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Les Origines de la Saga des esclaves du Marquis d'Evans (Année 1784)

Chapitre 17

SM / Fétichisme
Année 1784 - La plus pure des catins -
Dans les sous-sols de l’église, la jeune compagne de celui qui se nommait pour l’instant manon était toujours livrée aux pratiques purificatrices de l’abbé... La nuit était tombée depuis longtemps et le curé avait envoyé l’un des jeunes (qui le dimanche jouait les enfants de choeur) jusqu’à l’auberge afin d’y quérir l’épouse de l’aubergiste, qui s’acquittait également du rôle de mère maquerelle avec les filles qui leur service achevé, acceptaient de donner encore du plaisir aux hommes pour quelques piécettes...
Parfois, Le Marquis envoyait une de ses esclaves pour un séjour à l’auberge. Elle apprenait ainsi auprès des pensionnaires des lieux quelques unes des pratiques sexuelles réclamées par les hommes aux filles de joie... et surtout à satisfaire des hommes en série, car il n’était pas rare que les ouvriers agricoles des contrées voisines viennent s’offrir quelques instants de détente auprès des putains des terres d’Evans, tant on savait qu’elles étaient rompues aux plus diverses pratiques.
La maquerelle se pressait donc vers l’église, sachant que le curé n’agissait que sous l’Autorité Du Marquis et qu’il n’était pas bon provoquer l’ire de Ce dernier. Pressant encore le pas, elle entre dans la sacristie qu’elle trouve vide. Elle cherche, car la pièce est encore éclairée et le désordre qui y règne, en particulier la robe déchirée gisant sur le sol, montre bien que l’on y a mené quelque lubrique sabbat. C’est alors que retentit un bruit qui semble venir des entrailles de la bâtisse. Un bruit que la maquerelle identifie comme celui de claques sonores... suivi par celui d’une lanière claquant sur la peau... bruit de fouet... Un cri s’élève, puis plusieurs autres qui se confondent bientôt en un gémissement monotone. La maquerelle avance prudemment et découvre une porte entrouverte donnant sur un petit escalier descendant en spirale, éclairé par quelques torches dégoulinantes...
La maquerelle descend les escaliers et découvre le curé, assis sur une chaise au centre d’une pièce carrée, au sol de terre battue. En travers de ses genoux, une fille à la croupe ferme et agréablement rebondie gémit doucement, mais ne semble pas opposer de résistance… La maquerelle s’approche et distingue parfaitement le cul de la fille. Le curé a d’abord frappé à la main. On distingue encore l’empreinte rouge des cinq doigts sur la chair délicate. Une corde entrave seulement les genoux de la captive, tandis que ses cheveux dénoués voilent son visage. La croupe frémissante se contracte spasmodiquement sous les coups et les empreintes de doigts disparaissent peu à peu, remplacées par les zébrures rouges du martinet de cuir de l’homme de religion. Parfois, sans doute une partie plus sensible étant atteinte, la fille sursaute et les cuisses s’entrouvrent, offrant un fort joli spectacle, apprécié par la maquerelle dont le mariage n’avait certes pas totalement altéré l’intérêt qu’elle avait porté très tôt aux charmes féminins, n’hésitant pas encore aujourd’hui à initier aux plaisirs saphiques les filles qu’elle faisait travailler dans les chambres de l’auberge tenue par son époux toujours compréhensif, dès lors qu’elle lui laisse le plaisir de saisir quand bon lui semble les fruits des catins à leur service.
Tout en approchant, la maquerelle contemple donc avec envie la croupe de cette fille troussée et dénudée, ce fort beau cul dont la peau blanche encore visible par endroit, était désormais striée de larges marques rouges et de marques bleuissantes. Le curé, sentant sa présence, l’interpelle...
— "Hola Madame ! Vous voici enfin ! Figurez vous que depuis de longues et longue heures, je m’occupe à purifier cette catin du diable !"— "Je vois qu’elle semble en bonne voie mon bon père"— "Certes ! C’est que je m’y suis fort employé ! Comme l’a exigé Monsieur le Marquis notre Seigneur, je me suis appliqué à n’épargner aucun des orifices par lesquels le Malin a pu s’introduire en elle pour y déposer sa maléfique semence. J’ai béni son con, son cul et sa bouche ! Maintes et maintes fois !"— "Bien, bien... (dit la maquerelle) et qu’en est-il de son état désormais ?"
