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Les nièces jumelles : saison 2

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Chapitre 2 : Toujours plus loin
   Dans les jours qui ont suivi, j’ai évidemment pu retenter le sexe anal avec mes deux nièces. Je n’avais pu tester la sodomie qu’avec une seule femme auparavant, et ma relation avec elle n’avait pas duré longtemps. C’est un véritable bonheur de redécouvrir ça avec elles. Je remarque qu’elles sont en train de devenir rapidement accro. Elles me demandent de les prendre par derrière quasiment à chaque fois maintenant. C’est incroyable de voir des filles aussi jeunes avoir faim de choses aussi sales ; elles m’excitent follement, au point que je suis jaloux à l’idée qu’elles puissent faire ça avec quelqu’un d’autre. Bon, pour Megan, je ne m’en fais pas mais Lucy, c’est une autre paire de manche. C’est pour cette raison que je lui demande un jour :
— Lucy, ma chérie, je voudrais que quoiqu’il arrive, tu ne laisses personne d’autre que moi t’enculer.
  Je sais que n’ai pas le droit de demander ça et que c’est extrêmement égoïste, mais je ne sais pas pourquoi, j’en aurais le cœur déchiré. J’ai vraiment été très surpris lorsqu’elle m’a répondu :
— Promis tonton Eric, tout ce que tu voudras. Je te jure que personne d’autre ne touchera jamais mon cul.
    Je ne pensais pas qu’elle pourrait accepter une telle chose. Ravi et excité, je lui ai défoncée l’anus jusqu’à le remplir de sperme.  
  Je suis vraiment en train de devenir un gros obsédé. Je ne pense plus qu’à ça, à baiser leur chatte, leur cul, et les souiller de foutre. Rien n’apaise ma libido, plus nous le faisons plus j’ai envie. Il n’y a rien qui m’excite le plus que de leur éjaculer au visage et de voir mon sperme couleur le long leur corps. Surtout lorsqu’elles sont toutes les deux ensemble pour me sucer. Je me suis habitué à cette vie de débauche ; peut-être un peu trop. Je vais avoir beaucoup de mal à les voir grandir et quitter la maison pour poursuivre leurs études, il faut que je profite de chaque instant.
  Nous avons fais encore un pas de plus dans la perversité quand elles ont voulu qu’on fasse nos propres sex-tape. Je n’ai pas pu refuser, j’en rêvais moi-même depuis longtemps. Bien sûr, nous ne comptons pas les partager, ce n’est que pour nous ; cela nous fais quand même de drôle de vidéos souvenirs de famille. Ce qui me surprend le plus, c’est la façon dont elles veulent qu’on s’en serve. Quand j’en baise une dans le salon, il n’est pas rare qu’elle veuille regarder en même temps une vidéo de l’autre en train de se faire sauter par mes soins. Elles doivent être un peu dérangées dans leur tête, mais dans ce cas moi aussi, car j’avoue que je trouve ça excitant.
  Un jour, Megan vient me voir alors que je travaille dans mon bureau. Elle cherche à faire sa vilaine en me distrayant,  je dois dire que cela marche plutôt bien ; je n’en suis pas fâché, au contraire. Nous échangeons des câlins et des baisers. Je comprends rapidement qu’elle n’est pas venue juste pour m’ennuyer mais surtout pour tirer un coup. Comment pourrais-je dire non à une créature aussi bandante ? Elle se met à genoux pour me sucer. Elle fait ça sans les mains, juste avec sa langue et sa bouche. Elle est douée, elle sait comment exciter son homme. Je la redresse pour la dénuder. Je lui enlève son soutien-gorge pour jouer avec ses énormes nibards. Je lui mordille les tétons comme un affamé. Quand je la penche ensuite sur mon bureau pour lui enlever le bas, j’ai une énorme surprise : elle porte son plug anal.
— Megan ?! — Je jouais avec quand je pensais à toi. Tu veux bien me prendre alors qu’il est encore en moi ?
  Quelle petite salope !
  Je lui lèche le minou et lui enfonce quelques doigts. Plus pour mon propre plaisir que pour la préparer. Elle n’en a pas besoin : ses lèvres sont déjà toutes gonflées et elle mouille abondamment. Je me remets debout et la pénètre sans tarder, elle gémit de plaisir. Elle a enfin ce qu’elle était venue chercher : des bons coups de bite.
