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Les nièces jumelles : saison 4

Chapitre 1

Les cousins débarquent

Orgie / Partouze
Chapitre 1 : Les cousins débarquent
Nous avons une tradition dans la famille : à chaque vacance d’été, les filles et leurs cousins passent environ un mois ensemble. Nous alternons chaque année chez qui cela se passe. Une fois, ils viennent chez nous, la fois suivante, elles vont chez eux. Cette année, c’est moi qui reçois.
Je ne suis pas particulièrement fan de cette branche de la famille. Leur père est le frère du père des jumelles. À la mort des parents des fillettes, cet enculé a refusé de s’occuper d’elles sous prétexte qu’il avait déjà deux bouches à nourrir. C’est comme ça que moi, leur oncle du côté de leur mère, j’ai fini par les accueillir sous mon toit. M’enfin, ce n’est pas parce que je n’aime pas ce mec que je vais interdire à mes nièces de voir leurs cousins. Cela reste important d’entretenir les liens du sang, surtout que c’est la seule période où ils peuvent se voir et passer de bons moments.
Cette année a quelque chose de spécial qui fait que la situation m’enchante encore moins que d’habitude : je sors avec Megan, ma propre nièce, et couche régulièrement avec elle et sa sœur. Ça va me faire drôle de me retrouver tout seul dans mon lit et de devoir faire ceinture. Oh, il va peut-être y avoir moyen de voler par-ci par-là quelques moments d’intimité, mais il va falloir faire très attention à ne pas se faire chopper au risque de déclencher un scandale. Je dois avouer que j’avais rêvé de pouvoir passer mes vacances à baiser avec elles dans toutes les pièces de la maison. C’est aussi pour nous la dernière fois que nous sommes tous ensemble vu qu’elles vont bientôt quitter le cocon pour aller à l’université, j’aurais aimé pouvoir en profiter un maximum avant leur départ. Ce qu’elles vont me manquer...
Ils vont bientôt arriver. Andrew et Noa ont respectivement dix-huit et dix-neuf ans. Je me demande s’ils ont autant changé que mes petites démones en un an. J’espère surtout que cette fois, ils seront un peu moins turbulents.
***Nos cousins vont bientôt arriver ! Ce que je peux être excitée ! Cela fait un an que nous ne les avons pas vus, j’ai hâte qu’ils nous racontent tout ce qui leur est arrivé. De notre côté, il va y avoir pas mal de choses à passer sous silence. Entre la perte de notre virginité, moi qui sors avec tonton Eric, nos parties à trois, et les orgies à l’école, mieux vaut qu’ils n’apprennent jamais ce genre de choses. Ça va être dur de jouer les petites filles sages en permanence, mais ça va aller, puis je suis contente de les retrouver.
Les voilà, ils sont là, on sonne à la porte. Lucy et moi bondissons pour les accueillir sur le palier. Tonton leur ouvre et les fait entrer avec leurs parents. Après des salutations rapides, nous trouvons l’excuse de s’occuper des bagages pour nous isoler avec eux et montons les emmener dans leurs chambres d’amis. Nous nous lançons tout de suite dans de longues conversations de retrouvailles. Nous parlons, nous rions, ce sont des vacances qui s’annoncent bien.
Andrew a bien grandi, mais il a toujours une tête en moins que son frère. Ils se ressembleraient presque comme des jumeaux : bruns, les cheveux plants, de corpulence moyenne avec les yeux verts. Ils ont tous les deux l’air de geeks. Noa est quand même un peu mieux bâti et a plus de confiance en lui. Son frère, c’est à peine s’il ose nous regarder dans les yeux. C’est bon, faut qu’il arrête de faire son timide. On n’est pas des futures conquêtes, on est ses cousines, il n’a pas à être mal à l’aise. Ce n’est pas la première année où ses yeux se perdent de temps en temps sur nos poitrines, c’est un peu gênant, mais je peux le comprendre. Je suis bien placée pour savoir que les hormones nous travaillent à notre âge. M’enfin, il faut tout de même vraiment qu’il se trouve une copine.
Je ne vois pas le temps passer. Au bout d’un moment, on nous appelle d’en bas. Leurs parents ont fini de parler avec Eric et sont prêts à s’en aller. Ils disent au revoir à leurs enfants, nous leur faisons la bise également, puis ils les abandonnent enfin.
Eric évite de se mêler à nous le reste de la journée. Il ne fait pas tant ça pour nous laisser tranquilles que parce qu’il n’a pas envie de surveiller quatre ados potentiellement chahuteurs. Comme je le comprends, cela me rappelle des souvenirs.
Le lendemain, les choses sérieuses commencent. Il fait bon, le soleil et la chaleur sont bien présents, nous décidons d’inaugurer la piscine pendant que notre oncle est au boulot. Après réflexion, je me demande si c’est une bonne idée : Andrew n’arrête pas de nous reluquer dans nos bikinis moulants, et Noa s’y met aussi. Cela n’a pas l’air de beaucoup déranger Lucy qui, au contraire, semble beaucoup aimer s’exhiber, pourquoi est-ce que cela ne m’étonne pas ?
Après nous être bien amusés dans l’eau, nous allons nous sécher au soleil. Nous en profitons pour discuter de choses et d’autres. Lucy, taquine, commence à leur poser des questions gênantes :
— Alors Andrew, tu as une copine ?
— Non, fait-il timidement comme s’il en avait honte.
— Quoi ? Toujours pas ? Sérieux ? Ne me dis pas que tu es encore puceau ?
Il reste silencieux, mais le rouge qui lui monte aux joues répond pour lui.
— Fou-lui la paix, Lucy, m’insurgé-je.
Ce n’est pas vrai, elle ne peut pas s’en empêcher.
— Quoi ? On est adulte maintenant, on peut bien parler de ce genre de choses, non ? fait-elle, moqueuse.
— Et vous les filles ? rétorque Noa qui joue le jeu. Encore vierge ?
— Et non, répond Lucy. Nous sommes passées toutes les deux à la casserole cette année.
— Vraiment ? Mes félicitations, il était temps. Je suis content de voir que je ne suis plus le seul.
— Tu es toujours avec ta copine alors ? Elle s’appelle comment déjà ? Marie ?
— Maria. Et non, on a rompu il n’y a pas longtemps.
— Oh, j’en suis désolée. Megan aussi vient de rompre récemment.
