Les parents d’Océane 6 Résumé de l’épisode précédent. (— Tu sais, j’ai encore un endroit vierge. Et, comme il m’a baisée, et que je l’ai sucé, il devine que personne ne m’a encore sodomisée).*****De révéler à mon père que je n’ai jamais pratiqué la sodomie a allumé une lueur lubrique dans ses yeux. Il me prend à part en me caressant les fesses et me demande. — Dis-moi chérie, je peux te demander une faveur. Je questionne de quoi il s’agit, bien que je me doute ce qu’il va me réclamer.— La primeur de pénétrer ton adorable cul, je serai déçu si quelqu’un d’autre te prenait cet endroit encore inexploré de ton corps. Surtout que je n’en reviens pas que personne ne t’ait encore proposé de le prendre vu sa beauté. Je ne le fais pas languir plus longtemps et lui promets de lui accorder le seul orifice où "la main de l’homme n’a jamais mis les pieds". Mon père est heureux comme tout et m’embrasse longuement sur la bouche, un baiser bien baveux où les salives coulent de bouche en bouche. Nos langues ne font plus qu’une. Collée à lui, je sens son sexe durcir contre mon ventre, et j’imagine que je ne vais pas être vierge de mon popotin encore bien longtemps. J’ai toujours refusé la sodomie, plus par peur d’avoir mal que par manque d’envie. Pourtant, beaucoup en ont eu l’intention, vu que j’ai un cul qui appelle à la sodo d’après mes amants furtifs. La peur est quand même là vu la grosseur du sexe de mon père. Toutefois, je lui dois bien d’être le premier à me prendre mon petit trou. C’est le créateur avec maman de mon beau cul. Il me prend par la main et m’entraîne dans la chambre d’amis. Maman et Nicole vont devoir s’occuper de Paul et Jean sans nous. À peine dans la chambre, mon père me jette sur le lit et me met sur le ventre. Cependant, je suis obligée de le tempérer. — Sois patient papa, profite bien de ce que je te donne, tu ne pourras être le premier qu’une seule fois. Il en convient et me caresse toutes les parties de mon corps, me lèche, me masturbe, de quoi me mettre en chaleur. Mon père me propose un soixante-neuf. Aussitôt, je m’exécute, je prends la position dessus, j’absorbe sa belle queue érigée, et lui se met à me lécher la chatte tout en y glissant deux doigts. La fifille à son papa se régale avec sa queue, lui tâte les couilles bien pleines, aspire son gland. Soudain, je sens un doigt enduit de salive tournicoter autour de ma pastille plissée. Sans réaction de ma part, il s’enhardit et fait pénétrer le bout dans le petit cercle encore inexploré. Ce n’est pas si désagréable que ça, son doigt au bord de mon cul et sa langue dans mon abricot. Comme je continue de le sucer, il introduit un peu plus son doigt et commence à me masturber le cul, je me cambre un peu plus sous ses caresses buccales et digitales. Il prend cela pour une invitation et se permet un deuxième doigt, je proteste la bouche pleine, il s’empresse de me dire :— Laisse-moi bien te préparer ton petit cul mon amour, après, ce qui va rentrer dedans sera plus gros. Vu la taille de ce que je suce, c’est sûr que deux doigts, ce n’est pas la mort. Il prend de l’assurance, il écarte un peu les plis de mon cul et introduit sa langue, mon Dieu que c’est bon, son petit bout de langue qui s’agite dans mon fondement. Papa alterne avec ses doigts, sa langue et crache un peu de salive pour lubrifier le futur refuge de sa bite. Je commence d’adorer cette préparation au sacrifice de mon dernier pucelage. Voyant que j’aime bien ce qu’il me fait, il ose enfiler ses deux doigts entièrement, je sursaute, mais ne dis rien. Consciente que je le laisserai prendre le dernier bastion de mon innocence, Papa arrête ses caresses et me demande de me mettre en levrette, la mise à mort de ma rondelle approche. La petite poulette va se