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Les parents d'Océane

Chapitre 10

Mon oncle et mon neveu jouent avec moi

Inceste
Les parents d’Océane 10
Mon oncle Alfred, jumeau de mon père, est un homme jovial, qui n’a pas la même hygiène de vie que mon papa, il est bon buveur, gros mangeur, donc une quinzaine de kilos de plus que mon père adoré. Cependant, son côté Gargantuesque, ne lui enlève en rien un certain charme, dû à son appétence sexuelle impénitente, pour ça ils sont pareils aussi. Malgré ses soixante-deux ans, il reste charmeur et demandeur. Divorcé récent, sa femme l’ayant surpris en train de copuler avec sa meilleure amie. J’adore tonton, il a toujours été gentil avec moi, même quelques fois un peu beaucoup, ses mains baladeuses, lorsque mes formes se sont arrondies. Mes fesses ont souvent eu de petites tapes qui s’attardaient sous prétexte de jouer, comme les chatouilles qui finissent plus sur mes seins que sous les bras. Tonton vient avec mon neveu Robert, Bob pour la famille, le fils de mon cousin, Éric, dix-huit ans depuis quinze jours, un peu renfermé, pourtant beau garçon, mais un manque d’assurance évident.
Vu le divorce, tonton, avec l’accord de mon père, va s’installer un moment le temps de trouver une maison. Sur le coup de midi, j’entends les pneus crisser sur le gravier de l’allée, avec plaisir, je le vois descendre de la voiture. Il a encore pris quelques kilos le coquin, mon neveu le suit, il a encore grandi, un mètre quatre-vingts environ. Plutôt bien le neveu. Je saute au cou de mon tonton qui en profite pour me soulever en me tenant les fesses à pleines mains, ma jupe étant très courte, il a les mains sur ma peau. Habituée à son amour tactile envers moi, je lui fais juste un "Oh tonton". Alors, il rigole et me repose au sol, j’embrasse mon neveu au coin des lèvres. Bob ne se dérobe pas, il rougit, sa peau mate, est plus claire que la mienne. Pour l’achever, je le colle bien contre ma poitrine, il sent sûrement la chaleur de mes seins, ne portant pas de soutien-gorge. Il se liquéfie le pauvre chéri, mon oncle qui a repéré mon manège m’adresse un clin d’œil.
Ainsi, je les prends tous les deux par la main et les entraine au salon. Mon neveu Bob prend place dans un fauteuil et tonton sur la banquette, la tapotant pour m’inviter à m’assoir près de lui. Mon neveu désire un coca, mon oncle comme moi est pour le champagne. Assise près de lui, nous discutons et je vois le regard de mon neveu, fixer mes jambes, effectivement, ma jupette est remontée au ras de mon string et la vue doit lui laisser deviner le renflement de mon abricot. Il lève les yeux et voit que je le regarde, aussitôt son visage s’empourpre. Pour le provoquer, j’écarte un peu plus les cuisses, il trouve un prétexte en me demandant où se situent les toilettes. Pour rire, je lui demande s’il veut que je l’accompagne, il refuse. À peine s’en est-il allé, que tonton me dit.
— Tu es plus belle chaque fois que je te vois ma chérie. Il me saisit un sein en m’affirmant que ça pousse bien et que c’est bien ferme.
Alors, je le laisse un court moment profiter de mes jolis et copieux seins, et je lui retire la main en douceur. Tonton ne recommence pas, car mon neveu revient, il a de petits yeux. Ma pensée coquine me souffle qu’il a peut-être secoué popol en pensant à sa taty favorite. Je leur propose de monter leurs bagages, dans leur chambre respective. Mon oncle oublie volontairement la galanterie, et me laisse passer devant. Assurément, mes fesses ne vont plus avoir de secret pour leurs yeux, je ne me retourne pas devinant les regards appuyés sur mes deux globes. Alors, je tortille un peu plus que nécessaire ma croupe et prends mon temps pour monter à l’étage. Arrivés devant leur chambre, je vois mon tonton les yeux exorbités, pas un instant, je pense que la courte ascension puisse l’avoir fatigué à ce point. Ma petite famille s’installe, puis je dis à tonton que je vais me doucher avant de passer à table. Il me glisse à l’oreille.
— Veux-tu que je te frotte le dos ma nièce chérie ?
