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Les nièces jumelles : saison 3

Chapitre 7

BONUS : pendant ce temps partie 2

Orgie / Partouze
Christine est moi sommes souillées du foutre de nos hommes. Allongées sur un transat à leurs côtés, nous regardons les autres couples toujours en train de baiser tout autour de nous. Cette soirée est décidément très chaude.
Je retire mes lunettes et lèche les verres pour avaler le sperme épais que mon Guillaume y a laissé en éjaculant. Hmm, c’est délicieux, je vais enfin pouvoir y voir plus clair. Certains font l’amour passionnément, d’autres comme de véritables animaux. Il y a des célibataires qui se sont mis ensemble juste pour tirer un coup, comme cette blonde qui se fait prendre comme une chienne par un inconnu tant elle est en manque de bite. Son amant lui donne manifestement beaucoup de plaisir vu la tête qu’elle fait. Je me demande s’ils vont se revoir après ça.
Je remarque que la plupart de ceux qui ont terminé se sont déjà rhabillés, dont cette brune un peu ronde aux gros nibards qui s’était fait ramoner par les deux trous par deux brutes en même temps. Elle doit encore avoir les orifices qui débordent. Je me dis qu’il est peut-être temps pour moi de faire de même, mais pas dans mon état. Je vais piquer une tête dans la piscine pour me rafraîchir. Pas super hygiénique pour les autres baigneurs, mais je m’en moque un peu. Il y a d’ailleurs toujours qui s’envoient en l’air dans l’eau. Mon chéri plonge me retrouver pour me câliner, suivi de David et Christine. Nous passons un moment merveilleux, je regrette que les jumelles ne soient pas là. Où sont-elles d’ailleurs ? Après tout, ce sont nos hôtes. Je suis étonnée qu’elles soient en train de manquer cette orgie, ce n’est pas leur genre, il faut que j’aille les chercher.
Je sors de la piscine et remets mon bikini. Ce n’est pas super habillé, mais je ne voudrais pas choquer les fêtards qui sont en train de s’amuser à l’intérieur en me baladant à poil. À la seconde où j’entre, je me rends compte à quel point c’était bête. J’hallucine, notre partouse s’est répandue dans toute la maison et tout le monde s’est mis à baiser. Moi qui pensais que dehors était le coin des pervers. Plusieurs couples copulent furieusement sur les sofas du salon. Ceux qui n’y ont pas trouvé de place le font à terre ou contre les murs. J’essaie de me frayer un chemin comme je peux. J’entends par la même occasion les commentaires de ceux qui ont terminé ou ne font que mater. Il n’y en a pas un seul qui trouve ça dégueulasse. Tout le monde trouve ça amusant ou délirant. À mon avis, les petites natures se sont déjà barrées en hurlant, il ne reste que les gens ouverts d’esprits et décoincés du cul. Malgré la musique, plus personne ne danse.
Ou cela mate, ou cela baise, dans les deux cas, l’alcool coule à flots.
La sortie du salon est obstruée par une petite asiatique se faisant sodomiser par un beau brun dans l’encadrement de la porte. Je n’ose pas les interrompre, ce serait cruel quand même. Je n’ai pas le choix, je vais attendre qu’ils aient fini. Face à moi, la fille se tient fermement aux bords tandis que sa belle poitrine se balance. Si je n’étais pas déjà réassassinée, je me caresserais en les matant, ils sont magnifiques. Je me demande s’ils sont venus ensemble ou s’ils viennent de se rencontrer. Dans le second cas, je me demande s’ils repartiront ensemble... Le garçon se fige soudain en poussant un grand cri, sa compagne ferme les yeux en l’imitant. Ils jouissent ensemble, c’est si beau. Je me mets à leur place en me remémorant le bonheur de sentir le sperme de Guillaume m’envahir le cul lorsqu’il m’encule. Ils réalisent seulement maintenant que je suis là à attendre pour passer, ils s’excusent et s’écartent du chemin, je leur réponds qu’il n’y a pas de soucis.
Je cherche les jumelles dans toutes les pièces du rez-de-chaussée. Partout où je passe, des gens baisent. Que ce soit dans la cuisine ou dans le hall d’entrée ; même dans les toilettes, une fille était en train de sucer son mec. Dans la salle de bain, trois couples étaient occupés à tirer leurs coups, il y en avait même un dans la baignoire.
Je vois un flot anormal de gens monter et descendre des escaliers. Quelque chose me dit qu’il doit se passer un truc là-haut. À l’étage, il ne me faut pas longtemps pour comprendre. OK, bon, bah j’ai trouvé les jumelles. Tant pis, elles ont l’air un peu occupées, je ne vais pas les déranger. Bon sang, mais ils sont combien là-dedans ? On dirait qu’elles ont un troupeau de mâles rien que pour elles. Ce n’est pas possible, ils ne peuvent pas être tous en train de les baiser. Je sais que Lucy est une salope, mais tout de même, là, ça tiendrait du niveau du livre des records. Et puis il y a Megan aussi, c’est une sacrée coquine, mais je la vois mal aller jusque-là. Peu importe, je ne les juge pas. Je vais m’en aller, elles me raconteront tout plus tard de toute façon.
