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Les 5 petits cochons

Chapitre 3

Un cochon inconnu

Divers
Ce fut avec un plaisir intense que je terminai ce week-end, en alignant les longueurs dans ma piscine. Je mis un maillot de bain assez minimaliste, à la limite de l’indécence. J’espérais secrètement provoquer mon neveu pour voir jusqu’où il pourrait aller. Hélas rien ne semblait le troubler si ce n’est les sons bizarres qui sortaient de sa console et qui le faisaient réagir par onomatopées. Même quand je retirai le haut, dévoilant, face à la porte, ce qu’un ancien amant appelait « mes grosses mamelles », il ne leva pas les yeux de son jeu. En me faisant sécher, allongée sur un transat (cette fois-ci sans serviette à portée de la main), j’espérai découvrir son ombre s’approcher et le découvrir debout à côté de moi admirant ma quasi-nudité. Mais rien ne se passa (à ma grande déception, je dois bien l’avouer), même si j’étais bien en peine d’imaginer quelle aurait été ma réaction).
C’est donc un peu ronchonne que je me dirigeai vers la douche. Je poussai le vice à poser mon maillot de bain, avant de rentrer, imaginant dans mes fantasmes, ne plus le retrouver en sortant. La douche froide calma un peu mes ardeurs même s’il elle fit gonfler mes tétons. En me savonnant, je regardai sur le côté de la cabine, mais le trou dans le bois était toujours bouché. Rejetant la tête en arrière, fermant les yeux, je me lavai les cheveux. Après les avoir bien rincés, clignant des yeux, je jetai un œil sur le côté et sans surprise (je dois l’avouer) constatai que la cheville avait disparu, laissant place à un petit trou sombre, se confondant avec le nœud du bois, dans lequel il avait été percé. Un œil m’observait !!! Mais qui ? Mon beau-père, mon neveu ???
Cette incertitude et l’exhibition quasi forcée à laquelle je me livrai m’excitaient au plus haut point et je décidai, quel que fût le spectateur, de lui en donner pour son argent (plutôt pour son œil). Je me tournai d’un quart de tour sur la gauche, face au mateur et commençai à me caresser les seins. Je les pris par en dessous, tournant autour doucement, les rapprochant l’un de l’autre, les lâchai d’un coup et recommençai. Puis me mouillant les doigts, je fis rouler mes tétons entre le pouce et l’index, les étirai, les faisant durcir, gonfler, s’allonger. Mes pointes de seins ont la capacité de beaucoup gonfler quand ils sont sollicités.
— Putain ces cacahuètes, me disait un amant qui adorait me prendre en levrette et tirer dessus.
Voulant assurer le spectacle et m’assurer que l’observateur n’en perde rien, et afin d’ augmenter son champ de vision, je me reculai au fond de la cabine et, écartant bien les jambes, je me mis à m’occuper de ma chatte. Je savais faire ! Mon mari me demandait souvent de me branler devant lui et j’arrivai à le faire décharger, souvent, sans le toucher. Je commençai par sucer deux doigts, mimant une pipe tout en frottant l’autre main sur mon sexe. J’ignorai si cette exhibition excitait le partenaire de jeu, inconnu, en tout cas moi je mouillai comme une possédée. Prise à mon jeu, j’avais une envie folle de jouir. L’idée d’être observée, d’imaginer un homme inconnu se masturbant derrière les planches m’excitait au plus haut point. Bientôt, je ne pensai plus qu’à mon plaisir et à mon orgasme en devenir. Alors, me tournant, penchée en avant, écartant le plus possible les jambes, récupérant de la mouille dans ma chatte, je m’enfonçai le majeur dans le cul.
Je m’écartelai littéralement, essayant de l’enfoncer le plus profond possible, à la rencontre des deux autres doigts qui l’attendaient au plus profond de mon vagin. Les contractions vinrent vite. La cyprine coulait le long des cuisses. J’eus juste le temps de me retourner pour offrir à la vue les trois jets qui jaillirent de mon vagin, accompagnés de mes grognements de femelle en rut.
Épuisée, j’ouvris le robinet et restai longtemps sous le jet glacé pour me calmer et m’interroger sur mon attitude. En sortant, enroulée dans ma serviette de bain, je constatai que le maillot de bain était toujours en place, faisant le tour de la cabane de douche, juste sous le petit cache, je ne fus pas surprise de découvrir trois traces humides. Un liquide blanc était accroché dans une fente, je goûtai, c’était bien du sperme. Le constat était évident, mais l’interrogation demeurait. Qui avait déchargé en me matant ? Le soir et le lendemain, je ne remarquai pas de changement dans le comportement de mon neveu. J’étais dans l’expectative la plus totale quant à ses envies et aux miennes.
