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Les nièces jumelles : saison 3

Chapitre 2

Orgie / Partouze
Chapitre 2 : Le club.
  Après notre "orgie" —  je n’arrive toujours pas à croire que j’ai participé à ça — j’ai continué à sortir avec Bruno. Malgré les étranges circonstances de notre première fois, je sais que ce n’est pas qu’un obsédé du cul qui pense qu’à me baiser. Il sait se montrer charmant et romantique, je l’aime beaucoup, nous passons de bons moments ensemble.
  Alors bien sûr, si je dis que ce n’est pas un obsédé, cela ne veut pas dire non plus que nous avons une relation chaste. Nous avons refait l’amour, dans l’intimité cette fois, et il a pu me confirmer qu’il était un bon amant. J’en ai également profité pour mettre les choses au clair : ce n’est pas parce que j’ai été d’accord qu’il se tape ma sœur lors de la partouse qu’il peut recommencer ou qu’il peut aller voir ailleurs quand il veut. Il est à moi et à personne d’autre. Je sais que c’est hypocrite de ma part sachant qu’au fond de mon cœur, j’appartiens à Eric, mais j’ai envie d’une relation "normale".
   À propos d’Eric, tout se passe toujours parfaitement bien entre nous, c’est une véritable idylle. Il ne me traite pas comme une gamine, mais comme son égale, au point qu’il me fait presque oublier qu’il est mon oncle. Pour moi, il est mon homme, je vis avec lui comme tout couple qui s’aime vive ensemble. Nous baisons pour exprimer charnellement notre amour, à la différence près d’un couple normal que nous formons un trio avec ma sœur. Je suis heureuse. Toutes les nuits, je dors aux côtés des deux personnes que j’aime le plus au monde, et lorsque nous faisons l’amour tous les trois, j’ai l’impression de vivre un rêve. Je ne pourrais jamais retrouver une telle complicité avec quelqu’un d’autre, c’est bon de pouvoir se lâcher sans aucune honte quand on est entre nous.
  À l’école, maintenant que j’ai vu mes collègues s’abandonner à leur instinct animal, cela me fait bizarre à chaque fois que je les croise. Même en classe, je ne peux pas m’arrêter de me les imaginer nus, en train de baiser. Cela me fait sentir plus à l’aise avec eux. Nos relations ont complètement changé, cette expérience nous a clairement rapproché, comme si cela avait fait sauter des barrières entre nous. Nous avons découvert que nous sommes tous pareil au fond : nous aimons le sexe et nous envoyer en l’air avec nos partenaires. Même cette coincée de Karine s’est enfin détendue. D’un côté, on sent qu’elle a honte de ce qu’elle a fait, d’un autre, ne pas avoir été seule semble l’avoir rassurée. On dirait qu’elle a passé toute sa vie à essayer de faire semblant d’être une petite fille modèle alors qu’elle retenait en elle une énorme frustration. C’est seulement maintenant qu’elle commence à se laisser un peu aller. Ça l’a rendu plus agréable en tout cas ; avant ça, elle était vraiment la dernière personne avec qui je m’imaginais sympathiser.
  Nous avons reparlé de ce qui est arrivé, il en est ressorti que nous avions tous envie de recommencer. Tellement qu’il n’a fallu guère longtemps avant d’organiser une nouvelle orgie dans les sous-sols de l’école. Nous n’avons pas invité Lucy cette fois. Ce n’est pas contre elle, mais nous voulions revivre ça entre couples, et elle n’est officiellement avec personne. Comme je ne lui cache jamais rien, je lui en ai parlé. Elle l’a un peu mal pris — c’est le moins qu’on puisse dire — mais elle m’a fait promettre que si nous devions remettre ça encore une fois, je convaincrais les autres de l’accepter.
 C’est le jour-J, nous sommes tous réuni dans la salle commune des dernières années après les cours. Évidemment, nous ne sommes pas seuls, il nous faut attendre que les autres partent avant de commencer. C’est long, très long. La tension monte au fils des minutes. Nous avons envie, terriblement envie. Nous tremblons d’anticipation à l’idée de ce qui va suivre. Lucy reste avec nous jusqu’à ce que la dernière personne qui ne fait pas partie de notre petit groupe s’en aille. Elle me fait un clin d’œil avant de nous abandonner ; c’est sa façon de me souhaiter de bien m’amuser.
  Enfin seul, nous attendons encore un peu pour nous assurer que personne n’a la mauvaise idée de revenir faire irruption dans la pièce, puis nous commençons à nous embrasser. L’étreinte de Bruno me fait déjà mouiller. Le temps passe et les préliminaires semblent durer une éternité. On dirait que personne n’ose faire le premier pas. Quelle bande de coincés ! Je décide de me lancer en défaisant la braguette de mon mec pour le sucer. Sans surprise, il est déjà bien dur. Plus détendues, les autres filles suivent mon exemple. Je suis étonnée que Karine soit la première après moi à plonger sur le sexe de son homme, voilà qui conforte encore plus l’opinion que j’ai d’elle. En tout cas, Stéphane a l’air ravi.
 Nous nous régalons. La pièce est emplie de nos bruits de succions et des soupirs des garçons. Ils nous disent des mots d’amour pour nous encourager et échangent parfois des commentaires entre eux :
— Oooh, Christine ! Ma puce... grogne David. Ce que je t’aime...— Oooh, les mecs, ma copine, c’est vraiment la meilleure des suceuses ! déclare Guillaume, le petit ami de Clarisse.
  Après les avoir bien chauffés, nos mâles s’occupent enfin de nous. Ils nous déshabillent puis jouent avec nos seins et nos chattes. Christine a même droit à un cunni. Stéphane, sans doute toujours gêné de sa piètre performance de la fois précédente, l’imite pour essayer de se faire pardonner.
— Hmm, c’est bon, gémit Karine. Joue bien avec mon clito.
   Moi et Clarisse, nous n’avons pas besoin de ça, nous sommes suffisamment excitées et mouillées pour passer directement à l’étape suivante. Je me mets à quatre pattes sur un des divans et Bruno m’enfile par derrière. Mon amie rousse, elle, se fait prendre en missionnaire. Nous baisons, enfin ; ça fait des heures que je meure d’envie de sentir sa queue dans ma chatte. Vu sa façon de me posséder, l’attente a dû être longue pour lui aussi. Karine et Christine nous rejoignent bientôt en se faisant sauter par leurs mecs. Ce moment que nous vivons ensemble est magique, débordant d’érotisme. Chaque couple exprime son amour tout en le partageant avec les autres. Nous nous se délectons du spectacle de la passion qui flamboie tout autour de nous. Nous sommes comme chacun dans notre bulle, échangeant ce moment intime sans pudeur.
