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Les nièces jumelles

Chapitre 4

Inceste
Chapitre 4 : Récidive
   Je me réveille le lendemain matin. Lucy n’est pas là ; ni avec moi dans mon lit, ni dans celui d’à côté. J’ai horreur de ça, c’est si rare quand ça arrive. Normalement, on fait tout ensemble, vraiment tout ; mais bon, c’est pour la bonne cause.
  Malgré mes peurs et la honte, je lui ai parlé de ce que moi et tonton Eric faisions lorsqu’elle partait faire la fête. Je voulais garder cela secret au début, j’étais vraiment effrayée qu’elle me juge et que cela n’impacte à jamais notre relation, mais c’est ma sœur jumelle, ce serait encore pire de lui cacher un truc aussi gros, ce serait comme une trahison. Sa réaction m’a étonnée. Évidemment, il a été choquée en entendant la nouvelle, mais aussi heureuse et enjouée. Genre "C’est pas vrai ?! Tu déconnes ?! Tu as vraiment sucé tonton Eric ?!". Elle m’a traitée de trainée pour rigoler quand je lui ai dit que j’avais avalé son sperme, elle n’avait jamais fais ça avec son copain apparemment. J’ai trouvé ça un peu fort de sa part, elle, elle se fait éjaculer dessus, ce n’est pas mieux.
   Quand je lui ai fais part de mon envie d’aller plus loin encore, et que je voulais coucher avec lui, elle m’a soutenue. Je me suis sentie sotte sur le coup, comment ai-je pu croire une seule seconde que cette histoire pourrait poser des conflits entre nous ? Notre lien est indestructible. Qu’est ce que je peux l’aimer, ma sœur ! C’est elle-même qui s’est proposée de trouver un prétexte pour être de nouveau absente de la maison un soir afin de me laisser le champ libre, je n’osais pas le lui demander. M’enfin, aller chez son copain pour baiser avec toute la nuit, faut avouer que ce n’est pas un très grand sacrifice. Je pensais que les parents de Thomas refuseraient qu’elle aille dormir chez eux, ils ont l’air assez cool finalement. Ils devaient bien savoir ce qu’ils comptaient faire ensemble...
  Tout s’est passé comme prévu. J’avais très peur que tonton résiste ou me rejette. Je crois que je ne l’aurais pas supporté, surtout après tout ce que nous avions déjà fait. Finalement, c’était même presque trop facile, il devait en mourir d’envie autant que moi. Je suis si heureuse, c’est un nouveau jour qui se lève, je suis une femme à part entière maintenant.
  Je pensais que perdre ma virginité me ferait perdre un peu ma libido, mais je réalise que c’est tout le contraire. Les images d’hier ne font que défiler dans ma tête, et j’ai trop envie de recommencer. J’ai envie de baiser. Je descends dans la cuisine prendre mon petit déjeuner, j’y retrouve tonton qui vient aussi de se réveiller. Je ne sais pas comment réagir. Que dois-je jouer les petites nièces comme si rien ne s’était passé ? Ou ai-je droit de me montrer plus intime avec lui ? Je tente le tout pour le tout en le saluant par un baiser. Il me le rend comme si j’étais son amante. J’ai des papillons dans le ventre, il ne m’a pas refusée ! Est-ce que cela veut dire qu’il me considère plus que comme sa nièce ou une partenaire de sexe ? Je l’enserre dans mes bras, il me fait un câlin. Nous échangeons quelques sourires, j’ai la chatte qui mouille. Est-ce que je peux dire qu’il est mon homme ? Mon homme rien qu’à moi ?
   Lucy va rentrer dans quelques heures, et je ne sais pas quand nous aurons l’occasion de refaire l’amour. Il faut que je profite d’être seule avec lui. J’ai envie, là, maintenant. Mais comment le lui faire avoir ? Sera-t-il seulement d’humeur ? Je ne peux pas le savoir avant d’essayer.
— Tonton, j’ai encore envie de faire l’amour.— Déjà ? dit-il surpris. — Oui...— Megan, je...
  Je ne lui laisse le temps de répondre, je m’agenouille et défait la ceinture de son peignoir. En dessous, il est en caleçon, je lui lance un regard coquin tandis qu’il me laisse le lui enlever. Je retrouve enfin sa belle queue. Elle est toute molle. Je la prends d’une main pour la branler puis la mets dans ma bouche. Je la sens grossir et durcir au fond de ma gorge, c’est excitant.