Je retourne dans le salon. Je n’avais pas trop fait attention qui était là. Je tombe par hasard sur une amie du club à partouse.
— Tiens, tu ne fais rien toi ? fais-je étonnée de la retrouver ni à poil ni en train de s’envoyer en l’air. — Si, si, mais j’ai déjà fini, regarde, me dit-elle en relevant sa jupe pour me montrer sa chatte débordante de sperme.
Je ne veux même pas savoir où est passée sa culotte.
Sur le divan d’à côté, je remarque deux couples que je connais que trop bien en pleine action : Karine et Stéphane, ainsi que Chloé et son nouveau mec. Comment il s’appelle déjà ? Julien ? J’ai un peu honte de ne pas le savoir, je l’ai laissé me baiser en double lors d’une de nos orgies.
C’est toujours un régal de voir Karine se faire baiser en public ; elle qui faisait sa petite prude choquée par le moindre bisou avant. Aujourd’hui, c’est une salope qui se fait sodomiser en levrette devant tout le monde. Qu’est-ce que nous l’avons corrompue ! À mon avis, elle a dû en surprendre plus d’un ce soir, il doit y en avoir encore pas mal qui la croyait sage. Dans le même genre, Chloé n’est pas mal non plus. C’est une fille connue pour être ultra-timide et introvertie, la plupart doivent penser qu’elle est encore vierge, alors ils doivent halluciner à la voir chevaucher son mec comme ça, surtout qu’elle empale son manche dans son cul. N’empêche, ils font un mignon petit couple, Julien est un garçon habituellement aussi coincé qu’elle.
Je m’amuse à les regarder pendant un long moment, je ne suis pas la seule d’ailleurs. Les commentaires fusent. Je plains ceux qui sont excités par ce qu’ils voient, mais qui n’osent pas passer à l’acte. Moi en tout cas, cela me redonne envie tout cela. Je pourrais allumer un de mecs présents pour qu’il me saute, mais je suis bien plus vicieuse que ça. Je m’approche du sofa, et demande à Chloé :
— Cela te dérange si je t’emprunte ton mec un moment ?
Elle me regarde d’un air incrédule, perdue dans son plaisir. Lorsqu’elle comprend enfin ce que je viens de dire, elle se retire et me laisse la place. Je m’en doutais, c’est une petite soumise incapable de dire non. Ça doit la faire chier à mort, mais elle le fait quand même. C’est mon but, j’ai envie de les ennuyer un peu.
Je regarde Julien droit dans les yeux d’un air aguicheur :
— Alors, ça te tente de faire des choses avec moi ? lui demandé-je.
Il me fixe avec un regard du genre « un peu mon neveu ! ». Il se tourne une seconde vers Chloé pour voir si elle approuve, comme elle ne dit rien, il se retourne vers moi pour me dire oui.
— Hmm, parfait, fais-je. Lèche-moi bien la chatte, si tu es sage, je te laisserais m’enculer.— Mais... je pensais qu’il n’y avait que ton mec qui pouvait faire ça ?— Ça, c’était avant. Maintenant, il a tout de même quelques exceptions. Tu peux t’en réjouir, tu fais partie des très rares élus, mais ne le crie pas sur tous les toits.
Je jurerais qu’il bande encore plus fort.
Je prends sa place sur le divan et écarte bien les cuisses. Il se met à genoux pour prendre soin de mon minou. J’exagère mes gémissements en lançant des clins d’œil à Chloé pour la rendre jalouse. N’empêche qu’il s’y prend bien le petit coquin.
— Vas-y, mets-y des doigts.
Il s’exécute, il me fouille le vagin tout en titillant mon clitoris avec sa langue. Je mouille beaucoup. Je le laisse faire durant de très longues minutes. Le pauvre, il doit avoir une furieuse envie de me prendre, il se branle tellement il n’en peut plus. J’en ai envie moi aussi, mais je fais durer les choses juste pour le frustrer un peu.
Quand j’estime qu’il a assez souffert, je lui offre sa récompense, il faut admettre qu’il l’a bien méritée. Je lève les jambes pour bien faire remonter mon petit cul et écarte mes fesses avec mes deux mains pour lui donner une belle vue.
— Tu le veux, hein ? — La vache, oh oui !— Vas-y, enfonce-toi dedans, bourre-le.
