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Les mystères de l'Asie

Chapitre 17

Hétéro
Les mystères de l’Asie 17
Helene arriva à la gare, ses parents l’attendaient sur le quai et elle fut très heureuse de les retrouver, ils la trouvèrent changer, plus rayonnante, plus radieuse.Elle se dit, pour elle-même, que c’était sans doute grâce aux bites de Vincent et de Paul qu’elle s’était prise dans le cul pendant le trajet.Mais elle leur dit qu’elle était contente de les revoir et que c’était sans doute pour ça.Ses parents l’emmenèrent dans la maison familiale, une grande propriété, avec piscine privée et jacuzzi.
Les parents adoptifs d’Helene avaient la soixantaine, ils étaient à la retraite depuis peu, mais ils conservaient un certain standing.Ils lui annoncèrent qu’ils auraient de la visite ce WE, sa tante devait passer pour fêter le 20eme anniversaire de son cousin, chez eux.Helene fut très contente, elle n’avait pas revu son cousin, François, depuis longtemps, il avait sans doute beaucoup changé.Comme Helene, François était également un enfant adopté, la tante d’Helene avait fait les mêmes démarches et avait fini par adopter un enfant du Sénégal, qui avait été abandonné par ses parents.Helene et François avaient beaucoup joué ensemble quand ils étaient enfants, malgré la différence d’âge, ils étaient devenus très complices, et souvent François, très malicieux, entrainait sa cousine dans les pires aventures.Helene était impatiente de revoir son cousin, et se demanda qu’est-ce qu’il était devenu.
Une fois arrivée, à la maison familiale, Helene monta dans sa chambre, posa son sac pour le WE dans un coin, et repensa à ce qu’elle avait vécu dans le train, sans s’en rendre compte, elle avait glissé une main dans sa culotte et se caressait le clitoris et se remémorant la baise intense qu’elle avait vécu.D’un seul coup, alors qu’elle s’était enfoncé un doigt dans sa chatte trempée, elle s’était mise à imaginer que ce n’était pas Vincent qui l’enculait, mais un grand black baraqué, son cousin, François, il la tenait fermement par les hanches et lui défonçait son petit cul, avec son énorme bite noire.Sans pouvoir se retenir, Helene glissa son autre main entre ses fesses et s’enfonça un doigt dans le cul, elle gémit de plaisir, s’imaginant se faire défoncer le cul par l’énorme queue noire de son cousin.Mais sa culotte la gênait, elle finit par la retirer et l’envoya valser avec son pied dans un coin de sa chambre.Elle ouvrit ses cuisses en grand, et remit ses doigts dans sa chatte et dans son cul, elle les faisait coulisser en elle, en gémissant de plaisir.Mais alors qu’elle était dans une position des plus obscènes, elle entendit une voiture rouler dans l’allée de la propriété.
Helene retira ses doigts de ses orifices et alla jusqu’à la fenêtre de sa chambre, elle vit la voiture de sa tante se garer, et en sortir un superbe jeune homme noir, il devait faire 1,90m pour 95kg de muscle, la peau noir ébène, elle sut immédiatement, que c’était son cousin et qu’elle allait tout faire pour qu’il la baise.Helene avait toujours essayé d’avoir une petite collection d’objet de son pays d’origine, et juste à côté de la fenêtre, était exposé trois sabres japonais, dont un assez petit.En regardant son cousin décharger la voiture, une de ses mains se posa, instinctivement sur ce petit sabre, elle le glissa sous sa jupe, et enfonça le fourreau dans sa chatte trempée.Elle se mit à se ramoner la chatte avec, en regardant ce beau mâle noir au soleil.
Elle ferma les yeux, et tout en continuant de se branler la chatte, elle s’imaginait déjà les cuisses grandes ouvertes avec la grosse bite noire de son cousin, s’enfonçant dans son ventre.Mais François était, lui aussi, impatient de revoir sa cousine, et de lui raconter toutes ses aventures, alors dès qu’il eut terminé de décharger la voiture, il monta les marches de l’escalier 2 par 2, se retrouvant devant la porte de la chambre d’Helene avant qu’elle ne puisse s’apercevoir qu’il n’était plus en bas.
Toujours occupée à se fourrer la chatte avec le fourreau de son sabre, François aimait surprendre sa cousine, alors il entra sans frapper, et cria :
— Bouh, comment va ma grande cousine ?
Mais il la trouva devant sa fenêtre, dans une posture un peu étrange, heureusement pour Helene son bureau la cachait suffisamment pour que son cousin, ne puisse pas voir qu’elle avait non seulement le fourreau du sabre dans la chatte, mais également le manche de celui-ci dans le cul.Dès qu’elle entendit la voix de son cousin, elle se redressa rapidement et abandonna ses jouets au fond de ses orifices, mais elle n’osa pas bouger, de peur qu’ils ne glissent, partagée entre l’excitation et la peur, elle se retourna et cria sur son cousin :
— NON, MAIS, ON NE RENTRE PAS DANS LA CHAMBRE D’UNE FILLE SANS FRAPPER, MALOTRU.
François se fit tout penaud, et s’excusa platement.Helene n’osait toujours pas bouger mais elle avait très envie de sentir le corps chaud de son cousin contre elle, alors elle se radoucit et lui dit :
— Allez, grand béta, viens ici, pour me dire bonjour.
