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Les mystères de l'Asie

Chapitre 18

Orgie / Partouze
Les mystères de l’Asie 18
Meinu ou Helene, selon les situations plus ou moins lubriques, avait vécu un WE très bouleversant avec son cousin et sa tante.Elle assumait maintenant, pleinement sa libido débridée, elle se sentait prête à profiter de sa vie, enfin surtout avec une bonne queue.En rentrant chez elle, elle tomba de nouveau sur le vieux chinois, qui lui avait peloté les seins dans l’ascenseur, alors qu’elle était encore contrôlée par Meinu, mais aujourd’hui, ils n’étaient pas seuls dans l’ascenseur.Pourtant Helene le vit reculer au fond de l’ascenseur pour se placer juste derrière elle, elle ria intérieurement, devinant parfaitement ce que comptait faire le petit vieux.
Quelques secondes après, elle sentait déjà ses doigts caresser ses fesses par-dessus sa jupe, en bonne salope qu’elle était devenue, et sans la moindre honte, elle se mit à remonter sa minijupe, pour offrir ses superbes fesses séparées par un joli petit string.Heureusement pour elle, toutes les autres personnes étaient tournées vers la porte, et personne ne vit ce qu’elle venait de faire, le vieux se mit aussitôt à lui pétrir son superbe petit cul.Et au fil des étages où les gens descendaient, il glissa sa main entre les cuisses d’Helene et fourra un doigt sous son string pour lui enfoncer dans sa chatte trempée.Helene se retenait de gémir pour ne pas alerter les autres personnes, de ce que le vieux était en train de lui faire.Mais dès que la dernière personne descendit, elle se pencha en avant, cambra ses reins et lui dit :
— Fourre-moi ta bite, vieux porc.
Le vieux ne se fit pas prier, il sortit sa queue et l’enfonça d’un puissant coup de rein au fond de la chatte de Meinu, car à partir de ce moment-là, elle était Meinu, la grosse salope.Il la baisa si rapidement, qu’elle n’eut pas le temps de jouir, il lui gicla tout son sperme dans la chatte, avant même d’arriver à son étage.Il remballa sa queue, sortit de l’ascenseur pour rentrer chez lui, Meinu était frustrée, elle sentait le sperme du vieux couler sur ses cuisses, mais elle n’avait pas joui.Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent à son étage, elle descendit en rabaissant sa jupe, et s’apprêtait à rentrer chez elle.Alors qu’elle allait ouvrir sa porte, elle pensa à Gauvin, son petit ami, mais même s’il jouissait moins vite que le vieux, elle n’aurait sans doute pas non plus le temps de jouir avec lui.
Mais il y avait son père, elle se demanda si Hugues, le père de Gauvin, était plus endurant que son fils, alors elle se dépêcha de poser ses affaires chez elle, et de nettoyer les traces de sperme du vieux chinois.Elle défit quelques boutons de son chemisier, après une courte hésitation, elle retira complètement son soutien-gorge, afin d’offrir à son beau-père, un bel aperçu de ses petits seins.Sans réfléchir à comment elle allait s’y prendre pour l’attirer entre ses cuisses, elle alla frapper à la porte de leur appartement, et heureuse surprise, ce fut Hugues qui lui ouvrit.Il connaissait bien Helene, mais il n’avait pas l’habitude de la voir habiller si sexy, alors voulant profiter un peu de sa ravissante plastique, il la fit rentrer, et tout en louchant sur son magnifique petit cul, il lui dit :

— Gauvin n’est pas encore rentré, tu veux boire un verre en l’attendant ?— Vous êtes tout seul ?
Un peu intrigué par cette question, il lui répondit :
— Oui, ma femme est partie chez une amie, elle doit rentrer dans la soirée.
Helene jubilait, elle était seule avec sa proie, elle avança doucement vers le salon, et vit dans le miroir de l’entrée qu’Hugues avait les yeux rivés sur son petit cul, elle sourit, se disant que le poisson était appâté.Elle s’installa dans le canapé, et contrairement à ce qu’aurait dû faire une fille convenable, elle ne croisa pas les jambes, comme elle était face à la fenêtre et que sa minijupe était très courte, son string rouge était parfaitement visible, bien éclairé par la lumière du soleil, Hugues resta figé quelques secondes devant cette fascinante découverte, en sentant sa queue se gonfler dans son pantalon.Il se sentait mal à l’aise de bander pour la petite amie de son fils, et souhaitant retrouver la raison, il s’éloigna en lui demandant :
— Tu veux quelque chose à boire ?— Un grand verre d’eau, s’il vous plait.
Helene sentait sa chatte frétiller, elle défit un autre bouton de son chemisier, qui était maintenant ouvert jusqu’à son nombril.Lorsque Hugues revint le verre à la main, elle fit celle qui mourrait de chaud en secouant son chemisier, dévoilant pas la même occasion ses seins à son beau-père, tout en lui disant :
— Oh qu’est-ce qu’il fait chaud, je meurs de chaud.
Hugues se mit à trembler en tendant le verre à Helene, ses yeux étaient rivés sur ses mignons petits seins nus, dont les tétons pointaient outrageusement.Helene sut que c’était le moment de donner le coup de grâce, elle tendit la main pour prendre le verre, et fit l’empotée, en se renversant tout le verre sur le chemisier, le rendant complètement transparent, pour offrir la vue de ses seins nus à son beau-père.Hugues était fasciné par les ravissants petits seins d’Helene, elle le laissa les mater pendant de longues secondes avant de lui dire :
— Vous avez quelque chose pour m’essuyer ?
