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Les mystères de l'Asie

Chapitre 15

Inceste
Les mystères de l’Asie 15La première journée de l’année fut marquée par l’entrée de la famille de Vivianne et d’Hervé dans l’inceste le plus total.Ils venaient de baiser avec leurs filles jumelles, et après la proposition de Liuyu, Céline et Julie lui donnèrent tous les détails sur leurs fiancés afin qu’elle puisse établir le meilleur moyen pour les faire succomber à ses charmes et avoir de bonnes photos compromettantes.Comme prévu, elle demanda l’aide de sa sœur, Zhao, pour s’occuper d’un des deux gendres.Celle-ci connaissait déjà très bien, Viviane et Hervé, qui participaient souvent aux partouzes qu’organisaient Matt et Liuyu.
Elle fit la connaissance de Céline et Julie, qui lui répétèrent tous les détails, dont elle avait besoin sur leurs fiancés.Zhao et Liuyu discutèrent un bon moment sur le meilleur moyen de compromettre les deux fiancés, et tombèrent d’accord sur un plan d’action.Il fut donc décidé que la première partie du plan se déroulerait à la piscine municipale, Liuyu avait de bons souvenirs là-bas, c’est là qu’elle s’était fait dépuceler par Serge et connaissait bien les lieux pour baiser sans être dérangée.
Rendez-vous fut donc pris avec Céline et Julie, ainsi que Viviane et Hervé.Les jumelles eurent un mal fou à traîner leurs fiancés jusqu’à la piscine municipale, la propriété de leurs parents respectifs était, bien entendu, dotée d’une piscine privée, dont ils ne profitaient que très rarement.
Mais le jour J, ils accompagnèrent Céline et Julie à la piscine municipale, sans grande conviction, ils furent surpris de retrouver Hervé et Viviane, mais lorsqu’ils virent Liuyu, ils abandonnèrent complètement leurs fiancées.
Celles-ci purent retirer la serviette qu’elles avaient jusqu’à la poitrine pour dévoiler à tout le monde un micromaillot de bain qui faillit faire chuter le maître-nageur du haut de son perchoir.Depuis qu’elles avaient plongé dans l’inceste avec leurs parents, et décidé de vivre pleinement leur libido, elles s’étaient acheté quelques tenues de salope, dont ce maillot de bain qui ne cachait pas grand-chose.
C’était un maillot de bain 2 pièces, le bas était composé d’un petit string plutôt classique, mais qui était plutôt rare dans une piscine municipale, et le haut était composé de deux fleurs en tissu qui cachaient tout juste leurs tétons et laissaient le reste de leurs imposantes poitrines à l’affût de tous les regards.
Comme elles s’y attendaient, dès que Kévin et Louis avaient vu Liuyu, ils ne se préoccupaient plus du tout d’elles.Matt en profita et posa ses mains sur chacun de leurs superbes culs et les entraîna dans l’eau.Elles rirent et suivirent leur amant dans l’eau, le laissant leur peloter le cul devant tout le monde.
Pendant ce temps-là, Liuyu présenta sa sœur aux deux fiancés, et à la vue de leur regard pervers, elle ne s’était pas trompée, ils avaient un gros faible pour les Asiatiques, et elles comptaient bien en profiter.

Mais, contrairement aux jumelles salopes, Liuyu et Zhao avaient opté pour un maillot de bain 2 pièces, très classique, elles ne voulaient pas choquer les deux petits bourgeois, mais comptaient bien les faire tomber dans leur filet.
Pendant que Matt et les jumelles s’isolaient dans un coin d’un des nombreux bassins de la piscine suivis de près par Hervé, Viviane avait sorti un petit appareil photo étanche et était à l’affût de la moindre incartade de ses gendres.
Et alors que les jumelles se faisaient maintenant fouiller la chatte sous l’eau par les doigts fouineurs de Matt et d’Hervé, Liuyu et Zhao avaient entraîné Kévin et Louis dans un autre bassin.Comme deux pauvres moutons, et sans préoccuper le moins du monde de leurs fiancées, ils les avaient suivis, Viviane s’était placée derrière des arbres artificiels et elle les surveillait de près.Liuyu et Zhao commencèrent à chahuter avec les deux garçons, elles firent exprès de se coller à eux, de s’agripper à leur cou et à leur hanche afin de les faire couler.
Liuyu fut presque surprise de sentir, dès la première fois où elle s’agrippa au cou de Kévin, ses mains se poser sur ses fesses, comme quoi son éducation bourgeoise ne comprenait pas le respect des femmes.Elle fit celle qui n’avait rien remarqué, et continua de chahuter avec lui.Zhao en fit autant avec Louis, qui résista un peu plus longtemps que Kévin, avant de poser ses mains sur ses superbes petites fessesCela faisait maintenant 5 minutes qu’ils chahutaient. Viviane ne manquait rien des écarts de conduite de ses gendres, surtout que Zhao et Liuyu montraient bien à l’appareil les mains de ses gendres sur leur cul.Des mains qui finirent par rester en permanence sur les culs des deux superbes asiatiques, même lorsqu’ils ne chahutaient plus.Kévin et Louis étaient de plus en plus à l’étroit dans leur maillot de bain, ils ne lâchaient plus les petits culs de Liuyu et Zhao, et ne voulaient plus sortir de l’eau pour cacher leur érection.
Mais les deux sœurs avaient bien l’intention de les faire sortir et dévoiler leur érection à l’appareil de Viviane.Alors pour les rassurer, elles les emmenèrent plus loin dans le bassin, et lorsqu’ils eurent de l’eau jusqu’au cou, ils furent certains que personne ne pouvait voir leur bite en érection.Mais Liuyu et Zhao étaient plus petites qu’eux, alors trouvant pour excuse qu’elles ne voulaient pas couler, elles s’accrochèrent à eux de sorte qu’elles aient leurs chattes brûlantes contre leurs bites bien dures.Kévin et Louis les tenaient toujours par le cul, et elles firent exprès de frotter leurs chattes le long de la bite des deux bourgeois. Elles se penchèrent chacune à l’oreille de leur victime, et tout en glissant une main entre eux, elles attrapèrent leur queue bien raide, entre leurs mains, et leur dirent doucement :
— C’est quoi cette chose bien dure ?