— Megan... soupire-t-il.
 Je me sens rassurée, il en a autant envie que moi.
 Je le pompe comme j’ai appris à le faire. J’adore sucer sa belle queue. Et dire qu’avant, il n’y a pas si longtemps, je trouvais la fellation dégoutante. Je fais tout pour lui donner l’envie de baiser. Je lui offre une vue plongeante sur mes seins pas encore dénudé.
— Megan, tu suces tellement bien, gémit-il, c’est si bon, mon amour.
 Il ne m’a pas appelée "ma chérie" ou "ma puce, mais "mon amour", j’ai le cœur qui bat la chamade ! Je le fixe passionnément pour scruter ses réactions. Il aime vraiment ce que je lui fais, cela m’excite de savoir que je suis capable de rendre fou un homme plus vieux.
  En tant normal, je ferais tout pour essayer de le finir et j’avalerai son délicieux sperme, mais cette fois, le but n’est pas de le faire jouir. Je m’arrête et lui demande de passer à la suite :
— Tonton, tu veux bien me baiser comme hier ? J’ai tellement envie...— Oh oui, Megan, je vais te baiser.
  Je me penche docilement sur la table de la cuisine, lui offrant mon cul pour qu’il vienne prendre soin de moi. Il relève ma nuisette et fait descendre ma culotte les longs de mes cuisses. Il joue un peu avec ma chatte en la léchant et en y enfonçant des doigts. Mon clito gonfle et je mouille abondamment. Il me le titille pour faire monter la pression, puis il se relève pour passer aux choses sérieuses. J’ai le souffle coupé dans l’attente qu’il me pénètre. Je soupire profondément lorsque je retrouve avec bonheur la sensation de sa grosse queue dans ma chatte. Il me lime doucement, avec amour, en posant ses mains sur mes hanches. Je suis au paradis, je baise à nouveau, avec mon tonton. Je suis heureuse que ce soit un pervers qui n’hésite pas à se taper sa propre nièce, j’aurais été tellement déçue, sinon.
  Il se penche vers moi pour m’embrasser dans le cou, il attrape mes seins toujours enfermé dans leur soutien-gorge. Il m’arrache les bonnets pour pouvoir me pincer les tétons. Je frémis, je sens son souffle à mon oreille. Il gémit et soupire bruyamment en me labourant. Je peux sentir combien il a envie de moi, c’est enivrant, j’ai besoin de lui. Il augmente la cadence, il est vraiment en train de me sauter. C’est comme si hier, il avait pris des gants pour ma première fois, mais qu’aujourd’hui, il se lâche. Il ne me prend plus comme une petite vierge, mais comme sa femme ; cela me fait défaillir. Je veux qu’il me possède, qu’il me fasse sentir sienne, je suis sa petite chienne rien qu’à lui.
— Tonton, je t’aime ! — Moi aussi, Megan !
   C’est tellement intense, il y a tellement de passion en lui, je sens que je ne vais déjà pas tarder à jouir. À mon avis, lui non plus, il me lime avec force. Il est collé tout contre moi pour se régaler de ma chaleur et de mon corps.
— Aah, Megan ! Megan ! Je t’aime ! Je deviens accro, j’ai besoin de te baiser !— Moi aussi, tu ne peux pas savoir. Tu peux venir me sauter dès que tu en as envie, j’écarterais toujours les cuisses pour toi.— Rooh, tu ne peux pas me dire ça...— Allez, défonce-moi le vagin avec ta grosse bite !
 J’adore vraiment dire des cochonneries, manifestement lui aussi. Il me laboure violemment. Comme si ce n’était pas assez bon, ce salaud passe une main sur mon clitoris et me le stimule en même temps. Je sens que je vais m’évanouir.
— Megan... je vais jouir...— Ouiiii ! Moi aussi. Vas-y, viens ! Je veux être remplie de sperme !
  Rien qu’en prononçant ces mots tout haut, cela déclenche mon orgasme. C’est encore plus intense qu’hier. Je frisonne de bonheur, mon esprit est complètement perdu, j’ai l’impression de mourir l’espace d’une seconde. J’ai besoin de hurler pour me soulager où je ne tiendrais pas le coup, heureusement qu’il n’y a personne pour m’entendre. Je sens soudain du liquide m’envahir le vagin, il est en train de jouir lui-aussi. Putain, ce que c’est bon de sentir un homme éjaculer pour vous. Il décharge tout son sperme au fond de moi, je suis heureuse d’être son réceptacle. Il beugle de plaisir, nous devons ressembler à des animaux.
