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Les parents du petit-ami

Chapitre 4

Hétéro
Sara n’y comprenait rien... Son corps réclamait ses caresses mais George les lui refusait. Pire, elle se sentait comme prisonnière de son interdiction, comme si elle n’était pas capable de lui désobéir et de le décevoir. C’est dans cet état d’esprit qu’elle retourna se coucher, frustrée et troublée, mais impatiente de comprendre les raisons de cet ordre.
Le lendemain matin, épuisée, elle n’entendit pas Marc se lever pour partir au travail. Elle s’éveilla aux environs de onze heures avec la désagréable sensation d’une satisfaction non assouvie. A ce souvenir, elle fut prise d’une honte terrible, l’esprit débarrassé de cette demi conscience nocturne... Durant un instant, elle crut avoir fait un cauchemar, ou plutôt un rêve érotique, mais elle devait se rendre à l’évidence: elle s’était caressée devant George, totalement impudique.
L’idée de descendre retrouver cet homme la gêna horriblement... Elle prit la décision de rester encore un peu au lit, quitte à feindre un rhume s’il le fallait. Une demi-heure plus tard, on frappait à la porte de la chambre et la voix d’Annie demanda:
"Sara, tout va bien? — Je crois que j’ai un petit rhume, ce n’est rien! mentit la jeune femme.— Ah mince! George va en ville, si tu veux, je peux lui demander de passer à la pharmacie...— Non, c’est bon, ne vous inquiétez pas!— Tu es sûre?— Oui, je vais me reposer encore un peu et ça devrait aller mieux.— Bon, d’accord, mais n’hésite pas surtout."
Sara ferma les yeux de soulagement, George partait. C’était déjà ça!
En fait, elle ne le rencontra pas avant le dîner du soir, à son grand soulagement puisque Marc se joindrait à eux cette fois ci. Si George ne faisait aucune allusion déplacée, elle n’avait qu’à laisser couler le petit incident de la veille et jamais on n’en reparlerait!
Elle s’assit donc à table avec le sourire, certaine que George adopterait la même attitude qu’elle. Il ne fit d’ailleurs aucun commentaire sur la soirée de la veille, ce qui la rassura quand Marc les rejoignit pour s’asseoir face à elle, tandis que son père se trouvait désormais à la gauche de Sara. Ils mangèrent une salade délicieuse qu’avait préparée Annie avant de patienter pour déguster quelques parts de sa tarte aux pommes. C’est à ce moment là que Sara sentit une main se poser sur sa cuisse.
Elle sursauta et retira cette main, adressant un regard à George pour lui intimer en toute discrétion de ne rien tenter.
Croyant à sa victoire, elle se lança dans une conversation animée avec son petit ami qui affirmait que les études ne servaient plus à grand chose, déchaînant son esprit travailleur d’élève modèle. Seulement, la main de George revint à l’assaut et se posa au dessus de son genoux, juste au niveau de la fin de sa jupe. Sara fut interrompue dans sa phrase et s’apprêta à retirer cette main intrusive une nouvelle fois quand Marc lui demanda:
"... Oui?
— Excuse moi, un coup de chaud... Je disais juste que les diplômes restent importants...
Disant ces mots, elle en oublia d’enlever la main qui remonta fermement sous sa jupe. Sara, recula sur sa chaise, instinctivement mais la main l’accompagnait. Elle tenta à nouveau de faire signe à George d’arrêter mais il l’ignorait complètement et adoptait une attitude indifférente. Désespérée, elle posa encore une fois sa main sur la sienne mais il l’approcha brusquement de sa culotte, frôlant ses lèvres à travers le tissu fin du sous-vêtement, rappelant ainsi à son corps combien il désirait jouir.
Sara prit une profonde inspiration, de plaisir, et le laissa faire, soumise à son désir. Il prit son temps, passant sa main sur le haut de ses cuisses sans remonter, participant même à la conversation qu’avait du mal à tenir la jeune fille à présent... Elle était en ébullition, plus ses doigts s’approchaient, plus elle le redoutait et le voulait tout à la fois, fermant ses cuisses puis les rouvrant dans une hésitation redoublant le désir...
— Tu aimes ce que tu fais alors ? demanda George en la fixant dans les yeux.
Sara ne comprit pas tout de suite puis se rendit compte qu’il parlait de ses études.
— Oui, j’aime bien.
Il eut un sourire satisfait, comme si cette confirmation renvoyait juste à sa caresse présente. Sara se mordit les lèvres, elle voulait tant qu’il aille plus loin maintenant... Elle ouvrit ses cuisses entièrement dans une invitation silencieuse. Les doigts de George ne se firent pas prier, ils passèrent délicatement sous le tissu de la culotte et caressèrent les lèvres de la jeune fille. Elle peinait à garder une respiration régulière et cette fois s’était totalement absentée de la conversation. Enfin, il lui toucha le clitoris.
Elle poussa un grand soupir sous les yeux étonnés d’Annie et de Marc.
— Juste un petit mal de tête, dit elle en souriant.
Annie servit alors les parts de tarte et George retira sa main, à la grande déception de Sara.
