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Les nièces jumelles : saison 3

Chapitre 3

L'invité

Orgie / Partouze
Chapitre 3 : L’invité.
   Je ne sais pas du tout ce que je fais là, ce genre de truc n’est pas du tout mon genre. J’imagine que c’est la curiosité qui m’a poussé, et le manque de cul aussi, évidemment.
   Quand on m’a dit la première fois qu’il y avait une sorte de club d’orgie au sein de l’école, je n’y ai pas cru. Qui aurait pu ? L’idée-même paraissait totalement absurde. Pourtant, plus les rumeurs grandirent, plus j’ai commencé à y croire. On entendit toute sorte de choses, comme quoi c’était un club select, qu’on ne pouvait y entrer que sur invitation, et qu’il fallait être en couple. Forcément, moi, pauvre mec coincé célibataire avec peu d’amis, je me disais que je ne risquais pas d’y gagner ma place. Dans un sens, je m’en foutais, car je me sentais de toute façon bien trop timide pour participer à une partouse, dans un autre, j’étais hyper jaloux, car ça devait être quand-même une sacrée expérience à vivre. À force, ça a viré à l’obsession. À chaque fois que je croisais quelqu’un de mon année, je me demandais : et s’il était au courant au sujet du club ? Et si c’en était un membre ? Quand je regardais une jolie fille, je me disais : et elle, qui a l’air toute mignonne et toute gentille, est-ce qu’elle participe à ces sessions de débauches ? Je me suis toujours rassuré en me disant que de toute façon, ces histoires n’étaient que des conneries et que ce club n’existait pas, alors quand Maria, une fille de ma classe, est venue pour m’y inviter, je ne l’ai pas crue une seule seconde :
—    Tu mens, il n’y a que les couples qui peuvent y aller, lui lançais-je pour la faire avouer qu’elle se foutait de moi. —    Non, on peut aussi inviter un ou une célibataire si on en a envie.
  Ouais, super facile comme réponse.
  Elle m’a filé la date et l’heure. Je n’étais pas sûr d’y aller jusqu’à la dernière minute. J’étais persuadé que c’était une plaisanterie. Non, vraiment, un club de sexe, ça ne peut pas être vrai, et même si ça l’était, pourquoi une fille comme Maria m’y inviterait moi ?
   Maria, c’est quand-même un beau brin de fille. Grande, avec de courts cheveux roux, de belles formes et des seins ni trop gros, ni trop petits ; son mec a quand-même bien de la chance. On se connait à peine, nous ne nous parlons quasiment jamais ; cependant, elle a toujours été sympa avec moi, et c’est ça qui m’a convaincu d’y aller quand-même. Elle n’a pas la réputation d’être une connasse qui se moque des autres, alors… je me suis dit qu’elle disait peut-être la vérité. Je préférais savoir, je fantasmais sur cette histoire depuis trop longtemps. Si elle se foutait de ma gueule, au pire, je me taperais la honte, c’est tout, ce ne serait pas la première fois, mais si c’était vrai et que je n’y allais pas… j’aurais raté quelque chose que je regretterais toute ma vie.
  Il s’avéra qu’elle était sincère. Me voilà donc au milieu d’une foule d’élèves prêt à baiser dans notre salle commune des dernières années. Bordel, c’est dingue ! Ce club existe vraiment ! Je suis écœuré de penser que ça fait des mois qu’ils baisent ici tous ensemble alors que moi je n’ai jamais eu que ma main pour me soulager. Je suis super gêné, j’ai une trique d’enfer, mais je ne m’en sens pas capable. Oh, ce n’est pas que je suis encore puceau, mais je n’ai pas non plus une grande expérience et je manque d’assurance. De toute façon, même dans le cas contraire, cela ne changerait pas grand-chose : aucune de ses filles ne voudraient de moi, je suis loin d’être un beau gosse. Quelque chose me dit que je vais surtout rester là comme un con assis sur une chaise à me branler en matant les autres en train de s’amuser.
  En regardant autour de moi, je remarque qu’il y a certaines personnes que je n’imaginais pas du tout prendre part à ça. Il y a des filles qui ont l’air si prude, si innocentes d’ordinaire, et pourtant, elles sont là… et ça n’a pas l’air d’être leur première fois…
  Ça y est, ça commence. Les couples s’embrassent. Je suis tout excité à l’idée de ce qui va se passer ensuite. Ça va arriver, ça va vraiment arriver. Même si je ne vais pas pouvoir participer, rien que de savoir que je vais pouvoir regarder… J’ai hâte. Plusieurs filles se mettent à sucer des mecs, cela devient chaud. Je ne sais pas du tout s’ils sont censés être en couple ou non. Il y en a quelques-unes qui en pompent carrément deux ; mais quelles salopes ! Je n’imaginais pas qu’on avait de telles cochonnes dans l’école. Dans un coin, un élève d’une autre classe se fait carrément sucer par deux nanas. Il en a de la chance ! Je tuerais rien que pour une pipe.
  Putain, c’est vraiment trop bandant d’être là, on doit être plus de vingt. Je suis dégouté, tout le monde est occupé, sauf moi, je suis comme invisible. Bon, je m’y attendais, ce n’est pas vraiment une surprise, mais cela ne m’empêche pas d’être déçu.
   Certains ont commencé à baiser. La vache ! Ça devient sérieux là ! Ils en ont de la chance ! Je suis en train d’assister à un film porno en live ! J’ai une furieuse envie de me branler, mais je me retiens. Je suis décidément trop coincé comme gars : je suis en plein milieu d’une orgie ou des garçons et des filles s’envoient en l’air les uns devant les autres sans aucune pudeur, et c’est moi qui suis gêné. Je regarde mes camarades de cours avec envie. Ils ont la chance de se taper des meufs, eux ! Je suis trop en manque, j’ai envie de tirer mon coup.
   Quand j’ai dit que j’étais le seul à ne rien faire, ce n’était pas tout à fait la vérité. À côté de moi, il y a Chloé. Une petite blonde aux petits seins super mignonne. Elle fait partie de ces gens que je n’imaginais jamais finir ici. Elle aussi, je pense, vu comment elle rougit. Elle ose à peine regarder ce qui se passe dans la pièce. Quelque part, cela me rassure de voir quelqu’un encore plus coincé que moi, je suis malgré tout étonné qu’elle soit toute seule. Ok, ce n’est pas un canon avec de gros nichons comme les sœurs Trojans, mais bon sang, elle est quand-même super jolie. Je n’ai jamais compris comment elle pouvait être encore célibataire.  
—    Heumm. Toi aussi, c’est ta première fois ? lui dis-je pour essayer de briser un peu la glace.—    Oui, répond-t-elle en osant à peine me regarder dans les yeux. —    Tu savais depuis longtemps que ce club existait, toi ? Moi, je pensais que ce n’était que des rumeurs.—    Oui. Ma meilleure amie y participe depuis un bail, elle m’a tout racontée. —    C’est elle qui t’a invitée ?—    Oui. Cela fait longtemps qu’elle essaie de me convaincre de venir, mais j’avais toujours refusé jusque-là. Elle tient vraiment à ce que je me « décoince » un peu. —    C’est qui ton amie ?—    C’est elle, là-bas, pointe-t-elle une fille du doigt en train de se faire sauter.—    Ah bah, elle est déjà bien occupée avec son mec dis donc. —    C’est clair... Et toi ? Qui t’a invité ? —    Maria. Elle aussi, elle est… bien occupée fais-je en la désignant également. —    On dirait qu’ils nous ont complétement oublié, plaisante-t-elle pour détendre l’atmosphère.
