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Les péchés : Gourmandise

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Sins : Gourmandise (1)

Bien installé sur le canapé en buvant son café matinal, Grégory savoura avec plaisir la délicieuse fellation que sa femme Caroline était en train de lui prodiguer. La belle brune s’activa sur le manche de son cher époux qui sentit la sève monter peu à peu. Il prit la peine de finir sa tasse avant de saisir la chevelure de sa femme pour la maintenir, pendant qu’il se déversait dans sa gorge. Comblé, il se rhabilla et se prépara à démarrer sa journée, un sourire aux lèvres comme tous les jours.

Un dernier baiser à son épouse attentionnée et le voilà parti. Les pipes avant d’aller travailler étaient ses petits plaisirs, dont il ne manquait pas de se vanter auprès de ses collègues. Grégory se trouvait très chanceux d’avoir une femme comme Caroline, qui ne rechignait jamais à satisfaire ses envies aussi souvent qu’il le désirait. Il le savait bien et en profitait pleinement. Madame était occupée à faire le ménage ? Peu importe, il la basculait sur le premier meuble venu et la besognait avec passion. Madame cuisinait ? Monsieur la couchait entre les épluchures et c’est elle qui passait à la casserole. Madame prenait son bain ? Monsieur en profitait pour la salir de sa semence ; n’avait-elle pas besoin d’un shampooing ? 
En plus de sa vie sexuelle épanouie, son travail lui apportait tout ce dont il avait toujours rêvé : une situation financière stable, plutôt aisée et une reconnaissance auprès de ses pairs. Il semblait avoir tout pour être heureux alors, que demander de plus ? 

Grégory gara sa sublime décapotable flambant neuve devant les regards envieux de ses collègues Étienne et David. C’était un petit cadeau qu’il venait de se faire. Les ventes avaient été bonnes ces derniers mois et leur patron lui avait accordé une petite prime. Pas suffisante pour se payer ce bijou mais Grégory aimait les belles choses et il n’était pas réputé pour être quelqu’un de très raisonnable, alors cela ne l’avait pas dérangé de faire un petit prêt.  

— Alors les gars ? Vous avez vu le bébé ? se vanta-t-il en saluant ses collègues — Pas mal… C’est un roadster ? On ne se refuse rien à ce que je vois !— Ouais j’en avais marre de la merco. Alors Étienne, tu ne dis rien ? Tu préfères ta vieille charrue ? — Caroline est au courant de ton petit excès ? lui lança ce dernier— Absolument. Elle l’a vu quand je suis rentré du concessionnaire.— Elle devait pas être contente. — Elle a pas fait la gueule longtemps, juste assez pour qu’on puisse quand même étrenner le cuir de la voiture. — Sacré salaud ! se gaussa David en lui collant une tape dans le dos. Allez viens je crois que ça va te plaire, il y a une nouvelle petite stagiaire dans notre service, dix-huit ans tout juste. Une bombe. — Ah oui ? Et bien je ne demande qu’à voir ça ! 
La stagiaire en question était en effet une bombe. Blonde, la silhouette élancée, un fessier de rêve moulé dans une petite jupe tailleur s’arrêtant à mi-cuisse et un sacré paquet de monde au balcon. En la voyant, Grégory sentit son sexe se réveiller et des images salaces lui vinrent en tête. Que son membre serait bien blotti entre ces mamelles bien charnues ! Il s’empressa d’enlever son alliance, se passa une main dans les cheveux et fonça sur sa proie. 