— Lucy !
— Quoi ?! Je n’ai rien dit de mal.
— Je n’ai pas spécialement envie d’en parler.
— Rohlala, ne fais pas ta chieuse.
— Et toi, Lucy, enchaîne Noa, tu as quelqu’un en ce moment ?
— Non, non, j’ai eu des petits copains, mais jamais rien de sérieux.
— Des « copains », tu parles. Elle passe son temps à remuer son cul et à se taper tout ce qui bouge, fais-je pour me venger.
— Hey ! Ça, c’est bas ! s’indigne-t-elle.
Par chance, mon tackle a fait rire tout le monde, et nous continuons de parler dans une ambiance bon enfant.
***
La conversation bat son plein et j’ai du mal à participer. Plus les années passent, plus mes cousines m’intimident. Elles sont devenues des filles tellement bonnes. Putain, qu’est-ce que je suis dégouté d’être de la même famille. Pour une fois que je peux être « proche » de filles canon, il est interdit de toucher. Je l’avoue, je fantasme un peu sur elles depuis le début de mon adolescence. Elles ont sacrément pris de la poitrine en grandissant, sans parler des courbes. Le pire, c’est quand je suis tombé il y a quelques semaines sur une vidéo d’une d’elles sur internet en train de baiser avec un mec. Merde, je ne sais pas c’est laquelle, mais cela veut dire qu’il y en a une qui est devenue une star du porno. Cela m’obsède depuis. Je suis devenu secrètement son plus grand fan. J’ai toute sa collection de films et je ne compte plus le nombre de fois où je me suis masturbé en les regardant.
Je sais, c’est dégueulasse, c’est une cousine, mais putain... faut la voir gueuler pendant qu’elle se fait enculer et qu’on lui tire les cheveux. Mon pauvre frère innocent qui leur demande encore si elles sont encore vierges, s’il savait...
Qu’est-ce que c’est dur de les voir comme ça, à moitié nues dans leurs bikinis, leurs corps tout trempés, sachant que l’une des deux au moins est super chaude. J’ai la tête qui tourne. Sérieux, qui en plus n’a jamais rêvé de se taper des jumelles ?!
Bordel, il me faut vraiment une copine. Ils sont tous en train de parler de cul alors que j’attends toujours d’avoir mon premier baiser. Qu’est-ce que j’aimerais connaître la chaleur d’une fille... J’ai l’impression qu’ils me torturent exprès. Lucy et Noa ne manquent jamais une occasion de m’envoyer une pique du genre « mais toi, tu ne peux pas savoir de quoi on parle. » ou « t’inquiète, tu comprendras quand tu auras une meuf. » Merde ! Vous ne pensez pas que c’est déjà assez difficile à vivre pour moi ? Ce n’est franchement pas la peine d’en remettre une couche !
J’en ai marre. Je prétexte avoir un besoin pressant pour me barrer. Ce n’est pas entièrement faux, mais ce n’est pas le besoin qu’ils s’imaginent. Je vais aux toilettes, baisse mon froc, et me mets à me branler. Je n’en peux plus. Mes cousines... mes cousines de mon âge. Cela me rend jaloux de savoir qu’elles ne sont plus vierges. Des hommes ont eu la chance de les toucher. Ils ont joué avec leurs seins, ils les ont pénétrés, ils ont joui en elles. Les salauds ! Je ne sais pas ce que je donnerais pour pouvoir faire pareil ! Je m’autorise à m’imaginer l’interdit, à ce que je ferais si j’avais la chance d’être ce mec des vidéos. Je m’astique comme un taré jusqu’à me faire gicler. Oh ! Oui ! Putain, ce que c’est bon ! Cela doit faire une heure que je bande en pensant à elles, elles doivent bien l’avoir remarqué. Fallait vraiment que je me soulage.
Je pensais que le plus bien sûr était passé, maintenant que le sujet du sexe a été abordé une fois et qu’il avait été épuisé, mais je me trompais. Les jours suivants, Lucy n’arrête pas de me charrier. Elle me provoque délibérément avec des tenues sexy et des sous-entendus. Si ce n’était pas ma cousine, je jurerais qu’elle me drague. Rah, la salope. Je sais que c’est de ma faute, je les ai un peu trop reluquées à la piscine et je n’ai pas vraiment été très discret, mais quand même, ce n’est pas une raison pour m’allumer de cette façon. Je suis obligé d’aller me masturber tous les jours. D’ailleurs, une fois, j’étais en train de faire ma petite affaire quand soudain, une des jumelles toque à la porte des chiottes :
— Andrew ? C’est Lucy. Tu viens ? On t’attend pour jouer à la console.
— Oui, oui, j’arrive, fais-je gêner.
— Tu fais quoi ? Tu te branles ?
— Quoi ? Non ! Mais qu’est-ce que tu racontes ?! J’ai presque fini, j’arrive.
— J’espère que c’est en pensant à moi.
— Mais arrête ! Je ne me branle pas, je te jure.
— Tu es sûr ? Je pourrais t’aider sinon, il te suffit juste de m’ouvrir la porte.
— Quoi ? Mais tu es malade ? Lucy, fiche-moi la paix.
— OK, OK, dommage.
Je sais qu’elles ont toujours été un peu taquines, mais là, ça va quand même un peu loin. À mon avis, c’est elle la star du porno, Megan n’est pas aussi salope.
Ce qui me dérange le plus, c’est que mon frère ne fait rien pour arranger les choses. Elles s’entendent beaucoup mieux avec lui qu’avec moi. Il rentre dans leurs jeux, rigole avec elles, et ce souvent à mes dépens. J’aurais tout de même aimé un peu de soutien de sa part, merde ! Ma patience finit par être à bout. Un soir, dans notre chambre, je lui en fais part directement avant de m’endormir :
— Noa, j’en ai marre. Ça fait à peine une semaine qu’on est là que j’ai déjà envie de rentrer à la maison.
— Quoi ? Mais qu’est-ce qui te prend ?
— Toi et Lucy vous me saoulez avec vos piques. Sérieux, j’en ai plein le cul.
— Oooh, ça va, ce n’est pas méchant, faut pas le prendre comme ça.
— Non, mais je le vis déjà assez mal, ce n’est pas la peine de me rappeler tous les jours que je suis puceau.
— C’est bon, c’est bon, j’ai compris, je ne t’ennuierais plus.
