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Les nièces jumelles : saison 2

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Chapitre 6 : La requête de Megan
— Tu n’es qu’une salope, Lucy !— Ah ! Ouiii !
  Plaquée contre un mur du hall de la maison, je l’encule férocement. Cette pute m’a envoyé un selfie d’elle recouverte de sperme alors qu’elle était en retraite avec l’école. Elle n’a vraiment aucune limite.
— Combien ils étaient cette fois ?! Hein ? Trois ? Quatre ?!— Six !— Six ?! Mais c’est de pire en pire !
  Je l’attrape par les cheveux et augmente mon rythme. Six mecs, ce n’est pas possible. Cette fille est la pire des nymphomanes, je n’ai jamais vu ça. Il n’y a pas si longtemps, j’aurais été énormément en colère, blessé, aujourd’hui, je suis surtout excité. La seule chose qui me rend jaloux, c’est de ne pas avoir pu être l’un des six. J’ai bien changé, j’ai appris à mieux encaisser ce genre de coup fourré de sa part.
  Un weekend sans elle ni Megan, ça a été plus long que je ne le pensais. Je suis heureux de retrouver mes deux chéries. Après avoir été les rechercher, à la seconde où nous sommes rentrés, je n’ai pas pu m’empêcher de leur sauter dessus pour les baiser. Elles m’ont tant manqué.
— Eric, prend-moi aussi, me supplie Megan qui se tient juste à côté de nous.
  Je sors de sa sœur pour m’enfoncer dans son cul d’un trait.
— Aaah ! Oui ! Putain ! fait-elle. Deux jours sans baiser, je n’en peux plus ! — Tu n’avais qu’à te masturber si tu en avais tant besoin. — Sans ta bite, je ne peux pas jouir.
  Je ramone le fion de mes deux petites chiennes en guise de bienvenue. Je passe de l’une à l’autre pour ne négliger personne. Je suis devenu un véritable animal, je suis épaté de voir combien elles sont dociles. Elles ont autant envie que je les prenne que moi de les prendre. Cette maison est décidément devenue un sanctuaire de débauche. C’est sacrément bon de s’envoyer en l’air en famille. 
  Après les avoir fait jouir toutes les jeux, je me soulage dans le cul de Megan. Je lui donne tout le sperme que j’ai accumulé en son absence comme une preuve de combien je me suis languis d’elle. Jalouse, Lucy essaye de tout récupérer en lui léchant la rondelle. Sa jumelle l’aide dans son effort en faisant pousser mon foutre hors de son anus. La scène est terriblement obscène.
  C’est bon de se retrouver dans notre lit tous les trois. Je me suis tant habitué à leur chaleur que je n’ai presque pas su dormir en restant seul. Je suis le plus chanceux et le plus heureux des hommes.
  Les semaines défilent et le train-train quotidien suis sont cours. Nous n’en parlons pas vraiment, mais j’imagine que Megan a dû avoir un ou deux amants durant ce laps de temps. Elle n’est pas comme sa sœur, elle ne cherche pas à sauter sur un garçon juste pour recevoir des coups de bites, mais pour avoir des  aventures. Cela ne me regarde pas, je ne veux rien savoir, j’ai de toute façon une absolue confiance en elle. Parfois, je pense à nous et je réalise à quel point nous sommes un couple pas banal, puis je chasse cette idée en me disant qu’on s’en fout de ne pas être comme les autres tant que nous sommes bien ensemble. Je sais que c’est idiot, mais le truc qui me rassure, c’est de savoir que je suis le seul à pouvoir profiter de son cul. C’est comme si j’avais vraiment besoin qu’une partie de son corps n’appartienne que moi. C’est pour cette raison que je me suis senti extrêmement mal lorsqu’elle est venue me parler d’un sujet qui l’a tenait manifestement à cœur :
— Eric... J’ai envie de tester la double pénétration.
   J’en aurais bien recraché mon café si j’étais en train d’en boire.
