Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 6 J'aime
  • 2 Commentaires

Les nonnettes

Chapitre 2

Divers
Les nonnettes (2).------------------

Il y avait, je l’avais deviné, une toute petite… « Portez-moi, mes sœurs, au nom du Seigneur ; portez-moi, je ne vois rien, moi ! » Sans doute était-elle lourde parce que ses sœurs les plus charitables ne la portaient jamais assez longtemps à son goût.
Les mois passaient, et chaque nuit j’entendais de petits crissements et grignotements. Je finis par demander s’il y avait des souris dans le couvent. Une petite voix gloussa :
— A part nous ? Non, grand Dieu, non ! Ah oui, oui, je comprends : c’est sœur Lillipute, notre petite sœur qui gratte, qui ronge. Elle veut son trou à elle, à la bonne hauteur. Elle est petite mais impatiente, notre Sœur Minuscule, et… très habile de ses dix doigts. Et aussi très pratique. La cacher sous notre robe, pendant la grand-messe par exemple, c’est divin. Nous nous mettons des pinces aux tétons, au clitoris, à la chatte et y suspendons notre chapelet à l’extérieur, l’air de rien. Elle en joue diablement bien, nous étire les tétines sous la robe, les allonge, les écarte, les croise, les noue, mmmmm… Elle fait tout vibrer ; c’est électrique, c’est bien bon, c’est assez pour me faire mouiller, et souvent jouir à l’élévation. Quand c’est mon tour, je mets une couche-culotte très serrée et fendue ; elle lèche et boit tout ce qui coule de ma chatte. Chut ! Euh… c’est un secret !
Finalement, le grignotage de sœur Souris porta ses fruits. Le trou avait le diamètre d’une bite, pensait-elle… À part la mienne vue de loin, elle n’en avait jamais vu qu’en photo. Le chêne rongé à l’aide d’une cuillère affûtée, le bout rond tailla dans l’épaisseur de la porte un bol percé d’un trou de quelques centimètres. Sœur Manuelle camoufla le bois mis à nu et fabriqua une pièce discrète permettant de le couvrir et le masquer à volonté.
La toute petite put, de près et sans se baisser, profiter longuement des spectacles que je lui donnais. Ma queue, bandée ou non, agitée en tout sens, le balancier de mes châtaignes et mon trou du cul ouvert sur ordre… Je reconnaissais sa voix, ses soupirs et ses « Merci, mon Dieu, de leur avoir mis une bite. Que c’est beau, bon Dieu, que c’est beau ! » Sœur Minuscule voyait enfin le monde tel qu’il était.
La petite vit ainsi sa patience récompensée, et sitôt qu’elle le put me fit approcher.
— Viens, viens, je veux la sucer, la sentir, la goûter. Je ne l’ai jamais fait ! Je rêve et mouille à la branlée du soir, salivant à ta grande bite poilue… Je l’ai si peu vue, et de si loin ! Viens, je vais te sucer la queue à travers mon trou.
Car c’était son trou à elle. Quand elle me le demandait, je m’approchais, glissais ma nouille molle dans son bol et me plaquais jambes écartées à la porte. La nature ne l’avait pas gâtée ; elle allait se rattraper. Sur moi ! Son trou avec ma bite dont sa bouche pouvait profiter pleinement. Enfin !
Elle demanda bientôt mes couilles. D’accord, c’est bon de se faire lécher les glandes, mais je ne pouvais en passer qu’une à la fois, sauf à les glisser l’une après l’autre. Mes deux boules dehors et moi dedans. Plaqué contre la porte, j’étais piégé ! Pour me libérer, je dépendais totalement d’elle et de ses doigts élastiques… Faire confiance ? Facile à dire ! Elle aimait profiter très longuement de mes attributs – bite, couilles et trou du cul – avec sa langue, ses lèvres, ses dents et ses tout petits doigts. Je me tortillais, papillon épinglé vivant.
Sœur Manuelle, la bricoleuse, avait apporté un progrès certain à nos gentils jeux : un tube à miroirs avec manche permettait, par le judas, de regarder vers le bas, de voir mon membre s’activer. Elle avait même poussé le bon sens jusqu’à y accoler une petite lampe. Quand j’enculais par le trou dans le bois, je sortais très souvent ma bite et mon gland rouge pompier pour que la sœur postée au périscope ne manque rien des choses truculentes et visqueuses que j’exhibais. Je déchargeais à la demande, dans un cul, dans le trou vide ou vers le haut, vers la langue tendue et implorante au judas. Vices et verse-ça, et à l’envers de l’inverse.