Tonton commence d’énerver mes sens ce coquin, un mois que je n’ai pas accueilli d’hommes entre mes cuisses. Pas par manque de propositions, une semaine mes règles, plus beaucoup de travail, car mon directeur/amant n’étant pas là, je dois assurer au bureau. Le soir, je suis fatiguée et pas le cœur à la bagatelle. Là, deux mâles à portée de chatte, de quoi affoler mon petit minou, qui lui réclame de la queue. En prenant ça comme une plaisanterie, je lui réponds.
— Pourquoi pas tonton, petite, tu changeais mes couches, tu as souvent vu mes fesses.
Sur ces mots, je me rends à la douche sans refermer la porte de la salle de bains.Ma mise à nu est rapide, juste ma jupette, mon croc et mon string. Je m’admire un instant devant le miroir. Alors, je tourne sur moi-même afin de voir tous les côtés de mon corps, je me trouve parfaite, mon égo est surdimensionné, peut être parce que je n’ai aucun mal à séduire les hommes qui me font envie ? Un plaisir que de sentir l’eau brûlante asperger mon corps, les yeux fermés, j’étale le gel douche sur toutes les parties de mon anatomie, lorsqu’une voix que je connais bien me propose.
— Tu veux que je t’aide ma chérie ?
À ma grande surprise, tonton se tient devant moi en tenue d’Adam, ne me laissant pas le temps de répondre, il me prend le gel des mains et m’en enduit le dos.
— Tu exagères tonton, je ne suis plus une petite fille, j’ai besoin d’intimité.
Il m’assène le coup qui tue, il me murmure presque dans l’oreille.
— Tu sais ma chérie, j’ai partouzé beaucoup avec tes parents, avec ton père, on s’est fait ta mère à deux avant même leur mariage. Pour ma part, les orifices intimes de ta maman n’ont plus aucun secret, un moment, on a même cru que tu étais ma fille, puis on a fait des tests ADN. Ainsi, tu es bien la fille de ton père, il m’a même avoué qu’il a été le premier à te prendre le cul. Un beau cadeau que tu lui as fait, alors ne sois pas farouche avec moi, regarde comment tu me fais bander.
Surprise que mon père lui ait tout révélé sur nos relations sexuelles, je baisse les yeux sur son sexe. Oh my God, son sexe s’avère jumeau avec celui de mon père, épais et long, s’il n’avait pas eu son gros ventre au-dessus. Je l’aurais confondu avec le sexe de papa. Sa main entame la palpation de mes fesses, s’assurant de leur consistance. De sentir sa queue tendue contre mon ventre, me procure un certain trouble, accompagné d’une érection de mon clitoris. Étant incapable de gérer mon excitation, je laisse tonton visiter mes charmes. Les mains posées sur ses épaules, j’écarte les jambes pour le laisser examiner l’humidité de ma chatte qui n’est pas due à l’eau de la douche.
— Ton père a raison, il ne faut pas grand-chose pour faire mouiller, ton joli minou, il parait que tu es une orfèvre pour les fellations. Veux-tu me montrer ma petite Océane chérie ?
Je minaude, jouant la timide, mais il n’est pas dupe, papa a dû lui raconter toutes mes parties de fesses. Prudente, je lui conseille de fermer la porte de la salle de bains.
— Pourquoi, as-tu peur que Bob nous voit, pourtant tu l’as bien allumé tout à l’heure, cela m’étonnerait qu’il reparte puceau d’ici.
Ce qu’il dit ne m’intéresse pas, plutôt son doigt qui effleure ma fente qui me fait frissonner, le léger duvet de mon corps se dresse. N’y tenant plus, je m’accroupis et happe son sexe noueux, veiné comme j’aime entre mes lèvres. Tonton se raidit, me prend la tête et se met sans plus de tendresse à se servir de ma bouche comme celle d’une poupée gonflable. Il me baise la gorge ce vieux cochon. Alors, je le tiens par ses fesses molles, et le laisse coulisser allégrement dans ma bouche. Mon adorable tonton ne met pas longtemps pour exprimer son plaisir.
— Tu es bien la folle de bites que ton père me disait, je le croyais à peine maintenant, j’en suis convaincu. Suce bien ma puce, tonton va te faire goûter son sperme.