Kévin et Louis furent comme tétanisés, de sentir les mains douces des filles se refermer autour de leur bite dure.Elles commencèrent à les branler en leur roulant une pelle, ils firent tourbillonner leur langue dans la bouche des filles et quand elles sentirent qu’ils étaient sur le point de jouir, elles stoppèrent et leur dirent à l’oreille :
— Si tu veux me baiser, suis-moi.
Elles s’écartèrent d’eux et sortirent de l’eau.Kévin et Louis n’étaient plus en état de réfléchir, leur cerveau était contrôlé par leurs bites; sans prendre garde, ils suivirent les filles et sortirent de l’eau, mais ils bandaient tellement que leurs glands dépassaient de leur maillot de bain, et Viviane n’en perdit pas une miette, immortalisant la scène plutôt cocasse.Heureusement pour eux, les femmes qui le remarquèrent furent, soit trop choquées, ou trop excitées pour dire quoi que ce soit, et ils suivirent donc Zhao et Liuyu dans les douches.Chacune se retira dans une cabine, Louis suivit Zhao, tandis que Kévin rejoignait Liuyu.Elles avaient toutes les deux, retiré leur bas de maillot de bain et attendaient, penchées contre la paroi de la cabine, le cul bien cambré, la bite de leur futur amant.
En les voyant prêtes à se faire fourrer, Louis et Kévin ne prirent pas le temps de verrouiller la cabine, ils baissèrent leur maillot de bain, libérant enfin leur bite en pleine érection et l’enfoncèrent sans ménagement au fond de la chatte des deux salopes asiatiques.
Heureusement pour Zhao et Liuyu, elles s’étaient bien caressées et suffisamment lubrifiées pour recevoir, sans aucun préliminaire, la bite des deux gendres, au fond de leur chatte.Viviane passait d’une cabine à l’autre, entrouvrant la porte, et mitraillant ses gendres en pleine action, au fond de la chatte des deux salopes.Et tandis que Kévin et Louis se déchaînaient dans la chatte de Liuyu et Zhao, Céline et Julie se faisaient fourrer la leur par Matt et Hervé, mais leur micromaillot de bain, et maintenant, leurs mouvements de montée et descente sur la bite de leurs amants avaient fini par attirer des curieux.
Surtout le maître-nageur qui avait failli tomber de son perchoir, il avait tout de suite prévenu ses collègues par radio, et ils avaient suivi discrètement les deux jumelles.Si bien que lorsqu’elles s’étaient isolées avec Matt et Hervé dans un bassin très peu fréquenté, et qu’elles avaient commencé à se faire baiser contre un mur du bassin, les petits curieux s’étaient vite rapprochés.
Si bien qu’elles avaient maintenant 4 maîtres-nageurs, à quelques mètres d’elles, mais elles prenaient tellement de plaisir avec les bites de Matt et de leur père qu’elles ne se préoccupaient plus du tout, de ce qui les entourait.Mais Matt et Hervé avaient vu les curieux approcher, ils n’avaient rien dit à leur partenaire, au contraire, quand les curieux furent suffisamment proches, ils retournèrent Céline et Julie contre le mur et les prirent en levrette.Elles n’eurent pas le temps de paniquer qu’elles se faisaient de nouveau défoncer leurs chattes au bord de la piscine; mais elles virent les 4 hommes devant elles sortir leurs bites et commencer à se branler.Matt leur dit :
— Approchez-vous, messieurs, ce sont deux grosses salopes, elles vont vous sucer la bite pendant qu’on les baise.
Sans qu’elles n’aient leur mot à dire, d’ailleurs, elles n’en avaient pas tellement envie, elles virent les hommes placer leurs bites à hauteur de leurs bouches; et en bonne salope qu’elles étaient devenues, elles attrapèrent une bite dans chacune de leurs mains, et se mirent à les pomper chacune leurs tours.
Elles y trouvaient un plaisir incroyable d’avoir plusieurs bites, rien que pour elles. Elles se déchaînèrent sur ces queues, et lorsqu’Hervé finit par jouir dans la chatte de Julie, un maître-nageur plongea dans l’eau et le remplaça au fond de sa chatte.
Elles se firent ainsi défoncer la chatte par 3 bites différentes chacune et reçurent leur sperme au fond de leur vagin.Leurs maillots de bain flottaient au milieu du bassin, elles étaient complètement nues dans l’eau, et se faisaient fourrer comme deux superbes salopes, elles en étaient à leur 3e bite, au fond de leur chatte, quand Kévin, Louis, Liuyu et Zhao les retrouvèrent.
Les filles rirent intérieurement, leur plan avait fonctionné encore mieux que prévu, et lorsque les garçons s’apprêtaient à intervenir pour stopper cette explosion de débauche sur leurs fiancées, Viviane les arrêta net dans leur élan, en leur montrant les photos qu’elle avait prises d’eux, en compagnie de Zhao et Liuyu, et leur dit :
— A partir d’aujourd’hui, mes filles baisent avec qui elles veulent et où elles le veulent, et je vous promets de les pousser à faire de vous, les maris les plus cocus de toute la ville.
Kévin et Louis furent tellement abasourdis qu’ils ne trouvèrent rien à redire, et regardèrent leurs fiancées recevoir les giclées de sperme de la troisième bite qui les baisait depuis qu’elles étaient arrivées à la piscine.Matt et Hervé récupérèrent leur micromaillot de bain, et lorsqu’elles eurent suffisamment récupéré, elles se rhabillèrent, et sortirent de l’eau, découvrant leur fiancé, dans un état de totale confusion.Kévin et Louis découvrirent le ridicule maillot de bain de leur fiancé, mais après ce qu’ils venaient de voir, ils étaient complètement perdus.Avant que l’idée ne leur germe dans la tête, Viviane leur dit :
— Ne pensez même pas à annuler le mariage, vos parents ne verraient pas d’un bon œil que vous annuliez à cause d’une de vos fantaisies sexuelles, vous n’avez aucune preuve que mes filles sont de grosses salopes, mais moi, j’ai des photos de vous qui prouvent que vous êtes de beaux salauds.
Ils ne trouvaient toujours rien à dire, et Viviane insista en disant :
— Il va falloir vous marier avec de superbes salopes, et je vous promets qu’elles vont se faire fourrer par un paquet de bite le jour du mariage.
Viviane jubilait; elle tenait enfin sa vengeance; ses filles étaient libres, et même si elles allaient devoir supporter ces deux abrutis, elles pourraient se faire baiser par qui elles voulaient et quand elles voulaient, faisant d’eux les plus gros cocus de la ville.
