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Les Origines de la Saga des esclaves du Marquis d'Evans (Année 1784)

Chapitre 16

SM / Fétichisme
Année 1784 - Manon à l’abandon -
La souillon gémit... manon gémit tandis que le chef des gardes s’introduit en elle et commence à la baiser ... Au fil des semaines qui se sont écoulées, manon est devenue la favorite du colosse qui commande aux gardes Du Marquis d’Evans. Cet homme rude, aux mains rugueuses et à la queue si ferme a transformé la timide et maladroite manon des premiers jours en une vraie catin docile. Désormais, manon minaude et fait rouler sa croupe lorsqu’elle se livre aux taches ménagères quotidiennes...
Et une fois par semaine, elle sort une lourde bassine d’eau pour y laver sa robe... Elle se dénude alors, dévoilant sans pudeur ce corps nu et lisse et s’appliquant à dissimuler son appendice viril entre les cuisses, afin d’apparaître aussi féminine qu’il se peut... elle est presque devenue coquette, s’appliquant à gommer ses manières masculines afin de répondre au mieux à ce qu’elle est devenue, manon la souillon, manon offerte à tous les désirs de ce groupe d’hommes rompus aux filles de salles et aux catins des plus sordides auberges ou bordels.
Les gardes ont pu apprécier chaque jour un peu plus cette évolution de manon... Faisant d’elle leur "petite chérie", lui apprenant à offrir sa bouche et son cul à leurs sexes tendus. Mais ces guerriers n’aimaient guère rester en leur abri. Dès que leur service auprès Du Marquis d’Evans s’achevait, ils en profitaient pour se rendre à l’auberge du village et y dilapider leur solde en compagnie des putains y demeurant à l’année... Passé l’attrait de la nouveauté, ils délaissèrent donc manon et son petit cul à la peau douce, pour aller tâter des larges croupes rebondies des catins locales. Mais il en était un qui négligeait ces dernières, depuis que manon avait pointé sa touchante maladresse entre les murs du corps de garde. Le chef de ces durs soldats, un colosse sévère. Et tandis que ses hommes se rendaient au village, il restait souvent en compagnie de la souillon, l’observant tandis qu’elle vaquait aux multiples travaux ménagers qu’elle devait effectuer au cours de la journée. Comme en cette belle journée...
Accroupie, manon frotte le plancher disjoint de la cabane, à quatre pattes, la croupe relevée, appuyant de ses deux mains sur la brosse savonneuse. Le soldat est assis sur une vieille chaise à bascule, tirant lentement sur le tuyau d’une pipe, il se balance doucement tout en observant les plis du tissu sur les formes de la souillon...
— "Ote cette robe !" lance-t-il d’une voix rude et n’admettant aucune hésitation.
manon obéit... elle délace le dos de l’humble robe et la laisse choir sur le sol, dévoilant ainsi son corps nu et le sexe, unique symbole de l’état réel de manon. La situation excite manon, car elle sait ce qui l’attend, elle l’attend depuis que les autres gardes ont si bruyamment quitté les lieux. Elle sent son estomac se nouer, sa gorge sèche... et la raideur qui se saisit brusquement, de façon irrépressible de sa verge...
Sans un mot le garde se lève et s’approche de manon qui baisse les yeux... La gifle claque, puis la main qui vient de frapper s’abaisse et saisit fermement le petit sexe de manon, le pressant durement... comme pour le broyer. manon grimace, sent ses genoux fléchir... gémit... Mais celui qui s’est saisi de son appendice ne relâche pas la pression. Il serre, serre... jusqu’à contraindre manon à s’agenouiller sur le sol ... lorsqu’il sent que la queue est redevenue petite et flasque, il la relâche lentement, comme pour faire comprendre à manon que ce n’est qu’un répit et qu’elle reste sous la menace de l’étau de ses doigts d’acier. Alors manon se prosterne au sol et embrasse les pieds nus avec passion... les yeux partiellement cachés par les cheveux de la perruque, elle saisit les chevilles tout en les embrassant... Plus que la soumission, il y a une forme de passion dans son attitude, de dévotion pour l’homme rude et brutal qui la maltraite et la force maintenant à se traîner jusqu’à une paillasse...