   Je la lime puissamment, elle m’a trop allumé pour que je reste tendre. De toute façon, elle n’a pas l’air d’être là pour ça, elle veut juste que je la baise comme une chienne. Elle écarte un peu plus les jambes et écrase son torse contre le meuble pour mieux se laisser faire. Elle m’encourage à la sauter bestialement en m’inondant de mots vulgaires. C’est à croire que je ne suis que ça dans cette maison : une bite ambulante attachée à un animal de compagnie. Cela me rend fou de voir le plug fiché dans son cul comme ça. La petite salope, comme si ma bite n’était pas assez ; je ne la croyais pas aussi tordue. De la petite vierge timide, elle est devenue une trainée qui a besoin qu’on la remplisse par tous les trous. Heureusement que j’en ai une grosse, je doute qu’une petite soit capable de la satisfaire. Je suis heureux que ce soit moi qui puisse en profiter, je n’imagine pas combien je serais jaloux de savoir qu’un autre garçon puisse la baiser comme ça alors que moi je n’aurais pas droit d’y toucher. Elle est à moi, rien qu’à moi, je refuse de la partager avec qui que ce soit. 
  Elle ne cesse de gueuler de plaisir, faut croire que ça lui plait vraiment d’être stimulée par les deux orifices ne même temps. J’ai dû mal à la réaliser combien elle est souple, c’est qu’il y a l’air d’avoir de la place là-dedans. Du moins, j’imagine qu’il faut l’être vu ma taille.  Ce plug me nargue, je finis par le retirer pour le remplacer par ma bite. J’ai trop envie de l’enculer. Elle crie lorsque je m’enfonce dans son anus pour la première fois, puis elle me supplie de la prendre plus fort. Je la tire par les cheveux et la ramone comme un animal qui possède sa femelle.
  Cette baise est intense et bruyante, je grogne autant qu’elle hurle. Mes couilles claquent contre sa chatte, le bureau remue sous mes coups. Si nous étions dans un appart et non dans une maison, nos voisins nous entendraient en train de copuler. Cela doit être le cas de Lucy, qui est peut-être en train de se masturber en nous imaginant, à moins qu’elle nous épie derrière la porte.
  J’en ai rien à foutre d’elle en ce moment de toute façon, je suis avec ma femme, et je l’encule profondément comme elle le mérite. Après son deuxième orgasme, elle me demande d’arrêter. J’obéis même si je suis frustré tant j’ai besoin d’éjaculer. Elle s’agenouille devant moi, et prend ma bite entre ses seins. Elle me branle avec, c’est la première fois qu’elle me fait ça. Ils sont si doux, c’est diablement excitant.
— Vas-y tonton Eric, joui, gicle sur mes nichons, m’encourage-t-elle.
  Je me demande pourquoi on a jamais fais ça avant, ils sont si gros, ils sont parfait. Je me laisse aller jusqu’à ce que je sente mon sperme grimper le long de ma tige. Je beugle comme une bête tandis que je me mets à éjaculer. Elle me fixe d’yeux amoureux pour ne rien rater de mon expression de bonheur. Je jouis si fort que mes jets lui atteignent le menton, et ceux-ci sont si copieux que je lui en mets partout. Elle m’extirpe mes dernières gouttes en me branlant d’une main. J’ai l’impression d’avoir couru un marathon lorsque je m’apaise enfin. Je la regarde un instant, couverte de foutre, plus amoureux que jamais.
***   À l’école, j’ai toujours été une élève moyenne. Ni extra, ni mauvaise. Faut dire que je trouve les cours particulièrement ennuyeux. La seule chose qui m’amuse à l’école, c’est de passer du temps avec mes amies et de voir d’autres gens de mon âge. Megan et moi avons toujours été très populaire, et encore plus depuis quelques années auprès des garçons. Elle, ça l’ennuie. Non seulement elle a toujours été un peu timide, mais en plus, elle est convaincue que ce sont tous des pervers qui veulent juste nous sauter. Moi, ça ne me dérange pas. Je trouve ça excitant d’avoir autant d’attention, c’est encore meilleur de les allumer un peu.
  À la seconde où j’ai rompu avec mon ex, la rumeur que j’étais libre s’est répandue comme une trainée poudre, et comme ce con s’est vanté de m’avoir dépucelée, les prétendants sont plus nombreux que jamais. Megan a raison, les mecs ne pensent qu’à ça, mais moi aussi. Si tonton Eric n’était pas là, j’aurais sans doute déjà sauté sur l’un d’entre eux, voire plusieurs, juste pour baiser un coup. Le sexe, c’est tellement bon. J’ai des frissons quand je pense que la moitié d’entre eux sont encore vierge alors que moi, je suis une femme totalement libérée qui va même jusqu’à pratiquer le sexe anal. Les pauvres, s’ils savaient, ils seraient encore plus frustrés. Megan n’approuve pas, mais j’aime beaucoup jouer avec eux. J’ai envie de les pousser à bout, qu’ils se branlent en fantasmant sur moi tant ils me veulent et qu’ils sachent qu’ils ne pourront jamais m’avoir. En plus de passer pour une salope, ma jumelle me reproche que cela a aussi des répercussions sur elle vu que ces crétins ne sont pas capables de nous reconnaitre ou pensent que nous sommes pareils. Je la comprends, j’en suis désolée, mais bon, j’ai besoin de vivre un peu.