Tout le monde se dirigea vers la sortie de la piscine, et partit se changer dans les vestiaires, Kévin et Louis n’étaient toujours pas sortis de leur léthargie, et suivaient les autres comme deux petits moutons perdus.
Tout le monde se changea et sortit de la piscine municipale, mais alors qu’elles étaient venues avec leurs futurs maris à l’allée, Céline et Julie partirent avec Matt et Liuyu, le laissant leur peloter le cul devant leurs fiancés.
Kévin et Louis prirent chacun leur voiture et ne sachant trop quoi faire, ils rentrèrent chez eux, complètement anéantis par la débauche de leurs futures femmes, qu’ils allaient devoir accepter sans broncher.
Sur la route qui menait à l’appartement des parents des jumelles, les filles fêtèrent leur victoire sur les deux abrutis, Julie suça la grosse bite de Matt pendant qu’il conduisait, tandis que Liuyu et Céline se bouffaient la chatte sur la banquette arrière.
Dans l’autre voiture, ce n’était pas mieux, mais Hervé avait les couilles vides, donc il laissa Viviane et Zhao se faire du bien à l’arrière de la voiture.Tout le monde monta à l’appartement et se retrouva vite à poil, mais les filles trouvèrent que cela manquait tout de même de bites; elles étaient 5 salopes en chaleur pour seulement 2 bites, même si Matt était très endurant, il ne pouvait pas être partout, quant à Hervé, il n’avait pas encore récupéré de la séance de baise à la piscine.
Liuyu eut une idée, elle appela leurs amis de partouze et bientôt, l’appartement de Viviane et Hervé se transforma en un lieu de débauche absolue, à la fin de la journée, il y avait une dizaine de filles à poil et autant d’hommes, cela baisait de tous les côtés.
A un moment de la soirée, alors que Matt et Laurent étaient assis contre la tête de lit de Viviane, ils avaient Céline et Julie, à poil, entre leurs jambes, qui leur branlaient doucement leurs bites entre leurs gros nichons, en leur léchant le gland quand il était à portée, Matt leur demanda :
— Dites-moi, mes petites salopes, ça vous dirait de faire de votre mariage, une grosse partouze ?
Elles répondirent en continuant de faire coulisser les bites de leurs amants, entre leurs énormes seins :
— Oh, ouiii, ce serait génial, mais nos belles familles sont plutôt coincées du cul, ça risque d’être difficile.— Vos belles mères peut-être, mais vos beaux-pères, je suis certain qu’ils rêveraient de pouvoir fourrer leur queue au fond de vos chattes de salopes.— Possible, j’ai souvent surpris mon beau-père en train de mater mon petit cul, dit Julie.— Moi aussi, mais les belles mères ne sont jamais loin, et elles, ce sont vraiment de vieilles rombières, sans parler des cousines et des tantes, dit Céline.— J’ai peut-être une solution pour occuper les belles-mères et rendre les autres plus dociles sexuellement, leur dit Matt.— Ah bon ? firent, en chœur, les jumelles.— J’ai un ami qui travaille dans un laboratoire pharmaceutique, et il m’a parlé d’un de ses sujets de recherche, et ce serait une sorte de viagra féminin.— Euh, ça existe vraiment ? demanda Laurent, intéressé.— Eh bien, d’après ce que j’ai pu comprendre, ça n’a pas le même effet que celui pour les hommes, qui les font bander, celui-ci jouerait plus sur la libido des femmes, et ferait tomber leurs inhibitions, il a plus un effet psychologique que physique.— Tu crois qu’une femme coincée du cul deviendrait une grosse salope ? demanda Julie.— Je ne sais pas, il faudrait essayer, mon ami cherche des femmes volontaires pour faire des tests.— Tu veux qu’on essaie ? demanda Céline.— Non, pas vous, vous êtes déjà assez salopes comme ça, il faudrait essayer sur des femmes pudiques et voir comment elles réagissent.
Ils réfléchirent tous pour trouver une de leur connaissance qui ne soit pas déjà une grosse salope, mais cela se faisait rare du côté de Matt, et comme ils ne voulaient pas tester sur les belles familles des jumelles, ils eurent un peu de mal à trouver.Laurent avait bien une petite idée, mais il n’osa pas la proposer; mais remarquant qu’il ne cherchait pas vraiment, Céline lui demanda :
— Tu penses à quelqu’un ?
Un peu contrarié de s’être fait démasquer, Laurent répondit :
— Euh, eh bien, je ne sais pas, je connais bien une fille plutôt réservée, mais je ne suis pas sûr de vouloir la voir se transformer en salope, si ça marche, bien sûr.— Rhooo, allez, dis-nous qui c’est, dit Céline en comprimant un peu plus sa queue entre ses gros nichons.
Laurent ne put résister plus longtemps, il jouit sur les seins de celle-ci, en lui envoyant d’épaisses giclées de sperme sur les seins et en criant :
— Ma sœuuuuurrrrr !
Céline finit de lécher le sperme de Laurent, et se redressa, les seins encore couverts de sperme, pour lui dire :
— Merci, mon salaud, et pour ta sœur, c’est toi qui vois, mais il faut trouver quelqu’un pour essayer la fameuse pilule avant de la faire avaler aux invitées.
Laurent reprit son souffle, et dit :
— OK, OK, je veux bien essayer sur elle, mais comment on s’y prend, je ne vais quand même pas lui tendre la pilule et lui dire : allez ! avale ça, sœurette, tu vas devenir une bonne salope.
Matt intervint et dit :
— Ça dépend de toi, tu as envie de coucher avec ta sœur ou non ?
Laurent était pris au dépourvu, l’idée ne lui avait jamais traversé l’esprit, sa sœur, Camille, était une superbe jeune fille, de 18 ans, 1.60m pour 45 kilos, très fine, des cheveux châtains, très longs et bouclés, des magnifiques yeux bleus clairs, des seins de 85C et un superbe petit cul, qui maintenant que Laurent y pensait, le troublait quelquefois, quand il était bien moulé dans un short ou un pantalon, elle plaisait beaucoup aux garçons, mais elle manquait d’assurance et cela lui avait valu de tomber sur des abrutis qui n’en voulaient qu’à son petit cul.
