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Les orties

Chapitre unique

Inceste
J’ai vingt et un ans, toujours puceau et depuis quelques mois je fantasme sur maman et pire depuis quelques jours j’en suis obsédé et prêt à tout. Maman est une belle femme à la poitrine généreuse, un visage assez jeune malgré la rudesse de la vie, elle ne porte pas ses cinquante ans, me disent tous mes copains de fac. Il y a quelques jours au cours d’une masturbation fantasmagorique, j’échafaude un plan qui sur le coup me semblait parfait mais avec du recul était complément farfelu.
C’est samedi après-midi, j’enfile mon cycliste, j’adore être à poil sous le stretch et je préviens maman que je pars en randonnée, celle-ci est allongée en maillot de bain sur un bain de soleil.
Tout semble s’emboiter comme je l’ai imaginé, je roule une demi-heure puis je fais demi-tour. Arrivé à proximité de la maison, je m’arrête en bordure d’un champ ou j’avais repéré des orties, j’ouvre mon cycliste, je sors ma pine et mes couilles et, après un moment d’hésitation, je frotte mon service trois pièces contre les feuilles. Sur le coup, je ne sens rien et je m’apprête à recommencer lorsque je ressens une vive douleur qui me fait me plier en deux, des larmes coulent sur mon visage et je suis obligé de m’assoir, ça me brûle. Qu’est-ce que j’ai fait ! Le con ! Je me relève lentement et j’enfourche mon vélo avec difficulté et je me mets à pédaler direction la maison, j’arrive péniblement devant le portail, j’ouvre et remonte l’allée, maman est toujours sur son bain de soleil, je pose mon vélo et je m’avance plié en deux, mon plan est tombé à l’eau. Franchement quel con ! Comment j’ai pu imaginer cela.
— Qu’est-ce que tu as mon chéri ?— Rien, maman, ce n’est rien.— Ne dis pas n’importe quoi, tu marches comme un petit vieux et tu es blanc comme un linge.— Je me suis arrêté pour pisser, mon vélo m’a échappé des mains, j’ai voulu le récupérer et j’ai foutu mon sexe dans des orties.
Maman éclate de rire.
— Ça doit remuer le sang, dis-donc !— Non, ça me brule ! Hurlé-je.— Calme-toi, on va arranger cela, montre-moi ça.
J’ouvre mon cycliste et le laisse tomber à mes pieds et me voilà à poil devant maman qui examine mon bas-ventre.
— Ben dis-donc, tu es bien arrangé, bouge pas, je reviens de suite.
Elle met son paréo et va dans son jardinet et se met à ramasser des plantes et se rend dans la cuisine, elle revient peu après avec un onguent.
— Des feuilles de menthe et de la vaseline, il n’y a rien de tel pour soulager les piqures d’orties, dit-elle en malaxant des feuilles ,elle s’assoit sur son bain de soleil et ma fait signer d’approcher. Me voilà a moins d’un mètre de maman, les mains luisantes de jus de menthe, elle se met à masser ma bite et mes couilles. Sa main gauche masse mes bourses tandis que sa main droite va et viens sur ma bite, je pousse un petit gémissement.
— Ça fait mal ? Demande maman.— Non c’est froid, mens-je.— Ca va passer, poursuit maman en continuant de lents mouvements le long de ma bite tandis que sa main gauche malaxe mes couilles.
J’ai la sensation que le massage n’en est plus un et que maman est accaparée à me branler, les yeux fixés sur ma bite.
— Arrêtes maman ; soufflé-je mais c’est trop tard, je ne peux plus tenir plus longtemps et j’éjacule. Mon sperme jaillit et une grosse giclée arrose maman, elle a plein de sperme sur son paréo, elle lâche ma bite et je parviens à refréner les giclées suivantes.— Ben dis-donc, si je m’attendais, si vite et tu ne fais pas semblant ! Regardes moi ça dans quel état je suis ! Râle-t-elle.
Je ne réponds et cours me réfugier dans ma chambre, que je dois quitter quelques heures plus tard pour le repas et la soirée se passe normalement, maman n’abordant pas mon éjaculation précoce.
Le lendemain matin, je me lève et je déjeune, sur la table de la cuisine il y a un petit mot de maman : je suis partie au marché, je me douche, je sors de la salle de bain à poil et me rends dans ma chambre mettre un short et un tee-shirt. Lorsque je redescends maman est revenue du marché.
— Maman.— Oui, mon chéri ? — Comment dire, heu, j’ai besoin de…— Oui tu as besoin de quoi, dis-moi hein ? — C’est assez gênant, mais j’ai toujours mal au sexe et particulièrement aux testicules.— Et tu veux que je mette de la pommade ? — Si ça ne te dérange pas, oui. — Si tu me promets de garder ton sang-froid, cette fois.— C’est d’accord, je ferai mon possible.
Maman prend le pot à onguent et s’assoit sur une chaise.
— Viens, approches, que je regarde où ça te démange.
Elle me baisse le short, puis mon boxer. Ma bite jaillit et vient claquer sur mon ventre. Maman reste un moment figée avant d’éclater de rire.
— Tournicoti, tournicoton, s’exclame t’elle, on dirait Zabulon qui sort de sa boite.
Je la regarde surpris.