— Qu’est ce que tu viens de dire ? — J’ai envie de tester la double pénétration.— Quoi, tu veux dire... avec deux hommes ? Dans les deux trous ? En même temps ? — C’est ça... Mais pour pouvoir le faire, cela voudrait dire que... je laisse un autre garçon m’enculer. Je sais que j’ai promis que cela n’arriverait jamais, mais serait-il possible que tu me donnes l’autorisation de le faire ? Rien qu’une fois ? S’il te plait...
—  Non, je suis désolé, mais je ne peux pas, fais-je en me sentant coupable d’être aussi égoïste. Par contre, je vois bien une autre solution : je n’ai qu’à être l’un des deux. — Oui... évidemment, je préfèrerais, mais... tu es mon oncle, tout le monde le sait. On ne peut pas s’exposer comme ça. Ce serait trop dangereux. — Nous n’avons qu’à aller assez loin pour trouver quelqu’un qui nous ne connait pas, et lui mentir. Nous n’aurons qu’à lui dire que nous sommes un couple qui cherche à pimenter un peu sa vie sexuelle.
 Elle y réfléchit, puis me dit que l’idée lui plait. Cela l’étonne que je sois si ouvert sur la question. Elle ne pensait pas que je serais capable de la partager ainsi avec un autre homme. Elle aurait plutôt cru que je ne veuille pas assister à ça. Honnêtement, je me sens un peu jaloux à l’idée, c’est vrai, mais je me sens surtout très excité. Je crois que je supporterais bien plus mal que ma petite femme se fasse prendre par deux étalons en même temps, sans avoir la chance de participer.
  Nous planifions ainsi une petite sortie en weekend, rien que tous les deux. Plus que cette simple partie à trois, ce qui nous rend vraiment impatient, c’est de pouvoir aller quelque part sans devoir nous cacher, comme un couple normal. Lucy restera seul à la maison pendant ce temps-là, elle est assez grande. Cela ne lui plait pas, évidemment, mais elle comprend notre besoin de vivre des choses rien que tous les deux de temps en temps.
  Le moment est enfin arrivé, nous partons dans une ville lointaine à plusieurs heures de route. Nous prenons une chambre d’hôtel et écumons les lieux chauds où on peut faire des rencontres. Megan part en chasse d’un garçon qui l’attire. Ce n’est pas si évident, plus que le physique, elle a besoin généralement d’un minimum de sentiment pour désirer un homme, mais bon, elle va faire une exception pour cette fois. Elle échoue plusieurs tentatives, je n’ai aucune idée de ce qu’elle leur dit pour leur présenter la chose. Cela ne doit pas être facile, je préfère largement que ce soit elle qui s’en charge. Nous ne trouvons personne le premier soir, et rentrons bredouille. Cela ne nous empêche pas de faire follement l’amour. Le second soir, Megan a réussi à dénicher un intéressé. C’est un bel homme, de la même carrure que moi, mais plus jeune. Il doit avoir environ vingt-cinq ans à vue de nez. Il nous confie qu’il n’a jamais fais ce genre de chose, mais que Megan a su bien l’allumer. Tu m’étonnes, elle est chaude ma chérie, comment pourrait-on résister à l’idée de se taper un canon pareil ? Les autres sont des idiots.
  Nous le conduisons à notre chambre d’hôtel. Nous sommes tous un peu gênés, nous ne savons pas vraiment comment initier l’affaire. Megan semble particulièrement excitée.  Nous buvons un verre, parlons un petit peu, puis je fixe les règles :
— Tu peux tout lui faire, la baiser violemment, lui demander de te sucer, lui faire des gorge-profondes, même lui tirer les cheveux en la traitant de tous les noms, elle adore ça. Par contre, son cul est hors limite. Ça te va ?
  Il a l’air un peu déçu, mais il est toujours partant. 
— Tu peux lui éjaculer où tu veux. Aussi bien dans la chatte que sur le visage ou les seins. En plus, elle avale. — Sérieux ? Putain, j’ai trop envie maintenant.