Sans pouvoir quitter des yeux, cette ravissante paire de seins, il attrapa la boite de mouchoir en papier, et en tirant quelques-uns.Avant qu’il ne tente de les donner à Helene, elle lui dit, en bombant le torse :
— Si vous pouviez m’aider, j’ai les mains trempées.
Il commença par lui essuyer le cou, il tremblait et descendait doucement dans le décolleté.Mais Helene lui dit :
— Attendez, je vais retirer mon chemisier, il est complètement trempé.
Elle se retrouva à moitié nue, devant son beau-père en sueur, elle lui tendit ses superbes petits seins et lui dit sur un ton sensuel :
— Allez-y, je suis toute à vous.
Hugues reprit son essuyage d’une main tremblante, il passa autour des seins d’Helene, il était de plus en plus à l’étroit dans son pantalon.Il craqua complètement quand Helene lui dit, en écartant les cuisses :
— Je crois que ça a coulé plus bas, je suis toute trempée.
Il balança les mouchoirs en papier, plaqua sa main sur le string d’Helene et commença à lui caresser la chatte, tout en lui roulant une pelle passionnée.Elle gémit de plaisir en sentant le doigt de son beau-père se glisser sous son string et s’enfoncer au fond de sa chatte.Elle s’allongea sur le canapé et lui dit à gémissant :
— Ouiiii, c’est là, je suis toute trempée, il me faut quelque chose de bien dure pour m’essuyer à l’intérieur.
Elle attrapa la ceinture d’Hugues et lui ouvrit le pantalon en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.Elle sortit sa queue bien raide et la branla fermement.Hugues lui retira son string, et se glissa entre ses cuisses, Helene guida sa queue à l’entrée de sa chatte et lui dit :
— Ouiiii, allez-y, fourrez-moi votre bite, baisez-moi.
Hugues enfonça sa queue au fond de la chatte d’Helene d’un puissant coup de rein, la faisant pousser une longue plainte de plaisir, typique des salopes japonaises.Il se mit à lui besogner la chatte de puissant coup de queue, la faisant pousser des petits cris aigus de plaisir.Ils prenaient tous les deux, un plaisir fou, et contrairement à son fils, Hugues arrivait à se retenir de jouir, il la baisa un bon moment en missionnaire, puis il la mit à 4 pattes sur le canapé pour la défoncer en levrette.Elle criait sous les coups de queue de son beau-père, et elle eut un puissant orgasme, sentant son vagin se contracter autour de sa bite, elle jouit comme une folle.Hugues fit un effort colossal pour ne pas lui gicler tout de suite dans la chatte, et arrêta de faire coulisser sa bite pour la laisser se remettre de son orgasme.
Quelques secondes, après, elle tourna le visage vers lui et lui dit :
— Mets-la moi dans le cul, j’adore me faire enculer.
Hugues n’avait jamais pratiqué la sodomie, et semblait hésitant, alors Helene posa ses épaules sur le canapé pour venir écarter ses fesses et libérer l’accès à son anus, en lui disant :
— Vas-y, fourre-la moi dans le cul, j’adore ça.
Hugues ressortit sa bite couverte de cyprine de la chatte d’Helene et plaça son gland contre son anus qui palpitait d’impatience.Quand elle sentit le gland contre son trou de bal, elle gémit en lui disant :
— Ouiii, vas-y, pousse-la jusqu’au fond de mon cul, encule-moi, défonce-moi le cul.
Hugues obéit et enfonça sa bite doucement dans le cul d’Helene, il ressentit une sensation très agréable, sa bite était si serrée par le rectum de cette salope, qu’il crut qu’il n’allait pas réussir à tenir jusqu’au fond.Mais son pubis finit par cogner contre les fesses d’Helene et elle lui dit :
— Mmmmm, ouiiii, allez, éclate-moi la rondelle, défonce-moiiiiii le cuuullllll
Hugues commença à faire coulisser sa bite dans ce superbe petit cul si serré, il prenait un plaisir fou en voyant et en sentant sa bite sa queue s’enfoncer de plus en plus vite entre les magnifiques fesses de cette salope.Il continua d’accélérer, les fesses d’Helene se mirent à claquer à chacun de ses coups de bites, elle hurlait de plaisir, l’encourageant toujours de lui défoncer le cul.Mais le point de non-retour arriva rapidement, malgré le plaisir fou qu’il prenait à enculer sa belle-fille, Hugues ne put se retenir plus longtemps, il bloqua sa bite au fond du cul de cette superbe salope, et lui fourra tout son sperme dans le cul, lui inondant les intestins avec du sperme chaud et onctueux.Helene hurla de jouissance en sentant le sperme de son beau-père lui remplir le cul, elle lui gueula :
— OUUUUIIIIII, REMPLIIIISSSS MOIIIII LEEEEE CUUUUULLLLL
Les giclées semblaient interminables, Hugues se vidait complètement les couilles dans ce cul si accueillant.Lorsqu’au bout de longues secondes, les giclées finirent par se calmer, il retira sa bite du cul d’Helene et s’assit sur le canapé, admirant son sperme qui suintait doucement de son anus.Elle resta un moment les fesses en l’air, le trou de bal encore entrouvert, elle reprit doucement son souffle et toujours le cul en l’air, elle lui dit :
— La vache, vous m’avez mis une sacrée dose, je crois que je n’en ai jamais pris autant dans le cul.
Pris d’une étrange satisfaction, il répondit :
— Si je peux te faire plaisir.— Vous pouvez me donner des mouchoirs pour m’essuyer, vous m’avez mis une sacrée dose dans le cul.