  Je ris avec elle.
  Un silence gênant s’installe entre nous, couvert par le son des gémissements et des cris de plaisirs. J’ai envie d’elle, elle serait une partenaire idéale, mais comment aborder un sujet pareil ? Je ne suis vraiment pas du genre à aborder une fille comme ça pour lui dire « Hey ! Salut ! Tu veux baiser un coup ? » Voudrait-elle seulement de moi ? Je ne suis même pas sûr qu’elle soit venue dans le but de s’envoyer en l’air. Elle est peut-être là juste parce que son amie a insisté. Comment savoir ? Ou alors, elle en a terriblement envie, mais elle est trop timide, comme moi.
—    Il… il serait peut-être temps qu’on s’y mette, tu ne trouves pas ? lui fais-je après avoir réuni tout mon courage. —    Je… oui, j’imagine, oui. Répond-t-elle gênée. —    Tu… tu voudrais bien que toi et moi… nous… Enfin…—    Oui. Enfin… si tu veux bien de moi… —    Bien sûr que je veux bien de toi ! Tu es super jolie ! Mais toi… tu veux bien de moi ?—    Oui. Tu n’es pas mal non plus, tu sais. —      Waow ! Je vais peut-être pouvoir tirer mon coup finalement ! Avec Chloé en plus ! Je mentirais si je disais que je n’y avais jamais songé.
  Nous nous regardons un instant sans rien dire. C’est malin, je ne sais pas quoi faire maintenant. Manifestement, elle non plus :
—    Alors, que fait-on ? fais-je affreusement mal à l’aise. —    Je ne sais pas. On pourrait… commencer par s’embrasser ?—    D’accord.
   Aucun d’entre nous n’est manifestement dans notre élément, mais on en a envie. On est venu pour ça, pour baiser. Elle voulait une bite, et je vais lui offrir la mienne. Nos lèvres se rapprochent, nous nous embrassons timidement. Cela me fait bizarre, je n’avais jamais embrassé une fille avec laquelle je ne sortais pas avant, c’est comme le faire avec une parfaite inconnue. Je la prends dans mes bras pour la rapprocher un peu de moi. Elle me rend mon étreinte, cela me détend. Nous devenons plus fougueux, nos langues s’entremêlent. Je peux sentir son désir à travers son baiser, je lui fais sentir le mien. Il n’y a plus aucun doute, nous voulons l’un de l‘autre, nous allons le faire.
  Je la pelote à travers ses vêtements. Elle n’a pas beaucoup de seins, mais je m’en fiche. Elle est belle, c’est le principal. Je deviens ambitieux et glisse une main vers son entrejambe. Je la passe sous son pantalon et sa culotte. Elle est trempée, quelle découverte ! C’est bien la preuve que malgré sa timidité, elle a vraiment envie. Je lui caresse la chatte et cherche son clitoris. Il est là, tout gonflé. Elle gémit lorsque je le lui titille. De son côté, elle constate mon érection en posant une main sur mon sexe. Elle cherche à en deviner la taille, j’espère ne pas la décevoir. Elle me surprend en ouvrant ma braguette. Elle en sort ma queue et commence à me branler. Cela me fait bizarre de voir Chloé, la fille sans doute la plus innocente de l’école, jouer avec une bite.
—    Tu as envie que je te suce ? me demande-t-elle soudainement.  —    Un peu ouais ! fais-je avec un peu trop d’entrain. Mais… tu es sûre ? Tu l’as déjà fait ? Tu aimes vraiment ça ?—    Je… oui… j’aime bien sucer. —      Je vois bien qu’elle a honte de l’avouer.
  Elle s’agenouille devant moi. Je suis excité à mort. Elle m’astique encore un moment avant de me prendre dans sa bouche. Oh ! Putain ! Ce que c’est bon ! Elle monte et descend sur ma verge en bavant beaucoup pour me lubrifier. Elle n’en est manifestement pas à sa première fellation. Cela me fait tout drôle de réaliser qu’elle n’est plus vierge. Même si nous n’avons jamais été proche, cela fait longtemps que nous sommes dans la même école. Je l’ai connue jeune ado, presque gamine, et aujourd’hui, elle pompe des dards. M’enfin, c’est pareil pour presque tout le monde dans cette pièce. Il y a encore quelques années, nous étions jeunes, innocents. Aujourd’hui, nous participons à des orgies bestiales. Si nos parents nous voyaient… Cela me fait bizarre d’avoir dit « nous ». Je ne suis plus qu’un spectateur, je vais pouvoir prendre part à cette grande fresque érotique. C’est inespéré. Je n’arrive pas à croire que je vais baiser Chloé. J’ai peur de me réveiller ou qu’elle change d’avis tout à coup.
  Je gémis de bonheur en lui caressant les cheveux. Nous ne sortons pas ensemble, et pourtant, elle s’applique comme si nous étions amoureux. Elle ne mentait pas, elle ne fait pas ça juste pour m’allumer, elle aime sucer.
—    Tu aimes ? me demande-t-elle.—    Aaaah, Chloé, c’est trop bon…
  C’est donc ça son truc ? Exciter son partenaire ? Elle me regarde dans les yeux, je fonds. Elle fait de délicieux bruits de succion. Elle sort mon sexe un instant pour me lécher le gland, puis elle descend le long de ma tige pour jouer avec mes boules. Elle remonte lentement d’un grand coup de langue, avant de me rengloutir tout entier. Wow, putain ! Qui aurait pu imaginer que derrière une fille aussi timide se cachait une telle suceuse ! Je suis même étonné qu’elle ait l’air autant à l’aise. Moi, je suis embarrassé en remarquant qu’il y a des gens qui nous regardent. M’enfin, c’est le principe j’imagine : on peut mater les autres, mais eux-aussi peuvent nous mater. Je ne sais pas pourquoi, j’ai peur du ridicule et de me taper la honte. En temps normal, je prendrais la fuite, mais mon envie de baiser est si forte que j’en passe outre mes peurs. Puis bon, il faut que j’arrête de voir le mal partout, si on nous regarde, ce n’est pas forcément pour se moquer de moi, c’est peut-être aussi parce qu’ils aiment ce qu’ils voient.  
  Je détourne mon regard pour observer un peu ce qui se passe autour de moi. Purée, ce que c’est chaud de voir tout le monde en train de s’envoyer en l’air ! Ce sont quand-même mes collègues de cours, des gens que je croise tous les jours, ce n’est pas comme si c’était des inconnus. Cette fille-là par exemple, celle qui se fait saillir par son mec, plaquée contre le mur, elle est ma voisine dans le cours d’histoire. Je ne la verrais plus jamais comme avant. La plupart du temps, ces gens sont tout gentil, tout propre, mais ici, ils s’abandonnent à leurs bas instincts sans aucune retenue. Ils ne sont plus que des animaux qui ne pensent qu’à jouir et à prendre du plaisir. J’ai hâte de leur ressembler.
