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Les nièces jumelles : saison 4

Chapitre 2

Les cousins en redemandent

Hétéro
Mes nièces jumelles
Chapitre 21 : Les cousins en redemandent
— J’ai perdu ma virginité hier.
J’ai beau sans cesse me le répéter, j’ai toujours du mal à y croire. Surtout que je l’ai perdue avec une de mes cousines, une des plus belles filles que je connaisse chaude et coquine qui plus est. Ce n’est pas vraiment le genre de choses que j’imaginais m’arriver pendant mes vacances, même si je fantasmais sur l’idée depuis que j’ai découvert qu’elle faisait des vidéos pornos amateurs. J’ai toujours du mal à comprendre comment c’est arrivé. Je doute que cela se reproduise à nouveau. C’est bien pour ça que j’ai cherché à en profiter un maximum. : Je n’aurais pas une chance pareille une seconde fois. Je ne voulais pas la gâcher en étant un éjaculateur précoce. J’admets être assez fier d’avoir réussi à la faire jouir.
Je me réveille ce matin avec mélancolie. Ça y est, cet évènement est déjà du passé. J’ai également une sacrée gaule rien que d’y repenser. Je m’isole aux toilettes pour aller me branler. Je ne suis généralement pas un porc qui va se branler comme ça à la première envie, surtout quand il n’est pas chez lui, mais là, avec tout ce qui s’est passé, c’est trop, je ne peux pas me retenir. C’est ma façon de revivre et de prolonger ce moment. Je me remémore ce que j’ai fait, ce que je voudrais faire. Il ne me faut guère longtemps pour me faire gicler.
J’ai une boule au ventre dès que mon orgasme est fini. Je vais passer le reste de mes vacances avec les jumelles, et je ne vais vraiment pas pouvoir penser à autre chose que de les baiser. Cela va être très frustrant de côtoyer de telles bombes, de savoir ce dont elles sont capables, d’avoir même pu y goûter, et de désormais devoir se serrer la ceinture. Quelque chose me dit que je vais devoir aller me masturber plusieurs fois par jour pour tenir le coup.
À l’heure où nous nous levons, Éric est déjà parti travailler. La journée se passe « normalement ». Nous ne faisons aucune allusion à ce qui s’est passé la veille et tout se déroule comme si rien n’était jamais arrivé. Je ne sais pas si c’est une bonne une mauvaise nouvelle. J’ignore ce que j’aurais préféré. En tout cas, le malaise que je ressens ne me quitte pas.
L’après-midi, la maison est bien calme. Je soupire. Je m’ennuie. Je crois que je vais aller faire une petite sieste dans notre chambre d’amis. Je pourrais faire ça au soleil, à la piscine, mais si c’est pour me faire réveiller ou emmerder par les autres... J’ai envie d’être un peu seul. C’est seulement en entrouvrant la porte que je me rends compte qu’il y a du bruit dans la pièce. Je suis choqué ! Mon frère est en train de baiser avec une de nos cousines :
— Oh ! Lucy ! Lucy ! geint-il.
— Tais-toi et baise-moi !
Je referme brusquement la porte, gêné. Ils n’ont pas l’air de m’avoir vu. Très vite, c’est surtout de la jalousie et de la colère qui m’envahit. Je me repasse les images dont je viens d’être témoin. Lucy allongée sur le lit, complètement nue, tandis que Noa la pilonne violemment en lui maintenant une jambe par-dessus son épaule. Je repense à ces énormes seins qui se balancent, au bonheur que c’était hier d’être à la place de mon frère. Je redescends les escaliers furibonds. Pourquoi faut-il toujours que les meilleures choses lui arrivent ?! À chaque fois que je me crois un peu chanceux, il arrive un truc qui me dit que je n’ai eu droit qu’à des miettes. Je ne peux pas m’empêcher de me demander comment il a fait. Qu’est-ce qu’il lui a dit pour la convaincre de coucher avec ? Et si c’était elle qui a pris cette initiative, pourquoi avec lui et pas avec moi ?
En passant par le salon, je croise Megan en maillot de bain qui se prépare à aller piquer une tête. Elle m’arrête en me voyant de mauvaise humeur :
— Andrew ? Cela ne va pas ?

— Non !
— Qu’est-ce qu’il y a ?