Hugues attrapa le paquet de mouchoir, et s’apprêtait à lui donner, quand il eut une idée vicieuse, et lui dit :
— Non, après tout, tu vas garder mon sperme dans ton cul, jusqu’au retour de mon fils, et s’il s’en aperçoit, tu lui diras que tu t’es fait fourrer le cul par un autre homme.— C’est un éjaculateur précoce, Gauvin, il n’aura même pas le temps de m’enfoncer sa bite qu’il aura déjà joui.— Ma pauvre fille, c’est pour ça, que tu es venue chercher ma queue ?— Oui, j’avais envie d’une bonne queue et j’espérais que vous soyez plus performant que votre fils.— Et alors, ma petite salope, lui dit Hugues, en lui mettant une bonne claque sur les fesses.
Helene poussa un petit gémissement et lui dit :
— C’était trop bon, vous m’avez fait bien jouir, on recommencera ?— Quand tu veux, salope, mais pour le moment, rhabille-toi, Gauvin ne devrait pas tarder.
Helene se redressa mais ne put empêcher le sperme de son beau-père de suinter de son cul et de couler sur ses cuisses.Elle se mit debout avant d’en mettre sur le canapé, mais le sperme continuait de descendre, et lui coulait jusqu’aux mollet.On voyait parfaitement deux longues trainées humides descendre de son cul jusqu’à ses mollets, et cela remplit Hugues d’une fierté perverse.Mais ils n’eurent pas l’occasion de trop les admirer, ils entendirent la porte d’entrée s’ouvrir, Hugues se dépêcha de remballer sa bite couverte de sperme et de cyprine, Helene fonça dans la salle de bains les fesses à l’air et son chemisier sous le bras.Hugues essaya de prendre un air tout à fait naturel, en voyant arrivé son fils, et alors que celui-ci allait s’installer sur le canapé, il se précipita sur le sol, pour ramasser le string rouge d’Helene et l’enfouir dans sa poche.
Gauvin ne vit pas le string de sa petite amie, mais trouva étrange le comportement de son père et lui demanda :
— Tout va bien, papa ?— Oui, oui, j’ai cru voir une vis qui trainait.
Helene se servit du sèche-cheveux pour sécher son chemisier, elle sentait le sperme d’Hugues s’écouler doucement, mais il semblait s’arrêter à ses mollets, et commençait à sécher.Elle se sentait sale, mais étrangement, cela lui plaisait, et elle avait presque hâte de retrouver Gauvin en sentant le sperme de son père suinter de son cul.Une fois que son chemisier fut suffisamment sec, elle l’enfila et recouvrit ses fesses avec sa minijupe, elle se rappela qu’elle avait laissé son string dans le salon, et alors qu’elle s’apprêtait à sortir de la salle de bain, elle se surprit à espérer que Gauvin l’ait trouvé sur le sol.Dés qu’elle retourna dans le salon, elle regarda par terre, et ne vit pas son string, mais profitant que Gauvin soit parti dans la cuisine, Hugues qui avait deviné ce qu’elle cherchait, lui dit discrètement :
— C’est moi qui l’ai, et je vais le garder en souvenir de la première fois où je t’ai fourré ma bite dans le cul, petite salope.— Dommage, ça aurait pu être drôle de voir la tête de Gauvin, en trouvant mon string au pied du canapé— Salope, tu mériterais que je t’encule devant lui, lui dit Hugues, en lui mettant une claque sur les fesses.— Chiche, en plus avec ce que vous m’avez mis dans le cul, votre bite va rentrer sans problème.— Tu n’es qu’une grosse salope, mais une prochaine fois, peut-être, ma femme ne va pas tarder à rentrer.— Dommage.
Gauvin sortit de la cuisine et fut surpris de trouver Helene chez lui, il l’embrassa sans remarquer les filets de sperme qui coulaient doucement sur ses jambes. Il lui demanda :
— Ça fait longtemps que tu es là ?— Un petit moment, mais ton père s’est bien occupé de moi, on ne s’est pas ennuyé tous les deux.
Sentant le sous-entendu devenir trop précis, Hugues lui dit :
— Oui, on a bien discuté et on a joué aux échecs— Oh oui, il m’a sauté et puis il m’a prise par derrière, qu’est-ce qu’il m’a mise, je le sens encore coulé, euh passé.
Hugues craignait que les propos plutôt explicites d’Helene n’éveillent la curiosité de son fils, mais celui-ci, peut-être trop naïf, pour pouvoir imaginer son père et sa petite amie baisent ensemble, leur dit :
— Oh eh bien tant mieux, si vous vous êtes amusés, moi je suis vanné.— Tu veux un petit massage pour te réconforter ? lui proposa Helene.— Non, merci, je vais faire une petite sieste avant le diner.— Ça te dérange, si je fais une autre partie avec ton père ?— Non, non amusez-vous autant que vous voulez, moi je vais me reposer.— On va aller chez moi, pour te laisser dans le calme.— Merci ma chérie, tu es trop gentille.
Gauvin avait à peine franchi la porte de sa chambre, qu’Helene attrapait la ceinture d’Hugues et lui roulait une pelle, en lui disant :
— Allez, viens mon salaud, tu vas encore pouvoir me fourrer la chatte cette fois.
Il l’attrapa par les fesses et envoya sa langue tourbillonner dans sa bouche fiévreuse, et finit par lui dire :
— Allez, salope, allons-y avant que ma femme n’arrive.
Il lui pelota le cul jusqu’à chez elle, et ils avaient à peine franchi la porte d’entrée, qu’Helene s’agenouillait devant Hugues, lui ouvrait le pantalon et lui pompait la queue goulument.Il lui tenait la tête en suivant les va-et-vient de sa bouche le long de sa bite, et lui dit :
— Putain, quelle salope, tu fais, tu n’en as jamais assez, si j’avais su que tu étais une grosse chienne en chaleur, ça ferait longtemps que je t’aurais fourré ma queue.