— Christine... soupire David. Tu es la femme de ma vie... — David...
  Je ne les connaissais pas bien mais ce couple est décidément fantastique à regarder. La petite brune monte et redescend sur le sexe de son homme en dessous d’elle tandis que ce dernier lui dévore la pointe de ses seins. Ils s’aiment à en crever, c’est juste magnifique.
   Bruno me force à me redresser pour me coller contre lui. Il me presse les nichons en me pinçant les tétons, il a vite appris ce qui me rend folle. Je tourne mon visage vers lui et nous nous embrassons avec la langue. Sa façon qu’il a de me serrer et de me bourrer me fait penser à un pauvre petit animal sauvage, comme s’il avait désespérément besoin de moi.
— Megan, Megan ! me supplie-t-il entre deux baisers. Je te veux, je te veux !— Je suis à toi, fais-je en guise de réponse.
  Karine se fait sauter comme une chienne par son mec. Stéphane la défonce comme s’il n’avait pas tiré son coup depuis la dernière fois. Il grogne la bouche ouverte, le visage hagard, perdu dans son univers. Il a besoin d’elle, et de personne d’autre. Karine elle-même semble être emportée dans un autre monde. Cela me fait toujours drôle de voir la grande moraliste blonde crier son plaisir de se faire ramoner le vagin par une bite. Elle a beau se croire supérieure, au fond, elle est comme nous toutes : elle a besoin de se faire prendre. Elle ne se plaint même pas quand elle se fait tirer les cheveux. Je ne l’ai jamais vue aussi salope, soumise, désespérément en manque de sexe.
  Guillaume est affalé sur Clarisse. Il la serre contre lui pendant qu’il lui donne des coups de reins. Leurs bouches sont collées l’une à l’autre, ils sont tellement beaux : — Chéri, je... je voudrais que tu m’encules, déclare-t-elle soudainement entre deux baisers. — Que... quoi ?! éclate Guillaume de surprise.— J’ai envie de tester la sodomie. Cela fait un bout de temps que j’y pense. J’ai envie de faire ça, ici, devant tout le monde.— Tu es sûre ?— Oui.
  J’ai bien entendu ? Clarisse ? La sodomie ? Elle m’épate. Elle se met à quatre pattes sans tarder pour présenter son cul à son mec. Je ne peux imaginer à quel point il doit être excité en cet instant. Il lui lèche la rondelle pour la préparer et lui enfonce un doigt pour tester sa réaction. Elle soupire de plaisir, il n’en revient pas. Encouragé par cette réponse, il se redresse et pointe son gland vers son petit trou. Il la pénètre doucement, lentement, jusqu’à se ficher jusqu’au raz des couilles.
— Ça va, ma chérie ? s’inquiète-t-il.— Oui, c’est bon. Vas-y, encule-moi.
  Il démarre son va-et-vient. Tout le monde les regarde, ce sont les stars de la journée. Les garçons doivent tous envier Guillaume ; je me demande s’il y a d’autres filles qui envient Clarisse ; peut-être qu’avec le temps, d’autres s’essayeront à la sodomie. Bruno devient plus fougueux et me baise plus fort. S’il continue comme ça, je ne vais pas tarder à jouir. J’aimerais qu’il me prenne par le cul lui-aussi, mais une promesse est une promesse. Ce n’est pas grave, ce soir, Eric me donnera ce dont j’ai besoin.
  Nous prenons du plaisir tous ensemble. C’est incroyable, j’aimerais qu’on fasse ça encore et encore. J’aime regarder les autres couples en train de s’envoyer en l’air. C’est comme mater un film porno, sauf que les acteurs sont mes amis, mes camarades d’école. Je crois que j’aime aussi me donner en spectacle comme ça.
  Je perds la notion du temps. Personne n’est pressé, nous sommes là pour en profiter un maximum, pas juste "tirer un coup". David et Christine se mettent soudain à beugler. Ils jouissent ensemble. Ça me fait mouiller de m’imaginer David en train d’éjaculer dans sa chatte. Peu de temps après, c’est notre tour, je jouis au moment où je sens le sperme de Bruno m’envahir le vagin. Je l’encourage à me fourrer avec son jus avant de m’écrouler. Je suis heureuse, repue. Clarisse n’arrête pas de crier. Si Guillaume était doux au début, là, il est littéralement en train de lui défoncer le cul. Je m’inquiète pour elle jusqu’à ce que je l’entende supplier :
— Ne t’arrête pas, Guillaume ! Pitié ! Encule-moi ! Putain, j’adore ! C’est tellement bon !
   Je suis émue, je ne reconnais plus Clarisse. Elle est si belle, si épanouie. Elle était si timide quand je l’ai connue, je suis heureuse de la voir se décoincer et assumer pleinement sa sexualité.
— Chérie, je n’en peux plus, dit Guillaume.— Vas-y, jouis, remplis-moi les intestins avec ton sperme ! — Ah oui, je vais venir. Je viens ! Aaaaaaaah ! — Aaaaaaaah !
   Elle partage avec nous son premier orgasme anal, c’est merveilleux. Christine la fixe d’un regard médusé. Je suis certaine qu’elle va être la prochaine à essayer.
  Karine chevauche Stéphane. Le pauvre à l’air à l’agonie. Il essaie manifestement de faire amande honorable en se retenant le plus longtemps possible. On dirait qu’il veut prouver à tout le monde qu’il n’est pas précoce et qu’il sait faire jouir sa copine. Il lui caresse les seins en forme de poire et lui lèche les tétons. Elle semble être au paradis. Elle s’empale sur lui en l’utilisant comme un simple outil pour se faire du bien. Je suis certaine qu’à la seconde où elle sera emportée par sa vague de plaisir, il la rejoindra en éclatant en elle. En attendant, il subit une torture. Il fait tout pour rester dur, mais il est évident qu’il meure envie de fondre.
— Chérie, je veux jouir. Je peux ?
  Je devine que cela fait longtemps qu’il se retient de prononcer cette phrase :
— Oui, mon amour. Tu peux jouir dans ma chatte. Vas-y, je suis toute proche, fais-nous jouir tous les deux.
  Pas besoin de lui dire deux fois, il l’enserre pour la coller contre lui et lui donne des coups de bassins. Il cherche à se finir, on dirait un animal qui se sert d’un trou à bite pour se vider les couilles. Ils gémissent bruyamment ensemble. Guillaume se fige soudain. Ils crient, Karine tremble tandis que la bite de son homme pulse au fond d’elle. Ils jouissent, ils sont beaux. Je ne me lasse jamais de voir un couple atteindre l’orgasme en même temps.