— Farcis-moi de ton foutre, tonton ! — Aaaaaaaaaaah !
 Lui aussi on dirait qu’il va mourir. Je m’écrase sur la table, et lui sur moi. La vague de plaisir passe, mais nous sommes tous les deux incapables de bouger. Je suis bien, mon homme à moi. Je sens son sexe ramollir dans ma chatte, c’est une drôle de sensation. Elle ressort de moi et du sperme dégouline sur le sol. Il en fait moins une malade cette fois. Il se redresse pour admirer le fruit de son travail, il a l’air d’aimer ce qu’il voit. C’est un sacré pervers ! S’exciter de voir le vagin de sa petite nièce dégoulinante de son foutre ! Je l’adore, je veux qu’il m’apprenne à être une perverse aussi. Nous nous embrassons puis nous prenons notre petit déjeuner normalement.
  Plus tard, il part chercher Lucy pour la ramener à la maison. Nous sommes heureuses de nous retrouver comme si cela faisait des années que nous avions été séparées. Très vite, nous nous enfermons dans notre chambre pour nous raconter tout ce qui s’est passé. Pour une fois, c’est moi qui commence en premier :
— Ça y est ! fais-je excitée. J’ai couché avec tonton Eric ! — Ce n’est pas vrai ?! Tu déconnes ?! s’exclame-t-elle toute joyeuse.— Si ! Regarde ! Je suis encore plein de son sperme !
  Je lui montre ma chatte et pousse pour faire sortir un peu de son jus. Lucy est obnubilée :
— Il t’a baisée ce matin ?!— Nous l’avons fais deux fois, hier soir, et ce matin. Oooh, ce que c’était génial ! Et toi ? Raconte ? — Nous, on a dû passer la nuit à baiser, et le matin aussi. Regarde, moi aussi je suis plein de sperme.
  Lucy me montre à son tour l’état de son entrejambe, elle déborde autant que moi, nous en rions.
  Nous racontons chacune les détails de nos aventures. Cela nous donne à nouveau envie, mais nos vagins plein de semence, pas question de faire l’amour cette fois pour nous soulager cette fois, nous nous contentons de nous masturber. Le récit de Lucy est très excitant et je me fais jouir en l’écoutant. L’orgasme n’a rien de comparable à celui de ce matin où celui des autres jours, mais il suffit à me soulager. Pour mon plus grand bonheur, ma sœur est très jalouse lorsque je lui raconte mon histoire. Ah c’est sûr, tonton n’est pas un petit puceau de dix-huit ans avec une petite quéquette, c’est un vrai mâle mature qui sait comment faire plaisir à une femme.
— Je devrais peut-être essayer un jour, histoire d’essayer, plaisante-t-elle.— Arrête Lucy ! Tu as déjà un petit copain, ne me vole pas le mien. — Tu n’es vraiment pas drôle !
  Le lendemain, j’ai encore envie de sexe. Malgré que j’ai dis à tonton Eric qu’il pouvait venir me prendre quand il voudrait, il reste sage toute la journée comme un oncle modèle. Sauf que je ne veux pas d’un oncle modèle moi, je veux un pervers. Je vais me coucher extrêmement frustrée. Le matin suivant, je profite qu’il soit dans la douche pour lui sauter dessus. Nu dans la cabine, il ne peut rien faire pour m’échapper.
— Megan ! S’indigne-t-il. — J’ai envie qu’on refasse l’amour ! lui dis-je.— Tu es folle, ta sœur pourrait nous surprendre à tout moment ! — Cela ne nous a pas arrêtés quand on se contentait de fellation et de cunni, pourquoi cela nous arrêterait maintenant ?
  Avant même qu’il ait le temps de répondre, je me jette sur sa bite pour le sucer. Comme je m’en doutais, il ne dit pas non ; il se laisse faire le petit salaud. Après cela, il me baise, il me soulève et me fait glisser sur son membre en me portant à bout de bras, c’est carrément dingue. Il me plaque ensuite contre le mur et me lime puissamment. Ah ça, il dit non, mais une fois qu’il est parti, c’est une véritable bête. Je jouis trop vite, il ne m’a pas rejointe. Pour le récompenser, je le suce jusqu’à l’en avaler. Cela commençait à faire longtemps, ça m’a manqué. Ce n’est pas parce que maintenant je ne suis plus vierge qu’il ne doit plus éjaculer ailleurs que dans ma chatte.
