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Les petites anecdotes sexuelles de Cris

Chapitre 1

Nicole, noire ébène

Inceste
La seconde histoire que je voudrais vous raconter n’est pas une histoire entre hommes, mais entre moi et ma demi-sœur.
(Petit retour en arrière sur mon histoire familiale. Mon père, dont on ne dévoilera pas le prénom parce qu’on s’en fiche, et parce qu’il est tellement vieillot que ça me fait mal de l’écrire, a eu avec sa première femme (Anita) une petite fille métisse qu’ils ont adorablement nommée Nicole. Environ 15 ans plus tard, mon père rompt pour épouser ma mère, Véronique, mariage qui donnera après quelques années d’un bonheur écœurant ma « vraie » grande sœur, Estelle, puis moi, Cris.Malgré la haine qu’Anita lui porte, mon père est resté très proche de sa première fille. Nicole fait - pour ma sœur et moi - partie intégrante de notre famille. Une grande famille.Voilà pour le tableau.)
Nous sommes en hiver, ma sœur Estelle, elle aussi mariée et mère d’un petit gars de 4 mois, vient de s’envoler pour les îles avec son mari : lune de miel oblige. Et elle a trouvé en Nicole la nounou parfaite pour s’occuper du petit, car Nicole est malheureusement au chômage depuis quelques semaines : licenciement technique, baisse des subventions, trop de personnel... on connaît la chanson. Nicole a donc accepté ce « job », puisque ma sœur tenait absolument à la payer malgré les nombreux refus, arguant qu’étant donné que Nicole devait s’installer dans leur appartement pour ne pas trop chambouler le bébé, il fallait qu’il y ait compensation financière pour le désagrément. Estelle avait eu le nez fin, elle savait que Nicole n’était pas dans une situation financière très solide, mais refusait absolument de quémander. Un point pour Estelle !
J’habite dans la même ville que ma sœur, tandis que Nicole vit à une bonne centaine de kilomètres d’ici. Je profite donc de sa présence inédite dans le coin pour dîner avec elle – il faut dire que mon père m’y pousse un peu, à « passer du temps en famille ». Au début, nous échangeons essentiellement de vieux souvenirs, puis la confiance s’installant, nous en profitons pour vanner mon père gentiment, ce qui nous rapproche. Puis au fil des soirées, nous créons nos propres souvenirs, discutons de choses qui nous tiennent à cœur, etc. Bref, nous construisons une véritable amitié ! On s’entend très bien, malgré les 15 années qui nous séparent, on a des personnalités très proches : une grande sensibilité, beaucoup de curiosité, et un grand attachement à la famille. Au bout de quelques soirs seulement, le côté « soirée en famille » devient rapidement des soirées que j’apprécie incroyablement tant elles sont riches et joyeuses.
Mais il ne faut pas non plus se le cacher, si j’apprécie tant sa compagnie, outre le fait que nos discussions sont faciles et intéressantes, et qu’on rit beaucoup, c’est parce qu’elle est excellente cuisinière, et que c’est une femme sublime. Du haut de son mètre 80 et de ses 37 florissantes années, Nicole, avec sa peau chocolatée, brillante et tendre, anime involontairement de douces pulsions mes nerfs et mes glandes hormonales ! Chaque soir, malgré son inactivité professionnelle, elle m’accueille dans des tenues ravissantes, et rapidement s’instaure tacitement ce petit jeu, où nous dînons chez « elle », en étant habillés pour un cocktail ou une soirée mondaine. Parfois, elle met un pagne traditionnel : c’est dans ce vêtement plutôt ample qu’elle est la plus séduisante, je trouve, car alors l’imagination est totalement sollicitée.
On aperçoit quand elle se lève une courbure de hanche qui semble généreuse, ou le tissu qui s’affale un moment sur sa poitrine, qui, malheureusement, je ne saurais vous décrire avec les mots justes. Ce serait un affront de la réduire à son opulence, de dire que chaque sein est en volume plus important que ma tête, de dire qu’ils jaillissent parfois d’un haut tel un ballon gonflé d’air que l’on presse à la limite de l’explosion, de dire que le regard s’y perd comme dans un trou noir, de dire à quel point il faut avoir de la force psychique pour ne pas y perdre son regard quand elle vous parle, quand elle s’élance dans un sujet qui la passionne et que son corps parle entier, et qu’alors sa poitrine s’agite gaiement, de dire que sa couleur rend ses seins appétissants, qu’on aimerait s’y frotter, s’y caresser le visage avec lenteur, qu’on aimerait par simple curiosité scientifique les malaxer à pleines mains...
Quelle épreuve pour un jeune homme comme moi ! Evidemment, Nicole ne se résumait pas qu’à une poitrine ! Elle avait un visage fantastique, une mâchoire légèrement en V, un V obtus, lui donnant une assurance naturelle. Ses yeux étaient inexplicablement en amandes, avec des pupilles très claires, d’un brun presque mielleux, débouchant sur un nez de reine, droit et un peu pentu. Et sa bouche, je n’ai pas les mots pour en parler : ses lèvres sont opulentes et sexuelles. Une femme de caractère, élégante, imposante, bien en chair.