J’ouvre les yeux un court instant, et dans la porte entrebâillée se tient mon neveu Bob, qui se caresse par-dessus son pantalon. Le jeune cochon, je me le réserve pour plus tard, à présent, c’est le tour de mon oncle. Avec un flot d’insultes, tonton se libère dans ma bouche innocente. Est-ce qu’il n’a pas joui depuis son récent divorce, ou bien la quantité habituelle, toujours est-il que je m’étouffe sur les premières giclées de sa semence ? Il m’a collé la tête contre son gros ventre velu, et se vide allégrement dans ma gorge, ses jets s’écrasent sur mes amygdales, je tousse. Imaginant qu’il m’envoie le trop plein directement au fond de l’estomac. De mes mains, je le repousse pour reprendre ma respiration et recracher le surplus qui coule sur mes seins. Un regard vers la porte, Bob a disparu.
— Dis-moi tonton, cela fait combien de temps que tu ne t’es pas vidé les bourses ?
Benoitement, il me répond.
— Ma nièce chérie, sache que je me masturbe ou baise au quotidien, je ne passe pas une journée sans le besoin de renouveler mon sperme. Je t’ai envoyé la quantité habituelle.
Bien que mon père jouisse beaucoup, là tonton le bat. Le repas servi par mes soins, pizzas livrées, étant moins bonne cuisinière que coquine. Mon neveu ne me quitte pas des yeux, et quand je plante mon regard dans le sien, en lui souriant, puis passant ma langue sur mes lèvres, comme pour enlever les miettes de pizza, il cède et baisse les yeux. J’imagine la bosse qu’il doit avoir dans son boxer. Mon oncle observe le petit jeu auquel je me livre du coin de l’œil. Le repas fini, mon neveu n’est pas pressé de quitter la table, je devine pourquoi, il doit bander comme un taureau le bougre. De peur de le gêner, je n’insiste pas et me rends au salon avec mon oncle qui désire un petit digestif.
— Tu l’allumes bien ton neveu Océane, nourriras-tu des projets pervers avec lui ?
Je suis franche avec mon oncle adoré.
— Le mettre dans mon lit ou aller dans le sien, ne me déplairait pas, Bob me plait bien, assez mignon et d’après le renflement de son jeans bien équipé. Pourquoi serais-tu jaloux ?
Tonton me rassure.
— Absolument pas, surtout que tu peux satisfaire deux hommes et plus selon ton père, je pense même que de le voir te baiser m’exciterait beaucoup. Si de savoir que je te mate ne te bloque pas ?
Je le rassure que de savoir qu’il nous mate serait même du genre à m’exciter, ensuite même nous rejoindre quand j’aurai fini le jeune homme. La journée se passe tranquillement, bronzette dans le jardin, pour ma part seins nus, Bob jette un petit coup d’œil de temps à autre quand il pense que je somnole. Vu la chaleur, je propose de piquer une tête dans la piscine, tonton est le premier à être dans l’eau. Je le rejoins, Bob plonge plus loin que nous. Ainsi, je m’amuse à arroser mon oncle qui me menace de me baisser mon bas de maillot. Ce à quoi je lui dis qu’il n’osera pas. Tonton s’enfonce sous l’eau, s’approche de moi et avec ma complicité m’enlève mon bas puis le fait tourner au-dessus de sa tête en poussant des cris de victoire. Bob, cet hypocrite, se met à nager sous l’eau, pour avoir une vue de mes fesses ainsi que ma minette. Tonton en profite pour me peloter les fesses ensuite jeter mon bas sur Bob qui refait surface au bord de l’asphyxie.
Il le reçoit en plein visage et me demande si je souhaite qu’il me le rende.
— Ça te gêne de me voir nue, questionnai-je innocemment ?
Bob bredouille que nenni et envoie mon bas sur le bord de la piscine. Ainsi, nous barbotons encore un peu, j’échappe mollement au pelotage de mon oncle en me réfugiant dans les bras de Bob, qui ne sait pas quoi faire, me serrer contre lui ou me repousser. Il reste bras ballant, je sens son sexe se redresser contre mon ventre, j’en profite pour frotter mes seins contre son torse lisse et musclé. Bob s’échappe, il ne nage pas sur le dos, son périscope est sorti. Tonton rigole, en me disant de venir contre lui, je m’approche de mon parent et glisse une main sous l’eau, il est dans le même état que Bob, mais lui ne fuit pas. De ma main gauche, je ne pense pas vous avoir déjà dit que je suis gauchère. Mon oncle se laisse masturber tout en me tripotant un sein et léchant l’autre. Mon téton apprécie la pression qu’il exerce avec deux doigts, le pinçant assez fort pour me faire un peu mal ce qui a le don de m’exciter grave.
