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Les parents d'Océane

Chapitre 4

Inceste
Les parents d’Océane 4(Résumé de l’épisode précédent)
Je vais avoir besoin d’une bonne douche, car la nuit n’est pas finie.*** Je me sens si bien sous l’eau brûlante qui ruisselle sur tout mon corps, un peu endolorie après cette séance de sexe improvisée, ça me détend. Je ne peux chasser de mon esprit la queue de mon père fouillant ma chatte et se vidant les testicules dedans. Jean cet inconnu qui m’a prise comme une chienne et Paul qui lui s’est vidé dans ma bouche. La température remonte dans mon bas-ventre. Bizarre d’avoir ressenti cette énorme jouissance avec mon père. Cependant, j’ai pourtant eu beaucoup de relations avec divers hommes, et bien que j’ai eu du plaisir avec eux, rien à voir avec cette étreinte incestueuse devant ma mère et ses amis. Ce que je pensais de l’inceste est bien révolu depuis ce soir. Même si je n’ai jamais eu de rapports avec une femme, les caresses buccales de ma mère me donnent envie de recommencer avec une femme.
Tout en repensant à ce qui vient de se passer, je me caresse le minou tout lisse avec le jet d’eau chaude que je fais aller et venir sur mon clito, l’excitation nait de nouveau.À cet instant, ma mère me rejoint sous la douche. J’adore son petit corps bien proportionné, ses petits seins pointus, son joli petit cul bien rond et un visage lumineux. Ses yeux en amande, ses longs cheveux noirs. Mon regard n’est plus le même vis-à-vis d’elle, je ne la vois plus comme ma mère, mais comme une femme qui me donne envie de regoûter aux plaisirs lesbiens.
Sans un mot, elle vient se coller contre moi, ses seins vu qu’elle est plus petite sont cachés sous les miens. Les pointes de sa poitrine dardent sous mes globes, ses mains me palpent les fesses et me caressent les reins. Un frôlement du bout des doigts au creux de mon dos me fait frissonner. Je me penche pour l’embrasser. Comme ses lèvres sont douces, sa langue tourne lentement autour de la mienne. Maman impose le rythme du baiser, je n’ai jamais été aussi bien embrassée. Ma mère me fait fondre sous ses caresses et son baiser. Une de ses mains quitte mes fesses pour venir s’insinuer entre nos ventres, son doigt effleure ma fente. Mon ventre s’écarte du sien et j’ouvre les cuisses pour lui faciliter l’accès à mon minou. Doucement, elle fait pénétrer son doigt plus profondément dans mon vagin, son pouce sur pose sur mon petit bourgeon de chair, elle arrête de m’embrasser et me murmure gentiment.
— Je t’aime ma chérie, pas comme ta mère en cet instant, mais comme une femme. Tu nous as donné envie à ton père et moi de te faire l’amour, on adore ton corps, cela fait un moment que l’on a envie de toi ! Choquée ma chérie ?
De la façon dont elle joue avec mon clito, comment être choquée ?En haletant, je lui réponds.
— C’est nouveau personnellement, je ne pensais pas prendre autant de plaisir avec vous, ni même avec vos deux baltringues de copains, je ne comprends pas comment tu peux coucher avec ça. Ce à quoi elle me réplique d’une voix douce et chantante.— Ma chérie, j’aimerais en premier que tu m’appelles par mon prénom quand on fait l’amour, car maman me gêne un peu. Lan (prénom de ma mère qui signifie orchidée). Puis elle ajoute perfidement, quant aux deux baltringues, je t’ai vue avec eux entre tes jolies cuisses et dans ta bouche. Tu ne les as pas repoussés, me semble-t-il ? Quand ton père t’a demandé lequel tu voulais, tu as pris les deux.