Bien évidemment, son sourire charmeur fit son petit effet. Avec quelques phrases bien choisies et une pointe d’humour, le trentenaire finit par obtenir toute l’attention de la belle demoiselle. Moyennant un service à David, le responsable de stage de la jeune Lucille, il parvint à faire en sorte que cette dernière passe la semaine avec lui dans son service. Non pas qu’il ait besoin d’aide, mais la perspective de pouvoir la mater toute la journée lui fit monter l’eau à la bouche. Et pas que…
La petite stagiaire était dévouée à la tâche, elle enchaînait les photocopies et le reclassement des archives. Plus la journée passait et plus Grégory se fit moins discret quand il observait le galbe de ses cuisses, allant même jusqu’à frotter la bosse dans son pantalon. 
Ce midi, ils grignotèrent dans le bureau, une salade pour la dame et un sandwich pour lui. Quant au dessert, lorsqu’elle dégusta avec plaisir une tartelette aux fraises, il ne put s’empêcher de fixer ses lèvres rosées et sa langue joueuse qui récoltait le sucre déposé sur ses commissures. Son sang ne fit qu’un tour quand il s’imagina passer sa langue sur ces perles de sucre qui luisaient au coin de ses lèvres. Il dut toutefois se raisonner, le doute et les remords l’assaillirent quand il pensa à sa femme.
— Vous aimez les sucreries ? le questionna innocemment Lucille— J’aime beaucoup, surtout le chocolat. Mais j’avoue que votre tarte aux fraises me semble délicieuse. — Elle l’est. Hmmm … C’est un de mes petits péchés mignons. 
Grégory déglutit difficilement, ses pensées devenaient bien trop perverses… La petite ingénue avait pourtant bien compris l’effet qu’elle produisait chez la gent masculine, elle s’en amusait et provoquait par des mouvements exagérément suggestifs le pauvre Grégory. 
Cet après-midi, Lucille était penchée sur la photocopieuse et essayait vainement de résoudre un problème de bourrage papier. Il s’approcha d’elle pour l’aider et quand il effleura son bras, son sexe enfla de plus belle, si bien que cela commençait à devenir incommodant. Il mourrait d’envie de la coucher sur cette photocopieuse et de la prendre sans attendre, mais il se raisonna : n’a-t-il pas déjà eu son compte ce matin ? Ne pouvait-il pas patienter jusqu’au soir ? Ce ne serait que pure gourmandise que de se laisser aller à ce désir… Pourtant, penchée ainsi, avec sa jupe qui remontait à diable, elle aurait bien mérité qu’il la fesse, ou mieux… qu’il la pénètre d’un coup sec pour lui apprendre ce qu’on récolte quand on aguiche un homme comme lui. Que c’est difficile de réfréner ses pulsions ! Mais Grégory s’y força, tromper sa femme n’était pas au programme du jour. 

Lorsqu’il rentra chez lui ce soir-là, Grégory était fier de ne pas avoir cédé à ses pulsions. Fier, mais frustré de ne pas avoir pu baiser cette stagiaire alors, il se vengea sur la pauvre Caroline, en train de travailler au salon. Elle n’eut pas le temps de comprendre ce qu’il lui arrivait, voilà qu’il la retourna et s’enfila directement dans son petit trou. Caroline avait l’habitude de servir de défouloir à son mari, elle le faisait même avec plaisir, mais aujourd’hui, elle sentit que quelque chose n’allait pas. Il la prit en levrette sur le canapé et s’appuya sur ses épaules pour qu’elle ne se redresse pas. Ainsi, il ne voyait pas son visage et pouvait allègrement imaginer que c’était dans le cul de la belle Lucille qu’il était en train de s’immiscer. Quand il explosa en de longues saccades, ce fut comme une délivrance. Plus calme et serein, il câlina sa femme pour se faire pardonner et s’occupa de la faire jouir avec sa bouche. 
Le lendemain, même rengaine et ce pour les trois jours suivants. Rapprochements volontaires, effleurements caractéristiques, conversations bourrées de sous-entendus … Les deux flirtaient innocemment le jour et Grégory se vengeait sur sa femme le soir.  Voilà que le dernier jour de stage dans le service de Grégory arriva enfin, sans que ce dernier n’ait craqué. Il avait réussi à tenir, quelle fierté  ! Ca n’avait pas été une mince affaire.
Lors de la pause déjeuner, Lucille débarqua dans une splendide jupe pourpre, moulant parfaitement son fessier bombé. Grégory saliva devant ces jambes parfaites qui se balançaient devant lui. Elle distribua le repas qu’elle avait pris chez un traiteur et s’installa sur le petit canapé en croisant les cuisses, juste dans le champ de vision d’un Grégory rouge de frustration. Ses pensées étaient de plus en plus troublées. Faisait-elle exprès de s’installer comme ça ? Il voyait presque son entrecuisse s’il se penchait un peu. Quant à ses seins… L’envie de lui arracher son joli chemisier et de dévorer cette poitrine sublime le tiraillait à un point ! Comme il avait envie qu’elle lâche cette fourchette et vienne gober son sexe plutôt que cette insipide salade !Elle poursuivit son repas, riant des blagues un peu vaseuses de Gregory. Son rire était si cristallin… Il se demanda si elle rigolerait toujours lorsqu’il lui enfournerait son sexe dans le gosier. 
Arriva alors le dessert et cette fois, la jeune stagiaire avait prévu son coup et sortit d’une petite boîte deux gâteaux au chocolat. 
— Et bien ! s’étonna-t-il. Je suis gâté aujourd’hui. — C’est pour vous remercier d’avoir été si gentil avec moi pendant toute cette semaine. Vous aviez dit que vous aimiez le chocolat. Mais attendez, il manque quelque chose, je reviens tout de suite. 
Stoïque, il attendit que la belle revienne, ne manquant pas au passage de se rincer l’œil quand elle lui tourna le dos. Quel beau cul ! Elle fit son apparition un instant plus tard, tenant une bonbonne de chantilly dans sa main. 

