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Les petites aventures de Manon

Chapitre 5

Divers
Manon est plus épanouie que jamais dans sa vie sexuelle actuelle. Sa relation avec Émilie est très jouissive pour elle et son amante, mais surtout, cela la change de ses plans habituels. Même si elle continue de s’amuser à droite et à gauche ainsi que de papillonner les week-ends, cela lui fait du bien d’avoir une sex-friend. Une confidente à qui elle peut se confier sur les choses les plus secrètes de sa vie (tant classiques que sexuelles). Déjà, l’année scolaire touche à sa fin et il ne reste plus qu’une semaine avant deux mois de vacances. Manon a donc prévu quelque chose de grandiose...
Pour commencer, elle compte bien profiter d’un mois de folie en compagnie d’Émilie. Elle aussi est prof (au lycée) alors elle a deux mois de vacances. Séparée de son ex, père de son fils, ils se partagent l’enfant un mois sur deux. Résultat, elle pourra être tranquille avec son amante pour un mois d’août de folie où elle espère bien avoir pleins d’autres plans comme elles ont déjà eu ensemble. Mais cela ne concerne que le deuxième mois. Pour le premier, elle passera une semaine chez ses parents avec ses frères et sœurs ainsi que leurs enfants. Après cette petite pause où elle restera sage, elle partira s’éclater seule. Une aventure qu’elle a l’habitude de faire depuis trois-quatre ans.
La semaine passe et le jeudi, Manon a la bonne surprise de voir Clémentine venir chercher Gabriella. Cette dernière est la fille du couple parfait à ses yeux : Claudia-Lorenzo. Elle, c’est la meilleure amie de Madame. Cheveux noirs en carré bouclé, énorme poitrine. Très sexe. Elle a souvent fait du rentre-dedans à la petite maîtresse qui n’avait pas froid aux yeux durant leurs petits échanges coquins en dehors des regards indiscrets. Cependant, venant rarement chercher la petite ces derniers temps, elle n’avait pas pu revoir Manon et cette dernière n’avait pas pu essayer de la mettre dans son lit, fantasme qu’elle avait mentionné à Émilie après une de leurs fameuses parties de jambes en l’air. Elle lui avait donné l’ordre de foncer dès qu’elle en aurait l’occasion, et là, elle en avait l’occasion. Alors qu’elle s’apprêtait enfin à commencer sa séduction, Clémentine la prend de cours.
— J’organise une fête pour fêter les vacances. J’aimerais beaucoup vous avoir chez moi. Lui dit-elle avec un sourire qui en dit long sur ses envies.— Oh... Ce serait avec plaisir.— Parfait. Je suis contente que tu acceptes ! Voici mon adresse :... On se voit samedi à partir de vingt heures.— Très bien, alors à samedi.
Manon n’en revient pas que ce soit passé aussi vite. Dans la foulée, c’est Émilie qui vient chercher son fils, après l’avoir vue avec Clémentine.
— Alors ?— Elle m’a invitée à une fête chez elle. Je n’ai même pas eu besoin d’agir qu’elle m’est tombée dessus. Comme quoi, il n’y a pas que moi qui peux me montrer direct et sexy.
Deux jours passent et le samedi soir arrive enfin. Manon s’habille d’une robe blanche avec un petit décolleté sans soutien-gorge, agrémenté d’un petit string en dessous. Bien maquillée, ses cheveux lâchés, elle se rend donc à l’adresse donnée par Clémentine. Cette dernière lui ouvre et elle est sublime ! Son énorme poitrine emprisonnée dans les bonnets de sa robe, qui semble trop petite, donnant ainsi l’impression que le haut de sa robe va se déchirer pour laisser jaillir ses deux obus. Celle-ci est rouge et descend jusqu’à ses chevilles, une fente au milieu permettant de voir l’intérieur de ses cuisses quand elle marche. Ses cheveux noirs en carré sont bien coiffés et les ondulations de sa chevelure ont un sublime volume qui la rend tigresse et très sexy. Sans oublier ses yeux marron accentués d’un mascara noir. Bref, Manon est en kiffe sur elle dès qu’elle la voit.