— Non, mais tu ne te rends pas compte jusqu’où ça va. L’autre fois, j’étais tranquillement en train de pisser aux toilettes quand Lucy m’a proposé de « m’aider à me branler ».
— Sérieux ?! rit-il. Et tu as accepté ?
— Quoi ?! Mais qu’est-ce que tu racontes ?! Bien sûr que non !
— Moi, je ne me serais pas gêné.
— Mais tu es dingue ?!
— Oh écoute, vu comment tu les mates, ce n’est pas toi qui vas me contredire : ce sont peut-être nos cousines, mais qu’est-ce qu’elles sont bonnes ! S’il y avait une chance de pouvoir se les taper, je ne dirais pas non.
— Noa ! Et puis de toute façon, ce n’est pas la question ! Elle n’était pas sérieuse, c’était juste pour me faire chier.
— Je n’en suis pas si sûr. Ecoute, je comptais ça garder secret, mais, il y a quelque temps, j’ai découvert qu’une d’entre elles faisait du porno.
— Tu déconnes là ?!
Si je fais semblant de ne pas être au courant, ma surprise n’est pas feinte. Ainsi donc, il savait aussi ?
— Ouais, je te jure. Je te filerais des liens vers les vidéos si tu veux. Faut t’accrocher, c’est super chaud. C’est pour ça que j’essaie de jouer un peu avec elles pour savoir c’est laquelle. Avec ce que tu me racontes, je commence vraiment à penser que c’est Lucy, Megan a l’air plus sage. Bref, c’est pour ça que moi à ta place, j’aurais tenté le coup. On ne sait jamais. T’imagines si elle était sérieuse ?
— Mais c’est une cousine !
— Allez, arrête. Il ne s’agit pas de l’épouser et de faire des gosses. Ose me dire que tu n’aurais pas envie de taper une star du X. Sérieux, elle prend dans le cul mec ! En plus, elle avale ! Cousine ou pas cousine, je peux te dire que s’il y a moyen...
— Ça va, ça va, j’ai compris. Merci.
— Tu sais, ton problème, ce n’est pas que tu es puceau, mais que tu agis comme tel. Décoince-toi un peu ou tu le seras encore à quarante ans.
Le lendemain matin, je me lève le premier pour aller à la salle de bain. Je me rends compte sur place qu’elle est occupée en entendant le son de la douche. Je m’apprête à faire demi-tour, quand soudain, j’hésite. La porte n’était pas fermée. Je sais que je devrais l’ignorer et passer mon chemin, mais, et si c’était une des jumelles à l’intérieur ? Je repense à ce que mon frère m’a dit la veille, de ne plus agir comme un puceau que je ne suis pas le seul à les trouver bandantes, et que lui saisirait l’occasion s’il avait la chance de s’en taper une. Oh et puis merde. J’en ai marre d’avoir honte de mes pensées perverses. Si mon frère assume, pourquoi pas moi ?
Je prends mon courage à deux mains et m‘introduis discrètement dans la pièce. Mon Dieu, pourvu que ce ne soit pas Eric ou je vais avoir l’air con. Je ferme la porte derrière moi et me cache dans un coin avant de jeter un œil vers la cabine en verre. Waow ! J’ai de la chance ! C’est bien une des cousines ! Elle est complètement à poil et dos à moi. Elle a un de ses culs... j’ai tout de suite une trique d’enfer. Elle se retourne brusquement. Je panique, mais avec la buée sur les vitres, on dirait qu’elle ne m’a pas remarquée. Ouf, tant mieux. Je prends de l’assurance et continue à la mater. Mon Dieu... quelle poitrine ! Je les avais certes déjà vus en vidéo, les siens ou du moins ceux identiques de sa sœur, mais de les voir en vrai, comme ça, cela me rend dingue. En plus, j’ai une superbe vue sur sa fente bien rasée. Hmm, la petite cochonne. Je ne risque pas d’oublier une telle vision !
Elle est en train de se passer le savon sur le corps. Elle en met bien sur ses nibards avant de frotter et se rincer. Elle se caresse sous les jets d’eau, puis tout doucement, je la vois en train de glisser une main vers son entrejambe. La vache ! J’ai déjà de la chance de pouvoir l’admirer à poil, mais en plus, la voilà qu’elle se masturbe ! Je ne rate rien du spectacle. Elle joue sensuellement avec son clito tout en poussant de délicieux soupirs. Son autre main presse ses seins l’un après l’autre et pince ses tétons. Merde, et dire que je ne sais même pas si c’est Lucy ou Megan que je suis en train d’espionner. Si j’étais un vrai mec, j’entrerais dans la cabine et irais lui proposer ma bite à la place de ses doigts. Trop c’est trop, je sors ma queue de sa prison et m’astique allégrement, c’est vraiment trop bon.
Elle s’enfonce des doigts dans le vagin. Elle prend manifestement du plaisir, moi aussi. C’est une chose de voir une de ses cousines derrière son écran, c’est autre chose de la voir en vrai. Elle gémit de plus en plus fort. Mieux encore, elle se fait jouir ! C’est magnifique. Elle tremble de partout. Je m’enfuis avant qu’elle ne reprenne ses esprits et ne découvre ma présence. Je cours aux toilettes pour me finir. Ce que c’est bon d’éjaculer pour sa cousine ! Noa a raison, elles sont vraiment trop bonnes. Si une occasion se présente, je ne pourrais pas dire non, qu’elle fasse partie de la famille ou non.
***Lucy est partie prendre sa douche, j’attends son retour pour pouvoir prendre la mienne. Putain, ce que je suis en manque de sexe. Cela fait une semaine que je n’ai rien pu faire avec Eric à cause de la présence de nos cousins. Je ne pensais pas que cela serait aussi dur. J’ai tellement peur d’être découverte que je n’ose même pas faire l’amour avec ma sœur alors que nous dormons toutes les deux seules dans la même chambre. Je ne vais pas pouvoir tenir tout un mois comme ça.
Ma jumelle revient, tout excitée :
— Tu ne devineras jamais ! me fait-elle.
— Quoi ?!
— J’ai fait exprès de ne pas fermer la porte de la salle de bain, et Andrew est venu me mater sous la douche.
— Andrew ? Tu te moques de moi ?
— Non, je te jure ! Je lui ai fait un petit show pour bien l’exciter. Il doit être en train de se palucher à l’heure qu’il est.
— Lucy !