François la prit dans ses bras et lui fit la bise.Helene était très troublée, pas seulement par les objets qu’elle avait encore dans le cul et dans la chatte, mais son petit cousin faisait maintenant 30 cm de plus qu’elle, elle se sentait si petite à côté de lui.Il aurait pu la broyer entre ses bras musclés, Helene ne sut dire si c’est parce qu’elle avait encore le cul et la chatte bien remplie, mais elle ressentit une étrange attirance naitre entre eux, mais il fallait qu’elle se débarrasse de lui pour libérer ses orifices des jouets qu’elle s’était enfoncée, avant que l’un d’eux ne tombe sur le sol.Alors elle lui dit :
— Tu me laisses me changer, je te rejoins en bas, dès que j’ai fini.
François avait, lui aussi, ressentit une étrange sensation lorsqu’il était tout proche de sa cousine, mais il lui obéit, il s’apprêtait à sortir de sa chambre lorsqu’il remarqua une petite culotte dans un coin, il sortit pour la laisser se changer, mais en descendant l’escalier, il ne put s’empêcher de se demander si sa cousine était nue sous sa jupe lorsqu’il lui avait fait la bise.Et en arrivant au rez-de-chaussée, il sentait que sa bite était à l’étroit dans son pantalon.Helene poussa un grand soupir lorsque la porte de sa chambre se referma, elle attendit d’entendre que son cousin redescendait l’escalier, et put enfin retirer le manche du sabre et son fourreau de ses orifices et les ranger à leur place.Mais il fallait qu’elle se change, pour ne pas éveiller les soupçons de son cousin, s’il n’en avait pas déjà.Alors elle fouilla dans son sac, mais elle ne trouva pas la tenue dont elle avait envie.
Elle avait envie de plaire, d’être désirable, mais ce qu’elle désirait surtout, c’était de faire craquer son cousin pour qu’il la baise avec sa grosse bite noire.Elle chercha dans les placards de sa chambre, elle y avait laissé quelques vieilles affaires en dépannage, elle trouva ce qu’elle cherchait.Une minijupe moulante et un petit débardeur, mais les deux n’étaient plus tellement à sa taille, heureusement pour elle, le tissu était assez élastique, et elle réussit à les enfiler tous les deux.Elle se regarda dans le miroir, et se dit qu’elle aurait du mal à être plus sexy, la minijupe lui arrivait en haut des cuisses, et lui moulait parfaitement son joli petit cul, le débardeur laissait son ventre et son dos à moitié nu.Mais un détail la dérangeait, elle retira les bretelles du débardeur, enleva son soutien-gorge, et remit ensuite le débardeur en place, elle se trouvait parfaite.On pouvait deviner légèrement ses tétons à travers le tissu, mais elle avait envie d’être sexy, et elle l’était.
Elle sortit de sa chambre, et en descendant les marches de l’escalier, elle se rendit compte qu’elle n’avait pas remis sa petite culotte, elle hésita à remonter pour aller en remettre une.Mais François était en bas des marches, il discutait avec sa mère, et lorsqu’il entendit les marches de l’escalier grincer, il tourna la tête vers Helene.Elle sentit son cœur s’emballer, François et sa mère la regardait des yeux, elle se demanda s’ils pouvaient voir qu’elle était nue sous sa minijupe, mais elle s’amusa à voir la différence d’expression dans leurs yeux, il y avait de la surprise avec un soupçon de jalousie dans les yeux de la mère, tandis que dans ceux de son cousin, il y avait un désir sauvage et brutal.Helene était certaine que s’ils n’avaient été que tous les deux, il se serait jeté sur elle.Martine, la mère de François, lui dit :
— Eh bien, ma chérie, tu as drôlement changé, tu es devenue une femme maintenant.
Elles se firent la bise et sa tante lui dit discrètement, à l’oreille :
— Tu devrais mettre une culotte si tu ne veux pas que ton cousin te saute dessus.
Helene rougit, mais elle sentit sa chatte se mettre à mouiller et dans un élan d’audace qu’elle n’avait jamais eu, elle répondit à sa tante :
— C’est peut-être l’effet recherché, tata.
Martine en resta sur le cul, elle ne reconnaissait pas sa nièce, il est vrai qu’elle ne l’avait pas vu depuis longtemps, mais elle ne l’aurait jamais imaginé si salope.Les parents d’Helene furent également très surpris de voir leur fille, d’habitude si réservée, s’habiller de façon si provocante, et sa mère lui dit :
— Eh bien, ma chérie, tu t’es faite belle, pour ton cousin ?
Helene ne voulait pas alerter ses parents, alors elle répondit :
— J’ai oublié de prendre des affaires de rechange, donc j’ai pris ce que j’ai trouvé dans mon placard.
Heureusement pour elle, Martine ne parla de son oubli de culotte à ses parents, mais elle la garda bien à l’œil, surtout quand elle essayait de s’isoler avec François.Elle était toujours derrière eux, afin d’éviter que son fils ne succombe à la tentation de baiser sa cousine.Mais, sans le vouloir, la mère d’Helene vint à l’aide de sa fille, elle proposa à sa sœur de venir avec elle faire quelque course.Martine accepta à contrecœur, en espérant que la présence de son beau-frère empêche les jeunes de passer à l’acte.Mais, la voiture venait à peine de quitter la propriété qu’Helene proposa à François d’aller jouer au Monopoly dans sa chambre, ils avaient l’habitude de jouer à ce jeu, quand ils étaient encore enfant.
Mais cette fois, Helene avait bien l’intention de faire payer autre chose que des propriétés à son cousin.Bien entendu, François, trop content de se retrouver enfin seul avec sa cousine, dont il savait qu’elle avait la chatte à l’air, s’empressa s’accepter.Helene prévint son père qu’il allait jouer au Monopoly dans sa chambre, afin qu’il ne se mette pas à leur recherche.Mais ils avaient à peine franchi la porte d’entrée de la maison, qu’elle sentit les mains de son cousin sur ses fesses, même si elle mourrait d’envie de sentir sa grosse queue en elle, elle avait envie de faire durer le plaisir.Alors elle fit sa mijaurée, et dit à son cousin :
— Eh mais doucement, gros malotru, il faut gagner la partie avant d’avoir droit à une récompense.