— Tu es magnifique Manon !— Merci. Toi aussi tu es sublime.— C’est vrai ? Tu aimes ?— Tu me plais vraiment beaucoup...— Alors c’est parfait ! lui répond-elle avec un grand sourire.
Décidément, elle y va franco dès le début.
La fête commence dans sa belle maison, les invités s’amusent. La tension monte crescendo et on peut dire que c’est une super fête. Manon discute avec quelques personnes qui semblent assez intéressées par elle, malheureusement pour celles-ci, sa cible du soir n’est autre que Clémentine. Elle croise ensuite Claudia et Lorenzo. Celle-ci porte une petite robe noire collée à son corps magnifique, moulant son cul venu du ciel. Certes, il n’est pas énorme, mais il est bien galbé, rond et rebondi. Ses petits seins sont emprisonnés dans le décolleté serré de la robe, pas de soutif notable. Elle est légèrement, mais joliment maquillée avec des paillettes sur les joues. Sa belle chevelure brune lui arrivant aux épaules est coiffée de la même façon que Mulan. Lorenzo est aussi très élégant avec sa veste de costume sur sa chemise, dont les derniers boutons ne sont pas fermés. Ils la saluent puis Lorenzo est interpellé par des connaissances, laissant Manon seule avec la belle d’origine portugaise.
— Vous êtes très belle. Et votre mari aussi est très élégant. J’ai toujours trouvé que vous formiez le couple parfait.— Oh, c’est trop mignon. C’est vrai que notre histoire a toujours été belle. Et toi aussi tu es superbe ! Tu n’as personne dans ta vie ?— Oh non... Je préfère... Enfin m’amuser pour le moment.— Je m’en doutais. Clémentine et toi semblez très proches. Je ne doute pas une seule seconde que vous allez passer une excellente soirée. Bon, je te laisse.
La nuit continue et Manon décide de passer à l’attaque avec Clémentine. Celle-ci avait fait le tour de ses invités avant de revenir vers sa cible, elle aussi.
— La soirée se passe bien de ton côté ?— Oui, super. Mais cela pourrait être mieux. Tu as quoi en stock ? Demande Manon avec un air coquin.— Tu ne sais pas à qui tu as à faire ma belle. Je suis une vraie déesse dans ce domaine. Je vais t’envoyer dans un autre monde.— Humm, j’ai hâte.- Mais pour le moment, on laisse la pression et la tension monter.— J’aime ta façon de penser. Je savais qu’on avait des points communs toutes les deux... — Je n’en doutais pas moi non plus. Répond Clémentine.— Il y a beaucoup de couples ici, mais aucun n’arrive à la cheville de tes amis.— Tu m’as l’air en admiration devant Claudia et Lorenzo.— Oh oui. C’est le couple parfait !— Je suis complètement de ton avis. Par moments, je la jalouse un peu. Rigole-t-elle avant de rajouter : elle a trouvé l’homme qui lui remplit le cœur d’amour et la chatte de jouissance. Elle en a de la chance.— C’est sûr... Tu sais, j’ai fait pas mal de plans à trois avec des couples, mais je rêve d’en faire un avec eux quand tu vois leurs passions.— Oh oui. Moi aussi !— Tu voudrais coucher avec ta meilleure amie ?— Ça ne me dérangerait pas. Elle si, je pense. Une fois après une soirée où on était pas mal bourré, on s’était embrassé avant de s’endormir. On n’en a jamais reparlé et ça remonte à nos dix-neuf ans alors... Mais quand elle me raconte à quel point son mari la fait jouir, ça me donne envie de participer une fois pour voir ça.— Je vois...— Regarde-les danser, tu vois la passion dans leurs regards ?— Oui, c’est vraiment excitant...— Ça veut dire qu’ils vont baiser. Dans quelques secondes, ils ne seront plus là... Dit Clémentine avant qu’une quinzaine de secondes plus tard, le couple s’éclipse.— Woah ! Mais t’as une boule de cristal !— Ah ah, non, mais presque. Ce n’est pas la première soirée que je fais avec ces deux-là. Allez, viens avec moi !— Quoi, on ne va pas aller les espionner quand même ?— Pourquoi pas ? Tu es une petite joueuse finalement ?— Sûrement pas ! Je suis juste surprise que tu mates ta meilleure amie.— Je les ai déjà surpris un jour, lors d’une fête pour leur fils au Portugal alors que je revenais de baiser la sœur de Lorenzo, hi hi. Et à leur mariage, je m’étais fait baiser par le témoin. Claudia nous avait vues et a regardé un peu, mais elle ne nous a pas arrêtées sur le coup.— Vous avez l’habitude du voyeurisme entre vous alors...— Disons qu’on ne le fait pas exprès, mais quand on tombe dessus, autant en profiter vite fait. Bon, cette fois-ci, c’est nous qui y allons avec l’envie de les voir, mais d’habitude, ce n’est pas fait exprès. Tiens, ils sont là, fais pas de bruits...
