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Les nièces jumelles : saison 3

Chapitre 4

Inceste
Chapitre 4 : Notre quotidien
   Quand elles ont emménagé chez moi, j’ai toujours su que vivre avec deux adolescentes ne seraient pas facile. Je pensais que les choses iraient mieux quand elles seraient plus adultes ; j’avais tort, c’est toujours aussi difficile, juste pas de la même façon. Elles sont jeunes, elles sont belles, leurs hormones les travaillent et, peut-être à tort, je leur ai appris à ne pas en avoir honte et à se laisser aller. Du coup, alors qu’autrefois elles étaient turbulentes juste parce que c’était deux gamines qui voulaient s’amuser, aujourd’hui, elles sont toujours aussi turbulentes car elles ne pensent qu’à baiser.   
   L’autre jour, je rentre crevé après une rude journée de boulot, et je retrouve une des jumelles à genoux devant un des fauteuils en train de faire un cunni à sa sœur :
—    Tonton, tu viens nous rejoindre ? me dit celle qui se fait lécher. —    Non, merci, je suis vanné.
  Je ne sais même pas laquelle est laquelle.
  Quelqu’un de normal serait sans doute scandalisé : ce sont deux filles, elles sont de la même famille, et elles font ça sans gêne dans le salon. Sauf que dans cette maison, ce genre de scène arrive presque quotidiennement ; c’est devenu banal.
  Il est tard alors je vais nous préparer le diner. Rien de très spécial, un truc facile, juste des pâtes carbonara. Tandis que je m’attèle à la tâche, je peux entendre leurs gémissements de là où je suis :
—    Oh ! Ah ! Oui ! Megan ! Vas-y ! Continue !—    Oooh Lucy, je t’aime. —    Oh, moi aussi, ma sœur ! Je vais jouir ! —    Moi aussi ! Aaaaaaaaah !—    Aaaaaaaaaah !
  Non, vraiment, tout ce qui a de plus banal.
  Alors que le repas est presque prêt, je les vois débarquer dans la cuisine à quatre pattes complétement à poil :
— Mais qu’est-ce qui vous prend toutes les deux ?— Ça sentait bon, on est venu voir ce que c’était, dit l’une. —    Ouais, ça sent la bite, dit l’autre.
  Sans que j’aie mon mot à dire, elles rampent jusqu’à moi puis s’accroche à mon pantalon pour en ouvrir la braguette. Enfin… « sans que j’aie mon mot à dire », j’avoue que je les laisse un peu faire aussi.
—    Nous avons très faim ! s’exclame une jumelle.
  Elles sortent ma queue et commencent à me sucer. Je sais, c’est mal, ce sont mes nièces, mais je reste un homme ; alors quand vous avez deux petites chiennes à la maison qui réclament votre bite, vous ne réfléchissez pas, vous la leur donner.
  Quand je pense qu’elles étaient encore vierges et innocentes il y a moins d’un an. Aujourd’hui, ce sont des vraies reines de la pipe ; les enfants grandissent trop vite. Elles sont si belles : de longs cheveux noirs, des formes généreuses, et une énorme paire de nibards. Merde, je sais que je ne suis qu’un sale pervers, mais je serais tellement jaloux de savoir qu’elles sont sexuellement actives sans que je puisse moi-même en profiter.
  Je pensais qu’elles me feraient éjaculer sur leurs figures, mais elles sont pires que ça. L’une prend la casserole de sauce, puis elles me traient toutes les deux pour me faire éclater dedans. J’essaie de me retenir, vraiment, je ne veux pas faire ça, mais elles sont trop fortes.
—    Vous êtes des salopes ! crie-je en crachant mon sperme sur notre repas du soir. —    Ouiiii ! Ce que ça va être booooooooooon !
  À table, bizarrement, j’ai mangé mes pates sans accompagnement. Elles, par contre, elles se sont ragalées :
—    Hmm, tonton, commente Lucy, tu ne nous as jamais fait un truc aussi bon ! —    Ça doit être mon « ingrédient secret », fais-je pour plaisanter.
  Mes deux petites canailles. Je les déteste, mais je les aime…
  Un peu trop même. Je suis fou amoureux de Megan. Je sais, baiser, c’est mal, mais ça, c’est encore pire. Que voulez-vous ? Aucune femme ne m’a jamais rendu aussi heureux, devrais-je renoncer à mon bonheur juste pour un détail aussi stupide que les liens de sang ? Non, jamais. Notre relation est néanmoins loin d’être facile. Elle n’est pas… exclusive. En dehors de moi, elle sort avec ce gars, Bruno, un mec de son école. Évidemment, cela me tue de savoir qu’ils couchent ensemble, mais j’ai peur de la perdre si je ne suis pas capable d’accepter ça. Elle est jeune, elle a envie de s’amuser et de rencontrer des gens, c’est normal, je ne voudrais pas la rendre malheureuse en l’en lui privant. Je trouve mon réconfort dans la confiance que j’ai en elle. Je crois en notre amour. Peu importe avec qui elle couche, je sais qu’elle reviendra toujours vers moi. Qu’au fond, c’est moi son homme, celui qu’elle aime véritablement.