  L’alcool aidant, Megan donne le coup de départ en nous faisant un petit show en se dénudant de façon sexy. Impossible de ne pas bander. Déjà qu’elle s’était habillée de façon à bien aguicher les mecs, ses dessous en dentelles la rendent encore plus attirante. Histoire de mettre Marc, notre compagnon, un peu plus à l’aise, je me mets à me branler pour lui montrer l’exemple. Quand il voit ça, il n’hésite pas à m’imiter et faire de même. — Putain, elle est super bonne ta meuf, mon pote, me dit-il.— Je sais, et c’est une vrai chaudasse au lit, tu vas voir. 
  Quand elle est complètement nue, elle s’agenouille pour nous inviter lui donner nos bites. Nous nous levons pour nous faire sucer.
***
  Je mouille comme une folle. J’ai une bite dans chaque main, elles sont bien dures rien que pour moi. Celle de notre ami d’un soir est d’une bonne taille, bien que moins grosse que celle de mon chéri d’amour. Je les branle et je les lèche avant de les prendre en bouche. Je me sens déjà comme une chienne. C’est la première fois que j’ai deux hommes rien que pour moi et je commence à comprendre pourquoi Lucy en est accro. Cela me fait drôle de penser que ces pénis seront bientôt en moi et qu’ils vont me ravager par tous les orifices, je suis vraiment impatiente.
— Oh, putain, tu suces bien, ma belle, me complimente Marc.
 Faut dire que j’ai eu un très bon professeur.
  Je m’amuse énormément avec mes deux sexes, ce sont mes jouets, mes sucettes. Je fais une gorge profonde à notre invité pour lui montrer qu’il n’avait encore rien vu, puis j’en fais une à tonton Eric juste parce que j’en ai envie. Je pompe mes deux amants plus pour mon propre plaisir que pour le leur. J’adore jouer avec des mandrins de chairs, cela me fait tourner la tête. Ces queues, longues et dures, avec leurs bourses pleines de jus qui ne demandent qu’à sortir pour moi... Oooh, ce que je vais me régaler.
— Fais attention, l’ami, fait mon amoureux. Ça serait bête d’éjaculer trop vite, tu raterais le meilleur.
  En effet, Marc semble déjà au bout de ses limites. J’y suis peut-être aller un peu fort avec ma fellation, il est temps d’arrêter. Je m’installe de dos sur le lit en écartant les cuisses. Alors, messieurs, qui veut me prendre en premier ?
— Honneur aux invités, le pousse Eric. Vas-y, défonce-la cette salope.
  Il ne se fait pas prier. Il vient me rejoindre et me pénètre sans hésiter. Il m’attrape par les hanches pour me limer à fond. Je me sens rassurée, il fait ça bien. J’ai bien choisi mon amant, il sait comment baiser une femme.
  Il se penche sur moi et joue avec mes seins.
— Pince lui les tétons, elle adore ça, elle est très sensible de là, lui recommande mon homme.   Il écoute ses conseils, cela me fait gémir. Il me les tire puis me les mordille. Il cale sa tête entre mes nichons en me les pressant. Je crois qu’on peut dire qu’il les adore. Cela me rend folle de voir un inconnu si ivre de désir pour moi, si ça continue, je vais devenir comme Lucy.
— Alors, elle est comment ma copine ? balance Eric.— Elle est bonne ! s’exclame-t-il. Putain, quel canon ! Et quelle chatte ! — Alors baise-moi plus fort, fais-je avant de l’embrasser.
 Il accélère ses coups de reins, je prends beaucoup de plaisir à sentir sa queue me ravager les entrailles. Je me tourne un instant vers mon homme à moi, il se branle en nous matant. Il a l’air d’aimé ce qu’il voit. Cela me surprend, mais me comble de joie également. Je me laisse totalement aller, profitant du bonheur que me procure cet amant fougueux qui m’utilise. Lorsqu’il arrive à sa limite, il se retire pour laisser place à mon oncle. Celui-ci prend le relais et me ramone de façon formidable.
— C’est bon de baiser sa petite femme, geint-il. Avec une comme ça, on en veut pas d’autre.— Je veux bien te croire, en convient notre invité. — Tu peux te faire sucer en attendant si tu veux.
