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Les mystères de l'Asie

Chapitre 9

Inceste
Après cette nuit de débauche, le réveil fut difficile pour toute la petite bande, sauf pour Nicolas, qui se réveilla avant tout le monde, et prit son petit-déjeuner, toujours seul.Vers 11h, il sut que les festivités avaient repris dans la tente de Liuyu, en entendant ses gémissements de plaisir, et lorsqu’elle dit :
— Vas-y, JL, encule-moi, j’adore ta bite au fond de mon cul.
Nicolas sut lequel de ses potes était en train de fourrer sa bite entre ses superbes fesses.JL avait passé une nuit de débauche hors norme, à aucun moment, il n’avait pensé à Edwige qui devait arriver le lendemain, seul comptait de fourrer sa bite dans un orifice de cette salope de Liuyu, qui ne demandait que ça.Avec Marc et Laurent, ils la firent jouir par tous les trous, la prenant tous en même temps, changeant d’orifice pour calmer leurs envies d’éjaculer, ils avaient baisé comme des bêtes en rut, pendant une bonne partie de la nuit.En se réveillant, ils étaient tous à poil dans la tente, JL bandait bien dure comme tous les matins, mais cette fois, il avait le superbe petit cul de Liuyu juste devant sa bite.Sans aucune préparation, il lui écarta les fesses et plaça son gland contre son anus, du sperme de la veille, suintait encore de son cul, ce qui aida un peu à la pénétration, sans trop avoir à forcer, il réussit à enfoncer la moitié de sa bite bien dure dans le cul de Liuyu, qui se réveilla en sentant qu’on lui enfonçait quelque chose dans le cul.
Elle lui dit la phrase que Nicolas entendit de l’extérieur, mais alors qu’il enfonçait doucement sa bite au fond de son petit cul, ils entendirent une voiture se garer à côté des tentes, les portes claquèrent, et JL fut paralysé en entendant la voix d’Edwige saluer Nicolas, alors qu’il avait sa bite plantée dans le ravissant petit cul de Liuyu.Il n’arrivait pas à bouger, il était tiraillé entre le plaisir d’enculer Liuyu, et sa conscience qui lui dictait de sortir sa queue de ce cul scandaleux, mais Liuyu ne lui laissa pas le temps de choisir, elle commença à bouger son cul le long de la bite de JL et sentant son mal à l’aise, lui dit doucement :
— C’est ta copine, dehors ?— Oui, lui répondit-il, en s’agrippant à ses fines hanches. — Tu penses qu’elle n’apprécierait pas de savoir que tu es en train de m’enculer ?— C’est certain, elle crierait au scandale, lui répondit-il, sans pouvoir se retenir de continuer à enfoncer sa bite au fond du cul de Liuyu.
Il prenait tellement son pied depuis hier soir, qu’il n’arrivait plus à raisonner correctement, et maintenant qu’il avait la bite plantée au fond de son cul, il ne pouvait s’empêcher de lui envoyer des coups de queue dans le cul, faisant claquer ses superbes fesses.Tout en essayant de se retenir de gémir trop fort, elle lui dit :
— Dépêche-toi de me défoncer le cul, tu pourras la rejoindre quand tu te seras vidé les couilles au fond de mon cul.
JL commença à accélérer les enculades, Liuyu attrapa la bite de Laurent et l’avala pour la pomper et étouffer ses cris de jouissance.
Mais ses fesses claquaient de plus en plus fort, à chaque coup de queue de JL dans son cul, Nicolas et Edwige qui discutaient ensemble à l’extérieur, entendirent ces bruits de claquement réguliers qui s’accéléraient progressivement.Nicolas qui avait perdu toute rancune envers JL depuis qu’il lui avait sucé la bite sur la plage, en voyant le regard intrigué d’Edwige, essaya de trouver une excuse valable.Sans trouver rien de mieux, il lui dit :
— Ce doit être Laurent et sa nouvelle copine qui se font plaisir.— Ils pourraient être plus discrets, tout de même.
JL finit par jouir dans le cul de Liuyu, tandis que Laurent s’était réveillé et bandait bien dur dans la bouche de Liuyu, elle lui pompa la queue jusqu’à ce qu’il lui éjacule dans la gorge, et avala tout le sperme qu’il lui gicla à l’intérieur.Les trois compères étaient en sueur, mais malgré la chaleur torride qu’il régnait dans la tente, Marc ne s’était toujours pas réveillé et maintenant qu’ils avaient bien joui, tous les trois, JL se demandait comment il allait pouvoir sortir de la tente sans choquer Edwige.Les garçons réfléchirent et JL dit doucement :
— Comment on fait ? Il ne faut surtout pas qu’Edwige me voie à poil, ici avec Liuyu.— Oui, je comprends bien, mais il n’y a qu’une entrée à la tente, comment tu veux faire pour sortir sans qu’elle te voie ?— Il faut qu’elle regarde ailleurs
Liuyu eut une idée et leur dit :
— Toutes mes affaires sont dans la tente de Matt, je vais être obligé de sortir à poil, elle va sûrement être surprise et me regarder rentrer dans la tente de Matt, tu pourras en profiter pour filer dans ta tente.