— Et voilà ! Avec un peu de crème fouettée c’est toujours plus gourmand, dit-elle en lui adressant un clin d’œil coquin. 
Il ne put s’empêcher de la dévorer des yeux alors qu’elle dégustait voluptueusement sa mignardise, surmontée d’une montagne de chantilly. La crème tomba sur sa poitrine. Elle la récupéra de son doigt et le porta à sa bouche mais laissa une trace sur le dessus de sa lèvre. Grégory sauta à pieds joints dans le piège qui lui était tendu, mais il le fit sciemment, en toute connaissance de cause. Il vint s’installer auprès d’elle et s’empara de ses lèvres avec ferveur. 
Sa main glissa jusqu’à son opulente poitrine qu’il prit grand plaisir à palper pendant que sa langue s’enroulait autour de la sienne. Enfin cette chair duveteuse se trouvait entre ses doigts ! Il ne résista pas plus longtemps à l’envie d’y goûter et, avec violence, il arracha les boutons du chemisier de Lucille puis vint y enfouir son visage.
— Hmmm Je savais que vous étiez gourmand Monsieur mais à ce point là… Manifesta-t-elle son indécision— Depuis le début de la semaine, tu les agites devant moi, petite aguicheuse et maintenant tu rechignes à ce que je les goûte ? — Mais c’est que nous sommes au travail, n’importe qui pourrait rentrer. — Et bien dépêchons-nous alors. Regarde, dit-il en posant sa main sur son entrejambe. Je suis déjà fin prêt. — Je ne sais pas… hésita-t-elle. Et si nous attendions la fermeture des bureaux  ? Il y aura moins de monde.— Il va falloir me faire patienter alors. Et si tu venais déguster cette chantilly sur ma queue ?
Il ouvrit son pantalon et sortit son membre bien raide, ce qui fit saliver la jeune stagiaire. Très vite, elle se mit à genoux devant lui et disposa la crème bien froide sur le sexe qui se recroquevilla. 
— Putain, c’est froid ! Allez suce-moi pour me réchauffer. 
Lucille ne se fit pas prier et commença à lecher la crème fouettée avec avidité, passant sa langue sur toute la hampe, jusqu’aux bourses. Dès qu’elle eut laper jusqu’à la dernière goutte de crème, elle décida de jouer un peu et suçota le gland rougi sans jamais aller plus loin, son autre main palpant son paquet. Grégory avait tellement envie de lui faire gober son sexe en entier… Mais il se retint, surtout lorsqu’elle relâcha son sexe pour aller aspirer ses testicules, jouant à les faire rouler contre sa langue. Enfin, elle le reprit en bouche et cette fois, elle l’accueillit plus loin, engloutissant la moitié de sa délicieuse verge, désormais bien dure. 
Ses aller-retour sur sa queue le rendaient fou, Grégory donna même quelques coups de bassin pour tenter d’aller plus loin, mais la petite ingénue reculait à chaque fois, le portant au bord de la jouissance, pour finalement s’arrêter. Il n’en put plus et saisit sa chevelure pour lui imposer une gorge profonde. Alors qu’elle s’étouffait presque, lui continuait ses coups de reins, jusqu’à s’immobiliser dans le fond de sa gorge pour y déverser son sperme. Le nectar brûlant coula directement dans sa gorge et la pauvre dut tout avaler avant de pouvoir reprendre sa respiration. 
— Et bien ! Merci beaucoup pour ce petit amuse bouche. J’ai hâte d’être au plat de résistance ! — Patience Monsieur, il ne faut pas être trop gourmand.
La demoiselle se recoiffa et prit une minute pour aller se refaire une beauté. Pendant ce temps, Grégory jubilait. Il ne pensa pas une seconde à sa femme, tout ce qu’il avait en tête, c’étaient les délicieuses lèvres de Lucille et le moment où il allait enfin pouvoir la baiser. La journée était loin d’être finie, il se demanda s’il pourrait attendre jusqu’au soir avant de retourner s’enfouir dans les profondeurs humides de la jeune blonde et, à mesure que les heures passèrent, l’envie se fit trop forte. 
— Lucille ? Pourriez-vous venir un instant ? — Bien sûr Monsieur. Que se passe-t-il ?— Venez sous le bureau me montrer vos talents linguistiques. J’ai un appel assez ennuyeux à passer, j’apprécierai un peu de distraction. — Vous voulez que je vous suce pendant que vous téléphonez ? — Je vois que tu as compris, allez au boulot. 
Elle s’exécuta, passant maladroitement sous le bureau où l’espace était assez restreint. Alors qu’il lançait l’appel vidéo sur son écran, Grégory profita une dernière fois du spectacle de cette blonde engloutissant sa queue comme une friandise, avant de river ses yeux sur l’écran, sur lequel son interlocuteur venait d’apparaître. Que ce fut difficile de tenir son rôle malgré le plaisir de cette bouche si chaude autour de sa verge ! Il réussit quand même à se concentrer sur son appel, lorsque, au bout de cinq minutes, Lucille se mit à le sucer plus fort et plus loin, le faisant perdre de sa contenance. 
— Tout va bien Monsieur Marchet ? l’interrogea son interlocuteur — Oui, évidemment Monsieur Siam, je vous écoute. C’est juste ma stagiaire qui vient d’entrer. — Ah les stagiaires… le mien est incompétent, c’en est déplorable. Comment est la vôtre ? — Une vraie fée, elle met du cœur à l’ouvrage, c’est très plaisant. — Ah vous voilà chanceux ! Bon, et cette présentation, elle aura lieu quand ?  — Je vous ai envoyé les documents par coursier tout à l’heure, pour le reste, j’ai fait suivre par mail les modalités à votre assistant. — Très bien ! Voilà une affaire rondement menée comme toujours. Merci pour votre sérieux et votre professionnalisme Marchet, je saurais m’en souvenir. A bientôt. — A très bientôt Monsieur Siam, bonne journée.  
Dès qu’il eut raccroché, Gregory put enfin relâcher la pression et savourer la sublime fellation que la jeune stagiaire lui procurait. Maintenant qu’il pouvait y aller fort, il ne s’en priva pas. Il agrippa la tête de la blonde à deux mains et lui imposa un rythme effréné pour finir par exploser dans sa gorge. 