Bref, je vous parle de ça, car ce serait triste de ne pas vanter sa beauté ici, de le mettre sur écrit, pour la postérité. Mais en fin de soirée, quand je rentrais chez moi ou, trop alcoolisé pour ne serait-ce que mettre une chaussure, je restais dormir sur le canapé, pas une fois je ne me suis laissé aller à fantasmer sur elle, sur Nicole, même si j’aurais pu. Mais ça aurait été dangereux, je n’aurai alors pensé qu’à ça et nos soirées en auraient certainement pâti.
Ce soir, nous sommes le premier décembre, et Nicole me prépare une soirée bien spéciale. Spéciale, car elle est très croyante, et donc ce premier jour de décembre a beaucoup d’importance pour elle. C’est pourquoi le repas est des plus copieux, mais aussi des plus simples. Mais toujours incroyablement délicieux. Comme tous les soirs, le bébé s’endort aux alentours de 19h et nous laisse tranquilles jusqu’à 23h. Alors que nous passons au dessert, Nicole me prévient que je ne pourrais en manger que si je me prête à son jeu, à sa tradition plutôt, qui est d’avouer, l’un après l’autre, afin de mériter chaque bouchée, un secret inavouable à l’autre, afin d’être dans la compréhension et le pardon, si jamais des crasses ont été commises. Comme à mon habitude, je suis enjoué et accepte volontiers, ayant totalement confiance en elle.
— J’ai maintenant quelque chose de gênant à t’annoncer mon petit. Il faut que tu saches que quand tu étais un petit microbe, de quelques mois seulement, ton père m’avait laissé plusieurs fois m’occuper de toi, quand il devait aller faire des courses, ou bien décompresser quelques heures, puisque comme tu le sais, c’est lui qui a pris un congé paternité et non ta mère. Ces moments en tête à tête avec toi sont rapidement devenus pour moi source d’angoisse, puis de plaisir. Et encore aujourd’hui, je n’ai pas d’explication à ça, mais quand ton père partait, tu te mettais en général à pleurer au bout de deux ou trois minutes, réclamant à manger. Et depuis la toute première fois, j’ai eu des pertes de lait...— (rires de ma part) Tu déconnes ?! Comment c’est possible ?!?! Je veux dire, biologiquement ?! — (Rires plus doux) J’en ai aucune idée petit malin, mais mon corps s’est mis à produire du lait, et en quantité !— Ça a dû te faire flipper !
— Tu peux le dire ! Je savais pas quoi faire, j’avais à peine 16 ans à l’époque. J’avais déjà des seins de bonne taille, mais j’étais vierge, et pourtant tes cris ont dû déclencher une sorte de processus de sauvegarde de l’espèce ou je sais pas quoi !!— Toi t’as trop traîné sur Internet (rires) !— Mais je t’assure. C’est inexplicable. Vraiment trop bizarre. Pourtant depuis, j’ai gardé pas mal de fois des gosses d’amies, mais ça ne s’est jamais reproduit.— Incroyable !... Mais t’as fait quoi alors quand t’as découvert que c’était du lait, que t’avais des pertes ?— Bah... A ton avis ?— ... Tu ... Tu m’as donné le sein ?!— Bah ouais !— (rires)— Et t’adorais ça en plus ! T’avais les yeux tout pétillants, moi je te tenais fermement, des fois ta tête s’enfonçait loin dans mon sein tant t’avais faim, j’avais peur de t’étouffer. — Elle est incroyable cette histoire ! Et tu l’as dit à papa ?— NooooooOOOON ! J’avais bien trop peur qu’il le répète à ta mère et qu’elle flippe, que la mère en elle se sente en danger !— (rires) J’avoue ! Bien senti !— Qu’est-ce que tu crois mon petit ! Bon, gâteau pour moi !
Ce soir, elle avait un bustier très raffiné. Evidemment, cette déclaration invraisemblable me perturbait. Je la trouvais avant tout très curieuse, vraiment inimaginable, puis je regardais rapidement la poitrine de Nicole, ma si belle belle-sœur, alors qu’elle se penchait pour avaler du gâteau. La soirée se prolongea comme ça longtemps, je lui fis des aveux concernant surtout mes relations amicales, ainsi que la petite histoire avec mon coiffeur. Elle me félicita pour ça, me disant à quel point il était important d’explorer sa sexualité à mon âge, me confessant ensuite qu’elle avait elle aussi goûté à quelques voisines dans son immeuble durant ses études.
Le bébé nous interrompit un moment. Il était tard et il réclamait son biberon en nous offrant des cris terribles. Nicole me dit sur le ton de l’humour, même si l’alcool l’avait un peu assommée, qu’elle mémorisait la taille de ma part de gâteau et qu’il était hors de question que j’y touche, pas avant le prochain secret.
Rapidement, je l’entendis marmonner dans la chambre voisine, puis passer dans le couloir, comme affolée, fuyant dans la salle de bains. J’étais inquiet. Je me levai pour la rejoindre, la porte n’était pas fermée, juste poussée, et j’entrai en même temps que je demandai si tout allait bien.
— Non... fut sa réponse alors qu’elle se tournait vers moi, et que je découvrais deux énormes aréoles au niveau de ses tétons...— Wooh... On dirait que ça recommence...— Cris, désolée de te demander ça... mais... il faut que tu m’aides...

Comme d’habitude : si vous aimez, je vous offre la suite ;)
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