JL réfléchit et dit :
— Oui ça peut marcher, mais c’est risqué, si tu peux prendre ton temps pour aller dans la tente de Matt— Oh doucement, quand même, tu me demandes de me promener à poil, en plein jour, devant ta copine et tous les gens autour des tentes, je risque de choquer les enfants.— Oui c’est vrai, je n’y avais pas pensé, admit JL— Arrête de penser avec ta bite, même si elle me fait beaucoup de bien, lui dit Liuyu en riant.— OK alors fais au mieux, dès qu’elle aura le visage tourné, je foncerais dans ma tente.
Liuyu ouvrit doucement la fermeture éclair de la tente et sortit la tête de la tente, elle regarda autour d’elle, elle vit la fameuse Edwige discutant avec Nicolas, elle remarqua que leurs voisins étaient tous absents, et elle en profita pour sortir complètement nue au soleil.Quand Edwige la vit sortir totalement nue, elle fut tellement choquée, qu’elle en laissa tomber son téléphone par terre, Liuyu s’en amusa et profita qu’il n’y ait personne autour d’eux, pour venir leur faire la bise.Nicolas fut un peu confus de devoir faire les présentations avec Liuyu dans cette tenue, mais celle-ci augmenta encore la confusion d’Edwige, quand elle posa ses mains sur les joues de Nicolas pour l’embrasser sur la bouche et lui dire :
— Bonjour, mon beau, j’espère que tu as passé une bonne nuit.
Nicolas, complètement abasourdi, avait laissé Liuyu l’embrasser devant Edwige sans pouvoir réagir.Puis Liuyu se dirigea vers Edwige, JL qui regardait discrètement à l’extérieur, attendant de pouvoir filer dans sa tente, fut également déconcerté par l’attitude de Liuyu, il la regarda approcher d’Edwige dans sa tenue d’Eve, et comme elle avait fait avec Nicolas, elle lui posa ses mains sur les joues et tout en rapprochant sa bouche de la sienne, elle lui dit :
— Ravie de faire ta connaissance, Edwige, je te trouve ravissante, tu me plais beaucoup.
JL et Nicolas furent stupéfiés de voir Liuyu embrasser Edwige, sans que celle-ci ne la repousse, et JL vit Liuyu regarder dans sa direction pour vérifier qu’il regardait bien ce qu’elle faisait, et elle enfonça sa langue dans la bouche de sa petite amie, Edwige la laissait faire, et ouvrit la bouche pour accueillir cette langue délicieuse, JL vit que sa copine, enfonçait, elle aussi, sa langue dans la bouche de Liuyu, et alors qu’elles se roulaient une pelle, en public, Laurent qui regardait, lui aussi, les deux filles se rouler une pelle, lui dit :
— Dépêche-toi de filer dans ta tente, pendant qu’elles se roulent une pelle.
JL sortit sans pouvoir réfléchir, et fonça dans sa tente, sans qu’Edwige ne le remarque, trop occupée à rouler une pelle à la ravissante Liuyu, totalement nue devant elle.Il pensa que Liuyu allait mettre fin à leur baiser émouvant, une fois qu’il serait dans sa tente, mais il les regarda, et elles continuèrent à se rouler une pelle des plus voluptueuses.Tous les garçons se mirent à bander en les regardant s’embrasser, et Liuyu, sentant les regards vicieux des garçons sur elles, mit fin à leur baiser passionné, et dit à Edwige :
— Bienvenue, ma belle, j’espère que les garçons nous laisseront faire plus ample connaissance.
La phrase de Liuyu ne laissait aucun doute sur ses intentions, et alors qu’elle la regardait entrer dans la tente où se trouvait Matt et Gwendoline.Edwige redescendit de son petit nuage, et en voyant le regard indécent de Nicolas sur elle, elle s’empourpra, et s’excusa en lui disant :
— Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris— Pas de problème, ça m’a juste surpris, mais je te comprends Liuyu est vraiment ravissante.— Et tellement douce, c’était si agréable, et si délicieux,— Je ne pensais pas que tu aimais aussi les filles, lui dit Nicolas.
Edwige devint rouge écarlate, n’osant lui avouer qu’elle avait déjà eu quelques expériences lesbiennes avec ses copines de lycée.Mais Laurent dans la tente, regarda la ravissante Edwige avec un nouvel intérêt, il faut dire qu’Edwige, sous ses airs de petite bourgeoise, était une charmante jeune fille blonde, cheveux longs ondulés, de 22 ans, d’1,55 pour 42 kilos, très fine, de jolis seins de 90C, bien fermes, avec de jolis petits tétons, des hanches fines, qui s’harmonisait parfaitement avec son superbe petit cul, qui excitait tant JL, surtout quand ils baisaient en levrette, et qui lui donnait tellement envie de l’enculer.Elle avait un air de petite sainte-nitouche, qui avait beaucoup séduit JL, sa famille très bourgeoise, lui avait inculqué des règles de vie très stricte, elle avait fait un petit écart de conduite, lorsqu’elle avait découvert le plaisir saphique avec ses copines de lycée, mais lorsqu’elle avait couché avec JL, alors que ses parents étaient absents, elle avait carrément fait une grosse entaille à la doctrine familiale.Depuis elle avait présenté JL à ses parents, et ils l’avaient accepté en lui précisant bien qu’il devait respecter la virginité de leur fille jusqu’au mariage, il consentit à suivre leurs règles, n’hésitant pas à fourrer sa queue dans la chatte brûlante de leur fille dès qu’ils étaient absents.Donc Edwige, malgré ses airs de petite fille modèle, n’était pas une sainte, et elle aimait beaucoup sentir les mains de JL sur ses seins et entre ses cuisses, mais elle avait toujours refusé de lui sucer la queue, trouvant cela dégoûtant, et dégradant, pourtant avec ses copines, elle n’avait pas hésité à lécher leurs petites chattes, encore vierges.
