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Les parents d'Océane

Chapitre 9

Inceste
Les parents d’Océane 9
Une bonne nouvelle, maman vient passer quinze jours en Bretagne seule, papa n’ayant pas voulu l’accompagner. C’est un immense plaisir d’apercevoir sa silhouette menue descendre de sa voiture. Maman est vêtue d’une jolie petite robe rouge très courte, qui met en valeur sa jolie peau d’asiatique. De longs baisers, d’étreintes, nous rappellent qu’elle et moi sommes mère et fille, mais aussi amantes. Nos bouches se rencontrent, se redécouvrent, dans un mélange de nos langues et salive. Maman s’écarte à regret et me dit.
— Nous aurons tout le temps pour les câlins ma chérie, aide-moi déjà à décharger mes bagages. Une fois que maman est installée dans sa chambre, elle décide de se doucher, je n’hésite pas à lui proposer de l’accompagner. Une fois sous l’eau chaude toutes deux, l’exploration de nos corps commence, chacune joue avec les seins de l’autre, nos doigts s’égarent dans nos intimités humides non par l’eau, mais le désir. Bien vite je m’agenouille et dévore la jolie petite chatte de Lan (prénom de ma mère voir épisodes précédents). Sa petite moule toute lisse est un régal pour ma langue, son clito se dresse sous mes coups de langue, ce qui me permet de le mordiller, l’aspirer. Elle ne résiste pas longtemps, ses mains se crispent sur ma tête et dans un râle m’asperge d’une cyprine chaude et parfumée. J’attends encore un peu, puis comme d’autre fois, elle se met à faire pipi. J’avale son urine odorante, m’en oint le visage, je suis sa chose. Lan marque ainsi son territoire, j’absorbe jusqu’à la dernière goutte, lui nettoie son petit minou du bout de ma langue en lui frôlant du doigt son petit anus plissé. En se tortillant elle me laisse faire. Cependant, nous sommes arrêtées par le carillon de la porte d’entrée. J’enfile vite mon peignoir de bain et descend pour voir qui vient à l’improviste. Alors, j’ouvre quatre hommes se tiennent sur le pas de la porte.— Police, connaissez-vous un certain Gérard. N, et un Fifi. L ?
Obligée de reconnaitre qu’ils sont de mes relations.
— On enquête sur un cambriolage, où nous les soupçonnons d’avoir participé. On souhaiterait vous interroger, et fouiller votre maison, si vous n’y voyez pas d’inconvénient ?
Comme je suis innocente de tout je les autorise à fouiller, mais sans créer de désordre dans la maison. Maman apparait dans un petit déshabillé transparent, qui laisse les policiers sans voix. Les quatre hommes matent ma mère avec envie, il n’y a pas grand-chose de ses charmes cachés. Ses petits seins pointent au travers du tissu, on devine bien le brun de ses aréoles. La longueur cache à peine son abricot. Un des hommes lui demande s’ils peuvent nous interroger, sans que nous soyons en contact.
Maman leur dit de la suivre dans le salon, ce qu’ils s’empressent de faire, vu que le mouvement qu’elle fait pour se tourner fait voler le bas de la nuisette dévoilant ses adorables fesses. Vu qu’elle n’a pas eu la pudeur de mettre une petite culotte, ils peuvent s’apercevoir qu’elle a un joli petit fessier bien ferme. Ils entrent dans le salon et referment la porte derrière eux. Les deux autres, un colosse noir et un grand échalas roux me propose de nous rendre dans ma chambre. Arrivés dans ma chambre, ils commencent d’ouvrir les tiroirs, le rouquin tombe sur celui de mes sous-vêtements, il admire mes strings, mes soutifs, les montre à son collègue, en lui affirmant que je dois être bandante dedans. Je commence à trouver leur manière un peu cavalière et le leur fait remarquer. Pire quand le noir fouille dans mon tiroir à jouets, contenant mes godes et vibros. Alors, il m’en agite un de belle taille, de couleur noire devant le nez et me confie.
— Tu sais ma jolie que c’est pratiquement ma taille néanmoins la mienne est plus large. Pour le narguer de sa vantardise, je lui réponds en chantonnant.— Paroles, paroles, la chanson de Dalida et Delon.