Bob nous observe de son transat, malgré ses lunettes de soleil, je le vois bien nous mater. Il est bizarre ce jeune homme, je lui plais, visiblement il a envie de moi, son érection en est la preuve, mais il n’ose pas se laisser aller à ses envies. Mon oncle continue de me tripoter, il me doigte habilement la chatte, alternant le roulement de mon clito tout en ayant mis deux doigts dans ma tirelire. Le traitement marche bien, je le clame en faisant un lâcher de cyprine sur sa main, alors que lui me traite de gourgandine, en expulsant son abondant liquide séminal qui remonte à la surface en petits nuages laiteux. Il souffle comme un phoque mon amant de piscine. Mon oncle regagne le bord d’une démarche hésitante, il a les jambes molles et pas que.....
Mon oncle prend Bob par les épaules, puis ils parlent entre eux, ensuite tous deux rentrent dans la fraicheur de la maison. Nue et humide, je demande un volontaire pour m’essuyer. Bien sûr, tonton se propose vite, mais je tends la serviette à Bob. Mon neveu hésite à la prendre, tonton lui demande.
— Tu n’as jamais touché le corps d’une femme, ça ne mord pas, même sa chatounette est docile.
Comme il ne se décide pas, mon oncle saisit la serviette et commence de me sécher. Vous devinez bien que son action consiste à me peloter toutes les parties intimes. Mes seins sont plus que secs, pour mon minou, le clito puis les petites lèvres, cela tient plus de la masturbation que de m’essuyer. Bob nous observe, les yeux mi-clos, je vois son maillot de bain se tendre. Mon oncle s’aperçoit aussi que Bob bande comme un cerf en rut. Tonton s’adresse à lui.
— Pas envie de toucher ta tante Bob ? Tu devrais, elle a de superbes seins, quant à son cul, un monument classé historique. Est-ce que tu as déjà eu un si beau corps à portée de bite ?
En bégayant, Bob reconnait que si je n’étais pas sa tante il se ferait un plaisir de palper mes charmes.
— Oublie la parenté, pense que c’est une jeune femme qui est d’accord pour que tu abuses de son corps, dans l’éventualité où tu ne la baises pas maintenant, toute ta vie tu le regretteras. Regarde cette belle chatte.
Joignant le geste à la parole, tonton écarte la serviette, et du bout des doigts ouvre les lèvres de ma minette, offrant le rose profond de ma vulve à la vue du jeune coquin. Bob n’y tient plus, oublié que je suis sa tante, il me saute dessus, me renverse sur la banquette, sort son zob et me le plante sauvagement dans ma petite moule humide. Merci à elle de mouiller si vite sinon ce jeune salop m’aurait arraché les chairs internes de ma case du bonheur. Je n’ai même pas le temps de m’exciter que déjà son jus remplit mon puits d’amour, j’ai l’impression que son sperme n’en finit plus de jaillir au plus profond de moi. Alors, j’attrape ses fesses bien fermes et le garde collé contre moi. Bob ne se débat pas, un peu vexé d’avoir joui si vite. Je le rassure en collant ma bouche à la sienne, ma langue s’active autour de celle-ci, enfin il s’empare de mon sein gauche puis le malaxe maladroitement.
De plus, j’ai tellement envie de jouir avec lui que je le repousse, le faisant mettre sur le dos, je laisse sa bouche pour lécher son gland gluant de sperme et de ma sécrétion vaginale. Ma langue et mes lèvres nettoient son gros dard au ramolli, merveilleuse jeunesse, quelques coups de langue suffisent à réanimer le serpent au repos. Je vois sa belle verge doucement se redresser pour atteindre une taille bien supérieure à la moyenne. Mon oncle, assis dans un fauteuil, nous regarde, sirotant une coupe de champagne en se masturbant, lentement. Bob a maintenant son baromètre au beau fixe. Fièrement dressé, il est superbe. Enjambant mon neveu, je présente ma chatte à Mister gros zob. L’œil du cyclope observe ma chatounette, la provocant, je décide de lui faire baisser son regard, écartant mes petites lèvres, je l’encapuchonne, le faisant disparaitre dans mon vagin bien ouvert. Minutieusement, je le fais glisser au plus profond de moi.
