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Les petites chroniques sexuelles de Cris

Chapitre 1

Vite! Le coiffeur!

Gay
C’était en fin d’après-midi, par une journée d’hiver particulièrement brumeuse et froide. Au cours de la journée, on m’avait annoncé au travail que le lendemain, j’aurai à assurer le déroulement d’un rendez-vous professionnel particulièrement important, et la première chose à laquelle je pensai à ce moment-là fut : merde, mes cheveux ! Effectivement, j’avais particulièrement tardé dernièrement pour aller chez le coiffeur, et mes cheveux en broussailles ne ressemblaient vraiment pas à grand-chose. En quittant le travail ce jour-là, autour de 18h30, j’espérais fortement (le désespoir grimpant) trouver ma coiffeuse encore au salon afin qu’elle arrange tout ça. En fait, ma coiffure était surtout pour moi synonyme de confiance en moi. Avec une coupe fraîche, j’ai tendance à trouver que j’assure beaucoup plus, et je pense que c’est le cas dans les faits.
Bref, je sors du bus en trombe et cours pour arriver devant le salon, dont les lumières sont encore allumées, mais donc la grille est baissée à moitié. Merde ! J’appelle la gérante, que j’imagine au fond du salon, en criant « Anita ! Anitaaaaaa » jusqu’au moment où un grand type baraqué arrive, me demandant ce que je cherche à beugler comme ça. Je lui explique la situation, lui disant que je suis un client de longue date, que je connais Anita, la gérante, personnellement, et qu’il est vital que quelqu’un m’arrange les cheveux. Le grand gars costaud m’explique qu’Anita est en congé, et que la direction l’a chargé de s’occuper du salon pendant les 3 prochaines semaines. Il commence à m’expliquer qu’il ferme et que ce n’est pas possible blablabla... J’essaye de le convaincre, il me dit de passer le lendemain à l’ouverture, « mais ma présentation a lieu à 8h », alors qu’il n’ouvre qu’à 9h.
J’essaye de lui faire les yeux doux, mais pas sûr que ce soit le genre de gars sensible à mes charmes. Je finis par lui tendre 40€ (contre les 20 habituels) et il me fait entrer. Enfin, façon de parler. Je me plie en deux pour passer sous la grille, et me voici dans le salon. Victoire.
En entrant, je m’aperçois non pas que je l’ai stoppé dans son ménage, mais dans la descente d’une grande et fraîche bouteille de Guinness noire. Noire comme lui. Il est blasé à l’idée de devoir ranger sa bière sous le comptoir, professionnalisme jusqu’au bout, mais je l’arrête en lui disant que ce n’est vraiment pas gênant. Il acquiesce avec un grognement, et vide une bonne partie de sa bouteille – le son en témoigne, presque vide, ample. Il allume de la musique, du hip-hop assez relaxant, baisse la grille et revient finalement vers moi en me tendant un peignoir, m’invitant de son bras musclé d’aller au shampoing. Surprise, alors qu’il ouvre une deuxième bière – dont le psssschit est particulièrement gras – il m’installe comme un prince, en actionnant le mode massage du fauteuil. C’est une dinguerie ! Alternant alors gorgée de bière fraîche avec mon shampoing, et le fauteuil qui me relaxe comme jamais, je perds pied avec la réalité.
Je ne sens plus que ses doigts épais me masser le cuir chevelu avec une dextérité et une tendresse phénoménales. Doucement, mais avec une poigne virile, il me malaxe la tête, et un début d’érection se fait sentir sous ma braguette. Heureusement, j’ai le peignoir, mais tout de même, il faut que j’essaye de la maintenir à l’état demi-molle. Mais c’est foutrement difficile. Savoir qu’il pourrait me briser en deux avec ses doigts m’excite comme une petite pucelle. D’autant que ses doigts glissent allègrement sur mes tempes, ma nuque, et, dans mon imagination, le long de mon cou pour venir tâter mes pectoraux, jusqu’à mon bas-ventre timide et ma queue bien dure...
Houla !! Calme-toi ! Reprends rapidement le contrôle, redescends sur terre si tu ne veux pas te faire botter le cul ! Le grand gars me demande si tout va bien, je réponds baveusement – enfin comme si j’étais anesthésié – que « hmoui-oui c’est super ». Il me rince alors et rapidement, nous passons au fauteuil pour la coupe. Je lui explique en essayant de maintenir le contact avec son regard, et je me sens rougir, en fait, je me vois même rougir – vision périphérique – dans le miroir juste en face de moi. Il me demande si je préfère les ciseaux ou la tondeuse. Je réponds, sans hésitation aucune, « les ciseaux ». Depuis gosse, les ciseaux m’électrisent, et effectivement, à peine a-t-il commencé que mes poils se dressent : je suis pris de délicieux frissons. J’adore ça. Et de savoir que ça va durer un moment me plonge de nouveau dans un état second.
Là encore, ses mains sur ma peau, frottant mes cheveux, comme le ferait un amant fouillant mes cheveux durant un long baiser, ou une femme me bloquant entre ses cuisses.