Vexé, le policier déboutonne sa braguette, farfouille dans son boxer et sort un énorme rouleau de chair, qui est effectivement plus gros que mon gode.
— Alors tu me crois maintenant ? Et, en me parlant, il la fait sautiller dans sa main, ce qui a le don de la faire se redresser.
Puis s’adressant à son copain, il lui demande.
— On pourrait peut-être passer à la fouille corporelle, qu’en penses-tu rouquin ?
— On appelle une collègue féminine, ou avec l’accord de mademoiselle, on le fait nous-mêmes ?
Je crois rêver ces deux connards qui veulent me fouiller au corps, j’aurais tout entendu, je commence à me dire que la fréquentation avec mes deux voyous va me créer des problèmes. Le black qui n’a pas rangé sa grosse queue me raconte qu’avec les femmes il y a des cachettes possibles, et qu’ils doivent m’inspecter de partout. Je proteste, bien que la vue de cette superbe queue qui est dressée me fascine. Le salop s’est aperçu que je porte un certain intérêt à son appendice. Le rouquin s’approche puis sans dire un mot m’ôte ma sortie de bain.
— Elle est bien foutue la complice de ces bandits, s’exclame-t-il.
C’est la première fois que je me retrouve à poil devant deux policiers pervers. Le noir s’avance vers moi et m’ordonne de mettre mes mains sur le mur et d’écarter les jambes. Je trouve leur petit manège bizarre, je leur demande de me montrer leur carte.
— Ne nous fais pas perdre de temps, plus vite tu obéis, plus vite tu seras tranquille.
Bien que je doute de leur qualité de policiers, la situation m’amuse un peu et je me mets en position pour être explorée. Le rouquin me palpe les seins, s’y attarde, roule les mamelons. Je le rassure.
— Ce sont des vrais, il n’y a ni drogue, ni silicone dedans.
Alors, il s’en assure une deuxième fois, tandis que le black m’écarte les fesses et me fait un touché anal. Cette fouille commencer à me plaire. Effectivement, si j’avais caché un objet dans mon anus, cela n’aurait pas pu lui échapper, vu la profondeur à laquelle il fouille. Ensuite s’en vient la fouille de mon minou, le rouquin s’en charge. Un doigt, puis deux, la fouille se transforme en masturbation. Le noir me fait redresser et plaque ses grosses lèvres sur ma bouche. Ce que je me doutais se confirme, ce ne sont pas des policiers. Je ne cherche même pas de savoir qui ils sont, je rends son baiser brûlant au black, comme il n’a pas remballé sa queue, je lui prends et entame une bonne branlette de ce gros pieu noir. Ces deux salops m’excitent, entre le black qui m’embrasse fougueusement en me pelotant les seins, le rouquin qui me masturbe. De plus, la grosse queue qui a presque doublé de volume dans ma main, je n’ai qu’une envie que ces deux soudards me baisent.
Soudain je pense à ma mère seule avec les deux autres dans le salon. Je pose la question au black, vu que le rouquin pour mon grand bonheur a la bouche pleine, aillant entrepris de me dévorer le minou.
— Tu as envie que l’on se joigne à eux, tu es sûre que cela ne va pas déranger ta mère ?
Pourquoi vos collègues abusent de maman ?Le rouquin rigole et me répond que c’est plutôt elle qui abuserait de ses copains vu son air salope. Nous descendons donc à la queue leu-leu, j’ouvre la porte du salon et je vois maman nue chevaucher un des faux policiers en suçant l’autre. Sa nuisette git sur le sol. Alors, elle délaisse un instant sa sucette de chair pour me dire avec son petit accent que j’adore avec des hoquets dans la voix, car elle continue en même temps de s’empaler sur la queue de son destrier.
— Ce sont des amis de ton copain Gérard, il a organisé cette petite sauterie pour pimenter tes relations sexuelles. Il n’avait pas prévu ma présence, normalement les quatre étaient pour toi, j’espère ma chérie que tu n’es pas jalouse que j’en profite aussi un peu ?