Quel bonheur de sentir cette grosse masse de chair écarteler mon intérieur vaginal. Arrivée à ses bourses, il ferme les yeux, m’agrippe les fesses et plantant ses doigts dans mes rotondités, entame un mouvement d’ascenseur, position de monter, descendre. Je me confie entièrement à sa manœuvre, je coulisse aisément sur son pieu. Chaque fois qu’il me fait redescendre, je sens son gland frôler mon utérus. Tonton s’est glissé derrière moi, il me fait pencher plus en avant sur le torse de Bob, il me lèche mon œillet. Vu le sursaut de Bob, je suppose qu’il en profite pour sucer un peu les bourses de mon empaleur. J’ignorais tonton bi. Bob a l’air d’apprécier, il se fait encore plus dur dans ma vulve. Un long baiser, nos bouches se réunissent, le genre de kiss ravageur, celui qui irradie tout un être. Cela me rappelle mon premier baiser encore ado quand un mature m’avait embrassé, me faisant inonder ma petite culotte.
Bob, abandonne ma bouche de temps à autre pour mordre mes mamelons érigés. Mon oncle profite de ma position, fesses offertes, pour poser son gland sur ma rondelle, je m’arrête de bouger, bite de Bob enfoncée profond, afin que tonton se fixe sur ma pastille et entame sa pénétration anale. Je suis assez excitée et ouverte pour prendre sa queue dans mon joli cul, après avoir forcé l’entrée un court moment, je me dilate et sens la belle queue avunculaire occuper mon rectum. Les deux bites en moi, je suis trempée, je coule sur les baloches de Bob. Commence alors la chevauchée fantastique de mes deux envahisseurs. Je ne suis pas comme David Vincent dans la série bien connue, je ne cherche pas à les chasser, plutôt à me laisser envahir pour l’éternité. Les deux coquins vont et viennent dans mes orifices entièrement ouverts à leurs désirs.
Leurs chibres ont raison de moi, je décolle, leur crie mon amour et submergée par un terrible orgasme, celui qui me fait presque m’évanouir, je reçois leurs oboles dans mes trous conquis. Les jets chauds, épais, abondants, ravagent boyaux et vagin. Un tsunami de sperme me fait hurler de plaisir. Je m’avachis entre mes deux parents adorés. Le sperme familial retourne à la famille, on se le transmet de génération en génération, l’inceste est un héritage dans notre famille, vu ma vie, je le constate. Mes deux envahisseurs, satisfaits de leur prestation, me donne une tape sur les fesses et vont arroser leur exploit. Après avoir pris une bonne douche, je redescends pour constater que les deux gaillards en sont à leur seconde bouteille de champagne. Cela rigole, ils commentent mes dons sexuels, la qualité de mon cul ainsi que ma chatte, que je suis une super suceuse, tout mon curriculum y passe. Ils me considèrent comme la plus salope de la famille.
Me voyant arriver, ils se taisent, puis ils me demandent si j’ai eu mon compte.
— Vous plaisantez mes chéris, c’est seulement l’apéritif, vous avez déjà les boules vides ?
À mon grand étonnement, Bob s’adresse à moi de façon vulgaire, sûrement un excès d’alcool.
— Encore envie de prendre ma grosse queue dans ton minou taty chérie, tu as aimé ça ma salope, tu criais comme une truie en chaleur.
Je m’approche de lui, et alors qu’il veut me peloter la chatte, je lui assène deux gifles à lui décoller la tête.
— Dis donc petit con sache que pendant la baise, tu peux prononcer tout ce que tu souhaites, mais en dehors tu me respectes.
Bob est dégrisé d’un seul coup. Ses joues sont rougissantes par les gifles et la vexation.
— Excuse-moi Océane, je suis confus, c’est la première fois que je fais l’amour avec un colis comme toi, je me suis laissé aller.
Comme je ne suis pas rancunière, je m’assois et lui dis.C’est bon, j’oublie, fais-toi pardonner en me broutant le minou.Il me fait un smack et s’agenouille devant moi, j’ouvre grand mes cuisses et lui promets que s’il me fait bien jouir, il aura possession de mon petit popotin.Sa langue attaque mon clito d’office, tandis que ses doigts rentrent facilement dans ma fente encore béante. ce petit traitement me convient parfaitement. Tonton me demande.
— Ta petite bouche me semble bien vide ma nièce adorée. Ne souhaiterais-tu pas t’occuper de ma bite pendant que Bob te broute ?