Au fil des échecs avec les garçons, Laurent l’avait vue se renfermer de plus en plus sur elle-même, et maintenant qu’il y pensait, la pilule dont parlait Matt, pourrait peut-être lui faire le plus grand bien.
Mais il fallait qu’il se décide s’il était prêt à coucher avec sa propre sœur, autour de lui, la plupart de ses amis baisaient avec leurs parents, leurs frères et leurs sœurs, alors il se dit que si la pilule faisait de sa sœur une salope, il serait partant pour coucher avec elle.
Alors, il dit à Matt :
— C’est OK pour moi, je veux bien tester sur ma sœur, et je baiserais avec elle si ta pilule marche.— OK, je vais demander un échantillon à mon ami, et je te le donnerais pour que tu essaies.
Les deux jumelles, très intéressées par le résultat, demandèrent :
— Ce serait possible qu’on soit là ?
Laurent réfléchit un moment, mais Matt leur dit :
— Je crois que ce serait préférable que Laurent fasse cela, seul avec sa sœur, afin que personne ne vienne perturber les résultats, et il nous racontera comment ça s’est passé, en bien ou en mal.
Laurent approuva la décision de Matt et médita sur le bien ou le mal du test sur sa sœur, si la pilule n’avait aucun effet, alors il ne baiserait pas avec elle, mais maintenant qu’il se l’était imaginé, il se rendit compte qu’il en avait très envie, et si la pilule fonctionnait comme prévu, alors il baiserait avec sa sœur, mais leur relation fraternelle ne serait plus jamais la même.
La soirée se déroula tranquillement, chacun baisant selon son envie, mais Laurent n’arrivait plus à s’empêcher de penser à sa sœur complètement nue.Quelques jours passèrent, et Matt appela Laurent pour lui dire qu’il avait récupéré la pilule pour le test; celui-ci avait réussi à se sortir l’idée de coucher avec sa sœur de la tête, espérant presque que Matt l’avait également oublié, mais maintenant il était au pied du mur, soit il renonçait, soit il acceptait, au risque de transformer à jamais la relation affectueuse qu’il avait avec sa sœur.
Il s’apprêtait à répondre à Matt qu’il renonçait à l’idée du test sur sa sœur lorsque celle-ci apparut devant lui, avec son superbe petit cul parfaitement moulé dans un petit short; Laurent déglutit, sentant sa volonté faiblir; et lorsque sa sœur se retourna, faisant onduler ses longs cheveux et dévoilant sa poitrine, elle aussi, bien moulée dans un petit top.
Elle ne sortait jamais dehors dans cette tenue, elle était trop pudique pour cela, mais lorsqu’elle était chez elle, elle se lâchait et, sans aucune arrière-pensée, optait souvent pour une tenue très moulante.
Elle ne le regarda même pas, mais Laurent sut qu’il voulait baiser ce corps splendide, alors il répondit :
— OK, je vais passer la récupérer.
Il partit aussitôt, afin que sa sœur ne découvre pas qu’il bandait pour elle.Il récupéra la pilule rose, et mit un moment avant de se décider à l’utiliser, il la regardait longuement tous les soirs, une petite voix dans sa tête lui disait qu’il allait commettre une grave erreur, mais depuis qu’il avait la pilule en sa possession; dès que sa sœur passait devant lui, il n’arrivait plus à quitter son petit cul des yeux, et l’imaginait, les cuisses grandes ouvertes, prête à recevoir sa bite bien dure au fond de sa chatte.Il attendit un jour où leurs parents étaient partis chez des amis, que lui et sa sœur n’appréciaient guère, les laissant seuls dans la maison familiale.Leurs parents devaient rentrer tard dans la nuit, alors Laurent profita du fait que sa sœur soit occupée dans sa chambre, pour préparer le repas du midi; quand tout fut prêt, il sortit la pilule rose de sa poche, il la réduisit en poudre et s’apprêtait à la mélanger au plat de sa sœur, lorsque sa petite voix lui dit :
— Ne fais pas ça, il est encore temps d’arrêter, tu vas faire une grosse bêtise.
Il avait la poudre juste au-dessus de l’assiette de sa sœur et hésitait à la verser.Lorsque sa sœur surgit de nulle part, et lui demanda :
— Tu nous as préparé quoi, grand frère ?
Laurent sursauta, renversant involontairement la poudre dans l’assiette, il paniqua et se dépêcha de la mélanger au plat de sa sœur.Il avait le cœur qui battait à cent à l’heure, lorsqu’il posa l’assiette à la place de sa sœur, elle passa devant lui, en lui disant :
— Merci, frangin, tu es très aimable aujourd’hui.
Encore une fois, Laurent ne put détacher ses yeux, du ravissant petit cul de sa sœur, elle portait un legging très moulant sous lequel il pouvait deviner son string; cela lui provoqua un début d’érection.
Il la vit s’installer à table et commencer à savourer son plat, il s’installa en face d’elle, avant qu’elle ne s’aperçoive qu’il bandait, et commença à manger.Il la surveillait, guettant le moindre signe de trouble chez sa sœur, mais elle finit son assiette, sans manifester le moindre changement de comportement.Lorsqu’elle se leva pour débarrasser son assiette, Laurent ne lâchait pas les contours de son string sous son legging, et même s’il bandait bien dure, il fut presque soulagé que la pilule ne fonctionne pas, mais alors que Camille allait poser son assiette dans le lave-vaisselle, elle ressentit un étrange frisson lui parcourir l’échine, cela la fit tellement frissonner qu’elle en laissa tomber son assiette.
Sans raison particulière, elle sentit son cœur s’emballer, son visage et son corps s’échauffaient.
En entendant l’assiette se briser, Laurent s’était précipité dans la cuisine, Camille était encore penchée en avant, au-dessus du lave-vaisselle, et semblait avoir du mal à respirer; Laurent paniqua, et sans le faire exprès, colla sa queue bien raide entre les fesses de sa sœur, pour l’aider à se relever.