— Hmmm, quelle divine entrée… Tu vas beaucoup me manquer je crois quand tu changeras de service.— Je prends ça pour un compliment. Puis-je retourner au travail maintenant ? — Bien sûr… dit-il en se refroquant  
Encore une fois, il s’était laissé aller à ses pulsions et, maintenant, il comptait les heures avant d’enfin pouvoir la prendre. 

La fin de journée arriva ; les bureaux se vidèrent petit à petit jusqu’à ce que le silence s’installe. Enfin seuls ! Grégory n’attendait plus que ça. La belle blonde se présenta devant son bureau, prête pour le fameux plat de résistance.  
— Déshabille-toi, lui ordonna-t-il en se masturbant, assis dans son fauteuil.
Elle obéit, prenant tout son temps pour se débarrasser de sa jupe et de son chemisier, un nouveau d’ailleurs, vu l’état dans lequel l’autre était. En soutien-gorge et culotte noire, Lucille se pencha lascivement pour qu’il puisse admirer sa croupe, pendant qu’elle ôtait sa culotte. La vue de ces deux orifices bien tendus devant lui, lui donna l’eau à la bouche.

— Viens t’asseoir sur le bureau, je vais te bouffer ta jolie petite chatte. 
Les jambes écartées, la vulve offerte, Lucille se laissa totalement aller quand Greg vint laper de sa langue la cyprine qui en regorgeait. Il agaça son clitoris, glissant sa langue entre ses lèvres. Que sa chatte était goûteuse ! Differente de celle de sa femme. Sa réflexion le fit tiquer et au lieu de se raisonner et d’arrêter, il passa sa langue sur l’autre orifice avant d’y planter son majeur. L’index vint vite le rejoindre et de ses deux doigts, il la fouilla pendant qu’il aspirait son bourgeon entre ses lèvres.  
Lucille se cambra, transportée par le plaisir. Juste avant qu’elle jouisse, il stoppa tout et se retira, avant de venir présenter son sexe devant sa chatte luisante. D’une poussée, il s’immisça en elle, s’arrimant à ses hanches pour la pilonner comme il se doit. Enfin son sexe découvrait la moiteur de son intimité et Grégory s’y trouva fort à l’aise. Elle était si douce, si chaude… Et cette façon qu’elle avait de pousser des petits cris chaque fois que son gland butait dans le fond le rendait dingue. Il empoigna un de ses sein pendant qu’il l’allongeait sur le bureau, faisant tomber une pile de dossiers et de fournitures, et le tordit pour la faire crier plus fort.  
Les tétons roses roulèrent entre ses doigts, déclenchant de puissantes décharges dans le corps de Lucille. Elle continuait d’en réclamer plus, alors qu’il se démenait comme un diable, proche du point de jouissance. 
Soudain, alors qu’il se collait à elle pour lui donner de vigoureux coups de bassins bien profonds, il sentit la sève commencer à monter et relâcha toute sa semence dans sa cavité si accueillante. Repu, il se retira mais la belle Lucille était frustrée, car elle n’avait pas encore joui. 

