisant un beau sourire. Qu’as-tu choisi comme dessous pour... euh... raviver sa flamme ?J’ai posé ma main sur mon ventre, à hauteur du sperme emprisonné dans mon sexe par son imitation et je lui ai répondu avec un sourire :— Il me préfère à l’état de nature, si tu vois ce que je veux dire !Avec un petit tire, elle reprit :— Je crois, oui ! Bon, je vais faire une razzia sur ton magasin. Je voudrais le petit ensemble noir qui est en vitrine, là, puis les deux qui sont sur ce mannequin près de toi.— Entendu !Je l’ai emmenée avec moi près de l’un des meubles qui me servait de réserve, je lui ai demandé sa taille et je lui ai proposé d’essayer dans une cabine. Elle a accepté puis est ressortie un bon quart d’heure après, un sourire aux lèvres.En revenant avec moi, ses paquets à la main, elle m’a confié :— Dis donc, elles sont très chouettes tes cabines d’essayage ! Impossible de ne pas voir de défaut s’il y en a un. Bon, je te prends le tout puis je vais le déposer chez moi.— D’accord.Nous allâmes à la caisse où elle me fit un chèque, le premier que j’aie jamais reçu. Je lui ai donné une invitation pour le « pot de l’ouverture » comme je l’avais désigné ; elle m’a promis qu’elle reviendrait pour boire en ma compagnie... et aussi avec mon grand ami !
C’est au moment où elle partait que s’est produit un événement, en fait la troisième raison qui fait que cette date de l’ouverture de mon magasin resterait définitivement fixé dans ma mémoire.(à suivre)
Diffuse en direct !
Regarder son live