— Bah quoi ? Le pauvre, il est puceau, il faut bien le décoincer un peu.
Nous gloussons toutes les deux.
— Tu sais, je compte bien m’arranger pour qu’il ne reparte pas d’ici sans avoir perdu sa virginité, poursuit-elle.
— Tu es folle ? C’est notre cousin.
— Et alors, ce n’est pas comme si cela nous avait déjà arrêtés avant. Et toi ? Tu n’as pas des vues sur Noa ?
— Quoi ? Mais non voyons, fais-je gênée le rose aux joues.
— Oooh, allez. Il faut avouer qu’il est devenu mignon maintenant.
— Oui, mais bon... Ce n’est pas une raison.
— C’est quoi la raison alors ? Attends, on est coincé un mois à la maison avec deux garçons, ne me dis pas que tu n’as jamais eu l’idée qu’on pourrait s’envoyer en l’air avec.
— Si... mais bon... je...
— Tu quoi ? Tu t’en fais pour Eric, c’est ça ? Arrête, il t’a donné la permission de faire ce que tu voulais.
— Oui, mais bon, avec les cousins, quand même... je ne suis pas sûr qu’il le prenne bien.
— De toute façon, il n’a pas à le savoir : il n’est pas là. Il passe ses journées à bosser. On a bien le droit de s’amuser, non ? Alors, tu es partante ?
— Je... OK, d’accord... Qu’est-ce que tu as en tête encore ?
Bordel, me voilà encore embarquée dans une de ses combines. Je sais que c’est tordu, mais j’ai tellement envie de baiser ! Puis je dois avouer que l’idée de faire ça avec nos cousins a quelque chose d’excitant. Mon Dieu, elle a vraiment fait de moi une salope comme elle. Je n’en reviens pas d’avoir ce genre de pensées.
***
Nous passons encore une après-midi à la piscine. Noa a insisté sous prétexte qu’on n’en a pas chez nous et qu’il veut en profiter à fond. Il m’est d’avis qu’il veut surtout pouvoir reluquer nos cousines en maillot. Je ne peux pas lui en vouloir, j’aime ça aussi. Savoir qu’elles sont toutes les deux sexuellement actives, ça me fait bander. Ce ne sont plus les petites filles qu’on a connues, ce sont des femmes, et il y en a même au moins une qui est une grosse salope.
Jusque-là, tout se passe bien, on dirait qu’ils se sont calmés sur les vannes à deux balles. Après nous être bien amusés, nous nous reposons un peu sur les transats. Ça se complique quand ça commence à discuter. Voilà que ça se remet de parler d’histoires de couples. Comme je n’ai aucune expérience, je me sens un peu exclu de la conversation. En passant d’un sujet à l’autre, ils racontent chacun comment s’est passé leurs premiers baisers et à comparer leurs différentes conquêtes. Ils rigolent bien dans une ambiance bon enfant tandis que je boude un peu dans mon coin. Megan le remarque et essaie de me faire un peu participer :
— Et toi Andrew ? OK, tu n’as jamais eu de copine, mais tu n’as même jamais eu de premier baiser ?
— Non, jamais, fais-je à mon plus grand désarroi.
— Oh ! Mais ce n’est pas possible ça ! surenchérit Lucy. Attends, on va remédier à ça, on ne peut pas te laisser comme ça, voyons !
Sans qu’elle ne me demande mon avis, elle bondit de son siège pour s’installer à côté de moi. Je lui fais de la place sans comprendre ce qui se passe.
— Allez viens, embrasse-moi, me commande-t-elle en passant une main sur mon torse nu.
— Quoi ? Mais tu es folle.
— Allez, ne soit pas timide insiste-t-elle.
— Oui, allez, vas-y, m’encourage mon frère.
Je ne sais pas quoi faire, je me sens pris au piège. Si je refuse, je vais avoir l’air d’un con, mais si j’accepte, je vais sans doute me ridiculiser. Foutu pour foutu, je me dis que je ferais mieux de jouer le jeu. Au moins, j’aurais gagné un baiser. J’approche mon visage du sien et lui fais un bisou sur les lèvres. Evidemment, comme je m’en doutais, je me fais huer.
— Houuuu ! Mais ce n’est pas un baiser ça ! m’enfonce Megan.
— Ouais, allez, faut y mettre la langue et tout, me fait remarquer Noa.
— Il a raison, allez, vas-y, recommence.
Bon, allez. Si elle le demande... Je prends mon courage à deux mains et j’y vais plus franchement. J’ai envie, j’ai envie de l’embrasser pour de vrai comme si elle m’appartenait. Pendant l’espace d’une seconde, j’oublie qui elle est et où je suis. Je ferme les yeux et fais une nouvelle tentative. Mes lèvres atteignent les siennes, puis je mets ma langue dans sa bouche. Elle vient à ma rencontre. C’est doux, c’est chaud, c’est très agréable. Je me mets à bander comme un âne. Notre public nous acclame cette fois, j’imagine que cela veut dire que je m’y prends bien. Je ne sais pas quand je suis sensé arrêter, et d’ailleurs, je n’en ai pas vraiment envie. Notre échange continue jusqu’à ce que ce soit elle qui y met fin. Je rougis, je ne sais plus où me mettre. J’ai eu mon premier baiser avec ma cousine :
— Alors, c’était comment ? me demande-t-elle.
— C’était... heu... super, ai-je du mal à avouer.
— Yeah ! Bravo ! me balancent Megan et mon frère.
— Et toi Noa, montre-nous comment tu embrasses bien, balance Lucy.
— Bonne idée, enchérit sa sœur. Vas-y, montre-moi.
Megan s’installe sur lui comme si elle était sa copine et vient l’embrasser. Il lui rend son baiser comme un expert. Je suis jaloux de son expérience et de sa confiance avec les filles. Il n’a pas hésité un seul instant, il est à fond dans leur jeu.
— Mais on dirait que cela t’a un peu trop plu ! s’exclame Lucy en faisant remarquer mon érection.
Merde, c’est déjà assez gênant d’être pris dans le sac, elle aurait pu éviter de le crier sur tous les toits. Tout le monde se moque de moi :
— Oh, ne te vexe pas, Andrew. C’est normal comme réaction, on ne t’en veut pas. Mais dis donc, c’est que c’est une bien belle bosse que tu as là. Ça te tente de nous la montrer ?
— Lucy ! Mais tu es folle ?!