À la demande pressante des autres, le trou fut agrandi et évasé, poli. Je pouvais cette fois y passer bite et couilles ensemble. Il y avait quasiment un bidet dans l’épaisseur du bois, si bien que lorsque la naine n’était pas de garde, elles purent toutes y mettre poils et chatte ou bien –et même les plus grasses – leur paire de fesses. La cavité obligeait les grosses à les écarter largement, faire ventouse en se collant au bois.
Il n’y avait que moi à pouvoir agir sur ce qui se présentait, et je n’y manquais jamais. De la langue, mmmmm… Des doigts… Un, deux, trois… soleil ! Mmm… Ouuu, mmm… et de la bite.
— Ouuuuuuuch… Ouuuuch, ouiiiiiiii, ouiiii ! Va au fond…. Plus loin ! Enfonce tout ! Remue ça dans mon cul… Ouiiii, ouiiiiiiii… iiiiiiii. Ouch, aïïïïe ! Ne bouge plus, attends, je fais bouger mes boyaux, je pousse à chier ; tu le sens ? Mmmmm, ta bite gonfle… C’est bon ! Ouiiiiiiiiii ! Tu sens mon boyau la serrer ? Vas-y, frotte-le… Fais jouir mon cul, fais-moi jouir par le cul, je veux gicler par ta bite dans mon cul !
Depuis le judas, sans le périscope, on ne voyait rien. Vrai qu’on y jouait souvent à « Tête ma langue - Suce la mienne » et à y faire et défaire toutes sortes de nœuds complexes, mouillés, baveux. Nos langues se retrouvaient à travers l’ouverture carrée. Cette fenêtre mal placée changeait sans cesse d’usage. Mon bras, tant bien que mal passé au travers, palpait des seins à l’aveuglette et tordait les tétons volontaires. Elles savaient en jouer, ma main ne happant que du vide, et soudain une mamelle grasse venait se faire peloter longuement puis fuyait pour revenir quand je ne l’attendais plus. Ou bien une bouche chaude à langue humide me mordillait délicieusement les doigts.
Parfois il servait même de trou de souffleur. La naine suçotait mon bout et la nonnette au judas me transmettant ses souhaits :— Donne-lui tes couilles… tes poils. Remets ta queue… Décalotte ton gland… Mets-y ton trou du cul.
Un jour, à ma demande, la toute petite mit son cul face au trou. La sœur de guet lui dit mon envie de la voir appuyer son cul au plus loin et de pousser très fort, puis elle me fit passer son plus gros pinceau à poils raides, une vraie balayette, et me le fit entrer au fond de son cul, poils devant.
— Tu vas me masser, m’astiquer l’intérieur du boyau.
J’obéis.
— Tourne, tourne… Hiiiiiiiii… Ouiiiii… c’est bon ! Tu m’excites le ventre jusqu’aux seins ; mes tétons crient… Plus fort… Ramone-moi le conduit, fais la manivelle, n’aie pas peur, remue fort, plus fort ! Tourne… Ouiiii ! Enc… enc… encoooore… Lààààà… Ouiiiiiiiiiii !
Sœur Salope, au judas, réclama le résultat. Je sortis le pinceau bien garni et lui mis en bouche.
— Mmmm… mmmm… Je veux tout ce qui sort d’elle, de sa chatte, de sa bouche, de son cul.
Une superbe rose rouge épanouie fleurissait le bas de ma porte.
— Et ça, ça lui plaît ? Il bande ?
Je suffoquais et m’étranglais. La sœur au périscope commenta :
— Je n’ai jamais vu son braquemart aussi dur ni aussi gros : sa bite est violacée sur toute sa longueur. Là, il va te frotter le boyau avec son gland en flamme… C’est magnifique ! Non, il met sa langue ; il dit qu’il veut lécher ta rosée du matin… Pousse plus fort, c’est si beau vu d’ici ! Maintenant il prend son dard à la main, il le promène et butine ta fleur parfumée. Tu le sens ? C’est bon ? — Ouiiii, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… — Il cherche ton entrée, il t’écrase le boyau contre la porte. Mon Dieu, que c’est beau ! Ce gland mauve et ton cul étalé en pétales rouges ! Comment toi, si petite, as-tu un boyau aussi gros ? Je n’en peux plus ; je mouille, je ruisselle… Mets-moi ta main au fond du con. J’ai sucé ton pinceau…
Un sanglot.
