Nick était donc là, à ma gauche, sirotant sa bière en me jetant des regards tantôt calmes, tantôt pervers. On pouvait sentir que l’excitation était en train de prendre le contrôle de son corps, de le manger, on sentait que le diable prenait les rênes... Voir ça était terriblement excitant ! Il faut dire que son jean était sur ses chevilles, et que mon visage était à moins de 5 centimètres de son caleçon sous lequel commençait à s’agiter un serpent, un python, prêt à cracher son succulent venin, et qu’il avait passé les 10 dernières minutes à évoquer une bouche suçant une queue. Réaction somme toute humaine. Mes mains tremblantes commençaient à tâter le tissu, timidement, glissant de droite à gauche. J’avais envie de faire ça bien, de lui faire du bien, mais son sexe était impressionnant, je n’osais pas le déshabiller, car, pour ma première fellation, j’avais là un gourdin de chair moite et odorante à faire juter... et mon tremblement ne m’aidait en rien. Nick me regardait en me caressant tendrement la tête et la nuque, comprenant ma timidité, et m’aida à me relever. Il retira son jean et m’installa de nouveau au fond de la boutique, au niveau des bacs à shampoing. Avec toute la douceur du monde, il m’aida à m’allonger sur le fauteuil, le fit coulisser en arrière, et alluma le massage. Il me lava de nouveau les cheveux, mais avec beaucoup de soin, en me parlant avec sa voix grave et sensuelle, me disant de ne pas m’inquiéter, que tout allait bien se passer, et que j’allais adorer ça. Et cette fois, ses mains glissaient sous mon t-shirt, il caressait avec plaisir mes pectoraux, j’étais sûr qu’il s’attendait à toucher un corps plat, des côtes saillantes, mais il trouva une belle couche moelleuse de muscles et de nerfs tendus, qu’il caressait avec délice, je le sentais. Ses mains s’aventuraient, soulignant mes muscles, frôlant mes tétons... Je m’endormais, vraiment, il m’hypnotisait avec sa voix, avec ses caresses...Je bandais dur, mais cette paix soudaine m’anesthésiait. Jusqu’au moment où je ne sentis plus ses mains sur mon crâne, sur mon corps, et que quelque chose vint heurter mon nez, provoquant chez moi un mouvement de recul. En ouvrant les yeux, je me trouvais nez à nez avec sa longue verge, bien tendue vers moi, son gland me regardant la larme à l’œil...Mes mains ne m’obéissaient plus, elles sautèrent sur son énorme sexe. L’une alla encercler ses lourdes couilles, l’autre enserra sa tige et glissa jusqu’au gland. De l’index, je récupérai la goutte qui y perlait et y goutta avec envie. Je faisais souvent ça quand je me branlais en solo, j’attendais avec impatience que mon sexe produise ses premières gouttes liquides et salées, un vrai régal. Je pressai donc son sexe pour avoir droit à ce nectar, Nick me regardait avec ses yeux remplis de promesses. Il me regardait faire avec délice. Pour lui aussi, c’était la première fois qu’un mec le branlait, alors il n’avait pas vraiment de protocole en tête. Tout se faisait au feeling, avec beaucoup de bienveillance. Il continuait de siroter sa bière, faisant des bruits d’aspiration qui en disaient long... Je perdais moi aussi le contrôle, et m’avançai pour donner un baiser sexuel au bout de sa queue...J’étais dans un état second. Caresser et serrer ses couilles me faisait vraiment énormément d’effet. Je ramenai souvent une de mes mains vers ma bouche pour la renifler et baver dessus, pour pouvoir le masser avec plus de délicatesse. Je voyais qu’il adorait ça, et effectivement, il s’approcha, me proposant de commencer par goûter ses gros testicules, ce à quoi je répondis par un grand sourire. Son torse était juste au-dessus de moi, il était là, triomphant, à la verticale, et je ne voyais plus que sa tête penchée pour me regarder faire. Il plia légèrement les genoux et ses couilles se posèrent sur mon nez, glissèrent vers ma bouche, qui les récupéra avec avidité, mes lèvres les aspirant... Ça y est ! Mon premier contact. Ma première couille en bouche... hmmm... quel délice ! Pourquoi s’emmerder à cuisiner, à faire de la pâtisserie, à explorer de nouvelles saveurs, alors que des grosses couilles odorantes répondent à tous nos besoins ?! Mais j’avais envie de le regarder dans les yeux. Je lui dis. Lui avouant que je le trouvais beau, que j’avais envie de le regarder et qu’il puisse voir ma langue glisser sur la peau de ses couilles, tandis que je le fixai avec mes yeux de salope... Instantanément, nous échangeâmes nos places, et je vins me mettre à genoux devant lui. Cette position m’excitait...Je savais bien qu’en moi sommeillait une petite chienne qui rêvait de servir sexuellement un homme costaud et viril. Sa main vint se poser derrière ma nuque, et je repris mes coups de langue, le dévorant des yeux. Il me demandait sans arrêt si j’aimais ça, je lui répondais en couinant, avec des « ouiii » très féminin, très soumis. Et ça le rendait fou... Et je n’en étais qu’à lui bouffer les couilles, à les déguster doucement, comme une glace. Par respect, il ne se caressait pas, son sexe restait droit, érigé, fier, du haut de ses quoi ? 23 centimètres ?! Quelque chose de cet ordre-là. Mais ce qui me plaisait le plus, c’était son épaisseur. Tout comme moi, il avait un sexe épais, un sexe vraiment viril, un sexe de conquérant. Et des couilles épaisses, elles aussi, pleines, j’en étais persuadé. Son odeur me rendait fou, j’avais envie de goûter à son cul, de lui bouffer le cul comme j’avais plus le voir si souvent dans des vidéos, ou des femmes mûres et aux mensurations énormes léchaient des anus jusqu’à faire jouir leur partenaire. C’est ce que je voulais. Mais je restai cantonné à ses couilles, et il prenait son pied. J’alternais entre petits coups de langue et aspiration subite, pour avoir une, voire deux couilles en bouche... ça avait pour effet de me faire baver et j’allais alors cracher ce sirop de bave sur son gland, qui brillait et dégoulinait, car je lui offrais ce massage de la langue depuis plus de 10 minutes déjà. Et d’un coup, il jouit...
