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Les 5 petits cochons

Chapitre 4

Un jeune cochon

Divers
La soirée fut morne. Les deux hommes partis, je restai seule en tête à tête avec Romain. J’étais d’humeur chagrine, agacée par ma partie « de jambes en l’air » avortée et surtout par la réflexion du beau-père. J’étais remontée dans ma chambre prendre une culotte, jetant le string dans la corbeille de linge sale. Je me disais qu’au moins le jeune branleur en profiterait peut-être. Je n’avais pas eu envie de faire à manger et le neveu avait commandé des pizzas. Je grignotai ma « quatre fromages » quand Romain me demanda :
— Tata, dis-moi pourquoi tu ne portes pas de culotte ?
Je faillis m’étrangler et cherchai une réponse cohérente à cette interrogation.
— Qui t’a dit ça ? Je porte une culotte ! Evidemment !— Pourtant Granton (surnom donné à mon beau-père), l’a dit tout à l’heure, et même s’il n’avait rien dit, on avait tous vu que tu n’avais rien.
Je n’allai quand même pas lui dire que « c’était pour exciter Philippe et pour qu’il mette sa bite dans ma chatte, le plus vite possible », alors je bredouillai.
— Quand Philippe est arrivé, j’étais sous la douche, je me suis dépêchée et comme je ne trouvais pas de culotte, j’ai enfilé une robe vite fait.— Et là, tu en as une ?— Quelle question, évidemment.— Je te crois pas, dit-il en riant.— Fais voir !!!— Ah bien toi, tu ne manques pas d’air !!!— Et ça c’est quoi !!! lui dis-je en remontant ma robe.— Et tu as un soutien-gorge ?— Tu as vu les seins que j’ai, comment veux-tu qu’ils tiennent sans soutien-gorge ?— Tu me montres tata ? Allez ! s’il te plaît ?— Franchement t’es gonflé, je vais le dire à ta mère !— Si tu lui dis, moi je lui dirai autre chose, et puis j’ai vu bien plus, ajouta-t-il avec un petit sourire canaille.— Qu’est-ce que tu veux dire !!! m’emportai-je un peu.— Si tu retires ta robe, je te le dis.