Mais pour essayer de retrouver un peu de sang-froid, et surtout pour changer de sujet, elle demanda à Nicolas :
— Où est Gwendoline, au fait ?
Elles s’entendaient bien toutes les deux, et quelques fois où elles étaient seules, Edwige avait failli succomber à la tentation, en posant ses mains sur les gros seins de Gwendoline, pour les lui peloter, mais elle avait toujours réussi à garder la maîtrise de soi, et elle avait surtout très peur d‘offusquer Gwendoline.Mais dans l’autre tente, où était rentré Liuyu pour récupérer ses affaires, Gwendoline et Matt étaient réveillés également, et tout en se caressant doucement, ils discutaient de ce fameux Benji, Matt désirait savoir si c’était celui qu’il connaissait aussi, et qu’il avait souvent surpris en train de baiser avec sa mère.Après avoir un peu insisté, Gwendoline s’apprêtait à lui raconter sa petite histoire indécente quand Liuyu entra dans la tente, elle sembla hésiter à raconter son lourd secret à deux personnes, mais Matt enfonça un deuxième doigt dans la chatte offerte de Gwendoline, et lui dit :
— Allez, après ce qu’on a vécu tous les trois, tu ne vas pas faire ta timide.
Et alors que Liuyu s’allongeait à côté d’elle, et lui caressait les seins, elle commença à leur raconter son lourd secret :Depuis qu’elle était toute petite, elle se souvenait de Benji comme l’ami de ses parents, elle l’aimait bien, ils s’amusaient ensemble, ce n’est qu’à l’adolescence qu’elle remarqua qu’il était également très proche de Camille, sa mère, elle avait souvent observé la main de Benji sous la jupe de sa mère, mais comme elle le laissait faire, et que son père ne semblait pas s’en préoccuper, même lorsqu’il était à côté d’eux, elle trouva cela presque normal, que sa mère se laisse caresser les fesses par un autre homme.D’ailleurs, Gwendoline avait fini par remarquer que sa mère laissait beaucoup d’hommes lui caresser les fesses quand ils recevaient des invités.Mais ce n’est que beaucoup plus tard, alors que sa grosse poitrine avait commencé à faire loucher les garçons de son lycée, mais également Benji. Qu’un jour, alors qu’elle venait tout juste de fêter ses 18 ans, elle rentrait du lycée, plus tôt que prévu, qu’elle entendit des bruits étranges dans le salon, elle appela sa mère, et les bruits étranges furent aussitôt remplacés par un brouhaha inhabituel, quand elle entra dans le salon, elle vit sa mère, complètement décoiffée, les seins à moitié rentrés dans son chemisier, mal boutonné, elle était assise sur Benji, et ils étaient tous les deux essoufflés et en sueur.
Elle remarqua que le pantalon de Benji était à ses chevilles, elle trouva cela étrange, et les trouva également très bizarre, la jupe de sa mère couvrait à peine les fesses de Benji, et Gwendoline les aperçut sous la robe de sa mère.Elle fut un peu troublée d’avoir découvert qu’il était nu en dessous, mais alors qu’il reprenait doucement son souffle, Benji lui demanda d’approcher et de s’assoir avec eux.Elle ne remarqua pas que sa mère fronça les sourcils en signe de désapprobation, mais ne dit rien et laissa Gwendoline s’assoir avec eux sur le canapé.Mais ce qu’elle apprit bien plus tard, c’est que sa mère, avait la grosse bite de Benji plantée au fond de son cul, et qu’elle se retenait autant qu’elle pouvait de gémir de plaisir.Gwendoline s’assit donc à côté d’eux, et alors qu’elle vit Benji donné d’étrange coup de reins sous sa mère, la faisant pousser de drôles de bruits, il lui dit en lui posant une main derrière le cou:
— Tu es devenue une superbe jeune fille, dis donc.— Merci, c’est gentil.
Elle sentit sa main glisser sur son épaule et descendre doucement vers ses gros seins, en lui disant :
— Tu as une magnifique poitrine, tu dois sûrement avoir beaucoup de succès avec les garçons.— Bof, ils ne pensent qu’à essayer de me peloter les seins, ils sont trop cons.
La main de Benji avait glissé sur le haut de ses seins, et caressait maintenant la couture de son petit top qui cachait sa grosse poitrine.Tout en dirigeant sa main entre ses seins pour la glisser dans le sillon que formait sa grosse poitrine, il lui dit :
— Ils ne savent pas ce qu’ils perdent, en plus tu as la peau très douce, tu as déjà laissé un garçon te caresser les seins ?
Sentant maintenant les doigts de Benji se glisser dans son décolleté, et effleurer son soutien-gorge, elle sentait son cœur s’emballer étrangement, elle regarda sa mère, qui sautillait sur Benji, en se mordant les lèvres, et elle lui répondit :
— Non, je n’ai jamais voulu qu’ils y touchent.
Alors que son cœur cognait dans sa poitrine, elle sentit les doigts de Benji se glisser dans son soutien-gorge, en lui disant :
— Tu accepterais que j’y touche ?
Mais il n’avait pas attendu sa permission, il avait maintenant toute la main sur un de ses seins, et le lui pelotait doucement. Gwendoline lui répondit dans un souffle :
— Oui, je veux bien que tu les touches.