J’accède à sa requête, je me penche et accepte la queue molle qu’il m’offre pour la ressusciter. J’aurais dû être charmeuse de serpents, en quelques coups de langue sur son pénis et ses grosses boules, le boa se déroule. J’aime ce spectacle d’une queue molle qui se met à bander se redressant comme une fleur éclot surtout que tonton en a une qui est le sosie de celle de papa.Dans mes pensées coquines, je pense qu’un jour, il leur faudra me baiser tous les deux ensemble. Comme j’ai la bouche occupée, j’attendrai pour le dire à mon oncle. le vieux salop de tonton bande comme un cerf à la saison du rut en septembre. Je me régale de ses gouttes pré-séminales, je m’amuse à en faire des filets translucides qui vont de ma langue à son méat. les filets cassent et se collent à mon menton. Bob s’occupe fort bien de ma chatte au point de me faire jouir une première fois, tonton s’en aperçoit, car je lui mords le gland et serre les boules un peu fort.
— Salope, sois prudente, tu vas me châtrer, je tiens à te bourrer encore la chatte ma pute préférée, tu es bien meilleure que ta mère.
Je prends cela comme une décoration, car maman est une baiseuse de première, une redoutable dresseuse de serpents.Bob, bien que j’aie joui, continue son broutage, mais cette fois avec deux doigts qui explorent mon ex petit trou depuis la sodo de mon oncle. Il enfonce entièrement ses doigts, il me branle fort l’anus tout en mordillant mon clito. Mon oncle commence à m’appuyer sur la tête, son gland touche mes amygdales, il me maintient ainsi et douche le fond de ma gorge par une splendide éjaculation. Le goût de son jus est identique à celui de mon père, très gouteux. Mon oncle laisse sa queue dans ma bouche jusqu’à la débandaison totale. Ainsi pas une goutte ne m’échappe, sa queue recroquevillée sort de ma bouche, il se lève et nous fait part de son intention de se reposer. Au passage, il frotte sa bite sur le visage de Bob qui ne se dérobe pas, il flatte même les couilles de mon oncle qui se laisse caresser, j’ai hérité de deux bi, cela pourra être intéressant plus tard.
Mon oncle parti Bob m’ayant fait jouir deux fois en broute minou accompagné de ses doigts fureteurs dans mon cul exige son dû. Je lui dis que dans la chambre on sera plus à l’aise, il a la queue dressée contre son ventre, elle dépasse son nombril. je commence à regretter de lui avoir promis mon cul, trop tard pour reculer, une parole doit être tenue. le temps de monter à ma chambre les mains de Bob n’ont pas quitté mes fesses, si j’avais accepté le neveu m’aurait sodomisé dans l’escalier. Mes fesses ont vraiment du succès. Pas de temps mort avec le jeunot, à peine dans la chambre, je suis poussée sur le lit, il s’abat sur moi, me mord, me lèche toutes les parties de mon corps, ayant réussi à lui saisir le sexe, je le laisse me dévorer en le masturbant lentement. Il a faim le jeune salop, j’ai l’impression qu’ils sont plusieurs à me lécher. Puis Bob me rappelle que je dois lui donner mon cul et m’incite à me mettre en levrette.
Vite fait, je lui présente mes fesses, tête dans mes bras croisés, j’attends qu’il utilise mon postérieur gentiment offert. Sans préliminaires, il colle son gland à ma rosace, envoie deux trois crachats sur mon trou et sa queue, estimant que cela suffit pour me lubrifier, Bob entame une solide poussée sur ma pastille. Je lui dis de se calmer, mais autant parler au mur. Bob me saisit par les hanches et continue sa tentative d’effraction de ma petite maison. Le jeune loup arrive à forcer la porte et je sens son gland progresser dans mon rectum, Bob en rugit de plaisir et recommence à m’insulter.
— Alors pouffiasse, tu en avais envie de ma bite dans ton cul de chienne, toute la famille a dû te passer dessus salope.
Comme je l’ai autorisé à prononcer ce qu’il veut en pleine action, je n’en tiens pas compte et me concentre surtout sur son gros gland qui me fouille l’intestin, ce jeune porc a des attributs dignes d’un film X, Rocco peut aller se rhabiller, mon neveu a des arguments frappants. Enfin son ventre se colle à mes fesses, vingt-sept centimètres homologués dans le croupion. Le premier homme qui aille explorer ma Lune aussi loin. Il reste collé à moi, et m’agrippe les seins, il me pince les mamelons si fort que ses doigts doivent se toucher, de m’entendre hurler l’excite encore plus, il reprend ses propos désobligeant sur mes tendances sexuelles.