Après tout, c’était un bien petit sacrifice pour apprendre des « choses » et peut-être avoir des réponses à mes interrogations. Prenant le bas de la robe, la faisant passer par dessus la tête, j’offris au neveu la vision de sa tante en petite tenue. Ce devait être sexy, car il était écarlate, d’autant plus que le soutif balconnet peinait à contenir les gros nibards, révélant même le haut de l’aréole du sein droit, me tortillant un peu, je réajustai tout ça.
— Alors je t’écoute... qu’as-tu vu de si intéressant ?— Je t’ai vue toute nue sous la douche, je t’ai même vue te caresser !— Et depuis quand petit cochon ?— Depuis l’année dernière, Granton a fait un trou dans les planches et il te regarde souvent, et moi aussi j’en profite.
Cette fois c’était moi qui étais écarlate, je m’étais assise, sans me rhabiller, grignotant d’un air absent, ne sachant que répondre. Non seulement mon jeune neveu me regardait me branler, mais en plus, mon beau-père se rinçait l’œil depuis un an, il avait dû aussi me voir sucer son fils, ce que je faisais souvent, sous la douche, après la baignade.
— J’espère que tu garderas tout ça pour toi, car moi aussi je sais des choses sur toi.— Et lesquelles ? se rebella-t-il.— D’abord que tu regardes par un trou ou une fente dans les planches quand je prends ma douche, ensuite que tu te masturbes dans mes sous-vêtements – d’ailleurs tu en mets de sacrée couche. Tu crois que ma sœur te laisserait ici, avec moi ?— C’est juré tata, je ne dirai rien !!!— Dis-moi alors, pourquoi tu me regardes prendre ma douche et pourquoi tu te masturbes dans mes affaires ?— Tu me fais trop envie tata, je m’excuse.
Je partis d’un éclat de rire, puis d’une voix douce pour qu’il ne s’imagine pas que je me moquais de lui.
— Tu n’as pas de copines pour coucher avec ?— Si mais c’est toi qui me fais envie !!!
Cette discussion à haute valeur intellectuelle, ne me laissait pas indifférente : devant mon neveu qui bredouillait, yeux exorbités, questions et réponses et moi, en culotte et soutif. Je commençai à sentir une humidité bien connue entre mes jambes. Alors, oubliant toute morale, toute décence, sombrant dans une sorte de luxure exacerbée par l’abstinence de l’après-midi, je me décidai.
— Tu veux me voir toute nue ?— Oh oui s’il te plaît tata.
Alors, je dégrafai mon soutien-gorge, fis glisser les bretelles, libérant mes seins lourds, tortillant de la croupe pour extraire la culotte de mes fesses. j’apparus, nue, chatte luisante et offerte, à un garçon plus jeune de vingt-cinq ans et en outre fils de ma sœur.
— Ça te plaît ? Viens toucher.
Il se leva et s’approcha timidement, je pris sa main, la guidai vers mon corps, lui offrant mes seins, mon ventre, ma chatte. Je glissai ma main dans son survêtement, pris à pleine main une queue grosse et d’une raideur incroyable en lui susurrant à l’oreille.
— Qu’est-ce que tu bandes bien, touche comme tu me fais mouiller, lui dis-je en plaquant sa main sur ma chatte. Je n’avais pas terminé ma phrase, qu’un liquide chaud me coula entre les doigts. Il venait de décharger dans ma main.
— Excuse-moi tata, je suis désolé, je n’ai pas pu me retenir.
Évitant de rire de son trouble pour ne pas le gêner davantage, je l’embrassai goulûment, enfonçant ma langue à toucher ses amygdales et le consolai.
— Ce n’est pas grave, ça arrive à tout le monde.
Je retirai ma main poisseuse, l’essuyai sur mes seins, léchant chaque doigt d’un regard gourmand pour les nettoyer.
— Et en plus il a bon goût ton jus de petit homme.— Viens en haut, je vais t’apprendre.
Je montai l’escalier devant lui, offrant une vision inégalée sur mes hanches et mon cul.
A peine entrée dans sa chambre, je lui retirai son sweat, baissai pantalon et boxer. Ma montée d’escalier avait dû faire de l’effet, car il bandait de nouveau, je dégustai avec gourmandise le sperme resté sur sa peau, décalottant bien son gland pour ne pas laisser perdre une seule goutte et le prévins.
— Je vais pomper ta grosse queue, quand tu sentiras que ça arrive, enfonce ta bite le plus loin possible et décharge bien au fond de ma gorge, j’ai envie d’avaler le sperme de mon neveu adoré.— Je commençai par lui lécher le gland, descendant le long de sa verge, puis faisant le tour des couilles avec ma langue, avant de les avaler une à une et de les malaxer avec mes lèvres. J’arrêtai parfois pour lui dire :
— Retiens-toi bien, le meilleur va venir.
Il ne fallait pas prendre le risque de surestimer les capacités de résistance d’un si jeune homme, il devenait donc urgent de le pomper réellement. J’avalai son sexe, allant jusqu’à son ventre, il avait une bite de bonne taille et j’étais obligée de carrément avaler le gland, en bonne spécialiste de « deepthroat » que j’étais. Cela fut rapide, au troisième engamage, je sentis le sperme couler. Je le retirai brusquement pour ne pas m’étouffer. Il avait une quantité impressionnante de foutre malgré cette deuxième vidange. Je n’arrivai pas à avaler les jets successifs, et son sperme sortit de ma bouche, tombant sur mes seins en filaments poisseux. Je réussis à déglutir et avaler ce qui restait sur mes lèvres pour lui dire.
— Je n’en reviens pas, tu vas être un sacré baiseur. Encore mieux que ton oncle, je n’ai jamais avalé une telle quantité de foutre en une fois.
Maintenant tu vas essayer de te « requinquer », car je veux que tu me baises vraiment et me fasses jouir.Toujours nue, je traversai le couloir, je pris le temps de me laver le visage, de faire un bain de bouche et véritable chienne en rut, retournai vers mon neveu, me faire saillir.
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