Elle sentit la main de Benji lui empoigner un sein et ses doigts lui titiller le téton qui était étrangement dur. Puis il passa sa main sur son autre sein, et en fit autant, les bretelles de son top avaient fini par glisser sur ses épaules, et tout en lui pelotant les seins, Benji lui demanda :
— Tu veux bien me les montrer ?
Gwendoline hésita, elle regarda encore sa mère, pour voir si elle lui donnait son autorisation, mais celle-ci sautillait de plus en plus vite, laissant échapper d’étranges bruits de sa bouche.Benji s’en aperçut et lui dit :
— Ne t’inquiète pas, ta mère ne te dira rien, tiens si tu veux, elle peut te montrer ses seins.
Elle fut surprise du changement radical de ton de Benji, qui dit à sa mère d’un ton très autoritaire :
— Montre-lui tes seins, salope.
Sans réfléchir et sans s’arrêter de sautiller, sa mère commença à faire glisser les bretelles de sa robe et fit sortir ses seins nus, qui ballottaient de plus en plus vite au rythme de ses sautillements.Voyant que sa mère offrait ses seins nus sans complexe, Gwendoline fit glisser ses bretelles le long de ses bras, et aida Benji à faire sortir ses gros seins de son soutien-gorge.Elle avait maintenant les seins à l’air, tout comme sa mère, qui gémissait de plus en plus fort, elle vit Benji se pencher vers ses seins et lui dire :
— J’ai très envie d’y goûter,
Quand elle sentit sa langue se poser sur son téton raide, une onde de choc traversa tout son corps, elle laissa Benji promener sa langue sur ses seins, et sans s‘en rendre compte elle se mit à gémir comme sa mère.Et d’un seul coup, alors que Benji lui pelotait maintenant un sein, tout en lui léchant l’autre, elle le sentit se raidir, et elle entendit sa mère crier :
— OUIIIII, JEEEE JOUIIISSSSS
Gwendoline se faisait bouffer les seins, tandis que sa mère se faisait remplir le cul par Benji.Elle vit ensuite sa mère arrêter de sautiller et s’affaler contre Benji, elle était essoufflée, Benji se redressa et prit possession d’un sein de sa mère, tandis qu’il continuait à peloter un sein de Gwendoline, il leur dit :
— Vous avez toutes les deux, une sacrée paire de nichons, la mère et la fille, on va bien s’amuser.
Mais elle entendit sa mère dire à Benji dans un souffle :
— Arrête, c’est ta fille, tu ne peux pas faire ça.
Gwendoline était trop embrouillée par ses nouvelles sensations et ne comprit pas que sa mère parlait d’elle.Et Benji répondit à sa mère :
— Et alors, quel père, je serais si je ne donnais pas quelques leçons de vie à ma fille.
Gwendoline n’avait toujours pas compris de qui, ils parlaient.Lorsqu’elle entendit la porte de la maison s’ouvrir, elle sursauta, elle remballa ses seins dans son top et se leva d’un bond, elle croisa son père dans l’entrée du salon et fila dans sa chambre.Quand Pascal entra dans le salon, Camille n’avait toujours pas bougé, ses seins toujours nus, et la bite de Benji au fond de son cul plein de sperme.Pascal fut à peine surpris de les voir encore accouplés, et leur demanda :
— Vous avez fait ça devant Gwendoline ?— Oui et j’ai même pu goûter à ses ravissants nichons, lui dit Benji— Mais tu sais que c’est ta fille quand même, tu ne vas tout de même pas ...— Et pourquoi pas, je ne serais pas le premier père à coucher avec sa fille.— Mais, mais, ... et tu vas le laisser faire ? demanda Pascal à Camille
Camille se remettait doucement de son dernier orgasme et réussit à lui répondre :
— Tu n’as pas ton mot à dire, si son père veut lui apprendre les plaisirs de la vie, il en a tout à fait le droit.— Vous êtes complètement malades, tous les deux.— Peut-être mais tu vas me regarder dépuceler Gwendoline et je suis sûr que tu vas adorer la voir jouir avec son papa, lui dit Benji.— Il n’y a donc aucune limite à votre dépravation— Non, et arrête de faire ton innocent, tu adores ça, quand tu baises avec Clara et Chantal
Pascal ne put qu’admettre que Benji avait raison, il avait plongé dans la luxure, il avait entraîné Camille avec lui, et maintenant c’était leur fille qui allait suivre le même chemin.Enfin, Gwendoline n’était pas vraiment sa fille, Camille était tombée enceinte de Benji, et il avait accepté de l’élever, tout comme Clara, Christelle et Chantal avaient accouché des enfants de Benji et leurs maris avaient accepté de les élever comme les leurs.Que Benji veuille dépuceler sa propre fille, était particulièrement immoral, Pascal ne savait pas s’il avait déjà voulu coucher avec ses autres enfants, Clara avait eu un garçon et une fille métisse, des faux jumeaux, de père différent, cela suffisait à prouver à quel point, elle était une belle salope, elle les avait appelés Matthieu et Louise, Christelle et Chantal avaient eu une fille prénommée, Laurianne et Sarah.Mais pendant que les adultes discutaient dans le salon, Gwendoline était dans sa chambre, et ressassait dans sa tête ce qu’elle venait de vivre.Elle verrouilla la porte de sa chambre, et se mit les seins à l’air, tout comme Benji lui avait fait, elle se caressa les seins en insistant sur ses tétons bien durs.