 Lorsque la semaine de cours reprend, je trouve le temps extrêmement long. Une fois encore, tonton Eric ne me fait rien. Je suis extrêmement déçue. Vais-je vraiment devoir toujours prendre l’initiative ? Il n’a pas envie de moi ou quoi ?! Je n’arrive pas à me concentrer. Depuis que j’ai perdu ma virginité, je ne pense vraiment plus qu’au sexe. J’ai besoin de baiser encore et encore. Je veux que mon homme me fasse jouir !
  Heureusement, mardi, j’ai une sacrée surprise, c’est lui qui vient me voir sous la douche.
— Tonton ? fais-je.— Hmm, Megan. Deux jours sans te faire l’amour est une torture, j’ai trop envie de toi.
  Les rôles s’inversent, enfin. Il m’embrasse, me caresse, puis me prend sauvagement. Je me sens rassurée, il me fait sentir au travers de ses coups de queue que je lui ai manqué autant qu’il m’a manqué.
— Aah, Megan, ma chérie, mon amour ! — Aaaah ! Tonton Eric ! Je t’aime ! — Moi aussi, si fort !— Je ne peux plus tonton, je veux être tienne. Je veux être ta copine, ta femme.   — Hmm, Megan. Et moi, je veux être ton homme, ton homme à toi. — C’est vrai ? Tu le penses ?— Oui, mon amour, je t’aime ! Je te veux ! — Je te veux aussi, tonton Eric. — Appelle-moi Eric tout court quand nous sommes que tous les deux, ma petite femme à moi.— Eric...
 Waow, je ne m’attendais pas à une telle déclaration. Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête quand je lui ai avoué ça, je devais le garder en moi depuis trop longtemps. Je ne m’attendais absolument pas à ce qu’il réagisse de cette façon. J’ai eu si peur qu’il se moque de moi depuis le début, qu’il ne me considère juste que comme une gamine,  je suis ravie de voir qu’il prend notre relation comme quelque chose de sérieux. Je suis encore plus excitée. Je ne me fais plus seulement sautée par mon tonton désormais, mais par mon homme, mon mec. J’ai enfin un petit-copain, un dont je ne pourrais jamais parler à personne en dehors de ma sœur, certes, mais j’en ai un. Je suis si heureuse. Nous jouissons une nouvelle fois ensemble, et il me remplit la chatte de son sperme incestueux.
**
  Je viens d’éjaculer dans Megan, mon sexe ramollit. Putain, comment c’est bon de la baiser. Je deviens vraiment déraisonnable, mais elle me fait perdre mes moyens. Voilà maintenant que nous venons d’officialiser notre relation. Elle est à moi, rien qu’à moi, je l’aime. Je la serre fort dans mes bras et l’embrasse amoureusement. Après autant d’années de célibat, trouver une femme comme elle est une bénédiction. J’ai de la chance qu’elle m’ait choisi. Certes, tout ceci est complètement tordu, c’est ma nièce, je suis son tuteur, mais bordel, je n’en ai plus rien à foutre. Moi aussi j’ai le droit d’être heureux, et je me sens si bien avec elle.     C’est fou comment mes sentiments ont évolué en si peu de temps. Je ne la voyais que comme une gamine et quelqu’un de la famille, maintenant, comme une femme, ma femme. Je commence à regretter qu’elle ait une sœur jumelle, cela aurait été tellement plus intense si nous ne vivions que tous les deux à la maison. Nous allons devoir nous cacher et être prudent. Surtout moi, faudrait pas que je mette à embrasser Lucy en pensant que c’est Megan.
  J’essaie d’agir comme le tonton de tous les jours, mais son comportement a évidemment changé envers moi. Lorsque nous sommes que tous les deux, elle n’hésite pas à m’embrasser et à faire des câlins. Je les lui rends avidement. Dès que nous en trouvons l’occasion, nous faisons l’amour. C’est parfois difficile d’être discret vu sa manie d’être bruyante pendant l’orgasme, j’ai peur qu’un jour on finisse par se faire attraper. Je pensais être très demandeur, mais elle, j’ai l’impression qu’elle est limite nymphomane. Si nous ne devions pas faire attention, elle voudrait baiser plusieurs fois par jour. Cela doit être normal à son âge, moi aussi, je ne pensais qu’au sexe étant jeune.