Pendant qu’elles parlaient, elles ont exploré la maison, jusqu’à trouver dans la salle de bain, les tourtereaux. Lorenzo a sa queue de dix-huit centimètres sortie avec la belle Claudia à genoux, en train de le pomper comme elle aime tellement le faire. Elle lèche le frein, tète le gland, pompe férocement le dard... Il la fait se relever et elle se retourne en remontant sa robe, tout en se dandinant, car celle-ci est collée à son corps. Elle se place en levrette contre le lavabo et se fait pénétrer par son mari. Il la tient fermement, une main posée sur son épaule, l’autre lui tenant la taille, tout en lui limant la chatte à un bon rythme. ‘Oh ouii mon amour ! Baise-moiii ! Ouiii ! C’est bonnn ! Hann, ahnnn, hannn’ gémit la belle femme alors que son homme halète également, la culbutant avec rage et amour.
Clémentine fait signe à Manon pour qu’elles s’éclipsent. Elle l’amène dans sa chambre. Directement, l’invitée l’embrasse et excitée comme elles sont, elles ne prennent pas la peine de faire monter le désir. Ce sont deux tigresses qui se jettent dessus. Elles font valser leurs robes et Manon plonge sa tête dans les obus de Clémentine. Elle lèche la chair généreuse sous les encouragements de cette dernière. Sa langue passe sur le téton qu’elle titille avant de le mordiller. C’est ensuite à son tour de se faire bouffer son petit 85B que son amante du soir apprécie beaucoup. Toujours sans aucune parole, elles s’embrassent avant de se positionner en 69, Manon sur le dessus. C’est comme si leurs corps parlaient pour elles, que leurs désirs sexuels étaient connectés et qu’elles ne faisaient que les suivre. Elles se bouffent la chatte en gémissant comme des bêtes sous les coups de langue de l’autre. Elles ont chacune leurs temps forts et font jouir leurs partenaires.
Elles se terminent en ciseaux.
Les jambes encastrées, leurs chattes collées ; leurs clitoris qui se frottent. Les ‘hannnns’ de Manon se mêlent aux ‘Ahhhh’ de Clémentine. Elle a le regard posé sur les deux énormes nichons qui remuent sur le buste de Clémentine en s’entrechoquant, car ils bougent en cercles. Les deux femmes sont prises d’un second orgasme, les éclaboussant toutes les deux de leurs cyprines. Elles reprennent doucement leurs esprits en se caressant mutuellement. Clémentine met des doigts dans la chatte de Manon et cette dernière lui malaxe les seins. Revenu à leurs états normaux, c’est la première qui brise la glace.
— Et bah... T’es sacrément chaude maîtresse.— Merci... Toi aussi. C’était extra... dit-elle en embrassant son sein le plus proche d’elle.— Tu aimes mes seins ? J’aime comment tu t’en occupes...— Oh oui, j’en ai rarement vu des comme ça...— ‘rarement’. Tu as déjà vu plus impressionnant ?— Oui, une Turque lors d’un plan à trois. Elle avait un 105G.— Ah oui quand même. Je n’aurais jamais cru que mon 95E aurait une aussi grosse concurrence...— Ne te prends pas la tête. Ils sont sublimes... dit-elle en lui léchant ses tétons érigés.— Comme les tiens ma belle... Lui répond Clémentine en passant sa main sur sa jolie petite poitrine.