Lorsqu’elle sentit la bite de son frère dans la raie de ses fesses, Camille ressentit un nouveau frisson lui remonter le long de la colonne vertébrale.Elle était paralysée, elle sentait la bite dure de son frère contre son cul, elle sentit, ses tétons se mettre à pointer excessivement, sa chatte se mettre à mouiller outrageusement.Lorsque Laurent posa ses mains sur son ventre pour l’aider à se relever, Camille ne put s’empêcher de prendre les mains de son frère pour les remonter sur ses seins.Elle n’arrivait plus à se contrôler, alors que Laurent la tirait en arrière pour la relever, elle comprimait les mains de son frère sur ses seins bien fermes en gémissant de plaisir.Lorsqu’elle fut debout, Laurent se rendit compte qu’il pelotait les seins durs de sa sœur, et qu’il avait sa queue bloquée entre ses fesses, il l’entendit gémir de plaisir, et la sentit commencer à faire bouger son cul le long de sa bite.
Il se dit que la pilule faisait finalement effet, il s’apprêtait à glisser ses mains sous le top de sa sœur, lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit.Camille reprit soudainement pied dans la réalité, et se rendit compte de ce qu’elle était en train de faire.Elle eut la honte de sa vie et s’enfuit dans sa chambre.Laurent resta dans la cuisine, comme un ahuri, la bite dure, sans comprendre ce qu’il venait de se passer, mais la sonnette retentit de nouveau, alors il essaya de reprendre ses esprits et alla ouvrir la porte d’entrée.Il fut à la fois soulagé et contrarié de voir Marc sur le paillasson; ils avaient toujours été de très bons amis et encore plus depuis qu’ils avaient passé un WE torride avec Matt et Liuyu.Ils participaient souvent à leur partouze, chez eux, ou chez leurs voisins.
Mais Marc qui connaissait bien Laurent le trouva bizarre, alors il lui demanda :
— Ça va, tu n’as pas l’air dans ton assiette.— Euh, si, si, tout va bien, c’est juste un truc avec Camille; je te raconterais.
Pendant qu’ils s’installaient confortablement dans le salon pour jouer à la console.Dans la chambre de Camille, celle-ci était affolée, elle se demandait ce qu’il lui avait bien pris de remonter les mains de son frère sur ses seins; s’il le disait à ses parents, qu’est-ce qu’ils penseraient d’elle.
Mais plus elle paniquait, plus elle sentait son cœur s’emballer, elle avait également de plus en plus chaud, des bouffées de chaleur parcouraient tout son corps, mais c’était surtout sa chatte qui était complètement trempée.
Sans s’en rendre compte, alors qu’elle pestait toujours sur son récent écart de conduite envers son frère, elle glissa une main dans son legging et dans son string, lorsque ses doigts effleurèrent son clitoris, qui était complètement sorti de sa cachette, elle poussa un long soupir de plaisir.
Elle commença à se caresser; et se mit plus à gémir de plaisir qu’à maugréer; son autre main se glissa sous son top, et se mit à caresser ses seins; elle se rendit compte à quel point ses tétons étaient durs, jamais elle n’avait été autant excitée.
Tandis que son corps s’échauffait de plus en plus, elle finit par se mettre complètement nue sur son lit, écarta les cuisses autant qu’elle put, et commença à se fourrer plusieurs doigts dans sa chatte trempée; son corps ondulait sous les va-et-vient de ses doigts dans son intimité, elle gémissait de plus en plus fort.
Mais lorsqu’elle se rendit compte qu’elle n’avait pas verrouillé la porte de sa chambre, elle se mit à imaginer son frère la trouvant complètement nue sur son lit.Elle s’était enfoncé trois doigts dans la chatte, mais plus elle pensait à son frère, et surtout à sa bite qu’elle avait sentie contre ses fesses, plus elle désirait la sentir au fond de sa chatte.Elle regarda autour d’elle pour essayer de trouver quelque chose qui pourrait la combler, elle attrapa sa brosse à cheveux sur sa table de chevet, et s’enfonça aussitôt le manche dans la chatte; mais, après seulement quelques aller-retour, cela ne la satisfaisait pas, c’était trop petit, il lui fallait quelque chose de plus gros.
Elle n’arrivait pas à trouver ce qui pourrait arriver à satisfaire sa chatte en feu, elle était en sueur, le jus de sa chatte lui coulait entre les fesses, elle était dans un état second.Puis d’un seul coup, elle se souvint de ce qu’elle avait découvert dans la chambre de ses parents, à l’époque, elle avait été très troublée, mais à cet instant précis, elle ouvrit la porte de sa chambre, et se dirigea complètement nue dans leur chambre.
Heureusement que Marc et Laurent étaient concentrés sur leur jeu, ils ne l’entendirent pas se faufiler dans la chambre des parents pour aller chercher un carton au-dessus de leur armoire.Elle le vida sur le lit de ses parents, il était rempli de divers sex-toys, il y avait des godes plus ou moins gros, des boules de geishas ...Elle chercha le plus gros gode, et le trouva; c’était un gode-ventouse de 25 centimètres de long sur 6 centimètres de diamètre; elle utilisa ce gode sur le sol et s’accroupit, empalant sa chatte en feu dessus.
Elle poussa un long soupir de plaisir, elle sentait enfin sa chatte bien remplie, elle commença à monter et descendre dessus, en se pétrissant ses seins bien durs.Elle se mit à gémir de plus en plus fort, faisant coulisser le gode de plus en plus vite, elle jouissait comme une folle, mais lorsque son regard se posa sur les autres sex-toys, elle se pencha pour en attraper un autre, elle plaça la ventouse contre le miroir du placard de ses parents, et se mit à le pomper comme s’il s’agissait d’une vraie bite.
Ses gémissements étaient maintenant étouffés par le deuxième gode, tandis qu’elle se déchaînait toujours sur celui qu’elle avait dans la chatte.
Elle eut plusieurs orgasmes avant de s’effondrer sur le sol; complètement vidée par tant de plaisir.Lorsqu’elle reprit ses esprits, elle se releva et rangea les godes, en se disant qu’elle était folle, elle aurait pu se faire surprendre par son frère.A ce moment précis, elle sentit sa chatte frétiller de nouveau, mais alors qu’elle rangeait le carton, elle se dit qu’elle devait essayer de reprendre le contrôle de son corps, alors elle sortit discrètement de la chambre des parents et se faufila dans la salle de bain à l’étage.
Personne ne l’avait aperçue, même si, lorsqu’elle était passée devant l’escalier, elle s’était arrêtée, en mourant d’envie de descendre dans le salon, complètement nue, pour se faire baiser par son frère et son ami.
Mais cette fois, elle réussit à reprendre le dessus, et s’enferma dans la salle de bain pour prendre une bonne douche froide.Lorsqu’elle sentit que ses sens s’étaient apaisés, elle sortit de la douche, grelottante, elle s’essuya rapidement et repartit discrètement dans sa chambre.