  Nous avons terminé. Nos hommes ont les bourses vides, et nos orifices sont débordants de sperme. Nous sommes bien, heureux, léger. Nous échangeons nos impressions et parlons déjà de notre impatience à recommencer. Pour le moment, aucune date n’est encore fixée, ce n’est qu’une idée, mais je suis certaine que cela va s’organiser. Nous avons tous développé un certain penchant pour le voyeurisme.
  Quand je rentre chez moi, la première chose que je fais, c’est tout raconter à Lucy. Évidemment, elle m’attendait de pied ferme. Ça l’a tant excitée qu’elle s’en est masturbée. Je l’ai aidée à jouir en lui léchant la chatte et lui en enfonçant un de nos jouets dans le cul. Elle a voulu me faire la même chose pour remercier, mais j’ai refusé, j’étais déjà repue.
  Les jours qui suivent, je n’arrive pas à penser à autre chose qu’à nos orgies. En me confiant aux autres, je suis ravie de constater que je ne suis pas la seule. Nous planifions notre prochaine fois. Christine nous demande si elle ne peut pas inviter un couple d’amis à nous rejoindre. De sa part, je suis choquée ! Je dois dire que je ne suis pas très chaude, l’idée de parler de notre secret à quelqu’un d’autre m’effraie. Et s’ils ne sont pas aussi ouvert d’esprit que nous ? Je ne veux même pas imaginer les conséquences si ce que nous faisons arrive aux oreilles des profs.
— Mais ils sont déjà au courant, je leur en ai parlé, nous avoue Christine.
  J’en reste bouche-bée. Je l’imaginais timide et réservée, pas du genre à parler de ça ouvertement en dehors de notre petit groupe. Clarisse est en colère qu’elle l’ait fait sans nous demander notre avis. Vu les risques, je suis d’accord avec elle : il faut qu’on en parle tous ensemble avant de mettre quiconque au courant. Enfin, vu que le mal est fait, plus personne n’est contre que ses amis se joignent à nous. J’en profite pour mettre sur la table le cas de Lucy.
— Non, mais, ta sœur est célibataire, s’oppose Karine. Ce qu’on fait, c’est uniquement entre couples.
  Je défends ma jumelle en rappelant à tout le monde que c’est elle qui a initié notre première orgie, que sans elle, rien ne serait jamais arrivé, et qu’en plus, elle n’a pas besoin d’être en couple pour trouver des partenaires. Nous nous disputons un peu sur le sujet, puis nous tombons d’accord : Lucy peut venir, mais avec qu’un seul garçon à la fois. Elle était heureuse lorsque je lui ai annoncée la nouvelle.
   Nous remettons donc ça. La baise est torride. Nous faisons connaissance avec les amis de Christine ; ils sont beaux ensembles, je prends plaisir à les regarder. Clarisse se fait une nouvelle fois défoncer le cul. Elle nous a avoué par après qu’elle ne permet à Guillaume de la prendre par-là que lors de nos partouses. Le pauvre, je comprends qu’il ait été si impatient. Lucy se fait enculer aussi, elle et Clarisse se font sauter comme des chiennes côte à côte par leurs amants. Ces derniers deviennent fous lorsqu’elles s’embrassent. Comme ils veulent en voir plus, Lucy lui lèche la chatte, puis elle lui demande de faire pareil. C’est sa première fois, elle est incroyablement belle comme ça : à quatre pattes, prise par derrière par son homme, la tête coincée entre les cuisses de ma sœur. Elle lui broute le minou à l’en faire jouir. Clarisse... nous sommes vraiment en train de la pervertir... Cela m’excite.
  Je prends bien mon pied moi aussi. Je suce mon mec, chevauche sa bite pendant qu’il joue avec mes seins, le laisse me prendre comme sa salope, puis je le fais éjaculer sur mon visage après qu’il m’ait faite jouir deux fois.
  Les couples jouissent les uns après les autres, dans un flot de gémissements, de cris de passion, et de sperme. Je me sens triste lorsque tout est terminé, j’avais envie de rester ici, à continuer à baiser ensemble encore et encore. Je veux en voir plus, et en montrer plus. J’en suis tellement frustrée qu’en rentrant, j’allume Eric pour qu’il me prenne. Il n’a pas besoin de beaucoup d’encouragements. Il me ramone l’anus avec son énorme chibre. Dieu que j’adore ça ! Il me laisse jouir la première avant de fondre dans mes entrailles.
  Une fois calmée, je lui parle d’un projet fou, une idée qui me trottait dans la tête depuis un moment déjà, mais que je n’avais jamais prise au sérieux. Entre nous, nous nous amusons souvent à faire des films de nos ébats, et si... nous les partagions sur internet ? Nous pourrions peut-être même les vendre ! Cela ferait de moi une véritable actrice porno. Rien que d’y penser, cela me fait mouiller. Je suis folle, je ne sais pas pourquoi je parle de ça. Eric essaie de me ramener à la réalité en me disant que c’est impossible. Si quelqu’un venait à le reconnaitre, il irait en prison, je lui rétorque qu’il n’a qu’à porter un masque. Étonnamment, il y réfléchit. Serait-ce possible qu’il en ait également envie ? Je n’y crois pas quand il accepte. C’est vraiment un pervers ! Je l’adore, mon Eric. Il est formidable. Quelques jours plus tard, nous installons des caméras dans la chambre, baisons comme des animaux, filmons tout, et postons le résultat sur site coquin. Lucy s’est masturbée en regardant la vidéo, elle était jalouse.
    Petit à petit, notre groupe d’orgie à continuer de s’agrandir. C’est devenu un véritable club, un club très select où les membres peuvent venir baiser en couple sur invitation. Si les choses ont évolué naturellement en cette direction, avec du recul, je trouve ça dingue qu’on en soit arrivé là. D’un petit groupe de camarades franchissant un tabou, c’est devenu une activité extrascolaire organisée secrètement chaque semaine. Si les gens savaient... la tête qu’ils feraient ! Personne ne pourrait deviner que l’école est devenue le centre d’une telle débauche. Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de gens dans notre année qui seraient assez ouvert et pervers pour y participer. Notre salle est bondée, nous y baisons comme des animaux, nous nous y faisons du bien, sans honte ni crainte de jugement, juste pour le plaisir du sexe.