faire embrocher. Je suppose qu’il va m’enfiler tout de suite et je me contracte un peu, il le sent en remettant ses doigts et me conseille de me détendre, pour que tout se passe bien. Plusieurs fois, il crache sur ses doigts peu élégamment, mais qui me lubrifie bien, car je prends conscience que cela glisse beaucoup plus facilement. Après quelques minutes de ce traitement, il place son gland sur ma petite entrée de service, il est brûlant gorgé de sang. Je le devine chaud et impatient le père amant. Impatiente d’en finir, je lui dis : — Vas-y papa, même si cela me fait mal, n’arrête pas. Mon souhait est que ce soit toi le premier, dans le cas où je crie, n’en tiens pas compte, va jusqu’au bout.
Pour ces raisons, il n’en faut pas plus pour déclencher les hostilités de son gland contre mon cul.Fermement tenue pas les hanches, ses doigts sont plantés dans ma chair. Par conséquent, je ne risque pas d’échapper à mon sort. Alors, il crache une fois encore sur son gland et ma rosace puis se lance à l’assaut de ma petite citadelle. Pour éviter de l’inquiéter, je serre les lèvres pour ne pas crier, de peur de le voir hésiter, son gland bute sur la résistance de ma pastille. Il marque un temps d’arrêt et reprend sa marche en avant. Faisant comme si je voulais déféquer afin de dilater mon anus, cela doit faciliter, car je sens ma rondelle se dilater et le gland de mon géniteur commence à prendre possession de mon rectum. Ce n’est pas si pénible que je le pensais, je ne souffre pas trop parce qu’il prend son temps pour investir complètement la place. Il ne semble pas trop pressé. Papa désire profiter un maximum de ce moment. Chaque centimètre gagné dilate la chair de mon cul. Finalement, j’ai un peu mal, mais rien d’horrible. Alors, je l’encourage à s’enfoncer encore. — Tu es presque à fond mon chéri, continue, vas-y, le cul de ta fille t’appartient, jouis dedans, remplis-le de ton sperme. Sa queue est entièrement en moi, il pratique un léger va-et-vient, le temps que mon cul s’habitue à la présence de sa queue. Je me dilate complètement, il le sent bien, car il ressort quasiment toute la longueur de sa bite, pour la replonger à fond. Son ventre cogne contre mes fesses de plus en plus vite, ses couilles contre le renflement de mon abricot. Ensuite il glisse une main devant et me chatouille le clito, le pince, le tortille, il est bien érigé, il doit bien le sentir entre ses doigts, et en même temps, il me bourre le cul. Là, je commence à partir en vrille. — Tu es bien dans mon cul mon salop, ça te plaît d’enculer ta fille, vieux cochon, désormais je donnerai mon cul à tous, régale-toi en attendant, inonde-moi le cul. Peur-être que ces mots l’excitent, car il se met à me fesser brutalement de sa main libre.Mon tortionnaire me fait chauffer et rougir mon cul bien rond qu’il sodomise avec vigueur. — Petite salope, je vais t’apprendre à bien parler à ton père, ça fait au moins dix ans que je ne t’ai pas donné la fessée. Prends ça, c’est pour toutes celles que tu mérites et que je ne t’ai pas données. Il est vrai qu’il ne m’a pas souvent frappée. En revanche, la dernière fessée, je m’en souviens encore, et celle qu’il est en train de me mettre y ressemble fortement. Mes fesses me font mal, pourtant cela accentue mon plaisir, ma chatte coule, la cyprine dégouline le long de mes cuisses. La queue de mon amant se meut parfaitement dans mon rectum comme si je me faisais enculer régulièrement. Ses doigts sont entrés dans ma chatte, il doit sentir son gland à travers la fine paroi qui sépare mes deux trous. L’orgasme monte en moi, je tortille mes fesses afin qu’il me jouisse vite dans le cul. J’ai envie de le sentir jouir en même temps que moi. Mon amant sent bien que je vais bientôt exploser, il