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Les nièces jumelles : saison 3

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Mes nièces jumelles

Chapitre 5 : Célébration
  Mais oui, mais oui, l’école est finie ! Je n’arrive pas à y croire, l’année scolaire est terminée, et Lucy et moi avons enfin notre diplôme en poche ! Bon, ça a été plus difficile pour elle que pour moi, mais c’est le résultat qui compte. Je suis si heureuse, je ne réalise pas encore. Maintenant, il y a l’université. Rien que d’y penser, ça me saoule, j’aurais préféré qu’on en ait fini avec les études. Je ne sais pas encore vraiment ce que je veux faire, mais j’ai encore le temps avant de m’en inquiéter. Pour le moment, je veux profiter et me détendre. Ces dernières semaines ont été stressantes.
  Pour célébrer l’événement, moi et ma sœur avons organisé une grande fête. Nous avons invité presque tous les élèves de notre année, plus quelques amis et des jeunes du quartier. Il va y avoir un monde fou ! Cela n’a pas été facile de le convaincre, mais Eric a été d’accord que nous fassions ça à la maison, à conditions qu’on ne casse rien et que nous nettoyons tout le lendemain. Non mais ça va, c’est bon, on est des adultes maintenant, pas des porcs. Qu’est ce qui peut mal se passer ?
   Comme il n’avait pas envie d’assister à ça, il nous a promis qu’il sortirait toute la soirée pour nous laisser tranquille. Ce n’est pas méchant, mais je préfère ça : avoir un adulte dans les pattes nous aurait gâchée la soirée. Je comptais justement le lui demander, c’est bien qu’il prenne cette initiative de lui-même. Je lui ai quand-même dit que ça risquerait de finir tard... et qu’il fallait qu’il fasse gaffe à ne pas rentrer trop tôt. Il est super cool mon tonton adoré, il nous a même autorisé à acheter de l’alcool.
  Les premiers invités arrivent. Ils ont amené des gens qu’on connait pas avec eux. Ce n’est pas grave, c’était permis. Officiellement, cette fête est ouverte à tous les étudiants. La fête bat rapidement son plein. La musique et la bière coulent à flot. On peut enfin se lâcher.
  Clarisse vient me voir pour me parler un peu. Elle a l’air un peu déprimée. Elle me confie que nos orgies vont lui manquer et qu’elle regrette que cette année soit déjà terminée. J’essaie de la rassurer en lui disant que nous n’avons qu’à en organiser entre nous pendant les vacances, que nous n’avons pas besoin de l’école pour ça ; ça n’a pas l’air de lui remonter le moral. Je sais très bien pourquoi, tout cette histoire n’est qu’une excuse. Le véritable problème, c’est que notre petit groupe va bientôt s’éparpiller, nous allons tous poursuivre notre vie chacun de notre côté. Il va être difficile de continuer de se voir après cela, nous allons sans doute perdre contact à tout jamais avec certains d’entre nous. Bravo, elle a réussi à me foutre le bourdon à moi aussi. M’enfin, ce n’est pas comme si ce n’était que maintenant que je m’en rendais compte. Je le sais très bien et cela me fait peur à moi aussi. Je la prends dans mes bras pour lui faire un câlin.
   Cela me rappelle que j’ai un truc super important à dire à Bruno. Je l’emmène dans ma chambre à l’étage afin qu’on puisse en discuter en privé. Je lui explique que c’est fini, que je veux rompre avec lui. Ce n’est pas que je ne l’aime pas, ou que je ne l’aime plus. Au contraire, je me sens bien avec lui, je ne demanderais pas mieux que nous restions ensemble, mais ce n’est plus possible. Nos vies vont prendre un chemin différent à partir de maintenant, et je n’ai pas envie de vivre une histoire compliquée à distance. Je dois être la pire des personnes au monde, mais mon véritable amour, c’est et cela restera Eric. Bruno n’est qu’une aventure. Je n’ai jamais eu l’intention que cela devienne sérieux. Être avec lui m’a permise d’avoir une relation "normale", comme n’importe quelle personne de mon âge, cela s’arrête là. M’enfin, ce n’est pas pour autant que je ne suis pas triste ni que je ne ressens rien pour lui. Il a l’air de le prendre assez bien. Peut-être avait-il déjà songé à la même chose ? Où que comme moi, il n’était pas aussi attaché que ça ? Nous nous retenons de pleurer, c’est une page qui se tourne, mais c’est mieux comme ça, j’en suis persuadée.
  Afin de mieux faire passer la pilule, aussi bien pour lui que pour moi, je lui propose nous fassions une dernière fois l’amour. Il accepte. Malgré qu’il en a gros sur le cœur, il en a envie. Nous nous embrassons comme si nous étions amoureux. Il me caresse, il a faim de moi. Il sait que c’est la dernière fois qu’il peut jouir de mon corps, et je sens qu’il a bien l’intention d’en profiter. Moi aussi, c’est un beau garçon, il va me manquer.
   Je m’agenouille devant lui et défait la ceinture de son pantalon. Je le baisse pour en sortir son sexe à moitié dur de son caleçon. Je le branle jusqu’à ce qu’il soit bien raide. Il a quand-même une belle bite. Je l’avale avec plaisir. J’adore sucer, sentir le sexe d’un homme au fond de ma bouche en sachant que c’est moi qui le fait bander. J’y vais lentement, nous avons tout notre temps. Je ne suis pas pressée de retourner à la fête. Ce moment n’appartient qu’à nous. Du moins je le croyais... jusqu’à ce que la porte s’ouvre dans un grand fracas et que ma sœur entre dans la pièce avec un garçon.