Le curé, laissant tomber au sol son instrument, caresse lentement la croupe meurtrie...
— Elle est sur la bonne voie (souligne le curé), voyez comme elle est docile désormais... Elle va vous le dire, d’ailleurs..."
D’un geste sans douceur, le curé repousse la fille qui s’effondre sur le sol de terre battue il se lève également et se penche, saisissant à pleine main la masse des cheveux emmêlés de la captive.
— "Allons, dis à cette dame, à laquelle tu dois totale obéissance, combien tu désires t’amender et rendre, par ton sacrifice quotidien, hommage à la vrai foi qui t’habite désormais..."
La captive, aux fesses tellement meurtries, les genoux toujours entravés, se prosterne aux pieds de la nouvelle venue...
— "Par pitié, Madame, consentez à m’accorder l’asile de Votre Demeure, puisque j’ai appris désormais que c’est entre Vos murs qu’il me sera permis d’expier définitivement mes fautes"
La maquerelle contemple cette fille, dont elle se souvient de la fraîcheur lorsqu’elle louait encore avec son amant l’une des chambres de l’auberge.
— "Redresse toi" ordonne-t-elle
Avec difficulté, en raison de ses genoux entravés, la fille obéit et chancelante, parvient cependant à se tenir debout... la maquerelle l’observe... elle écarte les cheveux collés et emmêlés afin de dégager le visage, dont les larmes séchées n’ont pas réussi à effacer la rondeur juvénile et le jolie petit minois... elle caresse le cou, fin à la peau fine, puis descend, portant ses mains sur les deux globes fermes et tremblants... elle tord un peu les tétons roses, obtenant avec satisfaction une grimace douloureuse et un léger gémissement... immédiatement suivis d’une retentissante claque sur le visage de poupée de la captive.
— "On ne grimace pas ! On ne se plaint pas !" rugit la maquerelle— "Pardon Madame"... implore la captive dont la joue porte maintenant, comme les rondeurs fessières, la trace rouge de cinq doigts...
Cette fois, la maquerelle presse beaucoup plus fort le téton gauche, elle le serre entre deux doigts, le tord, l’étire et garde ses yeux fixés sur le visage de sa victime, tel le regard d’un rapace qui fixe sa proie en sachant pertinemment que rien ne pourra la sauver... Et malgré le frêle courage qu’elle a pu rassembler, malgré son effort pour rester aussi impassible qu’il se peut, la captive finit par laisser échapper un cri, tandis que la maquerelle vient tout juste d’ajouter la griffure de ses ongles sur le téton qu’elle martyrise... Une nouvelle gifle retentit...
— " Je ne veux aucune plainte, catin... sinon je pourrai penser que c’est le diable encore qui te dicte ton attitude !"— "Ooh non Madame, non je Vous en prie ! (implore la captive) je vous assure que les soins prodigués par le bon curé m’ont purifiée de tout mal et que je puis désormais être bonne croyante"...
La maquerelle regarde la fille qui se tient si humblement devant elle... abandonnant les seins qu’elle vient de torturer si cruellement, elle caresse le doux ventre de la captive... puis fait glisser sa main entre les cuisses et apprécie d’y sentir l’humidité qu’elle espérait... elle joue de ses doigts contre et dans l’intimité de la fille... s’immisçant lentement entre les chairs humides, recueillant sur ses doigts le jus du fruit d’un plaisir féminin... elle approche ses doigts souillés de son visage, hume le parfum de la cyprine, puis du bout de la langue en déguste la saveur un peu salée...
— "MMMhh tu as bon goût ! tu plairas... et tu es docile, ce qui plaira plus encore, car il n’est pas d’homme qui ne se sente despote quand il bande ! Et il prend alors plaisir à ressentir la soumission de celle qu’il va culbuter et posséder... (puis se détournant de la fille) Eh bien curé ! Je vais donc emmener cette belle putain purifiée, ha ! ha ! ha ! oui ! la plus pure des catins ! ... par vos bons soins curé, et tester l’efficacité de votre catéchisme !"...
(à suivre ...)
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