Le mercredi soir, Philippe me téléphona pour me proposer un panier de cerises de son jardin en échange d’un apéro. Je n’étais pas dupe, comprenant bien qu’il attendait autre chose qu’un apéro pour venir à la maison en l’absence de mon mari. J’avais une heure devant moi, et ayant abandonné tous scrupules en matière de sexe et de fidélité, je me préparai en conséquence. Je pris une douche, me « récurai » avec soin. Les ongles rouge vif, un lipstick, très fluide pastel, un maquillage léger sur les yeux. J’optai pour une petite robe d’été rouge vif à motifs noirs et blancs, assez courte (mi-cuisse) et décolleté plongeant. J’envisageai un instant d’être nue dessous, mais après essai, je dus admettre que mes gros seins étaient ingérables avec un tel décolleté. Je voulais séduire, émoustiller, pas passer pour une pute à matelots. Par contre, rien ne m’obligeait à porter un string, je m’en abstins donc.
Vite, vite, préparer le salon : canapé pour lui, faisant face à un vieux fauteuil effondré où je m’installerai. L’avantage du fauteuil malgré son inconfort résidait dans l’effondrement de l’assise. Une fois installée, les jambes étaient automatiquement relevées. Il suffisait d’écarter les cuisses pour montrer que la canicule imposait de s’habiller « léger ». Pour s’extraire, c’était encore pire, car il fallait quasiment battre des jambes pour se relever. Verser un verre de champagne en me penchant bien en avant devait permettre à Philippe de comprendre que je n’étais pas indifférente à un solide coup de bite. Je comptai d’ailleurs le rassurer d’entrée en lui annonçant que mon neveu était de sortie ce soir et qu’il rentrerait tard dans la nuit.
Je venais juste de finir d’installer, mon petit théâtre personnel quand le coup de sonnette me fit bondir jusqu’au portail, au fond de la cour. Il attendait, son panier à la main, tout sourire et j’imaginai bien que comme moi, il songeait plus à une partie de jambes en l’air qu’à un clafoutis. Je le remerciai chaleureusement en lui claquant deux bises appuyées. Je l’invitai à entrer, le précédant en tortillant généreusement des fesses. Je récupérai le panier de cerises et lui proposai de s’installer dans le canapé. J’allai jusqu’à la cuisine, ranger les fruits et revins, porteuse d’une bouteille de champagne et de deux coupes, je posai le tout sur la table avant de m’affaler sur le fauteuil, en remontant le bas de ma robe. Fatale erreur, là ce n’était plus de la provocation, mais un appel au viol. J’étais obligée de m’asseoir, jambes serrées en biais, car la robe était tellement remontée, qu’il aurait une vue directe sur mon sexe.
Il avait d’ailleurs dû s’en rendre compte, car ses oreilles étaient écarlates, nous devisâmes cependant gentiment, banalement, le temps, le travail, les vacances prochaines, pendant qu’il nous servait. Les coupes à champagne ont l’avantage d’être élégante, mais l’inconvénient d’être difficiles à utiliser. Un long trajet est exclu pour porter la coupe, remplie à ras bord, aux lèvres. Il prit son verre, et m’invita à trinquer. J’essayai d’attraper ma coupe avec classe, mais dans ma position c’était impossible, alors assumant totalement, j’écartai les jambes, me redressant en avant, offrant à la vue de mon ex et futur amant, une vue imprenable sur mes seins et la fente de ma chatte. Je sirotai les bulles sereinement sans plus de pudeur, robe relevée, cuisses écartées. Et pour bien lui montrer que l’on avait autre chose à faire, je trempai deux doigts dans le fond du verre et lui dis en riant :
— Il y en a qui se mettent du champ derrière l’oreille, moi je le mets ici.
En écartant plus les jambes, soulevant le peu de robe en place, je glissai les deux doigts sur ma chatte.
— Viens on va aller dans la chambre d’amis !
Il se levait déjà quand la porte s’ouvrit avec fracas sur mon neveu visiblement en rogne.
— Putain !!! Les parents de Kevin sont complètement ouf !!!! Ils nous ont jetés de la soirée qu’il avait organisée.— C’est bête !! l’assurai-je sans aucune conviction !— Va te chercher un verre Romain, pour trinquer avec nous, l’encouragea Philippe.
Quel con, pensai-je, il va s’éterniser.
— Philippe a apporté des cerises, je ferai un clafoutis.
Traînant des baskets, l’importun neveu vint s’avachir sur le canapé, sa canette de coca à la main. Je pensai aussitôt à ma tenue. J’essayai de remettre mes jambes serrées sur le côté du fauteuil et de rabattre autant que faire se peut ma robe retroussée. Hélas, le tissu coincé sous mes fesses refusait de bouger. Je restai donc dans une position inconfortable, malgré tout gênée que mon neveu Romain ne quittât pas mes cuisses des yeux. J’étais morose, déçue, ne participai pas à la conversation entre les deux mecs. La soirée était foutue, je n’avais même plus envie de me masturber ce soir.
— Alors, on n’attend pas l’ancien !!!!
M..... manquait plus que lui. Toujours en terrain conquis, mon beau-père venait, sans sonner ni toquer à la porte, investir les lieux.
— Qu’est-ce qu’on boit ? Du champagne, j’aime pas !!! apporte-moi un whisky Claudy !!!!!!!! Avec beaucoup de glaçons !!! ajouta-t-il.
Je me levai, le plus discrètement possible, quasiment sur le côté, mais mes fesses collaient au cuir du Chesterfield, et ne me facilitaient pas les choses. Je crus réussir, mais en m’éloignant au plus vite, j’entendis le vieux s’exclamer en riant, donnant un coup de coude à son copain.
— T’as perdu ta culotte Claudy !!!!!!!!!!!!
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