— Oh, tu es là ! s’exclame-t-elle. Je vois que nous avons eu la même idée.
   Bah voyons ! Je ne suis même pas étonnée. Elle ne peut pas participer à une fête sans qu’elle se trouve un mec pour se faire baiser. À vrai dire, je suis plutôt surprise qu’il n’y en ait qu’un seul. Putain mais quelle chieuse ! Au lieu de s’en aller pour nous laisser un peu d’intimité, elle s’installe dans un coin et se met à sucer son inconnu. Il n’est même pas de l’école ce type, sérieux ! Où est-ce qu’elle l’a trouvé ? Elle a l’air d’être à moitié bourrée. Comme Bruno n’a pas l’air d’être plus ennuyé que ça, je continue ma fellation, tant pis. Je sais comment ça va se finir encore cette histoire : nous allons baiser à quatre. Je dois être devenue aussi tordue que ma sœur pour accepter une telle situation.
  Nous suçons et léchons la hampe de nos hommes en faisant des bruits de succions.
— Oh putain, c’est bon, grogne l’inconnu. Hey, tu savais que les jumelles Trojan était de telle salope, toi ? s’adresse-t-il à Bruno. — Ouais, je le savais.— Tu te les tapes souvent ?— De temps en temps.— Ouah, putain, la chance !
 Je m’amuse bien avec ma queue, mais j’ai la chatte en feu. Je mouille comme une folle et j’ai besoin de me faire prendre. J’en fais part à mon futur-ex et je me déshabille avant de m’installer à quatre pattes sur le lit. Il vient me rejoindre. Je sens son gland presser contre mon entrée avant de me pénétrer lentement. Aaah oui ! Il me maintient par les hanches et démarre ses coups de butoirs. C’est bon, j’avais besoin de baiser, de sentir son dard au fond de moi. Je prends mon pied, il me lime bien.
  À côté, ma sœur passe aussi à l’étape supérieure. Elle se fout à poil et installe son partenaire près de moi pour le chevaucher. Elle soupire en rebondissant dessus. L’inconnu est obnubilé par ses gros seins qui se balancent. Il les attrape puis se redresse pour en mordiller les tétons.
  Quand je refais le bilan de cette année, mon dieu... Nous étions des jeunes filles pures et innocente, et nous sommes devenues de véritables salopes. Nous nous sommes faites sautée par tous les trous, et ce par n’importe qui. Nous avons faim de bites et nous l’assumons parfaitement. Je n’ai même plus aucune honte de m’envoyer en l’air comme ça en groupe. À vrai dire, je trouve même la présence de ma sœur rassurante.  
— Oh ! Megan ! Megan ! me dit Bruno.
  Il se place différemment pour me monter comme sa chienne. Il se penche sur moi pour m’agripper les nibards et placer sa tête au creux de mon oreille. Entre deux râles de bonheur, il me susurre :
— Oh, Megan, ce que tu vas me manquer ! Je ne pourrais jamais retrouver une copine aussi belle et bonne que toi. Tu m’as donnée les meilleurs moments de ma vie, les meilleurs orgasmes.
  Waow, quel compliment ! C’est idiot, mais cela me touche beaucoup. J’aimerais pouvoir lui retourner le compliment, mais ce ne serait pas vrai. Rien n’équivaut mon Eric. Je peux néanmoins sentir tout son désir dans sa façon de me prendre. Combien il est ivre de mon corps. Cela me fait chavirer, il me manquera à moi aussi.
***
  Je suis enfin parvenu à convaincre mes parents de me laisser à aller à la teuf des jumelles Trojan. Merde quoi ! J’ai réussi mes études, j’ai bien le droit de fêter ça comme tout le monde, non ? Bon, du coup, j’ai raté le début, mais il n’est jamais trop tard pour s’amuser. Franchement, ça aurait été bête de rater ça : j’habite dans le quartier ! Je n’ai pas reçu d’invitation, mais apparemment, c’est ouvert à tout le monde. Au pire, ce n’est pas comme s’il y avait des videurs à l’entrée.
  Sur place, il y a de l’ambiance. Je prends une bière, tranquille. Je me demande où elles sont. Nous n’avons jamais vraiment été proche elles et moi, et je le regrette sincèrement. Elles sont super canon, trop même pour quelqu’un de timide comme moi. Nous sommes bons voisins, c’est tout. Je parle de temps en temps avec l’une ou l’autre, mais ce n’est pas assez pour pouvoir me considérer comme un de leur ami. Après, il n’est jamais trop tard, non ? C’est une belle occasion. Enfin, non, bientôt, on ira tous à l’université, mais qui sait, je pourrais par hasard me retrouver dans la même que l’une d’entre elles ?
  Je pose des questions à mes potes mais personnes ne les a vues. Tant pis, je prends une seconde bière. C’est quand-même bizarre, cela devrait être les stars de la soirée. Je les imaginais accueillir tous les nouveaux arrivants et animer le show. Franchement, cela me ferait mal de partir sans au moins leur avoir dit bonjour.
  Je m’enfile encore quelques verres, quand un ami vient me voir. Il a l’air assez enjoué :
— Hey, tu cherchais les jumelles ?— Ouais ?— Je les ai trouvées. — Ou ça ? — Tu ne vas pas le croire ! Elles sont en train de baiser dans une chambre du dessus. — Tu déconnes...— Je te jure !
  Il mytho, c’est certain. Les Trojans sont des gentilles filles. Pas du genre à faire les putes comme ça en pleine soirée.
