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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Les mots pour le dire

Chapitre 1

Divers
On était en juillet, et je flânais dans la galerie du centre commercial situé à proximité de mon domicile.    Je n?avais pas l?habitude de venir ici, mais à l?extérieur il faisait encore très chaud et je n?avais rien de mieux à faire étant célibataire encore pour deux semaines.    Je dévisageais donc tous les plaisants minois qui passaient dans mon champ de vision. Chaque fois que mon intérêt était éveillé, je peaufinais mon examen allant jusqu?à déshabiller du regard ce beau corps inconnu qui pourrait peut-être avec de l?initiative et de la persévérance le devenir un peu moins.    Tout à coup, mon regard fut attiré par une magnifique paire de chaussure qui se superposait dans une vitrine au reflet d?une jeune femme blonde dissimulée dans un recoin de la galerie et qui persuadée de n?être point vue se caressait subrepticement.    Troublé par l?intimité de la scène, je regardais un moment avec intérêt les manifestations de son plaisir silencieux lorsqu?elle atteint l?orgasme.    C?est alors que son regard accrocha le mien dans le miroir de la vitrine, elle rougit violemment et s?éclipsa comme par enchantement. J?eus beau la chercher du regard, je fus incapable de deviner comment elle avait disparue.    Il ne me restait plus qu?à entrer dans le magasin pour essayer les fameuses chaussures qui avaient attiré mon attention avant qu?elle ne fut distraite par la petite blonde aux doigts de fée qui venait de s?envoler comme par enchantement..    Une jeune vendeuse très jolie s?approcha de moi. Sa tignasse blonde était artistiquement dépeignée et encadrait un minois avenant piqueté de tâches de rousseur. Elle me gratifia d?un sourire ravageur et s?enquit de ma demande. Je lui montrai alors les mocassins noirs qui avaient attiré mon regard dans la vitrine. Elle me fit alors asseoir dans un fauteuil cossu, situé légèrement à l?écart et placé devant un immense miroir où le client pouvait se voir de pied, si je puis dire. Elle s?agenouilla à même le sol en me demandant ma pointure. ? Du 43 ? ? répéta-t-elle incrédule. Elle s?était accroupie de telle manière que l?échancrure de sa minuscule robe me dévoila non seulement deux seins adorables se mouvant librement derrière le léger tissu, mais également que ce petit morceau de tissu était le seul vêtement de cette vraie blonde.    Complètement hypnotisé par cette vision, je revins sur terre pour entendre ? .... plusieurs paires ? ?. Une voix mélodieuse et sensuelle attendait visiblement une réponse de ma part. Un sourire éclatant fut la seule réponse que je fus capable d?apporter. Ce fut communicatif, car la jeune fille me gratifia en retour d?un sourire enjôleur révélant une parfaite dentition et faisant apparaître deux fossettes pour lesquelles plus d?un d?entre nous serait prêt à se damner.    Ce faisant, elle avait commencé à opérer un savant massage de ma voûte plantaire, massage au contenu érotique manifeste qui déclencha une violente érection qu?il me devenait difficile de dissimuler sans changer de position.    Le miroir me renvoyait une image non moins érotique du verso de la jeune vendeuse. En effet, les spots qui l?éclairaient de face, me donnaient en ombre chinoise les courbes magnifiques de son postérieur dépouillé en transparence de sa robe. Lorsqu?elle releva le regard vers moi, le sang battait dans ma verge gonflée au rythme accéléré de mon coeur.    Sans cesser son massage, elle m?annonça qu?elle n?avait plus ma pointure en magasin, mais qu?elle croyait se souvenir qu?elle existait dans la réserve.    Malheureusement, l?accès en haut des étagères était malaisé et si je voulais absolument ce modèle là, il faudrait que je l?accompagne pour l?aider.    Nous voilà partis dans la réserve.    La pièce était effectivement mal conçue avec beaucoup de rayonnages en hauteur et un éclairage défaillant.    J?en profitais pour lui demander son petit nom : Estelle.    Elle prit une petite échelle, et me demanda de la maintenir pendant qu?elle monterait. Comme aucun appui n?était possible, je devais tenir l?échelle de l?autre côté. Aussi dès qu?elle commença à monter, j?eus droit successivement à son doux visage dont les grands yeux et la bouche pulpeuse défilèrent à quelques centimètres de mon visage. Puis sa poitrine aux tétons tendant le tissu de sa robe vint frôler mes lèvres qui tout à coup devinrent plus sèches sous l?émotion. Enfin ses cuisses nues vinrent s?appuyer sur les barreaux à hauteur de mon visage. L?odeur qui s?en dégageait à proximité immédiate de mon nez devenait insoutenable. Estelle poursuivit son escalade. J?avais bien deviné, elle ne portait effectivement rien sous sa robe et c?est une vue inoubliable de son sexe qui me fut dévoilée d?autant plus que sa position à cheval sur deux barreaux favorisait l?ouverture de sa chatte qui laissait deviner son humidité.    