  Vous allez me dire que je ne devrais pas accepter ce genre de situation ? Et pourquoi pas ? Je couche bien aussi avec sa sœur. Je pourrais avoir deux femmes, mais elle ne pourrait pas avoir deux hommes ? Cela n’aurait aucun sens. Enfin, Lucy n’est pas vraiment ma « deuxième femme », c’est plus compliqué que ça. Lucy, j’ai honte de le dire, mais c’est une trainée qui couche avec n’importe qui. Une véritable putain. Pourtant, je l’aime quand-même. Pas de la même façon que Megan, bien sûr, mais très fort. Elle le sait, et elle en joue. De temps en temps, elle se filme en train de s’envoyer en l’air avec un autre garçon et m’envoie la vidéo pour me rendre jaloux. Ça me rend tellement dingue qu’après ça, il faut que j’aille la trouver pour la défoncer. En général, c’est une fille avec de grands airs qui se la joue dominatrice, mais dans ces cas-là, c’est tout le contraire. Quand je lui ramone le cul en lui tirant les cheveux, elle me supplie d’y aller plus fort. Elle est pire que Megan en soumise. Megan est une éternelle romantique ; elle, elle veut que je lui crache dessus, que je la traite de tous les noms, et que je me serve d’elle comme un sac à foutre. De sang-froid, je ne pourrais pas agir comme ça, mais quand elle me met en colère de cette façon… elle prend cher.
  Le plus horrible, c’est que j’aime ça, moi aussi. Je veux dire, cette fille, je l’ai connue innocente, je l’ai élevée quand elle était gamine, je la connais depuis qu’elle est bébé, et pourtant, j’aime la souiller en la baisant comme la dernière des putes. J’ai l’impression d’être un monstre. D’après elle, je suis le seul qui lui donne envie de se faire prendre comme ça. Je ne sais pas si c’est vrai, mais honnêtement, je ne préfère pas savoir.
  Megan et Lucy… Parfois, j’aimerais les avoir toutes les deux rien que pour moi. Oui, oui, même Lucy. Je sais que je ne devrais pas. Je suis en couple avec Megan, nous partageons un lien unique, et pourtant, parfois, j’aimerais qu’elles n’aiment toutes les deux rien que moi. Bon, après, je ne suis pas totalement débile, je réalise que c’est égoïste et stupide. Je suis heureux avec Megan, c’est tout ce qui compte.
  Quand je dis que je voudrais « qu’elles n’aiment toutes les deux que moi », ce n’est pas tout à fait vrai. S’il y a quelque chose qui me touche et que je trouve merveilleux, c’est l’amour qu’elles ont également l’une pour l’autre. Je ne dis pas ça simplement parce que je fantasme sur les lesbiennes, mais voir deux sœurs s’aimer autant, c’est émouvant ; cela ne devrait pas être interdit. Je craque à chaque fois que je les vois s’embrasser toutes les deux, c’est si mignon. L’amour qui se lit dans leurs yeux me fait frissonner. Comme je suis leur amant, j’ai parfois le droit de regarder lorsqu’elles font des choses entre elles, à la seule condition que je n’intervienne pas. Je suis donc là en train de me branler silencieusement tandis qu’elles se lèchent mutuellement le minou et qu’elles se caressent sensuellement. Évidemment, elles me récompensent à la fin en me faisant jouir dans leurs bouches ou sur leurs visages. C’est juste fantastique de les observer en train de faire l’amour. Les gémissements qu’elles font lorsqu’elles se donnent du plaisir, les mots doux qu’elles s’échangent. Le plus bandant, c’est quand elles utilisent la collection de jouets que je leur ai offertes. Elles s’enfoncent des plugs dans le cul ou des godes dans la chatte, parfois même les deux en même temps. Je m’astique comme un fou quand je les vois utiliser le double gode en ciseau et qu’elles se font jouir toutes les deux ; ou mieux encore, quand elles sont toutes les deux à quatre pattes et qu’elles se mettent chacun un bout dans l’anus, leurs paires de fesses collées l’une contre l’autre. Mon joujou préféré, ça reste le gode ceinture. Il n’y a rien de meilleur de mater une jumelle en train de baiser l’autre comme un homme, que ce soit en missionnaire, en levrette ou en cowgirl, et de voir leurs seins se balancer, ou pressés entre leurs deux corps chauds. Ce jouet-là, je peux vous dire que nous l’utilisons souvent lors de nos fréquentes parties à trois.