François était un peu perdu, sa cousine avait tortillé son petit cul et pratiquement exhibé ses petits seins devant lui, tout l’après-midi, et là, elle lui demandait d’attendre.Sa bite n’avait pas eu le moindre repos, lorsqu’il avait voulu aller se branler dans les toilettes, elle l’avait appelé en lui disant qu’elle avait besoin de lui.Ses couilles lui faisaient un mal de chien, mais la phrase de sa cousine laissait envisager, que s’il gagnait il aurait droit de la baiser.Il ne se souvenait pas, qu’elle soit aussi salope, mais elle était tellement bandante dans sa minijupe, qu’il ne chercha pas à en connaitre la raison.Il l’accompagna à l’étage, en louchant sur son superbe petit cul, qu’elle déhanchait exagérément, il put, de nouveau, apercevoir sa petite chatte, et en fut encore plus excité.
Ils entrèrent dans la chambre, et Helene verrouilla la porte derrière eux, elle se retint de se jeter sur son cousin et en particulier sur sa bite, elle installa le jeu et lui exposa les nouvelles règles :
— Celui qui ne peut plus payer, doit accomplir un gage.— Ok, fit François, imaginant déjà les gages qu’il donnerait à sa cousine.
Il s’installa en tailleur à coté du plateau de jeu, et espéra qu’Helene en fasse autant, mais elle se mit à genou, n’exhibant pas encore sa petite chatte.Ils commencèrent la partie, mais c’était trop lent pour François, et même si elle le montrait moins pour Helene aussi, alors il proposa :
— Tu ne veux pas qu’on se distribue les propriétés équitablement ?
Sachant parfaitement où voulait arriver son cousin, Helene lui fit un sourire espiègle en lui disant :
— Pourquoi pas.
Ils se partagèrent les titres de propriété, et s’apprêtèrent à reprendre la partie, mais Helene avait envie d’en voir plus, elle avait du mal à lâcher la grosse bosse qui déformait le pantalon de son cousin, alors elle changea de position et se mit en tailleur, faisant remonter sa minijupe jusqu’à la taille et exhibant complètement sa petite chatte.François fut, de nouveau, médusé par ce qu’il avait sous les yeux, Helene le laissa contempler sa petite chatte et lui dit :
— Dis donc, cousin, ce n’est pas très juste que tu mates ma petite chatte et que je ne puisse pas voir ta bite.
François se léchait les lèvres en mangeant des yeux, la chatte luisante de sa cousine, mais il n’avait pas bien compris ce qu’elle lui avait demandé, alors Helene insista :
— Allez, montre-moi ta bite, ou tu ne verras plus ma petite chatte.
Cette fois, François avait parfaitement compris, et sans hésiter il ouvrit sa braguette et sortit une énorme queue bien noire et surtout bien raide, tout comme l’avait imaginé Helene.Ce fut à son tour d’être impressionnée, même si elle avait déjà vu des bites aussi grosses, avec celle de Matt, la noirceur de celle de son cousin la faisait frémir d’envie.François fut, étonnamment, plus à l’aise, la bite à l’air, et percevant le trouble qu’il provoquait chez sa cousine, il lui dit :
— Tu veux la toucher ?
Ne pouvant se retenir plus longtemps, Helene avança la main et prit la bite de son cousin entre ses doigts, elle se mit automatiquement à la branler doucement.François sentait qu’il avait le dessus, alors il lui dit :
— Montre-moi tes seins, ma petite cousine.
Seulement Helene ne voulait pas lâcher cette superbe bite noire, elle essaya donc d’enlever son débardeur d’une main, mais il était trop serré et elle n’y arrivait pas, François l’aida à se déshabiller, et elle se retrouva pratiquement nue, tenant la grosse bite de son cousin entre ses doigts.Le fait que qu’il l’aide à retirer son débardeur, la fit se rapprocher de son énorme queue, elle n’était plus qu’à quelques cms, alors ne résistant plus à l’envie, François posa sa main sur sa tête en la poussant vers sa bite, lui dit :
— Allez, suce-moi, petite salope.
Helene ne résista pas, elle ouvrit la bouche et se mit à lécher cette superbe bite noire, avec gourmandise.Elle suça et pompa la bite de son cousin, avec une habileté inhabituelle pour elle, elle réussit à avaler la moitié de cette énorme mentule dans sa bouche.Mais elle avait sans doute trop excitée son cousin au fil de l’après-midi, que maintenant qu’il avait sa bite au fond de sa bouche, il ne put résister très longtemps, il maintint sa bite au fond de sa bouche et lui envoya de puissantes giclées contre le palais.Elle n’avait pas encore reçu cette bite dans la chatte, et pourtant elle eut un orgasme en sentant le sperme de son cousin, lui remplir la bouche.Elle ne put faire autrement que de l’avaler, elle n’en avait jamais gouté jusqu’à aujourd’hui, et elle trouva le goût plutôt salé, mais étrangement bon, elle se mit alors à pomper la bite de son cousin, afin de récupérer la moindre goutte de son sperme.
Elle avala tout ce qu’il put lui gicler et relâcha enfin cette superbe queue noire, François s’écroula et lui dit :
— Putain, tu suces vachement bien, cousine, et tu as tout avalé, tu es vraiment une belle salope.