— Rooh, allez, on est entre nous, ce n’est pas grave. Ce n’est pas comme si je n’en avais jamais vu.
— Oui, enfin, non, voyons. Tu es ma cousine.
— Et alors ? Allez, si tu veux pour t’aider, on passe un marché : je te montre mes seins, et toi, tu me montres ta bite.
— Ouais ! Allez, vas-y frangin, je n’ai pas envie de raté ça !
On ne me laisse pas le temps de répondre que Lucy est déjà en train de retirer son haut. Mon Dieu, c’est qu’elle le fait en plus ! Elle me dévoile ses nibards sans aucune pudeur ! Je deviens fou, ils sont si beaux, et surtout si proche. Je n’arrive pas à en détourner le regard :
— Alors, il te plaît ?
— Oh la vache, oui !
Cela semble aussi plaire à mon frère qui fait des commentaires graveleux.
— Tu veux les toucher ? me fait Lucy.
— Tu es sérieuse là ?
— Mais oui. Allez, ne sois pas timide.
Je sais que je ne devrais pas, mais là, j’ai vraiment du mal à penser avec ma tête. Je passe une main sur un de ses seins. Je le presse et joue avec. Mon Dieu, qu’il est gros ! J’en avais tellement rêvé, je fantasme sur sa poitrine depuis bien avant avoir découvert ses films pornos. Ils sont là pour de vrai, ceux sur lesquels je me suis tant branlé. Je les touche enfin, je n’en reviens pas. Pour une fois dans ma vie, je me sens chanceux.
— Ah la vache, frangin ! commente Noa. Je tuerais pour être à ta place !
— Oooh, mon pauvre chou, fait Megan, c’est vrai que ce n’est pas très juste. Attends, je vais corriger ça.
Voilà qu’elle retire elle aussi son haut et invite mon frère à jouer avec ses nichons. Forcément, il ne se fait pas prier. La situation est surréaliste, nous voilà tous les deux à jouer avec la poitrine de nos cousines.
Tandis que je suis distrait par ce que je vois, je sens soudain une main de Lucy atteindre mon maillot. Elle en sort ma verge tendue et commence à me branler doucement.
— Hmm, mais c’est que c’est un beau morceau que tu nous cachais là, Andrew ! Je ne regrette pas notre petit marché.
Merde ! Merde ! Mais c’est pour de vrai là ?
— Cela te plaît ? Tu veux que je continue ?
Je fais signe de la tête, je n’ose même pas le dire à voix haute.
— Moi aussi je veux voir, entends-je prononcer Megan. Tu me montres, Noa ?
Il se débarrasse de son maillot pour lui offrir sa queue. Je n’ai pas trop à avoir honte, on dirait qu’on est plus ou moins de la même taille. Elle l’astique tandis qu’il plonge aspirer un de ses tétons. Le salaud, il n’a vraiment aucun scrupule, lui. Comme j’ai trop envie de faire pareil, je l’imite et en prends un de Lucy en bouche.
— Ooh, le petit coquin, fait-elle, mais elle n’a pas l’air de me repousser pour autant.
J’ai l’impression d’être un bébé. Elle gémit, cela me donne confiance en moi. Je ne sais pas comment cela va se finir, mais à ce stade, peu importe ce qui va arriver, cela restera un des meilleurs moments de ma vie.
— Hmm, une belle bite comme ça, ça me donne envie de sucer.
Elle se penche sur moi sans rien me demander pour m’avaler goulûment. Oh putain ! Oh putain ! Les choses deviennent sérieuses là ! Je me fais sucer par ma cousine ! La star du porno ! Combien de milliers de gens tueraient pour être à ma place ? La vache, c’est trop bon ! À côté de moi, je vois qu’ils s’y mettent aussi. Je réalise qu’il ne s’agit pas que de simples taquineries cette fois-ci, elles sont prêtes à aller jusqu’au bout. D’une façon ou d’une autre, elles vont nous faire éjaculer. Je vais jouir pour mes cousines, ce que j’ai hâte ! C’est ma première expérience sexuelle, c’est incroyable.
Lucy me pompe comme une pro. Je me demande combien de bites elle a eues avant moi, la petite cochonne. Je la regarde à l’œuvre, ce qu’elle est belle, une vraie déesse à la crinière noire. Ses joues se creusent tandis qu’elle m’aspire. Elle passe sa langue autour de mon gland et me fixe pour observer ma réaction. Je soupire bruyamment de plaisir.
Je me retiens autant que je peux pour ne pas lâcher la sauce. C’est d’autant plus difficile que je rêve de la voir avaler. Les minutes passent où on n’entend rien d’autre que gémissement et bruits de succion. Je me félicite de tenir aussi longtemps. Elle monte et descend le long de ma tige en me faisant à l’occasion des gorges profondes. Je jette parfois un œil à côté de moi. Autant cela m’excite de voir sa sœur jumelle faire des cochonneries avec un autre garçon non loin, autant je dois avouer que cela fait un peu bizarre que ce garçon soit mon frère. Il semble fortement apprécier ce que Megan lui fait. Je suis étonné de la voir faire ce genre de choses d’ailleurs. Je l’imaginais plus prude que ça. Ça me donne envie de la souiller elle aussi.
— Et si tu me donnais du plaisir à ton tour ? me réveille Lucy.
Elle cesse sa caresse buccale pour se lever et enlever le bas de son maillot. Elle me fait un petit show sexy avant de me l’envoyer en pleine figure, puis elle va s’allonger sur le transat d’en face en écartant les cuisses. Je suis choqué de son manque de pudeur, c’est dingue comment, en à peine un an, c’est devenu une salope. J’admire son délicieux minou, il est si beau, tout rasé. J’ai envie de m’enfoncer dedans et de le défoncer. Elle passe une main dessus et joue avec, elle le fait exprès pour me rendre dingue :
— J’ai la chatte en feu, me dit-elle, viens me lécher.
Ne voulant surtout pas la décevoir, je m’exécute. Je viens entre ses cuisses et respire son odeur de femme. Je suis plus dur que jamais. J’ai un frisson lorsque ma langue entre en contact avec son entrejambe pour la première fois. Je n’en reviens pas que je suis en train de faire un cunni à une fille. Une bombe en plus. Je la broute comme je peux. Elle me caresse les cheveux en me guidant un peu. Étant inexpérimenté, ses conseils sont les bienvenus.