  Je me suis mise à la recherche d’un nouveau copain. Le sexe avec tonton Eric, c’est extra, mais cela ne fait pas tout. Je ne veux pas quelque chose de sérieux, du moins pas encore, juste de quoi m’amuser un peu. J’ai envie de séduire, sortir, connaitre les petits moments de câlins et de tendresse, avec les fourmillements dans le ventre, et évidemment de m’envoyer en l’air. Ce n’est pas parce que j’ai le meilleur amant du monde à la maison que je suis prêt à sortir avec un gars qui n’assure pas, faut pas déconner.
  Pour le moment, j’ai deux candidats potentiels, deux garçons très mignons qui me plaisent beaucoup et qui me tournent autour, Gary et Marc. Je n’arrive pas à choisir, c’est horrible. Nous passons beaucoup de temps tous les trois, au détriment de ma sœur qui me fait parfois la gueule de ne plus lui accorder assez de temps. Ils essaient de me séduire, même en la présence de l’autre, c’est comme une compétition entre eux. Ils cherchent à gagner mon attention par tous les moyens. Je trouve ça craquant. Je repousse parfois leurs avances en leur disant que nous sommes amis et rien de plus, mais ils reviennent toujours à la charge pour mon plus grand bonheur.
  Je les ai invités chez moi après les cours pour étudier. Nous sommes sur mon lit, il y a des feuilles partout, mais bizarrement, nous ne travaillons pas beaucoup. Au lieu de cela, nous discutons de tout et de rien. La conversation dévie un peu vers un sujet un peu plus chaud. Ce n’est pas la première fois que nous parlons de sexe, ça les excite et moi-aussi. C’est de cette façon que je sais qu’ils ne sont plus puceaux.
  Nous parlons fantasmes. Je leur mens en leur disant des choses que j’ai déjà faite avec tonton Eric, comme avaler du sperme, me faire prendre sauvagement sous la douche, ou l’anal. Marc nous surprend en nous avouant que ça lui plairait de prendre une fille en double. Gary est plus classique en racontant qu’il voudrait faire ça avec deux filles. Je les laisse bouche bée en répondant que je serais prête à faire ça avec une seule. Les pauvres, ils doivent être en train de bander en imaginant la scène, ils seraient encore plus dur s’ils savaient que je l’avais déjà fais avec ma sœur. Ils se vantent de leur prouesse, mais ils sont encore bien innocent comparé à moi.
  Pour faire descendre un peu la tension, nous changeons de sujet, et abordons la difficulté de vivre le célibat ; mais même ainsi, la tournure redevient rapidement coquine quand les garçons se mettent à parler de masturbation. Ils veulent des confidences de ma part. Peu de filles semblent assumer qu’elles le fassent, alors pour les chauffer un peu, je leur dis que cela m’arrive souvent. Je leur donne des détails, genre que parfois, la nuit, dans mon lit, quand l’envie m’en prend, je glisse une main sous ma culotte et joue avec ma chatte. Je leur raconte que j’y enfonce des doigts et me pelote aussi les seins jusqu’à m’en faire jouir, et que je dois me retenir de gémir car je dors dans la même chambre que Megan.
  À la fin de mon récit, ils sont chauds. Ils rougissent en souriant. Je joue la petite fille timide qui a trop honte, ça les fait craquer. Pour les pousser un peu plus loin, je leur demande :
— Vous fantasmez sur qui, vous, quand vous vous branlez ? Ça vous est déjà arrivé sur des filles de la classe ?— Oh oui, répond franchement Marc.— Quelque fois, enchérit Gary de façon plus timide.
Quelque fois seulement ? Je sens qu’il ment, le petit coquin.
— Sur qui ? Je peux avoir des noms ?— Lucy ! Non, cela ne se fait pas ça, tout de même, fais semblant d’être choqué Marc. — Allez, c’est moi, vous pouvez tout me dire. Ça vous est déjà arrivé de vous branler en pensant à moi ?— Ça m’est arrivé plusieurs fois, avoue difficilement Marc.
  Gary ne dit rien mais sa façon de rougir répond à sa place.
— Vous êtes mignon, dis-je en gloussant. — Et toi ? Tu t’es déjà masturbée en pensant à l’un d’entre nous, contre-attaque Marc. — Peut-être, fais-je d’un ton joueur. — Allez, dit-le nous. Nous, on a été honnête. — Non, c’est gênant, arrêtez. — Lucy, ce n’est pas fair-play ça, on ne peut pas se contenter d’un peut-être. Dis-nous au moins lequel.
  Je fais semblant de céder et déclare :
— Et bien... à vrai dire... À vous deux...
  C’est un mensonge, évidemment, mais c’est juste pour le faire de l’effet.