— Ta sœur est en train de coucher avec mon frère !
— Et alors ?
— C’est tout ce que cela te fait ?!
— Bah oui. Attends, ne me dis pas que tu es jaloux ? glousse-t-elle.
— Ne te fiche pas de moi !
— Je ne me moque pas, je trouve ça mignon, c’est tout. Andrew, si tu as envie, il te suffit de me le dire. Je suis là moi.
— Tu plaisantes ?!
— Mais non, voyons ! Après ce qui s’est passé hier, tu ne doutes bien que nous n’allions pas en rester là. On en a discuté avec ma sœur, on a bien l’intention de baiser avec vous autant que possible durant les vacances, il faut en profiter. Ne me dis pas que tu n’en as pas envie ?
— Je... si. Si, bien sûr.
— Alors... cela ne te tente pas ? De le faire là ? Maintenant ? Tout de suite ?
— Sérieusement ? fais-je les yeux écarquiller.
— Sérieusement, me sourit-elle.
Je rougis, mon silence répond pour moi. Elle s’approche pour venir m’embrasser. Je lui rends son baiser en la prenant dans mes bras. Mon Dieu, mon Dieu. Je vais me taper Megan là ? Pour de vrai ? J’ai la tête qui tourne. Je vais pouvoir la baiser ? Je dois avouer que je bande comme un âne depuis tout à l’heure. Une fois mon énervement passé, je serais sans doute allé me soulager aux toilettes. Bordel, moi aussi j’ai envie de tirer mon coup. De défoncer une chatte et de la remplir de sperme. Je dois dire que l’idée de le faire avec Megan rajoute quelque chose en plus. Ce n’est pas parce qu’elles sont identiques que de le faire avec l’une ou l’autre n’a aucune importance. Mon côté pervers rêvait de pouvoir souiller les deux.
Je caresse son corps et presse ses seins. Elle soupire. Mieux que ça, elle enlève son haut pour que je puisse mieux jouer avec. Elle a des tétons magnifiques que je ne résiste pas à prendre en bouche. J’ai beau être excité, j’ai envie de prendre mon temps et de savourer chaque seconde. Elle m’interrompt brusquement :
— Viens, me dit-elle en me prenant par la main.
Elle m’emmène dans la cuisine. Elle retire son bas et s’installe sur la table en écartant les cuisses. Je peux admirer sa fente bien rasée.
— Viens m’embrasser, me commande-t-elle.
Cette sensation de nos langues qui s’entremêlent m’enivre. Elle passe ses mains dans mon dos pour me tenir près d’elle. Lorsque nos lèvres se séparent, elle commence à me déshabiller. Ses yeux pétillent de désirs, je ne pensais jamais voir un jour une fille me regarder comme ça. Je l’aide lorsqu’elle s’attaque à ma ceinture. Mon sexe tendu ne tarde à bondir hors de sa prison. Elle passe une main dessus et me branle en gémissant. Ce n’est pas du cinéma, elle me veut vraiment :
— Tu as envie de moi, Andrew ?
Ce n’est pas dit avec le même ton taquin et moqueur que Lucy. C’était prononcé avec passion et envie. Je ne m’étais pas rendu compte hier à quel point elle était si différente de sa sœur. Je crois que je préfère ça :
— Hmm oui, fais-je.
— Alors, dis-le-moi, fais-le-moi sentir.
— J’ai envie de toi. J’ai envie de te baiser. Tu me rends complètement fou.
— Hmm, j’adore ça.
Elle m’embrasse à nouveau. Nous nous couvrons de câlins et de caresses. Je la sens à moi, rien qu’à moi. Je grogne en lui léchant le cou.
— Lèche-moi la chatte, Andrew, j’ai trop envie.
— Avec plaisir.
Je m’agenouille entre ses jambes écartées et lui broute le minou. Elle mouille pour moi. Elle se tortille en m’arrachant les cheveux lorsque je lui titille le clito. Je prends l’initiative de lui enfoncer deux doigts. Je suis loin d’être un expert, mais cela a l’air de lui faire du bien :
— Viens, prends-moi, me dit-elle.
Je n’attendais que ça...