Alors, petite info à toi lecteur, je suis hétéro curieux. Plutôt bi en fait, car je fantasme beaucoup sur les sexes masculins, ainsi que sur les trans ou « shemales ». Mais je n’ai jamais eu l’occasion, en fait, je n’ai jamais rien provoqué avec un homme, mais ce soir, je sens que si une sorte de feu vert s’allume devant mes yeux, je pourrais bien être capable de lâcher prise.

Ce grand mec costaud s’avère être formidablement doué. Il me sort un dégradé sur les côtés d’une perfection quasi chirurgicale, dont je m’empresse de lui faire remarquer. Il en est très flatté et, un peu ragaillardi, pose les ciseaux, passe derrière le comptoir et me tend une bière, que j’accepte volontiers, avec un sourire certainement de groupie, je le sens, je vois avec des étoiles dans les yeux, surtout au moment où il se présente et m’avoue s’appeler Nick. Il décapsule ma bière, toujours ce son bien gras, et me la tend, renversant à cause de son engouement un peu de mousse sur ma cuisse. Aucun souci Nick. Nous buvons et commençons à discuter. La conversation passe rapidement à Anita, la gérante qu’il remplace, et donc il me fait de sacrées révélations à la suite de mon « Si j’avais dix ans de plus, je l’aurais invitée à boire un verre tant elle est canon et sympa ! ». A la suite de quoi il me répond « moi je les ai les 10 ans de plus, et je l’ai invitée à sortir ».
Je me sens tellement naze, je m’excuse ne sachant pas où me mettre, me disant que si c’est sa gonzesse, il pourrait m’arriver des bricoles avec ces ciseaux à 2 mm de mon visage. Mais il rit, et boit de plus belle, en me disant que ça ne s’est passé qu’une seule fois. Je lui demande pourquoi, me calmant enfin. Il m’explique alors longuement sa démarche pour l’amener à accepter son invitation, Anita ayant fait preuve de beaucoup de réticences, pour lui donner un oui après plusieurs longues semaines de travail. La soirée passée, Nick est invité à monter boire un dernier verre. Rapidement, Anita lui saute dessus et les choses s’emballent. Nick sent bien que le toucher ses seins ont quelque chose d’original, pourtant lorsqu’elle glisse entre ses cuisses pour le sucer, il se dit qu’il a là affaire à une vraie experte, tant elle semble affamée.
A ma façon de le regarder et de l’écouter, Nick sent que je suis à l’aise et qu’il peut s’épancher sur les détails, se délectant ainsi à me dire qu’elle le suçait en lui offrant des gémissements adorables, le dévorant des yeux alors qu’elle essayait d’avaler sa longue queue, bavant au sommet de son gland pour malaxer royalement son engin, s’amusant à gober ses bijoux de famille, et allant même jusqu’à lui donner quelques coups de langue bien placés sur l’anus. Moi, je ne pouvais que comprendre son plaisir, tant j’avais imaginé de nombreuses fois cette même Anita m’offrir ce genre de traitements - même si je l’imaginais à chaque fois très soft, très princière, très correcte, car cela collait mieux à son allure élégante et raffinée - même si, qu’on se le dise, elle était CA-NON. Bref, notre cher Nick se faisait, comme il le résuma si bien « bien bouffer la bite », quand la soirée prit un tournant inattendu.
Anita, les lèvres gonflées de désir et le menton trempé de salive odorante et gluante, lui chantonna d’un œil aguicheur « à ton tour ». Nick, un peu perplexe, souleva sa conquête pour l’installer sur un fauteuil bien confortable, et très profond, dans lequel Anita aurait tout le loisir de s’étaler, et Nick de lui offrir un cunni confortable et foudroyant de plaisir. Mais alors qu’il lui redressait les cuisses au niveau du ventre, il comprit qu’il ne trouverait pas de sexe féminin sous ce tanga si sexy... mais au contraire, une bite. Bite qui pour le moment n’était pas bien grande, mais qu’il imaginait facilement atteindre les 16 centimètres... Pas rien pour un hétéro. A ce moment, Nick leva les yeux vers Anita, qui le regardait avec ses yeux de chaton, légèrement inquiets, et alors il pensa « Rien à foutre ! », lui retira son tanga, et fit ce qu’il avait à faire.