— Petite pute, quand tu as une bite dans le cul, tu fais moins la fière, je comprends que tonton était pressé d’arriver. Il avait hâte de t’enculer et se vider les couilles dans tes trous de chienne en chaleur. Je suis vraiment bien dans ton cul taty.
Il sait que je déteste quand il m’appelle taty. Cependant, je me réjouis d’avoir une bite comme la sienne dans mon cul, je n’émets aucune protestation. Il se retire provocant un petit pet de ma part, avec un engin comme le sien, sûr qu’il a rentré de l’air. Pour me punir, il me met une forte fessée. Les fesses me chauffent, il me domine vraiment le petit timide, d’avoir tiré un coup avec moi, lui a donné l’assurance d’un jeune caïd.Je le supplie même de remettre sa queue au plus profond de moi. Il me fait languir, puis quand je ne m’y attends plus me remet sa baguette au four. Il me fait souffrir, ça l’amuse, il a des envies sado-masos ce jeune homme. Il me fouille dans tous les recoins de mon cul, il s’enlève pour m’enfiler la chatte. Il va d’un trou à l’autre à un rythme infernal. Il cachait bien son jeu, il a de l’expérience. je suis toute à lui, il peut me demander ce qu’il veut à cet instant. Je deviens sa chose, il s’adresse de nouveau à moi.
— Ça te plairait taty que je te fasse partouzer par des potes, une salope comme toi n’est plus à une bite près, promets-moi que tu m’accorderas une soirée dans laquelle tu seras la pute de la nuit, une bonne botte de bites pour ton cul et ta chatte.
Comme je ne lui réponds pas, il s’arrête net de me baratter les orifices, j’ai beau lui demander de continuer. Il refuse et me redemande si je suis ok pour une soirée cul avec ses copains. L’envie qu’il continue est trop forte, finalement je ne vais pas me gêner avec ce godelureau, un mensonge ne coute rien pour arriver à mes fins, sans doute il abuse de la situation. Donc, je lui mens et lui promets d’être à tous ses copains pour une soirée. J’irai me confesser plus tard à l’église, le prêtre me comprendra. Mon mensonge paie, le gredin recommence à me baratter les deux trous violemment, il veut jouir, mais également me punir. C’est très violent, mais j’aime ça. En m’entendant crier, il pense que je souffre, alors que c’est le contraire, je jouis comme une folle, son énorme dard me transperce en déclenchant dans tout mon corps de terribles secousses.
Bob en plus de sa grosse queue enfile son pouce dans mon cul, croyant accentuer la douleur, et à son grand dam au lieu de cela je gicle des jets de cyprine comme si je faisais un énorme pipi. Ma jouissance provoque de la colère en lui, et plus il me fesse, plus celle-ci s’accentue. Il est ivre de rage, il me retourne et m’oblige à ouvrir la bouche dans laquelle son gros zob s’enfonce, m’étouffant. Puis, il se met à me gifler d’une main tandis que de l’autre, il m’étrangle. Son sexe ne peut pas rentrer entièrement dans ma bouche, il touche le fond de mon larynx et il en reste encore un bout dehors. Appuyé sur mes amygdales son gland se fait pressant. Je lui frappe le torse, mes forces déclinent, un voile noir, puis rouge, passent devant mes yeux. Je cherche de l’air, puis plus rien je sombre. Quand je reviens à moi, Bob me regarde bizarrement, ses beaux yeux sombres me scrutent. Je me sens toute molle, relâchée comme dans un état gazeux.
— Alors taty bien jouis ma jolie salope, jamais je n’ai vu une nana jouir comme toi. Un vrai torrent de cyprine.
Effectivement, en me redressant péniblement, j’aperçois les draps entre mes cuisses, c’est inondé, comme s’ils sortaient du lavage.
— Tu as l’air d’aimer ça, te faire dominer, quand je t’étranglais, tu as giclé comme une fontaine, vraiment tu es une chienne, tu accepteras d’être ma soumise pour des soirées spéciales ?
Moi qui le prenais pour un puceau refoulé, je tombe des nues, ce petit con est un dominateur doublé d’un sadique. Il a bien caché son jeu devant mon oncle.