— Quoi ? s’étouffe presque Gary. — Oui, bah, vous êtes mignons tous les deux, alors, ça m’est déjà arrivée aussi bien avec l’un qu’avec l’autre.
  Les pauvres doivent se sentir particulièrement en manque en ce moment. Se trouver là, seul dans la maison, avec la fille sur qui ils fantasment et qui vient de leur avouer qu’elle s’est déjà masturbée en pensant à eux. Si je n’avais pas invité les deux, celui qui serait avec moi m’aurait déjà sauté dessus à l’heure qui l’est. Je commence à mouiller moi aussi.
— De toute façon, cela n’arrivera pas, nous ne sommes qu’amis, n’est-ce pas ? fais-je pour les frustrer un peu. — L’un empêche pas l’autre, tente sa chance Marc. Tu n’as jamais entendue parler du concept de "sex-friend" ?
  Bien sûr que si, mais je fais l’innocente, alors il m’explique en détail.
— C’est vrai que c’est excitant, fais-je faussement gênée. — Moi, je suis tout de ce qu’il a de plus open, intervient Gary.
  Il doit sentir que s’il continue à être aussi silencieux, il va perdre la partie.
— Oui, mais toi, tu en as une petite, rétorque Marc. Si c’est pour avoir un sex-friend, autant qu’il soit bien monter. — Qu’est ce que tu en sais ? Tu ne l’as jamais vue. Je t’assure que j’ai tout ce qu’il faut.
   Je rêve, où ils sont ouvertement en train de se battre pour moi en comparant la taille de leur pénis ? Ce sont bien les mecs ça... C’est pitoyable, mais j’y vois néanmoins une opportunité.
— Les garçons, ne vous chamaillez pas. Si vous voulez vraiment jouer à qui a la plus grosse, il n’y a qu’une seule façon de déclarer un vainqueur. — Oui, enfin, ça va, c’était juste pour rigoler, on ne va pas se mettre à la sortir non plus, se rétracte Marc.— Pourquoi pas, je pourrais être juge. — Tu n’es pas sérieuse, Lucy ?
  Gary a beau dire jouer l’offusqué, je sais qu’il en a très envie.
— Disons que... à force de m’en parler tout le temps, je commence à avoir envie de les voir moi... On ne ferait rien de mal. Juste regarder, pas toucher.
  Les garçons se regardent entre eux, incrédules. C’est puéril, ils le savent, mais dans leur état, ils ont du mal à raisonner clairement. Ils ne savent pas où ça va les mener, mais ils ont envie. Alors quand Gary commence à ouvrir sa braguette, Marc le suit sans hésitation. J’adore, je peux vraiment les mener par le bout du nez, ou plutôt, par la queue.
  Ils sortent leur sexe de leur pantalon. Sans surprise, ils sont en érection. Je joue l’effarouchée :
— Mais vous bandez ! Cochons ! — J’avoue que la conversation a eu un peu d’effet depuis tout à l’heure, se défend Gary, mais pour juger de la taille, c’est quand-même mieux comme ça.
  Je regarde leur bite avec beaucoup d’intérêt. Elles sont belles. Pas aussi grosses que celle de tonton Eric, bien sûr, mais quand-même d’une bonne taille. Je mouille, elles me font envie, mais je dois continuer de sauver les apparences, du moins, encore un moment. Je remarque que si Gary la laisse pointer à l’air libre, Marc ne peut s’empêcher de la caresser un peu, sans véritablement se branler.
— Hmm, elles sont belles toutes les deux, fais-je. — Alors, elles te plaisent ? enchérit Marc. Laquelle est la plus grosse selon toi.— Hmm, je ne sais pas. C’est difficile de juger. Je peux toucher ?
  J’avais dit que je ne le ferais pas tout à l’heure, mais aucun d’entre eux ne semblent en faire la remarque.
  Ils sont assis à chacun de mes côtés. Je pose mes mains sur leurs sexes tendus et commence à les branler lentement en leur lançant un sourire coquin. Les pauvres, je suis sûre que si je leur demandais de les ranger maintenant, ils seraient obligés d’aller courir aux toilettes pour aller se soulager ; mais je ne suis pas si cruelle. Ils savent aussi bien que moi qu’aucun d’entre eux ne sortira de cette chambre sans avoir éjaculer un coup. Ils ne doivent rêver que d’une chose : que cela dégénère.
— Elles sont vraiment belles, fais-je. — Laquelle tu préfères ? me pousse une nouvelle fois Marc.— Je ne sais pas, c’est dur de choisir... — C’est dur tout court, là, intervient Gary.
  Je lui souris.
— Hmm, elles me font toutes les deux très envie. Et elles, elles ont envie de moi ? — Oh oui, putain ! — Vous voulez que je continue à vous branler ?— Oh oui ! Vas-y !