Helene se releva, et tout en déshabillant, lui dit :
— Eh bien, alors, rattrapons le temps perdu et viens remplir la chatte avec ta grosse bite.
Hugues finit de retirer son pantalon et sa chemise, et se retrouva aussi nu qu’Helene, et il la suivit jusqu’à sa chambre, laissant leurs affaires dans l’entrée, elle l’attendait allongée, complètement nue, sur son lit, les cuisses grandes ouvertes, et lui dit :
— Allez, viens mon salaud, viens te vider les couilles dans ma chatte.
Hugues se jeta sur elle, il bandait tellement dur et elle était tellement trempée, qu’il n’eut pas besoin de guider sa queue pour trouver l’entrée de sa chatte brulante, il la perfora d’un puissant coup de rein, la faisant crier de plaisir :
— OUIIII, VAS-YYYYY, BAISEEEEEE MOIIIII
Il commença aussitôt à lui envoyer de puissants coups de bite, dans la chatte, elle referma ses jambes autour de sa taille, se cramponnait à ses épaules, lui griffait le dos, en jouissant comme une folle.Il la besogna pendant plusieurs minutes, et ils changèrent de position, lui sur le dos, elle enfourcha sa queue et se mit à chevaucher sa bite, pendant qu’il lui pétrissait ses petits seins, en lui pinçant les tétons, la faisant hurler de plaisir.Mais cette fois, malgré les nombreux orgasmes d’Helene qui contractaient son vagin autour de la bite de Hugues, sa récente éjaculation au fond de son cul, lui permit de résister plus longtempsCela faisait maintenant plus d’une heure qu’ils baisaient comme des bêtes, ils étaient en sueur, Helene était à 4 pattes sur son lit, et Hugues la défonçait en levrette, en lui envoyant de violentes claques sur les fesses, ce qui la faisait jouir encore plus fort.Et après dernier puissant coup de queue, Hugues resta bloqué au fond de la chatte d’Helene et lui gicla encore une fois tout ce que ces couilles pouvaient encore contenir.
Elle lui cria en jouissant :
— OUIIII, REMPLIIISSS MOIIIII LAAAA CCHAAATTTEEEEE
Au même moment, Gauvin ouvrait la porte d’entrée de son appartement, poussant, sans le vouloir les affaires de son père, derrière la porte.Il vit les affaires d’Helene sur le sol, et se demanda qu’est-ce que ça faisait là, alors il l’appela :
— HELENE, TU ES LA ?
En entendant la voix de son fils, Hugues finit de gicler une dernière dose de son sperme dans la chatte de sa salope de belle-fille, en lui disant :
— Putain, je vais finir par être accroc à ta chatte et à ton cul, salope.— Et moi à ta grosse bite, gros pervers.
Hugues eut juste le temps de sauter du lit et de se cacher derrière la porte, avant que son fils ne l’ouvre et ne découvre Helene en sueur.Elle s’était allongée sur le dos, les cuisses grandes ouvertes, la chatte pleine du sperme de son beau-père.Gauvin fut surpris de la trouver nue sur son lit et lui demanda :
— Ça va ma chérie, papa n’est pas là ?— Pourquoi tu voudrais qu’il soit là ? tu voudrais qu’il me baise ?— Euh pourquoi tu dis ça ?— Pour rien, allez viens, je t’attends depuis tout à l’heure.
Gauvin se dépêcha de se déshabiller et se coucha sur Helene pour fourrer sa queue dans sa chatte pleine du sperme de son père.Alors que Hugues en profitait pour s’éclipser, Gauvin dit à Helene :
— Dis donc, tra chatte est sacrément humide.— C’est normal, je me caresse depuis tout à l’heure.— En tout cas, j’adore ça.
Helene trouva cela amusant que le fils apprécie qu’elle se fasse fourrer la chatte par le sperme son père, avant de la baiser, elle se dit que s’il appréciait tant qu’elle ait la chatte pleine de sperme avant de la baiser, elle allait peut-être lui montrer pourquoi sa chatte était si trempée.Hugues récupéra ses affaires, et il eut à peine le temps d’enfiler son pantalon que son fils éjaculait dans la chatte d’Helene, mélangeant son sperme au sien.Helene était épuisée par tous les orgasmes qu’elle avait eu avec Hugues, mais même si le coup rapide de Gauvin ne la fit pas jouir, pourtant, sentir le sperme du fils et du père se mélanger dans sa chatte, lui procura un étrange plaisir lubrique, et elle se dit qu’elle recommencerait souvent, surtout si en plus, Gauvin appréciait qu’elle ait la chatte pleine du sperme de son père.Hugues rentra chez lui, crevé, mais les couilles complètement vides.Il dit à sa femme qu’il devait prendre une douche avant de diner, et ils passèrent la soirée tranquillement, Hugues, ne cessant de repenser à ce qu’il venait de vivre, et alors qu’il avait sa femme juste à coté de lui, il se dit qu’il recommencerait sans hésiter, et était même presser de fourrer de nouveau sa queue entre les cuisses ou entre les fesses de sa superbe salope de belle-fille
Gauvin, quant à lui, passa la soirée avec Helene, ils regardèrent la télé, comme à leur habitude, et Helene avait tellement joui avec Hugues, qu’elle resta sagement blottie dans les bras de Gauvin, comme la jeune fille chaste et vertueuse qu’elle était autrefois.Gauvin rentra ensuite sagement chez lui, et elle s’endormit profondément.Mais dès le lendemain matin, Hugues, sachant où son fils rangeait les clefs de l’appartement d’Helene, attendit qu’il s’en aille travailler, et les récupéra.Il dit à sa femme qu’il partait travailler, lui aussi, mais dès qu’il fut sur le palier, il se dirigea vers l’appartement d’Helene et ouvrit la porte.Elle ne semblait pas encore être réveillée, il se dirigea vers la chambre, et entra doucement à l’intérieur.Helene dormait encore profondément, il se déshabilla et se glissa sous sa couette, il bandait déjà, rien qu’à l’idée de fourrer cette superbe salope.