Tout comme sur le canapé, elle sentit entre ses cuisses d’étranges fourmillements, elle se déshabilla complètement et reprit ses caresses, en regardant entre ses cuisses, elle sentit de nouveau d’étranges frémissements lui remonter dans les jambes et descendre dans son ventre pour se polariser, sur sa petite chatte.Elle posa sa main dessus et les frémissements s’intensifièrent, elle commença à frotter sa main contre sa petite fente, et elle ne put se retenir de pousser de petits gémissements de plaisir.C’était tellement agréable, elle continua de frotter sa chatte de plus en plus fort, gémissant, également, de plus en plus fort.Elle était sur son petit nuage de plaisir, tout en se caressant seule dans sa chambre, elle n’entendit pas son père, l’appeler pour mettre la table et dîner.Pascal monta à l’étage pour l’appeler, mais il entendit Gwendoline gémir de plaisir derrière la porte, sans pouvoir s’en empêcher, il avança vers la porte de la chambre sans faire de bruit, et posa son oreille dessus.Il entendait sa fille gémir doucement, et il se mit à bander, en l’écoutant jouir, il se dit que si la fille était aussi salope que la mère, Benji n’aurait aucun mal à la dépuceler. Il attendit derrière la porte, en se branlant, qu’elle ait fini de jouir et attendit quelques secondes pour frapper à la porte et lui demander de descendre mettre la table.
Gwendoline était encore sur son petit nuage quand elle entendit son père frapper à la porte, et lui demander de descendre, elle sursauta, et enfila rapidement une robe, oubliant complètement de mettre une culotte et un soutien-gorge.Quand elle sentit ses gros seins nus, ballotter dans sa robe, elle se rendit compte de son étourderie, mais comme sa mère l’appelait, elle descendit les escaliers rapidement, faisant presque sortir ses gros seins du décolleté.Elle entra dans la cuisine et vit que Benji était encore derrière sa mère, qui cuisinait, elle remarqua aussitôt ses yeux se poser dans son décolleté et lui dire :
— Tu aurais pu rester les seins à l’air, tu aurais été peut-être plus à l’aise.— Arrête de l’embêter, lui répondit sa mère— Eh bien quoi ? regarde ta mère, ma belle, elle a le cul à l’air et elle est très à l’aise.
Gwendoline approcha de sa mère et constata que Benji avait soulevé sa robe sur ses hanches, et elle avait les fesses à l’air, sans culotte.Camille regarda les yeux de sa fille se poser sur son cul, elle ressentait une certaine honte à s’exhiber ainsi, mais quand elle sentit les doigts de Benji se glisser dans la raie de son cul, elle écarta les cuisses, sans aucune pudeur, sachant très bien, où il allait planter ses doigts.Gwendoline suivit les doigts de Benji dans la raie des fesses de sa mère, elle les vit s’enfoncer entre ses cuisses, et elle entendit sa mère pousser un long gémissement de plaisir.Elle avait plus de mal à cuisiner mais elle laissait Benji continuer à fouiller entre ses cuisses.Voyant que Gwendoline n’avait pas quitté sa main des yeux, Benji lui dit :
— Ta mère adore ça, tu veux essayer ?
Ne sachant trop quoi répondre, mais en entendant sa mère gémir, elle sentit de nouveau des fourmillements entre ses cuisses.Elle entendait des clapotis provenir d’entre les cuisses de sa mère, alors sans comprendre ce qu’il lui prenait, elle s’avança vers Benji, qui lui dit :
— Mets-toi à côté de ta salope de mère, je vais m’occuper de vous deux en même temps.
Pascal était caché dans un coin et regardait sa fille se placer à côté de sa mère qui se faisait fouiller la chatte par Benji.Celui-ci souleva la robe de Gwendoline sans qu’elle l’en empêche, il caressa son joli petit cul, en lui disant :
— Tu es bien comme ta mère, tu ne mets pas de culotte.
Il glissa ses doigts vicieux dans la raie du cul de sa fille.Gwendoline ne ressentait aucune honte à se retrouver les fesses à l’air à côté de sa mère, elle sentait maintenant, les doigts de Benji s’insinuer dans la raie de son cul, et les fourmillements entre ses cuisses s’accentuèrent, quand les doigts de Benji arrivèrent contre sa petite chatte, elle ressentit une intense onde de plaisir lui traverser tout le corps.Elle l’entendit lui dire :
— Ecarte un peu les cuisses, ma princesse, je vais te faire du bien.
Elle obéit à Benji, et quand elle sentit le doigt de Benji s’enfoncer dans sa chatte, elle écarquilla les yeux, s’agrippa au poignet de sa mère, et poussa un long gémissement de plaisir.En regardant sa mère qui continuait de gémir de plaisir, elle réussit à lui dire :
— C’est bon, maman, c’est trop bon, je comprends maintenant.
Benji commença à faire coulisser son doigt dans la chatte de Gwendoline tandis qu’il en avait enfoncé trois dans celle de Camille.Elles se mirent à gémir toutes les deux de plaisir, et Pascal ne put s’empêcher de bander en regardant ces deux magnifiques salopes se faire fouiller la chatte.Benji avait les doigts maculés de la cyprine de Camille, et il eut une idée vicieuse, tout en continuant de fouiller leur chatte, il demanda à l’oreille de Gwendoline :
— Tu as déjà couché avec une fille ?— Non, lui répondit-elle entre deux gémissements.— Tu voudrais goûter au jus de ta salope de maman ?