  Devant mon air incrédule, mon pote m’emmène avec lui à l’étage. Il y a quelques mecs attroupés devant une des portes entrouvertes en train d’étouffer leurs rires.
— Qu’est ce qui se...— Chuut ! me coupe-t-on la parole. Ne faites pas de bruit. Restez discret.
  Je m’approche et jette un coup d’œil à l’intérieur. Nom de... ! Putain ! Il ne déconnait pas ! Les jumelles ! Les jumelles sont en train de se faire sauter par deux gars ! Ma première réaction, au lieu d’être effrayé ou écœuré, c’est d’être jaloux. Qu’est-ce qu’ils ont de la chance ces salauds ! Je donnerais tout pour pouvoir coucher avec l’une d’entre elle. J’ai honte, je bande. Si j’étais un mec bien, je me tirerais, mais au fond de moi, je suis un pervers.
  Elles se font prendre côte à côte en missionnaire. Leurs énormes seins se balancent dans tous les sens. Oh my god ! Cette paire de nichons ! C’est tout simplement sublime... Moi qui ai toujours rêvé de les voir à poil, là, j’assiste à un vrai film porno. Le pire, c’est de se dire que ce n’est pas qu’une qui se fait prendre en flag comme ça, mais carrément les deux ! Elles n’ont aucune gêne de faire ça ensemble !
  Leurs partenaires n’y vont pas de main morte. Clairement, ils ne font pas l’amour, ils les sautent. Ce sont des animaux en rut, et elles, des chiennes en manque de bite. Cela me fait trop bizarre de voir mes voisines de quartiers comme ça. Je ne les verrais plus jamais comme avant. Elles aiment ce qu’on leur fait, ça se voit. Putain, j’aimerais tant que ce soit moi qui soit en train de les bourrer et de les mettre dans cet état-là.
   Je me concentre un instant sur celle de droite. Suis-je en train d’halluciner ou... Nan ! Nan ! Je ne rêve pas ! Elle se fait carrément enculer celle-là ! Sans déconner ! Les petites filles que j’ai connues sont devenues de vraies salopes ! Soudain, elle se met à gueuler quand son mec se fige au fond d’elle.
— Raaah ! geint-il. Je jouis ! Oui ! Prends ! Prends salope ! Ouiiiiiiiiiii !
  Raaah, le sale fils de pute ! Il éjacule dans son cul ! Vu ses cris, elle jouit avec lui ! Mais putain, elle ne faisait pas ça juste pour l’exciter, elle aime vraiment la sodomie ! Quand il en ressort sa queue, elle déborde de sperme. Putain, j’ai une trique d’enfer. Les mecs avec moi sont tous en train de se marrer en voyant ça. Moi je suis sidéré.
  Sa sœur se fait toujours violemment baiser à côté. Son partenaire s’est allongé sur elle. Il l’embrasse et lui pelote les seins tout en lui donnant de puissants coups de reins. De là où je suis, je vois ses couilles claquer contre sa chatte. Ce qu’on doit être bien à l’intérieur...
— Aaaah, je jouis encore, ouiiiiiiiiii ! crie la jumelle. — Oui, jouis pour moi, ma belle. Jouis !  — C’est trop booooooooon !— Aaaah, j’ai envie de jouir moi aussi.   — Vas-y. Viens. — Je peux ? Tu es sûre ? — Oui, j’ai déjà joui deux fois. Vas-y, jouis pour moi. — Oh oui ! Je vais jouir ! Pour toi !
   Il la ramone comme un chien. Il utilise son vagin pour se finir. Elle le serre contre lui, fort, comme pour mieux le sentir en elle. Son regard... Je ne pense pas qu’elle lui a demandé de jouir juste histoire d’en finir vite parce qu’elle s’ennuie, je pense qu’elle a vraiment envie de le sentir exploser en elle.
— Ah ! Oui ! Oui ! Oui ! grogne le gars. — Oui ! Vas-y, Bruno. Ne te retiens pas. Éjacule en moi !— Aaah ! Ça vient !— Oui ! Vas-y !— Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Aaaaaaaaaaaaaaah !— Oui ! Continue ! Je te sens ! Remplis-moi ! — Oooooh ! — Vide-toi les couilles ! Oui !
  Elle jouit encore ou je rêve ? Putain, quelle scène torride ! J’ai une envie folle de me branler. Je sens que je vais devoir faire un petit passage aux toilettes.
  Ils ont terminé. Ils se reposent, essoufflés. Du sperme s’échappe de sa chatte, il s’est vraiment vidé l’enculé. Le spectacle est terminé. Le groupe de mateurs s’apprête à se disperser discrètement quand on entend une des jumelles s’adresser à nous :
— Hey les garçons. Vous allez où la ?
  Putain de merde ! Elle nous a vu ! Sa sœur aussi ? Elles se savaient observées depuis le début et elles n’ont rien dit ? Les petites salopes ! Pourvu qu’elles ne m’aient pas reconnu.
— J’ai peut-être le cul plein de sperme, mais encore envie moi, poursuit-elle. Il n’y a pas l’un d’entre vous prêt à me donner sa queue ?
  Je délire là ? Elle est vraiment en train de proposer à n’importe qui de venir la baiser ? Là ? Comme ça ?
  Un des mecs sort de la pièce après s’être rhabillé.
— Amusez-vous bien, les gars, s’adresse-t-il à nous. Croyez-moi, c’est un super coup.
  Je suis stupéfait. Je ne crois pas ce qu’il se passe, encore moins quand un des mateurs entre et défait son pantalon. Il est sérieux ?
— Ah ! Enfin ! s’exclame la jumelle.