La jalousie envers ma mère n’existant pas, nous étant souvent partagés des amants, je lui réponds que s’il y en a pour une, il y en a pour deux. Le rouquin, qui parait le plus vicieux des deux, est excité par le spectacle de maman, qui recommence à sucer son amant. La queue de l’homme brillante de cyprine apparait et disparait dans la chatte de laquelle je suis sortie à ma naissance. C’est une scène qui me ravit à chaque fois. L’homme la tient fermement par ses fesses menues qui disparaissent presque dans ses grands battoirs. Il l’aide à monter et descendre sur son vit. Le rouquin tout en les matant, me pelote les seins, pendant que le black lui m’écarte de nouveau les fesses pour me titiller ma petite rosace. J’avance mon postérieur pour qu’il ait un accès facile à mon petit trou. Un peu de salive sur le doigt puis il le glisse subrepticement dans mon cul demandeur de caresses.
Une fois penchée, j’ouvre le pantalon du rouquin et déballe un sexe garni d’un abondant poil roux, j’entreprends de sucer son dard bien bandé. Sa bite fine et longue, je n’arrive pas à la mettre entière dans ma bouche. Ses bourses s’avèrent grosses ainsi que bien pleines. Occupée par mes deux fans, j’entends soudain maman gémir de plus en plus fort, étant face à elle je peux voir le sperme dégouliner de sa bouche, bien qu’elle semble en avaler beaucoup. L’homme la tient par les cheveux et lui tient le visage collé contre son ventre pour finir de se vider entièrement. Celui sur qui elle s’emmanche la serre au point de lui imprimer les doigts dans la chair de son cul. Il la plaque contre lui vu son rictus ainsi que ses grognements, il s’épanche en elle, lui rempli le vagin d’un sperme abondant, car je le vois ressortir de la chatte de ma mère. Celle-ci pousse de petits cris, comme une souris prise au piège, s’arrêtant seulement quand sa bouche se plaque sur celle de son éjaculateur.
Vaincue par le plaisir, elle s’abandonne sur son amant, bras ballants, visage dans le cou. Le rouquin abandonne mes seins et va la recueillir dans ses bras, pour la coucher au sol, cuisses ouvertes, chatte dégoulinante. Il se couche sur elle qui inerte reçoit son sexe dans la moule, il tire un coup rapide sans se préoccuper si elle a du plaisir ou non. Le noir me dit.
— Un vrai malade celui-là, en prison, c’était pareil, dès qu’il voyait un trou, il l’enfilait, vieux ou jeunes. Tu dois avoir envie ma chérie, ton cul me semble prêt ?
Alors, il me prend par la main et me fait remonter à ma chambre. C’est un réel colosse, lorsqu’il ôte son t-shirt. C’est un corps entièrement tatoué et musclé qui s’offre à ma vue, il n’est pas que musclé du sexe. Il me plait bien cet homme-là. Gérard n’avait pas besoin de ce plan pour que je me laisse faire par son copain, bien au contraire. Pour lui faire comprendre ma soumission, je me comporte en chienne. Ouvrant largement mes cuisses, et après avoir salivé sur mes doigts, je me caresse la fente, l’ouvre pour qu’il voie mon centre d’accueil pour son sexe. L’homme en prend acte, puis sans aucun préliminaire, se couche sur moi, pose son gland entre mes lèvres, commence d’entreprendre une lente pénétration vu la grosseur de son membre. Je suis suffisamment humide pour subir cette violation de domicile vaginal. L’effraction de ma chatte est un doux supplice, malgré, l’énormité de son sexe, l’envahissement de mon vagin, se déroule dans le plus grand délice.
Ainsi, je sens ma chatte remplie dans toute la largeur et longueur. Quelle adorable impression d’avoir le vagin occupé dans tout son espace. Débute alors une chevauchée sauvage et délirante, de grands coups de rein me cloue au lit, son ventre claque sur le mien, ses gros testicules battent mes fesses, c’est du délire dans ma chatte, mon ventre. Je m’accroche à lui, plante mes ongles dans son dos, noue mes jambes autour de sa taille, avec mes mains, je lui agrippe les fesses, fermes et bien rondes. De plus, il m’entraine dans un tourbillon de jouissance, peu commune, un gros orgasme me terrasse, m’anéantissant. Repue, je ne suis plus qu’une loque qui vient de jouir comme rarement. Enfin il se délivre de son trop plein de sperme, jaillissant sur mon utérus remplissant tout mon sexe de ce merveilleux liquide de vie. Sa queue ressort de ma chatte avec un bruit de succion, libérant un flot de sperme dans la raie de mon cul et absorbé par le tissu des draps.