  Car oui, forcément, l’avantage de s’aimer de cette façon, c’est de faire l’amour tous ensemble. Certains ont peut-être la chance de faire ça juste quelques fois dans leur vie, nous c’est tout le temps. C’est sûr que c’est plus simple lorsque nous vivons sous le même toit, et mieux encore, lorsque nous partageons le même lit. Les jumelles ont peut-être encore leur chambre à elles, mais toutes les nuits, nous dormons dans la mienne. Après toutes ces années de solitude, se réveiller non pas aux côtés d’une, mais de deux femmes, c’est un bonheur indescriptible. Ce sont les femmes de ma vie, elles sont incroyables, il n’y en a pas d’autres comme elles.
    J’ai honte de dire qu’il y a eu une époque où nous ne nous entendions pas. Lorsqu’elles ont perdu leurs parents et qu’elles ont emménagé avec moi, je crois qu’on se détestait mutuellement. Je n’étais pas du tout prêt à devenir leur père, et elles n’étaient pas du tout prêtes à faire leur deuil. En repensant à ça, je remercie le ciel tous les jours que nous en soyons là aujourd’hui. Même si ce n’est toujours pas facile tous les jours, elles me rendent heureux.
  Je fais tout pour prendre soin d’elles, mais elles savent aussi prendre soin de moi. J’ai quand-même de la chance de vivre avec des filles aussi coquines. À chaque fois je m’endors, je ne sais pas si je vais me réveiller par le bruit qu’elles font en baisant à côté de moi le matin, ou par la douce caresse d’une fellation. J’adore quand une me demande de la prendre discrètement alors que l’autre dort encore dans le même lit, mais j’avoue que je préfère encore plus lorsque la première chose que je vois en me réveillant, c’est leurs deux visages me suçant la bite. Parfois, elles font ça juste pour se régaler de mon sperme, en d’autres occasions, ce ne sont que des préliminaires pour une partie de jambes en l’air.
   Ce qui est excellent, c’est que puisqu’elles sont lesbiennes entre elles, quand on baise à trois, c’est vraiment « à trois », ce n’est pas juste moi qui profitent de deux filles. Pendant que j’en encule une en levrette, celle-ci lèche la chatte de l’autre. Lorsque je suis allongé, j’en ai toujours une qui me presse son minou sur la figure pour que j’en prenne soin tandis que l’autre se fait plaisir sur ma bite. Comme elles raffolent de la double pénétration, j’aime aussi leur enfoncer des plugs dans le cul pendant que je leur défonce le vagin, ou alors jouer simplement avec leurs orifices en les pénétrant avec nos jouets. Les gémissements qu’elles font quand je les lime avec les godes me font trop bander.
  Cependant, les joujoux ne remplacent pas un vrai sexe. C’est là que le gode ceinture intervient. Ce n’est toujours pas une bite en chair, mais au moins, il y a plus de chaleur humaine. J’adore fourrer l’une des jumelles avec l’aide de sa sœur, la baiser tous les deux et l’entendre crier de plaisir. Mon péché mignon, c’est de voir Megan pilonner Lucy. Elle qui a plutôt tendance à être soumise, voir les rôles s’inverser m’excite, surtout quand on ramone ensemble notre victime comme la dernière des putes. Lucy peut être vachement chiante parfois, c’est un peu notre façon de nous venger. M’enfin, si on prend notre pied à se servir d’elle de temps en temps comme d’un objet juste bon à nous faire jouir, nous pratiquons également le double comme un moyen d’être deux à lui donner tout notre amour :
—    Sens Lucy ! fais-je. Sens comme on t’aime ! Comme on te veut ! —    Oh oui ! De l’amour ! Donner moi de l’amour !
 Selon notre humeur, nous pouvons être bestial, ou tendre et romantique, et nous dévouer au plaisir des uns des autres. C’est magnifique lorsque nous arrivons à nous synchroniser et à jouir tous les trois ensembles ; il n’y a pas de plus belle façon de s’aimer, même s’il est vrai que la plupart du temps, nous sommes surtout des pervers qui ont besoin de copuler. Je vis l’expérience sexuelle la plus intense de ma vie. Nous n’avons ni honte ni tabou. Nous laissons libre court à nos pulsions, et baisons dès que nous en avons envie. Je n’ai pas honte qu’elles sachent à quel point je suis un tordu, puisqu’elles le sont tout autant à leur manière.
  Hormis nos propres vidéos, cela fait longtemps que je n’ai pas mater un porno. Franchement, avec ce que j’ai à la maison, je n’en ai plus besoin. Il y a des jours où je me dis qu’on pourrait même revendre la télé. Le soir, je préfère largement me branler en matant les filles en train de s’envoyer en l’air que de regarder une niaiserie sur une chaine de merde. C’est mon petit délire à moi ça : quand je m’ennuie, je les cherche partout dans la maison dans l’espoir de les trouver en train de baiser. Je suis déçu lorsqu’elles sont sages ; par contre, quand elles sont en pleine action, je m’installe dans un coin pour m’astiquer tranquillement.