— Oh c’est vrai, t’as pas connu le manège enchanté.— Hum, dit-elle en prenant ma bite en main, je ne vois plus d’urticaire, tout a l’air normal mis à part la taille de ton engin, rigole-t-elle nerveusement, elle met sa main sur mes bourses, je trésaille.— A mon avis, c’est ton éjaculation interrompue brutalement qui te fait mal. Tu aurais du tout lâcher hier au lieu de te sauver, tu t’es fini ?— Non, mens-je.— C’est bien ce que je pensais. Pour le bien il faudrait que tu te finisses, si tu vois ce que je veux dire.
Moi qui avais imaginé un autre scénario, je vois celui-ci tomber à l’eau.
— Tu sais ce qu’il te reste à faire. Fini t’elle par dire.
Je tente le tout pour le tout et lâche :
— Je n’arrive plus à me branler tout seul, je ne comprends pas ça vient pas.
C’est trop gros pour quelle marche dans la combine, me dis-je tout de suite après avoir prononcé ma phrase.
— Mais non quoi ! Tu ne voudrais quand même pas que je te, non une fois ça suffit, tu as vu dans état tu m’as mise ? Et d’ailleurs ce n’est pas convenable.— Oui c’est vrai maman, mais c’était la première fois qu’’on me caressait le sexe, personne ne le saura, ça restera secret je te le jure !— T’es encore puceau ?
D’un signe de tête j’acquiesce.
— Ben dis-donc, murmure t’elle en prenant ma pine en main, elle me regarde et dit :— Tu te retiens, hein ?
Maman commence à me masturber et son regard devient assez malicieux.
— Ça te plait comme ça, mon chéri ? — Oh… Oui… Je bafouille.— Et comme cela ? Demande-t-elle en accélérant son mouvement.— Attention ! Ça vient ! Dis-je. Maman stoppe aussitôt de me branler et lâche ma bite.— Là, pense à autre chose, contrôle-toi.
Maman reprend ma bite en main et recommence sa branle, ses doigts me caressent le gland, je pousse un gémissement de plaisir, son visage se trouve à quelques centimètres de ma queue et je sens son souffle chaud, c’est divin, maman accélère ses va-et-vient, son regard rivé sur ma bite, la bouche entre ouverte, je préviens maman :
— Attention maman ça vient !
Maman stoppe son mouvement, un peu de sperme s’échappe du méat, maman le récupère au bout de son majeur puis elle la lèche tout en me regardant dans les yeux, de sa main gauche elle serre les couilles, elle ouvre la bouche et commence à me sucer, j’explose alors en donnant de grands coups de rein et en criant :
— Oh putain, c’est trop bon !!
La première giclée est tellement forte et abondante que maman s’étrangle et recrache ma bite alors qu’une deuxième giclée qui jaillit lui balafre le visage et les suivantes atterrissent dans ses cheveux et souillent son corsage, maman reprend alors ma bite et avale les dernières giclées de sperme puis elle relâche ma bite, je regarde maman, le visage plein de sperme qui me sourit et me dit :
— Ca y est tu es parvenu à tes fins ? Tu sais que je ne suis pas dupe et que j’ai compris tout de suite ton manège ! Quand même, allez fourrez sa bite et ses couilles dans les orties, faut oser quand même !
Je n’ose pas m’insurger. Ma queue répond à sa ma place en se redressant aussitôt, maman me dit :
— Il ne te reste plus qu’à prouver ce que tu es capable de faire avec ta bite !
Elle déboutonne son tablier est apparait en petite culotte et soutien-gorge, en un tournemain maman ôte sa petite culotte, elle m’attrape par le cou et m’attire contre elle, mon sexe est tout contre sa grosse touffe et sans m’en rendre compte je me retrouve la bite bien plantée dans sa grosse chatte.
— Baises-moi, maintenant, souffle maman.
Je la pénètre d’un coup et je commence à limer maman étendue sur la table, je lui attrape les jambes et la bourre du plus fort que je peux.
— Oh oui, mon chéri, c’est bon ! Je la sens bien, fourres-moi bien avec ta queue.
Je ne peux lui répondre trop accaparé par ma besogne. Ma mère mouille comme une folle, mes allers-retours font un bruit de clapotis, je suis sur le point d’exploser.
— Maman, je vais juter dans ta chatte !— Oh oui, vides toi les couilles au fond de moi. Donne-moi ton foutre.
Je lâche ses jambes pour l’agripper pas les fesses, je donne de grands coups de rein, maman émet des onomatopées et ferme ses jambes autour de ma taille, j’éjacule en continuant mes va-et-vient, maman a un orgasme et crie de tout son soûl :
— Tu me remplis, c’est chaud, c’est trop bon, je vais mourir, c’est si bon !
Je m’écroule sur maman, je ferme les yeux et je savoure la réalisation de mon fantasme, je reprends mon souffle tandis que maman me caresse les cheveux en murmurant :
— Personne ne doit rien savoir de ce qui vient de se passer, dit maman.
D’un signe de la tête, j’approuve.
— Tu le jures ?— Oui, maman, je le jure.
Ma bite qui débande est éjectée de la chatte de maman, je me redresse, je regarde maman, elle a encore les jambes grandes ouvertes, un liquide blanchâtre s’écoule de sa chatte, je plonge le visage entre ses jambes et me délecte de cette mixture, maman me tient par les cheveux et guide mon léchage jusqu’à ce qu’elle jouisse une nouvelle fois.
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