Je me relève tandis que nos regards se croisent. J’attrape ma verge d’une main et la dirige vers son antre. Je ne suis ni timide ni hésitant, je ne pense qu’à ça depuis hier. Je la pénètre doucement. Je soupire de retrouver cette sensation si onctueuse qui m’a tant manqué. Mon instinct me dicte de remuer du bassin. Ça y est, je suis enfin de nouveau en train de faire l’amour. J’ai toujours été un garçon gentil et très sage, mais mes cousines... elles sont tellement belles qu’elles font de moi un pervers assoiffé de choses sales. Je ne veux plus être un type bien, je veux juste ramoner son vagin. Je ferais n’importe quoi pour ça, pour ces quelques minutes de bonheurs :
— Oooh, Megan.
— Hmm, Andrew. C’est ça que tu voulais ?
— Oh oui...
— Continue, c’est bon. Fais-moi sentir que tu me veux.
— Je te veux, je te veux. Plus que tout au monde !
— C’est vrai ?
— Je te le jure.
— Tu ne préférais pas faire ça avec ma sœur ?
— Non. Toi, rien que toi.
— Je suis ta petite chatte offerte à toi.
Ses mots m’incitent à la prendre plus fort. J’ai peur d’y aller trop violemment, de passer pour une brute, mais vu ces réactions, je comprends que c’est inutile. Elle est peut-être plus « romantique » que Lucy, mais cela ne veut pas dire qu’elle n’aime pas se faire sauter.
Nos lèvres se rejoignent et nos mains se parcourent. Je veux lui faire sentir mon désir avec mes râles et mes soupirs. Chaque coup de reins est un cri d’agonie et cet aveu la fait défaillir. C’est bon, c’est si bon. Je suis en train de devenir accro. Elle se laisse tomber sur la table. Je l’attrape plus fermement par les cuisses pour mieux la défoncer. L’entrechoque de nos corps retentit dans la pièce. Ses seins se balancent sous la puissance de mes coups, je suis hypnotisé par ce spectacle. Elle ferme les yeux, elle gémit, elle se tortille de plaisir. Cela me rend dingue de savoir que c’est moi qui lui donne ce bien-être. Je suis son cousin, mais elle veut ma bite :
— Ooh. Andreeeeeew. Ouiiiii !
— Megan... Megan !
Je me penche sur elle pour humer son odeur. Je la couvre de baisers, je lui presse les seins. Elle passe ses mains par-dessus sa tête pour s’abandonner à moi. C’est le signal que je peux lui faire tout ce que je veux.
Je la prends comme ça pendant de longues minutes. Je ne m’en lasse pas. Je suis surpris par ma propre endurance. Je n’ai pas envie de juste éjaculer ni de la faire jouir le plus vite possible. J’ai simplement envie de prendre du plaisir. Je voudrais faire durer ça pendant des heures. Je pense qu’elle est dans le même état d’esprit que moi : alors que je le sentais proche de la jouissance, elle me fait m’arrêter. Elle se retourne dos à moi, penchée sur la table, me montrant son cul bien rebondi en évidence avant de me dire :
— Viens. Monte-moi.
Excité et joueur, je lui donne une petite tape sur les fesses qui la fait frémir avant de reprendre notre étreinte. J’aime décidément faire ça par-derrière. Cela me donne l’impression de dominer, d’être le maître de la situation. Je la maintiens par les hanches en lui donnant de violemment coups de butoir :
— Oooh, Megan. Ta chatte est vraiment fantastique !
— Tu la voulais, hein ?
— Oh oui, tu n’en as pas idée !
— Dis-le-moi, je veux le savoir, le sentir.
— Je fantasme sur toi et ta sœur depuis que nous sommes ado, vous êtes devenue tellement bonne ! Je rêve de vous faire des choses depuis des années.
— Fais-moi tout ce que tu veux.
— C’est encore pire depuis que je suis tombé sur les vidéos de ta sœur. C’est vraiment une salope, putain !
— Les vidéos de ma sœur ?
Merde, c’est sorti tout seul. Je n’aurais jamais dû vendre la mèche. Elle n’était pas au courant ? Ça m’étonne quand même. Je ne devrais pas parler de ça, mais dans mon état, je suis trop excité pour penser clairement :
— Ses vidéos pornos sur le Net.
— Ce sont les miennes.
— Quoi ?!