  Mes yeux se reposent sur la belle Chloé, toujours à la tâche. Elle prend bien soin de ma queue. Cela fait très longtemps que je n’ai pas pu tirer mon coup avec une fille, et encore plus longtemps qu’on ne m’avait pas fait de pipe.  
  Soudain, elle s’interrompt pour me demander :
—    Tu… tu veux bien me lécher la chatte, s’il te plait ?—     Avec plaisir, lui dis-je. —      Il était temps. Encore un peu, et je lui aurais éclaté dans la bouche tellement c’était bon.
  Tous les fauteuils sont pris, les tables aussi. Nous n’avons donc pas d’autre choix que de faire ça sur le sol. Par chance, c’est recouvert de moquette. Ce n’est pas le top, mais ça aurait pu être plus inconfortable. Elle s’allonge doucement, elle est hyper tendue. Je la comprends, moi aussi. Après le bien qu’elle m’a fait, j’ai la pression maintenant : il faut que je sois à la hauteur. J’essaie de me la jouer mec cool qui a confiance en lui. Je l’embrasse tendrement. J’ai le bonheur de découvrir sa petite chatte glabre au moment de lui enlever sa culotte. Elle est magnifique. Ses lèvres sont toutes gonflées. Je deviens fou à l’idée que dans pas longtemps, j’y enfoncerais ma queue et je la ramonerais ; on doit y être bien à l’intérieur. M’enfin, avant ça, j’ai un devoir à accomplir. J’écarte ses cuisses pour positionner ma tête entre ses jambes. Je lui lèche le minou. Hmm, elle coule, c’est bon. J’aime le gout de la mouille. Je lui titille le clitoris avec ma langue. Il est gros. J’arrive même à le prendre en bouche et à le sucer un peu. Elle vibre, c’est bon signe, elle a même posé ses mains sur ma tête, cela veut dire qu’elle aime ce que je lui fais, non ? Je l’espère. Je veux la rendre heureuse, qu’elle prenne son pied. Pas question de passer pour un débile incapable de satisfaire sa partenaire. Je la sens se détendre, elle est bien. Je lui enfonce deux doigts tandis que je la broute, elle renferme ses cuisses autour de mon cou.
—    Ah, oui, continue, gémit-elle. —      Je me régale de son jus, je fais des bruits obscènes, elle aussi. Je pourrais sans doute la faire jouir en poursuivant comme ça, mais je ne voudrais pas qu’elle vienne « trop vite », elle pourrait ne plus avoir envie que je la prenne après. C’est bête, je sais, c’est peut-être ma seule chance de lui donner un orgasme, je vais peut-être me montrer totalement pitoyable par la suite, mais je prends le risque.
—    Chloé, fais-je. Est-ce que je peux… heumm… Enfin… J’ai envie de te baiser. Je peux ?—    Oui, vas-y. J’en ai envie, moi aussi.—    Tu… tu as envie d’une position particulière ?—    Non, vas-y. En missionnaire, c’est très bien.
  Je me redresse, elle écarte les cuisses. Elle me veut, c’est fabuleux. J’approche mon dard de sa fente, je suis tout excité, nous y sommes enfin. Elle m’offre sa chatte, et je compte bien la prendre. Je prends une grande respiration, puis je la pénètre doucement. Je m’y enfonce entièrement. Ah ! Oui ! Putain ! Ça faisait si longtemps que je n’avais pas fourré ma bite dans un vagin ! Elle a eu un petit sursaut de panique. C’est peut-être une superbe suceuse, mais je ne pense pas qu’elle ait beaucoup plus d’expérience que moi. Nous sommes tous les deux gênés, mais nous sommes contrôlés par nos hormones. Je commence à la limer. C’est doux et onctueux. Je suis heureux. Je suis venu ici dans l’espoir fou de pouvoir baiser une fille, et j’en baise une.
—    Ça va ? Tu es bien ? fais-je. —    Oui. C’est bon, continue.
  Pour un type comme moi qui a si peu confiance en lui, voir la chatte d’une femme pénétrée par sa propre bite, et en plus la voir aimer ça, cela fait un effet monstrueux. Je me penche sur elle pour l’embrasser, elle me rend mon baiser avec la langue. Elle porte toujours son haut, je meurs d’envie de voir ses seins. Je l’aide à le lui retirer et à enlever son soutien-gorge. Ils sont merveilleux ! Ils sont tout petits, mais assez gros pour se balancer au rythme de mes coups, je les adore. Je les empoigne et lui lèche les tétons. Ces derniers ont l’air sensible vu comment elle gémit.
  Je la lime de plus en plus fort. Je perds la tête, je deviens enfin comme les autres, ivre de luxure. Je me laisse aller. Je ne suis plus ce petit con coincé, je suis désormais un animal, un pervers. J’ai besoin de la sauter, de prendre mon pied, de jouir ! Je veux qu’elle ressente la même chose que moi. Je crois que c’est le cas : elle vient d’enrouler ses cuisses autour de mon bassin. Elle s’est transformée en chienne en chaleur, suppliant qu’on lui remplisse le vagin avec une bite.
  Je suis si heureux d’être tombé sur Chloé. Je l’ai trouvée si mignonne quand elle rougissait en regardant les autres. Je la trouve encore plus belle en femme qui assume son plaisir.
—    Oh, c’est bon, c’est bon. Continue, gémit-elle. —    Oh ! Chloé ! —      Je roule du bassin pour mieux la ramoner. Je fais un effort surhumain pour ne pas éjaculer. Je rêve bien évidemment d’exploser et la faire déborder de sperme, mais je tiens surtout à ce qu’elle jouisse avec moi.
—    Vous êtes mignons tous les deux, fait une voix.
  Je panique, je perds mes moyens. J’ai beau savoir que tout le monde peut nous mater, entendre carrément le commentaire d’une personne à côté de moi me bloque. Chloé, elle, semble trop perdue dans son plaisir pour s’en soucier. Manifestement, tout ce qu’elle veut, c’est que je continue de la besogner. Je me retourne pour voir qui nous observe comme ça. C’est Maria, la fille qui m’a invité. Elle est debout, complétement à poil. Putain, elle est superbe elle aussi, avec de belles courbes et de beaux seins. J’avoue que je me suis déjà imaginé comment elle devait être toute nue. La réalité dépasse la fiction.
—    Tu n’as pas perdu de temps, poursuit-elle. Je vois que tu as trouvé quelqu’un pour t’amuser.—    Je… désolé, fais-je. —      Je n’ai trouvé rien de plus malin à répondre
—    Tu viens t’occuper un peu de moi ? C’est pour ça que je t’ai invité après tout. —    Mais je… heum… et Chloé ? Je ne peux pas l’abandonner comme ça ?
  C’est seulement après coup que je réalise l’immense connerie que je viens de faire. Maria me propose de la baiser, et je viens de lui dire non.