  J’en profite pour l’initier à de nouvelles positions. Elle est très exploratrice et est toujours prête à essayer. Je remercie le ciel qu’elle soit si coquine, et non une complexée qui trouverait le sexe dégoutant malgré ses hormones qui la travaillent.
  Un après-midi, Lucy est partie, nous avons le champ libre. Nous allons pouvoir être nous-mêmes au lieu de faire semblant. J’admets en avoir marre de devoir jouer la comédie et de ne pas pouvoir me montrer à l’aise avec elle. Je dois souvent me retenir de lui montrer mon affection en public.
  Je suis en train de prendre les poussières dans la salle à manger. C’est le weekend, il faut bien entretenir la maison. Megan est en train de faire ses devoirs. Je monterais bien là-haut tellement elle me manque mais je n’ai pas envie de la déranger dans ses études. J’ai hâte qu’elle sorte de là pour qu’on puisse avoir un moment d’intimité. Je n’ai pas à attendre très longtemps qu’elle qui vient me voir pour me demander si je n’aurais pas besoin d’une pause. Évidemment que j’en ai besoin ! Et pas qu’un peu ! À peine ai-je le temps de répondre qu’elle bondit sur ma braguette pour extirper mon sexe de mon pantalon ; et bien dis-donc, elle ne perd pas de temps ! Elle me branle un peu pour le faire raidir puis se met à me sucer. Je soupire de bonheur, je suis vraiment fan de ses pipes. Ça m’émoustille de penser que je me fais pomper par une gamine de dix-huit ans. J’adore regarder mon énorme queue disparaitre dans sa si petite bouche.
— Hmm, tonton, j’adore ta grosse bite. Cela te plait à toi aussi ?— Ooooh, oui mon amour. Continue, tu me fais tellement du bien.
  Elle devient une sacrée experte à ce jeu-là. Elle a appris qu’il y a une différence entre sucer pour faire éjaculer, et juste pour exciter durant les préliminaires. Elle me lèche le bout du gland en me montrant tout le travail de sa langue. Elle tourne autour du méat avant de l’engloutir tout au fond de sa gorge. Le tout en me fixant d’un regard enflammé. Elle me fait fondre.
  Lorsqu’elle m’a bien chauffée, elle se remet debout et s’assied les jambes écartée sur la table.
— À toi, maintenant. Fais moi du bien à moi aussi, déclare-t-elle en relevant sa robe pour me montrer sa chatte.
  Rah, la petite salope, elle ne porte même pas de culotte. Je joue avec en la léchant et en lui enfonçant des doigts. Je caresse son capuchon pour faire gonfler son clitoris. Je le pince entre mes lèvres une fois qu’il est sorti. Elle mouille bien, elle est prête, mais j’ai envie de la taquiner encore un peu. Je la doigte comme si je la baisais et lui chatouille son bouton d’or avec la langue. Je vois rien qu’à son regard qu’elle en devient folle.
— Oooh, tonton... tu sais si bien t’occuper de mon petit minou...
  Je la fais monter au bord de l’orgasme avant de m’arrêter. Elle a le souffle saccadé, elle doit être en train de me traiter de salaud dans sa tête.
  Je me redresse sans dire un mot tout en me branlant lentement. Je la regarde, sans bouger. Elle est tellement impatiente qu’elle me sort :
— Je n’en peux plus, tonton ! Baise-moi ! Pitié ! Ne t’arrête pas la !
  C’est la réaction que j’espérais.
  Je prends mon gros sexe en main et le lui enfonce dans sa petite chatte glabre. Elle est étroite, mais je l’ai bien lubrifiée, ça glisse tout seul. Je l’attire vers moi en l’agrippant par les fesses et l’embrasse à pleine bouche. La dernière fois que nous avons fait l’amour ne remonte qu’à quelques heures et pourtant, cela m’avait manqué. C’est tellement bon d’être dans son vagin. Le vagin de ma petite femme à moi.
  J’ai envie de sa poitrine, je lui enlève sa robe et lui retire son soutien-gorge. Je ne me lasse pas de les voir, et encore moins de les presser et de les peloter. Je lui mordille et suce les tétons. Elle me presse contre ses seins pour m’encourager à continuer.
— Hmm, tonton, soupire-t-elle.