Helene se remettait doucement de son orgasme, et fut presque surprise de ne pas voir la bite de son cousin ramollir comme celle de Gauvin après qu’ils aient baisé.Alors voulant reprendre l’ascendant sur son cousin, Helene se releva et finit de se mettre complètement nue, en retirant sa minijupe.Elle laissa François admirer ses superbes fesses, et en se mettant à 4 pattes sur son lit, elle lui dit :
— Dis, cousin, s’il te reste assez de force, tu pourrais peut-être me fourrer la chatte ?
François se leva d’un bond et vint s’agenouiller derrière sa cousine, il enfonça d’une seule traite sa grosse bite dans la chatte baveuse d’Helene, la faisant pousser un long cri aigu de plaisir.Il s’agrippa à ses fines hanches et commença à la besogner, ses fesses se mirent rapidement à claquer sous les coups de queue violents, elle n’arrêtait de crier de plaisir.François était ivre de plaisir, il se mit à mettre des claques sur les fesses de sa cousine, la traitant de chienne en chaleur, de salope, de pute, et cela ne faisait qu’augmenter encore plus son plaisir.Elle était une chienne qui se faisait défoncer par une énorme queue noire, et elle jouissait comme une folle.Helene gueulait tellement fort son plaisir qu’ils n’entendirent pas la voiture de sa mère revenir, et bien entendu, la première chose que fit Martine fut de chercher son fils.
Alors que sa sœur rangeait les courses au sous-sol, Martine se précipita dans la maison, mais elle avait à peine franchi la porte d’entrée, qu’elle entendit les cris aigus de jouissance de sa nièce, elle devina aisément ce qu’ils étaient en train de faire.Mais il était trop tard, elle fut partagée entre le fait d’aller leur passer un sermon comme jamais ils n’en avaient eu, quitte à déclencher un scandale familial, ou les laisser continuer et empêcher les parents d’Helene d’apprendre que leur fille était une grosse salope.En voyant sa sœur approcher de l’entrée, elle prit sa décision, elle se précipita dehors et entraina sa sœur loin de la maison.François et Helene continuèrent de baiser comme des bêtes en rut, jusqu’à ce qu’il sente à nouveau, l’éjaculation approchée, il se cramponna aux fesses rougies de sa cousine et lui envoya de puissantes giclées de foutre au fond de la chatte.Ils étaient en sueur, tous les deux, complètement nus, Helene s’écroula sur son lit et François en fit autant à côté d’elle.Ils reprirent leur souffle, et Helene dit :
— Merci cousin, tu m’as fait sacrément jouir.— De rien, cousine, ma bite est à ton service, ou plutôt à celui de ta petite chatte.
Mais Helene eut une envie étrange, elle lui dit :
— Tu as déjà enculé une fille ?
François fut un peu surpris par la proposition de sa cousine, même s’il en rêvait, la taille de sa queue impressionnait les filles avec qui il couchait, et jamais elles n’auraient accepté de la prendre dans le cul.Alors voulant tirer les choses au clair, il demanda :
— Tu t’es déjà faite enculer ?— Oui, ce matin, pour la première fois, c’était dans le train, par deux mecs que je ne connaissais même pas, et ils m’ont fait jouir comme une folle en m’enculant.
François en resta sur le cul, sa cousine était vraiment la reine des salopes, alors il lui dit :
— Si tu as envie d’essayer avec la mienne, je suis disposé à te satisfaire.
Helene regarda la bite de son cousin, mais cette fois, elle avait ramolli, alors elle lui dit :
— Plus tard, peut-être, là, ta queue a besoin de repos.
Forcé de constater, qu’elle n’avait pas tort, il était à bout de force, mais ils avaient baisé pendant plus d’une heure.Martine avait eu un mal fou à retenir les parents d’Helene à l’extérieur, se portant volontaire à chaque fois que sa sœur avait besoin d’aller chercher quelque chose à l’intérieur.Mais cela lui permit de constater que les deux dépravés à l’étage en avaient fini, et elle ne perdit plus une minute de plus, pour aller frapper à la porte de la chambre et leur demander de lui ouvrir.François sauta du lit et chercha ses affaires pour se rhabiller en vitesse, mais pour Helene, c’était tout le contraire, elle resta complètement nue, avec le sperme de son cousin suintant de sa chatte et coulant doucement le long de ses cuisses, elle supposait que sa tante était seule, alors avant que François n’ait eu le temps d’enfiler son boxer, elle ouvrit la porte dans la plus totale nudité.Martine s’attendait à les voir en panique, mais mis à part son fils, dont la grosse bite dégonflait doucement, sa nièce ne semblait pas du tout perturbée, et elle lui demanda :
— Tu veux quoi, tata ?
Mais Martine fut médusée par autant de toupet, de la part de sa nièce, mais également par la bite de son fils, qui même ramollie, présentait des proportions alléchantes.Alors sentant le trouble chez sa tante, et sur un ton diabolique, Helene lui dit :
— François m’a fait jouir comme une folle, il a une bite énorme, regarde j’ai encore son sperme dans la chatte.
Helene ouvrit les cuisses et présenta les filets de sperme à Martine, qui ne les lâcha pas des yeux.Prise dans un élan démoniaque, Helene lui dit :
— Tu devrais peut-être y gouter, toi aussi, j’y ai gouté tout à l’heure et son sperme est délicieux.
François était abasourdi par le comportement de sa cousine envers sa mère, mais celle-ci semblait paralysée.Lorsqu’il vit sa cousine récupérer son sperme qui suintait de sa chatte avec un doigt et l’approcher de la bouche de sa mère, en lui disant :
— Allez, goute-le, je suis sûre que tu en meurs d’envie.