Sa bite est luisante de cyprine, de son sperme qui fait une mousse blanchâtre sur son gland. À demi-molle sa queue est quand même impressionnante. Les yeux mi-clos, je contemple ce bel homme qui vient de m’envoyer dans les étoiles. Vraiment, un bel homme, ses tatouages, ses muscles saillants, un des plus beaux qui ait pénétré mon minou. Je suis en train de l’admirer quand le rouquin entre dans ma chambre, la queue en l’air. Offerte comme je suis, chatte dégoulinante, les petites lèvres encore bien entrebâillées, les mamelons érigés, rien de tel pour lui donner l’envie de me baiser.
— C’est bien la première fois que je baise la mère et la fille de suite, ergote-t-il.
Je ne suis pas en position de refuser, puis-je en ai-je envie ? Bien qu’il soit peu excitant sa queue plaide en sa faveur. Assimilant souvent un homme à sa queue, comme les hommes, ne pensent à nous que comme un trou à combler. Sans même une demande, il me retourne sur le ventre, et se met à me lécher mon œillet, bien qu’il s’avère rempli de sperme, il me l’aspire, insinue une langue pointue, faisant renaitre une envie de baiser en moi. Je comprends bien que sa bite longue et fine va explorer mon rectum. Sous ses ordres, je me mets en position doggy, lui offrant ma croupe bien tendue. Alors, il écarte mes globes, passe sa langue dans le sillon, s’attarde sur mon anus, crache de la salive dessus, puis y introduit d’abord un doigt et deux. Mon cul apprécie cette insertion, avec le sperme tout se passe pour le mieux, aucune douleur. Mes hanches sont saisies par deux mains puissantes, un gland se présente sur les plis de mon anus et projette de le défriper.
L’opération sodomie se déroule parfaitement, aucune résistance de mon cul, vu la finesse du membre qui vient le visiter. Agréablement investie, je me fais enculer avec une exquise sensation.
— Tu es bonne ma salope, ton cul, c’est vraiment meilleur que celui des hommes de la prison, et surtout plus joli. Que je suis bien dedans, je vais bien te le remplir de jute ma petite putain.
Il va et vient dans mon rectum avec force, ses coups de boutoirs me dirige vers un grand enchantement, je me chatouille la chatte en même temps ce qui augmente ma jouissance. Mon enculage est bref, je jouis assez vite, je prends mon pied, pendant que lui me gicle puissamment dans les intestins. Le rouquin reste le ventre collé à mes fesses, le temps de se vider entièrement les couilles. Il reste ainsi un bon moment, je sens les soubresauts de son sexe dans mon cul, et à mon étonnement au lieu de se retirer, sa queue durcit de nouveau dans mon étroit couloir anal. Sodomisée par le même homme deux fois de suite en dix minutes, jamais arrivé. Sa queue semble prendre des proportions encore plus importantes que la première fois, à croire que mon cul est magique. Cette fois, je coulisse sur sa queue, lui se contente de me tenir par les hanches et me laisse manœuvrer sur sa bite. Je m’enfonce le plus profondément possible, il occupe bien mon cul.
Quand je me renfonce dessus, je le fais en tortillant ma croupe pour, lui faire un effet tire-bouchon sur la tige. Le rouquin apprécie mon initiative, vu ses commentaires graveleux.
— Salope Gérard ne m’a pas menti, tu es une folle du cul, continue pétasse, j’adore.
Ses encouragements m’excitent, je me donne à fond et le résultat ne se fait pas attendre, je jouis en même temps qu’il m’inonde le fondement. Mes intestins sont remplis de son sperme épais ainsi que généreux. Le black me voyant jouir de m’être fait enculer pousse le rouquin puis sans aucune précaution me plante son gros dard dans le cul. Vu la différence de calibre, je me cabre sous la douleur provoquée par son énorme bite. Heureusement que mon orifice anal est plein du jus du rouquin, sinon j’étais défoncée. Mon entrée de service s’adapte vite à ce gros morceau de viande et commence même à l’apprécier. La différence de calibre me distend les chairs, faisant de mon cul un trou à plaisir. Le black s’active, me claque les fesses, les faisant chauffer, les insultes pleuvent. Allant de compliments sur ma façon de me faire enculer, à des propos me comparant à la reine des prostituées. Je n’en ai cure, je jouis intensément, c’est tout ce qui compte.