—    Tonton, tu es un pervers ! s’emporte faussement Megan.—    C’est clair, il n’y a pas moyen d’avoir un peu d’intimité dans cette maison ! plaisante Lucy.
  Faut dire que là, Lucy est en train de prendre sa sœur à quatre pattes avec le gode ceinture dans la salle de bain, ce n’est pas comme si elles s’étaient isolées dans leur chambre. En plus, ce n’était même pas fermé.
  Se branler, c’est bien, mais participer, c’est mieux. Je présente mon sexe à Megan pour me faire sucer, ce qu’elle fait sans rechigner.
—    Alors, elle te pompe bien ? me demande Lucy.—    Super. Et toi ? Tu t’amuses bien dans sa petite chatte ? —    Oh, oui. Elle est divine notre petite salope.
  Nous nous servons d’elle, prise des deux côtés. La ceinture à un bout de gode qui dépasse du côté intérieur afin de donner autant de plaisir à son utilisatrice qu’à celle qui le subit. Je pourrais me contenter de me faire gicler dans la bouche de Megan et je sais combien elle m’avalerait, mais j’ai une envie bien plus perverse. Je laisse ma chérie tranquille et vient retrouver Lucy. Je l’embrasse et joue avec ses seins.
—    Elle est bonne, ma petite femme, hein ? lui fais-je.—    Hmm oui, merci de me la partager. —    Lucy, encule-moi ! supplie sa sœur. J’ai trop envie de sentir un gros bout dans le cul.
  Mon petit ange est devenu une vraie salope. Cela me rend toujours dingue de la voir réclamer de l’anal. Lucy ne se fait pas prier deux fois et introduit le jouet dans son anus avant de la limer brutalement. Elles crient tous les deux de plaisir. J’attends un peu qu’elles se perdent dans leur univers avant de passer à l’action. Je passe discrètement derrière Lucy et pointe mon dard vers son petit trou.
—    Tonton ! s’exclame-t-elle.
  Ce n’est pas la première fois que je fais ça, mais cela les surprend toujours. Je m’enfonce dans son conduit puis lui donner des coups de butoirs. Elle s’en indigne, mais gémit de bonheur. J’adore faire ça : baiser une jumelle pendant qu’elle prend l’autre. Telle est prise qui croyait prendre.
  Elle n’a aucun répit. Quand elle prend du recul pour mieux défoncer sa sœur, elle s’empale sur mon pieu. Comme si les sensations n’étaient pas assez intenses, je la serre contre moi et joue avec ses gros nibards. Je lui pince les tétons que je sais très sensible. Elle laisse retomber sa tête en arrière contre mon épaule. J’en profite pour couvrir son cou de baisers.
  Elle n’en peut tellement plus qu’elle cesse de bouger. Je prends le relais. Je suis désormais le seul maitre à bord, c’est moi qui dicte notre plaisir à tous les trois. En sodomisant brutalement Lucy en profondeur, je la buscule en avant la faisant enculer sa sœur. Cela me donne l’impression de les sauter toutes les deux avec un seul sexe. Elles sont à moi, rien qu’à moi. Ce sont mes esclaves dociles en quête de jouissance.
—    Tonton, plus fort encore, me demande Megan.—    Oui, s’il te plait, réclame sa sœur. —    Hmm, mes petites salopes…
  J’augmente ma cadence. Lucy m’embrasse fougueusement, je lui pelote toujours les seins. Je deviens fou en lui ramonant son divin petit cul, je ne vais pas tarder à gicler à ce rythme. Je voulais jouer au plus malin, et voilà que je me retrouve pris à mon propre piège. J’essaie de me retenir autant que je peux, mais je finis par céder. Je sens que mon jus va sortir. Je grogne en me déchargeant dans son anus. En sentant mon sperme se déverser en elle, Lucy est emportée par son propre orgasme, qui déclenche également celui de sa sœur. Je suis heureux, je les ai faites jouir toutes les deux. C’est merveilleux, nous nous laissons emporter ensemble par notre jouissance comme si nous ne formons qu’une seule et même entité. Je me laisse me vider les couilles dans les entrailles de ma nièce en la prenant dans mes bras, puis je me retire pour mieux admirer son cul déborder de foutre. Nous nous embrassons en faisant un câlin, tandis que Megan s’est écroulée au sol totalement inerte.  
—    Elle a eu son compte, fais-je.—    Moi aussi, ajoute Lucy.