Il me pénètre l’anus avec son pieu et se met tout de suite à me limer. Il va très vite, mais heureusement, je suis déjà bien préparée. Je prends mon pied, je me caresse la chatte en même temps pour augmenter mon plaisir. Chloé nous regarde sans dire un mot, elle doit me détester en ce moment, son mec la trompe avec moi juste devant elle et elle ne fait absolument rien pour m’arrêter. Debout, elle a les jambes croisées, les cuisses serrées comme si elle cherchait à faire taire les démangeaisons de son entrejambe. Elle meurt d’envie d’avoir une bite au fond d’elle, et cruelle comme je suis, celle qu’elle veut est actuellement au fond de moi.
— Clarisse ! Clarisse ! gémit Julien.
Il a l’air au paradis, tu m’étonnes !
— Ça fait longtemps que tu avais envie de ça, hein ?— Oh, oui ! Putain !— Tu aimes mon cul ?— Oh oui ! — Alors, prends-le aussi fort que tu veux !
Du coup, il augmente son rythme ; il me fait défaillir. À côté de nous, Karine me regarde, étonnée de me voir aussi chienne. Je lui lance un sourire, elle fait de même. Nous sommes deux putes qui nous faisons défoncer l’anus en plein milieu d’une orgie, et nous en sommes heureuses. Soudain, cela me donne une idée, il y a quelque chose que Karine n’a jamais fait dont je rêve d’être le témoin.
— Hmm, Karine, ça ne te tenterait pas d’essayer un double ?— Que... quoi ? Mais tu es folle ? — Oh, allez. Tout le monde ou presque a déjà essayé sauf toi. Puis je suis sûre que tu en as toujours en envie.— Mais non ! Jamais ! ment-elle très mal. De toute façon, la question ne se pose pas, mon homme ne voudra jamais.— Cela ne me dérangerait pas, la contredit Stéphane. — Ah, tu vois ? fais-je. Même ton mec est partant. Allez ! Lâche-toi un peu !
Je la vois hésiter. Elle est tellement excitée qu’elle serait prête à faire la pire des folies.
— De toute façon, nous n’avons pas de troisième, cherche-t-elle encore comme excuse, alors ce n’est pas faisable.— Vraiment ? souris-je. Dis, Julien, cela t’intéresserait de baiser Karine en sandwich ?— Je... heum... Ouais ! À fond ! Mais... et toi ? — Ne t’inquiète pas pour moi, va. Alors Karine, qu’est-ce que tu en dis ?
Elle lutte, elle n’a jamais fait un truc aussi pervers, mais cela crève les yeux qu’elle en a envie. Je la pousse un peu pour la forcer à se décider, je ne suis pas ravie lorsqu’elle accepte enfin.
Stéphane s’assied sur son siège afin qu’elle puisse le chevaucher, j’invite Julien à la prendre par-derrière. Il a de la chance, le petit veinard, elle lui offre son anus. Sous le regard fébrile de Chloé, il s’enfonce dans son cul et se met à la pilonner. Karine crie... de plaisir... Elle est la star de la soirée, tout le monde s’est retourné pour la regarder. Si elle n’était pas trop perdue dans son monde de plaisir, elle en nourrirait de honte.
Je me masturbe en matant ces deux belles verges défoncer ses orifices. Je sais ce qu’elle traverse, j’étais à sa place il n’y a pas une heure, comme je l’envie. Chloé ne dit ni ne fait toujours rien. La pauvre, j’ai un peu pitié d’elle :
— Viens Chloé. Oublie-les un peu. On va se donner du plaisir toutes les deux, il n’y a pas de raison qu’ils soient les seuls à se faire du bien.
Elle n’a jamais rien fait avec une autre fille, je sais qu’elle n’a jamais spécialement été attirée par ce genre de choses, mais vu la situation, elle n’arrive pas à dire non. Elle a besoin de quelqu’un pour prendre soin d’elle. Elle s’allonge sur le sol, et je m’installe à quatre pattes au-dessus d’elle dans le sens contraire. J’écarte ses cuisses avec mes mains et lui broute le minou. Elle fait d’adorables petits gémissements lorsque ma langue titille son clitoris. J’aimerais qu’elle me rende la pareille, mais on dirait qu’elle est trop timide pour ça. Je frotte vicieusement ma chatte contre son visage pour lui indiquer que j’ai envie, mais j’ai besoin de le lui demander oralement pour qu’elle comprenne le message. Lentement, elle pose ses mains sur mes fesses et relève la tête pour me lécher. Hmm, enfin ! Elle manque de confiance en elle, j’exagère mes gémissements pour l’encourager à continuer, je ne voudrais pas qu’elle pense que je n’aime pas ça et qu’elle arrête.