—    Ne t’inquiète pas. Mon copain s’occupera très bien d’elle. Cela ne te dérange pas, Chloé ? —    Je… heum… non.
  Je ne sais pas ce qui me surprend le plus : que Maria vienne me réclamer, ou que Chloé accepte si facilement de coucher avec un autre. Derrière ses airs de filles prudes, elle est comme moi, elle est venue pour se faire baiser, peu importe avec qui. Je ne suis pas sûr si cela m’excite ou si cela me déçoit.
  Nous procédons à l’échange. Le copain de Maria prend ma place tandis que cette dernière m’emmène vers un divan.
—    Tu… tu veux vraiment de moi ? lui fais-je.—    Bien sûr, pourquoi tu crois que je t’ai invité ? Par pitié ? —    Oui enfin, je… je suis étonné, c’est tout. —    J’ai toujours eu un petit faible pour toi. C’est à ça que sert ce club après tout : pouvoir réaliser nos petites envies cachées en toute impunité. —    De moi ? Pourquoi ? —    Je ne sais pas, c’est comme ça. J’ai toujours eu envie de sentir ta queue au fond de moi au moins rien qu’une fois. Pas toi ? Je ne te fais pas envie ? —    Oh si ! Bien sûr ! —    Alors viens, laisse-moi faire, je me charge de tout.
  Elle n’a clairement pas le même caractère que Chloé, elle est totalement décomplexée, parfaitement à l’aise ; faut dire qu’elle a le corps pour ça. Elle me fait m’assoir dans le fauteuil et me grimpe dessus. Elle attrape ma verge d’un geste désinvolte pour le diriger vers son entrée avant de se laisser redescendre. Oh ! Bordel ! Je vais me réveiller ! C’est obligé ! J’ai la queue dans le vagin de Maria ! Il y a des mecs qui tueraient pour ça ! Maria, ce n’est pas Lucy-la-pute ouverte à tout le monde. De toutes les personnes qu’elle pouvait choisir, elle m’a choisi moi. Je ne comprends toujours pas pourquoi, mais franchement, je n’ai pas envie de me poser ce genre de questions pour le moment. Je profite d’abord à fond, je réfléchirais ensuite. Elle bondit sur moi. Je mets mes mains sur ses hanches pour l’accompagner. Rohlala, moi qui avait peur d’assister à une orgie sans même avoir la chance de participer, voilà que je baise avec une deuxième fille d’affilé. Je ne sais pas quoi faire, je panique, je ne voudrais vraiment pas la décevoir en faisant un geste déplacé. Je joue dans la cour des grands là, c’est une femme expérimentée, elle doit avoir des attentes plus élève que Chloé.
  Le spectacle de ses fantastiques seins qui se balancent si près de moi m’obnubile. Chloé était belle, mais elle, c’est une déesse. J’ai peur de faire une connerie, mais je me dis que ne rien faire serait certainement encore pire. Je prends alors mon courage à deux mains pour lui peloter les nichons. Ce sont les plus beaux avec lesquelles je n’ai jamais pu jouer. Je me régale. Comme ça n’a pas l’air de lui déplaire, je vais carrément lui sucer les tétons. Elle a de gros bouts roses, je me sens comme un bébé.
—    Tu es un petit coquin toi, déclare-t-elle. Tu aimes mes seins ?—    Oh oui, ils sont sublimes. —    Mordille-les, ça me rend folle.
 Je m’exécute. Sa chatte m’envoie un flot de mouille en guise de réponse. Non mais vraiment, je n’arrive pas à croire que je suis dans le vagin de Maria. LA Maria. Je l’enlace pour la serrer contre moi. J’ai besoin de sentir sa chaleur, de sentir que tout ceci est vrai. Elle a une réaction inattendue, elle m’attrape par la tête pour me forcer à l’embrasser. Waow, alors elle ne déconnait pas ? Elle me voulait vraiment ? Je veux tout faire pour la faire jouir.
—    Oh, Maria ! —    Je t’excite ? —    Tu n’imagines même pas. —    Tu m’excites aussi.
  Elle a le contrôle, elle accélère le rythme ; mais ce n’est pas encore assez pour moi. D’instinct, je me mets à lui donner des coups de reins. Il faut trop que je la baise ! Je m’apprête à arrêter en réalisant que c’était sans doute une bêtise que je prenne l’initiative, quand je l’entends crier :
—    Ah ! Oui ! Oui ! Continue ! Plus fort !
  Putain, c’est vraiment moi qui lui fais cet effet-là ? Je m’affale contre le siège, la presse contre moi, et la lime de toutes mes forces comme un animal.
—    Ah ! Salaud ! Oui ! Oui ! Défonce-moi ! Ramone-moi la chatte !
  Aucune femme ne m’a jamais parlé comme ça, j’en suis fier. Je veux encore la faire beugler afin que tout le monde sache que je ne suis pas un mauvais coup. Malheureusement, je sens que je ne vais pas tarder à atteindre mes limites. J’ai déjà eu du mal à me retenir avec Chloé, mais là, ça devient vraiment trop intense. Comme Maria n’est pas bête, elle le remarque bien vite :
—    Tu as envie de jouir, petit salaud ? —    Putain, oui ! Je n’en peux plus !—    Moi aussi. Allez, viens. Achève-nous tous les deux.
  Sérieux ? J’ai sa bénédiction ? Je me lâche complétement. Je la tire si fort contre moi que j’ai la tête dans ses nichons qui m’étouffent. Je la lime furieusement. J’ai besoin de me vider les couilles. Je n’arrive à penser à rien d’autre qu’à me soulager dans son con accueillant.
—    Oui ! Vas-y ! Tu peux cracher ton jus ! Remplis-moi la chatte de sperme !
 Non, mais là, c’est trop ! Je ne tiens plus ! Mes valves s’ouvrent, je sens que je vais mourir, je n’arrive plus à respirer, garder mon foutre va me tuer. Tout à coup, j’explose. Je sens ma queue décharger une incroyable giclée de sperme.  
—    Aaaah ! Maria ! crie-je. —    Ouiii ! Oooh ! Je te sens au fond de moi ! C’est terrible !
  Elle est frappée d’un orgasme au même instant, nous jouissons ensemble, c’est merveilleux. Ma bite continue de pulser en elle pour éteindre le feu de son vagin avec ma semence. Je remue du bassin à chacune de mes éjaculations. Je n’ai jamais rien ressenti d’aussi fort. Ne m’étant pas branler depuis quelques jours, je dois être en train de cracher de grosses quantités. Cela ne s’arrête pas, j’ai l’impression d’expulser des litres. Elle s’écroule sur moi. Nous nous apaisons doucement tous les deux. Ma queue a encore quelques soubresauts, mais je ne pense pas qu’il en ressort encore du sperme.
   Maria, son corps chaud épuisé contre le mien, et mon sexe ramollissant toujours en elle… Je la caresse tendrement comme si j’étais son mec. Je n’en reviens pas que j’ai baisé un tel canon. J’ai envie de l’embrasser, mais je me retiens, ce serait déplacé. Je suis étonné quand c’est elle qui le fait lorsqu’elle se redresse.