Lorsqu?en levant les bras pour tenter d?atteindre la boite à chaussures, elle releva suffisamment sa robe pour que sa chatte soit directement accessible à ma bouche au travers des barreaux, je ne pus me retenir et commençai à lui prodiguer de savantes caresses. D?un mouvement de hanches elle m?encouragea et je ne pus que continuer à lui dévorer le sexe sans l?aide de mes mains sous peine de rompre le fragile équilibre dans lequel nous nous trouvions.    Sa jouissance ne tarda pas à venir, elle fut annoncée par une série de frissons qui coururent sur ses cuisses en signe avant-coureur d?orgasme. Ayant bien joui, elle me demanda de prendre sa place car elle était trop petite pour atteindre la bonne boite à chaussure.    On inversa les rôles, mais n?ayant qu?à moitié confiance dans la capacité d?Estelle à m?empêcher de tomber, je trouvai un moyen de coincer l?échelle pour qu?elle n?ait qu?à vérifier que tout allait bien.    Une fois en haut, je sentis le souffle chaud d?Estelle à hauteur de mon sexe et à sa respiration saccadée je devinai qu?elle peinait à se contrôler. Encore sous le coup de sa jouissance, elle commença à me frotter le pénis au travers de mon pantalon avec son visage. Puis elle s?enhardit et commença à le mordiller de ses petites dents pointues à travers le tissu. Enfin, n?y tenant plus elle défit ma braguette, extirpa prestement mon sexe distendu ainsi que mes deux boules velues et gonflées de sperme.    Sa petite main fit en quelque sorte l?inventaire de ce trésor, caressant là, soupesant ici. Puis sa langue prit le relais suçotant le gland turgescent, humectant le frein, léchant la hampe dans tous les sens et ce de plus en plus vite.    Je devinais que son autre main libérée de la tenue de l?échelle s?activait au même rythme crescendo dans sa petite motte qui devait devenir de plus en plus baveuse.    Tout à coup, elle enfourna ma queue jusqu?à sa base dans sa bouche accueillante et par de savantes sussions cadencées se transforma en une ventouse de rêve. Je savais qu?à ce rythme je ne pourrai pas tenir très longtemps mais elle aussi et dès qu?elle sentit que j?allais éjaculer elle stoppa tout et me bloqua fermement la base du pénis en véritable experte.    C?est alors qu?après avoir vérifier la solidité de l?échelle, elle grimpa de son côté de l?échelle jusqu?à la bonne hauteur. Et sans autre aide que les oscillations de son ventre, elle vint me branler mon épieu avec sa petite chatte en faisant bien attention de ne m?offrir que l?orée de son con.
    Plus je m?écrasais contre l?échelle plus elle se retirait, j?en devenais fou de frustration.    Pour couronner le tout, elle réussit à immiscer sa petite main à l?intérieur de mon slip et commença à progresser vers l?arrière. Elle ne tarda pas à atteindre l?orée de mon petit trou qu?elle commença à agacer en se servant du liquide séminale qui suintait au bout de ma queue en folie. Au fur et à mesure qu?elle commençait à me pénétrer, elle me permettait de la prendre plus profondément. C?était donnant donnant. Ce n?est que lorsque je me suis détendu complètement lui laissant libre accès à mes entrailles, que je pus enfin buter au fond de son vagin et commencer une cavalcade effrénée.    Je jouis quelques secondes avant qu?elle n?atteigne sa seconde jouissance. Je prolongeais mon action pendant quelques instant afin que tous deux nous profitions au maximum de ces instants.    Elle descendit alors quelques barreaux sans enlever son doigt de mon cul et conclut l?opération par un savant nettoyage de queue, avalant avec délice les traces de sperme qui décoraient ma queue encore turgescente tout en me branlant le fion.    Je pris la boite indiquée, redescendit et la lui passai en même temps qu?un baiser goulu et profond où je retrouvais le goût et l?odeur de mon propre sperme.    En la suivant au magasin pour concrétiser mon achat tout en remontant ma braguette, à voir son postérieur onduler, je sentis des frémissements prometteurs au niveau du bas ventre m?indiquant qu?il ne faudra pas que je tarde à remettre le couvert.    Au moment du règlement, Estelle me glissa un petit bout de papier sur lequel étaient inscrits son adresse et son numéro de téléphone.    Je ne pus attendre le lendemain et l?appelai le soir même. Je n?eus que son répondeur où elle disait qu?elle était absente pour la soirée et de laisser un message ou de rappeler le lendemain.    Passablement déçu, après dîner je décide d?aller faire un tour en ville et de boire un verre ou deux.    Après avoir longuement déambuler dans les rues de la ville comme il commençait à se faire tard je décide d?aller me pieuter n?ayant pas vraiment le goût à la drague.    C?est alors que je m?aperçus que je n?étais pas très loin de l?adresse indiquée par Estelle.    Je décide de tenter le coup. Je sonne. Rien. Je sonne à nouveau, toujours rien, mais au moment où j?allais m?en aller j?entends le déclic du penne qui libère la serrure d?entrée.    