— Ce sont MES vidéos. Pas les siennes.
— Tu déconnes ?!
Je ne sais pas pourquoi, cela me fait devenir plus brutal :
— Non. Je fais ça avec mon mec.
— Tu as un mec ?
— Oui, mais il n’est pas là et nous sommes un couple ouvert.
— Putain de salope !
— Oui, Andrew. Vas-y. Défonce-moi comme ta chienne !
Je n’arrive pas à y croire : c’est Megan l’actrice porno ? Elle qui a pourtant l’air si sage comparée à sa sœur. Je ne sais pas ce que je ressens. De la jalousie ? De l’écœurement ? Dans tous les cas, cela me donne encore plus envie de la sauter comme un porc. Je me penche au-dessus d’elle comme un mâle avec sa femelle et la prends violemment. Bordel, mais cette fille, je l’ai vu se faire prendre par tous les trous, je l’ai vue se faire enculer, je l’ai vue en train de hurler pendant qu’elle se faisait ramoner comme une traînée. C’est ma cousine, ma petite cousine avec qui j’ai grandi. Je n’arrive pas à y croire, je me tape vraiment une actrice porno. Des milliers de mecs doivent être en train de se palucher en regardant ses vidéos, et moi, j’ai l’honneur de pouvoir la tringler.
Je perds la tête, je n’ai plus rien de doux. Je me transforme en véritable animal. Sa seule réaction est de me crier « Oh oui ! Oui ! » confirmant tout ce que je pensais d’elle.
— Fais-moi sentir pute, Andrew !
Je lui martèle la chatte en la tirant par les cheveux. Je viens lui mordre le cou. C’est fini la période où je voulais prendre mon pied le plus longtemps possible, j’ai une furieuse envie de cracher mon jus pour la souiller. Je veux cependant la faire jouir en premier.
Je lui colle la gueule contre la table, ses seins écrasés. Je passe ma main entre ses cuisses. À la seconde où j’atteins son clitoris, son corps est pris de convulsion. J’ai réussi, elle est en plein orgasme. Je n’arrive pas à m’arrêter pour autant. Elle crie de plaisir. Je reconnais bien la chienne sur laquelle je me suis branlé un nombre interminable de fois. Les spasmes de son vagin m’encouragent à venir la rejoindre, mais je me retiens. Je rêve de lui faire un truc depuis hier. Je cesse de lui donner des coups lorsque je pense que sa vague de plaisir est passée. Je devrais peut-être, mais je ne lui donne aucun un moment de répit. Je la force à se mettre à genoux, non pas qu’elle ait besoin de beaucoup d’encouragement :
— Suce-moi, salope. J’ai envie de te gicler dessus comme mon frère.
Elle me prend tout de suite dans sa bouche en me branlant d’une main. Elle me fixe du regard. Malgré les circonstances et ma brutalité, elle est toujours étonnamment pleine de passion. On dirait qu’elle ne fait pas ça juste pour me faire plaisir, mais qu’elle le veut aussi. Elle me pompe goulûment, sans chercher à me rendre fou ou à jouer avec moi comme Lucy. Juste pour me faire éjaculer. Je n’ai pas à me retenir, je sens du coup rapidement la sève monter. Je m’astique moi-même pour me finir. Elle retire sa main pour me laisser faire. Elle ouvre la bouche sans fermer les yeux, telle une esclave docile. C’est trop, et je lui gicle à la gueule. Je crache de copieux jets de sperme en beuglant. Je ne la rate pas, je m’arrange pour bien lui en foutre partout. Je me vide entièrement les couilles. J’ai la tête qui tourne, mes jambes ne me supportent plus sous l’intensité de ma jouissance. Elle avale ce que j’ai réussi à lui mettre dans la bouche en souriant.
— Hmm, fait-elle.
Je l’admire. Putain, ce qu’elle me plaît comme ça ! Ça m’excite de savoir que pour une fois, c’est mon jus et pas celui d’un autre qui glisse sur son corps. Elle en récolte avec son doigt pour mieux se régaler. En redescendant sur terre, j’ai du mal à croire ce qui vient de se passer. Je ne me reconnais pas. Pourtant, je ne regrette rien. Elle n’a eu que ce qu’elle méritait ! Et cela n’a pas été pour lui déplaire.
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