—    Hé bien. Cela n’a pas duré longtemps, mais tu as été parfait, commente-t-elle. Tu m’as faite jouir comme une folle.
  C’est vrai que ça a été un peu rapide, je le regrette amèrement, je n’aurais plus jamais l’occasion de coucher avec elle. J’aurais aimé pouvoir la prendre dans plusieurs positions, mais bon, pour ma défense, je me suis tapé Chloé avant. Soit, l’important, c’est qu’elle soit satisfaite, et que je ne passe pas pour un con.
  Elle s’installe dans le divan à côté de moi en posant sa tête contre mon épaule. Waow, elle est câline ! J’en profite pour l’enlacer. Je ne me fais pas d’illusion, nous ne sommes que deux amants ayant pris du plaisir ensemble, mais quand-même, je m’attendais à ce qu’elle me jette comme un mouchoir maintenant que nous avons terminé.
  Elle s’installe à côté de moi et nous regardons les autres couples. Certains ont déjà atteint le septième ciel, comme nous, mais la plupart sont toujours en pleine action. Je réalise ma chance d’être là pour participer à ça. J’espère qu’on me réinvitera à nouveau. C’est idiot, mais j’ai l’impression de participer à quelque chose d’important, quelque chose d’unique.
  Je me tourne vers Chloé afin de prendre ses nouvelles. Mais qu’est-ce que… Putain ! Mais je délire ! Elle est allongée sur une table, le mec de Maria la besogne en la maintenant par les cuisses tandis qu’elle en suce un autre. C’est une véritable cochonne ma parole ! Elle est carrément avec deux mecs ! Ça pour se décoincer, elle s’est décoincée ! C’est terriblement excitant de constater que ce n’est pas parce que c’est une timide que ce n’est pas une perverse.
  Je ne suis pas au bout de mes découvertes. Le mec qu’elle pompe se met à lui éjaculer sur la figure en poussant un râle. Je m’attendais à ce qu’elle ait une réaction dégoutée, au lieu de ça, elle ouvre la bouche en sortant la langue pour l’encourager à continuer. Non seulement cela ne doit pas être sa première fois, mais en plus, cela n’a pas l’air de la déranger. Je suis tout fou. Et dire qu’il y a une heure, je l’imaginais même pas capable de faire une pipe. Elle cachait bien son jeu.
  Quelques minutes plus tard, le copain de Maria se vide en elle. Enfin, je le devine. Je sais reconnaitre la tête d’un mec en train de cracher son venin dans une chatte, tout comme je sais reconnaitre qu’elle jouit avec lui. Ils s’enlacent, ils échangent quelques mots, puis il l’abandonne pour retourner vers sa copine.
—    Alors mon chéri, tu as pris ton pied ? lui demande Maria.—    Oh purée, ouais. On ne dirait pas, mais c’est une vraie petite salope Chloé. T’imagine ? Elle m’a laissé l’enculer !
  Hein ? Quoi ? Je ne pouvais pas le voir de là où j’étais, mais en fait, il était dans son cul ? Mais c’est dingue ! Je regrette presque qu’on ait changé de partenaire.
—    Tu ne voudrais pas me laisser faire ça un jour ? poursuit-il.—    Dans tes rêves, répond Maria. Jamais de la vie.—    Dommage, glousse-t-il. Et toi ? Ça s’est bien passé ?—    Super. Il m’a bien faite jouir. J’ai eu exactement ce que je voulais.—    J’en suis heureux pour toi. —    Oui, mais après t’avoir maté, j’ai de nouveau envie. —    Hey, mais je suis à plat moi ! —    T’inquiète, je vais arranger ça.
  Elle l’embrasse avant de le faire s’assoir à sa place pour le sucer. Carrément ? Ils y vont pour un second round ? Elle essaie de le faire rebander, je me sens un peu abandonné. Moi avec tout ça, je suis redevenu dur comme du fer tout seul. Bordel, j’ai encore envie de baiser, je ne vais pas pouvoir me contenter d’avoir tiré un seul coup. Je n’aurais peut-être plus jamais la chance de participer à une orgie, je tiens à profiter de chaque instant ! Je me tourne vers Chloé, je meurs d’envie de finir ce que j’ai commencé avec elle. Mais… Putain ! Elle a déjà retrouvé un nouveau partenaire ! Voilà qu’elle se fait prendre par derrière sur la table maintenant ! Elle est insatiable ! Un vrai sac à foutre ! Putain, j’ai plus que jamais envie d’elle. Je suis écœuré. J’ai trop besoin de vider les boules, mais je ne trouverais jamais une autre fille qui accepterait que je la saute me soulager. Me reste plus qu’à me branler comme un con.
—    Hey ? Tu rebandes ? entends-je soudain.
  C’est la nana du couple qui était en train de baiser avec nous de l’autre côté du sofa. Elle est mignonne. Je la connais, elle s’appelle Clarisse. C’est une petite rousse à lunette avec des cheveux bouclés.
—    Tu veux bien nous aider ? J’ai envie d’essayer un truc. —    Je… heum... oui ! Bien sûr !
  C’est peut-être ma chance ! J’espère que je ne me fais pas des films et qu’elle est bien en train de me proposer de s’envoyer en l’air. Je me lève et m’avance vers eux.
—    Qu’est-ce que je dois faire ? dis-je. —    J’ai envie d’une double pénétration. Mon cul, c’est uniquement pour mon copain, mais je voudrais que tu me prennes par la chatte pendant qu’il m’encule. Ça te tente ?
  Mouarf ! Elle est sérieuse là ?! En gros, elle avait juste besoin d’une bite, peu importe à qui elle appartient. Je m’estime chanceux d’avoir été là au bon endroit au bon moment. Évidemment que j’accepte ! Je n’ai jamais fait ce genre de truc, mais je rêve trop de tester ça.
  Son mec est assis sur le fauteuil, elle lui grimpe dessus en lui tournant le dos puis s’empale le cul sur sa queue. Je les regarde en m’astiquant tandis qu’ils baisent dans cette position.
—    Allez viens, ne soit pas timide, me dit Clarisse. Viens me prendre la chatte.
  Elle cesse de remuer tandis que je m’approche la bite en main. Waow, bordel, quelle journée, je vais prendre une fille en double ! Je m’insère dans son vagin :
—    Vas-y, m’encourage-t-elle. C’est toi qui donne le rythme. Baise-moi maintenant.
  C’est génial ! Je démarre un léger va-et-vient. Je ne sais pas trop comment m’y prendre. C’est trop bizarre, je sens la bite de Guillaume, son mec, à travers sa paroi de chair ; ça fait un peu gay cette histoire. M’enfin, il a bien de la veine de pouvoir profiter de son cul et d’avoir une copine aussi chaude.  
—    Vas-y plus fort. C’est bon.