  Marc me présente son sexe alors que Eric me besogne, je saute dessus avec envie pour le mettre dans ma bouche. Cela me fait sentir tellement salope, mes trous ne servent qu’à faire plaisir à leur bite.
   Ils changent plusieurs fois de rôle et de position. Eric m’encule enfin pour la première fois tandis qu’il me prend en levrette. Marc me force à lui faire des gorges profondes en même temps. Je suis leur esclave sexuelle. Ils peuvent me faire tout ce qu’ils veulent, tant qu’ils me font jouir, et j’ai déjà joui une fois jusqu’à présent.
  Marc me rebaise une fois la chatte, puis je chevauche mon homme de dos en empalant mon cul sur sa bite. Je rebondis sur lui en ayant les cuisses bien écartées pour que notre invité puisse avoir une vue sublime. Il observe de façon médusé ce piston de chair qui entre et qui sort de mon anus tandis que ma chatte gonflée dégoulinante de mouille reste libre. Mes gros seins se balancent dans tous les sens. Il se branle comme un malade. Il monte debout sur le lit et m’enfonce sa queue dans la gorge. Il me baise la bouche en m’attrapant par les cheveux. Je déglutis. J’ai besoin de reprendre de grande bouffée d’air lorsqu’il me laisse enfin respirer, puis il recommence une nouvelle fois.
— Aaah ! Putain ! Salope ! s’écrie-t-il. — Tu n’as pas plutôt envie de me baiser la chatte ? lui dis-je lorsque je peux de nouveau parler.
 Le moment est enfin venu. Je tremble d’impatience. Eric a arrêté de me limer. Marc se met en position et approche son dard de mon entrée, plus moyen de revenir en arrière maintenant. Je ferme les yeux, je ne veux pas voir ça. Je sens soudain son sexe pénétrer lentement dans mon vagin alors que mon cul est déjà occupé. Il se fiche aussi loin qu’il peut aller. Je crie. Il me demande si ça va, je l’encourage à continuer. J’ai mal, mais ça va passer. J’ai été bien lubrifiée et mes deux trous ont déjà bien été dilatés. Il démarre un va-et-vient, léger, très doux. Je prends le temps de m’habituer aux sensations. Très vite, la douleur laisse place au plaisir. Je lui demande de me prendre plus fort, il obéit. Il augmente la cadence au fur et à mesure, jusqu’à ce qu’il me baise pour de vrai.
  C’est intense, je n’ai jamais rien ressenti de pareil. Je ne regrette pas d’avoir voulu essayer. Je n’en reviens pas, je suis remplie de bites. J’ai deux hommes qui me fourrent le cul et la chatte. Eric commence à remuer lui aussi, c’est incroyable. Je hurle, mais je hurle de bonheur. Je les supplie de continuer :
— Aaah ! Oui ! Continuez les garçons ! Ramonez-moi ! Ravagez-moi par tous les trous ! — Putain ! Mais quelle salope ! s’exclame Marc.— Oui, et c’est ma femme, enchérit Eric avec une pointe de fierté.
  Mes deux étalons se servent de mes trous comme leur garage à bites, je ne suis plus qu’une chose entre leurs mains, et cela me rend complètement dingue. Ils m’utilisent pour leur propre plaisir et me font sentir combien ils en ont besoin. Ce sont des animaux, et avec leur façon de me posséder, je suis leur chienne, une pute en chaleur avide de bites et de sperme. Je jouis, si fort. J’enchaine les orgasmes, je ne sais plus où je suis. Tout ce que je veux, c’est que ce moment ne s’arrête jamais.
— C’est bon ! C’est bon ! Encore ! Prenez-moi plus fort ! crie-je.
  J’ai un bref moment de répit lorsqu’ils me font changer de position. Je chevauche cette fois Marc de face tandis qu’Eric me prend par derrière.
— Oooh ! Putain ! fais-je lorsque je retrouve enfin leurs pieux au fond de moi. Ils me bourrent comme si nous nous étions jamais arrêtés. Je suis pressée contre Marc qui me serre contre lui.
— Je vais te défoncer, salope ! grogne-t-il en me donnant des coups de reins.