Elle fut soulagée, elle ne ressentait plus aucun trouble, elle décida de s’habiller et d’aller voir qui était l’invité de son frère.Mais contrairement à son habitude, elle n’enfila pas un jeans et un pull épais, non, sans vraiment s’en rendre compte, elle prit une de ses courtes robes d’été qui lui arrivait assez haut sur les cuisses, et lui faisait un joli décolleté.
En règle générale, elle réservait ce genre de tenue, aux vacances d’été en famille; jamais elle ne s’habillait ainsi devant quelqu’un d’étranger à sa famille même si Marc était un habitué de la maison.
Pourtant, à peine la petite robe enfilée, elle descendait déjà les marches de l’escalier, mais en arrivant à la moitié de l’escalier, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas mis de culotte, et qu’elle était nue sous sa petite robe.
De nouveau, elle sentit son cœur s’emballer, mais, cette fois, elle était juste au-dessus des garçons, elle n’osait pas bouger, son esprit et son corps se battaient intérieurement, l’un voulait remonter pour se changer, l’autre avait un besoin irrépressible d’une bonne bite entre les cuisses; elle réussit à remonter un pied sur une marche, mais elle n’arrivait pas à aller plus loin, si bien que maintenant, elle avait les cuisses écartées et si les garçons levaient la tête, ils auraient une vue directe sur sa petite chatte toute nue.
Alors qu’elle se battait intérieurement pour reprendre le dessus et remonter dans sa chambre, Laurent qui l’avait entendue descendre et s’arrêter, lui dit en levant la tête :
— Tu viens jouer avec nous, petite sœur ?
Mais lorsqu’il vit qu’elle était complètement nue sous sa robe, il sentit sa queue se remettre à gonfler doucement.La phrase de son frère fit complètement craquer Camille, elle descendit le reste des marches en se disant qu’elle comptait bien jouer avec eux, mais c’était surtout avec leurs bites qu’elle avait très envie de jouer.Alors complètement soumise à ses pulsions, elle leur dit en s’agenouillant devant le meuble télé :
— Continuez, je vais chercher un autre jeu.
Sachant parfaitement que les jeux vidéo n’étaient pas rangés à cet endroit; elle ouvrit le meuble et se pencha en avant, offrant ainsi une vue totale sur son cul et sur sa chatte complètement nus aux deux garçons.
Marc arrêta aussitôt de jouer, et donna un coup de coude à Laurent; celui-ci se disait que cela faisait maintenant 1h que sa sœur avait avalé la pilule, et pourtant, elle faisait toujours effet, alors il se dit qu’il n’avait plus le choix, il allait devoir assumer ses bêtises.
Marc n’osait pas faire quoi que ce soit sans l’aval de son pote, il se contenta de mater le superbe petit cul de Camille, tout en sentant sa bite durcir dans son pantalon.Il connaissait bien Camille, il la trouvait très mignonne, mais jamais il ne l’aurait imaginée si salope, il avait été très surpris de la voir exhiber son magnifique petit cul, mais il le fut plus encore, lorsque Laurent se leva pour s’agenouiller derrière elle.
Il le vit sortir sa bite bien dure, et l’enfoncer dans la chatte brûlante de sa sœur, en lui disant :
— C’est peut-être ça que tu cherches, petite sœur.
Camille sentait enfin la bite dure et chaude de son frère au fond de sa chatte, elle était comblée, alors elle lui répondit :
— Ooooh, ouiiii, grand frère, vas-yyyyy, défonce-moiiii, défonce ta salope de petite sœuuurrrr.
Jamais, il ne l’avait entendue parler aussi vulgairement, mais il la sentit commencer à faire coulisser sa chatte en feu le long de sa bite, en gémissant de plaisir.Marc n’en revenait pas, jamais Laurent ne lui avait dit qu’il baisait avec sa sœur, et même s’il lui avait dit, jamais il ne l’aurait cru.Pourtant, ils les voyaient, bel et bien, en train de baiser ensemble, et Camille avait l’air d’aimer cela, et d’en redemander.Il fut abasourdi de l’entendre lui dire :
— Qu’est-ce que tu attends, mon salaud, viens me donner ta bite à sucer, j’adore avoir deux bites rien que pour moi, je suis une grosse salope.
Marc n’en revenait pas, mais sans attendre l’aval de son pote, il se leva du canapé, sortit sa bite, et s’agenouilla devant Camille, elle lui avala aussitôt la queue, et se mit à la pomper au même rythme, qu’elle se prenait celle de son frère dans la chatte.
Camille était au comble du bonheur, elle avait enfin deux bonnes queues rien que pour elle, c’était autre chose que les godes qu’elle s’était fourrée. Les garçons la baisèrent pendant un bon moment, la faisant jouir comme une folle. Mais maintenant que le mal était fait, Laurent avait une envie folle de fourrer sa queue dans tous les orifices de cette salope.
Alors, tout en lui défonçant la chatte, il se mit à lui titiller l’anus avec son pouce, lorsque Camille sentit le doigt de son frère contre son trou de balle, elle sut qu’elle allait se prendre sa bite par là.
Elle n’était pas une fille facile, du moins jusqu’à aujourd’hui, et à 18 ans, elle n’avait couché avec un garçon qu’une seule fois, lui offrant sa virginité, chose qu’elle avait rapidement regrettée puisque ce petit ami l’avait quittée peu de temps après, donc à ce jour, son anus était encore un passage totalement inexploré.
Pourtant, elle était dans un tel état d’excitation qu’en sentant le doigt de son frère s’enfoncer doucement à l’intérieur, elle ne put se retenir, elle lâcha la bite de Marc pour dire à Laurent :
— Vas-y grand-frère, encule-moi si tu veux, tu seras le premier à me fourrer une bite dans le cul.
Laurent était toujours surpris d’entendre sa sœur parler si vulgairement, mais il n’écouta que son envie d’enculer cette superbe salope; il sortit sa bite de sa chatte brûlante et plaça son gland contre son anus encore vierge.Sans aucun préparatif, il poussa doucement sa bite entre les fesses de sa sœur, et même si elle n’avait jamais pris de bite dans le cul, il vit son anus s’ouvrir doucement et laisser entrer sa queue bien dure.Camille était dans un état second, elle était suffisamment détendue qu’elle ne ressentît aucune douleur lorsque son frère lui enfonça sa bite dans le cul.Lorsqu’elle sentit son pubis venir lui caresser les fesses, elle sut qu’elle s’était pris la bite entière de son frère dans le cul, elle ressentit une sensation de satisfaction incroyable, plus aucun de ses orifices n’était vierge, et elle en était étrangement fière.Laurent resta un moment sans bouger au fond du cul de sa sœur, laissant son anus s’habituer à son premier visiteur.