  Je la lime fort, je dois ressembler à un puceau affamé de son corps. En ce moment, c’est aussi mon état d’esprit. Je n’ai jamais vu de si beaux nichons de ma vie, c’est un régal. Elle se laisse retomber dos sur la table et j’en profite pour l’attraper par les jambes dans le but de la pénétrer plus profondément. Nous sommes tous les deux au paradis. La pièce est envahie de nos gémissements gutturaux et du son de mes couilles claquant sur son pubis. Je deviens plus animal, je saisis une de ses cuisses à deux mains et la place sur mon épaule. Je m’y accroche pour la baiser comme un chien qui saillit sa femelle. Elle ferme les yeux sous le plaisir. Je pourrais nous faire jouir tous les deux, mais j’ai envie de prolonger ce moment. Je m’arrête et m’assieds sur une chaise. Elle se relève sans comprendre ce qui se passe. — Viens, ma chérie, monte-moi.
 Elle s’exécute. Elle se place au dessus de moi, attrape mon chibre d’une main, et le glisse dans son vagin. Elle rebondit sur mon sexe avec rythme, je mets mes mains sur ses fesses pour l’accompagner. J’ai une vue splendide sur ses seins qui se balancent devant mon nez. Elle me masse la verge avec son vagin serré. Je voudrais que ce moment dure une éternité. Je voudrais passer ma vie à lui faire l’amour à et à jouir ensemble.
  Elle se penche vers moi pour m’embrasser chaudement. Je me rue sur sa poitrine à la seconde où elle me libère. Je la tète comme un bébé affamé. Elle fait exprès de remuer son torse pour me faire lâcher prise. J’ouvre la bouche comme un poisson hors de l’eau à la recherche de ses tétons roses. Lorsque j’en ai un, cette fois, je ne le lâche plus ; je  presse son sein d’une main pour être certain de le garder. Je passe ensuite au suivant pour ne pas faire de jaloux. Je lui mordille son petit bout et le lèche comme pour le faire fondre. Elle soupire de bonheur. Savoir qu’ils sont si sensible m’incite à en profiter sans vergogne, elle en prend autant de plaisir que moi.
  Aussi excitant que ça puisse être de la voir s’empaler sur ma queue tellement elle est affamée de sexe, je ne peux pas me retenir de lui donner quelques coups de bassin moi aussi. Nous cherchons désespérément tous les deux à nous emboiter pour nous faire du bien. Je la sens un peu moins passionnée que d’habitude. Elle est en manque, elle veut une bite pour jouir. La petite salope, elle peut se servir de la mienne autant qu’elle veut.
  Nous échangeons nos gémissements pour nous exciter l’un l’autre. Quand je m’arrête de jouer avec ses seins, elle me lance un sourire coquin. Elle a l’air si détendue, si heureuse, cela la rend radieuse. Ce n’est plus la petite vierge timide que j’ai connu il y a quelques semaines, c’est une vraie femme qui assume pleinement sa sexualité.
   Je glisse mes mains dans son dos et me redresse pour faire se rejoindre nos lèvres. Nos langues s’entremêlent. Elle me surprend à plaquer brusquement contre ma chaise et à augmenter furieusement la cadence. Elle est entrée en transe. Son corps ondule pour mieux sentir mon sexe dans son vagin brulant. Elle pose ses mains sur mes épaules tandis que je la maintiens par les hanches. Je comprends ce qui se passe, elle n’en peut plus, elle veut se faire jouir. Je la laisse faire, et la regarde pour l’admirer à l’œuvre. C’est un spectacle tellement érotique voir votre petite nièce chercher à atteindre l’orgasme en utilisant votre pieu de chair. J’ai besoin de l’encourager :
— Vas-y, ma chérie. Jouis, jouis pour ton homme. — Aaah, tonton Eric, tu me rends folle... Je vais venir...— Ne te retiens pas, ma puce. Je veux te voir, je veux te voir jouir pour moi.— Aaaah ! Ouiii ! C’est trop bon !
   Elle a les yeux à demi-clos, elle ne doit plus savoir où elle est. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle a besoin de jouir. Ses mouvements deviennent frénétiques. Je n’arrive plus à cligne des yeux de peur de rater le moment fatidique. Soudain, elle se fige, puis crie en poussant un long râle.
— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
  C’est magnifique, elle jouit enfin. Son corps tremble entre mes bras. Je la caresse avec amour.
— Oooh, mon bébé, ce que tu es belle, dis-je.