Le black ne s’occupe pas de moi et m’encule de toutes ses forces, manquant de me faire cogner la tête au mur. Chacun jouit sans s’occuper de l’autre, c’est sauvage, presque une question de survie. Jouir devient comme respirer, une nécessité. L’orgasme me fait trembler tout le corps au moins sept sur l’échelle de Richter. Lui se vide abondement dans mes boyaux, un vrai lavement au sperme la sodo de ces deux hommes. Les deux compères me disent qu’ils descendent voir ma mère prendre plein la moule par leurs deux amis, et me proposent de les accompagner. Dégoulinante de mes deux orifices, je me lève provoquant de larges trainées de foutre qui coulent le long de mes cuisses, puis sur mes jambes. Je ne prends même pas la peine de m’essuyer, pressée de regarder, où en est ma douce maman. Déjà au bas des escaliers, je l’entends gémir et prononcer des mots en vietnamien, signe comme je l’ai narré précédemment d’une grosse jouissance pour elle.
Le spectacle est sublime, imaginez ce petit corps mat entre deux, gros hommes rempli de gras et poilus, comme des singes. Elle en chevauche un et contrairement à ce que je croyais au départ, l’autre ne la sodomise pas, mais est aussi dans sa chatte. Les deux queues lui ramonent le vagin. Ma mère m’étonne toujours, comment un petit bout de femme comme elle peut se laisser envahir son si petit minou par des grosses queues. Un mystère de la nature. Appuyée sur le torse velu de ses petites mains, elle donne de violents coups de rein, dirigeant elle-même la cadence. Celui qui est derrière elle en profite pour lui glisser son pouce dans le cul, apparemment ils ont dû la sodomiser, car du sperme sort de son petit œillet chaque fois que son doigt ressort. Les deux hommes se laissent besogner par ma mère, la traitant de tous les noms, les insultes excitent les hommes, mais également quelques femmes, ce qui est le cas de ma mère et moi.
Ses petites fesses rondes sont malaxées par de grosses mains, qui parfois la fessent. Je ne peux m’empêcher de me caresser la minette en la voyant jouir, j’adore la voir empaler par de grosses bites. Des mains s’égarent sur mes fesses ainsi que mes seins, je me laisse tripoter tout en me caressant le clito de plus en plus vite, je ferme les yeux un instant. Des spasmes me secouent une nouvelle fois, laissant couler de belles giclées de cyprine. Mes deux hommes qui me tripotent prennent le jus à la source et me font lécher leurs doigts. Le goût du sperme et de ma mouille sont un délice. Les deux baiseurs de ma mère n’en peuvent plus et rendent les armes en lui inondant la chatte de jolies giclées qu’elle accueille avec un bonheur évident. Une fois tout vidé en elle, ils la repoussent et je vois leurs queues toutes ramollies, sortir de la minette de maman qui a su gagner la bataille. Elle gît sur le tapis, largement écartée, le sperme sort d’entre ses lèvres dilatées.
Alors, je me couche entre ses cuisses et m’abreuve de sa jouissance et de celles de ses deux amants. C’est odorant, gouteux, j’aspire tout le jus que je peux de sa chatte, prolongeant sa jouissance. Comme chaque fois, un flot d’urine m’asperge le visage, me remplit la bouche, je ferme les yeux pour ne pas en recevoir et attend que le flot se tarisse. Les quatre hommes sont émerveillés de la scène qu’ils viennent de voir, la fille qui dévore la chatte de sa mère, le fantasme de nombreux mâles. Le visage barbouillé de tout, le liquide, urine, sperme, mouille, je me relève, aussitôt, les hommes m’embrassent tour à tour, pour déguster un peu de ce délicat mélange qui me colle à la langue, Gérard nous a fait un beau cadeau.
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