— "Allez, chienne, montre moi que tu es une bonne petite putain ! Ouvre toi !" rugit le soudard.
Docilement, manon se cambre, fait saillir sa croupe et s’aidant de ses mains, ouvre largement sa rosette, déjà bien dilatée par l’usage intensif qu’en ont fait les gardes... Crachant dans ses mains, le soldat humidifie son pouce et s’approchant, l’enfonce dans le cul de manon... l’ouvrant plus encore et ouvrant le chemin à son sexe déjà tendu, dur, long et épais... il l’enfonce d’un coup de reins violent et commence à limer sans ménagement la souillon soumise. Longtemps... très longtemps... il la baise et la baise encore... elle a le cul en feu mais en demande encore... elle supplie, implore...
— "OOh oui ! oui !!! vas y, baise moi ! Ooh oui !!! je suis ta chienne, ta putain !!"
Le soudard se retire, retourne manon sur le dos et son plaisir gicle soudain en un flot épais qui éclabousse la poitrine et le visage de la souillon... Puis il se penche sur elle et la gifle ! La perruque se décroche tandis que Le chef des gardes bouscule manon et la bat
— "Tu as osé me tutoyer, chienne ! ?"
Le garde jette manon au sol, se saisit d’une cravache qui traîne et commence à la battre. Les coups pleuvent et manon se défend à peine, ne cherchant pas à esquiver mais au contraire se livrant à la vindicte de L’Homme ! Lorsqu’il en a assez, que son bras tombe de fatigue, L’Homme cesse les coups et contemple manon, qui sanglote silencieusement... elle rampe jusqu’aux pieds du chef des gardes...
— "Pardon... pardon d’avoir fait preuve d’une si grossière privauté... et merci de m’éduquer afin que je puisse me présenter devant Monsieur Le Marquis dans les plus justes conditions", hoquette manon entre deux sanglots.
Le garde sourit... Le Marquis d’Evans aime parfois lui confier les premiers pas d’un esclave... Il aime à faire plier un jeune mâle et le transformer en chienne docile, ce qui est le cas pour manon, et même reconnaissante des sévices et abus subis au fil des semaines que dure le dressage. Cette manon est parfaite... le jeune homme du départ s’est effacé pour laisser place à cette créature féminisée, qui à n’en point douter exprime désormais ce qu’il y avait de profondément enfoui dans les tréfonds de son être... car au-delà de la contrainte, des abus, des humiliations, de l’avilissement le plus total dans lequel est tenue la souillon, elle exprime par son attitude et ses actes un désir sans bornes de se sentir esclave et chienne...
Du bout de son pied, L’Homme repousse manon, à plusieurs reprises il la bouscule ainsi et la force à ramper jusqu’à un vieux fauteuil. Là, le garde s’installe, prenant ses aises...
— "Viens là... " dit-il d’une voix étrangement radoucie
Et manon, docile, vient prendre place en travers de ses genoux, le haut du corps balancé en avant, les jambes pendantes, son torse reposant sur les genoux du soldat qui, tendrement, commence à lui caresser la croupe... D’une voix apaisante, le garde prononce des paroles apaisantes, tout en poursuivant ses caresses... peu à peu, manon se détend, s’abandonne... Lorsqu’il sent qu’elle est totalement relâchée, brusquement, le soldat fesse durement le cul de la souillon qui se cabre un bref instant, mais se soumet... et puis les caresses reprennent, suivies encore par une violente et implacable fessée... et durant un long, long moment, la scène se poursuit ainsi, le chef de la garde du Marquis alternant douceur et brutalité, tendresse et sévérité, caresses et châtiments. Et manon s’abandonne, vaincue, abandonnée, conquise... par son Homme......Et pendant ce temps, dans l’église...
(à suivre …)
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