 Et dire que je vis ce genre de scène quotidiennement…
***
   Tonton et moi vendons des vidéos coquines sur le net depuis un certain temps. Sans vouloir nous vanter, nous avons notre petit succès avec notre petit groupe de fans. À cause de la nature incestueuse de nos ébats, il porte un masque pour ne pas qu’on puisse le reconnaitre. Ça m’excite de savoir qu’il y a des mecs qui se branlent en me matant pendant que je m’envoie en l’air. C’est de la faute de Lucy tout cela, j’étais sage avant ! Maintenant, je suis une perverse qui participe à des orgies. Pauvre tonton, s’il savait. À chaque fois que je le regarde, je me sens coupable.
  Ça ne rapporte pas énormément d’argent, mais on fait surtout ça pour le fun. Eric est sympa, il me donne l’intégralité des revenus. C’est devenu mon seul et unique argent de poche. Ça me suffit largement.
  Forcément, même en essayant de gardant le secret, ces vidéos ont fini par circuler dans l’école. Ce qui est drôle, c’est que tout le monde pense que c’est Lucy, personne ne me croit assez salope pour faire un truc pareil. Du coup, c’est à elle que tout le monde pose des questions et fait des remarques désobligeantes. Elle joue le jeu, cela ne la dérange pas. Je l’en remercie car elle me soulage d’un grand poids ; même si parfois je suis jalouse quand les yeux des garçons se posent sur elle en fantasmant dessus. En réalité, c’est bien sur moi qu’ils se font gicler tard le soir au fond de leur lit.
   Les membres de notre club sont plus curieux qu’autre chose, mais les autres… ils n’ont pas l’habitude de voir l’une d’entre nous baiser. Ce sont eux qui ont les réactions les plus marrantes. Les plus timides bégayent en nous parlant, ne sachant jamais à laquelle ils s’adressent, les plus fougueux sont un peu lourd, mais il suffit de dire que je suis Megan pour qu’ils me lâchent la grappe.
  On demande souvent à Lucy qui est le mystérieux inconnu sur les vidéos. Les gens pensent qu’elle n’est plus célibataire et que c’est son mec. Ils voient bien qu’il est plus âgé qu’elle et donc que ce n’est certainement pas quelqu’un de l’école, mais personne n’a la moindre idée de son identité. Cela ne les empêche pas de continuer à la draguer, ils ont tous envie de se la taper. On aurait pu croire qu’elle aurait profité de la situation, mais si c’est une pute qui aime coucher avec n’importe qui, elle aime parfois également frustrer les garçons en jouant les intouchables.
  La rumeur circule que même des profs seraient tombés sur notre vidéos. J’avais peur que Lucy et moi nous nous fassions convoquées si cela devait arriver, mais pour le moment, on a l’air d’avoir de la chance. Le seul changement notable est le regard de certains profs en cours. Il y en a, c’est sûr, ils les ont vues, et quelque chose me dit qu’ils aimeraient beaucoup se taper une de leur élève. Cela me fait mouiller d’exciter des adultes d’âge mûr.
  Ce n’est pas tout à fait faux quand les gens pensent que c’est Lucy qu’on voit sur les images. Parfois, c’est effectivement le cas. Elle me remplace pour jouer avec tonton. C’est normal, elle aussi c’est une sacrée coquine, elle a le droit de s’amuser. Je me masturbe comme une folle après quand ils m’envoient une copie de la vidéo en avant-première, j’aime voir mon amoureux défoncer ma sœur.
  Enregistrer nos ébats, c’est bien, mais il manque le direct qui me fait tant d’effet lors de nos orgies. J’ai alors demandé à Eric s’il était prêt à aller plus loin : j’ai envie de faire des cams en live. J’ai été heureuse de voir qu’il a tout de suite été partant. Nous savons tous les deux que c’est très risqué. Quand on se filme, si on commet l’erreur de prononcer nos noms par réflexe, ce n’est pas grave, on peut couper. Ici, au moindre faux pas, nous pourrions être découvert. Je stresse, mais je suis très impatiente aussi. Nous organisons tout cela et annonçons une date sur le net. Les « tickets » se vendent comme des petits pains. Tous les pervers de l’école vont sans doute assister à ça.
  Le moment est venu. Je me suis vêtue de lingerie sexy pour l’occasion. Éric ne porte que son masque et un boxer blanc. Nous nous installons dans ma chambre et allumons notre ordinateur portable et notre cam. Nous sommes connectés. Une foule se réunit sur un chat. Ils peuvent nous voir, nous sommes en live, je mouille comme une folle.
—    Bonjour mes chéris, leur dis-je au micro. Aujourd’hui, c’est notre premier show en direct. Je suis toute excitée ! C’est vous qui allez mener la dance, dites-nous ce que vous voulez voir, et nous le feront. Alors, par quoi voulez-vous commencer ?