— Wahou ! Tu m’as épuisé ma belle… Je vais pas pouvoir remonter tout de suite, tu veux que je te finisse avec la bouche ?— Sinon, nous on peut s’en occuper , proposa une voix depuis le fond de la pièce 

Grégory sursauta en découvrant son collègue David, le sexe en main, profitant copieusement de la scène qui venait de se derouler sous ses yeux. Étienne aussi était là, mais lui semblait plus contrarié qu’excité et n’avait pas sorti son sexe de son pantalon. Lucille ne parut pas surprise de voir les deux hommes ici. Même, elle tendit une main dans leur direction pour leur faire signe d’approcher. David ne se fit pas prier et fit tomber son pantalon avant de rejoindre l’impudique stagiaire.  
Grégory resta bouche bée devant son collègue, qui vint embrasser goulument la jeune femme en caressant son Mont de Venus. Lui était à bout de souffle et après les orgasmes qu’il s’était payé aujourd’hui, il n’arrivait pas à bander, ce qui l’irrita. Impuissant, il regarda David retourner Lucille pour venir la prendre en levrette. 
Cette dernière gémissait sans s’arrêter, encaissant les coups de boutoirs de son maître de stage qui la burinait sans efforts. Frustré, il se plaça devant le visage de la belle, pour qu’elle le fasse remonter à l’aide de sa langue. 
— Salaud ! Tu n’allais pas partager ce joli petit morceau ? Commenta David. Sa chatte est trop bonne, voyons si son cul est pareil. 

Lucille poussa un cri quand ce dernier investit son cul, Grégory en profita pour y glisser sa queue qui durcissait à vue d’œil. Il lui saisit la crinière et lui baisa la bouche pendant que son collègue martelait ses fesses. La pièce était emplie du bruit des claquements de peaux et des cris de Lucille. Seul Étienne restait silencieux, semblant impassible devant ce spectacle.  
Une fois son sexe au garde-à-vous, Grégory voulu lui aussi tester l’étroitesse de ses tréfonds. David alla alors s’asseoir sur le canapé et Lucille s’empala sur toute sa longueur, laissant l’autre orifice pour son tuteur de la semaine. Cette fille était insatiable ! Gregory n’en croyait pas ses yeux. Impatient, il pointa son gland sur l’anus endolori et poussa, rencontrant une grande résistance. Le sexe de son collègue emplissait déjà bien la petite chatte gourmande, ce qui laissait peu de place à Grégory pour s’insérer. Mais sentir son sexe si comprimé le fit perdre pied et il prit vite un rythme de plus en plus profond. 
 A peine fut-elle remplie, que Lucille se mit à gémir encore plus fort, si fort qu’ils durent la bâillonner pour couvrir ses cris. David lui enfourna sa culotte dans la bouche et Grégory passa sa cravate entre ses dents, qu’il tint comme des rênes pendant qu’il la chevauchait bestialement. Les coups de reins pleuvaient et les mains de David torturaient les mamelons rosés de la belle blonde qui, à force de se faire marteler de toute part, chavira et se fit emporter par des vagues successives de plaisir. Sa chair enserrait les membres à mesure que son orgasme se diffusait dans tout son corps, ce qui acheva Grégory. 
— Oh bordel qu’il est bon ton cul ! Je vais ….
Et Grégory sentit son orgasme le consumer et son foutre se répandre dans sa grotte pendant qu’il rugissait de plaisir. David préféra jouir sur le visage rougi de la jolie stagiaire à bout de souffle, à genoux sur le sol. 
— Eh Étienne ! apostropha Grégory, fier de sa performance. Tu veux pas goûter à ses talents ?
Il remarqua alors que leur collègue n’était pas si impassible que ça. Il était occupé à filmer la scène, un sourire en coin fiché sur le visage. 
— Ça va aller les mecs, j’ai tout ce qu’il me faut. Je croyais que toi aussi Greg, dit-il d’un ton péremptoire. Je me demande ce que va penser Caroline de tout ça. Je crois que tu as été un peu trop gourmand. 
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