  Elle remonte ses jambes en l’air pour s’offrir comme une chienne en chaleur. L’autre ne réfléchit pas une seconde, une fois à poil, il prend son membre et l’encule d’un trait.
  Le second mec qui les a baisées sort à son tour. Il y en a une de libre. Je ne sais pas quoi faire. Puis dans un moment de folie, je me lance. Ce n’est pas le moment de penser, je m’en voudrais toute ma vie si quelqu’un d’autre prenait ma place juste parce que j’ai trop hésité. Elle est allongée sur le lit, inerte, en train de récupérer. Je me fous à poil et grimpe sur le lit pour lui présenter ma queue. Je suis vraiment taré de faire ça. Maintenant que j’y songe, si sa sœur a dit qu’elle en voulait encore, elle, elle n’a rien dit. Voudra-t-elle bien de moi ? Je me sens très con sur le coup. Je vais l’être encore plus si elle m’envoie chier.
   Par chance, quand elle voit mon gland près de ses lèvres, elle attrape ma bite d’une main et se l’enfourne dans la bouche. Oh putain ! Oui ! Je me fais sucer par une Trojan ! Je ne sais même pas c’est laquelle. Je m’en fou ! J’ai juste envie d’en baiser une. Elle me pompe bien, la chienne, elle a vraiment envie de bites. Je n’arrive pas à croire que ce sont de telles salopes, mais l’aubaine est trop belle. Je lui caresse les seins. Ils sont si gros, si beaux.
   Ça suffit, je n’en peux plus. J’ai attendu ça depuis trop longtemps. Je me place entre ses cuisses. Elle a déjà été souillée par un autre, mais je m’en branle. Je m’enfonce en elle et me met à la limer. Bordel ! Ce que sa chatte est bonne ! Je me penche sur elle pour l’embrasser. Elle accepte mon baiser. Quel délire ! Je suis un animal en manque. Je n’ai pas tiré mon coup depuis longtemps. Je me sens sale, je n’ai jamais fait ça comme ça, sans sentiment. Mais merde ! On parle des jumelles là ! Je ne pouvais pas passer à côté d’une occasion pareille ! Elle est chaude, elle voulait de la queue, pourquoi devrais-je jouer les gars bien en refusant une telle invitation ? Moi aussi j’ai des besoins, merde ! Tant pis si ça fait de moi un salaud !
  Je profite de son corps, je la caresse partout, je lui suce les tétons. Putain, ce qu’elle est belle. Je réalise un fantasme ! C’est bon, mais j’ai aussi envie de l’enculer, je sors d’elle pour approcher mon sexe de son petit trou.
— Non ! m’interdit-elle.— Comment ça ? — Non, pas par là. Tu peux me faire tout ce que tu veux, sauf ça.
  Cette douche froide ! Même quand j’ai du bol, je n’en ai qu’à moitié. Je suis tombé sur la moins cochonne des deux. Bordel mais dire que si je n’avais pas hésité, ce serait moi qui serait en train de défoncer le fion de l’autre ! Allez, je ne me plains pas, je retourne besogner sa chatte. Après tout, il y a une foule de mecs derrière moi qui rêverait d’être à ma place.
  Ma fierté de mâle s’accroit quand je vois que je lui fais du bien. Je n’arrive malgré tout pas à me remettre de ma déception. Il y a peut-être encore un moyen. Je suis trop timide pour faire ça en temps normal, mais là je me dis que je n’aurais jamais deux occasions comme celle-là, je ne veux avoir aucun regret. Je me tourne vers l’autre type et lui demande :
— Hey, ça te tenterait qu’on échange ?— Carrément ouais !
  Yahou ! Je ne pensais pas qu’il accepterait. Pas sûr que j’aurais dit oui à sa place. Les filles n’ont rien contre le fait d’échanger de partenaire. Super ! J’ai de la veine finalement.
— Tu as envie de m’enculer, toi, hein petit pervers ? comprend tout de suite l’autre jumelle.
— Trop !— Allonge-toi et laisse-moi faire.
  Je m’exécute. Elle me grimpe dessus en me tournant le dos. Elle attrape ma verge et... ooh oui ! Elle le pointe vers son anus ! Elle le fait entrer dedans, puis démarre son va-et-vient. C’est le plus beau jour de ma vie : je suis dans le cul d’une Trojan alors que j’ai baisé sa sœur juste avant. Je mets mes mains sur ses hanches. C’est l’éclate totale ! Je n’ai rien à faire ! Juste à me laisser aller aux sensations.
— Alors, tu aimes ma queue, petite salope ?— Hmm oui, elle me fait du bien. — T’adore avoir une bite dans le cul, hein ?— Tu as l’air d’aimer ça autant que moi. —    Oh ça oui alors !
  En me chevauchant à l’envers comme ça, elle s’offre en spectacle devant tous les mecs amassés devant la porte. Ils sont en train de se branler, cela m’excite de savoir combien ils doivent m’envier. Je suis vraiment trop heureux d’avoir eu le courage de m’avancer avant les autres.
—    Dites, les garçons, vous n’êtes pas obligés de venir un par un, hein. J’ai une chatte qui est libre, vous savez.
  Elle est vraiment en train de leur proposer de… ? Elle est encore plus salope que je ne le pensais. Les gars se regardent entre eux. Je ne sais pas si c’est parce qu’ils ne sont pas sûr d’avoir compris, ou si c’est parce qu’ils hésitent, mais faudrait vraiment être trop con pour que ce soit la seconde solution. Quand une fille comme ça vous fait une telle demande, on la fourre et puis c’est tout. Il y en a un plus malin que les autres qui s’empresse de nous rejoindre dans pièce. Il se fout à poil et grimpe sur le lit.