  Je suis au paradis ; une jument saillie par deux beaux étalons. Je suis leur prisonnière, incapable de bouger. Je n’en ai de toute façon pas envie, je n’ai qu’à me laisser imprégner des sensations alors qu’ils font tout le boulot. Je suis à moitié en train de perdre conscience, je n’ai même plus la force de crier. Ils me font jouir une dernière fois avant qu’Eric signale à Marc de s’arrêter.
— Je n’en peux plus, j’ai besoin d’éjaculer là, déclare ce dernier.— T’inquiète, moi aussi, fait mon homme. Mais tu regretterais de jouir en elle quand tu verras combien elle aime le sperme.
  Ils veulent que je les suce à nouveau pour les finir avec ma bouche. Après ce qu’ils m’ont fait, je pense qu’ils l’ont bien mérité. Je suis encore vaseuse lorsque je me mets à genoux pour les pomper. J’ai la tête qui tourne rien qu’à jouer avec ses deux grosses bites. Je veux les faire gicler, gouter leur sperme. Cette idée me rend folle, je m’applique du mieux que je peux. Alors que glisse le long de la tige d’Eric, je sens un premier jet de sperme de la part de Marc.
— Aaah ! Putain ! Salope ! Je ne tiens plus ! crie-t-il.
  Je me tourne immédiatement vers lui en ouvrant la bouche afin de recevoir la suite. Je le branle pour qu’il me jouisse dessus. Il en a une belle quantité, il me salit bien le petit salaud ; ça dégouline sur mon visage.
— Mon dieu, c’était trop bon... soupire-t-il une fois qu’il en a terminé.
  Je peux enfin me consacrer entièrement à mon homme. Marc va s’assoir afin d’admirer le spectacle. Je pompe mon chéri en le prenant à deux mains. Je fais des bruits de succions pour l’exciter à mort.
— Oooh, mon amour, continue, s’il te plait, geint-il.
  Lorsqu’il atteint ses limites, il me force à arrêter afin de prendre le relais lui-même. Il m’attrape par les cheveux pour me coller contre sa bite en se masturbant furieusement.
— Ça y est, je viens ! Vas-y, prends ! Aaaaah !
  Il m’éjacule à la figure. Il m’envoie une première grosse trainée de sperme comme je les adore : puissante et copieuse. Les autres suivent, je suis obligée de fermer les yeux. Je mourrais d’envie de faire éclater ses bourses, et j’en suis heureuse d’y être arrivée. Il se soulage en me couvrant de foutre. J’aime sentir qu’un homme a besoin de se vider pour moi. Marc n’en croit tellement pas de ce qu’il voit qu’il me traite une nouvelle fois de salope. Lorsque je sens que la douche est terminée, je me nettoie les paupières et rouvre les yeux. Eric affiche un sourire plus que satisfait. Notre invité est en train de prendre des photos de moi et de me filmer. Pour ne pas le décevoir, je lui fais un petit show en m’étalant le sperme sur tout le corps et en le goutant sur mes doigts. Il adore ça.
— Alors, ça t’a plu ma chérie, me demande Eric.— Oh oui, merci mon amour. Je n’oublierais jamais ce que tu as fais pour moi. — Et toi, Marc ? Tu as aimé baiser ma femme ?— Bordel, ça oui, alors. C’est un sacré coup. Elle n’a pas une sœur célibataire comme elle ?
  Nous rigolons tous les trois de la remarque. Le pauvre, s’il savait que j’ai une jumelle encore plus salope.
  Nous récupérons un peu et discutons ensemble autour d’un dernier verre, toujours nus, avec moi gluante. Notre ami d’un soir s’en va peu après en nous laissant seul en amoureux. Nous faisons un petit débriefing de ce qui s’est passé, et allons débusquer la caméra que nous avions cachée. Nous rematons la scène, elle est magnifique. Lucy va en être verte de jalousie. En voyant ça, Eric rebande. Il me refait aussitôt l’amour. Il m’encule en levrette en me prenant comme sa chose. Il me caresse et joue avec mes seins malgré qu’ils soient couverts de sperme. Nous jouissons ensemble, tandis qu’il se vide une dernière fois dans mon cul avant de nous endormir.  