— Moi aussi j’ai envie qu’on me lèche, Noa, entends-je prononcer à côté de moi.
Je ne vois pas ce qui se passe, mais je le devine aisément : Megan ne cesse de copier sa sœur depuis le début. À l’entendre gémir, mon frère doit bien mieux se débrouiller que moi, je suis un peu jaloux.
Lucy me conseille d’enfoncer des doigts. Elle est trempée, c’est moi qui lui fais cet effet ? C’est assez flatteur. Je veux lui faire du bien. Je lui stimule le clitoris avec ma langue comme elle me recommande tandis que je la fouille. Elle se pelote les seins en fermant les yeux. L’expression de son visage me fait craquer.
— Hmm, Andrew, geint-elle. Continue, c’est bon.
Ce n’est pas que je n’aime pas ce que je fais, mais je commence à trouver le temps long.
Le manque de stimulation au niveau de ma queue me rend dingue, je me sens obligé de me branler en même temps pour me soulager. Je ne suis pas sûr de quand m’arrêter. Dois-je continuer jusqu’à la faire jouir ? Où ai-je le droit de réclamer de passer à la suite ? J’aimerais tellement pouvoir la baiser, mais est-ce qu’elle serait seulement d’accord ? Je n’ose pas le lui demander. Je serais déjà content qu’elle me refasse une pipe, ou qu’elle me finisse avec une simple branlette :
— Hmm, Andrew, c’est bien, tu peux stopper. Tu as mérité une petite récompense.
Je me redresse, docile et impatient de savoir de quoi il s’agit. J’ai de la mouille partout sur le visage. J’aime le goût.
— Tu as envie de perdre ta virginité avec moi ? me demande-t-elle.
— Oh oui !
— Tu as envie de me baiser ?
— Oh oui !
— Alors, viens, ne sois pas timide. Prends-moi.
La vache ! Ça y est, je suis sur le point de réaliser mon plus grand fantasme ! Je suis peut-être un puceau coincé, mais bordel, elle n’a pas besoin de me le demander deux fois pour que je me mette en place. J’attrape mon sexe en main pour le pointer vers son vagin. Je reste immobile le temps d’apprécier la situation. Elle me veut, elle m’attend, et elle me demande de la pénétrer, je ne pensais pas voir un jour une fille se mettre dans cet état pour moi.
— Viens, Andrew, prends ta cousine, elle ne demande que ça.
La petite salope ! Elle me rend fou à me parler comme ça ! Je me pousse vers l’avant pour enfoncer ma queue au fond de sa grotte d’amour. Mon Dieu ! Je l’ai fait ! Je suis dans la chatte de Lucy ! Ce que c’est bon... Mon instinct prend le dessus et je commence un va-et-vient. C’est encore meilleur que tout ce que j’avais imaginé. Je perds la tête, je ne sais plus ce que je fais, j’ai juste envie de prendre mon pied, plus rien d’autre ne compte.
Je m’allonge doucement sur elle et viens l’embrasser, ses lèvres me manquaient. Sa langue vient à la rencontre de la mienne. Ses seins se balancent sous mes coups, je les presse et joue avec :
— Ooh Lucy...
— C’est bon ? Tu aimes ?
— J’adore...
— Pour moi aussi, c’est bon. Continue. Tu te débrouilles très bien.
— Hmm, Noa, fait Megan à côté de nous. Moi aussi j’ai envie de baiser. Tu veux bien ?
— Tu es sûre que c’est ce que tu veux ? Fait mon frère.
— Hmm, oui, j’ai envie de sentir ta bite au fond de moi.
— Alors, retourne-toi, je vais te prendre par-derrière.
Waow, Megan... Ça m’excite de l’entendre parler vulgairement. Je la regarde s’exécuter comme une petite soumise. Elle est à quatre pattes, le cul bien relevé, à attendre qu’on vienne la défoncer. Mon frère la pénètre avec une assurance qui m’écœure. Il n’a pas honte de prendre ce qu’il veut, et à en entendre les gémissements sa partenaire, elle ne s’en plaint pas. J’ai toujours été jaloux de lui. De n’avoir aucun problème pour se trouver des copines, de l’entendre s’envoyer en l’air avec dans la chambre d’à côté, pendant que moi, je n’ai que ma main pour me satisfaire. Je ne serais pas dans Lucy, je ne sais pas dans quel état je serais de savoir que notre cousine s’offre pleinement à lui comme ça.
Je n’imaginais pas ma première fois se passer ainsi, en groupe. Étrangement, je trouve que cela a quelque chose de rassurant. J’ai naturellement toujours tellement honte de mes pulsions, alors être parmi ces gens à qui cela ne pose aucun problème m’aide à faire face. Sans dire que ce ne sont pas des inconnus. Je les connais, je me sens bien avec eux. Même si cela me dérange un peu de me dire que je fais ça avec une cousine, je me rassure en me disant que nous ne faisons rien de mal. Nous sommes juste quatre jeunes à la recherche de plaisir.
J’augmente mon rythme, trop excité. Je deviens un animal qui n’arrive à penser à autre chose qu’à lui ramoner le vagin. Lucy m’encourage en passant ses mains dans mon dos pour me presser contre elle. Je la regarde en train de rouler des yeux. Est-ce que je lui fais vraiment du bien, ou est-ce qu’elle simule ? Je voudrais tellement être un bon amant pour elle, la faire jouir. J’ai si peur de mal m’y prendre.
Noa ne se pose pas ce genre de questions. Il lime Megan qui soupire de plus en plus fort. Il ne la prend pas comme si elle était son amoureuse, mais comme une simple chienne. J’ai honte de son manque de respect envers cette femme avec qui nous avons vécu notre enfance. Et pourtant, cela n’a pas l’air de la déranger. Elle veut juste une bite et prendre son pied. Je ne la reconnais tellement pas. Jamais je n’aurais imaginé Megan offrir son corps au premier venu comme ça, ne fut-il son cousin.
Je ne vaux pas mieux que mon frère. Je ne suis pas amoureux et Lucy n’est pas ma copine, je suis juste un porc qui veut tirer son coup. Je chasse ces pensées pour profiter de l’instant présent. Je l’embrasse une nouvelle fois. C’est à la fois chaud et passionné. Mes hanches bougent toutes seules. Je suis l’homme le plus heureux du monde, c’est tellement bon d’être au fond d’une chatte. Personne ne dit rien, nous gémissons, nous baisons. Noa tire les cheveux de sa partenaire en lui donnant une fessée. Je ne pourrais jamais faire ça, tant bien même qu’elle aime ça.