Par ailleurs, je dois admettre, toute honteuse, qu’ils m’ont bien envoyée dans les nuages, il est vrai qu’à ce moment j’avais une grosse envie de sexe vu mon rendez-vous manqué. Sa caresse sur mon petit bouton commence à me donner envie, je prends une décision, je m’agenouille et je commence à doigter la chatte de mon amante et mère. Son petit buisson de poils est doux, ses lèvres paraissent fines comme de la dentelle. Je n’ai jamais léché de femmes, mais je deviens soudain très désireuse de le faire. Lui écartant délicatement les lèvres de sa jolie moule, je pointe ma langue et recherche son clito, il parait minuscule, au début, et je suis surprise que sous mes coups de langue, il se développe autant. Cela ressemble à une bite minuscule. Ça ne me pose aucun problème pour le saisir entre mes dents, le mordiller doucement, l’aspirer. En dépit de mon amateurisme, elle m’appuie sur la tête pour la coller un peu plus sur sa chatte et commence à psalmodier en vietnamien.
Je sais à ce moment qu’elle apprécie mes caresses linguales. Très contente de voir que je me débrouille plutôt bien. Au bout de cinq minutes de ce traitement, mon amante laisse échapper de sa petite moule un filet de cyprine au goût de noisette. Comme je continue de jouer avec son clito, elle me prévient.
— J’ai envie de faire pipi mon amour, elle plaisante, pensé-je, et je continue de lui brouter le minou. Eh non elle ne ment pas. Un jet doré jaillit de son sexe, ouvrant les lèvres de sa chatte. Elle m’asperge, j’en reçois dans la bouche, sur le visage, j’essaie de me dégager, mais elle me tient la tête collée contre son ventre en gémissant. Cette pratique est nouvelle pour ma part, décidément moi qui pensais que je connaissais bien les choses du sexe, je suis en pleine découverte. Le goût n’est pas si désagréable que je l’imaginais, comme de l’eau légèrement parfumée, signe de bonne santé. Ne voulant pas la décevoir, je bois à la source le produit de ses reins. Ce n’est pas déplaisant, je commence même à apprécier d’être ainsi arrosée et désaltérée par ma nouvelle conquête. Maman doit avoir une grosse envie, car cela dure un bon moment. Je lèche les dernières gouttes qui restent dans ses poils. Son sourire me dit que j’ai été à la hauteur de ses attentes. Ensuite, je me relève et l’embrasse à pleine bouche, partageant son urine que j’ai encore en bouche. Une idée naît dans mon esprit, une décision dont je lui fais part.— Je t’adore Lan chérie, cela me plairait de participer de temps à autre à vos soirées. Maman en profite pour me dire.— Si je te demande de coucher avec certains de nos amis privilégiés, serais-tu d’accord ?
Là je me sens un peu piégée, je me suis avancée un peu vite sous le coup du plaisir, ne voulant pas revenir sur ma parole, je réponds que c’est d’accord.
— Et si c’est trop difficile pour moi, tu me forceras, à tenir ma parole ? lui demandé-je.— Non ma chérie, je ne suis pas une mère maquerelle, mais il ne faudra pas refuser trop souvent. Ne t’inquiète pas, nos amis sont des personnes triées sur le volet. Certes assez vicieux, en plus, tu es jeune, ce qui devrait les exciter, toutefois, très respectueux, de surcroît, je sais que tu aimes bien les hommes matures, je tiens surtout à ce que l’on prenne du plaisir tous ensemble.
Elle doit m’espionner pour connaître ainsi mes goûts. Avec amour, on se câline encore un peu, elle admire mes seins qu’elle trouve superbes et toutes les parties de mon corps en général. C’est logique, elle redevient mère, et donc pense sa fille plus jolie que les autres.Après les caresses et les promesses, on se vêt d’une serviette, la porte entrebâillée s’ouvre d’un coup et mon père, et ses deux acolytes, nous demandent :— Alors les lesbiennes, vous avez bien pris votre pied ? Il est temps de penser un peu à nous, vous nous avez donné la trique...
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