  Je les serre plus fermement pour mieux sentir la taille et les astiquent un peu plus vite. Ça me fait mouiller comme une folle de savoir que ces deux bites bandent rien que pour moi.
— Vous êtes de sacrés cochons, tous les deux. Ça vous plait ? Vous aimez ?— C’est trop bon, dis Marc. On a trop besoin de se soulager là. — Mes pauvres chéris. Je vous fais tant d’effet que ça ?— Putain oui. — Alors je vais vous aider, pour me faire pardonner. Vous voulez que je vous suce ?— Oh, putain ! Oui alors ! — Venez.
  Ils sont mignons. Ils se lèvent et enlèvent leur pantalon tandis que je mets à genoux devant eux. Je les branle tous les deux en les regardant dans les yeux ; ça doit les rendre fou. Ils ont envie de moi depuis si longtemps, alors me voir enfin dans cette position prêt à leur sucer la bite, je ne peux qu’imaginer leur impatience. Je prends mon temps, juste pour les taquiner encore un peu. Je me demande lequel je vais gouter en premier, puis je me jette sur celle de Gary. Il gémit lorsque je lui donne un premier coup de langue sur le gland, puis je l’avale en entier. Marc doit être terriblement jaloux de son ami en ce moment. Je le néglige délibérément pour qu’il le maudisse dans sa tête. Je lui montre combien je suis une experte de la fellation pour bien lui montrer ce qu’il attend. Je le sens durcir encore plus fort à chaque seconde.
— Oooh ! Lucy ! soupire Gary.— Ça te plait hein, ça ? Tu en rêvais depuis longtemps, n’est ce pas ?— Tu peux pas savoir...
  Je le reprends dans ma bouche. Je jette un regard rapide à Marc avant de l’ignorer à nouveau. Mes joues se creusent quand j’aspire.
— Putain Lucy, pitié, suce-moi aussi s’il te plait.
  Pauvre Marc. Je décide d’accéder à sa requête et le prends au fond de ma gorge. Il gémit de bonheur.
— Aaaah ! Ouiiii ! Lucy ! fait-il.
 Je me demande combien de fois ils se sont branlés en m’imaginant dans cette position. Je dois être en train de réaliser un de leur plus grand fantasme. Cela me fait couler la chatte. Je suis moi-même en train de vivre l’un des miens à avoir deux garçons pour moi toute seule. Je dois être folle, mais je suis prête à aller jusqu’au bout.
— Putain, mec tu peux croire qu’on est vraiment en train de se faire sucer tous les deux par Lucy Trojan ? lance Marc.— Putain, la salope !— Hey ! Soyez gentil ou j’arrête tout ! m’insurge-je. — Désolé.
  Je passe de l’un à l’autre en les pompant comme une chienne. Je ne me suis jamais sentie aussi pute. Marc grogne quand je lui fais une gorge-profonde. Les yeux de Gary me supplient d’en avoir une aussi après avoir vu ça. Je lui donne ce qu’il veut pour ne pas le rendre jaloux. Je m’applique autant que je peux pour bien les exciter, mais je fais attention à ne pas les faire éjaculer. Eux, ils veulent sans doute vite se décharger un coup, mais ils ne sont pas les seuls à avoir des besoins :
— Les garçons, vous voulez bien prendre soin de moi aussi ? J’ai la chatte en feu... L’un d’entre vous veut bien me la lécher un peu ?
  Je m’attendais à ce que Marc, le plus entreprenant, soit le premier à se dévouer, mais à ma surprise, c’est Gary qui se propose. Il faut croire qu’après l’avoir fait attendre aussi longtemps, Marc n’a pas envie de que je m’arrête de le sucer.   Je m’allonge sur le dos sur mon lit tandis que Gary m’aide à m’enlever le bas. Ses yeux s’écarquillent lorsqu’il retire ma culotte pour découvrir ma fente épilée. Il me la caresse avec ses doigts, j’écarte les cuisses pour qu’il ait un meilleur accès. Marc grimpe à mes côtés pour me présenter sa verge, je me tourne légèrement sur le côté pour avoir une bonne prise. Je sens une langue sur les lèvres de ma chatte. Il a l’air d’avoir du mal à trouver le clito, si jamais il le cherche. J’ai l’impression d’être une grosse salope. J’ai deux garçon rien que pour moi, et je peux en faire ce que j’en veux. Ils feront tout ce que je leur dit, comme des petits chiens, tant que je leur promets de les faire jouir. Je compte tirer profit de la situation pour qu’ils me fassent du bien.
  Gary me broute le minou. Il est affamé mais pas très doué. Il me donne déjà plus de plaisir lorsqu’il enfonce ses doigts dans mon vagin, mais je préférerais qu’il stimule mon petit bouton. Marc me pelote un sein alors que j’ai son chibre dans la bouche.
— Tu veux voir mes gros nichons ? — Oh oui alors !