  Les réponses ne se font pas attendre. On dirait des animaux, je trouve ça presque mignon. Eric et moi nous les lisons : « Montre-nous ta chatte et tes seins ! » « Suce-le ! » « Branle-toi ! »
  La dernière proposition semblant être la plus réclamée, nous décidons de le faire. Mon homme me laisse de la place. Il ne dit rien, comme toujours ; il a peur qu’on reconnaisse sa voix. Je m’allonge sur le dos en écartant les cuisses face à la caméra. Je fixe l’objectif comme si je fixais un amant dans les yeux puis je commence à me caresser sensuellement. Je passe mes mains sur mon corps et me pelote un sein. Je gémis pour mes spectateurs. Je glisse des doigts sous ma culotte en dentelle. Je joue avec ma fente mais ils n’en voient rien. Je lance un sourire vicieux en voyant les commentaires frustrés, puis je me régale de leurs acclamations écrites lorsque j’écarte délicatement le bout de tissu qui cachait l’objet de leur désir. Ils peuvent voir combien je suis déjà trempée. Je m’enfonce deux doigts pour me masturber, ils en ressortent luisant de mouille. Je les goutte avec avidité.
« Putain, je vais déjà gicler ! » nous partage l’un de nos voyeurs. Je suis contente de mon effet.
   Je prends un gode que j’avais préparé non loin de moi :
—    J’adore m’amuser avec mes jouets, fais-je. Dans quel trou voulez-vous que je me l’enfonce, les garçons ?  La chatte ou le cul ?
« Le cul », l’emporte bizarrement largement.
—    Pourquoi je ne suis pas étonnée ? Bande de petit coquin.
  Je me l’insère donc dans l’anus après l’avoir lubrifié.  Je le fais entrer et sortir lentement d’abord histoire de me dilater un peu, puis je m’encule littéralement avec. Je soupire très fort en me titillant le clito. Je ne fais pas semblant, je prends un pied d’enfer. Ça me rend folle de me dire que je m’offre ainsi en spectacle à des inconnus qui sont en train de s’astiquer en pensant à moi.
—    Hmm, c’est bon, mais je m’ennuie sans mon amant. J’ai envie de sa belle queue. Ça vous dérange si je me mets à le sucer ?
 Evidemment ils sont plus que d’accord. Eric se débarrasse de son boxer et vient me rejoindre à genoux sur le lit. Il bande déjà. J’attrape sa verge et je le suce tout en continuant de me branler de l’autre main.   
« Vas-y ! Suce-le ! » « Putain, il a un chibre énorme ! Et elle avale tout la salope ! »
  Je la sors de ma bouche pour leur montrer le travail de ma langue. Je la fais tournoyer autour de son gland. Je me fouille le vagin avec des doigts tandis que j’ai toujours le gode planté dans mon cul. Mon chéri me tire un de mes bonnets de soutien-gorge pour me pincer le téton, je suis stimulée de partout.
  Je me retire le jouet et nous changeons de position. C’est lui qui s’assied devant la caméra tandis que je me penche sur sa queue à ses côtés pour ne pas bloquer la vue. Je peux mieux m’occuper de lui de cette façon. Je le pompe pendant de très longues minutes. Nous lisons ensemble les commentaires déchainés. Ils adorent mais ils ont hâte de nous voir en pleine action.
—    Vous voulez nous voir baiser, mes chéris ?
  Les « oui » se font légion.
—    Par quel trou voulez-vous qu’il me prenne ? Et dans quelle position ?
« A quatre pattes, salope ! » « On veut te voir te faire défoncer la chatte comme une chienne ! »
  Je crois que c’est clair…
  Je me mets en position, la tête vers la caméra. Eric se place derrière moi et s’introduit dans mon vagin. Il me lime puissamment, il ne perd pas de temps. Il faut croire que ma pipe lui a fait de l’effet. Nos internautes ont un gros plan sur mon visage en train de prendre du plaisir. Je m’offre en spectacle sans aucune pudeur. Je m’en fou, tant que mon homme me baise :
—    Ooh, mes chéris. Si vous saviez comme c’est bon ! Il a une si grosse bite !
  Je me fais insulter de tous les noms sur le chat, j’ai encore envie de les chauffer un peu :
—    Personne d’autre ne sait me donner du plaisir comme lui. Ce n’est pas vous avec vos petites queues pathétiques qui me feraient jouir comme ça. Pendant que vous vous branlez sur moi, lui, il peut me prendre quand il veut. Je suis sa petite pute. Il se sert de moi tous les jours comme son vide-couille et j’adore ça !
  Jouer les allumeuses exhibitionnistes, je dois tenir de ça de Lucy. Je m’amuse à lire les réactions :
« Putain, je serais prêt à payer pour être à la place de ton mec. » « Pitié, laisse-moi te baiser, rien qu’une fois. ».
—    Hmm, vous voudriez me sauter, hein ? Continuez de rêver, les garçons. Il n’y a que lui qui peut me toucher.
 « Putain, je n’en peux plus. Je vais éjaculer ! » nous confie quelqu’un.