Ne sachant quoi répondre, et prenant tellement de plaisir, elle lui dit :
— Oui, d’accord.
Alors Benji retira ses doigts couverts de la cyprine de Camille et les posa sur les lèvres de Gwendoline, en lui disant :
— Vas-y, goûte, et dis-moi si ta maman a bon goût
Gwendoline ouvrit la bouche et lécha les doigts luisants de Benji, elle sentit un étrange goût sur sa langue, elle n’avait jamais goûté à ça, ce n’était pas du tout désagréable, elle trouva cela même plutôt enivrant, elle se mit à lécher les doigts de Benji avec un féroce appétit.Voyant cela, il dit à Camille qui avait arrêté de gémir :
— Regarde ta fille, adore le goût de ta chatte, si tu es une gentille maman, tu la laisseras y goûter à la source.
Camille regardait sa fille sucer les doigts de Benji avec envie, et elle lui dit :
— D’accord, mais allons au salon, ce sera plus confortable.
Alors Benji retira son doigt de la chatte de Gwendoline et accompagna les filles jusqu’au salon.Ils furent suivis de près par Pascal qui avait sorti sa queue et se branlait devant ce spectacle totalement incestueux.Une fois au salon, Camille finit de se déshabiller complètement, et dit à sa fille :
— Déshabille-toi ma chérie, on sera plus à l’aise.
Gwendoline obéit à sa mère et se retrouva aussi nue qu’elle au milieu du salon.Camille s’allongea sur le canapé et écarta les cuisses en disant à sa fille :
— Approche ma puce, vient me lécher la chatte.
Gwendoline s’agenouilla entre les cuisses de sa mère et se laissa guider, elle posa sa langue sur la chatte luisante de sa mère et retrouva le goût qu’elle avait découvert sur les doigts de Benji.Elle se mit aussitôt à lécher la chatte de sa mère avec un étrange appétit, elle sentit les mains de sa mère se poser sur sa tête lui plaquer la bouche contre sa chatte, en gémissant de plaisir.Quand Gwendoline sentit Benji lui enfoncer un doigt dans la chatte, elle se mit à en faire autant à sa mère, celle-ci lui cria :
— Ouiiii, vas-y ma chérie, fouille bien la chatte de maman, enfonce plusieurs doigts, j’adore ça.
Alors Gwendoline enfonça un deuxième, puis rapidement un troisième, elle entendait sa mère gémir de plus en plus fort, et Benji qui lui fouillait la chatte, la faisait jouir, elle aussi, et il lui dit :
— Continue, mets-lui encore plus de doigts, je suis sûr que cette salope peut prendre toute ta main dans la chatte.
Comme envoûtée, Gwendoline obéit et enfonça un quatrième doigt dans la chatte de sa mère, elle lui criait de continuer, elle jouissait encore plus que Gwendoline, celle-ci était presque jalouse de la jouissance de sa mère.Mais elle replia son pouce et tenta d’enfoncer toute sa main dans la chatte de sa mère, quand la commissure de ses doigts franchir l’entrée de sa chatte, elle eut la main presque avalée à l’intérieur.Elle entendit sa mère hurler de plaisir :
— OUIIIII, CONTINUEE, MA CHERIIEEEE, TU ME FAIS JOUIIIRRRR, ENFONCEEEE TA MAINNN.
Benji s’occupait de préparer la chatte de Gwendoline à l’arrivée imminente de sa grosse bite, il tenta de lui enfoncer un deuxième doigt dans la chatte.Celle-ci avait maintenant la main entière dans la chatte de sa mère, et en sentant un deuxième s’enfoncer dans sa chatte, elle sentit une légère douleur se mélanger à l‘intense plaisir qu’elle ressentait.Alors elle se tourna vers Benji, mais ne voulant pas qu’il s’arrête, elle lui dit :
— Continue, mais doucement j’ai un peu mal.— Je vais essayer autre chose, qui va atténuer la douleur.
Gwendoline le vit sortir son énorme bite bien raide de son pantalon, elle avait déjà vu des sexes de garçons, mais jamais d’aussi énorme, et elle se demandait comment un truc aussi gros allait calmer la douleur.Mais tandis que Benji retirait ses doigts de sa chatte, et se plaçait derrière elle, pour frotter sa grosse queue contre sa chatte, la faisant de nouveau gémir de plaisir, elle vit son père, la bite à l’air en train de se branler en les regardant.Benji remarqua ce qu’elle regardait et dit à Pascal :
— Approche, regarde comment je vais faire d’elle un²e femme, elle se souviendra toute sa vie de ce jour où vous l’avez laissé m’offrir sa virginité.
Pascal obéit, et approcha, en regardant sa femme jouir avec la main entière de sa fille, au fond de la chatte, tandis que son géniteur allait la dépuceler.Il regardait Gwendoline qui ne lâchait pas sa bite des yeux, tandis que Benji s’apprêtait à enfoncer la sienne dans sa chatte.Pascal profita que Camille crie de plaisir pour lui enfoncer la bite dans la bouche, il vit Gwendoline se lécher les lèvres d’envie, il se dit qu’elle était vraiment aussi salope que sa mère.Et d’un seul coup, dans un violent coup de reins, Benji lui enfonça la moitié de sa queue dans sa chatte encore vierge, lui provoquant un cri de surprise, ou le plaisir et la douleur se mélangeait étrangement.Mais elle n’avait pas quitté la bite de son père des yeux, et regardait sa mère sucer cette bite avec un féroce appétit, et alors que la douleur s’estompait doucement dans sa chatte, elle se dit qu’elle aimerait bien goûter, elle aussi, à la bite de son père.