— Tu me suceras après, dis ?
Je tirai son boyau à vif jusqu’à m’envelopper le gland. C’était doux, chaud, humide, visqueux, soyeux. Je branlais mon truc avec cette fleur rouge saisie à pleines mains, jouissais à la folie dans l’énorme bourgeon sorti de son cul. La minuscule couinait et gémissait.
— Vas-y, branle-toi, tire-le, malaxe-le, écrase-le-moi. C’est si bon ! J’aimerai tant que tu puisses me tripoter comme ça quand je chie… Tu viendras ?
Mon sperme coulait partie en elle, partie de mon côté ; j’y mis mes doigts que je plongeai dans la bouche ouverte, goulue, au judas.
— Mmmmmmm… mmmmmmm… Vite ! Sors-moi ça du trou, la naine ! Moi aussi je veux goûter ta rose au sperme, l’intérieur de ton cul plein ma bouche, y entrer mes tétons pour les branler… J’y glisserai ma langue. Tu pourras pousser fort, je sucerai et mangerai tout ce que tu voudras donner! J’aspirerai, j’avalerai. Promis !
Sœur Bricoleuse, encore une fois, se précipita au devant de nos fantasmes. Elle fit déposer dans ma cellule – sublime vice, par les bigotes – une ventouse à siphon. Quoi de plus innocent qu’une ventouse dans des toilettes ?
Ce fut la grande époque ! Le cinéma d’après le muet, d’avant le parlant, le cinéma criant ! Hollywood, nous voilà !
À la demande je passais le manche vernis par le trou ; il servait alors de guide aux plus gros culs qui, s’y enfilant, s’alignaient proprement dans l’axe et salement se collaient en place. Après quelques fouillages de rigueur, je le sortais – sluuuuurppppp – vivement du cul, le retournais et pompais, ventousais avec vigueur le trou de la porte et celui qui se trouvait derrière. My God ! By Jove ! Festival de cris, de hurlements de jouissance, de salacités : « Mes sœurs, il me pompe le cul, il m’aspire, il me vide, il me soutire le ventre, il me siphonne le boyau… Ouaaaaaouuuffff ! Je vais jouir par le trouduc. Je chie chez lui, ça me fait pisser… Viiiiite, un bol ! » etc.
Malheureusement, ces conditions rendaient très inconfortable la pénétration banale. Si simple, elle demandait pourtant un vrai travail d’équipe. Trois pour porter la volontaire qui se collait jambes en grand écart, sexe largement ouvert avec les doigts contre la porte et suppliait : « Allez, mes sœurs, poussez ! Appuyez fort ou il ne rentrera pas et vous devrez me branler. » Comme je le pouvais, je charcutais des touffes, pinçais et titillais des clitoris, fouaillais des vagins trempés, glissants sous mes doigts. Je tâtonnais, les doigts dans la chaleur des chairs. En aveugle ! La distance frustrait les efforts de ma bite. Alors, à la demande, le plus souvent j’enculais le trou qui se présentait.
Je fini par reconnaître les culs d’un simple toucher du doigt, du bout de la langue, et à leur parfum si personnel. Je lisais les anus comme des empreintes digitales. Les petits roses et serrés, les grands en peau de tambour, couleur châtaigne, les plissés, accordéons s’étirant, gémissant, couinant à la plus légère caresse. Les mous, les durs, les gras, les secs… Plusieurs sœurs Salopes et Salopettes, l’unique sœur Manuelle, les nombreuses sœurs Grassouillettes, et bien sûr, l’inoubliable sœur Marie de Conzague dont la chambre à air débordait chaque fois jusque chez moi.Mmmmm… Jamais je n’oublierai l’inénarrable sommet du trou du bas : sœur Minuscule et sa rose épanouie !
Une des bonnes sœurs dont j’ai oublié le nom adorait chevaucher les grosses fesses, de celles que j’appréciais et pénétrais souvent ; elle y frottait longuement son énorme viande rouge dégoulinante, claquait les chairs grasses et adorait pisser dans la raie. Le jet chaud jaillissant en violent flot depuis la fente dégoulinait le long de mon membre, passait la porte et glissait dans mes poils, m’enveloppant les couilles de sa chaleur liquide.