  J’entame la conversation avec lui.
—    Hmm. Tu as envie jouir ?
« Oui. »
—    Alors jouis pour moi, vas-y. Ça m’excite.
« Salope ! »
—    Oui, mais pas la tienne. Allez, vas-y. Tu aimerais me jouir à la gueule, je parie, hein ?
« Oh putain ! Oui ! »
—    Alors imagine que tu jutes dessus. Que tu m’envoies ton sperme en plein à la figure et que je dégouline de partout.
« Aaah ! Je viens ! »« Bordel, moi aussi ! »
—    C’est bien les garçons ! Venez pour moi !
« Oh putain, j’ai joui… »—    Mes braves petits. Je ne fais pas tarder à vous rejoindre, moi aussi je vais jouir. Mon dieu, sa queue est trop bonne !
 Je ne mens pas. La situation couplée à la vigueur avec laquelle Eric me ramone m’a menée au bord de l’orgasme.
—    Plus fort ! Plus fort ! supplie-je.
  Mon pauvre chéri, j’imagine les horreurs qu’il se retient de me crier. Ça doit lui en couter de devoir se taire et d’agir comme s’il n’était que mon gode michet.
  Mes seins toujours partiellement prisonniers remuent sous ses coups. Je suis perdue dans mon propre univers. Ma vision se trouble. Je sens mon plaisir monter en flèche. Finalement, j’explose en hurlant. Je jouis devant tous ces regards fixés sur moi comme la dernière des trainées. Je suis heureuse.
—    Aaaah ! Ouiiii !
  Je dois offrir un sacré spectacle. Il me faut quelque temps avant de reprendre mes esprits. Mon chéri s’installe à côté de moi pour regarder les commentaires. Il m’enlace et m’embrasse tendrement, la verge toujours dressée. Nos voyeurs ont manifestement beaucoup aimé ça, mais ils en veulent encore plus.
—    Alors, qu’est-ce que vous voulez voir, maintenant ?
 « On veut te voir te faire enculer ! » « Oui ! Allez mec ! Encule-la cette salope ! »
 Si c’est ce qu’ils veulent, alors je m’exécute. Eric s’allonge sur le dos comme lorsque je l’ai sucé : bien en vue devant la caméra. Je le chevauche face à l’objectif et attrape son chibre pour le pointer vers mon petit trou. Je soupire de bonheur en m’empalant dessus. Il pose ses mains sur mes hanches mais c’est moi qui fait tout le boulot. Je relève inlassablement le bassin pour mieux me laisser retomber. Je me sodomise toute seule.
  Mon amoureux me débarrasse enfin de mon soutien-gorge et joue avec mes seins. Il me tire les tétons comme je l’aime. Je redeviens folle alors que ma dernière jouissance est toute récente. Il abandonne ma poitrine afin que nos pervers puissent mieux l’admirer. Je me vois dans l’écran, je ressemble à une sacrée salope : mes énormes nichons se balancent. Je redescends frénétiquement sur la grosse pine d’Eric qui me dilate le fion. Ma chatte toute gonflée et dégoulinante de mouille est exposée comme pour supplier le premier venu de la remplir. Les mecs qui nous regardent doivent être dingues.
—    Oooh, putain ! Ce que j’adore avoir une bite dans le cuuuuuuuul ! Surtout la sienne ! fais-je. Défonce-moi, chéri. Eclate-moi le trou jusqu’à ce que je ne sache plus marcher !
  Il ne demande que ça, le pauvre. Ce n’est pas parce qu’il ne dit rien qu’il n’est pas excité à mort. Il m’attrape par les cuisses pour me relever les jambes et me ravage l’anus. Il grogne comme un animal en rut tandis qu’il me fait hurler de plaisir.
—    Oooh ! Ouiiiii ! Plus fort, vas-y ! Ne retiens pas tes coups ! Déchire-moi l’anus ! Sérieux, j’aime tellement ça que parfois que je passe une journée entière avec un plug dans le cul ! Même quand je vais à l’école.
  S’il y a des mecs du bahut qui me regarde, je crois que je vais les faire fantasmer pour le reste de l’année.
  Comme si je n’étais pas assez en extase, Eric saisit le gode et me l’enfonce dans le vagin. Le salaud ! Il me fait jouir instantanément pour la deuxième fois. Il essaie de le retirer, mais je l’en empêche, je m’en empare pour me fourrer toute seule.
—    Oh, putain. Ce que j’aimerais avoir une deuxième bite là, rien que pour moi. Pitié, n’importe qui ! Venez me sauter !