Les deux femmes reviennent à la fête. Un nouvel arrivant vient d’ailleurs d’arriver. Claudia vient parler à Clémentine toujours aux côtés de Manon.
— T’as invité Diego !— Bah non... Pourquoi ?— Bah il est là !— Ah... Je ne l’avais pas vu venir. Je vais aller le dégager.— Non ! Surtout pas ! Je veux qu’il reste. Si tu le fais partir, il va s’en servir pour foutre la merde. Laisse-le. Mais tu aurais pu t’en douter quand même...— C’est vrai, mais j’avais autre chose à penser. Dit-elle en donner un coup de tête du côté de Manon.— Ahh, je vois. Vous avez fini dans le lit toutes les deux... félicitations...— C’est qui Diego ? Demande Manon.— Son ex. Son premier bisou. Dit Clémentine.— Il veut me baiser depuis notre adolescence et on s’est revu il y a quelques années au Portugal. Pour la faire courte, ma mère l’avait invité à une fête et il avait été lourd. Depuis, il est revenu vivre en France, a eu un poste dans notre boulot et il force pour me baiser au risque de se faire tuer par mon mari. Heureusement que je ne travaille pas avec lui. Il aurait pu être dans mon service. Explique Claudia.— Je vois... Il est plutôt beau gosse quand même. Mais tu as mieux avec ton mari.— (elle sourit) Oui, beaucoup mieux. Si tu veux, tu peux coucher avec lui. Il parait que c’est un super amant. Mais fais attention, c’est un connard. Dit-elle en partant retrouver son mari.— Comment elle sait que c’est un bon coup si elle n’a pas baisé avec ?— Moi j’ai baisé avec. Rigole Clémentine.— Je vois. Bon, tu vas me présenter.— Si tu veux. Allez viens.
Les deux femmes se dirigent vers ce Diego. Il lance un grand charmeur à Clémentine.
— Clémentine ! Super ta fête !— Je ne me rappelle pas t’avoir invité...— Pourquoi, ça te dérange ? Ou cela dérange Claudia ? Elle t’a dit quelque chose.— Elle m’a juste prévenue de ta présence, car je lui avais dit que je ne voulais pas de toi. C’est censé être une fête joyeuse et toi, tu veux trop créer d’histoire. Alors maintenant que tu es là, je veux bien te donner une chance, mais t’as intérêt à pas foutre la merde chez moi !— Bien compris Madame. Et bonjour à toi ma beauté.— Salut, je m’appelle Manon.— Très joli prénom pour une jolie femme...— C’est un peu trop classique pour un grand séducteur. Répond Manon.— Je commence en douceur, c’est pour ça.— Dépêche-toi de passer la seconde alors... Lui répond Manon.
La soirée bat son plein. À minuit, certaines personnes commencent à partir. Manon se fait draguer à plusieurs reprises par Diego et s’amuse à le faire tourner en rond. Vers une heure du matin, Claudia vient la voir, elle a l’air un peu éméchée.
— Ma petite Manon !— Tu es bourrée Claudia...— Non, ça va. Un peu, mais j’ai les idées claires. On va y aller avec Lorenzo. Je voulais te dire que tu avais été une super maîtresse pour notre Gabriella.— Merci, c’est gentil.—.- Profite de ta soirée. Dit-elle en déposant un baiser sur la joue de Manon, mais très proche de sa bouche, ce qui la fait frissonner.— Merci. Rentrez bien.