alterne le rythme, rapide, lent, il contrôle bien la situation, soudain quand je commence à crier mon bonheur, mon amant impose à mon cul une cadence effrénée. Son sperme jaillit au fond de mes entrailles, un flot envoyé par sa queue gonflée qui tressaute à chaque giclée. Il parle en hoquetant de plaisir. — C’est superbe mon petit amour, merci de m’avoir donné ce bonheur, être le premier dans un aussi joli cul, c’est divin, je n’oublierai jamais cet instant. Heureuse de lui avoir offert ce plaisir, je m’affale sur les draps, mon père toujours encastré dans mes fesses, son érection perdure dans mon anus. Couché sur moi, il me fait de petits bisous dans le cou qui me font frissonner. Je tourne la tête pour trouver ses lèvres, sa bouche collée à la mienne, je me sens comblée d’être sienne, et de lui avoir accordé la priorité de mes fesses. Un léger frémissement de sa queue se produit dans mon petit passage. Le coquin rebande progressivement, il reste allongé sur moi, et entreprend des allées et venues dans mon anus demeuré ouvert par l’occupation de sa bite dans celui-ci. Sa queue regonfle rapidement. Mon cul doit avoir un pouvoir magique pour avoir fait rebander mon père aussi vite après son éjaculation. Le coquin demeure couché sur moi et me resodomise de nouveau. En riant, je lui dis : — Tu es le deuxième maintenant papa adoré, mon amant vient de m’enculer juste avant toi. Et, l’on rit ensemble. Je ne ris pas longtemps, cette fois plus de douleur, que de la jouissance, son sperme a bien lubrifié mon cul et comme il est déjà en moi, donc pas de distension de mes chairs. Mon cul lui appartient et il en profite comme il le veut. Chose dont il ne se prive pas, il me baratte les fesses sans ménagement. Toutefois, j’accepte avec plaisir cette possession brutale, la réclame même. Je l’incite à franchement se soulager comme il l’entend. Moi j’ai du plaisir, à lui de s’occuper du sien. C’est indépendamment que nous prenons notre pied.Lui m’encule avec force, pour ma part, je suis comblée chaque fois que son ventre et ses couilles se collent avec violence contre moi. Cette fois, je jouis très vite, je ne l’attends pas. La jouissance me secoue de la plante des pieds à la tête, je vibre de tout mon corps, mords les draps pour ne pas hurler. Lui vocifère. — Prends ça dans ton cul petite salope, tu es trop bonne, une vraie folle de bite, chienne, petite enculée. Comment mon père me parle-t-il, je suis bien trop occupée par mon plaisir pour me formaliser de ces injures. Il m’attrape sous le ventre pour lever mes fesses, me colle à lui et se déverse de nouveau dans mon fondement. Papa a retrouvé ses vingt ans le cochon, il gicle à tout-va. Sa queue fait une folle sarabande au plus profond de mon cul comme un tuyau d’arrosage que l’on ne tient pas. Ça va fleurir dans mon cul avec tout ce fertilisant. Soudés l’un à l’autre, on se remet doucement de cette sensation de bien-être, un état semi-comateux. Je n’ai pas envie de sortir de cette douce sensation, la queue de mon père se sépare de mes fesses dégoulinantes des dernières gouttes de jus chaud qui s’étale sur mon cul et mes cuisses. Et, je reviens à la réalité en entendant ma mère me féliciter. — Bravo ma fille, tu as donné ton dernier trésor à ton père, je suis fière de toi, il s’est bien lâché d’après ce que je vois, dit-elle en désignant mon cul qui déborde des deux grosses éjaculations de mon père. Elle prend le jus de mon père et m’offre ses doigts à sucer, ce que je fais avec gourmandise. Maman fait pareil et partage avec moi tout le jus ressorti de mes fesses.Jean et Paul nous observent en se masturbant. Nous t’enculerions bien aussi Océane, déclarent-ils.— Pour aujourd’hui, c’est fini les garçons, je reste sur la sodo de mon papa...