L’œil hagard, elle m’avait auparavant fait passer un grand bol avec ordre de le poser par terre entre mes jambes et de le lui rendre plein. Je croyais qu’elle voulait mon foutre et, modeste, je ne voyais pas si grand. Depuis longtemps elle avait noté que lorsque que ma verge sortait d’un cul, elle entraînait bien des fois avec elle, de mon côté, moult détails. Alors, avec sa pisse, la tasse de thé devenait marmite de soupe aux lentilles, qu’une fois son affaire finie elle me réclamait. Qu’en faisait-elle ? Je le lui demandai.
— Que crois-tu ? Je file dans ma cellule tant que c’est chaud et je me branle avec cette bouillie sacrée. Je me baigne la chatte dedans, je m’en mets plein les poils, plein le cul, je l’étale sur mes seins. Au bout d’une heure, elle est encore plus chaude et odorante qu’au début. Puis j’en appelle à ma bien-aimée voisine et on se branle ensemble dans le bol. On s’en fourre partout, le plus possible. À poil, bien graissées, debout, nous nous glissons l’une contre l’autre, devant, derrière. Nous nous frottons tout. Mes petits nichons dans ses grosses mamelles, son ventre sur mon nombril, clitoris contre chatte, poils contre fesses ; nous pissons l’une sur l’autre, fente à fente. Nous ne manquons jamais de faire passer tout ça aux autres dans un bol encore plus grand. N’oubliez pas, mon frère, qu’ici nous sommes toutes sœurs.
Sœur Minuscule avait elle aussi des torrents d’imagination. Depuis sa découverte de ce nouveau jouet, elle préparait des petits trucs qu’elle imaginait utiles. Elle gardait soigneusement les pinces à cheveux et à linge, les élastiques, les épingles, les trombones, et même quelques pinceaux à aquarelle. Dans sa cellule-maison de poupée, avec grand soin elle préparait sa dînette. « La fête à sa nouille que ça va être ! » pensait-elle au fond de son cœur.
Je découvris la longueur impressionnante de sa langue qu’elle passait au travers du trou et tortillait pour m’appeler. Un si mignon doigt rose, brillant, humide… « Viens, viens ! » Mon membre réagissait, faisait le beau à ces simples signes. Si ma queue avait eu une bite, elle l’aurait agitée.
Elle aimait par-dessus tout mâchouiller ma nouille au repos. Ses petits outils – pinceaux, épingles et le reste – s’avérèrent redoutables, apportant à mon sexe, à mes bourses, à mes testicules des sensations inconnues. Je gloussais de plaisirs multiples. Un jour, elle enfila lentement un fin pinceau en poils de martre dans le trou de mon gland, et de ses doigts agiles le fit doucement tourner, aller et venir, le ressortit mouillé, le lécha avec délectation.
— Mmmmm, ouuuuu, mmmm… Ouiiiii… Donne-moi de ta pisse, mmmm…mmmm… Il reste du foutre. Mon Dieu, mon Dieu que c’est bon !
Elle me replongea illico le pinceau de plus en plus loin. Bientôt mon membre fut tenu raide à l’horizontale. Alors, à l’aide d’un gros pinceau doux et bien sucé, elle m’excita le gland, me fit bander raide et mena ma bite à la verticale.
Ses consœurs applaudirent au spectacle, à son œuvre. Ma bite sortant toute droite de la porte, soulignée par la masse rougie de mes couilles coincées, je vibrais à chaque touche du pinceau. Chacune voulut en profiter, de la langue, des doigts. L’une d’elle se frotta longuement le clitoris de ma bite raidie. Puis, tirant le bout pointu du pinceau vers elle, vers son con, elle parvint à le faire pénétrer loin dans son trou à pisse et nous branla ainsi tous les deux, trou contre trou, pisse à pisse. Ce jour-là elle hurla longuement en silence et avec moi gicla de tout, partout. Enfin, contractant sa fente, elle tira délicatement le pinceau de mon conduit et le déposa dans la bouche de la petite. Mmmmm… Ce fut une avalanche de « Oooooh… » et de « Aaaaaaah… » Trempé du nombril aux pieds, une gigantesque flaque passant sous la porte, j’entendis mille déclics d’appareils photo.