—    C’est bien, tu es un brave garçon, l’encourage la jumelle. Maintenant, enfonce-moi ta bite et baise-moi comme le dernier des enculés.
  Elle cesse de gigoter pour lui faciliter la tâche. Il prend son sexe en main et l’insère en elle. Je le sens à travers la fine paroi de chair qui nous sépare. Je n’ai jamais pris une fille en double comme ça. Je ne suis pas fan, ça n’a jamais vraiment été un de mes fantasmes, mais si c’est le prix pour pouvoir continuer à l’enculer, je suis prêt à le payer.
  Mon partenaire se met à la ramoner. Ses coups puissants la font remuer sur ma bite. C’est bon, mais pas assez, alors je l’accompagne en donnant mes propres coups.
—    Aah ! Oui ! Bande de salauds ! crie-t-elle. C’est ÇA que je voulais ! Profitez-en bien, c’est votre jour de chance !
  Ça pour en profiter, j’en profite, putain. On est vraiment en train de la défoncer comme une pute. Nous sommes deux chiens en manque qui ont besoin de se soulager dans un trou à bite. Je lui presse les seins tandis que l’autre con l’embrasse. J’avoue que quelque part, ça me frustre de pas pouvoir la voir ; on ne peut pas tout avoir.
  Sa sœur à côté n’est pas laissée en reste. Même si elle n’a rien demandé, quelqu’un d’autre est venu pour la sauter. Comme elle refuse de se faire sodomiser, il n’a pas pu la prendre en double ; néanmoins, elle a tout de suite accepté de le sucer. Décidemment, elle est peut-être plus introvertie, mais elle est tout aussi salope.
  Nous changeons de position. Ma Trojan s’est retournée devant moi afin que l’autre gars puisse l’enculer à son tour. Je suis un peu déçu de devoir me contenter de sa chatte, mais au moins, je peux lui sucer les tétons.
  Je n’y crois pas. Un troisième mec vient nous rejoindre et se branle devant son nez. Elle l’avale directe pour le pomper. C’est qu’elle n’a jamais assez de bites celle-là ! C’est dingue ! C’est devenu un véritable gangbang ! Putain, mais si j’avais su que mes voisines étaient de telles putes, ça ferait longtemps que je serais venu tirer mon coup.
  Nous changeons régulièrement de rôle et de partenaire. J’ai une envie monstrueuse d’éjaculer, mais sachant que je n’aurais jamais deux occasions comme celle-là, je me retiens autant que je peux pour en profiter un max. Même si ce n’est pas dans l’intimité, je me tape les deux Trojans, et il a plein de témoins qui sont là pour pouvoir le confirmer. J’ai une pensée pour ces pauvres types en bas qui ne se doutent de rien et qui ratent la véritable fête.
  Les filles sont infatigables. Elles n’arrêtent pas de beugler comme des chiennes. Nous les faisons jouir plusieurs fois, mais elles en veulent encore. Le premier mec à gicler se décharge sur le visage de celle qui n’aime pas se faire enculer. Elle a soif de sperme, elle essaie de le boire tandis qu’il la souille. Un deuxième se vide dans la chatte de l’autre pendant qu’il la prend en missionnaire. Le troisième explose presque en même temps en lui tapissant les seins et le ventre de foutre. Ceux qui ont terminé s’en vont, d’autres viennent les remplacer. Maintenant, tout le monde est carrément entré dans la chambre et s’est foutu à poil. Ils sont tous là pour les baiser, et ils ne ressortiront pas avant de s’être assécher les couilles. Ils attendent patiemment leur tour en se branlant. Certains prennent des photos, d’autres vont jusqu’à filmer la scène.
  Je sens que je vais arriver au bout de mes limites. Ma queue me fait mal à force de bander. Je ne sais toujours pas qui j’encule et qui je baise, je m’en moque tant que je les saute. Je n’avais jamais pris mon pied comme ça avant, je ne m’étais d’ailleurs jamais autant lâché. Je me sens sale, comme une ordure. Je ne fais pas l’amour à la femme que j’aime, je me sers de deux salopes pour mon propre plaisir. Je suis un animal qui ne pense qu’à défoncer leurs orifices. Au bout d’un moment, je craque. Il faut vraiment que je me finisse. Je m’approche de n’importe laquelle et lui enfonce ma queue dans la bouche :
—    Je vais gicler, sale pute, lui dis-je. Tu as intérêt à avaler.
  Elle ne se rebelle même pas. Au lieu de ça, elle me branle d’une main pour m’aider à jouir plus vite. Ça marche, je me sens partir. Je me cale bien au fond de sa gorge puis je lui envoie ma sauce. Je dois éjaculer une bonne quantité de sperme car elle a des haut-le-cœur. Néanmoins, elle boit bien tout ce que je lui donne. Je n’ai jamais rien ressenti d’aussi fort, j’ai l’impression que je vais m’évanouir. Je crie en l’insultant de tous les noms. Elle continue de me sucer même quand je n’ai plus rien à décharger. Je me retire lorsque je commence à débander. Il faut bien laisser sa place.
  Je redescends lentement sur terre et réalise ce que je viens de faire. Purée, je ne regrette rien. Je ne pensais pas passer la meilleure soirée de ma vie en venant ici, et encore moins me vider les couilles dans des chiennes en chaleur. Je me rhabille en admirant un peu la suite du spectacle. Je prends moi-même quelques photos pour immortaliser ce moment. Les Trojans, les petites filles innocentes dont j’étais amoureux étant gamin, ce sont vraiment devenues des putes… Si je n’avais pas pu en profiter, je crois que je crois que j’en serais écœuré. C’est donc le cœur léger que je m’en vais rejoindre les autres pour faire la fête.