Il crut défaillir en voyant sa mère ouvrir la bouche et venir lécher le doigt d’Helene avec une envie malsaine.Helene n’avait jamais beaucoup apprécié sa tante, elle avait vite compris pourquoi son mari avait voulu divorcer, et s’il n’y avait pas eu son cousin, elle aurait tout fait pour ne jamais la voir, c’était ce qu’on pouvait appeler une salope, elle se faisait baiser par toutes les bites qui passaient, un peu comme était devenue Helene.Mais à cet instant précis, elle avait le dessus sur sa tante, alors voyant qu’elle était à sa merci, elle passa sa main derrière son cou, et la fit s’agenouiller en lui disant :
— Allez, salope, goute-le à la source, il en reste une bonne dose.
Martine n’arrivait plus à se raisonner, elle obéit à sa nièce, et devant son fils, elle se mit à lui bouffer la chatte, récupérant la moindre goutte du sperme de son fils.Helene se mit à pousser des petits gémissements de plaisir sous les coups de langue vicieux de sa tante.Mais ne voulant pas alerter ses parents, elle referma la porte de la chambre et entraina sa tante au bord de son lit.Elle s’assit au bord du lit, ouvrit les cuisses en grand et lui dit :
— Allez, tata, viens bouffer la chatte de ta nièce, pleine du sperme de ton fils.
Martine se mit à genou entre les cuisses de sa nièce et reprit son léchage de chatte, Helene se pétrissait les seins en gémissant de plaisir.François était toujours abasourdi devant ce spectacle incroyable, mais sans pouvoir se contrôler, il sentit sa queue reprendre de la vigueur.Helene remarqua que son cousin bandait en voyant sa mère lui bouffer la chatte, alors complètement possédée, elle lui dit :
— Baise-la, elle n’attend que ça, ta salope de mère, n’est-ce pas grosse pute ?
Martine leva les yeux pour voir l’énorme bite dure de son fils, et sans quitter la chatte de sa nièce, elle remonta sa jupe, et baissa son string.François n’arrivait plus à raisonner correctement alors devant l’invitation de sa mère et les consignes de sa cousine, il s’agenouilla derrière sa mère, et enfonça sa grosse queue dans sa chatte brulante.Martine ne put réprimer un long râle de plaisir, en sentant l’énorme queue de son fils lui remplir la chatte.Quand elle sentit qu’il lui avait enfoncé toute sa bite, elle quitta la chatte de sa nièce et lui cria :
— OUIII, VAS-YYY, MON GARÇON DEFONCE LA CHATTE DE MAMANNNNN
François s’agrippa à ses hanches et commença à lui défoncer la chatte, et tout comme il l’avait fait avec sa cousine, il se mit à mettre de claques sur les fesses de sa mère, la faisant jouir comme une folle.A l’âge de 16 ans, Helene avait vu sa tante, se faire baiser par son père, depuis ce jour, elle lui en voulait personnellement, mais à cet instant, elle tenait sa vengeance, et prenait un plaisir fou à voir sa tante se faire défoncer par son propre fils.Alors, en regardant son cousin se déchainer dans la chatte de sa mère, elle jouissait presque plus de s’être enfin venger, que de la langue de sa tante, qui lui bouffait la chatte, goulument.Mais Helene voulut pousser l’humiliation encore plus loin, et avant que François ne lui jouisse dans la chatte, elle se redressa et vint écarter les fesses de sa tante, en disant à son cousin :
— Vas-y, encule, cette pute, elle n’attend que ça.
Complètement excité par le plaisir de baiser sa mère, François obéit une nouvelle fois à sa cousine, il sortit sa bite de sa chatte et plaça son énorme gland contre l’anus de sa mère.Mais en sentant ce qu’il s’apprêtait à lui fourrer dans le cul, Martine voulut relever la tête pour protester, mais Helene lui plaqua la bouche sur sa chatte et lui dit à l’oreille :
— C’est pour avoir fait cocu ta propre sœur avec son mari, sale pute.
Sans aucun préparatif, François enfonça sa bite dans le cul de sa mère, qui se mit à crier de douleur contre la chatte de sa nièce, elle pleurait mais elle était bloquée, et ne pouvait pas bouger, elle sentit l’énorme queue de son fils lui ouvrir le cul comme jamais, elle avait l’impression qu’il lui avait déchiré l’anus.Lorsque, enfin, elle sentit qu’il avait enfoncé toute sa queue au fond de son cul, elle avait les joues couvertes de larmes, elle fut soulagée que son fils attende que son cul se soit habitué à un tel calibre, mais la douleur était toujours présente, et lorsqu’il se mit à faire coulisser sa grosse queue dans son cul, son calvaire recommença.Mais la bite de François était si serrée dans le cul de sa mère, qu’il ne mit pas très longtemps à lui jouir dans le cul, mettant fin à son calvaire.Helene relâcha la pression et la laissa s’effondrer sur son sol.Mais elle ne laissa pas le temps à François de s’apercevoir qu’il avait fait souffrir sa mère, elle lui roula une pelle en lui branlant la bite, et lui dit :
— Eh bien, mon salaud, tu lui as éclaté le cul à ta salope de mère, va falloir être plus doux avec le mien, si tu veux me la mettre dans le cul.
François était toujours dans un état de confusion avancée, il suivit sa cousine comme un zombi, ils se rhabillèrent et laissèrent Martine récupérer de sa violente sodomie.Ils partirent se chercher à boire, ces baises intensives les avaient bien déshydratés, Helene croisa sa mère qui lui demanda où était sa tante, elle lui répondit qu’elle avait eu un coup de fatigue et qu’elle se reposait à l’étage.François reprit doucement ses esprits et réalisa enfin, ce qu’il venait de se passer, il s’apprêtait à aller voir comment sa mère allait, mais Helene lui dit discrètement :
— Laisse-la, se reposer, après ce que tu lui as mis dans le cul, il va falloir un moment avant qu’elle marche droit.