J?en profite aussitôt pour entrer, à l?étage la porte correspondant à l?appartement d?Estelle est légèrement entre-baillée. Je frappe et entre doucement.    Une voix féminine dit alors :     - Tu es en avance, je ne t?attendais pas avant 2 heures. Tu m?as fait sortir du bain pour t?ouvrir et j?ai tout mouillé. Tu as encore oublié tes clés ! Sois gentille pour te faire pardonner, sers-moi un bon whisky, j?ai presque fini. Avec des glaçons, s?il te plait     Je m?exécutai lorsque la voix appela à nouveau :     - Viens vite m?aider, j?ai fait tomber mes lentilles     La porte de la salle de bain s?ouvrit brusquement et une magnifique blonde en tenue d?Eve apparut.    Je fus au moins aussi surpris qu?elle, car voyez-vous je suis très physionomiste. Je vous le donne en mille, la fille à poil devant moi, et bien c?était la blonde qui se chatouillait la chagatte dans le reflet de la vitrine, cet après-midi.    Mon cerveau ne fit qu?un tour, c?était probablement la petite amie d?Estelle qui avait trouvé un moyen d?exciter sa copine entre deux clients en allant s?astiquer le minou dans un recoin que l?on pouvait mater du magasin.    - Qui êtes-vous, que faites-vous là ?     Pas gênée du tout la donzelle, elle n?avait à aucun moment cherché à voiler sa nudité.    Elle ne voulut absolument pas croire que je pouvais être un ami d?Estelle ;    - Elle m?en aurait parlé ? Impossible, je ne l?ai rencontrée que cet après-midi en achetant des chaussures.    Elle prit le verre de whisky que j?avais versé et le but goulûment avant de s?en servir un second.    Et bien, puisque vous êtes là, mettez-vous à l?aise. Et la voilà qui me quitte mes magnifiques chaussures, objet du délit. Puis sans que j?ai le temps de réagir, paralysé par tant d?audace, elle m?enlève avec dextérité mon polo et mon pantalon. En un tour de main, je me retrouve en petit slip.    - C?est pas mieux comme ça ? Tchin-tchin. Ne bouge pas, je mets un peu de musique.     Mais au lieu de ça, elle prend la télécommande et déclenche le magnétoscope. Devinez ce qu?il y avait de programmé. Vous allez me dire un film porno, et bien oui je le confesse même si ça n?a rien d?original, c?était un film porno.    Mais ce que vous n?aviez peut-être pas pensé, c?est que c?était un film dirons-nous autobiographique. Les amours lubriques d?Estelle et de Stéphanie, car elle s?appelait Stéphanie, y étaient déclinées en long, en large et en travers.    Au troisième whisky, nous étions Stéphanie et moi disposés à faire quelques rushes supplémentaires pour une nouvelle version de film porno.    D?autant plus que le film qui passait me révélait que ces deux gouines disposait d?un arsenal impressionnant de gods et autres instruments de délices.    C?est un god de taille impressionnante dans la chatte et ma queue non moins impressionnante dans l?autre trou de Stéphanie que nous accueillîmes Estelle.    Quoique un peu surprise, elle ne tarda pas à participer à nos ébats d?où je sortis au petit matin complètement flapi et vidé.    A un moment, alors que les deux nénettes étaient tête-bêche dans un 69 de compétition et que j?enculais Estelle, je sortais périodiquement complètement ma queue de son délicat écrin pour retrouver celui non moins délicieux de la bouche de Stéphanie à l?affût à l?orée du trou. A tel point qu?au plus fort de l?action, j?ignorais où se trouvait mon dard dans la petite bouche serrée de Stéphanie ou dans la porte étroite d?Estelle tellement les deux orifices étaient doux et serrés.    A un autre moment, les deux filles s?étaient mises en position superposée en travers du lit de telle manière que les quatre orifices étaient à ma libre disposition, du libre service en quelque sorte. Je ne privais pas d?aller sans débander de l?un à l?autre au milieu des cris lubriques des deux garces qui m?encourageaient et voulaient chacune que je jouisse en elle.    Tant et si bien que je dus partager ma semence pour ne pas faire de jalouse.    Un autre jeu consista à mêler les produits de nos trois jouissances et de nous les passer de bouche en bouche, dans une version très particulière du jeu du téléphone.    Le dernier divertissement consista à les enculer en alternance pendant qu?elles se gouinaient s?embrassant à pleine bouche les chattes réunies par un god d?envergure à double entrée.    Je déculai au dernier moment juste avant de jouir pour mettre ma queue entre leurs deux visages et pour qu?elles me terminent en beauté avec leurs bouches puis me nettoient la queue souillée par leurs deux petits culs . Ce qu?elles firent avec enthousiasme et avidité, toujours embrochées sur le double god.    La prochaine fois, si je veux aller crescendo avec de tels numéros, il faudra que j?emmène une provision de viagra et peut-être un ou deux copains bien montés. Après tout à l?impossible nul n?est tenu et je ne suis qu?un homme.
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