J’étais fasciné par la tournure de cette histoire. Il ne m’en dit pas plus, si ce n’est qu’ils avaient tous deux passés une surprenante soirée, mais il n’y eut jamais de deuxième fois, non pas qu’il n’avait pas aimé cette nuit si singulière et riche en expériences, mais il souhaitait se caser avec une femme pour lui faire des enfants. 10 ans plus tôt, il aurait été ravi de poursuivre cette découverte si excitante.

A ce moment, Nick me jeta un coup d’œil complice et reprit son travail, s’attaquant au sommet de mon crâne. Il vint se mettre sur mon côté gauche, et alors, sans savoir pourquoi, je tournai la tête à gauche et vis que sous sa braguette était apparue une bosse qui n’était pas là 10 minutes plus tôt. Une bosse ? Une montagne ! Un serpent, commençant légèrement à droite de sa braguette, et fuyant jusque dans sa poche gauche. Un tour colossal. Et sans trop savoir comment, soudain poussé par un élan de courage et d’audace, je posai mes deux mains, sensuelles et affamées, sur cette bosse prometteuse, levant les yeux pour lui dire comme la dernière des coquines : « Moi je suis encore à l’âge des découvertes... »
Vous pourriez penser qu’un moment de flottement aurait émergé dans ma tête, mais je savais qu’il n’y avait qu’une issue possible à cette situation, et elle m’était favorable. Evidemment, Nick était excité à l’évocation de cette soirée avec Anita, aux souvenirs de cette femme si splendide en train de le sucer avec passion et en faisant des bruits de bouches plus qu’évocateurs. Cependant, j’étais aussi persuadé qu’il n’aurait pas pu bander sans honte devant un type s’il n’espérait pas y gagner quelque chose au bout du compte. C’est pourquoi Nick ne me répondit qu’avec un grognement des plus sauvages, lâchant peigne et ciseaux et de sa main gauche, déboutonna son jean, de sa main droite commença à caresser mes cheveux et ma nuque.
Rapidement, son pantalon vint saluer ses chevilles, et une odeur familière vint me chatouiller les narines. Plus puissants que l’adrénaline, ces effluves me rendirent extatique ! D’un coup, je devins affamé. Je n’avais plus qu’une envie, c’était de pouvoir poser ma langue chaude, moelleuse et frémissante, pleine de bave, au bas de sa tige, pour remonter jusqu’à son gland et goûter ainsi ma première bite d’homme... Hmmm... Je sentais que ce moment serait unique dans ma vie, je sentais qu’il me faudrait en profiter chaque seconde, chaque regard, chaque caresse, chaque goutte de spe...

La suite si ça vous plaît ;)
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