  Je me régale de tous ces cris de ces jeunes mâles et femelles en rut qui se laissent dominer par leurs hormones. Certains couples en profitent pour explorer leur sexualité. Certaines filles se sont essayées à l’anal, ce qui enhardit Bruno qui ne cesse de vouloir me convaincre qu’on le fasse aussi. Ça me fait mal de devoir le repousser à chaque fois en paraissant dégoutée, s’il savait combien j’aime ça en réalité. Plus étonnant encore, certains ont voulu tenter l’échangisme, et le pire, c’est que c’est Karine qui a initié la chose. Karine, miss "vous êtes des gros dégueulasses à vous embrasser en classe". Mon dieu, je vais finir par croire que c’est la plus perverse d’entre nous. Elle a apparemment tellement aimé la bite de Guillaume lors de notre première partouse qu’elle en a redemandée. Clarisse n’avait rien contre, mais pour que ce soit juste, elle a couché aussi avec Stéphane. Il a voulu l’enculer, mais elle a refusé, c’est un privilège réservé uniquement à son chéri. Cela me fait sourire, je la comprends parfaitement. J’imagine combien il a dû être frustré : pour une fois qu’il peut se taper une fille qui aime l’anal, il ne peut pas en profiter. Cela ne l’a pas empêché de bien se soulager dans sa chatte. Clarisse a adoré.
  Depuis, il n’est plus rare de voir des couples échanger de partenaires. Il y en a qui trouvent ça dégueulasse, moi je trouve ça sain. Je peux comprendre que même en étant en couple, on puisse fantasmer sur une fille ou un garçon ; qu’on n’a pas spécialement envie de sortir avec, mais juste de tirer un coup. Mieux vaut que cela se passe comme ça, avec le consentement des deux parties, plutôt que cela se transforme en tromperie.
  Les choses dégénèrent parfois, avec des filles qui essayent avec deux garçons, ou inversement. La petite Christine, timide, a voulu essayer mon Bruno. J’ai essayé de la détendre en le suçant avec elle. Mon chéri était au paradis d’avoir deux langues sur sa queue. Elle l’a ensuite monté et s’est faite jouir en s’empalant comme une forcenée. Elle est belle, elle est toujours belle en plein orgasme, tellement que mon amoureux n’a pas pu résister et en à éjaculer dans sa chatte. J’en ai profité pour prendre soin de ce pauvre David. Cela a dû lui faire mal de regarder sa copine prendre son pied avec un autre garçon et de voir son vagin déborder d’un sperme qui n’est pas le sien. Je l’ai sucé pour le faire sentir mieux, puis je l’ai laissé me sauter comme il en avait envie. Il m’a bien limée le salaud, il m’a prise en missionnaire sur une table. Vu comment il n’a cessé de jouer avec mes seins et qu’il m’a bouffé les tétons, il devait secrètement rêver de moi depuis un bout de temps. C’est sûr que j’ai une autre paire que les petits nibards de Christine. Même s’il n’est pas très beau, je dois avouer que moi aussi, à force de le voir baiser avec sa chérie, j’avais envie de tester sa bite.
   J’ai été surprise qu’il fasse preuve d’autant d’assurance. Je ne pensais pas qu’il pourrait prendre une autre fille que Christine d’une telle manière. Elle a décidément beaucoup de chance, c’est un bon amant. Il m’a fait changer plusieurs fois de position, et après m’avoir faite jouir, je l’ai récompensé en le faisant éclater dans ma bouche. J’ai vidé ses couilles en buvant son délicieux sperme tandis qu’il beuglait tout le long. J’ai dû en faire des jaloux.
  Nous sommes des pervers. Nous sommes tous des pervers. C’est tellement bon de pouvoir l’assumer en s’envoyant en l’air tous ensemble. Cela me fait sentir moins seule, moins honteuse. J’ai peur que cette année scolaire se finisse trop vite. Ça va vraiment trop me manquer lorsque j’irais à l’université. En attendant, je vis au jour le jour, et je me demande si d’autres élèves vont reprendre notre flambeau lorsque nous seront tous partis. Est-ce que notre club va mourir avec notre départ, ou avons-nous lancé une tradition qui sera perpétrée par les générations d’étudiants à venir ?
***
  Il y a des jours où j’en ai vraiment marre de ce boulot de merde. Sincèrement, je compte les années et les mois avant ma retraite. Quand j’ai commencé à enseigner, il y a plus de trente ans, j’étais un jeune professeur plein d’enthousiasme. Je pensais pouvoir former les nouvelles générations afin de les guider vers un brillant avenir. J’avais la naïveté de croire que j’aurais dans ma classe que des élèves assoiffés de connaissance avec qui je pourrais partager mon savoir. Le retour à la réalité a été aussi soudain que brutal. Les jeunes ne veulent pas apprendre, ils ne pensent qu’à s’amuser. Ce n’était pas comme ça à mon époque, oh non, c’était mieux avant. Aujourd’hui, je ne m’y retrouve plus du tout. Ces gosses sont décadents et arrogants. Ils croient que le monde leur appartient et que tout leur est acquis. Je pisse sur cette génération de bon à rien avec laquelle je perds mon temps. La plupart finiront sans emploi ou dans la rue ; ils l’auront bien mérité !
  Enfin, tout n’est pas perdu. Il reste encore quelques élèves studieux qui valent la peine qu’on s’occupe d’eux. Je crois que sans eux, je serais tombé en dépression depuis longtemps. Je pense entre autres à la pure et innocente Christine. Qui a dit que les filles ne pouvaient pas être bonne en math ? Cette petite ira loin, j’en suis sûr. Si seulement les autres savaient s’appliquer autant et prendre leurs études aux sérieux ; mais non, des décadents ! Tous ! Suffit d’entendre ces rumeurs qui courent dans l’école au sujet de Lucy Trojan. Dans la salle des professeurs, j’ai entendu dire qu’elle aurait couché avec plus de la moitié des élèves de son année. Bon, ce sont sans doute des balivernes, il ne faut pas exagérer, mais il n’y a pas de fumée sans feu. Cette gamine ne doit plus être vierge depuis longtemps, et doit avoir une sexualité débridée. Il faut dire aussi qu’elle ne cesse de jouer les allumeuses, ce n’est pas étonnant qu’il y en a après ça qui ont les hormones qui les travaillent. Bon, certes, je dois moi-même reconnaître que cette Lucy Trojan est vrai joli brin de fille ; elle a de quoi me faire regretter d’être vieux. Je peux comprendre qu’elle fasse tourner aussi bien la tête des élèves que des professeurs, surtout quand on sait qu’elle a une sœur jumelle.
   Ce ne sont pas les seules jolies filles de l’école. C’est un des rares bons côtés du métier : on a la chance de voir grandir des jeunes femmes très belles et très attirantes. C’en est parfois frustrant. Elles arrivent la première fois dans votre classe pure et innocente, puis elles grandissent, deviennent adultes, et quittent votre école déjà dépucelées. Parfois, je ne sais pas ce que je donnerais pour avoir la chance d’être leur initiateur... Quoi ? Oui je suis un vieux cochon ! Et alors ?! Quand on est marié à une vieille peau comme la mienne depuis autant d’années, c’est difficile de se contenir devant ces jouvencelles qui ont l’âge et la volonté d’explorer leur sexualité. Pourquoi n’y aurais-je pas droit ?! Je me ferais peut-être virer, mais ça en vaudrait la peine !