Alors il plaqua sa queue contre ses fesses, il souleva légèrement sa petite nuisette pour sentir sa peau chaude contre sa bite, et glissa ses mains sur ses petits seins.Il joua un peu avec ses tétons qui se mirent à pointer rapidement, et toujours à moitié endormie, Helene se mit à bouger ses fesses le long de la queue qu’elle sentait derrière ellePensant que c’était Gauvin, qui venait la réveiller, elle fut surprise de sentir une bite si dure et lui dit :
— Eh bien, Gauvin, tu es sacrément en forme ce matin.
Mais Hugues fit glisser sa queue entre ses cuisses pour essayer de trouver l’entrée de sa chatte, et quand il lui enfonça sa bite dans son vagin brulant, en la faisant pousser un long soupir de plaisir, il lui dit :
— Dis-moi, salope, tu préfères ma queue, ou celle de mon fils ?
Helene comprenait maintenant pourquoi, elle prenait tant de plaisir avec la bite qu’elle sentait vibrer dans son ventre, c’était celle de son beau-père.Alors elle lui répondit :
— Elle est trop bonne, ta grosse bite, mon vieux pervers, défonce-moi, maintenant.
Hugues se mit à faire coulisser sa bite de plus en plus vite dans la chatte d’Helene, la faisant pousser ses petits cris aigus de jouissance, qu’il aimait tant.Il la baisa dans la position de la cuillère, pendant plusieurs minutes, lui pinçant les tétons, pour accentuer encore ses cris de jouissance.Il commençait à bien connaitre ce qui faisait jouir cette superbe salope, et tout en jouissant au fond de sa chatte, il se dit qu’il ne pourrait plus s’en passer.Alors, pendant qu’elle reprenait son souffle, il lui dit :
— A partir de maintenant, je te baise où je veux et quand je veux.— Je suis toute à toi et à ta grosse bite, mon vieux pervers.— Et si mon fils veut te baiser, tu lui diras que tu ne te sens pas bien.— Non, j’ai une meilleure idée, Gauvin m’a baisé après toi, hier soir, et il a apprécié que j’ai la chatte bien remplie, même s’il ne savait pas que c’était ton sperme, et j’avoue que moi aussi, j’ai adoré sentir vos deux spermes se mélanger au fond de ma chatte.
Hugues eut une lueur vicieuse dans les yeux, et dit :
— Très bien, alors si ce cocu aime que la chatte de sa petite amie soit bien fourrée, tu ne baiseras plus avec lui que si tu as déjà mon sperme en toi.— Ça me va.
Ils se roulèrent une pelle, et se levèrent du lit, comme il était déjà en retard, Hugues se dépêcha de se rhabiller et partit travailler.Helene prit une bonne douche, son petit déjeuner et s’habilla pour aller travailler.Elle enfila son tailleur noir et chemisier blanc habituel que la boutique où elle travaillait lui fournissait, et même s’il lui moulait parfaitement sa fine silhouette, elle chercha quelque chose pour se rentre un peu plus sexy, alors elle prit un des strings qu’elle s’était achetée récemment, un joli rose bien flashy, dont le fin cordon lui passait entre les fesses, et ne faisait aucune marque sur ses jolies petites fesses sous son tailleur.Elle enfila également des bas noirs auto-fixant, elle rabaissa sa jupe qui lui arrivait à mi-cuisse et même s’il n’y paraissait pas grand-chose à l’extérieur, elle se sentait séduisante à souhait, elle finit par un léger maquillage qui ajouta une petite note de perversité dans son regard.Elle se regarda dans le miroir de l’entrée et se trouva parfaite, elle put enfin partir travailler.
Elle croisa encore le vieux chinois dans l’ascenseur, elle finit par se demander s’il n’attendait pas dans l’ascenseur, qu’elle sorte pour la croiser et abuser d’elle.D’ailleurs, Il ne perdit pas de temps, comme ils étaient seuls dans l’ascenseur, il plaqua aussitôt sa main sur le pubis d’Helene et tira sur sa jupe pour la remonter.Dès que son string fut visible, il glissa sa main à l’intérieur, et commença à lui caresser la chatte.Elle le laissa faire, et recula dans un coin de l’ascenseur pour s’assoir sur les barres de maintien et écarter les cuisses, en posant les pieds sur les barres.Le vieux lui fourra un doigt dans la chatte, la faisant gémir de plaisir, mais alors qu’il s’apprêtait à lui rouler une pelle, elle posa son doigt sur sa bouche, et lui dit :
— Non, je n’ai pas envie de refaire mon maquillage, mais tu peux me fourrer ta langue dans la chatte, si tu veux.
Alors, obéissant à cette superbe salope, le vieux se mit à genou entre les cuisses d’Helene, il tira son string sur le côté et commença à lui bouffer le clito, la faisant gémir doucement de plaisir.Elle lui tenait la tête contre sa chatte, et le sentit lui enfoncer un deuxième doigt dans le vagin, tout en lui léchant le clito, elle prenait un plaisir fou avec la langue habile de ce vieux pervers.Elle sentait l’orgasme approché doucement, et alors que l’ascenseur s’arrêtait à un étage, elle se sentit partir sous les coups de langue du vieux, et au moment où les portes s’ouvrirent sur un homme en costume, elle jouit intensément, et inonda le visage du vieux de sa cyprine.L’homme en resta bouche bée, il avait devant lui, une superbe jeune femme asiatique, les cuisses grandes ouvertes, avec un vieux chinois à genou en train de lui bouffer la chatte.Il la vit jouir si fort, que le vieux du se reculer pour ne pas étouffer sous son jet de cyprine, le visage du vieux et le sol de l’ascenseur furent couvert de son jus.