Puis, il commença à faire coulisser doucement sa bite, faisant gémir Camille de plaisir; au bout de plusieurs aller-retour, il commença à accélérer les va-et-vient, bientôt les fesses de Camille se mirent à claquer à chacun de ses coups de bites, la faisant hurler de plaisir sur la bite de Marc.
Marc se retenait autant qu’il pouvait pour avoir la chance de pouvoir baiser et peut-être même enculer cette jeune salope.Mais sous les coups de bite de son frère au fond de son cul, Camille se mit à enfoncer, de plus en plus, la bite de Marc au fond de sa bouche, elle finit par l’enfoncer jusque dans la gorge, et étrangement, elle ne ressentit aucune envie de vomir, non, au contraire, cette bite qui lui baisait maintenant, profondément la bouche, la faisant jouir encore plus fort.
Et d’un seul coup, alors qu’elle avait le nez dans les poils pubiens de Marc, et la bite de son frère, plantée profondément au fond de son cul, elle les sentit jouir en elle, et en sentant les giclées de sperme lui couler dans la gorge et lui remplir le cul, elle eut de puissants orgasmes à répétition.
Si bien qu’une fois que les couilles des garçons se sont complètement vidées en elle, elle s’effondra sur le sol, le cul suintant du sperme de son frère.Les garçons la soulevèrent et l’emmenèrent dans sa chambre, pour la poser sur son lit, et tout en la déplaçant, Marc demanda à Laurent :
— Ça fait longtemps que tu baises ta sœur ?— Première fois aujourd’hui.— Je ne la savais pas si salope, ta frangine, elle cache bien son jeu.— Ce n’est pas son état normal, c’est pour ça.— Comment ça ?
Laurent lui expliqua l’histoire de la pilule, et apparemment l’effet qu’elle avait eu sur sa sœur.Marc, plutôt intrigué, lui demanda :
— Tu crois qu’elle va réagir comment quand la pilule ne fera plus effet ?— Je n’en sais rien, je n’y ai pas pensé.— Eh bien, mon gars, j’espère qu’elle ne se souviendra de rien, parce que tu risques de passer un sale moment, surtout si elle en parle à tes parents.— Mes parents ne rentrent que cette nuit, je vais attendre qu’elle se soit reposée et essayer de discuter avec elle.— Ne lui parle surtout pas de cette pilule, sinon tu vas te faire tuer.
Marc ne voulait pas être là quand Camille ne serait plus sous l’effet de la pilule, alors il laissa Laurent, seul avec sa sœur, et rentra chez lui.Laurent resta avec sa sœur dans sa chambre, il voulait être là quand elle se réveillerait et voulait également que le test qu’il avait osé faire sur elle, avec cette fameuse pilule, soit le plus complet possible.
Alors, il la déshabilla complètement, il nota que ses tétons pointaient en permanence, il la vit se caresser dans son sommeil pendant une bonne heure, puis il vit ses tétons commencer à reprendre leur état naturel, elle se caressait de moins en moins, il en conclut que la pilule perdait son effet 4h après l’ingestion.
Il la couvrit de son drap et attendit patiemment qu’elle se réveille.Une heure après, Camille émergea doucement de ses rêves érotiques, elle sentit d’abord une douleur lancinante entre ses fesses, avant même d’avoir ouvert les yeux, elle glissa une main entre ses fesses pour comprendre pourquoi elle avait si mal au cul, elle sentit un liquide visqueux tout autour de son anus, comme si cela sortait de son cul.
Elle chercha les raisons possibles pour qu’un liquide visqueux sorte de son cul, et puis d’un seul coup, elle se rappela ce qu’elle avait vécu avec son frère et Marc, elle ouvrit les yeux et ne sut quoi dire en voyant son frère qui attendait qu’elle se réveille.
Elle se rappelait parfaitement qu’elle avait laissé son frère la baiser et l’enculer, qu’elle avait même sucé Marc en même temps, et avait reçu leur sperme avec un féroce appétit, mais elle ne se reconnaissait pas dans cet acte totalement incestueux.
Comment avait-elle pu ? Elle avait horriblement honte, pourtant elle se rappelait parfaitement s’être mise à 4 pattes devant les garçons pour leur montrer ses fesses nues et les exciter, elle se rappelait qu’elle avait eu une envie folle de leurs bites.
Ses souvenirs revenaient doucement à elle, elle se rappela comment elle s’était fait jouir avec les sex-toys de sa mère.Mais elle ne comprenait pas pourquoi, elle avait eu une telle envie de sexe si soudainement.Elle n’avait toujours pas dit un mot, alors Laurent lui dit :
— Ça va, petite sœur ?
Etrangement, Camille s’attendait à ce qu’il l’appelle : petite salope.Elle ne pouvait définir son comportement de l’après-midi, autrement, que par : Salope, elle s’était enfoncé un gros gode dans la chatte, en avait sucé un autre en même temps, et avait joui comme une folle. Puis elle avait aguiché son frère et son pote, et s’était fait baiser et enculer par son frère, il n’y avait qu’une salope pour faire cela.Mais elle se sentait bizarre, partagée entre la honte d’avoir couché avec son propre frère, et une étrange allégresse en se souvenant le plaisir incroyable qu’elle avait pris avec les bites de Laurent et Marc en elle.Alors, après un long silence, elle voulut se rassurer et demanda à son frère :
— Dis-moi, on n’a pas fait ça ?
Laurent ne sut quoi dire, alors il lui dit :
— Si, petite sœur, on a bien couché ensemble, tu le regrettes ?
Camille était encore perdue dans ses pensées, Laurent venait de lui confirmer qu’elle n’avait pas rêvé, mais pourquoi avait-elle fait cela, le regrettait-elle ? Elle était incapable d’y répondre.Alors elle dit à son frère :
— J’ai besoin d’être seule, un moment, tu peux me laisser, stp.— OK, je t’attends en bas, si tu veux en discuter.