***
   Aaah ! Les salauds, les salauds ! Déjà que j’étais en colère lorsqu’ils m’ont abandonnée seule durant tout un weekend, ils m’ont en plus narguée en m’envoyant une vidéo de leurs ébats. Je l’ai regardé en boucle en me masturbant. Megan est vraiment magnifique lorsqu’elle se fait prendre par ses deux étalons. La façon dont elle hurle et crie à force de se faire ramonée par la chatte et le cul en même temps, mon dieu, cela me donne envie de connaitre le même bonheur.
  Je suis en train de chevaucher tonton de dos, sa bite dans ma raie. Je lui ai sauté dessus à la minute où ils sont rentrés. Megan me lèche la chatte en même temps, elle aussi a des choses à se faire pardonner. Ils sont tous les deux dévoués à mon plaisir, ils m’ont dit qu’ils feraient tout ce que je voudrais. Je demande alors à mon oncle de me défoncer l’anus en levrette tandis que ma sœur s’occupe de mon minou en se glissant en dessous de moi. Elle stimule mon clito comme j’adore, je suis aux anges. Je ne leur en veux plus du tout maintenant. Tant que j’y suis, j’en profite aussi pour faire un cunni à Megan. J’adore jouer avec sa chatte.   Ils me font jouir plusieurs fois. Tonton meurt d’envie d’éjaculer mais c’est moi qui décide quand il peut enfin se soulager. Je l’utilise comme mon gode michet, puis quand je suis repue, je le suce pour le faire gicler dans ma bouche. Hmm, j’adore son sperme. J’ai tout avalé, pas question de partager cette fois.
  Ils m’ont fait du bien mais je suis toujours jalouse. Le lendemain, lorsque je suis seule avec tonton Eric, j’aborde le sujet avec lui :
— Tonton, votre video... ça m’a donné super envie à moi aussi. J’ai envie de tester la double pénétration, tu voudrais bien qu’on parte ensemble un weekend pour faire la même chose ?   Il paraît gêné, je ne comprends pas pourquoi, puis il me répond enfin :
— Ma chérie, je pense que le plus simple, ce serait de lever ma restriction. Si tu en as envie, alors, vas-y. Tu n’es pas obligé de faire ça avec moi, tu peux très bien te faire enculée par un autre garçon.
  Je suis choquée, inquiète, limite blessée. Incrédule, je lui demande :
— Qu’est ce qui se passe ? Tu ne veux plus de moi ? J’ai fais quelque chose de mal ?— Bien sûr que non, ma chérie, glousse-t-il. C’est moi, c’est ma faute. Tu... tu n’es pas ma copine, ce n’est pas juste que je t’impose des limites. Si tu veux vraiment qu’on fasse ça ensemble, évidemment, j’en serais plus que ravi, mais si tu as envie de faire ça dans ton coin, je ne veux pas t’en empêcher ; ou du moins, je ne veux plus.
  Cette conversation me laisse un gout amer dans la bouche, je commence à comprendre la souffrance de Megan lorsque tonton Eric lui a dit qu’elle pouvait coucher avec un autre garçon. C’est bizarre, je ne m’attendais pas à ce que cela m’affecte autant. Je pensais que j’en serais heureuse quelque part, que je pourrais enfin me faire enculer par d’autres mecs, mais d’un autre, je réalise que si j’ai accepté au départ de me réserver pour lui, ce n’était pas pour rien. Je crois que je l’aime plus que ce je ne me l’imaginais. Je pensais qu’il n’était juste que mon tonton et mon amant, mais il est plus encore ; je ne sais pas quoi, il n’y a peut-être pas de mot qui existe pour ça. Je ne sais pas encore ce que je vais faire. Il voulait peut-être me faire plaisir, mais j’ai plutôt l’impression qu’il m’a abandonnée. Qu’il n’a plus besoin de moi maintenant que les choses deviennent de plus en plus sérieuses avec Megan. Je n’aime pas ça, je vais devoir le lui faire payer.