  Gary s’interrompt aussi le temps que j’enlève le haut. Ils sont ébahis rien qu’à me voir en soutien-gorge. Leurs ex n’ont pas dû avoir une poitrine comme la mienne. J’adore la fascination des garçons pour mes seins. Je dégrafe ce dernier rempart et le balance au visage de Gary. Il l’attrape et le hume comme un pervers. Mes deux toutous m’observent silencieusement en bavant sur mon corps nu. Marc s’empresse de toucher mes nibards, mais quand Gary veut faire de même, je le lui interdis et lui ordonne de continuer de s’occuper de ma chatte. Il m’obéit docilement.
  Je me remets à pomper Marc, il grogne de plaisir. Puisque Gary n’est définitivement pas très doué pour le cunni, je décide de passer à l’étape supérieure. J’estime qu’il mérite tout de même une récompense pour s’être proposé, et lui demande alors :
— Tu as envie de me baiser ? Vas-y, prends-moi la chatte.  — Je peux ? Tu es sûre ? — Oui, vas-y, j’ai très envie.
 Son visage s’illumine comme un gamin devant ses cadeaux de noëls. Son pote doit être écœuré de ne pas être à sa place. Il pointe son gland à mon entrée, et me pénètre lentement. Il se fiche bien au fond de moi une première fois avant de démarrer son va-et-vient. Je gémis. Là ça devient vraiment bon ! Une bite dans la chatte et une autre dans la bouche, voilà ce dont je rêvais ! Choisir entre les deux ? Après tout, pourquoi faire ?
— Putain ! Je n’arrive pas à y croire ! s’exclame-t-il tout heureux. Je n’arrive pas à croire que je suis en train de baiser la plus belle fille de l’école !
  J’apprécie le compliment. Ça me fait mouiller de penser combien je dois l’exciter, de savoir qu’il a rêvé de ce moment pendant si longtemps. Il doit être fier d’être un des rares élus à avoir la chance de me baiser la chatte. Je n’ai aucun doute qu’il va raconter ça à tous ses potes. Tant mieux, qu’ils bandent tous en pensant à moi et qu’ils soient jaloux de lui. 
  Gary n’est clairement pas Eric, mais c’est bon quand-même. Il reste néanmoins une autre queue dont j’ai envie ici et que je n’ai pas encore essayée. Je lui demande alors d’arrêter :
— Stop. C’est au tour de Marc, maintenant. Tu as envie de me baiser aussi, n’est ce pas ?— Oh oui ! — Alors viens.
 Marc vient rapidement remplacer son pote pour me fourrer. Il m’attrape par les cuisses et me prends plus violemment ; il doit être bien excité. Gary saisit l’occasion pour jouer avec mes seins, il doit en avoir envie depuis tout à l’heure. Il se penche sur moi et me prend mes tétons en bouche. Je soupire de bonheur, il est plus doué pour ça que pour le léchage de minou.
— Waow, Lucy, tu as de si gros nichons, c’est dingue ! Sans doute les plus gros de la classe. — Tu peux mettre ta bite entre et les baiser si tu veux. — Oh ! Putain ! Ouais !
  Il grimpe sur moi et place sa queue entre mes seins. Je me charge de les prendre en mains pour les presser contre son chibre. Il démarre un va-et-vient comme s’il était dans ma chatte. De là où je suis, j’ai une vue sublime de son gland qui entre et qui ressort de mon fourreaux mammaire, j’ai envie de le lécher.
— Putain, ils sont super tes nibards ! s’exclame-t-il ! — Et ton vagin est divin ! enchérit son pote.— Vous êtes pas mal non plus les garçons. Allez, baisez-moi !
 Je prends vraiment un pied d’enfer, j’ai deux hommes rien que pour moi qui ne désire que profiter de mon corps. Celui qui s’éclate dans ma chatte me fait un bien monstrueux. Ça m’excite d’être aussi salope et de les voir perdre la tête pour moi. Je veux les rendre fou avant de faire éjaculer leur bite bien dure, je veux qu’ils jouissent fort à s’en vider les couilles et qu’ils ressortent ici repus comme jamais, je veux qu’ils se branlent durant des semaines en repensant à ce qu’ils m’ont fait ; car après, ils n’auront plus que leurs yeux pour pleurer, ils ne me toucheront plus jamais. Ils devront se contenter des souvenirs de cette meilleure baise de leur vie, quand moi je vais les enchainer encore et encore. Trouver un copain ? Après tout, pourquoi faire ?
***
   Il était prévu que je doive rester tard au boulot aujourd’hui, mais finalement, ma réunion avec mon client a été annulée. Ce n’est pas plus mal, je suis vanné. Je ne suis pas mécontent de rentrer chez moi. Je mets ma veste dans la penderie et referme la porte derrière moi. Normalement, Megan est sortie avec des amies, mais Lucy doit être là. Je décide de monter dans sa chambre pour lui dire que je suis bien rentré. J’imagine qu’elle doit être en train de bosser.