 Bah, peu importe, je délire encore. Il se fait tard et je suis toujours là dans ma classe à corriger des devoirs comme un con. Je sais, j’aurais pu faire ça de chez moi, mais je n’ai pas envie de rentrer. Enfin, la vérité, c’est que je n’ai surtout pas envie de retrouver ma femme ! Je ne vais malheureusement pas pouvoir y échapper encore longtemps, c’était la dernière copie. Quelle heure est-il ? Je dois être le dernier dans les locaux, tout devrait déjà être fermé, quoiqu’avec ce jeune proviseur distrait, on n’est jamais sûr de rien ; de toute façon, j’ai mes clés. Je me dirige vers la porte d’entrée. Tiens, un étudiant ? À cette heure-ci ?! Il tire en vain sur la poignée pour essayer de sortir. Il remarque ma présence et se tourne vers moi :
— Professeur Newman, c’est fermé ! Vous pourriez m’aider ? me demande-t-il tout paniqué.
  Évidemment que c’est fermé ! Tu t’attendais à quoi, imbécile ?! Il est dix-sept heures passées.
— Qu’est-ce que tu fais là, mon garçon ? lui dis-je d’un ton irrité. Tu devrais déjà être chez toi. — Je... je suis désolé, bégaye-t-il. J’y vais tout de suite. Vous pourriez m’ouvrir s’il vous plait ?
  Incroyable, une telle stupidité. Je viens au secours de ce pauvre bougre et lui déverrouille la porte. C’est limite s’il ne s’enfuit pas en courant. Je m’apprête à refermer derrière moi et à m’en aller, quand j’ai un éclair de lucidité : mais d’où venait-il ce garnement ? C’est un dernière année, sans doute de leur salle commune. Était-il seul ? Il n’était surement pas là pour étudier en tout cas, vu les résultats de son devoir. Il me faut aller vérifier qu’il n’y a personne d’autre, je ne voudrais pas enfermer des élèves ici toute la nuit.
  Je me dirige vers les sous-sols. Étrange, il y a du bruit, beaucoup de bruit. Certes, ils ont le droit d’organiser des événements de temps en temps, mais ils doivent d’abord en demander l’autorisation aux professeurs. Je n’ai été mis au courant de rien, ils doivent faire ça sans consentement. Un des délégués de classe aurait eu une clé pour la soirée sinon, et l’autre abruti ne se serait pas retrouvé bloqué. Des ignorants et des décadents ! Ils vont m’entendre, je vous le dis ! Ils vont se prendre la punition de leur vie ! Je m’apprête à ouvrir la porte. C’est ouvert, il n’y a pas de serrure. Je tire sur la poignée et... Mais bon sang ! Qu’est-ce qu’il se passe ici ! Ils... ils baisent ? Il y a des gens qui baisent dans les quatre coins de la pièce ! Ne me dites pas qu’ils organisent des orgies après les cours ! Ce... ce n’est pas possible. Jamais au cours de ma carrière je n’aurais pu imaginer une chose aussi sordide. Alors là... je ne suis pas près de rentrer chez moi. Je vais prendre leurs noms, contacter le proviseur en urgence, prévenir leurs parents ; je n’étoufferais pas un tel scandale, tant pis pour la réputation de l’école !
— Qu’est-ce que c’est que ce foutoir ?! crie-je.
 Je viens de les surprendre en plein délit, ils m’ont bien remarqué, et pourtant, il n’y en a pas un qui s’arrête. Ils continuent de copuler comme des animaux comme si je n’étais pas là. Mais ce n’est pas possible un niveau de débauche pareil ! Mon dieu, mais... là, dans ce fauteuil... Christine ? Oh non... la pure et innocente Christine... Je n’arrive pas à croire qu’elle s’abaisse à ça. Elle se fait prendre par son copain à quatre pattes comme... comme une chienne ! Je ne pourrais jamais faire sortir cette image de ma tête. Je la prenais pour une gentille fille, mais c’est terminé ; à mes yeux, ce n’est désormais plus qu’une pute comme les autres.
— Professeur Newton ! Quelle bonne surprise !
  Qui ose s’adresse à moi de façon si familière dans une situation pareille ? Une jumelle Trojan ? Je ne suis pas surpris, tiens. Cela doit être Lucy, ce serait bien son genre. Que... quoi ? Mais là-bas, sur la table... c’est Megan et son amoureux ? Non... elle aussi ? Je ne trouve plus les mots. Je me retourne vers Lucy. Je remarque seulement maintenant qu’elle est nue, elle n’a vraiment aucune pudeur ! Mais qu’est-ce que c’est qui coule sur son menton ? Non... ce n’est pas... du sperme ?! Cela dégouline sur ses seins. Je vais m’évanouir. Ces jeunes n’ont-ils aucune limite ?!
— Vous ne vous rendez pas compte de la gravité de la situation, mademoiselle, crie-je. Cessez tous immédiatement ! Je vais devoir prévenir vos parents sur-le-champ !
 Certains se sont arrêtés en m’entendant hurler. Enfin, ce n’est pas trop tôt, ils commencent à réaliser dans quel pétrin ils se sont fourrés. Il y en a encore tout de même qui continuent. Des animaux, de vrais animaux ! Ce ne sont plus des hommes, ils ne pensent qu’à se soulager les hormones !
— Détendez-vous professeur, me commande poliment Lucy. Il n’y a pas besoin d’ébruiter cette histoire, voyons.
 Mais quel culot !
— Est-ce que vous vous rendez compte de ce que vous faites, au moins ?— Oui. Et alors ? Nous ne faisons de mal à personne. Au contraire, nous nous faisons du bien, tous ensemble. Vous pouvez participer si vous voulez. Vous n’avez pas envie de moi ?
  Je reste bouche-bée devant autant d’audace. Elle n’attend pas ma réaction qu’elle me tourne le dos. Comment ose-t-elle ? Elle se dirige vers une table, se penche en avant et écarte les cuisses pour me montrer sa chatte et son cul. Jésus Marie Joseph, son anus est dilaté... Le petit con de tout à l’heure, je comprends mieux à présent. Il a dû tirer son coup, et il est parti. Le petit salaud ! Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Je... je bande... Je me sens si sale, si honteux. Je dois mettre fin à cette débauche ! Et vite !
— Alors professeur, me provoque Lucy, vous ne voulez pas m’enfoncer votre queue dans le vagin ? — Jeune fille ! Par pitié ! Reprenez-vous ! Je suis votre professeur ! — Allez, je suis sûre que vous en mourrez d’envie ! Vous pensez que je ne vois pas comment vous me reluquez en classe ? Venez, je vous attends. Vous n’aurez pas deux occasions comme celle-ci.