Sans pouvoir s’en empêcher, l’homme sentit sa bite se redresser, quand le vieux découvrit sa présence, il s’enfuit, abandonnant cette superbe salope, encore sous l’effet de son orgasme.Alors profitant de l’occasion, l’homme monta dans l’ascenseur, posa son attaché-case, et comme Helene avait toujours les cuisses grandes ouvertes, il sortit sa bite, et vint la placer à l’entrée de sa chatte.D’une lente poussée, il enfonça sa queue à l’intérieur de cette chatte brulante, faisant pousser un long râle de plaisir à Helene.Qui lorsqu’il lui eut enfoncé toute sa queue dans le vagin, lui dit :
— Allez-y, baisez-moi, défoncez-moi.
L’homme ne se fit pas prier, il commença aussitôt à lui envoyer de puissant coup de rein, la faisant crier de plaisir à chaque coup de bite.Elle eut tout juste le temps de ressentir un orgasme, elle sentit son vagin se contracter autour de la bite de cet inconnu, elle jouit intensément, mais l’homme, sentant sa queue compressée par le vagin de cette superbe salope, ne résista pas et lui envoya de longues giclées de sperme au fond de la chatte.Ils arrivèrent enfin au parking, l’ascenseur s’ouvrit, l’homme sortit sa queue de la chatte d’Helene, et s’en alla en remballant sa bite, en lui disant :
— Merci, ta chatte est vraiment très agréable, j’espère que j’aurais l’occasion de te revoir.
Helene émergea doucement, elle avait reposé les pieds par terre, elle avait la chatte pleine de sperme, mais alors que l’ascenseur allait se refermer, elle se dépêcha de sortir, remit son string et sa jupe en place.Elle se dirigea vers sa voiture, en sentant le sperme de l’inconnu couler doucement sur ses cuisses, elle se sentait sale, mais sentir sa chatte bien fourrée avec du sperme chaud, elle se rendit compte, qu’elle adorait ça.Elle monta dans sa voiture, vérifia que son maquillage n’avait pas été abimé par son dernier amant, mais rien n’avait bougé, il n’y avait que sa chatte qui avait subi les assauts des deux pervers, elle démarra et partit travailler.Elle arriva sans encombre au parking souterrain à côté de la boutique, elle sortit de la voiture, et se dirigea vers la sortie, elle sentait le sperme séché de l’inconnu sur ses cuisses, et cela l’excitait étrangement.Alors qu’elle montait les escaliers pour sortir, elle remarqua un homme juste derrière elle, elle ne put s’empêcher de tirer lentement sur sa jupe pour la faire remonter et finir par dévoiler son petit string imbibé de sperme à l’inconnu.
Elle pouvait sentir son regard sur son entrecuisse, elle ralentit doucement son ascension, et l’homme se rapprocha d’elle. Il était maintenant juste derrière elle, elle pouvait presque sentir son souffle, elle s’arrêta entre deux marches, une cuisse plus haute que l’autre, et fit semblant de chercher quelque chose dans son sac.Elle ne fut pas, le moins du monde, surprise, quand elle sentit la main de l’homme se glisser entre ses cuisses, et lui dire :
— Je peux vous aider mademoiselle ?
Helene monta sa cuisse sur une marche encore plus haute, offrant complètement sa chatte aux doigts explorateurs de son nouvel inconnu, et lui répondit :
— Ça dépend, vous avez les couilles bien remplies ?
Pour toute réponse, l’homme sortit sa queue et se colla aux fesses d’Helene, l’obligea à se pencher en avant pour lui fourrer sa queue au fond de la chatte.Il la baisa rapidement, mais même si cela ne dura que quelques minutes, Helene prit un pied incroyable à se faire baiser dans la cage d’escalier, et encore une fois, l’homme lui fourra tout son sperme au fond de la chatte, avant de la laisser les fesses à l’air au milieu des escaliers.Elle remit, une nouvelle fois, sa jupe et son string en place, et en sortant dans la rue, elle se demanda combien de fois elle allait pouvoir se faire fourrer la chatte dans la journée.Mais sentir du sperme coulé sur ses cuisses, dans la rue, l’excitait fabuleusement, malheureusement, elle ne trouva plus de paires de couille à vider avant d’arriver à la boutique.Elle fit la bise à ses collègues qui la trouvèrent plus rayonnante que d’habitude, et alors que les clients commençaient à arriver, elle chercha comment elle pourrait se faire fourrer la chatte.
Elle réussit avec le père d’une future mariée, alors qu’ils étaient dans l’un des salons privés d’essayage, elle s’était penchée en avant pour, soi-disant, mesurer la traine de la robe de mariée, mais en faisant cela, sa jupe était remontée sur ses fesses, dévoilant son petit string rose, le père de la mariée avait été émerveillé par ce ravissant point de vue, il s’était rapproché doucement.Helene s’était tourné vers lui, et lui avait fait son sourire le plus vicieux, en se léchant les lèvres.Sans attendre, le père lui avait mis la main entre les cuisses, et lui caressa discrètement la chatte, lorsque sa fille retourna se changer dans la cabine, Helene était restée penchée en avant, et avait dit doucement :
— Allez-y, c’est compris dans le service.