Elle dévora sa part à toute vitesse, dans l’espoir secret que George en ferait de même pour profiter de ses cuisses ouvertes. Mais rien ne se passa. Leurs assiettes vides, il ne bougea pas, alors même qu’elle l’invitait silencieusement du regard à revenir. Comme ils restaient à table pour discuter, elle prit l’initiative, se mordant les lèvres d’en être réduite à cela, ne pouvant se contenter de le faire elle-même. Elle posa sa main sur la sienne.
Il eut un sourire victorieux, comme s’il n’avait attendu que ça mais ne fit rien. Elle tenta alors de la ramener vers elle mais il réagit et s’empara de sa main. Dans un mouvement lent, il la guida vers sa fermeture éclair.
Sara retint sa respiration lorsqu’elle sentit son membre dur à travers le jean. De toute évidence, si elle voulait être satisfaite, elle devait d’abord le satisfaire lui. Ravalant sa fierté et sa pudeur, elle ouvrit la fermeture et passa la main à l’intérieur, sur le caleçon. George recula sur sa chaise, l’air pleinement heureux. Tous les quatre continuaient à bavarder comme si de rien n’était, même si c’était plus dur pour Sara qui peinait à garder sa concentration.
Sa main caressait le sexe à travers le tissu, puis passa derrière le caleçon pour toucher directement la bite bien dure. George poussa un léger soupir de contentement et Sara entreprit de le branler du mieux qu’elle put, toujours aussi ouverte et désireuse elle même.
Il ne mit pas longtemps à venir, d’un coup, elle sentit son sperme gicler sur ses doigts avec un certain dégoût, elle retira sa main et ne sut trop qu’en faire. Enfin, elle prit une serviette et l’essuya dedans. Maintenant, elle attendait, c’était son tour...
Mais George se leva, sans rien dire, pour aller aux toilettes. Elle le regarda s’éloigner avec colère et frustration. Elle avait l’impression d’avoir été piégée et manipulée...
Quelques minutes plus tard, ils se trouvaient dans le salon, sans George qui n’était toujours pas revenu. Sara, fatiguée, s’était allongée sur le canapé, sous une couverture alors que Marc et sa mère étaient chacun dans un fauteuil.
George revint enfin et la jeune femme s’apprêta à s’asseoir pour lui laisser la place mais il refusa et s’assit sur le côté en lui disant:
— Arrête c’est bon, tu n’as qu’à mettre tes jambes sur moi, je m’en fous moi...
Elle jeta un coup d’oeil à Marc mais il n’écoutait guère alors elle posa ses jambes sur les siennes, toujours un peu énervée de ne pas avoir été soulagée. Il avait ses mains sur ses jambes, sans bouger. Tout doucement, elles glissèrent sur ses cuisses en toute discrétion. Sara le regarda, il lui souriait, visiblement ravi. Il faisait glisser sa jupe très lentement, sans un bruit. Elle le laissait faire, la respiration un peu saccadée, l’envie de jouir étant bien trop forte. Elle alla même jusqu’à bouger pour faciliter le déplacement de ses mains qui relevaient sa jupe.
En quelques secondes, elle était entièrement retroussée et Sara se sentait presque nue, en culotte, sur les jambes de George qui semblait absorbé par le film, tout comme les deux autres. Elle mouillait abondamment, elle pouvait le sentir et elle craignait qu’il le sente, cela lui montrerait combien elle le désirait...
Il passa sa main droite sur sa cuisse et arriva sous sa culotte. Là, il la descendit délicatement pour n’alerter personne. Ça y est, elle était nue. Complètement excitée, elle écarta légèrement les cuisses. Elle voulait tellement qu’il la caresse...
Sa main arriva enfin, ses doigts tournèrent d’abord autour de sa chatte puis se rapprochèrent, écartèrent les lèvres, firent un cercle autour du clitoris puis le touchèrent, ce qui provoqua une déferlante de plaisir chez Sara qui sentit tout son corps se tendre. Puis il entra un doigt dans sa chatte, directement. Il fit très vite des va et vient et Sara craignait que le clapotis de sa mouille ne se fasse entendre tant elle était abondante.
Elle poussait des soupirs inaudibles, fermait à demi les yeux...
Il stoppa net. Il sortit sa main de la couverture et là, en regardant Sara, il lécha son doigt humide. Elle le fixait, stupéfaite, son corps réclamant plus...
— Je vais boire un verre, je reviens.
En se levant, il accrocha la culotte de Sara de ses doigts et la garda dans son dos sans relever la couverture. La jeune fille repositionna sa jupe et le regarda partir. N’y tenant plus, elle se leva à son tour et le rejoignit dans la cuisine. Mais arrivée là, pendant qu’il se servait un verre, elle ne sut quoi dire.
— Qu’est ce que tu veux? demanda-t-il avec un ton méprisant. — Je... — Oui?
Il voulait qu’elle le dise elle même, c’était évident. Elle eut l’impression étrange de lui appartenir quand elle dit à voix basse:
— Faites moi jouir s’il vous plaît...
Le sourire de George était triomphant, le regard de Sara dépité et fiévreux.
— Va dans mon lit, mets toi nue, écarte les jambes et attends moi, j’arrive pour m’occuper de toi."
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