  En arrivant près de la pièce, j’entends des bruits bizarres. Mon cœur s’arrête ; je reconnais parfaitement ces sons : des grincements de lit, des soupirs et des gémissements : elle est en train de se faire baiser. Par qui ? Je sais que je ne devrais pas, mais je suis écœuré. Imaginer ma Lucy en train de se faire ramoner par une autre queue de la mienne jusqu’à ce qu’elle en jouisse... Ça me rend malade. Elle ne fait pourtant rien de mal, elle ne trompe personne, je ne suis pas son mec, nous avons tous été très d’accord là-dessus ; Je pense néanmoins qu’une partie naïve de moi espérait qu’elle n’appartiendrait toujours rien qu’à moi. 
  Je devrais faire demi-tour et la laisser, mais la curiosité est trop forte, je veux savoir qui est ce garçon avec qui elle couche, afin de mettre un visage sur la personne que je dois haïr plus que tout. Je m’approche de la porte et l’entrouvre légèrement. Je reste bouche bée par ce que je vois. C’est complètement irréaliste ! Il n’y a pas qu’un mec ! Mais deux ! Lucy se fait sauter par deux gars en même temps ! Mais quelle salope, ce n’est pas vrai ! Elle chevauche de dos celui qui est allongé, tandis qu’un autre, debout sur le lit, se fait sucer  la bite. Bordel, je les reconnais en plus, c’est Gary et Marc, deux mecs de sa classe, les sales petits cons !
  Ma Lucy rebondit sur une queue tandis qu’elle branle d’une main celle qu’elle a dans la bouche. Ses gros seins ballottent dans tous les sens. Vu la façon dont elle s’applique et les couinements qu’elle laisse s’échapper, ils n’ont pas besoin de la forcer. À ma grande surprise, je commence à avoir une érection. C’est vrai que ce genre de scène m’a toujours beaucoup excité dans les films pornos, mais là, il s’agit tout de même de Lucy ! J’ai honte, bien que je commence à me demander si ce qui me dérange, ce soit le fait qu’ils soient deux, ou le fait que je n’en fasse pas partie. Plus le temps passe, plus je penche vers la seconde solution. Je suis à la fois déchiré et excité. Je réalise soudainement que j’ai sortie mon sexe de mon pantalon et que je me suis instinctivement mis à me branler. Quel genre de dégénéré suis-je devenu ? Il me faut en voir plus...
  Gary, celui debout, joue avec ses nichons. Lucy pose la main qui le branlait sur l’épaule de l’autre con pour ne pas perdre l’équilibre. Ce dernier se met à la limer brutalement. Son plaisir croît tellement qu’elle en arrive plus à pomper l’autre et qu’elle se met à crier :
— Ooooh ! Ouiiiiiiiii ! Putain ! — Quel salope ! s’exclame Marc. Tu aimes la bite, hein ? Cochonne ! — Oh, putain, oui ! J’adore ! Donnez-moi vos bites ! Baisez-moi plus fort !
  Gary lui renfonce sa queue dans sa bouche pour la faire taire, tandis que Marc accélère son rythme. Des bruits de claquements témoignent de la violence de ses assauts. Elle a la chatte tellement en feu qu’elle vient à sa rencontre. Mon dieu, ce que j’aimerais pouvoir les rejoindre et la sauter là... ou mieux encore, l’enculer ! Mais qu’est ce qui m’arrive ?
  Je ne sais pas depuis combien de temps ça dure, mais ces deux jeunes ont l’air assez endurant. Du moins, ce ne sont pas des petits puceaux précoces, ils savent profiter d’elle. Je suis étonné de la façon dont elle se débrouille, on dirait qu’elle a fait ça toute sa vie. Est-ce seulement sa première fois ?
  Ils changent de position. Elle se met à quatre pattes sur le lit, tandis que Gary la besogne par derrière et que Marc se fait pomper. Gary la baise comme si sa vie en dépendait. Son visage extatique trahit combien il aime lui bourrer le vagin. Il ne manquerait plus que ça, qu’il ne trouve pas Lucy assez bonne pour lui ; c’est la meilleure, il n’en trouvera jamais d’autres des comme elles ; il a au moins intérêt à s’en rendre compte.
— Plus fort ! Allez ! Défonce-moi ! l’encourage-t-elle.
 Je la reconnais bien là, elle aime ça allumer les mecs. En plus, ça marche à tous les coups.  Marc lui attrape la tête pour la forcer à faire une gorge-profonde. Je suis étonné qu’elle ne s’en rebelle pas. Elle doit être trop excitée ou trop épuisée pour jouer la farouche. Je me demande combien de fois elle a déjà joui.