***
  ÇA c’est une véritable fiesta ! Danser, boire, faire les fous, c’est sympa, mais c’est pour les amateurs. Pour moi, rien ne vaut une bonne baise ! J’avais toujours prévu de m’envoyer en l’air, je n’imaginais pas que cela tournerait à la partouse. Je regrette presque de ne pas l’avoir envisagé avant : je ne vois pas de meilleure façon de célébrer la fin de notre année scolaire et l’obtention de notre diplôme.
  Ce n’était pas mon intention d’entrainer Megan là-dedans. Ça s’est fait comme ça, c’est tout. J’ai néanmoins du mal à culpabiliser en voyant combien elle prend son pied. Même si elle refuse de se faire sodomiser, les mecs se succèdent pour la baiser. Elle joue toujours les filles passionnées et romantiques, mais au fond, c’est une salope comme moi. C’est normal après tout, nous sommes sœurs jumelles. Je l’aime, de tout mon cœur. Il est peut-être d’ailleurs temps de le montrer à ces messieurs.
  Megan se fait prendre en missionnaire. Elle se laisse faire comme une poupée gonflable tandis que le mec s’éclate dans sa chatte. Je m’avance vers elle à quatre pattes, ma tête au-dessus de la sienne, puis je relâche le sperme qu’un des gars vient de décharger dans ma bouche. Elle ouvre la sienne pour recevoir ce délicieux jus qui coulent de mes lèvres. Elle l’attire vers elle avec la langue. Le spectacle excite les garçons qui se masturbent encore plus fort. Je me penche vers elle et je l’embrasse pour que nous partagions le fruit de notre butin. Cela ne rate pas de faire son petit effet :
—    Putain, mais elles sont lesbiennes en plus ?!—    Entre sœurs ? Mais quelles salopes !
  J’adore leurs réactions. Le mec qui m’encule en a déchargé son foutre dans mon anus.
—    Ah ! Putain ! Salope ! Salope ! geint-t-il.
  Les pauvres, ils n’ont encore rien vu. Avant que le suivant ne tente de prendre sa place, je me redresse et me positionne au-dessus du visage de ma sœur. Je n’ai pas besoin de déclarer mes intentions, elle comprend tout de suite ce que je veux, et je sais qu’elle aime ça aussi. Elle pose ses mains sur mes fesses pour me tirer vers elle, et récolte le sperme qui coule de ma chatte et de mon cul. Je souris au garçon devant moi qui la besogne en lui maintenant les jambes. Il n’en revient pas, les autres non plus.
—    Hmm, Megan, mon amour, fais-je en surjouant, montre-leur comment tu lèches bien.
  Je gémis. Je n’ai pas à faire semblant, elle sait très bien comment me donner du plaisir. Je me penche sur elle pour me mettre en position de soixante-neuf. Je suis au premier plan pour observer cette belle bite lui limer le vagin. Je ne peux résister de demander à son propriétaire :
—    Tu veux que je te suce un peu ?
  Il ne se fait pas prier. Il sort son sexe de ma sœur et je l’engloutis sans hésiter. Hmm, elle a le gout de sa mouille et du sperme ; mon mélange préféré, on devrait en faire un parfum de crème glacée. Je l’aide à retourner en elle. Il ne lui faut plus très longtemps avant de gicler à son tour. Quand il se retire, je lui broute le minou pour en boire le foutre qui s’en échappe.
  Notre public n’en revient tellement pas qu’il y en a pas un qui vient se joindre à nous : ils préfèrent apprécier ce spectacle. Faut dire qu’on ne voit pas tous les jours deux sœurs jumelles se lécher mutuellement la chatte pour avaler le sperme des salauds qui viennent de les fourrer.
 Un courageux vient finalement se mêler à nous pour m’enculer, le petit vicieux. Chacun de ses coups fait ressortir un peu plus de jus de mon entrejambe. Un autre vient se placer devant moi pour baiser Megan. J’adore voir de près son vagin en train de se faire défoncer. Les mecs restants continuent de prendre des photos et de filmer.
  Une fois le vagin bien nettoyé, les festivités reprennent de plus belle. Je réclame un nouveau double que les garçons sont trop heureux de m’offrir. J’adore me faire défoncer par les deux trous en même temps.
  Je commence à perdre la notion du temps. Les mecs se succèdent et déchargent leur foutre à leur guise. Ce sont des gros porcs. Ils ne se contentent pas de jouir dans nos chattes, mon cul, ou nos bouches, certains veulent nous souiller en nous éclatant au visage ou sur le corps. Nous sommes recouvertes de sperme gluant, ce n’est pas super sympa pour leurs potes qui viennent après. Ce n’est surtout pas sympa pour mes seins aux tétons sensibles que plus personne ne veut sucer ou titiller. Heureusement que ma sœur est là pour s’en occuper. Je lui rends la pareille avec plaisir.