Mais elle sentit que Benji s’enfonçait encore dans son ventre, lui provoquant des sensations intenses, elle sentait cette énorme bite lui remplir le ventre, c’était effroyablement agréable, jamais elle n’avait ressenti une telle chose.Lorsqu’il commença à faire coulisser son énorme bite dans sa chatte, elle se mit à crier de plaisir comme sa mère avec sa main dans sa chatte, et elle comprit pourquoi sa mère, jouissait autant.Mais bientôt ses fesses claquèrent contre le ventre de Benji à chaque coup de queue qu’il lui envoyait dans le ventre, la faisant hurler de plaisir.Alors complètement ivre de plaisir, elle hurla à son père :
— DONNE-MOIII, TA BIITEEE PAPA, JE VEUX Y GOUTER, MOIIII AUSSSIIIIII.
Totalement fou d’excitation, Pascal eut une idée encore plus jouissive pour lui, il sortit sa queue de la bouche vorace de sa femme, et enjamba la tête de Camille pour placer son cul devant sa bouche.Celle-ci avait pris l’habitude de lui lécher le cul, elle savait qu’il adorait ça, alors elle plongea sa langue contre son anus et lui bouffa le cul, tandis que Pascal disait à Gwendoline :
— Approche salope, viens sucer la bite à papa.
Sans aucune honte, Gwendoline avança vers cette bite qui l’attendait, suivie de près par Benji qui restait bien enfoncé dans sa chatte, et elle avala la bite de son père avec un appétit ahurissant.Elle pompait la bite de son père comme elle avait vu sa mère faire juste avant et tout en jouissant de plaisir avec la queue de Benji qui lui défonçait la chatte.Ils baisèrent ensemble pendant de longues minutes, Camille eut plusieurs orgasmes, et quand Gwendoline sentit monter en elle un tsunami de plaisir, elle sentit son vagin se contracter autour de la grosse queue de Benji, tandis qu’elle sentait la bite de son père gonfler dans sa bouche, celle de Benji gonflait aussi dans son ventre, elle hurla de plaisir, et elle sentit un liquide épais jaillir de la bite de son père pour lui remplir la bouche, tandis que celle de Benji, lui inondait la chatte.Elle se mit à trembler de plaisir, puis d’un seul coup, la bouche et la chatte pleine de sperme, elle s’évanouit sur sa mère.Les garçons finirent de lui jouir dessus, et quand ils quittèrent le canapé, Gwendoline avait été baptisée au sperme, elle en avait partout, dans les cheveux, sur le dos, sur le visage, sur les fesses, ...
Camille retira la main de sa fille de sa chatte, et la blottit contre elle, elle dit à Benji :
— Ça y est, tu as fait de ta fille, une femme— Oui, et elle est aussi chaude que sa mère, et que ses demi-sœurs.— Tu as baisé toutes tes filles ? demanda Pascal— Pourquoi, ça te dérange ? Elles sont aussi chaudes que Gwendoline, c’était un véritable plaisir.— Et ton fils ? demanda Camille, avec une idée derrière la tête— D’après ce que j’ai pu apercevoir au bord de la piscine la dernière fois, il a pris le meilleur de son géniteur.
Mais Gwendoline se réveilla doucement, mettant fin à leur discussion complètement immorale.Sa mère l’aida à se relever et elle lui demanda :
— Ça va, ma chérie ?— Oui, maman, c’était fabuleux, j’ai pris un plaisir incroyable, c’était formidable.— Ravie que ça t’ait plu, ma puce, mais il faudrait que tu prennes une douche, les garçons t’en ont mis partout.— Oui c’est quoi tout ça.— C’est leur sperme, tu peux l’avaler si tu aimes ça, moi j’aime bien.
Camille accompagna sa fille dans la salle de bain et l’aida à prendre sa douche, et tout en la savonnant, elle lui dit :
— Ça y est, tu es une femme maintenant, il va falloir que tu prennes tes précautions si tu veux coucher avec d’autres garçons.— Oh tu sais, les garçons de mon âge sont tous des abrutis, je ne me vois pas coucher avec eux.— Peut-être pas les garçons de ton âge, mais maintenant que tu as goûté au sexe d’un homme, je crois que ton corps en redemandera souvent.— Ah bon ?— Tu verras, mais je t’expliquerais les différents moyens de te protéger, lors des rapports.— Très bien, maman.— Et il faut que tu rases ta petite chatte, Benji et les hommes, en général, préfèrent les chattes sans poil— Comment on fait ?— Je vais t’aider après la douche.
Une fois, la douche terminée, Camille installa sa fille au bord de la baignoire, les cuisses grandes ouvertes et après avoir passé une petite tondeuse pour éliminer les poils les plus longs, elle lui étala de la mousse à raser sur la chatte, et prit un rasoir pour éliminer les dernières traces de poil.Camille finit par lui enduire la chatte avec une crème apaisante, pour calmer le feu du rasoir. Gwendoline avait laissé sa mère, éliminer toute trace de poil de sa petite chatte, la faisant retrouver sa petite minette de petite fille, mais alors que sa mère lui badigeonnait la chatte avec la crème, en sentant les doigts de sa mère s’égarer de temps à autre dans sa petite fente imberbe, elle ressentit de nouveaux frémissements dans son ventre, elle écarta autant qu’elle put ses cuisses et dit à sa mère :
— Continue, maman, c’est bon ce que tu me fais, ça me fait du bien.