Alors il se rassit et attendit patiemment que sa mère réapparaisse.Ce n’est que lorsqu’ils allaient attaquer le gâteau pour fêter l’anniversaire de François, que Martine refit son apparition, elle marchait en boitant, sa sœur s’inquiéta de son état, mais elle la rassura en lui disant :
— Ce n’est rien de grave, j’ai sans doute abusé des piments, ça ira mieux demain.
Elle s’assit à côté d’Helene, qui lui dit doucement, en riant :
— Sacré piment que tu t’es prise dans le cul
Martine lui jeta un regard haineux et lui dit discrètement :
— Salope— Pas plus que toi, sale pute, qui baise avec le mari de sa sœur.
Martine ne trouva rien à redire, elle se contenta de sourire à son fils et lui dit :
— Bon anniversaire, mon chéri, j’espère que tu as apprécié ton cadeau.
Un peu surpris, François ne trouva d’autre à dire que :
— Merci, maman, c’était génial.
Les parents d’Helene ne comprirent pas trop de quoi parlait Martine et son fils, mais ils n’étaient pas de nature très curieuse, donc ils ne cherchèrent pas à le savoir.La soirée se passa tranquillement, Helene jubilait en voyant sa tante, grimacer dès qu’elle devait se déplacer ou s’assoir quelque part, elle allait se souvenir longtemps de sa première sodomie avec son fils.François ne ratait pas une occasion de peloter le petit cul de sa cousine et celle-ci de lui ouvrir les cuisses pour offrir sa chatte à ses doigts fouineurs.Ils étaient tous les deux, épuisés de leur après-midi de baise, et sachant parfaitement qu’elle jouissait très bruyamment, la présence de ses parents dérangeait Helene, alors elle resta sage, se contentant de quelques caresses avec son cousin.Afin de ne pas éveiller les soupçons des parents, ils dormirent chacun dans leur chambre.
La nuit se passa tranquillement et chacun put récupérer, même si l‘anus de Martine était toujours très douloureux au petit matin.Helene se leva avec la ferme intention de se prendre la bite de son cousin dans le cul, avant qu’il ne parte, mais elle ne voulait pas souffrir autant que sa tante, alors elle avait prévu de se rendre à la pharmacie de garde pour acheter du lubrifiant, et de s’isoler avec François pour qu’il lui fourre sa grosse bite noire au fond du cul.Comme la météo était clémente, elle avait dormi, uniquement, avec une petite nuisette en coton, qui lui arrivait à mi-cuisse, rien de très sexy, mais lorsqu’elle descendit au rez-de-chaussée, dans cette tenue, elle vit que son cousin l’attendait avec une franche impatience.Elle n’eut le temps d’atteindre la dernière marche, qu’il avait déjà fourré sa main entre ses cuisses et lui caressait la chatte.Bien entendu, Helene le laissa faire et écarta encore plus les cuisses lorsqu’il lui dit :
— Tes parents sont partis au marché, viens, on va baiser ?
Mais même si les doigts de son cousin la faisaient bien jouir, elle avait un dessein à accomplir, alors elle résista à l’envie de remonter dans sa chambre pour qu’il la baise sauvagement, et lui dit :
— Plus tard, mon bel étalon noir, je dois aller chercher quelque chose à la pharmacie.
François semblait contrarié, alors Helene le poussa doucement contre le mur, et en s’agenouillant devant lui, elle lui dit :
— Je vais te soulager un peu, mon beau, mais tu verras, tu ne regretteras pas d’avoir attendu.
François laissa sa cousine baisser son short, et sortir sa bite bien dure, il poussa un long soupir, en sentant ses douces lèvres emprisonner sa grosse queue, et sa langue vicieuse commencer son travail de lèche, si jouissif.Il posa ses mains sur la tête de sa cousine et l’accompagna dans ses mouvements de succion, Helene avait envie de battre son record personnel, la veille, elle avait réussi à prendre la moitié de l’énorme bite de son cousin dans la bouche, alors elle tenta d’en prendre encore plus.François prenait un pied fabuleux, sa cousine avait maintenant les 3/4 de sa bite dans la bouche, et semblait vouloir en avaler encore plus, jamais une fille ne l’avait sucé si goulument, lorsqu’il sentit son gland cogner contre quelque chose dans la bouche de sa cousine, il sut qu’il avait touché le fond.Mais Helene voulait, à tout prix, avaler entièrement la queue de cousin, et étrangement elle ne ressentit aucun haut-le-cœur, lorsque le gland cogna contre sa luette, elle ouvrit encore plus la mâchoire et sentit la grosse bite de son cousin s’enfoncer doucement dans sa gorge.Elle finit par avoir les poils pubiens de François qui lui chatouillaient le nez, alors que sa bite avait pris possession de sa gorge.
Helene avait un peu de mal à respirer, mais elle avait réussi à avaler toute l’énorme bite noire de son cousin, elle resta quelques secondes avec la bite entière dans la bouche, mais c’était les secondes fatidiques pour François, jamais il n’avait senti sa bite si bien au fond d’une bouche.Il ne résista pas longtemps, il empêcha sa cousine de recracher sa queue et se mit à lui éjaculer au fond de la gorge.Helene commençait à manquer d’air, et elle ne sut dire si c’était le manque d’oxygène ou le fait de sentir le sperme chaud de son cousin, lui couler directement dans la gorge, mais elle commença à avoir des vertiges et eut un orgasme incroyable.Lorsque François eut terminé de se vider les couilles dans la gorge de sa cousine, il relâcha sa tête et elle s’effondra sur le sol, complètement amorphe, avec du sperme au coin de la bouche.François paniqua, il s’agenouilla et tapota les joues de sa cousine, pour la faire revenir à elle.Mais Martine qui avait vu toute la scène, et avait été stupéfiée de voir sa nièce, réussir à avaler entièrement la grosse bite de son fils, lui dit :
— Ne t’inquiète pas, mon chéri, elle vient d’avoir un orgasme extrême, il va lui falloir un moment pour s’en remettre.