  Je ne me fais pas prier, j’en meurs d’envie. J’ai juste peur de lui faire mal. J’augmente progressivement mon rythme. Comme je vois qu’elle ne semble pas s’en plaindre et qu’elle en prend même du plaisir, je finis par me lâcher et à la limer furieusement. Elle avait juste besoin d’une bite ? Moi j’avais juste besoin de m’éclater dans une chatte. J’ai besoin de baiser, de bourrer une fille, n’importe laquelle. Je suis super bien tombé tout de même, Clarisse est vraiment canon. Ses adorables nichons se balancent sous mes coups. Hélas, cette position ne me permet pas de les lécher comme je le voudrais, je suis obligé de me contenter de la peloter. Elle m’excite, et savoir que c’est une salope qui veut se faire sauter par deux mecs m’excitent encore plus.
—    Oh oui ! Putain ! C’est bon ça ! Allez ! Ramonez-moi, bande de salauds !
  Elle est en transe, elle se comporte comme une chienne. Cela m’incite à me transformer en bête moi aussi. Son mec a commencé à remuer du bassin, il devait ne plus en pouvoir d’être passif. Nous sommes tous les trois des animaux, c’est ÇA que je voulais vivre ! Baiser comme un porc, sans retenue, à en perdre la tête. On la défonce comme un vulgaire garage à bites, et elle en crie de plaisir. Je n’arrive pas à croire que c’est la troisième fille que me tape aujourd’hui, c’est bien plus que je ne m’en suis jamais tapé. Mes pulsions de mâle dominant refont surface. J’ai envie de baiser, de toutes les baiser. Toutes les filles qui sont ici, si belles, j’ai envie de leur défoncer la chatte, de les faire jouir, et d’éjaculer au fond d’elles ! Je le jure, je ferais tout pour pouvoir revenir une prochaine fois et en sauter d’autres. Je suis peut-être un gros porc, mais ce sont tout autant des chiennes en chaleur.   
—    Ah ! Oui ! Je suis pleine de bites ! J’adoooooooooore ! Encore ! Oui ! Oui !
  Putain, c’est un beau spécimen, celle-là. J’ai envie de l’embrasser, mais je ne suis pas sûr qu’elle soit aussi réceptive ou câline que Maria. Je ne sais pas quoi faire, j’ai envie de gicler. Je pensais qu’il suffirait d’attendre son orgasme, mais on dirait qu’elle les enchaine. Qu’est-ce qu’on doit faire dans ce genre de situation ? Quand est-ce qu’on peut se permettre de se soulager à son tour ? Peut-on simplement cracher son jus comme on veut ? Elle crie, elle gueule ; même au travers du brouhaha général, tout le monde doit savoir que c’est une salope en train de se faire pilonner par deux gars. Je suis trop fier d’être l’un d’entre eux.
—    Oh, putain, chérie ! intervient Guillaume. Je ne tiens plus, je viens ! —    Oui ! Oui ! Vas-y ! Remplis-moi bien le cul de ton foutre chaud ! —    Aaaaaaaaaaah !
 Bordel, il doit être en train de se décharger dans sa raie. C’est ouf ! Elle en jouit avec lui. Je ne pige pas pourquoi moi-même, mais au lieu de les rejoindre, je continue de la besogner. Maintenant qu’il a les couilles bien vides, elle et moi continuons à se servir de sa bite comme d’un simple gode michet tant qu’elle est encore dure. Nous n’arrêtons notre chevauchée que lorsqu’elle en ressort, flaque. Je saisis l’occasion pour contempler ce cul magnifique débordant de sperme.
—    Oh ! La vache ! Les garçons ! C’était super ! Vous avez été fantastique ! Mais toi, tu n’as pas joui ?—    Non, fais-je. —    Tu veux que je te suce ? J’avalerais si tu veux.—    Non, merci, ça ira.
  Mes propres mots me surprennent. Qu’est-ce qu’il m’arrive pour refuser une invitation pareille ? Je suis fou ou quoi ? Non, en fait, je réalise pourquoi je n’ai pas éjaculé en même temps que Guillaume : je n’ai pas juste envie de lâcher mon jus au fond de n’importe quelle chatte. Chloé, je veux Chloé. Elle m’obsède ! Je la veux ! Où est-elle ? Je me mets à sa recherche. Elle est là, toujours allongée sur la table. Elle est enfin libre ! Je vais pouvoir l’avoir ! Je vais dans sa direction. Mon dieu ! Elle a bien dû s’éclater : elle a le visage et les seins maculés de sperme. Je sais que c’est con vu que je me suis moi-même tapé deux autres nanas, mais je ressens néanmoins une profonde jalousie.
  J’ai peur de m’être emballé pour rien. On dirait qu’elle a eu son compte et qu’elle récupère ; ce qui expliquerait qu’elle reste ainsi inerte. Elle a dû prendre un pied monstrueux pour terminer dans un tel état, elle ne voudra peut-être plus de moi maintenant ; il n’y a qu’une seule façon de le savoir. Son cul déborde de sperme, celui du copain de Maria, sans doute ; peut-être également celui d’un autre. Purée, mais combien de mecs lui sont passés dessus ? Elle a eu un sacré succès. J’espère que cela lui donnera un peu plus de confiance en elle de voir qu’il y en avait autant qui avaient secrètement envie d’elle.
—    Ça va ? lui dis-je.
  Putain, c’était quoi ça ? J’ai l’air d’un gros nul. Je ne sais vraiment pas comment aborder une fille.
—    Je… oui, répond-t-elle en cachant soudainement son intimité de ses deux mains.   C’est comme si elle ne se rendait compte que maintenant qu’elle se trouve dans une situation gênante.
—    Chloé… je… Tu voudrais bien qu’on reprenne où on en était ? —    Tu as encore envie de moi ?—    Oui… Beaucoup. —    Moi aussi, j’ai envie, ça m’a laissé un peu sur ma faim d’avoir été séparés comme ça.—    Tu as l’air pourtant d’avoir été très occupée, fais-je en plaisantant. —    Oui, rigole-t-elle. Je ne sais pas ce qui s’est passé, tout le monde a voulu de moi. —    Cela ne m’étonne pas, tu es superbe—    Merci, rougit-elle. —    Dis, je pourrais, heum… t’enculer ? —    D’accord.—    Tu es sûre ? Tu aimes vraiment ça ?—    Je… j’adore, avoue-t-elle embarrassée.—    Waow. Je n’imaginais pas que tu serais fan dans ce genre de truc. —    Moi non plus. Mon ex a voulu essayer, j’étais réticente au début, j’ai accepté pour lui faire plaisir, puis finalement, ça m’a plu.
  Purée mais comment on peut devenir « l’ex » d’une fille pareille ? Quand on a la chance de l’avoir, la moindre des choses, c’est de tout faire pour la garder ! Peu importe, c’est mieux ainsi, cela me donne la chance de pouvoir la sodomiser.
—    Tu… tu as une position que tu préfères pour ça ? fais-je. —      Je tiens à ce qu’elle se sente bien.
—    Et bien… Tu veux bien me prendre en levrette ?—    Oui. Avec plaisir.
  Je l’aide à se relever de la table. Elle a l’air frêle et épuisée. J’ai envie de l’embrasser, mais pas avec du foutre au visage. Je pensais qu’elle se contenterait de se retourner, au lieu de ça, elle s’installe sur le sol devant moi. Bordel, on ne voit pas ça tous les jours : la magnifique Chloé, à quatre pattes, le cul à l’air à attendre que je l’encule. Je suis dur comme du fer, je savoure ce moment.