  Les soubresauts de son vagin m’incite à éjaculer en elle, mais je me retiens encore, je ne veux pas en venir tout de suite. C’est horrible, je suis fou de m’infliger une telle torture. Ce serait tellement plus simple de se laisser aller et de la remplir de sperme. Ses spasmes commencent à se calmer. Juste à temps, quelques secondes de plus, et j’aurais giclé malgré mes efforts. Elle s’écroule sur moi durant ses derniers instants. Je l’enserre contre mon torse. Mon bébé d’amour, je suis follement amoureux.
— Ça va, Megan ? dis-je.— Je... oui, désolée. J’ai joui très fort. — Je vois ça.
  Elle est toute essoufflée.
— Mais toi, tu n’as pas encore joui ? me demande-t-elle.— Non, pas encore.— Pourquoi ? Tu te retiens ?— J’ai encore envie de te prendre. Tu veux bien ?— Oui. Je ferais tout ce que tu voudras.— En levrette alors ? Cela ne te dérange pas ?— À quatre pattes ? Comme ta chienne ? D’accord.
 Elle se relève et se met en position sur le sol, dos à moi. Elle remue du cul pour mieux m’exciter. Je suis toujours sur ma chaise, ébahi par son manque de pudeur. Je bande comme un damné. Elle tourne son visage en ma direction pour me provoquer :
— Allez tonton, viens me sauter comme ta chienne.
  Je viens la rejoindre et me place derrière elle, le chibre en main. Je me branle quelques instants en écartant ses fesses pour mieux admirer son petit minou coulant de mouille. Je ne résiste plus à l’envie de m’y enfoncer et la pénètre lentement. Je m’y insère à fond, jusqu’aux ras de couilles, en soupirant de plaisir. Je ne l’avais quitté qu’une minute mais son vagin me manquait déjà atrocement. Je l’agrippe par les hanches et la lime puissamment. J’ai besoin de la baiser. Comme elle a déjà joui, je suis un peu moins attentif à elle, je me sers de son corps pour mon propre plaisir égoïste. La voir aussi soumise dans cette position m’incite encore plus à jouer les salauds. Je lui lime la chatte comme mon trou à bite. Je suis excité rien que de penser qu’elle est à moi, qu’elle m’appartient, que je peux en faire ce que je veux. C’est une telle beauté, des gens tueraient rien que pour sortir avec, et moi, je l’ai à la maison, et je peux en profiter quand je veux.
  Je perds la tête, je la bourre avec l’intention de me faire jouir, quand je l’entends soudain gémir. Elle m’épate, elle a eu un orgasme il n’y a pas si longtemps, et pourtant... on dirait qu’elle en veut encore. Je ne pensais pas que ça arriverait, surtout vu comment j’étais un animal qui cherchait juste à tirer son coup. Je ralentis un peu pour ne pas éjaculer trop vite. Maintenant que je sais qu’elle aime ça, je n’ai pas envie de la frustrer en étant trop précoce. Pourtant, cela m’en coute de faire ça, je n’en peux vraiment plus. J’ai l’impression d’avoir les bourses qui vont éclater, j’en ai mal à la queue.
  Je continue de la prendre sans aucune douceur. Vu qu’elle semblait apprécier ça, je vais me gêner. Je ne suis pas en état de faire autrement de toute façon. J’ai honte, mais c’est juste trop bon.
— Fesse-moi tonton, s’exclame-t-elle soudainement. Donne-moi la fessée !
  Je ne réfléchis pas, je m’exécute. Elle frémit tandis que retentit le bruit du claquement. C’est dingue, on dirait vraiment qu’elle veut que je la traite comme une pute, je ne la reconnais plus.
— Encore ! Encore ! geint-elle.— Tu es vraiment devenue une salope, Megan ! dis-je tant que je n’arrive pas à y croire.— Oh oui ! Encore !
  Je lui redonne la fessée plusieurs fois. Elle a un si beau cul. J’ai trop envie de la prendre par son petit trou un jour. Je grogne tellement c’est difficile de se retenir, mais je tiens vraiment à la faire jouir une seconde fois. Je ne suis vraiment pas sûr d’y arriver, je ne vais plus pouvoir résister très longtemps, et je ne sais pas où elle en est.
  Elle glisse une main sur son clitoris et comment à se caresser. Putain, comme si elle en avait pas assez avec ma bite. Très vite, je la sens partir, elle devient folle. Je suis rassurant en me disant que j’ai peut-être le moyen de la finir assez vite. Je redouble de vigueur pour mieux la fourrer. Mes pénétrations sont profondes, nettes, et rapides.