Au début, j’ai bien senti qu’elle le faisait de façon contrainte, mais plus le temps passe, plus elle se prend au jeu. Elle cherche vraiment à me donner du plaisir, je la récompense en faisant de même. Plusieurs mecs autour de nous sont en train de se branler en nous regardant faire notre soixante-neuf. Même Julien, en nous observant, s’est mis à pistonner Karine avec plus de vigueur. Il doit être sacrément heureux, le coquin, c’est la troisième fille qu’il encule dans la même soirée. Il en profite bien, il sait que cela ne lui arrivera pas souvent. Il m’a toujours fait sourire : dans la vie de tous les jours, c’est un garçon coincé qui n’a pas beaucoup d’amis, pourtant, dès qu’il s’agit de sexe, il n’hésite pas à se lâcher et à baiser les filles comme les dernières des salopes. Comme quoi, il faut se méfier de l’eau qui dort.
Je garde toujours un œil sur ce mignon petit trio tandis que je m’occupe de Chloé. Karine ne cesse de jouir, quelque chose me dit qu’à partir de maintenant, elle va réclamer un double plus souvent. Je me demande si son copain va en être jaloux, ou si au contraire, cela l’excitera. Les garçons semblent aussi beaucoup apprécier, ils la baisent comme si leur vie en dépendait. Au début, ils étaient doux, mais maintenant qu’ils savent combien Karina aime ça, ils se lâchent et se font plaisir. La scène est tellement érotique, animale, les gens filment autour de nous. Il y a plusieurs couples qui sont en train de s’envoyer en l’air dans la même pièce, mais ce sont eux qui raflent toute l’attention.
Julien se met soudainement à grogner. Je reconnais très bien cette expression sur son visage. Ce bonheur, cette extase, il est en train d’éjaculer. Il décharge son sperme dans le cul d’une désormais ancienne camarade de classe avec sa copine juste à côté. Il lui donne tout ce qu’il a, et Karine l’accueille ouvertement comme si elle en avait besoin. Elle jouit avec lui, frissonnant à chaque jet de foutre qui lui inonde l’anus. Une fois bien vidé, son amant se retire, laissant à la vue de tous un cratère béant. Les commentaires fusent. Les hommes qui se sont contentés de regarder sont jaloux. En même temps, c’est leur faute : rien ne les empêche de venir participer, on est tous en train de baiser.
Stéphane ne laisse aucun répit à sa copine et continue de la limer. Ses coups de reins font s’échapper du sperme du cul de Karine. Le public est abasourdi par l’obscénité de ce qu’il voit, notre star en rougit de honte, mais continue de s’offrir en spectacle malgré tout. Mon Dieu, comme on est bien loin de la fille prude et autoritaire d’il y a quelques mois. Ceux qui la connaissent sont choqués de la voir aussi « pute », pour reprendre leurs propres mots. Certains font même remarquer à voix haute qu’ils aimeraient avoir droit à une passe avec elle. Je sais qu’elle s’est dévergondée, mais pas à ce point-là. Je pense qu’elle trouve ça malgré tout flatteur même si elle est trop fière pour l’admettre. Au fond, je suis sûre qu’elle aime ça de s’exposer devant tout le monde.
Elle est belle, je trouve toute cette situation particulièrement excitante. Tellement que j’en jouis sous les coups de langue de Chloé. Ma mouille se met à couler sur son visage, je l’ai souillée. Karine a eu son compte et demande à Stéphane d’arrêter, sauf que ce pauvre garçon s’est retenu pendant tout ce temps rien que pour lui faire plaisir et qu’il a fortement besoin de se soulager. Pour le « récompenser », sa chérie se met à genoux pour le sucer. Il est au paradis, il sait qu’il n’a plus qu’à se laisser aller. Lorsqu’il se met à pousser un râle, elle le branle très fort en pointant son champignon vers son visage. Sa queue explose en lui envoyant un premier jet de foutre en plein sur la figure. Elle continue de l’astiquer très fort pour en recevoir d’autres. Elle se couvre elle-même de la semence de son homme pour décupler son plaisir. Ce dernier, pris de spasme, continue d’éjaculer copieusement. Filles et garçons jalousent ce moment partagé en couple.
La source finit par se tarir, Karine en récolte les dernières gouttes en l’attaquant avec sa bouche, puis avale son délicieux butin. Ils sont tous les deux épuisés, mais repus et heureux. Des gens autour applaudissent, ils sont gênés, mais ne disent rien. Pour moi, le show est loin d’être terminé, j’interromps ce que je fais avec Chloé et lui demande de me suivre :
— Viens, Chloé, on va la nettoyer.