Un peu rassuré, François pris sa cousine dans ses bras, et la posa doucement sur le canapé.Même si Martine avait encore mal au cul, elle aurait bien sucé la bite de son fils comme venait de le faire sa nièce, mais elle se contenta de la caresser en lui disant :
— Bon eh bien, je pense qu’il va falloir que j’attende un peu pour avoir ma dose de sperme, moi aussi.
Toujours inquiet pour sa cousine, François laissa sa mère lui branler la bite, et lui dit :
— Désolé, maman, mais Helene m’a trop bien sucé la bite, je n’ai pas pu me retenir.— Je comprends, mon chéri, peu d’homme sont capable de résister à une gorge profonde, mais ta cousine est impressionnante, tu trouveras peu de filles capables de te sucer comme elle vient de le faire.— Oui, aucune des filles qui m’ont sucé la bite, n’ont réussi à l’avaler en entier.— Il faut dire, que ta bite est plutôt hors norme, mon chéri, et mon cul s’en souvient encore péniblement.— Désolé, maman— Ce n’est pas grave, mon chéri, mais tu n’es pas près de me remettre ta bite dans le cul.— A propos, on baisera ensemble quand on sera rentré à la maison ?— Si tu en as envie, j’en serais ravi, mais il ne faut pas que tu négliges les autres filles qui auraient envie de gouter à cette belle bite.— Je ferais mon possible pour les satisfaire, et toi également, maman.— Merci, mon chéri, j’essaierais de t’apprendre les petits secrets pour séduire les femmes qui pourraient te résister, même si elles ne seront surement pas nombreuses.— Merci, maman
Ils furent interrompus dans leur conversation, totalement immorale, par les geignements d’Helene qui reprenait doucement ses esprits.Comme François se dirigea vers sa cousine, Martine dût lâcher sa bite et lui dit :
— Tu vois, cette petite salope, reviens à elle.
François demanda à Helene :
— Ça va, tu vas bien ?
Helene sentait encore le gout de sperme de son cousin, dans sa bouche, elle déglutit pour avaler les dernières gouttes et lui dit :
— Eh ben, mon salaud, qu’est-ce que tu m’as mise.
Soulagé, François se releva et aida sa cousine à se lever, lorsqu’Helene vit Martine, elle fut surprise de percevoir dans son regard, un étrange respect, et encore plus lorsque celle-ci lui dit :
— Bravo, ma nièce, tu as un certain talent pour les pipes, jamais je ne serais capable d’avaler une aussi grosse queue en entier.
C’était peut-être la première fois que sa tante lui témoignait un peu d’estime, et même si c’était pour ses talents de suceuse de bite, Helene le prit avec une étrange fierté.Ils sortirent dehors et prirent leur petit déjeuner, ensemble, Martine, sentant la rancœur qu’Helene lui vouait depuis des années, s’atténuer, lui dit :
— Tu sais, Helene, je comprends que tu m’en veuilles d’avoir couché avec ton père, mais tu dois bien connaitre les hommes maintenant, et tu peux comprendre que je ne l’ai pas forcé à me fourrer sa bite dans la chatte, il a, tout de même, sa part de responsabilité.
Helene ne put qu’admettre qu’elle n’avait pas tort, et lui dit :
— Les hommes sont si faibles, j’espère simplement que maman n’est pas au courant— Non, et si personne ne lui dit, elle n’en saura jamais rien.— Je n’ai rien dit jusque-là, et je ne veux pas lui causer de la peine, même si je t’en ai longtemps voulu.— Et je peux t’assurer que mon cul se souviendra longtemps de ta vengeance
Elles finirent par rire de leurs mésaventures, et un lien nouveau commençait à naitre entre elles, peut-être ce lien particulier qui unissait deux belles salopes.Mais Helene n’oublia pas son objectif du jour, et lui dit :
— D’ailleurs, il faut que j’aille à la pharmacie, chercher du lubrifiant, j’ai bien l’intention de me faire enculer par François avant que vous ne partiez.
Martine lui répondit :
— J’ai ce qu’il te faut, si tu m’avais laissé bouger hier, j’aurais été le chercher avant de me faire déchirer le cul.— Ah ok, et bien si tu as le lubrifiant et si François a encore un peu de force, on n’a pas de temps à perdre.
François avait encore du mal à croire que sa cousine et sa mère deviennent aussi complice, s’associant pour préparer la sodomie d’Helene.Il avait enculé une femme pour la première fois, la veille, et aujourd’hui, deux belles salopes prévoyaient déjà qu’il fourre sa bite dans le cul de l’autre.Il vit sa mère partir chercher quelque chose dans son sac et revint avec un petit tube à la main, François les regarda, un peu sidéré, de voir sa cousine soulever sa nuisette et tendre ses fesses à sa mère.Sans aucune honte, Martine écarta les fesses d’Helene et lui badigeonna l’anus avec le lubrifiant, elle en reprit un peu au bout des doigts et les enfonça doucement dans son cul, faisant pousser un long gémissement de plaisir à Helene.Etrangement, Martine n’en voulait pas à sa nièce pour ce qu’elle lui avait fait subir la veille, elle lui prépara le cul, en connaissant très bien, l’énorme engin qui allait s’introduire à l’intérieur, elle s’appliquait à bien préparer l’anus de sa nièce, avec un certain plaisir, en l’entendant gémir à chaque fois qu’elle lui enfonçait ses doigts dans le cul.