  Le stock d’amants ne désemplit pas. Pour un qui retourne en bas, un autre curieux monte pour vérifier si la rumeur est vraie. Néanmoins, à force, l’équilibre commence à se briser, et je remarque qu’il y a de moins en moins de monde. Je ne sais pas si je dois être soulagée vu mon état de fatigue, ou déçue que ce soit bientôt terminé. Nous n’arrêtons pas de jouir et de crier. Nous allons finir totalement aphone demain, c’est certain. J’aime généralement être active, mais là, je suis à bout de force, et je me contente de laisser les mecs se faire plaisir avec moi comme ils l’entendent. Quelqu’un m’attrape soudain par les cheveux et m’éjacule à la figure. J’en suis à un point tel que je ne réalise à peine ce qui m’arrive, juste assez pour ouvrir la bouche en espérant en avaler un maximum.
  Je n’avais jamais vécu une baise pareille. Megan et moi sommes de véritables putes gratos sur lesquelles n’importe qui peut venir tirer son coup. Depuis le début, il doit bien y avoir entre vingt et trente mecs qui nous sont passés dessus, un record. Je pensais que je pourrais peut-être redescendre un peu faire la fête après tout ça, mais je crois que je vais passer la nuit ici. Tant pis pour nos invités. Nous nous faisons vraiment prendre comme de vieilles poupées gonflables. Nous avons à peine la force de bouger, mais ces salauds ne se gênent quand-même pas pour nous sauter. Ils se servent de nous comme des sacs à foutre. Ce sont des mâles en rut qui ont besoin de se vider un coup. J’ai perdu tellement toute fierté que le fait de savoir qu’on se sert de moi comme un réceptacle à sperme suffit à me faire jouir.
  Le dernier me prend en missionnaire jusqu’à ce qu’il éjacule sur mes seins et le ventre. Il prend une photo avant de se rhabiller. Je pense qu’il va s’en aller, quand il appelle un de ses potes avec son portable :
—    Mec, tu as reçu la photo ? Ouais, tu as vu ? Je ne déconne pas, ce sont les jumelles Trojans là. Ouais, sérieux, je les croyais encore vierge, mais ce sont de vraies salopes. Elles prennent même par le cul. Si tu veux les baiser, c’est le moment où jamais ! Ramène les potes. Crois-moi, c’est open bar.
  Il s’en va. Bon bah, nous en avons peut-être pas encore totalement terminé finalement. Au moins, on a un peu de temps pour récupérer. Je rampe vers Megan pour la prendre dans mes bras. Je l’embrasse d’un baiser d’amour. Nous sommes toutes collantes de sperme. Il n’y a pas une seule parcelle de nos corps qui n’en est pas recouvert. Nous en avons mêmes sur les cheveux, les bras et le dos. Notre peau est dégoulinante de foutre.
—    Qu’est-ce que tu en dis ? fais-je à ma sœur à propos de ce coup de téléphone. On s’arrête là ? Où on attend les autres ? On n’a qu’à les envoyer chier si tu n’en as plus envie. —    Je… Je veux continuer, répond-t-elle. J’ai juste besoin d’une pause.—    Moi aussi, fais-je en gloussant.
  Sa réponse me surprend, je pensais qu’elle aurait eu son compte. Je ne l’ai jamais vu se comporter en trainée comme ça. Ça m’excite, je me sens moins seule. Quel qu’aurait été sa réponse, je l’aurais suivie, je refuse de faire quoi que ce soit sans elle.
  Nous nous reposons un peu, et reprenons peu à peu nos esprits. Environ vingt minutes plus tard, un nouveau troupeau d’invités débarque dans notre chambre. Le timing est parfait, nous venons juste de reprendre assez de force.
—    Bonjour les garçons, fais-je pour les accueillir.—    Waow ! Putain ! Il ne déconnait pas ! fait l’un.—    Les salopes, elles ne se sont même pas lavées depuis tout à l’heure, elles sont toujours couvertes de foutre, fait un autre.—    Cela ne vous dérange pas, j’espère ? les taquine Megan.—    Oh non !
  La partie continue. Ils se foutent à poil et se mettent à nous baiser. Il en a une dizaine, juste ce qu’il faut. Ils nous prennent en tournante. Je réclame encore de me faire ramoner par les deux trous. Megan est en train d’en chevaucher un de face. Un des gars s’approche d’elle par derrière. Il dirige sa bite en main vers son petit trou.
—    Non ! fais-je.
   Mais la bite que j’ai dans la bouche étouffe mon cri.
   Je suis horrifiée par ce que je vois. Megan s’est arrêtée de rebondir pour laisser l’inconnu lui pénétrer le petit trou. Elle se fait maintenant baisée par les deux orifices en même temps. Elle n’a pas le droit ! Son cul appartient à Éric ! Je n’arrive pas à croire qu’elle ose commettre l’irréparable ! Je ne peux cependant pas la juger : Je suis bien placée pour savoir combien c’est bon, et je ne peux que comprendre combien cela a dû être dur d’avoir résister jusqu’ici. Soit. Je me sens mal vis-à-vis de tonton, mais je respecte son choix, je ne trahirais jamais ce secret. Je l’emporterais dans la tombe.
  Nous voilà donc comme deux chiennes à nous faire prendre en double par des types qu’on ne connait absolument pas et qui ne sont même pas de notre école. Je prends un pied d’enfer, Megan aussi.
—    Ah ! Putain ! Les salopes ! Et moi qui pensaient que vous étiez encore vierge ! —    J’ai toujours rêvé de les voir se comporter comme des putes. Je suis en train de réaliser mon plus gros fantasme les gars !
  Les commentaires salaces s’enchainent, ainsi que les bites dans nos orifices. J’ai perdu le compte du nombre de fois que j’ai joui.
  Je pensais qu’ils se contenteraient de tirer le coup vite fait en giclant les uns après les autres comme l’ont fait tous nos précédents amants, mais eux, ils se retiennent. Ils nous démontent comme des gros porcs en prenant un max de plaisir tout en nous en donnant au passage. Il ne nous faut pas longtemps pour retrouver notre état de loque humaine face à l’épuisement.