Elle voit Claudia rejoindre Lorenzo qui lui fait un signe de la main. Elle part ensuite sur le balcon prendre l’air. Ce balcon n’est pas très fréquenté depuis le début de soirée, elle est donc tranquille. Elle voit en bas le couple Claudia-Lorenzo commencer à partir. La jolie brune embrasse son mari qui lui pétrit les fesses. Elle lui susurre quelque chose à l’oreille et il lui sourit en lui faisant oui de la tête. Claudia s’accroupit, sort sa queue et l’embouche. Il pose sa main sur sa tête et lui baise de temps en temps la bouche gentiment avant de la laisser le pomper à son rythme. Elle regarde la pipe prodiguée par Claudia lorsqu’une main se pose sur son épaule et une autre sur sa bouche. Elle sursaute puis voit Diego. Sa bite est sortie et elle écarquille les yeux en regardant son morceau. Long de douze à treize centimètres, elle a une épaisseur vraiment énorme.
Mon Dieu ! Mais quelle bite ! Elle le prend en main et ses doigts ne peuvent même pas se rejoindre. Elle le masturbe doucement, et comme elle peut, tandis qu’il passe sa main sur ses fesses puis sous sa robe pour lui toucher la chatte. Les deux ont le regard fixé vers la scène qui se passe en bas. Claudia s’est relevée et a remonté sa robe pour relever sa jambe et se faire pénétrer d’une traite. Il lui lime la chatte de cette manière tout en l’embrassant. Elle gémit, embrasse son homme, et gémit à nouveau. Manon susurre à l’oreille de Diego.
— Elle t’excite ?—... Oui...— Tu veux te la taper ?—... Oui...— Il la baise tellement bien, ça t’énerve ?— Grrrrh.
Les deux finissent de baiser. Manon en conclut qu’il vient de lui remplir la chatte. Ils les regardent s’en aller.
— Un jour, je la baiserai !— Non, ça n’arrivera jamais. Mais moi, tu peux me baiser.
Manon se met à genoux et commence à lui pomper le gland. Elle le masturbe difficilement en suçant son gland et essayant de la prendre plus en profondeur. Elle lui donne ensuite de petits coups de langue. Elle a l’impression d’avoir une langue minuscule par rapport à l’énormité du gland de Diego.
— T’as déjà vu une bite aussi grosse en épaisseur ?— (Fait non de la tête en continuant ses léchouilles)— J’en étais sûr. Suce ma grosse bite petite pute.
Il lui prend sa chevelure et lui fait une queue-de-cheval tout en lui donnant des coups de bites, mais celle-ci est trop épaisse pour rentrer sans lui disloquer la mâchoire. Il la relève et la retourne. Manon se retrouve baisée en levrette par une énorme bite qui déchire les parois de sa chatte qui en a pourtant vu un bon paquet passer. Il lui tire les cheveux en la défonçant comme un malpropre. La belle n’a d’autre choix que de gémir fort ‘Ahhh ! Ahhh ! Hannn ! Ahh !’ et de finir par jouir. Le Diego passe ensuite dans son cul et le lui casse, toujours sa chevelure brune dans sa main, en rajoutant de grosses fessées.
— T’aimes ça salope ?— Ahhhh ! Ouiiiiiii ! Défonce-moi le cuuuuuul ! Ohhhhhhh ! Je jouiiiiiis !
Il se retire pour exploser sur son gros fessier bombé.
— Tu vois ce que tu as ressenti. Claudia finira par le ressentir.— Elle ressent beaucoup plus avec Lorenzo... Tu as beau être un bon baiseur, tu n’auras jamais ce que lui a. Ce qui l’a fait chavirer. En plus de super bien la baiser, il la rend heureuse. À un point qu’elle s’en fout complètement de toi. Il faut que tu admettes ta défaite. Lui dit-elle.—...— AHHH !
Il lui donne une énorme claque sur la fesse qui n’est pas souillée de son sperme. Il part tandis qu’elle reste un peu là, à réfléchir. Manon retourne ensuite à la fête. Il ne reste que quelques personnes qui s’en vont. Puis elle se retrouve seule avec Clémentine.
— Alors, comment c’était avec Diego ?— Vous aviez toutes les deux raison. C’est un bon coup et un connard... Mais à part ça. J’ai encore envie de toi...
Clémentine ramène Manon dans sa chambre et elles finissent une nouvelle fois dans le lit pour prolonger le plaisir de cette fête rien que toutes les deux.
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