Elle doit me haïr, elle n’a toujours pas joui. Il faut dire que je l’ai fait exprès, j’aime bien la torturer un peu. Je m’approche de Karine qui ne comprend pas ce qui se passe, puis je l’embrasse sur la bouche. Je goûte le jus de son homme sur ses lèvres avant d’en profiter pour la lécher pour récolter un peu plus. J’incite Chloé à venir m’imiter. Elle vient me rejoindre, fébrile. Les deux filles se regardent un moment avec des yeux de merlan frit, ne sachant quoi faire. Elles hésitent, timides, jusqu’à ce que Chloé fasse le premier pas. C’est trop mignon, elles vont jusqu’à s’enlacer pendant leur baiser. Je les sépare afin de mieux me joindre à elles. Ma complice et moi nous occupons de Karine. Nous la caressons, la couvrons de baisers, lui faisons sa toilette avec nos langues. Je déguste le sperme de Stéphane qui coule sur ses seins, je saisis l’occasion pour lui sucer un téton au passage.
Nous continuons jusqu’à ce qu’elle soit entièrement propre, enfin, pas tout à fait : alors que Chloé pensait que nous en avions fini, je lui indique qu’il reste un endroit dont il faut s’occuper : son anus. Comme ce dernier déborde du jus de son copain, je lui laisse cet honneur. J’ordonne à Karine de se mettre à quatre pattes, et à la chérie de Julien de se placer derrière. Comme toujours, elle est un peu réticente au début, mais son côté pervers prend ensuite le dessus. Elle écarte ses fesses avec ses mains puis se met à la lécher. Elle enfonce sa langue dans son cul lorsqu’il n’y a plus rien à nettoyer à l’extérieur. Elle cherche véritablement à récolter tout ce qu’il y a, comme si elle avait vraiment soif du sperme de son amoureux. Ce dernier la regarde ébahi. Si nous n’étions pas des filles, il serait jaloux. À mon avis, s’il n’était pas redevenu mou, il viendrait l’enculer sur-le-champ.
Karine gémit, mais son plaisir s’arrête prématurément lorsque Chloé finit sa tâche. Elle se redresse et nous remercie toutes les deux d’un baiser, puis elle s’en va rejoindre son copain qui n’en revient pas. Chloé, en bonne soumise, reste près de moi. Elle attend mes prochaines instructions. La pauvre a besoin de jouir et compte sur moi pour l’aider. Il est vrai qu’elle mérite à ce qu’on prenne soin d’elle à son tour. Je ne veux pas m’en charger moi-même, il lui faut le sexe d’un homme, sauf que son copain n’est pas en mesure de l’aider. De toute façon, c’est mieux ainsi, je ne le lui aurais jamais demandé. Il a baisé et jouit dans le cul d’un autre, une telle infamie se doit être punie. Bien sûr, j’ai quelque chose en tête pour concilier mes deux ambitions.
Chloé et moi nous remettons debout tandis que je m’adresse au public :
— Le spectacle vous a plu les garçons ?
Comme je m’en doutais, des commentaires du genre « oh oui alors ! » fusent.
— Vous en voulez encore ?
Évidemment, la réponse est positive, même de la part des filles.
— Que pensez-vous de Chloé ? Elle n’est pas magnifique ?
Cette dernière rougit en entendant tant de monde répondre par l’affirmative. Elle manque de confiance en elle parce qu’elle n’a jamais vraiment eu beaucoup de prétendants, et encore moins de petits copains, mais c’est de sa faute, elle joue toujours les coincés et reste toujours dans son coin. Maintenant que les hommes voient qui elle est, forcément, beaucoup sont attirés par elle.
— Elle vous excite ? Vous la voulez ?
Plus d’un l’avoue ouvertement, certains sont d’ailleurs en train de se branler furieusement.
— Et bien c’est votre jour de chance : elle est à vous. Baisez-la, enculez-la. Montrez-lui combien elle vous fait envie, et donnez-lui le plaisir qu’elle mérite.
Julien s’insurge, je m’y attendais, c’était un peu le but. Je le calme en lui rappelant le nombre de filles autres qu’elle il s’est déjà tapé rien que ce soir. Cela ne lui plaît pas, mais il sait aussi qu’il passerait pour un connard égoïste s’il l’en empêchait. Chloé ne dit rien, ne fait rien, mais je sens bien qu’elle est terrifiée. Une partie d’elle voudrait s’enfuir, mais une autre lui dit de rester. Manifestement, c’est celle-ci qui est en train de gagner. Elle a peut-être peur, mais elle est curieuse de ce qui va se passer.
Au début, cela ne se bouscule pas beaucoup au portillon, il leur faut un peu de temps pour digérer l’information. La plupart ont dû penser à une blague, j’insiste alors pour bien faire comprendre que c’était tout ce qu’il y a de plus sérieux. Le silence de Chloé leur confirme mes dires. Elle attend... Elle attend de se faire prendre. Un premier courageux s’avance en se déshabillant. Il est pas mal, et bien membré, elle a de la chance. D’autres le suivent peu après. Ils sont quatre, cinq, maintenant plus. Comme je les comprends. Cela fait des heures que tout le monde baise autour d’eux, et ils n’ont rien fait d’autre que de mater sans oser participer. À force, c’est normal qu’ils n’en puissent plus. Je plains les peureux toujours trop coincés pour faire le pas. J’espère pour eux qu’ils ont bien tout filmé pour pouvoir se branler en rentrant chez eux.