 Je... qu’est-ce qu’il m’arrive. J’hésite... Seigneur, pourquoi me soumets-tu ainsi à la tentation ? Je suis vieux, je suis marié, mais je reste un homme. Une jeune fille de dix-huit ans m’offre sa chatte ; même si c’est pour acheter mon silence, je peux difficilement résister. Mes instincts de mâle refont surface. Depuis combien de temps que je n’ai pas eu droit à une bonne baise ? N’ai-je jamais toujours rêvé au fond de me taper une de mes étudiantes comme un gros dégueulasse ? Voilà qu’une occasion se présente, vais-je oser lui tourner le dos ?
  Je regarde tout autour de moi. Les couples qui s’étaient interrompus se sont remis à copuler. La salle résonne des gémissements de plaisir de chiennes en chaleur. Le choc passé, je ne peux cacher que je suis excité. Toutes ces petites qui s’abandonnent au délice de la chair, si jeunes... si belles... Je suis jaloux, j’en ai envie moi aussi. Je me retourne à nouveau vers Lucy qui continue de me fixer d’un sourire narquois. Petite salope ! Je craque. Qui serait assez fou pour décider de mettre fin à cette orgie alors qu’il pourrait lui-même aller lui défoncer la chatte ? C’est décidé. J’ouvre ma braguette pour en sortir mon dard en érection. Elle va prendre cher, cette trainée.
 — Oui, c’est ça, monsieur Newton, venez me baiser !
  Je m’approche d’elle et lui caresse les fesses. Mon dieu, ce n’est pas une hallucination. Elle est réelle, offerte. Sa peau est si douce. Elle a raison, je suis un vieux cochon qui la reluque un peu trop en classe, mais sa poitrine est si arrogante, et ses formes si généreuses, comment pourrait-on s’en détourner ? Je passe mon gland sur les lèvres de sa chatte. Trempée, évidemment. Elle est prête à me recevoir, j’ai le cœur qui bat très vite. Je vais le faire, je vais le faire. Je m’enfonce en elle d’un trait en soupirant de bonheur puis je la lime en l’attrapant par les hanches.
— Aaaah ! Ouiiiii, professeur ! geint-elle.— Salope !  C’est ça que tu voulais ? Petite pute ! — Ouiii ! C’est ça que je voulais ! Une bonne queue qui me remplit !
  Qu’est ce qui m’arrive ? Je suis en train de sauter une de mes étudiantes. Je me sens sale, mais je suis incapable d’arrêter mes coups de bassins. Un vagin si jeune, c’est vraiment trop bon. Je deviens moi-même comme les autres : un animal, un animal qui a besoin de se soulager sur une femelle. Je suis submergé par mon instinct d’utiliser le corps de cette fille pour me faire du bien. Maintenant que je suis lancé, plus rien ne peut m’arrêter. Depuis combien de temps n’ai-je pas tiré mon coup ? Si on ne compte pas mes masturbations, peut-être des mois. J’ai faim d’elle comme je n’ai jamais eu envie de personne, pas même de ma femme.
  Je réalise ma chance : de toutes mes élèves, c’est tombé sur Lucy Trojan. Clairement une des plus belles de l’établissement. Tous mes collègues fantasmeraient de se retrouver à ma place, je compte bien en profiter. Je caresse son corps et passe mes mains sur sa poitrine. Ses seins sont partiellement visqueux de la semence d’un autre, mais j’ai trop envie de jouer avec. Je les presse et lui tire les tétons, on dirait qu’elle gémit de plaisir, quelle salope !  
  Tout autour de moi, cet incroyable spectacle de débauche continue. Bon sang, je les connais tous, ces gosses. Je les croise plusieurs fois par semaine dans ma classe. Je ne pourrais jamais plus les voir de la même façon maintenant que je les ai vus en train de s’accoupler. Eux-non plus, sans doute, que doivent-ils penser de moi ? Un vieux porc en train de se taper une petite jeune. Bizarrement, pour le moment, je m’en moque. De toute façon, personne ne me fait de commentaires, tout le monde est trop occupé à s’envoyer en l’air. Le fait qu’un professeur s’est immiscé parmi eux n’a pas l’air de les déranger le moins du monde.
  Il y doit y avoir environ une dizaine de couples ; vingt personnes en train de baiser dans la même pièce. Même dans les films, je n’avais jamais vu ça. Cela m’excite de regarder toutes ces gamines en train de faire des choses obscènes avec des garçons. Ils font ça dans toutes les positions. Certaines filles chevauchent leurs hommes, d’autres se font prendre férocement, d’autres encore pratiquent la fellation. Parmi celles-ci, je reconnais Caroline, une blonde au long cheveux lisses, à genoux devant François. Elle a de jolis seins, pas trop gros, ni trop petits, juste parfait pour tenir dans la main. Elle s’applique avec une ferveur qui m’impressionne. Elle ne suce pas juste pour faire plaisir à son partenaire, ou parce que c’est une soumise. Elle suce parce qu’elle en a envie, elle le veut pour elle, elle le veut pour lui. Cela me rend jaloux, jamais on ne m’a fait ça à moi. Du temps où ma femme me faisait encore des pipes, elle n’aimait pas ça. C’était juste pour moi, parce que nous étions encore amoureux. Les futurs ex de Caroline n’auront jamais besoin de lui demander qu’elle leur pompe le dard, elle le fera d’elle-même avec dévotion. Bon sang, je tuerais pour lui enfoncer ma queue dans la bouche et éjaculer dans sa gorge.
  Non loin, Clarisse, une fille d’apparence si sage, est en train de monter son petit-ami en lui tournant le dos. Elle s’expose fièrement devant tout le monde. Comme si ce n’était pas assez, sa chatte est vide, c’est son cul qu’elle empale sur ce mandrin de chair, et vu comment son minou dégouline de cyprine, elle semble beaucoup apprécier ! Bonté divine, la petite Clarisse. Je ne sais pas ce que je donnerais moi aussi pour pouvoir l’enculer, ma femme ne m’a jamais laissé faire ça. Mais maintenant que j’y songe, suis-je bête ou quoi ? Si j’ai envie d’enculer une fille, je n’ai qu’à enculer Lucy. Vu comment son trou de balle est dilaté, ce n’est surement pas elle qui va s’en plaindre. Je sors de son vagin et m’introduit subitement dans sa porte de derrière. Elle pousse un hurlement de surprise, et moi un râle de bonheur. Ça y est, mon plus grand fantasme, je suis dans le cul d’une fille, celui d’une de mes étudiantes, en plus. Je la ramone fort, j’ai envie de lui défoncer l’anus. C’est une salope, une pute, il n’y a aucune raison que je sois doux avec elle. De toute façon, elle aime ça, cela se voit. Jésus Marie Joseph, c’est incroyablement bon, mais où étaient les filles comme ça quand j’avais son âge ? Qu’est-ce que j’aurais voulu en ramoner des culs comme le sien. Aaaah, je suis jaloux, jaloux de leur jeunesse. Ce qui est en train de m’arriver n’arrivera sans doute plus jamais, quand eux pourront continuer à explorer les plaisirs de leur sexualité de façons toujours plus débridées.