Le père avait rapidement sorti sa queue bien dure, et lui avait fourré dans la chatte, il se dépêcha de jouir avant que sa fille ne ressorte de la cabine, et encore une fois, Helene ne jouit que parce qu’elle sentit encore du sperme chaud lui inonder le vagin.Elle se releva et remit sa jupe en place, juste au moment où la future mariée sortit de la cabine.Helene conclut ainsi plusieurs ventes, grâce à sa chatte accueillante, elle rendit jalouse ses collègues.Mais lorsque Matt et les deux jumelles poussèrent la porte de la boutique, elle sut qu’elle allait jouir autrement qu’avec du sperme bien chaud.Mais sa collègue fut plus rapide qu’elle pour aller les accueillir, Helene craignit de passer à côté de celui qui avait fait d’elle, la salope d’aujourd’hui, elle était devenue une véritable chienne en chaleur, depuis qu’elle avait rencontré Matt.
Alors lorsqu’elle l’entendit dire à sa collègue :
— Merci, mais Meinu a déjà pris notre commande, et on compte faire les essayages avec elle.
Sa collègue ne connaissait pas de Meinu, alors elle lui dit :
— Désolé, monsieur, mais il n’y a pas de Meinu ici.
Helene se rapprocha et lui dit :
— C’est moi, Amandine, c’est mon prénom japonais.— Ah, je ne savais pas, désolé— Personne ne m’appelle comme ça, sauf ce client qui me l’a demandé— Ah bon, très bien
Pendant que Matt et les jumelles se dirigeaient vers un salon privé, sa collègue lui demanda :
— Pourquoi, il t’appelle Meinu ?
Helene hésita et désirant assumer pleinement sa nouvelle libération sexuelle, lui répondit :
— Regarde sur google, tu vas vite comprendre ?
Helene suivit Matt et les jumelles dans le salon, pendant que sa collègue cherchait sur l’ordinateur de la boutique.Amandine était une jeune femme de 24 ans très curieuse, très jolie, cheveux mi-longs, châtains, attachés en queue de cheval, la plupart du temps, des yeux d’un bleu perçant, qui séduisaient beaucoup de garçon, elle mesurait 1.58m pour 50kg, elle était très fine, mais ce qui excitaient surtout ces prétendants c’était sa poitrine de 90D, bien ferme, et son superbe petit cul bien galbé et tout aussi ferme, le tailleur de la boutique le rendait d’ailleurs très attirant, et comme elle détestait les marques disgracieuses des culottes, sur ses fesses, lorsqu’elle portait quelque chose de moulant, elle ne mettait généralement que des strings.Lorsqu’elle découvrit la signification de Meinu, elle fut choquée, comment des parents pouvaient appeler leur fille, pute ou chienne, elle avait du mal à y croire.Puis elle se rappela, pourquoi elle avait fait cette recherche, elle profita que ses collègues soient occupées ailleurs pour se diriger vers le salon, où était entré Helene et ses clients.Elle ouvrit doucement la porte, et fut surprise de voir les jumelles complètement nues, en train de passer leurs robes de mariée.
Elle chercha sa collègue et fut abasourdie de la voir à genou entre les cuisses du client en train de lui pomper son énorme queue.Amandine sentit sa chatte frétiller devant cette scène incroyable, elle ne sut dire si c’était de voir sa collègue sucer un client ou si c’était la taille de l’engin qu’elle s’enfonçait de plus en plus profondément dans la bouche, qui l’excitait le plus.Elle fut impressionnée de la voir réussir à l’avaler entièrement, et tirer la langue pour lécher les couilles du client.Elle le voyait et l’entendait prendre son pied sous la langue vicieuse de Meinu, et elle l’entendit dire :
— Eh bien, ma petite salope, tu as bien progressé depuis la dernière fois, tu es une sacrée suceuse de bite.
Meinu le suça avec un féroce appétit, montrant à celui qui avait fait d’elle une grosse salope, à quel point elle aimait la bite à présent.Une fois qu’elle lui eut bien pompé la queue, elle se redressa et lui roula une pelle, pendant qu’il finissait de la déshabiller.Dès qu’elle fut complètement à poil, elle mit fin à leur baiser, et lui dit :
— Vous pouvez me la mettre dans le cul, je me suis fait dépuceler le cul, ce WE, et j’adore me faire enculer par une grosse bite.— Très bien, salope, alors mets toi à 4 pattes, que je vérifie ça.
Toute soumise à Matt, Meinu se mit à 4 pattes par terre, cambra bien ses fesses, afin qu’il lui fourre sa grosse queue dans le cul.Amandine le vit s’agenouiller derrière elle, lui écarter ses superbes fesses et enfoncer doucement son énorme bite dans le cul.Elle n’arrivait pas à croire que sa collègue soit une aussi grosse salope, elle était capable d’avaler complètement l’énorme queue de son client, mais à présent, elle se la prenait dans le cul en râlant de plaisir.Amandine n’avait pas pu s’empêcher de glisser une main sous son tailleur et avait fini par rentrer dans le salon privé, avant qu’une autre collègue ne remarque ce qu’elle était en train de faire.Elle se caressait la chatte en regardant la fameuse Meinu, la pute, se faire enculer par une énorme bite.
Elle était concentrée sur cette scène incroyable, et avait complètement oublié les jumelles, elle sursauta lorsque celles-ci arrivèrent derrière elle, et glissèrent leurs mains entre ses cuisses.Elle laissa Julie lui caresser la chatte en lui retirant sa jupe et son string, tandis que Céline s’attaquait à sa veste et à son chemisier, tout en lui roulant une pelle.Elle s’abandonna à leurs caresses, et fut rapidement aussi nue que sa collègue.Mais tandis qu’elle l’entendait crier de plaisir sous les coups de bite qu’elle se prenait dans le cul, Amandine se mit à gémir à son tour, sous les coups de langue habiles de Julie sur son clito, tandis que Céline lui pelotait les seins en jouant avec ses tétons durcis de plaisir.Les deux vendeuses étaient à poil, et devenaient le jouet sexuel de leurs clients.Meinu criait de plaisir sous les coups de queue puissant de Matt dans son cul, et Amandine gémissait doucement en sentant les doigts de Julie s’enfoncer au fond de sa chatte trempée, et ceux de Céline faire rouler ses tétons durs entre ses doigts.