Les futurs amants de Chloé enlèvent leurs vêtements. Certains sont beaux, d’autres beaucoup moins. Il y en a qui doivent ne pas avoir tiré leur coup depuis longtemps. Ils ont des sexes de toutes les tailles, il y en a des petites et des grosses. Elle les fixe avec appréhension. Bientôt, ils seront en elle, tous, sans exception. Je la sens intimidée par leur nombre, elle ne devait pas s’attendre à ce qu’il y en ait autant, mais je la sens flattée aussi. Derrière sa peur se cache également de l’impatience. Je lui donne un dernier ordre avant de la laisser seule entourée de mâles en rut :
— Mets-toi à genoux et suce-les, ma chérie.
La voir s’agenouiller agit comme un signal sur les garçons. Ils s’approchent d’elle la verge dressée pour réclamer de l’attention. Timidement, elle en prend deux en mains et se met à les branler. On pourrait croire que je suis un monstre à offrir cette fille aux premiers venus, mais en réalité, je n’ai pas eu beaucoup besoin de la forcer. Elle en a envie, cela se lit dans ses yeux, et ce bien qu’elle ait un copain qu’elle aime et qui doit bien la baiser tous les jours.
Elle ressert sa poigne et astique ses membres plus fermement pour bien sentir leur taille. Elle prend son temps, mais finit par plonger en avant pour gober le gland d’un premier. Elle suce une bite, puis une autre, puis une encore autre. Elle essaie de prendre soin de tout le monde, mais ses amants en veulent toujours plus.
— Pitié, suce-moi Chloé, fait l’un.— Non, moi d’abord, je n’en peux plus, fait un autre. — Oooh, Chloé, j’ai toujours rêvé que tu me fasses ça, lui avoue un ancien collègue de classe.
Malgré le monde fou en train de copuler dans la pièce, tous les spectateurs ont les yeux et leurs objectifs sur elle. Je suis installée sur le divan, confortablement installée aux côtés de Karine et Stéphane, à admirer la scène. La petite blonde s’amuse avec ses queues comme avec des jouets. Elle pompe bruyamment en bavant beaucoup pour les lubrifier. Elle en a totalement oublié Julien qui la regarde jalousement, le cœur déchiré. Elle mouille tellement qu’une flaque de cyprine grandit en dessous de ses cuisses. Un homme interprète cela comme un signal de détresse et vient se placer derrière elle. Il pointe son dard vers sa chatte qui hurle à l’agonie avant de s’enfoncer en elle. Il la prend doucement, mais profondément. Elle gémit de bonheur à travers les queues qu’elle a dans la bouche. Cela faisait tellement longtemps que je la torture, elle devait vraiment avoir besoin qu’on la remplisse.
Elle se met à quatre pattes, cela cause de la frustration chez certains qu’elle n’ait plus les mains libres. Elle tente de les branler avec une seule tout en continuant de sucer, mais elle a de plus en plus de mal avec les coups de boutoirs qu’elle prend par-derrière.
L’excitation monte, ceux qui étaient très doux au départ commencent à devenir plus brutaux. Le garçon qu’elle a dans la bouche remue lui-même du bassin pour lui baiser la gorge, tandis que les hommes se succèdent dans son vagin. Ils ne se soucient pas de son plaisir, ils veulent l’user, la souiller. Certains juste pour se vider les couilles, d’autres parce qu’ils la veulent depuis trop longtemps et savent qu’ils n’auront jamais une deuxième chance.
Un volontaire se décide enfin à la prendre par le cul. Je la connais assez pour savoir qu’elle ne devait attendre que ça. D’ailleurs, très vite, elle en atteint l’orgasme. Le bonheur qui se lit sur son visage est communicatif. Après tout ce temps, enfin, la délivrance. Elle en veut plus, toujours plus, et ses amants aussi. Enhardis en constatant qu’elle prend son pied, ils prennent leurs aises avec elle. Ils se comportent comme des animaux qui veulent juste la sauter, et elle se laisse faire tellement elle est en chaleur.
Je suis tellement absorbée par le spectacle que je n’ai pas vu mon chéri arriver dans la pièce. Je réalise qu’en effet, cela commence à faire longtemps que je me suis absentée, le pauvre a dû se demander ce que je faisais. Il n’en revient pas en comprenant que c’est la petite Chloé qui se fait prendre par un troupeau de mâles en plein milieu du salon devant tout le monde. Il vient me rejoindre dans le sofa pour regarder ça. Nous nous faisons des commentaires au creux de l’oreille, la situation nous amuse follement.