— Aaaah ! Oui ! Bourrez-moi bien le fion, professeur Newton ! crie-Lucy. — Sale petite chienne ! fais-je en lui donnant une fessée. — Oui ! Je suis une salope qui aime la bite ! Prenez-moi comme une chienne !
  Je n’aurais jamais cru voir ça de ma carrière. Je croyais que ce genre de trainée n’existait que dans les grandes villes, pas dans une petite école d’un coin paumé comme le nôtre. Je ne pensais pas dire ça un jour, mais je suis heureux de travailler ici pour avoir pu la rencontrer.
  Je me penche sur elle et lui agrippe à nouveau les seins. Ils sont gros et doux au toucher. Comment une gamine peut-elle être aussi bandante ?! Je lui embrasse l’épaule en humant le parfum de son corps, elle sent bon. Je lui partage mes grognements de vieux mâle en rut au creux de l’oreille tout en la pilonnant avec ma longue queue. Je suis un pervers, j’ai accumulé tant de frustration à force de voir toutes ces gamines en chaleur passer devant mon nez que maintenant que j’ai enfin l’occasion de me soulager, elle va prendre pour les autres ; pour toutes les autres. Raaah, des pensées salaces que j’ai toujours cherché à enfuir remontent à la surface. J’ai envie de les baiser, de toutes les baiser. J’ai envie de défoncer le petit cul de Clarisse par devant, de me faire chevaucher la bite par Christine, de voir les seins de Caroline se balancer dans tous les sens pendant que je la prends en missionnaire, d’éjaculer sur la jolie petite gueule de Karine pour lui faire perdre ses airs de bourge hautaine. Je les veux toutes ! Je n’en peux plus ! Oui, je ne peux plus me mentir à moi-même, je suis un vieux cochon qui fantasme sur ses étudiantes.
— Plus fort ! Plus fort ! me supplie Lucy.
  Elle va finir par me tuer. Je n’ai jamais rien ressenti de pareil, je suis au paradis.
— Tu aimes ça ? Te faire ramoner le fion par un gros dégueulasse ?! — Oooh Oui ! Encore ! Aaaaaaaaaaah !
  Je n’en reviens pas. Elle jouit. Elle jouit par le cul. Je pensais au début qu’elle se sacrifiait pour tous les autres afin d’acheter mon silence, mais c’est une vraie nymphomane. J’aimerais pouvoir la garder rien que pour moi, je la défoncerais tous les jours. Je me servirais d’elle comme une vide-couille et cela la rendrait heureuse. Je n’ai jamais vu une pute pareille. Je me taperais bien aussi sa sœur tant qu’à faire. Qui n’a jamais fantasmé sur des jumelles ? Avoir une Lucy Trojan en double, quel bonheur ça doit être ! D’ailleurs, elle est où ? Elle fait quoi en ce moment ? Je me tourne vers elle, j’ai envie de la mater en train de se faire sauter. Cela m’excite de savoir qu’elle n’est pas plus innocente que sa sœur. Je la regarde en train de se faire prendre à quatre pattes. Il me faut quelques secondes pour que la connexion se fasse au cerveau : ce gars, ce n’est pas plus son petit-ami ! La salope ! Elle se fait baiser par un autre ! Où est Bruno alors ? Là, juste à côté, en train de se faire sucer par une collègue de classe. Mais qu’est-ce que...  Oh ! J’ai compris ! Ce n’est pas possible ! Je me disais bien aussi : je ne suis peut-être pas un expert qui connait tous les couples de l’école, mais il y avait des combinaisons qui me semblaient bizarre. Ces gamins ne se contentent pas de baiser entre couples, ils font aussi de l’échangisme ! Ce sont des obsédés qui ne pensent qu’à s’envoyer en l’air ! Rien que de savoir ça, ça me donne envie de tirer Lucy par les cheveux et de lui donner des coups plus secs.
   Je suis le seul vieux parmi une meute de jeune. C’est une sensation bizarre, j’ai l’impression d’être leur patriarche. Je ne sais pas depuis combien de temps cette orgie dure, mais certains "couples", commencent à finir. J’entends des garçons crier "Je jouis !" tandis que leur compagne tremble sous leur propre orgasme. Clarisse se fait baiser la bouche par Guillaume, quand ce dernier se fige soudainement en grognant. À sa façon de déglutir, je comprends qu’il éjacule. Qu’est-ce que ça doit être bon de se vider les couilles dans une gorge comme la sienne.
— Oooh Clarisse ! Je t’aime ! crie-t-il.
  Cela me rend dingue quand elle lui montre par après qu’elle a tout avalé. Caroline aussi essaie de finir son homme avec sa bouche, mais quand celui-ci sent qu’il va jouir, il la sort et se branle devant son nez. Je suis abasourdi quand je le vois en train de lui éclater à la figure. Elle a fermé les yeux et ouvert la bouche pour le recevoir. Cela n’est surement par la première fois qu’ils font ça. Je n’aurais jamais deviné que la pure Caroline se laisserait éjaculer au visage. Elle est couverte de sperme et ne semble même pas en être dégoutée. Des trainées coulent de ses seins jusqu’aux tétons. Elle en récolte avec ses doigts pour le gouter. Incroyable, elle aime la semence d’homme. Elle nettoie le sexe de son copain avec sa langue avant qu’il ne devienne trop mou.
  Je n’en peux plus de voir ça. Je tire encore plus fort sur les cheveux de Lucy en lui donnant de violentes fessées de l’autre main. Quand je m’arrête une seconde, c’est elle qui s’empale sur ma bite ; quelle petite trainée. C’est bon, mais plus assez. Je veux qu’on me suce moi-aussi. Je sors d’elle et admire son cul dilaté, je suis fier de mon œuvre. Elle tourne la tête vers moi comme pour me demander ce qui se passe.
— À genoux, salope ! lui fais-je. Viens me sucer. — Hey ! Ça ne va pas non ?! On ne me parle pas sur ce ton !— Obéis, ou je téléphone au proviseur pour tout lui raconter ! — Vous n’oseriez pas ! Vous aussi vous seriez compromis.— À mon âge, je suis en fin de carrière, tu crois que j’en ai quelque chose à faire ?