Sans s’en rendre compte, elle les laissa l’emmener près de sa collègue, et la firent s’allonger sur le sol, elle se retrouva le visage juste en dessous de celui de Meinu qui gueulait de plaisir à se faire défoncer son superbe petit cul de salope.Julie ouvrit les cuisses d’Amandine et commença aussitôt à lui bouffer la chatte, tandis que Céline passait sa langue agile sur ses tétons.Les deux vendeuses prenaient un plaisir fou avec leurs clients, et tout naturellement, lorsque la bouche de Meinu se posa sur celle d’Amandine, leurs langues s’enfoncèrent dans la bouche de l’autre et se mirent à tourbillonner avec passion.Matt défonça le cul de Meinu pendant un bon moment, mais il avait très envie de fourrer sa bite dans la chatte de la vendeuse qui s’était invitée à leur petite sauterie.Alors, avant de lui jouir dans le cul, il ressortit sa bite des fesses de Meinu, la laissant en pleine jouissance et à bout de souffle.Il vint se placer entre les cuisses grandes ouvertes d’Amandine, Julie les tenant bien en l’air pour qu’il puisse enfoncer sa grosse queue avec le plus d’aisance possible.
Lorsqu’il poussa son gland entre les lèvres vaginales d’Amandine, celle-ci sentit cette énorme queue s’enfoncer dans son ventre, la sensation était tellement fantastique qu’elle abandonna la bouche de Meinu pour relever la tête et voir cette énorme queue s’enfoncer dans sa chatte.Elle sentait les parois de son vagin épouser parfaitement cette bite hors norme, jamais elle n’avait pris un tel engin dans son ventre, et elle prenait un plaisir fou en sentant progresser doucement cette queue en elle.Si bien que lorsqu’elle sentit enfin l’énorme gland cogner contre son utérus, elle fut impressionnée de voir qu’il restait encore un quart de la queue à l’extérieur, elle fut prise d’une sorte de frénésie sexuelle, et dit à Matt :
— Défonce-moi, fourre-moi toute ta queue dans la chatte, je veux la sentir complètement en moi.
Matt se mit à faire coulisser sa queue doucement, faisant cogner à chaque fois son gland contre l’utérus d’Amandine et lui provoquant un cri de plaisir, mais celle-ci ne cessait de l’encourager à tout lui mettre dans la chatte.Alors Matt accéléra progressivement et les gémissements d’Amandine se transformèrent en cris de jouissance, elle ne cessait de regarder l’énorme bite de Matt s’enfoncer de plus en plus au fond de sa chatte, elle la sentait cogner contre son utérus, et cela lui procurait un plaisir phénoménal.Lorsqu’au bout de plusieurs minutes de pilonnage intensif de sa chatte, elle vit cette bite s’enfoncer entièrement en elle, elle eut un orgasme foudroyant, elle hurla de jouissance et s’effondra sur le sol, elle sentait les giclées de sperme forcée l’entrée de son utérus, et elle jouit comme elle n’avait jamais joui.Elle se mit à convulser à chaque giclée qu’elle sentait dans son vagin et finit par s’évanouir de plaisir.Matt sortit sa queue de sa chatte pleine de sperme et laissa les deux jumelles allonger Amandine sur le canapé du salon privé.
Meinu s’approcha de Matt et lui dit :
— Eh bien, je crois que je ne suis plus la seule salope de la boutique.
Matt lui appuya sur les épaules en lui disant :
— Nettoie-moi la bite, comme une bonne salope sait le faire.— A votre service.
Meinu s’agenouilla devant Matt et lui lécha la queue afin de récupérer tout le sperme qu’il y restait, elle avala tout ce qu’elle recueillit avec sa langue gourmande.Une fois que les deux vendeuses eurent récupéré leurs esprits, elles se rhabillèrent et raccompagnèrent Matt et les jumelles à la caisse.La patronne fut étonnée que deux vendeuses se soient occupées d’un seul client, et s’apprêtait à les réprimander, mais Matt les remercia pour leurs conseils et leurs prestations et il demanda à la patronne :
— Dites, est-ce que vous proposez un accompagnement jusqu’au mariage ?— Euh, pourquoi ?— Je souhaiterais avoir vos vendeuses sous la main, le jour du mariage, afin de palier à une retouche de dernière minute, ou toute autre prestation, bien entendu, je paierais pour tout ce qu’elles auront à faire ce jour-là.
La patronne crut distinguer un sous-entendu dans cette proposition, elle regarda ses vendeuses et les trouva très étrange, un peu décoiffées, le maquillage à refaire, mais l’idée qu’elles venaient de baiser avec leur client ne lui effleura pas l’esprit et elle lui répondit :
— Très bien, alors je vais noter la date du mariage, et elles seront présentes pour vous faire les retouches nécessaires.— Merci beaucoup, le mariage doit avoir lieu dans 2 semaines.
Pendant la patronne notait la date, Matt caressa le cul de Meinu et d’Amandine et leur dit discrètement :
— A bientôt, mes petites salopes, et habillez-vous léger ce jour-là, vous allez être vite à poil.
Meinu était ravie, mais Amandine était encore dans les nuages pour vraiment réaliser qu’elle allait participer à un mariage/partouze très bientôt.
A SUIVRE.
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