***
   Le train-train quotidien, je déteste ça parfois. Bosser comme un malade, rentrer du boulot éreinté, crevé, j’en ai marre. Parfois, j’ai envie de tout plaquer, mais ce n’est pas possible bien sûr. Je trouve mon réconfort dans mes jumelles. Elles m’offrent de la fantaisie, de l’imprévu, et surtout, beaucoup d’amour. C’est un peu pervers, mais parfois, je me dis que je ne vis plus que pour baiser avec elles. C’est devenu mon plus grand bonheur et mon occupation favorite. Je n’ose imaginer comment les gens me jugeraient s’ils savaient ça, même si nous n’avions aucun lien de parenté.
   Je rentre aujourd’hui à une heure raisonnable, je n’en suis pas moins vanné. Je m’en vais de ce pas aller dire bonjour à mes petits amours. J’espère qu’elles sont là et non chez une amie ou ailleurs. Ce serait leur droit, bien sûr, mais j’ai envie de les voir.
  En m’approchant de leur chambre, j’entends des bruits bizarres : des cris et des grincements de lits. Ça a un air de déjà vu... Je prie pour que ce soit Lucy tout de même, cela me déchirerait le cœur que Megan fasse ce genre de choses devant mon nez. Je sais que je lui ai donné mon accord, mais je préférais malgré tout ne rien savoir, et surtout ne rien en voir.
   Ma curiosité maladive me pousser à aller regarder ce qui se passe. La porte est entrouverte, c’est une vraie invitation. C’est Lucy, c’est certain, elle cherche encore à m’allumer. Je jette un œil et me retient de pousser un juron. Quelle petite salope ! Elle se fait prendre par deux mecs à la fois ! Ça y est, elle l’a eue sa double pénétration, et manifestement, elle voulait que je n’en rate rien. Elle s’empale sur un mec de dos, tandis qu’un autre la ramone par devant. Elle hurle comme une chienne en chaleur, elle semble adorer ça comme sa sœur. Je sors ma queue pour me branler devant la scène. J’ai compris la leçon, je regrette de lui avoir donné la permission, j’ai trop envie d’être l’un des deux qui la bourre. Je ne sais même pas qui ils sont, je ne les ai jamais vu, ils sont plus âgé qu’elle. Si ça continue, tous les mecs du quartier vont lui avoir passé dessus.
— Ah ! Salope ! Prends ! Prends ! dit celui qui lui bourre le vagin.— Oooh, putain ! dit l’autre. Ton cul est trop bon ! Tu n’as vraiment que dix-huit ans ?— Raaah ! Ouiii ! Allez ! Baisez-moi plus fort !
  Je dois être arrivé trop tard, car il ne faut pas longtemps avant que se termine cette partie de jambes en l’air. Celui dans son fion éjacule en elle, puis son pote en profite pour la prendre en missionnaire et se faire jouir dans sa chatte. J’aurais voulu lui laisser un petit souvenir devant sa porte comme la dernière fois, mais ils ne m’en laissent pas le temps. Je m’enfuis quand les garçons se rhabillent et s’en vont. Ces enfoirés étaient vraiment venus juste pour tirer un coup avec ma nièce ; ils ne devaient même pas la connaitre avant cette après-midi. Dès qu’ils sont sortis, je vais la voir. Elle est allongée tranquillement sur son lit, ses deux orifices débordant de sperme.
— Salut, tonton, me fait-elle d’un ton désinvolte. J’étais sûre que tu étais là en train de mater. Ça t’a plus ce que tu as vu ?
  La petite pute, elle me cherche. Je me doute de ce qu’elle veut. Je déboucle ma ceinture pour en sortir mon dard que je lui donne à sucer, puis je la baise fort pour la punir d’être aussi salope. J’ai besoin de la souiller à mon tour pour m’assurer qu’elle est toujours à moi. Je la prends par tous les trous, puis je lui éjacule à la figure après l’avoir fait jouir deux fois. — Prends ça dans la gueule sale chienne, c’est tout ce que tu mérites ! fais-je en grognant.
  Elle me sourit, comme si elle était satisfaite de son petit jeu, puis elle s’en va prendre une douche.
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