 Les volontaires sont légions, dommage qu’ils ne sachent pas où je vive où qu’ils soient trop loin. Je me masturbe toujours avec mon gode tandis qu’Eric me fiche sa queue jusqu’aux couilles. Il m’enlace à deux mains pour me tirer contre lui. Dans cette position, tout ce que les spectateurs peuvent voir c’est mon chéri en train de me piner le derrière et ma moule dégoulinante recouvrir son sexe de cyprine. Il me fait jouir une troisième fois. Je crie tellement fort que je dois alerter tout le quartier. Bon sang, si quelqu’un m’avait dit il y a un an que j’aimerais tellement l’anal et la double pénétration, je lui aurais ri au nez. C’est fou ce que j’ai changé en si peu de temps.
  Eric sort de mon anus et me laisse me reposer avant que je ne m’évanouisse de plaisir. Il m’embrasse tendrement. Il aurait pu jouir avec moi, mais c’est à nos spectateurs de décider quand et comment il peut éjaculer. Nous nous réinstallons devant l’écran et prenons le temps de lire les commentaires. Autant dire qu’ils ont apprécié le show. Il y en a plus d’un qui se sont fait gicler.
—    Mon chéri aussi a envie de jouir comme vous, leur fais-je. Il est temps qu’il puisse se soulager, vous ne pensez pas ? Alors, comment voulez-vous qu’il procède ? Vous voulez qu’il se vide dans ma chatte ? Dans mon cul ? Ou que je l’avale ?
« On veut qu’il te souille la gueule ! » « Oui ! Qu’il te jute au visage ! » « On veut te voir couverte de foutre, sale trainée ! »
—    Quel dommage, j’aurais bien aimé avaler, je raffole du sperme de mon chéri ; mais c’est vous qui décidez !
  Eric se met debout hors du lit et je tourne la caméra dans sa direction. Je me mets à genoux pour le pomper. Je ne cherche pas à l’exciter cette fois, juste à le finir. S’il pouvait parler, il me supplierait. Je le suce avec expertise, j’adore avoir son gros bout en bouche.
—    Vas-y, chéri, ne te retient pas. Nos amis veulent te voir me jouir dessus.
  Il grogne alors que je lui fais une gorge profonde. Il n’en peut plus, il va bientôt atteindre ses limites. Je jette un coup d’œil rapide à l’écran :
« Fais-le gicler, salope ! » « Allez ! Fais-lui cracher son jus ! » « Putain, ce que j’aimerais qu’une fille me suce comme ça ».
—    Hmm. Si vous saviez combien je raffole du sperme. J’ai dû en boire des litres depuis que je suis avec lui. C’est un pervers, il adore ça. Vous aimeriez être à sa place hein ? Vous vider sur mon visage ? Il n’y que lui qui peut faire ça, et croyez-moi, il ne se gêne pas !
 Je me demande combien de mecs n’ont pas encore joui à ce stade. Je sens qu’Eric n’est vraiment plus très loin non plus. Je le reprends dans ma bouche quelques instants, puis quand je le sens prêt à éclater, je lui astique la queue en la pointant devant ma figure. Il se met soudain à grogner. Je lui fais un sourire vicieux, je sais ce que ça veut dire. J’ouvre grand tandis qu’il m’envoie une première giclée. J’en ai plein sur le nez et le front. D’autres copieux jets de sperme s’en suivent. Il a de sacrée réserve, il s’est retenu pendant plusieurs jours pour cette occasion, Lucy n’a pas arrêté de le taquiner pour le faire craquer.
—    Ouiii ! Vide-toi les couilles, mon salaud ! Aaah !
  Ce n’est pas spécialement agréable de se faire jouir dessus, mais j’aime voir la queue de mon homme éjaculer pour moi, surtout en grande quantité, comme si c’était une preuve de son désir pour moi et du plaisir que je lui procure. Ça m’excite de le sentir exciter.
  Je continue de le branler jusqu’à ce qu’il n’en ressorte plus une seule goutte. Je lui lèche la bite pour le nettoyer et gouter son jus. Elle commence à débander, épuisée comme son propriétaire. Je me tourne vers la caméra pour que nos vicieux puissent bien admirer mon visage souillé. Je laisse des trainées de sperme dégouliner sur mes seins.
—    Alors, ça vous a plu ? Vous me trouvez jolie comme ça ?—     Evidemment, les « oui » se font unanimes.
—    Vous voudriez que ce soit le vôtre, hein ? Bande de petit coquin.
  Je m’étale le foutre sur mes gros nichons et en ramasse pour l’avaler. S’il y en avait encore un qui s’était retenu jusque-là, cette fois, je l’ai achevé.
—    Hmm, c’est délicieux, j’adore… Mais c’est terminé mes chéris. J’espère que le show vous a plu. En tout cas, nous, on a pris notre pied. Bye bye ! Et à une prochaine fois !
  Je coupe la caméra. Les réactions continuent de défiler sur le chat. Manifestement, nos abonnées ont adoré ça, ils en ont eu pour leur argent. Eric et moi sommes déjà en train de discuter pour planifier une nouvelle fois.
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