Camille, devinant que sa fille commençait à mouiller, enfonça un doigt dans la chatte de sa fille, et lui dit :
— Petite cochonne, ça te fait mouiller, ce que je te fais— Oui, maman, continue, c’est trop bon, enfonce encore ton doigt.
Mais Camille se pencha entre les cuisses de sa fille et se mit à lui lécher le clito, tout en lui enfonçant un deuxième doigt dans la chatte.Gwendoline se mit à gémir sous les coups de langue de sa mère, et grâce à ses doigts qui coulissaient profondément dans sa chatte.Elle posa ses mains sur la tête de sa mère, elle lui plaqua la bouche contre sa chatte toute lisse, et elle jouit comme une folle en sentant la langue de sa mère s’enfoncer dans sa chatte brûlante.Alors que Pascal était en train de ranger le salon, il entendit Gwendoline gémir dans la salle de bain juste à côté, il partit voir ce qu’il se passait, en voyant sa femme agenouillée entre les cuisses grandes ouvertes de sa fille, en train de lui bouffer littéralement sa jolie petite chatte, fraîchement épilée, il leur dit :
— La mère et la fille, aussi salope l’une que l’autre.— C’est trop bon, papa, maman me fait jouir, j’adore ça.
Pascal, en voyant sa fille gémir comme une folle, se mit à bander de nouveau dans son pantalon, il profita que Benji soit parti, et qu’ils ne soient plus que tous les trois, pour profiter des deux salopes de la maison.Ayant complètement oublié, ses premières réticences à baiser avec Gwendoline, Pascal sortit sa queue et s’approcha des deux superbes salopes, il approcha sa bite de la bouche de sa fille et lui dit :
— Allez, petite salope, suce bien la bite à papa.
Gwendoline était tellement excitée, qu’elle avala la bite de son père, sans la moindre hésitation, et tandis que sa mère lui fouillait maintenant la chatte avec trois doigts, elle pompa la bite de son père avec un appétit féroce.Ils baisèrent, tous les trois, pendant une bonne partie de la nuit, après avoir joui dans la salle de bain, ils dînèrent en restant complètement nus tous les trois, et ils finirent la soirée dans la chambre parentale, où Gwendoline n’avait pas dormi depuis qu’elle était petite fille, mais cette fois, c’est avec la bite de son père dans la chatte, et la tête entre les cuisses de sa mère, qu’ils s’assoupirent tous les trois, luisants de sueur, et chatoyants de plaisir.Durant les semaines qui suivirent, Benji lui dépucela l’anus et la fit plonger toujours un peu plus dans la débauche et l’inceste, elle ne passa plus une seule nuit sans une queue dans sa chatte ou dans son cul, et parfois même dans les deux.Elle fut même entraînée dans les partouzes, auxquelles, participaient ses parents, pendant lesquelles, Gwendoline se faisait baiser et enculer toute la nuit, elle avalait des quantités de sperme incroyables, et en ressortait complètement exténuée, en général, elle ne touchait plus à une bite pendant plusieurs jours après ces soirées lubriques à l’extrême.Mais lorsqu’elle commença à devenir la pute du lycée, se faisant baiser et enculer par des mecs qu’elle ne connaissait même pas, mais également, certains profs et le proviseur usaient et abusaient de son superbe corps, contre rémunération que Benji ne manquait pas d’engranger.
Alors elle se dit que si elle devait faire la pute, ce serait pour son propre compte, et non pas pour qu’un autre exploite ses penchants sexuels, alors elle profita de la fin de l’année scolaire pour mettre un terme à ses activités illicites.Elle avait rencontré Nicolas, pendant les vacances, elle avait trouvé chez lui, une certaine quiétude, elle ne le trouvait pas spécialement attirant, mais loin de Benji et de ses parents, ses penchants lubriques avaient tendance à s’atténuer. Elle s’était rapidement installée chez les parents de Nicolas et avait retrouvé une certaine sérénité, elle n’avait pas osé présenter, Nicolas à ses parents, de crainte de retomber dans ses travers immoraux. A chaque fois qu’elle leur rendait visite, elle évitait de rester trop longtemps pour ne pas succomber de nouveau à ses pulsions incestueuses. Mais depuis qu’elle avait rencontré Matt, la petite flamme de la débauche, que Benji avait allumée en elle, et qu’elle avait réussi à éteindre avec Nicolas, s’était rallumée, et tout comme la première fois avec Benji, elle se sentait prête à plonger corps et âme dans la luxure.Plus Gwendoline avançait dans son récit et plus Matt était persuadé qu’ils connaissaient le même Benji, il se souvenait que son Benji avait également l’habitude de peloter le cul et les seins de sa mère, sans qu’elle ne dise rien, et cela même devant son père.Il avait souvent vu sa mère s’isoler avec lui, et il se souvenait avoir entendu des bruits étranges provenant de la chambre de ses parents, dans ces moments-là.Pendant le récit, les trois complices n’étaient pas restés inactifs.
Gwendoline avait ouvert ses cuisses à Liuyu et la laissait lui lécher la chatte, tandis que Matt défonçait le cul de celle-ci.A la fin du récit, ils jouirent tous les trois, d’un plaisir intense et s’écroulèrent les uns sur les autres, complètement exténués.A SUIVRE
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