  Lorsqu’ils estiment qu’ils en ont eu assez, ils s’organisent pour se finir. Ils nous font nous assoir à genoux sur le sol tandis qu’ils nous entourent en se branlant furieusement. Oooh, ce que j’adore ce qui va se passer, ils vont nous éjaculer dessus tous ensemble. Je suce toutes les queues qui passent à ma portée et Megan en fait tout autant. Pour mériter notre récompense, nous devons les traire. Ma sœur a la chance de faire éclater le premier qui lui gicle à la gueule. Elle ouvre la bouche dans l’espoir d’en avaler un peu. Mon tour vient lorsque quelqu’un m’attrape par les cheveux :
—    Allez ! Prend ! Salope !
  Il m’envoie son sperme à la gueule. Des giclées bien copieuses comme je les adore.
  Nous continuons de jouer à mon jeu préféré : pomper de dards pour leur vider les couilles.
—    Putain, t’aime la bite, toi, me complimente un de nos inconnues.—    Hmm, et le sperme aussi, fais-je. Allez, les garçons, ne vous retenez pas, je suis trop impatiente ! On va vous assécher. Personne ne sortira d’ici tant qu’il y en a un d’entre vous qui a encore un peu de foutre au fond des boules.
  Ils se succèdent un par un. Certains préfèrent éjaculer sur nos seins. Il y en a un qui s’est fini entre les nichons de Megan. À chaque fois, nous nous étalons le sperme qu’ils nous donnent pour exciter les suivants. C’est un véritable déluge de foutre qui s’ajoute sur nos corps déjà souillés.
  L’avant-dernier nous force à coller nos visages l’un contre l’autre pour nous salir toutes les deux. Le finaliste m’enfourne sa queue dans ma bouche et me la baise en me maintenant la tête. Il se sert de ma bouche comme un vagin, je ne l’aide même pas en le branlant, mes mains sont posées sur ses cuisses musclées.
—    Ah ! Putain ! Tu vas tout avaler ! Salope ! —      J’adore avoir un pénis au fond de la gorge, mais mon moment préféré, c’est le sentir éclater. Dans un puissant râle, son méat expulse enfin son venin. Je lui titille le gland avec ma langue pour l’exciter davantage. Je gouterais bien son délicieux nectar comme il l’avait voulu, mais j’ai une autre idée en tête. Lorsqu’il se retire, satisfait et repu, je me tourne vers ma sœur pour l’embrasser et lui partager son sperme. Toutes les deux collantes de la semence d’une quarantaine d’hommes, nous partageons un baiser fougueux sous le regard envouté de nos amants d’un soir. C’est un véritable baiser d’amour, comme seule deux femmes amoureuses peuvent le faire. Du jus s’écoulent le long de nos lèvres et tombent sur nos seins.
—    Putain, c’est trop là !
  Une personne de notre public s’avance pour un second tour. Il se branle puis nous gicle à la gueule tandis que nous n’arrêtons pas notre chaude étreinte.
—    Cette fois, c’est terminé les garçons, déclare Megan. Maintenant que vous vous êtes bien vidé, il est temps de laisser aux filles un peu d’intimité.
  Ils se rhabillent en faisant des commentaires salaces. Nous les ignorons, et continuons à nous embrasser et à nous caresser. Nous sommes encore accrochées l’une à l’autre lorsque le dernier s’en va en refermant la porte derrière lui. Je suis épuisée, mais si heureuse de cette soirée. J’aime Megan, je l’aime comme personne au monde. Avoir vécu cette expérience à ses côtés me rend encore plus amoureuse. Je suis contente qu’elle l’ait faite avec moi.
  Nous refermons notre porte à clé et nous allongeons toutes les deux dans un lit. Nous ne sommes pas passées par la douche, nous sommes trop fatiguées pour ça. Nous nous sommes prises dans les bras l’une de l’autre, et nous nous sommes endormies malgré le bruit qui régnait en bas.  
  Nous avons raté le reste de la soirée, mais on s’en moque. Clarisse a été une vraie amie : quand elle a compris ce qui se passait, elle a joué les hôtesses à notre place. Elle s’est assurée que tout le monde reparte dans l’ordre et le calme, et elle est restée toute la nuit pour nous réveiller au petit matin. Elle nous a trouvée dans un sale état, mais elle n’a émis aucun jugement.
  Nous avons passé le reste de la matinée et une partie de l’après-midi à tout ranger et nettoyer. Nous avons conclu avec Éric qu’il ne rentrerait qu’au soir, mais qu’il ne devait plus rester aucune trace de notre fiesta à son retour. J’ai ressenti une gêne lorsqu’il est arrivé et que Megan et lui se sont embrassé comme si de rien n’était. Je n’oublie pas qu’elle l’a trahi en se laissant enculer. Avec toutes les photos et les vidéos qui ont été prises ce soir-là, il n’est pas du tout impossible qu’Éric finissent par entendre parler de l’orgie qui a eu lieu. Ça, il peut peut-être encore le pardonner, mais la sodomie, surement pas. Il ne faudra jamais en parler. Jamais. Heureusement que personne n’a pris de preuves à ce moment-là. Je sais combien ils s’aiment, et comment Megan l’aime autant que moi je l’aime. Je ne voudrais pas qu’aucun d’entre eux ne souffrent.
  En attendant, les grandes vacances sont là, et après, l’université. Nos aventures sont loin d’être terminée.
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