— Oh putain, je ne le crois pas, tonton ! Je vais rejouir ! — Vas-y, Megan, jouis ma petite coquine ! — Je n’y crois pas, elle est si grosse, tonton, je suis accro à ta queue, donne-la moi ! — Si tu savais combien elle te veut, elle ne peut plus se passer de ton vagin. — Prends-le, il est a toi !
 Je lui donne encore quelques coups puissants, puis je lui donne une nouvelle fessée. Je suis stupéfait lorsque je remarque que cela déclenche presque instantanément son second orgasme, c’est incroyable. 
— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
  Elle est emportée dans son propre monde de plaisir, je n’existe plus. Sa chatte essaie de traire ma bite, j’ai le reflexe d’en sortir pour éviter que cela n’arrive. La voir comme ça me rend encore plus pervers et j’ai envie de me finir autrement. Je la regarde s’écrouler sur le ventre en train de trembler. Ses doigts jouent toujours avec son bouton d’amour. Je la laisse profiter du moment, mais je suis assez impatient qu’elle récupère.
— Oh putain, on ne m’a jamais baisée comme ça ! dit-elle.
  Je me dis intérieurement que si elle aime autant ça, je vais me gêner pour recommencer.
  Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle dirige ses yeux vers moi, toujours affalée sur le sol, elle ne comprend pas pourquoi je n’ai toujours pas jouis et m’en pose la question.
— J’ai envie d’une pipe, ma chérie. Tu veux bien me finir avec ta bouche. — Hmm, avec plaisir, tonton chéri.
 Elle se relève pour se mettre à genoux devant moi. Je lui présente ma verge dressée comme si c’était une friandise. Elle l’attrape sans tarder d’une main et se met à me sucer. Elle me pompe et me branle comme une chienne pour chercher à me faire jouir. Je ne vais pas tarder. Après tout ces efforts et cette torture, je sens enfin que je vais venir. J’ai atteint le point de non retour. Mes couilles ont ouvert leurs valves et vont faire sortir leur jus, plus rien ne pourra l’arrêter. C’est si intense que j’ai l’impression que ça dure une éternité.
— Aaaah ! Megan ! Je jouiiiis ! crie-je.
  Je m’apprête à éjaculer pour lui donner mon sperme à boire comme elle l’adore. J’ai l’esprit embrumé. Je ne percute pas quand elle sort ma bite de sa bouche pour me branler à deux mains devant son visage. Je sens ma semence grimper le long de ma tige et s’arrêter au niveau du gland comme s’il y avait un bouchon. Mon cœur s’arrête une seconde, puis je hurle lorsque j’éclate enfin en un premier jet épais. Ma queue expulse une puissante giclée qui lui arrive droit sur le visage et dans les cheveux. Je tremble, mes jambes me soutiennent à peine. Cette vision m’excite tellement que d’autres arrivent pour la souiller davantage. Je veux couvrir son visage d’ange de foutre pour en faire une salope. Je n’ai jamais éjaculé aussi fort et aussi abondamment. Elle me branle à deux mains pour en faire sortir plus. Elle me sourit pour m’encourager à lui en donner. Ma source commence à se tarir et mes jets deviennent moins copieux. Mon orgasme est pourtant toujours aussi puissant. Il finit par ne plus rien en sortir, alors que ma queue pulse toujours. Je me suis vider entièrement, il n’en reste plus rien. Megan tire sur ma queue pour en tirer les dernières gouttes qui seraient restées dans mon conduit. Je redescends lentement sur terre. Waow, c’était intense. Je la regarde en dessous de moi le visage dégoulinant de sperme. Des trainées coulent sur ses seins, la vision me referait presque bander directe. Je devrais peut-être avoir honte, mais je trouve ma nièce si belle comme ça. Je ne sais pas ce qui lui a pris, elle ne m’avait jamais fais un truc pareil. Soudain, c’est le déclic. Je suis pris d’une angoisse profonde.
— Merde, merde ! crie-je en m’éloignant d’elle.
 Elle s’inquiète, elle ne comprend pas ma réaction.
— Qu’est ce qu’il y a mon tonton chéri, cela ne va pas ?
 Comment ai-je pu être aussi stupide et aveugle, cela crevait pourtant les yeux : le fait qu’elle m’appelle encore tonton, le manque de passion, ce côté salope que je n’avais encore jamais vu, et ce final inédit.
— Merde, merde ! fais-je encore une fois. Tu es Lucy !  
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