  Gary sort de son vagin et pointe son engin vers son petit trou.
— Qu’est ce que tu fais ? Non ! Pas ça ! lui interdit Lucy. — Tu as dit que tu en rêvais, tu ne veux pas essayer ?— Oui mais non, arrête ça.
  Il se résigne et retourne dans sa chatte. Je suis soulagé, elle tient sa promesse. Cela veut dire qu’elle tient quand-même à moi ; cela apaise un peu ma douleur de la voir jouer les trainées.
  Je m’astique de plus en plus fort. Assister à ce genre de scène en vrai et non à travers un écran, c’est déjà quelque chose, mais quand en plus c’est sa propre nièce l’actrice principale... J’ai envie de lui juter au visage. Je ne suis manifestement pas le seul à avoir cette idée, car Marc s’exclame soudainement :
— Aaah ! Ça y est ! Putain ! Je joui ! Allez, prends, salope !
  Il sort de sa bouche et se branle devant son nez. Il ne faut que quelques secondes avant qu’il ne l’éclabousse de sperme en criant. Lucy ferme les yeux et sort la langue pour l’inviter à la souiller. Gary est toujours en train de la prendre, on dirait une vraie chienne. Ce salaud de Marc expulse des quantités impressionnantes de foutre, il lui en fout partout. Elle avale rapidement lorsqu’il lui envoie une giclée en plein dans le gosier et rouvre aussitôt la bouche. Je sais combien elle adore le jus d’homme. Si on mettait du sperme en bouteille, elle ne boirait que ça.
  Le petit con a fini d’éjaculer et se retire. Son pote en profite maintenant qu’il a le champ libre.
— Vas-y, à ton tour, lui dit Lucy. Tu peux jouir dans ma chatte.
   On sent qu’il a envie mais qu’il se retient. Pour quelle raison ? Veut-il la faire jouir encore une fois ou juste lui prouver que c’est un amant endurant ?
— Allez ! Qu’est ce que tu attends ?! Remplis-moi le vagin de sperme ! — Salope ! Salope !
  Gary semble céder et lui obéir. Il la ramone comme pour chercher à se finir. Je peux lire le bonheur dans les yeux de Lucy. Il la tire par les cheveux en grognant comme un animal.
— Oui ! Oui ! Oui ! crie-t-elle. Ce que j’aime ta biiiiiiiiiiiiiiiiiiite ! Donne-la moi ! Donne-la moi !
  Quelle trainée, prise à quatre pattes comme une chienne le visage couverte du sperme d’un autre homme. Elle se comporte comme une vraie pute.
  Soudain, son amant se fige en la traitant une nouvelle fois de salope. Je comprends qu’il est en train d’éjaculer dans sa chatte. Je reconnais moi-même le propre langage du corps de Lucy qui me fait savoir qu’elle jouit elle-aussi. Devant cette scène obscène, je ne peux plus me retenir moi non plus, et je gicle sur le bas de la porte. Merde ! Je réalise ce que je viens de faire. Très vite, je m’enfuis en remettant mon pantalon. Pas moyen de nettoyer, je risquerais me faire prendre en faisant du bruit. Je prie que personne ne remarque rien jusqu’à ce qu’ils sortent tous de la chambre.
***
 Je suis épuisée, ils m’ont usée. J’ai joui au moins trois fois. Pour une première expérience à trois, je m’en souviendrais, c’était grandiose. Mes partenaires aussi ont l’air plus que ravi. Cela va leur faire un choc lorsqu’ils comprendront demain que ce genre de choses n’arrivera qu’une fois. Ils ne doivent penser qu’à recommencer, mais c’est moi qui fixe les règles. Je leur dirais qu’ils n’avaient qu’à être plus gentil, et ne pas me traiter de salope comme ça. Bien sûr, j’ai adoré, mais ce n’est pas une raison pour leur donner confiance. Ce n’est pas parce que j’aime le sexe que je veux avoir une réputation de garage à bites facile.
  Ils se rhabillent et me disent au revoir, le moment est venu de se quitter. Ils me disent qu’ils n’oublieront jamais. J’espère bien, c’était le but. Je reste un moment seule dans ma chambre à rêvasser et à planifier mes prochains coups. J’ai plein d’idées bien perverses en tête, j’ai envie de tout essayer ! Tout ! Je sors de ma chambre pour prendre une douche. J’ai encore du sperme partout. J’en ai qui a coulé de mon visage à mes seins, et celui de Gary commence à ressortir pour dégouliner le long de mes cuisses. Dehors, je remarque quelque chose de gluant contre ma porte. Bizarre. J’en ramasse avec un doigt pour voir ce que c’est. Je réalise que c’est du sperme ! Oooh, petit coquin de tonton. Alors comme ça, tu es rentré plus tôt ? J’espère que le spectacle t’a plu...
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