Je me mets à grogner en y allant de plus en plus fort. Mes couilles claquent contre son pubis. Je sens que je ne vais plus tarder à venir. Je devrais peut-être m’arrêter, mais je n’arrive pas à être raisonnable. J’ai besoin de me finir.
— Andrew. Stop ! Stop ! m’alerte Lucy.
Je n’arrive pas à l’écouter.
— Stop ! insiste-t-elle.
Elle me repousse et me fait sortir d’elle. Merde ! Merde ! Non ! Pas maintenant ! J’étais si proche... J’ai besoin, j’ai trop besoin ! Cette interruption me fait redescendre sur terre. Bordel, qu’est-ce que j’ai fait ? Je me sens sale tout à coup :
— Je suis désolé, je t’ai fait mal ? fais-je.
— Mais non, idiot, se moque-t-elle de moi devant mon air penaud. Mais il ne faut pas que tu viennes trop vite, c’est tout. Nous avons tout notre temps. Viens, on va changer de position.
Les filles nous font nous allonger dans des transats côte à côte. Le temps de m’installer, j’ai le temps de me calmer. Elles grimpent ensuite sur nous et attrapent nonchalamment nos sexes pour se les introduire en elles. Elles nous chevauchent de concert comme si elles avaient l’habitude de faire ce genre de choses, s’échangeant des regards et des sourires complices. Cela me permet d’admirer Lucy dans toute sa splendeur. Ses formes sulfureuses, ses gros nichons qui se balancent, ses yeux pétillants de feu. Je suis peut-être quand même en train de tomber amoureux finalement. Je voudrais l’avoir rien que pour moi et passer ma vie à la baiser.
Ce n’est pas facile de se laisser imposer le rythme. C’est diablement bon, mais j’ai une furieuse envie de la prendre plus fort. Je fais un effort pour rester sage. Les jumelles font grimper leur plaisir. C’est un tel régal de voir une fille prendre son pied sur sa bite. Elles soupirent les yeux à demi clos en roulant du cul. Elles sont si belles, si femmes. Si j’étais nerveux au début de faire ça comme ça à quatre, désormais, je m’estime incroyablement chanceux de pouvoir partager un moment pareil.
— Alors Megan, elle est comment la queue du tien ? demande sa sœur.
— Hmm, elle est bonne. Elle me fait un bien fou ? Et la tienne ?
— Hmm, elle n’est pas mal non plus. C’est triste de se dire qu’elle était encore vierge il y a quelques minutes.
— Heureusement que tu es là pour en prendre soin.
— Oh oui. Je vais la vider, la pauvre. Elle en a bien besoin.
— Écoute-moi ça ces salopes ! me balance mon frère. Elles font comme si on n’était pas là !
— Oh, désolée, fait faussement Megan. J’oubliais qu’il y avait des garçons attachés à ces bites. Alors, dites-nous, vous aimez ?
— La vache ! Oh oui !
— On vous plaît ? On vous excite ? Enchéris Lucy.
— Et pas qu’un peu !
— Vous n’avez pas honte de faire ça avec vos cousines ? Titille Megan en jouant avec ses seins.
— Rien à foutre ! Vous êtes trop bonne !
— Coquin.
— Et toi, Andrew ? Tu es bien ? Ça te plaît d’être à l’intérieur de ma chatte ?
— Oh putain, oui ! fais-je.
— Tu en rêvais depuis longtemps, hein petit pervers ?
— Je... oui ! ne puis-je mentir.
— Tu t’es déjà branlé en pensant à moi ?
— Oui...
— Cochon, me dit-elle avant de se pencher pour m’embrasser.
Noa craque et commence à donner des coups de bassins à sa partenaire. Elle le laisse faire tandis qu’il l’attire vers lui. J’ai à peine à l’occasion de faire mine de l’imiter que Lucy me stoppe. Elle tient absolument à rester maîtresse de la situation. Frustré, je compense à m’attaquant à ses nibards. Je les presse et les pelotes. Ils sont si gros, si beaux. Voyant qu’elle n’y porte aucune objection, je tente de me redresser pour prendre ses tétons en bouche. Je suis heureux qu’elle ne me repousse pas. Je la caresse sensuellement. Je pose mes mains sur ses fesses tandis qu’elle vient encore m’embrasser avec la langue. C’est officiel, je suis entièrement sous son charme. Elle peut me demander tout ce qu’elle veut tant qu’elle me laisse la chance de pouvoir profiter de la chaleur de son corps.
Megan crie à côté de nous sous les rudes coups de queue de mon frangin. Il lui martèle violemment la chatte. Me voyant jaloux, Lucy me propose de la prendre en levrette. Nous changeons nos places et elle se met à quatre pattes. Cette fois, je n’ai aucune hésitation à la pénétrer. C’est à croire que je commence à être à l’aise avec une fille. J’attrape par les hanches et lui ramone la chatte. Je peux enfin la prendre aussi fort que je veux ! C’est qu’elle m’a rendu fou tout à l’heure à m’obliger de rester passif ! J’aime très vite cette position. Voir Lucy soumise comme une chienne, c’est quelque chose. En plus, elle a un de ses culs ! Elle a beau me prendre de haut, se moquer de moi, mais en vrai, elle aime ça. Elle le veut, elle me veut. Moi, un puceau. Je fais sonner le son de mes couilles à chacun de mes assauts. J’ai à la fois envie de la punir, et de lui donner du plaisir :
— Alors frangin, c’est comment de baiser pour sa première fois ? me sort Noa.
— C’est trop bon ! Surtout avec un tel canon, putain !
— Je t’avoue que je ne m’étais jamais tapé d’aussi belles nanas non plus. Tu as de la chance. Ma première était loin d’être aussi chaude !
— Vos gueules et baisez-nous, nous interrompt Lucy.
Les sons que nous faisons alors que nous copulons me suffiraient comme support pour une branlette solitaire. Les soupires et les cris sont d’autant de stimuli que les sensations d’un vagin étroit autour de mon sexe. Je me sens néanmoins toujours aussi jaloux de découvrir tout cela en retard. Que mon frère, mes cousines, et plein d’autres personnes, connaissent ce plaisir depuis si longtemps avant moi... Je veux le faire, le refaire, encore et encore, jusqu’à la fin de mes jours. C’est incroyable de pouvoir partager ça avec quelqu’un, et avec un autre « couple ».