La blonde aux tout petits nichons se fait prendre en double au ras du sol. Les garçons n’en pouvaient plus de passer qu’un seul à la fois. Ils lui défoncent ses orifices brutalement tandis qu’elle crie de plaisir :
— Aaaah ! Oui ! Oui ! Encore ! geint-elle coincée entre le corps de deux beaux mâles.
Les hommes défilent dans ses trous. Un premier éjacule enfin dans sa chatte, un deuxième se soulage sur sa figure peu après alors qu’elle en avait un autre dans la bouche. Il ne faut pas longtemps avant que quelqu’un se décide à se lâcher dans son cul. Elle déborde de sperme, mais c’est loin d’être terminé.
Loin d’être rebutés qu’elle devienne de plus en plus collante de foutre, de nouveaux volontaires s’avancent pour venir la baiser. La pauvre n’a décidément aucun répit, non pas qu’elle en demande. En voyant Julien devenir dur à nouveau, je l’autorise à aller les rejoindre. Même si elle est en train de le tromper avec une dizaine de mecs, il a toujours envie de la sauter, c’est touchant.
— Suce-moi, ma chérie, lui ordonne-t-il son dard pointé devant son nez.
Elle l’avale avec amour.
— Moi aussi, ça me redonne envie, me glisse mon amoureux. — Hmm, on est deux.
Je mouille depuis tout à l’heure. J’ai besoin de sentir une bonne queue au fond de mon vagin. Guillaume et moi nous levons pour nous placer derrière le divan. Je me penche vers le dossier pour l’inviter à me prendre. Il s’enfonce dans ma chatte en m’attrapant par les hanches et me lime puissamment. Cette position est parfaite, je ne rate rien du spectacle comme ça. Je regarde Chloé tout en me faisant moi-même défoncer. De nombreux couples font la même chose que moi. En voyant un homme se décharger sur son visage, un garçon s’est mis à jouir dans sa copine. Plaquée contre un mur, celle-ci le rejoint en sentant son vagin se remplir de sperme. Celui-ci coule le long de ses cuisses lorsqu’il se retire, tachant le sol au passage.
Guillaume change de trou et s’enfonce dans mon anus. J’adore, j’en suis devenue tellement accro. Il me saillit à la fois de façon brutale et passionnée. C’est peut-être regarder Chloé qui l’a excité, mais c’est moi qu’il veut, et personne d’autre. Je m’étais demandé s’il avait profité de mon absence pour faire quelque chose avec une autre fille, j’ai désormais la certitude que non.
Julien a enfin droit à son tour et ravage le cul de sa copine. Ses coups de reins trahissent sa colère. Il veut à la fois lui faire du bien et la punir de se montrer aussi salope. Il la démonte comme une véritable chienne alors qu’un autre sexe lui envahit le vagin. Elle jouit, encore. Si ça continue, elle va finir par s’évanouir. Ses amants ne se retiennent pas, et jouissent en elle, ou sur elle. J’ai dû mal à reconnaître Chloé, j’ai plutôt l’impression d’être en train de regarder Lucy. Elle trouve encore la force de sucer, et même d’avaler quand on lui jute au fond de la gorge. Le stock de volontaires commence à se désemplir. Il y a de moins en moins de monde autour d’elle. Elle aura quand même été gâtée, certains ont même réclamé un second passage. Julien est toujours dans la course, je crois qu’il se retient, car il a envie de l’avoir un peu pour lui tout seul, mais à mon avis, il ne doit pas être le seul à avoir cette idée.
Chloé s’est tellement fait traiter comme un sac à foutre, que les seules fois que j’ai vu une fille avoir autant de sperme sur le corps étaient dans un porno japonais. Bientôt, il ne reste que trois hommes en lice, tous les trois cherchant manifestement à se retenir pour passer un moment seul avec elle. Un premier craque et jute dans sa chatte. Il ne reste plus qu’un seul rival à Julien. Ils décident de la prendre ensemble debout en double ; Julien se réserve évidemment son cul. Ils la ramonent de concert, cherchant à la rendre folle, comme deux mâles se battant pour gagner le cœur d’une femelle. Pas de bol pour son copain officiel, c’est lui qui jouit en premier. Il a beau avoir essayé de se retenir, il beugle en n’en pouvant plus. Son dard pulse de sperme au fond de l’anus de sa chérie, qui déborde non seulement du sien, mais aussi de bien d’autres lorsqu’il se retire. Le vainqueur réclame sa récompense en mettant Chloé à quatre pattes pour lui ravager le fion.
La pauvresse n’en peut plus, elle a eu plus que son compte. Par chance, son dernier amant n’a pas l’air d’être en état de continuer encore longtemps. C’est presque dommage d’avoir fourni autant d’effort pour ne pas pouvoir en profiter pleinement.