Elle lui enfonçait maintenant 3 doigts dans le cul sans problème, alors elle dit à son fils, qui se branlait en regardant l’anus de sa cousine s’ouvrir de plus en plus :
— Tu es prêt, mon chéri ? en tout cas, ta salope de cousine est prête à se faire enculer.
Pour toute réponse, François baissa son short, et tint sa grosse bite noire, bien raide, à la verticale, attendant impatiemment de pouvoir la fourrer entre les petites fesses d’Helene.Martine la fit reculer entre les jambes de son fils et lui dit :
— Allez, ma petite salope, assis toi sur sa grosse queue.
Helene regarda la grosse queue noire avec envie, elle s’accroupit doucement, faisant balancer ses fesses pour bien placer la bite de son cousin contre son anus.François l’aida en lui écartant les fesses et quand elle sentit le gros gland contre son rectum, elle commença à faire descendre ses fesses, s’empalant le cul sur cet énorme engin, contrairement à Martine ce ne fut que pur plaisir de sentir cette bite longue et épaisse s’enfoncer doucement dans son cul.Elle était tellement concentrée sur son plaisir, que lorsqu’elle réussit à s’enfoncer la bite entière de son cousin, elle poussa un long râle de plaisir, n’entendant pas la voiture de ses parents qui rentraient du marché.Martine paniqua un peu, les jeunes n’avaient pas l’air d’avoir entendu la voiture, alors elle se dépêcha de trouver un plaid et de leur couvrir les jambes et la taille afin que les parents d’Helene ne remarquent pas les activités lubriques auxquels s’adonnaient les jeunes en sa présence.Helene ouvrit les yeux au moment où ses parents passaient devant elle pour aller déposer leurs achats dans la cuisine.
Elle fut très troublée de sentir la bite de son cousin vibrer dans son cul, alors que ses parents étaient juste devant eux.Apparemment ils étaient trop chargés pour avoir remarqué quoique ce soit, trop excitée pour ne pas en profiter, Helene se mit à monter et descendre doucement son cul le long de la grosse bite de son cousin.François essayait de garder un air des plus naturels, possible, mais l’anus serré de sa cousine, le faisait énormément jouir, dès que les parents eurent le dos tourné, il glissa ses mains sous le plaid, et soutenu sa cousine par les fesses pour l’aider à monter et descendre sur sa queue.Helene avait de plus en plus de mal à se retenir de gémir de plaisir, dès que les parents furent entrés dans la cuisine, Martine vint à son secours en lui roulant une pelle baveuse.Mais sa nièce accéléra encore le rythme et faisait maintenant claquer ses fesses sur les cuisses de son cousin.Martine vérifia que sa sœur et son mari étaient toujours dans la cuisine et glissa sa main sous le plaid pour fourrer deux doigts au fond de la chatte de sa nièce.
Elle replongea sa langue dans sa bouche, pour étouffer ses cris de jouissance et sous ce traitement intensif de la grosse bite de François dans son cul et les doigts de sa tante dans sa chatte, Helene finit par avoir un orgasme puissant et s’effondra sur son cousin, en s’évanouissant une nouvelle fois.Martine se dépêcha de dire à son fils :
— Allez, retire ta bite de son cul et allonge la sur le canapé, avant que ses parents ne découvrent ce que tu as fait avec leur fille.
Complètement perdu, François obéit sans réfléchir, allongeant sa salope de cousine sur le canapé d’extérieur et remballa tout juste sa bite au moment où le père d’Helene sortait.En voyant sa fille, assoupie sur le canapé, il leur demanda si elle allait bien, et ils lui répondirent qu’elle manquait sans doute d’un peu de sommeil, que François pouvait la remonter dans sa chambre, si besoin.Mais avant que son père ne puisse examiner plus en détail l’état de sa fille, sa femme sortit sur la terrasse, pour lui demander de l’aider à ranger, alors il demanda donc à François de remonter Helene dans sa chambre.Celui-ci la souleva sans difficulté, il la prit dans ses bras et la monta dans sa chambre, afin de ne pas éveiller les soupçons des parents, il la déposa sur son lit et redescendit.Il s’apprêtait à refermer la porte de la chambre, quand Helene émergeant doucement de son orgasme anal, lui dit :
— Merci, cousin, tu m’as bien fait jouir en m’enculant, j’espère qu’on recommencera.— Quand tu veux, ma petite salope de cousine.
Mais Helene se rendormit, laissant François rejoindre sa mère et ses parents sur la terrasse.Martine et François rentrèrent chez eux, avant qu’Helene ne redescende, et comme Martine avait voulu laisser son fils conduire pour le retour, elle en avait profité pour lui sortir sa grosse queue, pour la branler et la sucer pendant qu’il conduisait.Leur vie allait complètement changer, ils baisèrent ensemble tous les jours, et Martine retrouva une seconde jeunesse sous les coups de queue de son fils, son cul accueillit sa grosse bite noire avec plus de plaisir.Helene rentra également chez elle, le voyage de retour fut plus calme qu’à l’aller, elle essaya, tout de même, d’exciter le mari d’un couple, dans son compartiment, en lui faisant entrevoir son string sous sa jupe, mais même s’il avait l’air très excité, la présence de sa femme l’empêchait d’aller plus loin.Helene arriva à son immeuble, un peu frustrée de ne pas avoir pu se faire baiser dans le train…
A suivre.
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