J’ignore combien de minutes se sont écoulées depuis que nous avons commencé, tout comme j’ignore la durée normale que doit prendre un rapport pour faire jouir une fille. Tout ce que je sais, c’est que je commence à être épuisé. J’essaie de me retenir autant que je peux, mais tout se plaisir commence à se transformer en frustration de ne pas me laisser me décharger. Le torse de Lucy s’effondre comme si ses bras ne pouvaient plus la porter. Ses énormes nichons sont écrasés contre le transat. J’imagine à ses gémissements qu’elle ne doit plus être très loin de venir non plus. Je commence à me poser des questions idiotes : à partir de quel moment ai-je le droit de me laisser jouir ? Peut-être que même si je parviens à lui donner un orgasme, elle voudra continuer pour en avoir un autre. D’ailleurs, comment reconnaître quand elle a un orgasme ? Elle en a peut-être déjà eu un sans que je ne me rende compte.
— Alors frangin, tu tiens le coup ? Tu n’as toujours pas envie d’éjaculer ? me sort Noa comme s’il lisait dans mes pensées.
— Si, putain, je n’en peux plus.
— Ne te retient pas alors. Laisse-toi gicler dans sa chatte.
— Elle... n’a pas... encore... joui... fais-je péniblement.
— Non, mais regarde là, elle n’attend que ça. C’est toi qu’elle attend pour jouir.
— Remplis-la de sperme, elle adore ça, confirme Megan qui rebondit sur la queue de mon frère.
L’intéressée ne réagit toujours pas, comme si elle le faisait exprès pour me torturer. Tant pis pour elle, je décide d’écouter leur conseil, elle n’avait qu’à se manifester. Je me lâche et la défonce encore plus fort. Je ne me retiens plus, je cherche juste à me finir le plus vite possible. Soudain, je me mets à grogner lorsque je me sens atteindre le point de non-retour. Ce court moment qui parait pourtant interminable où les couilles vont d’exploser et que plus rien ne peut l’arrêter. Je me fige tout au fond d’elle dans un dernier coup brutal avant de sentir ma queue pulser d’un copieux jet de sperme. Je ferme les yeux, je suis aux anges. Je n’ai jamais rien senti d’aussi fort.
— Raaaaah ! Lucyyyyyyyy !
Son vagin m’accompagne de spasmes comme pour m’indiquer le rythme par lequel je dois me vider par à-coup. C’est là que je réalise qu’elle jouit avec moi. Elle pousse un long râle que j’avais à peine entendu tellement j’étais perdu dans mon propre univers. Bordel, cela me rend tellement heureux. J’ai réussi à faire jouir Lucy, la star du porno amateur. Cela intensifie mon orgasme. J’ai envie de lui donner encore plus de mon foutre. Son vagin est littéralement en train de me traire. Je jute tout ce que j’ai au fond d’elle. Ma queue a encore des soubresauts alors que je lui ai tout envoyé jusqu’à la dernière goutte. Je n’arrive pas à redescendre, c’est trop bon. Quand je commence à reprendre conscience, je sors d’elle. Elle pousse pour délibérément faire sortir mon sperme de sa chatte. C’est vraiment une grosse salope. Je suis moi-même surpris par la quantité, cela ne s’arrête pas de s’écouler. Cela tombe sur le sol à travers les lattes du transat.
Elle se redresse en passant un bras derrière elle pour m’attraper par le coup. Elle tourne ainsi le visage pour forcer un baiser. J’en profite pour la serrer tendrement contre moi et la caresser. C’est ma façon de remercier ce fabuleux corps qui m’a offert tant de plaisir.
— Alors, tu as aimé, petit pervers ?
— J’ai adoré Lucy. Waow. Tu es incroyable.
— Je sais.
— Et toi ? Cela t’a plu ?
— Tu n’étais pas mal pour un puceau. Je m’attendais à pire.
Malgré la pique, je vois ça comme un compliment de sa part. Je ne pouvais pas m’attendre à meilleure réponse venant d’elle. Elle m’invite à m’allonger à ses côtes, je la prends dans mes bras tandis que nous regardons l’autre couple toujours en train de copuler. Noa donne des coups de bassins à Megan tandis que cette dernière s’empale frénétiquement sur sa bite. Elle le tient par le cou, les yeux rivés au ciel. C’est beau de les voir tous les deux en transe. Je dis ça, mais si je ne venais pas de tirer mon coup, je n’aurais pas le même discours.
— Ah ! Megan ! Je vais te souiller ! Salope ! beugle-t-il soudainement.
Mon frère la soulève brusquement pour se faire sortir de son vagin et se met debout en se branlant. Elle a l’étrange réflexe de se mettre à genoux le visage devant son sexe. Non... ils ne vont quand même pas...
Mon frère lui envoie une giclée de sperme en plein sur la figure. Elle ferme les yeux pour le recevoir. Je redeviens jaloux et écœuré. Non seulement cet enfoiré n’a même pas cherché à lui poser la question pour savoir si elle était partante, mais en plus, elle fait ça de façon naturelle comme si elle en avait l’habitude. Qu’est-ce que j’aurais aimé faire ça à Lucy pour me venger et l’humilier. Il continue de lui juter dessus. Il jouit abondamment en lui envoyant ses derniers jets sur ses seins. Elle est obscènement magnifique comme ça, avec des traînées glissant jusqu’à sa fente, et une plus épaisse pendante à son menton. Elle passe un doigt pour la récupérer et la porter à sa bouche. Putain, parce qu’elle avale en plus ? J’ai une furieuse envie de lui faire pomper ma bite comme un biberon et de lui en envoyer des litres dans la gorge.
Noa s’allonge et elle vient se pelotonner contre lui sans même chercher à se nettoyer. Je trouve ça encore plus excitant. Je me demande si elle a joui. En tout cas, elle a l’air heureuse.
Nous parlons un peu. Enfin, les autres surtout, moi, pas trop. Ils font quelques commentaires pour exprimer à quel point c’était génial et qu’ils ont appréciés. Lucy me taquine un peu pour me faire chier et me pousser à dire quelque chose. Nous rions, nous nous sourions, et nous profiter du reste de l’après-midi.
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