Laurent sortit de la chambre, laissant Camille seule, à essayer de comprendre pourquoi elle avait eu un tel comportement.Mais elle avait beau se remémorer son après-midi, elle ne comprenait pas, tout s’était déclenché lorsqu’elle avait senti la bite de Laurent contre ses fesses, alors qu’elle était penchée sur le lave-vaisselle, et puis son corps avait pris le contrôle, ses pulsions avaient pris le dessus, et elle s’était comportée comme une grosse salope.Elle avait pris un plaisir incroyable à se comporter comme la dernière des traînées ne respectant plus aucun tabou, prête à se faire baiser et enculer par son propre frère; alors seule dans sa chambre, elle répondit à la question de Laurent :
— Non, je ne le regrette pas.
Mais maintenant, d’autres questions s’imposaient à elle : Comment allait-elle, ou plutôt, comment allaient-ils faire pour vivre avec ?Est-ce qu’ils allaient recommencer ?Cette question en entraîna une autre :Avait-elle envie de recommencer ?
Sentant encore son cul endolori, elle allait devoir attendre avant de se faire de nouveau enculer, mais elle se souvint qu’elle avait joui comme une folle avec la bite de son frère dans sa chatte, alors il fallait qu’elle mette les choses au clair avec lui.Elle se leva du lit et voulut s’habiller, elle chercha quoi mettre, alors elle prit une décision et remit la petite robe de son dernier délit incestueux; elle hésita un moment sur le fait qu’elle mette ou non une culotte.Elle se rendit compte qu’elle avait très envie de recommencer; mais il fallait qu’elle soit sûre que son frère soit dans le même cas, alors elle opta pour un petit string, si elle le sentait réceptif, elle pourrait facilement l’enlever.Elle ne mit pas de soutien-gorge, elle voulait avoir les seins libres, prête à les offrir à son frère pour un nouvel acte incestueux.Une fois prête, elle descendit et rejoignit Laurent sur le canapé, qui regardait la télé.Elle s’assit à côté de lui et lui dit :
— Dis-moi grand frère, ça ne t’a pas gêné de baiser ta petite sœur ?
Laurent sentait venir les reproches, alors il lui dit :
— Je suis désolé, Camille, je n’aurais pas dû mettre...
Laurent voulut parler de la fameuse pilule, mais Camille l’interrompit :
— Non, non, Laurent, ne soit pas désolé, j’ai pris une décision sur ce que nous venons de vivre, tous les deux.
Un peu intrigué, Laurent répondit :
— Et ?— J’assume complètement mon rôle de salope dans cette affaire, et je comprendrais parfaitement que tu m’en veuilles.
La situation s’inversait pour Laurent, alors il laissa sa sœur continuer :
— Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais lorsque tu as mis ta bite contre mes fesses dans la cuisine, j’ai complètement craqué...
Elle lui raconta ce qu’elle avait fait dans sa chambre, puis dans la chambre des parents, Laurent fut surpris que leur mère ait de telles choses en sa possession, et demanda à sa sœur de lui montrer le fameux carton.Ils montèrent dans la chambre des parents, et Camille déballa une nouvelle fois le contenu sur le lit de leurs parents.Peut-être pour exciter son frère, elle lui dit, en lui montrant le gode dont elle s’était servie :
— C’est celui-là que je me suis mis dans la chatte.— Eh ben, tu as pris le plus gros.— Oui, j’avais envie d’être bien remplie.
Camille sentait sa chatte frétiller, rien que de repenser à ce qu’elle avait fait, avec ce gode, et la présence de son frère, n’arrangeait rien, alors sans attendre qu’il lui demande, elle lui dit :
— Tu veux que je te montre comment j’ai fait ?
Laurent commençait à bander, il s’imaginait à la fois sa mère se faisant jouir avec ces sex-toys, et à la fois, sa sœur, excitée comme une folle, après avoir avaler la fameuse pilule.Mais là, elle n’était plus sous l’effet de la pilule, et pourtant, il la vit retirer son string, placer le gros gode sur le sol, et s’accroupir dessus, en guidant le gros gland dans sa chatte.Il l’entendit pousser un long râle de plaisir en s’enfonçant le gode dans la chatte, il bandait dans son pantalon, alors en voyant sa sœur, les cuisses grandes ouvertes avec un gros gode planté dans la chatte, il lui dit, en sortant sa bite bien dure :
— Et tu en as sucé un autre ?
Camille se sentait salope, et étrangement, elle aimait cela, elle fit un sourire lubrique à son frère, et lui répondit en se léchant les lèvres :
— Mmmm, ouiiii, j’aime trop avoir deux bites rien que pour moi.
Laurent s’approcha de sa sœur, elle lui attrapa la bite et se mit à la sucer pendant qu’elle faisait monter et descendre sa chatte sur le gode.Ils se mirent rapidement tous les deux à poil, et baisèrent toute la soirée, dans toutes les pièces de la maison.Laurent avait un faible pour le lit de ses parents, avec tous les sex-toys qui les entouraient, il imaginait sa mère se faire jouir avec.Camille préférait le salon, elle adorait s’asseoir sur la bite dure de son frère, et s’amuser à sautiller dessus.Après avoir joui tous les deux, comme des fous, ils rangèrent la maison, surtout les sex-toys de leur mère qui se promenaient partout dans la maison.
Camille et Laurent avaient du mal à se séparer pour la nuit, sachant que leurs parents n’allaient pas venir les border pour la nuit, ils décidèrent de dormir ensemble dans le lit de Laurent.Bien entendu, ils baisèrent une dernière fois avant de s’endormir, et Camille roula une pelle à son frère en lui disant :
— Quand mon cul ira mieux, tu pourras me la remettre dans le cul, si tu veux.— Bonne nuit, petite sœur.— Bonne nuit, grand frère.
Et ils s’endormirent.Le lendemain, Laurent fit son rapport à Matt sur l’utilisation de la pilule, il lui raconta les effets qu’elle avait eus sur sa sœur, et lui dit que depuis, ils baisaient ensemble tous les jours.Matt fut ravi d’apprendre que cela fonctionnait et qu’il allait pouvoir l’utiliser sur les belles-familles des jumelles.Laurent, qui avait une petite idée derrière la tête, lui demanda s’il pouvait en avoir d’autres. (Cette suite se fera dans le spin-off N°10).
A suivre.
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