— Maintenant que tu es revenue, je vais me finir, Cela aurait été dommage que tu manques ça. Remets-toi à quatre pattes que je finisse de t’enculer. Surprise, je préfère obéir, je me repositionne le cul en l’air, mes fesses sont douloureuses, ce salopiot ne les a pas ménagées. ma rosace doit être encore bien ouverte, car quand il me renfile sans douceur, je ne souffre pas. Le traitement qu’il m’a infligé a dû me mettre en condition, car au bout de quelques aller-retour le plaisir renaît en moi. j’exprime mon plaisir par des onomatopées. Il semble satisfait, car il devient plus doux.— Je suis bien dans ton cul, je n’ai jamais eu autant de plaisir avec une femme, je ne me tape que des petites connes qui ne veulent même pas donner leur cul ou avaler mon sperme, au moins toi tu es une vraie femme, une salope qui aime tout. C’est divin ma chérie, je ne vais pas tarder à t’inonder le cul.
Alors que je prends de nouveau mon pied avec ce gourdin qui se promène dans mes boyaux, je le sens se crisper, geindre et gicler telle une lance d’incendie me remplissant les intestins un vrai lavement. jamais je n’ai reçu une quantité pareille de foutre dans le cul, il est inhumain mon neveu, il vient d’une autre planète. Je reçois tout son jus, qui déborde, me coule le long des cuisses, se mêle à ma mouille sur les draps, de nombreux spasmes secouent son sexe en moi, envoyant du jus à chaque secousse. J’en pleure de plaisir. Les jets ralentissent, il sort sa queue de mes intestins, mon trou fait un floc comme lorsque l’on débouche une bouteille. À sa requête, je lui lèche le zob souillé, je le nettoie bien, il est enduit de tout car il est allé très profond, mais j’y prends plaisir, je lui rends tout propre.
— Surtout pas un mot à tonton, il n’est pas pour le sexe violent. Toi, toutefois tu as eu l’air d’apprécier, mes copains vont se régaler avec une pute comme toi, tu as promis, ne change pas d’avis, car tu le regretterais.
Je prends sa menace au sérieux, il est étrange mon neveu, je pense qu’il ne faut pas le contrarier. Toutefois, je dois reconnaitre que j’ai rarement joui aussi fort qu’avec lui et l’idée de passer une soirée avec ses copains et lui fait son chemin dans ma tête et pas que…
— Je prends quelques selfies de toi pour montrer à tes futurs maitres la chienne que je vais leur offrir.
À son ordre, je prends des poses de pute en chaleur, toute humide et dégoulinante de son jus, mes intimités n’auront plus de secret pour ses amis vu les gros plans qu’il fait. Je me surprends à aimer ça, savoir que ses amis vont pouvoir se faire l’idée que bientôt je serai leur soumise, je commence même à couler de nouveau. Il devine mon excitation et m’ordonne de me masturber, il met en mode vidéo et me filme pendant que je me fais du bien, sa grosse bite a bien ouvert ma chatte, trois doigts rentrent facilement. Bob filme mon visage qui doit refléter le plaisir que je me donne. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour exprimer mon bonheur, je crie, je dis des mots grossiers et une nouvelle giclée de cyprine gicle dans sa direction. Il place sa queue devant ma chatte pour que le chaud liquide coule dessus. La vidéo remportera sûrement une palme au festival du film porno. La porte s’ouvre, tonton apparaît en baillant, la queue dressée, se grattant les couilles.
— Alors les amoureux, vous n’avez pas l’air de vous ennuyer, je vous entends crier de ma chambre, dis donc Océane, tu fais du bruit quand le gamin t’encule, tiens une petite faveur, tu peux me sucer vite fait, ou bien préfères-tu que je te baise ? Je ne peux pas rester la bite en l’air.
Compréhensive, je lui réponds.
— Ce qui te fait plaisir tonton, tu es mon invité donc tu choisis, ma petite moule et ma bouche t’appartiennent.
Il réfléchit assez vite et opte pour ma chatte.Je m’allonge cuisses ouvertes et tonton rentre facilement sa belle queue dans ma grotte inondée de foutre et cyprine.
— Ben dit donc ma cochonne, tu as pris cher, c’est plus une chatte, mais un parking à bites.
Et, sans plus se poser de question, il tire son coup comme si j’étais la prostituée de service. C’est bref, il gicle assez vite, vraiment le coup pour se soulager, il secoue les dernières gouttes sur mon ventre, me remercie et s’en va uriner. Bob rigole et me dit.
— Tu es vraiment un sac à foutre, une vide couilles. Même un chien pourrait te baiser, tu laisserais faire.
S’il savait le naïf.Une suite est envisagée à condition qu’elle soit demandée gentiment Mdr.
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