Plus tard, sœur Manuelle ajouta un petit bricolage à sa façon : deux minces fils en cuivre reliés à la virure métallique du pinceau et… une pile ! Elle faisait jaillir des secousses électriques très loin à l’intérieur de ma verge, quasi dans mes couilles. Je vibrais des testicules au trou du cul et tremblais de la tête aux pieds. Les sœurs, collées à la porte, n’en rataient pas une… Elles exigèrent avec force leur tour de périscope. Ma bite vibrait, mon corps s’agitait ; la porte aussi. Je giclai mon foutre au fond d’une bouche brûlante qui me mordit dans l’émotion et s’étrangla avec mon sperme. Ses hoquets me firent éjaculer de plus belle ; j’entendis un long gargouillis de gorge suivi d’un bruit de chute. Elle avait joui par la bouche, encouragée par les mains de ses compagnes.
Les sœurs mataient, se branlant mutuellement. Le couloir tremblait. Un trou, une bite, de l’imagination : nous étions tous aux anges, le couvent grimpait au septième ciel.
Visiblement, devenu gros et dur, mon membre sembla longtemps effaroucher sœur Toute Petite. Bien des fois elle laissa sa place à plus expérimentées. Une autre bouche, une moule poilue, un trou de cul prenait le relais, selon les présences du jour. L’une ou l’autre me pompait le dard, et bien souvent ma bite avait tellement grossi que je ne pouvais plus ni l’avancer ni la reculer dans le trou de la porte. Elles en profitaient toutes avec un plaisir sadique. Elles savaient que je ne pourrais me dégager qu’une fois les couilles vides, la limace molle, épuisée. Alors elles me torturaient longuement pour que mes érections durent aussi longtemps que leurs plaisirs. Sœur Patience était maîtresse de ces jeux douloureux pour moi. Pourtant j’en redemandais, jamais rassasié.
La timidité de la toute petite n’eut qu’un temps, et le cirque recommença…
— Portez-moi, mes sœurs ; moi aussi je veux me faire enculer par ce gros machin !
En silence elle avait travaillé son esprit et son cul à cette idée. Un, puis deux, puis trois doigts, tous les soirs dans son lit. « Ouiiii iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Eureukaka, j’ai trouvé ! »
À l’usage, ce trou-ci se révéla à son tour trop haut pour elle… En creuser un autre plus bas ? Aucune hésitation. Nous avions, les nonnes et moi, tout notre temps. Elle tailla cette fois une fente verticale afin de pouvoir jouer avec la hauteur de son cul, et moi de celle de mon outil. Je me mettais à genoux, puis tout se passait à l’aveugle… « Descends ta bite ! Monte ton trouduc ! Là, ouiiii… Là, tu y es ! Vas-y, entre, rentre à fond, défonce-moi, remue ta bite… Ouiiii ! Enfonce-toi jusqu’à ma merde. Plus fort ! Ouch ! Mmmmm… p-plus f-fort… Aïïïe ! Ouuuu… mmmmouiiiiiii. Enc-enc-encoooore… Ouiiiiiii…iiiiiiiiiiiiiii…ouuuuuiiii ! »
Elle apprit à m’aider, jouer de ses fesses, de ses muscles culiers. Inutile de dire qu’elle aimait ça et avait compris que si une nouille molle est délectable en bouche, elle est meilleure encore, gland durci et gonflé, au fond du cul.Cette fois aussi, le trou fut évasé et poli à l’extrême par et pour les autres.
Un jour qu’elle était en train de jouer avec ma nouille molle, ses pinces et ses élastiques, je dis
— Bordel de merde, j’ai envie de pisser !
Sœur Marie-Salope, qui était de garde au judas, transmit à l’étage inférieur :
— Il veut pisser. Tu fais quoi, la naine ?
Hi-hi- hi… La petite garce avait le matin doublé ma ration de bouillon de légumes ! J’entendis :
— Ça marche, ça marche : qu’il pisse, qu’il pisse !— Moi aussi j’ai envie de gicler… déclara sœur Marie-Salope.
Je l’entendis bouger. Je devinai qu’elle enfourchait la naine et ma bite d’un même élan. Sœur Toute Petite me titilla le gland du bout de sa langue et le trou de son fin pinceau.
— Allez, vas-y, laisse aller… Pisse pour moi, pisse pour nous ! J’ai un grand bol ; j’en rêve depuis huit jours… Mes sœurs, nous partagerons après.
Ah, cette Sœur Souris ! Ma tortionnaire, sublime amoureuse !Les unes et les autres jouissaient à volonté. L’installation limitée forçait les rêves et les fantasmes. La longue solitude monacale inventait des solutions vicieuses. Ma vie baignait dans l’huile sainte, et pas que !

[à suivre]
Diffuse en direct !
Regarder son live