Guillaume n’a cessé de me ravager l’anus depuis tout à l’heure. Il se penche vers moi pour m’empoigner les seins et me mordre le cou. Lui, il se fout de ce qui se passe dans le salon, il me veut juste moi et rien que moi.
— Oh, putain Clarisse, je n’en peux plus, j’ai envie de jouir.— Vas-y mon amour. — Tu es sûre ?— Oui, tu m’as déjà fait jouir. Lâche-toi, ne t’en fais pas.
Ses coups deviennent plus féroces. Il cherche à se finir. Il me prend comme un animal et je suis si heureuse d’être sa femelle. J’aime sentir qu’il me veut, qu’il est à moi. Je sens son sperme m’envahir l’anus tandis qu’il pousse un râle. J’adore cette sensation, c’est tellement bestial ! Il gicle à plusieurs reprises pour se vider en moi, et je l’accueille comme une offrande de son amour. Je me sens tellement vide lorsqu’il se retire. Il m’embrasse pour me consoler. Je vais un peu mieux.
Nous nous réinstallons dans le sofa en amoureux. Je dois être en train de tacher le cuir avec mon cul qui déborde. Nous regardons le grand vainqueur profiter de Chloé. Il la défonce toujours comme une chienne en lui tirant les cheveux.
— Oh, putain, Chloé ! Si tu savais depuis combien de temps je rêve de te faire ça ! dit-il.— Aaah ! — J’essaie de jouer les mecs bien, mais tous les jours, en classe, je ne pense qu’à te baiser. — Aaah ! Oui ! Vas-y ! — J’étais sûr que derrière tes airs de coincée, tu étais une chaude petite salope ! — Oui ! oui ! Je suis une salope !
Elle jouit rien qu’en prononçant ces mots. Son amant se retire pour la laisser en profiter. Elle n’en peut plus, ce serait cruel de continuer avec elle. Il lui demande cependant la derrière faveur de le faire jouir avec sa bouche. Elle s’exécute à genoux devant lui. Les flashs de téléphone n’ont jamais cessé, on filme et on fait des photos de la timide petite blonde couverte de sperme sucer son dernier dard dans le salon après une rude orgie. Elle se régale, il est d’une bonne taille. Elle s’applique avec une telle passion qu’elle en rend Julien jaloux. Le sentant venir, elle sort la queue de sa bouche en le branlant très fort. Elle aurait pu avaler, cracher, mais elle préfère manifestement qu’il lui éjacule en pleine figure. Un premier jet de sperme lui gicle dessus, elle l’astique fermement pour l’aider à en faire venir d’autres. Elle le vide comme une bonne petite servante. Le garçon grogne en affichant une expression d’extase, heureux de voir son jus la souiller un peu plus.
Il l’honore de plusieurs jets, puis elle le repompe une fois terminé. Elle aspire ainsi les dernières gouttes jusqu’à ce qu’il redevienne mou.
Les applaudissements retentissent à la seconde où elle recrache sa queue. Le public pensait avoir déjà eu un show très hot tout à l’heure, mais là, elle leur a offert quelque chose qu’ils n’oublieront jamais. Elle se sait plus où se mettre, elle commence à redescendre sur terre et à réaliser ce qu’elle a fait. J’espère qu’elle n’en aura pas honte. Elle ne devrait pas, c’était magnifique. Je lui indique où se trouvent les douches, je pense qu’elle en a bien besoin d’une. Son copain va la rejoindre à l’étage, ils vont avoir pas mal de choses à discuter après ce qui vient de se passer. J’espère que je n’ai pas brisé leur couple.
Une bière à la main, je regarde les autres couples qui continuent de copuler dans les quatre coins de la pièce. Ils finissent les uns après les autres dans des flots de sperme et de cyprine. Le temps passe, la fin de soirée est proche. Beaucoup de monde est déjà parti et l’ambiance redevient plus calme. Alors que ceux qui restent sont repus et épuisés, il y en a qui trouve encore la force de baiser. Ils n’en ont que faire s’ils ont désormais les seuls, ils veulent jouir, ils veulent atteindre le paradis. Je suis une perverse, j’adore regarder des amoureux en pleine action. Je suis presque déçue lorsque j’observe le dernier garçon se soulager dans sa copine. Ça y est, c’est fini. L’euphorie fait place à la mélancolie. Il n’y a plus de musique, nous ne sommes plus beaucoup. On se rhabille, on parle, on boit encore un peu. Il sera bientôt plus que temps de s’en aller. Si seulement nos parents savaient ce qui s’était passé ce soir...
Je prie qu’aucune photo ou vidéo ne filtre sur le Net...La seule chose qu’ils ne sauront jamais, c‘est que j’ai passé la meilleure soirée de ma vie
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