  Je me mets à genoux derrière elle. C’est dingue, j’ai éjaculé dans la chatte de Maria et j’ai pris Clarisse en double, pourtant, c’est elle qui m’excitent le plus, cette petite blonde aux petits nichons. Je n’avais jamais enculé de fille auparavant, c’est un de mes grands fantasmes, j’ai du mal à croire que je vais enfin le réaliser. J’essaie d’introduire mon champignon dans son anus, je ressens une résistance.
—    Vas-y. Pousse, m’encourage-t-elle.
  Ça y est, je suis entré. Je la pénètre tout doucement pour ne pas lui faire mal. Je n’en reviens pas, je ne rêve pas, je suis dans le cul de Chloé. Ce que c’est bon, et incroyablement serré.
  Je commence à la besogner. J’essaie d’être doux, mais c’est super dur de se retenir de la bourrer. Comme pour avec Clarisse, j’augmente ma cadence au fur et à mesure que je vois qu’elle est réceptive à ce que je lui fais. Je me demande combien de fois elle a déjà fait ça, car elle encaisse sans problème, elle doit être habituée. Il ne me faut pas longtemps pour pouvoir y aller à fond. Je la maintiens fermement par les hanches en lui donnant de puissants coups de reins. Je perds la tête comme tout à l’heure, je redeviens une nouvelle fois un animal en rut. J’ai tellement envie de la prendre comme une brute, de la baiser, de la sauter.
—    Putain ! Chloé ! Je vais te défoncer le cul ! —    Oui ! Oui ! gémit-elle.
  Quelle salope, elle prend vraiment son pied. Cela m’incite à y aller plus fort, à être encore plus cru.
—    Tu me rends fou. J’ai envie de faire un cratère de ton trou de balle depuis tout à l’heure.—    Vas-y.—    Tu aimes ça ? Te faire enculer comme une chienne ? —    Oui. Je suis une chienne.
  Je ne sais pas ce qui me prend. Faut croire que mes précédents exploits ont fini par me donner de l’assurance. J’ai envie de la dominer. Non, de la posséder de la faire mienne. Je suis en colère de savoir que d’autres ont profité d’elle, qu’on l’a couverte de sperme. Je la veux pour moi, pour moi seul. Je veux la faire jouir plus fort que tous les autres salauds. Je veux lui prouver que je suis digne d’elle.
—    Tire-moi par les cheveux, me balance-t-elle.—    Sérieux ?!—    Oui.
 Sans déconner. Au fond, elle est comme moi : timide au début, mais une fois dans l’acte, plus rien ne l’arrête. Je l’attrape par les cheveux et lui tire la tête en arrière. Pour une fois, je voudrais bien que tout le monde nous regarde. Qu’ils voient cette superbe fille crier de plaisir parce que JE la sodomise. D’ailleurs, maintenant que j’ai gouté à son cul, je sens que ça va être difficile de m’en passer. C’est vraiment trop bon !
  Vu qu’elle a l’air d’aimer se faire dominer, je me demande si elle aime aussi la fessée. J’essaie, je lui donne une bonne claque. Son corps réagit positivement par des frissons.  
—    Ah ! Putain ! Salope ! fais-je en le constatant.
  Je n’en peux plus, il m’en faut encore plus. Je lâche ses cheveux pour changer de position. Cette fois, je la monte, littéralement. Je me mets sur la pointe des pieds pour avoir plus de hauteur. En réaction, elle écrase son torse sur le sol pour m’offrir une meilleure pénétration. Je lui donne de virulents coups de bassin. Je n’ai jamais baisé une fille aussi fort, je veux la rendre dingue comme elle me rend dingue.
—    Hey ! Chloé ! intervient soudain quelqu’un. Je ne t’avais pas vue. Je suis contente de voir que tu es venue. Je vois que tu as trouvé quelqu’un avec qui t’amuser.—    Ah ! Sophie ! Oui ! répond l’intéressée.
  Je me retourne vers cette dernière sans néanmoins m’arrêter. Cela doit être l’amie qui l’a invitée. Du sperme s’échappe de sa chatte, on dirait qu’elle a été bien occupée elle aussi.
—    Vous êtes mignons tous les deux, commente-t-elle. Allez, vas-y. Baise-la cette salope, regarde combien elle en a envie. Mais tu l’encules en plus ? J’étais certaine qu’elle cachait bien son jeu. Oh, ce que tu es belle ma chérie. Tu es bien ? Tu es heureuse ?—    Oui ! Oui ! Je suis heureuse de me faire enculer. —    Puisque c’est comme ça, je te réinviterais la prochaine fois. Je suis sûre qu’il doit y avoir plein d’autres garçons qui seraient ravis de te ramoner le fion. —    Non ! Non ! fais-je. Elle est à moi ! À moi !—    Oooh, mais tu as un fan, dis-moi. Je t’avais dit que tu les rendrais fou. Allez, je vous laisse, je suis épuisée. Amusez-vous bien tous les deux. Et toi, tu as intérêt à la faire jouir, sinon…
 Elle s’en va sans finir sa phrase. Enfin tranquille. Je sens que je vais atteindre mes limites. Je n’en peux plus.
—    Chloé, j’ai envie de gicler, putain !—    Vas-y, décharge-toi dans mon cul.—    Non. J’ai envie de… te jouir à la figure. Tu veux bien ?—    D’accord, mais fais-moi jouir d’abord. —    C’est vrai ? Tu es sérieuse ?—    Oui, fais-moi jouir, et je te promets que je te ferais éjaculer à t’en assécher les couilles.  
 Elle est si mignonne quand elle est vulgaire. Je ne la croyais pas capable de telles obscénités. Je redouble donc de vigueur en essayant de penser à des choses désagréables.
—    Continue ! m’incite-t-elle. Je ne suis pas loin de venir. Aaaah !—    Vas-y, Chloé. Jouis ! Jouis comme tu le mérites ! —    Ouiiii ! —    Je veux que tu jouisses par ma bite dans ton cul. —    Oooh ouiii, dans mon cuuuuul.   —    Ta copine a raison, tu me rends dingue. Je me suis tapé deux autres filles aujourd’hui, mais aucune ne m’a autant excité de toi. —    Aaah ! Continue ! Ça vient ! Ne t’arrête pas ! Ne t’arrête pas ! —    Je n’ai aucune envie de m’arrêter, je veux te baiser encore et toujours ! —    Aaaaaaaah ! Je jouiiiiiiiiiiiiis !
  Enfin ! J’ai réussi ! Je rêvais de voir ce spectacle. Tout son corps se met à trembler tandis que je continue de lui limer l’anus. C’est une tordue, je ne pensais pas que les filles pouvaient vraiment jouir par le cul. Son œillet se resserre autour de ma bite comme pour me supplier de venir avec elle. Je me retire à temps, je tiens à avoir ma récompense. Elle est toujours en plein orgasme, il semble être violent. D’un côté, j’en suis d’autant plus heureux, de l’autre, je deviens impatient. J’attends qu’elle reprenne ses esprits. Lorsqu’elle ouvre les yeux, je la fais se redresser en la collant contre moi. Quel dommage qu’elle soit si gluante, je l’aurais bien caressée et embrassée. Je ne me suis jamais senti aussi détendu avec une fille.