   Elle m’a cru. Elle s’agenouille et me prend en bouche. Oooh oui, cela fait si longtemps qu’on ne m’a pas fait de pipe. Elle a beau jouer la farouche, cela ne l’empêche pas de s’appliquer ; elle l’aime ma vieille bite. Aaaah ! Elle me fait même des gorges profondes. Quel bonheur ! J’ai envie de gicler.
  Les couples qui ont terminé restent pour nous regarder, certains s’enlacent amoureusement. Le petit con que j’ai croisé à l’entrée devait avoir une urgence pour partir si vite et rater un tel spectacle. À l’exception de Clarisse et de Caroline, les garçons ont joui dans le vagin de leur copine. Cela me rend fou, elles ont la chatte qui déborde de sperme. Tandis que Lucy me fait un bien fou avec sa langue, je jette un œil à Megan. Elle a retrouvé son petit-ami et se fait prendre en missionnaire sur un des divans. Bruno est allongé sur elle, il lui pétrit les seins en l’embrassant tout en remuant du bassin comme un animal.
— Megan, Megan, je t’aime, ma chérie ! Je vais jouir !
— Oui, vas-y, l’encourage-t-elle. Remplis-moi bien, fait-nous jouir tous les deux.   Elle le maintient contre elle en faisant passer ses mains dans son dos. Ses yeux roulent tellement qu’elle est perdue dans son plaisir.
— Aaah ! Je viens ! Je viens Megan ! s’exclame Bruno. Prends ! Prends ! Haaaaaaaaa !
 Elle jouit avec lui. Sa queue pulse et doit lui remplir la chatte. Bon sang, ce que ça doit être bon, j’ai hâte d’éjaculer moi aussi.
  Il ne reste plus beaucoup de monde toujours en train de copuler. La pièce en est presque calme comparé à quand je suis arrivé. Le brouhaha des gémissements de bonheur fait place aux commentaires des couples repus de plaisir. Je les entends parler de ce qu’ils ont fait, et de ce que nous, qui baisons toujours, faisons. ’Nous’ allons d’ailleurs sans doute avoir bientôt fini. Quand je vois les derniers, ils sont en extase, ils n’en ont plus pour longtemps. Après avoir cherché à faire monter le plaisir, ils cherchent l’orgasme, la délivrance. Les filles, qu’elles chevauchent les garçons ou se fasse monter comme des chiennes, sont magnifiques. Toute ma vie, j’ai cru qu’il n’y avait que trois raisons pour une femme de vouloir s’envoyer en l’air : l’argent, avoir un enfant, ou extorquer quelque chose d’un homme. Mon épouse n’est jamais parvenue à me faire perdre cette conception des choses. J’ai toujours senti qu’elle le faisait pour me garder amoureux, me faire sien, quand ce n’était pas pour me demander un truc. Ce à quoi j’assiste ici est différent : ces jeunes femmes aiment le sexe. Elles en veulent, elles en jouissent, cela me rend malade, j’ai l’impression d’avoir raté ma vie. J’aurais aimé rencontrer l’une d’entre elle quand j’avais leur âge. Quel gâchis.
  Lucy est une sacrée suceuse, je me demande combien d’hommes y sont passés avant moi ; non, à vrai dire, je m’en fou. Je meurs d’envie de lui éjaculer dans la chatte, ou mieux, dans son cul, mais salope comme elle est, et vicelard comme je suis, j’ai surtout envie de lui éclater à la gueule. Je veux la souiller, l’humilier, qu’elle sache que je ne suis pas juste un vieux, mais un mâle.
— Allez, suce, salope ! fais-je en la pressant contre ma bite.
  Putain ce qu’elle va prendre.
  Elle ne se rebelle plus ; mieux que ça, elle cherche à me finir. Oh oui, j’ai les couilles qui vont éclater. Elle pompe comme si mon sperme était un poison qu’elle cherchait à extirper.
— Allez, continue comme ça, c’est bon, fais-moi jouir, catin !
   Elle est peut-être déjà couverte du sperme d’un autre, mais elle est sublime. Rien qu’en la regardant, je bande. Sa peau est si douce et si lisse. Je n’en reviens pas qu’elle ait une paire de seins aussi énorme alors qu’elle sort à peine de l’adolescence. Cela m’excite de regarder ses lèvres coulisser le long de ma bite pendant qu’elle me branle d’une main. Elle est à genoux pour moi, soumise. Hmm, ses coups de langue ! Je vais gicler, je le sens.
— Aaaaah ! fais-je, en fermant les yeux de bonheur.
  Je sens mes couilles qui s’apprêtent à décharger mon sperme. Je rouvre les yeux avec l’intention de me finir moi-même sur elle, quand elle a une réaction étonnante : elle sort ma bite de sa bouche et me masturbe très fort devant son visage. Putain de salope ! Évidemment que je n’ai pas besoin de la forcer, perverse comme elle est, elle le fait très bien toute seule :
— Allez-y, monsieur Newton, couvrez-moi de foutre. Je sais que vous en avez envie.
  C’est inutile de m’encourager, mon jus grimpe déjà le long de ma tige. J’ai l’impression d’avoir une crise cardiaque en expulsant ma première giclée. Cela lui atterrit en plein sur sa petite gueule. Oooh, Jésus Marie Joseph, ouiiii ! Cela faisait un bail que je n’avais pas éjaculé. J’ai besoin de cracher du sperme, je lui envoie d’autres trainées en plein sur la figure, ça coule pour rejoindre ce qu’elle avait déjà sur le menton. Je n’ai jamais joui autant, elle reçoit mes jets comme si elle prenait une douche. Je ne peux retenir mes grognements :
— Salope ! Salope !
  J’ai l’impression que cela n’en fini jamais et que je suis en train de mourir. Elle me fait me décharger ce qui me reste sur ses nichons. Elle a l’air déçue quand le flot s’arrête. Putain, je peux enfin respirer à nouveau ; cette pute m’a complétement vidée. J’ai la tête dans les étoiles, je ne me suis jamais senti aussi bien, certainement pas avec ma femme. Je la regarde en contrebas toujours à genoux devant moi. Je l’ai souillée, elle a du foutre partout. Elle joue avec et se lèche les doigts pour le gouter. Je n’ai jamais vu une trainée pareille, mais si je peux la baiser comme je viens de le faire, je veux bien en voir plus souvent.
  Elle fait toujours la fière malgré ce qu’elle a pris. Soit, elle a réussi a acheté mon silence, du moins pour cette fois. Si elle tient à ce que je continue de me taire, elle a intérêt à m’envoyer une invitation pour leur prochaine session de débauche, et cette fois-là, je compte bien m’en taper une autre.
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