—    Ça va ? Tu as aimé ?—    Oui, tu m’as donné beaucoup de plaisir, merci.
  J’ai envie de lui demander si c’était mieux ou moins bien qu’avec les autres, mais j’ai trop peur de la réponse. Au lieu de ça, je lui demande :
—    Est-ce que maintenant, je peux… —    Oui, viens, je vais te faire jouir sur ma figure. —    Cela ne te dérange vraiment pas ? Je veux dire… je sais que c’est un peu dégueu… —    Moi, j’aime ça, me confie-t-elle, les joues roses.—    Sérieux ?—    J’aime bien… jouer avec le sperme…
  C’est vraiment qu’une cochonne….
  Je me remets debout tandis qu’elle s’agenouille devant moi. Elle me branle puis me suce pour m’exciter. Elle veut vraiment me faire jouir. Je sais que je suis vraiment un pervers de lui avoir demander ça, mais… je suis un salaud, j’ai envie de la souiller, de marquer mon territoire. Je suis tellement jaloux que d’autres lui ont éclaté dessus, je veux le faire moi aussi. Malgré qu’il ne s’agît pas de ma semence, je la trouve diablement érotique avec du foutre coulant ainsi sur son visage et les seins.
—    Vas-y, tu peux jouir. Je le veux pour toi moi-aussi, m’encourage-t-elle. Tu n’as plus à te retenir. Je t’ai promis de t’assécher les couilles, alors vas-y, donne-moi tout, jusqu’à la dernière goutte. —    Ooh Chloé, ça y est, je viens !
   C’est trop. L’entendre dire ce genre de cochonnerie a déclenché mon orgasme. J’ai peut-être déjà éjaculé il n’y a pas si longtemps, mais j’ai l’impression que c’est ma première fois depuis des siècles. Je sens mon jus grimper et s’amasser dans mon champignon. C’est toujours le moment le plus horrible. J’ai besoin d’exploser, mais cela ne sort pas, pas encore. Je prends mon sexe en main pour me branler moi-même, elle me présente son visage pour que je puisse le souiller. En regardant ses yeux, je comprends qu’elle est aussi impatiente que moi. Je grogne lorsque j’expulse enfin ma première giclée, puissante et copieuse. Je jouis enfin ! C’est une libération ! J’ai besoin de me vider. Cela lui atterrit en plein sur la gueule. Je suis un gros dégueulasse, j’adore ça. Je lui en envoie d’autres, elle les reçoit sans le moindre mouvement de recul. Elle bouge la tête de droite à gauche pour que j’en lui recouvre plus de surface ; mais qu’elle salope !
—    Chloé ! Chloé !
  J’en pleure de bonheur.
  J’ai l’impression que cela dure une éternité. Je lui donne tout ce que j’ai. Elle avait raison, elle m’assèche les couilles. Quand le flot s’arrête, je n’ai vraiment plus rien à tirer. Je suis complétement étourdi. Même avec les yeux ouverts, j’ai l’impression de ne rien voir. Il me faut un temps pour récupérer l’usage de mes sens. Lorsque c’est fait, je la découvre en train de s’étaler mon sperme sur le visage et les seins. On dirait que ça l’excite. Pire encore, elle en ramasse avec ses doigts pour les porter à sa bouche.
—    La vache ! Tu aimes ça ?—    Je… oui. Je trouve que ça goute bon.
  Si j’avais su… je lui aurais peut-être demandé d’avaler…
  Aussi érotique qu’est ce spectacle, mon sexe redevient flasque, comme s’il était encore plus épuisé que moi. Il n’y aura pas de troisième round, c’est certain. Chloé et moi nous trouvons une place dans un coin et regardons les autres qui continuent de baiser. Je la serre dans mes bras, tant pis si elle est gluante. J’ai presque trop peur qu’elle m’abandonne pour rejoindre un couple à la recherche d’un nouveau coup de bite. M’enfin, il n’y a pas de risque, elle a l’air d’avoir eu son compte cette fois-ci.
  Nous ne sommes pas les premiers à avoir fini ; la plupart des gens font comme nous, d’autres s’en vont après s’être rhabillé. C’est tellement beau de regarder ses collègues de classe aussi bestiales, il y a même des filles qui tentent des expériences lesbiennes. Je suis si heureux d’avoir pu participer activement à cette orgie. J’avais peur d’être à l’écart, ou de ne pas savoir me lâcher assez pour me fondre dans la masse, mais cela n’a pas été le cas. Cela me rend à la fois fier et proche d’eux.
  Au bout d’un moment, Chloé veut s’en aller :
—    Attends, fais-je pour la retenir. —    Oui ?—    Chloé, je… Tu voudrais bien sortir avec moi ?
  C’est sorti tout seul. En temps normal, je me sentirais déjà con, mais là, vu la situation…
—    J’en serais ravie.
  J’ai l’impression d’avoir mal entendu. Je lui demande de répéter pour m’assurer que je n’ai pas rêvé. Elle me sourit, me fait un baiser sur la joue, puis s’éclipse. Je n’en reviens pas ! J’ai une copine ! Enfin… je crois. Lui proposer un rancard après l’avoir baisée et enculée, ça fait un peu bizarre, on fait vraiment les choses à l’envers… Je m’en fou, je suis le plus heureux des hommes. Malgré ce qui s’est passé, elle l’a accepté. Elle m’a accepté, moi, pas les autres qui l’ont pourtant aussi sauté.
  Chloé et moi sommes donc sortis ensemble dans les jours qui ont suivi. Nous avons rebaisé, dans l’intimité cette fois. Mes premières impressions se sont décidemment confirmées : quand elle n’est pas timide, c’est une vraie petite chienne qui aime être un peu soumise. Cette fois, je lui ai demandé de m’avaler. C’était aussi la première fois qu’une fille me faisait ça. Je ne vais vraiment pas m’ennuyer avec elle.
  Nous sommes retournées au club d’orgie, mais en tant que couple cette fois. Bien que je sois très jaloux, nous pratiquons de temps en temps l’échangisme. Cela m’a permis de coucher avec d’autres jolies filles. Je ne pensais pas qu’elles voudraient de moi, mais apparemment, vu mes performances de l’autre fois, elles étaient tentées de m’essayer. J’ai trouvé ça flatteur. Bon, cela ne me plait pas de savoir que Chloé s’envoie aussi en l’air avec d’autres garçons du coup, mais ça va, j’ai confiance. Elle m’a avoué que j’étais celui qui l’avait faite la mieux jouir la dernière fois, et qu’elle prend vraiment son pied avec moi ; cela suffit à me rassurer. C’est drôle, si les choses deviennent sérieuses entre nous, nous ne pourrons clairement jamais raconter comme nous nous sommes rencontrés et avons commencé à nous voir. Peu importe, une chose est sûre, c’est que je l’aime très fort.
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