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Les 5 petits cochons

Chapitre 6

Un cochon qu'on n'attendait pas

Divers
Je passais une nuit épouvantable. Au matin, je n’étais pas belle à voir : Yeux cernés, teint bistre, bref, l’image même de la condamnée, attendant l’heure de son exécution. Je ne pris pas de douche, m’habillais avec ce que je trouvais de plus ringard et de moins sexy : culotte taille haute, soutien-gorge sans fioriture, Jean large, teeshirt que je sortis de la panière de linge sale. J’espérais ainsi, par cette allure de souillon : échevelée, plus ou moins propre, habillée comme pour jardiner, dissuader et couper toutes les envies du vieux cochon que j’attendais d’une minute à l’autre.
La matinée passa, je n’avalais quasiment rien au repas de midi, imaginant que « c’était pour cette après-midi ». La journée se passa ainsi. Une boule au ventre et une angoisse grandissante m’empêchant de travailler avec sérénité. Le soir venu, en me couchant, j’osais imaginer que l’horrible avait eu pitié de moi (ou plutôt de son fils) et qu’il allait me laisser tranquille et oublier ses menaces. Le lendemain, rien, le surlendemain rien. Je commençais à revivre et c’est presque guillerette, que, le vendredi, j’allais répondre au coup de sonnette à la porte d’entrée.
Il était là !Mais il n’était pas seul : Un gros et grand gaillard, la petite cinquantaine, rougeaud, bedonnant, des petits yeux porcins, qui me fixaient intensément, l’accompagnait.Je crus défaillir. Le cauchemar que j’avais évacué de mes pensées reprenait vie. Je découvrais avec encore plus de certitude, la perversité du beau-père, qui, après m’avoir laissée espérer pendant 3 jours, me ramenait brutalement à une réalité sordide.
— Je te présente Paulo, un bon copain. On peut entrer ?, demanda t’-il, en pénétrant dans les lieux sans attendre ma réponse.
Il se dirigea vers la partie salon, du grand espace du rez de chaussée, comme s’il était chez lui et s’installa sur le canapé avec le dénommé Paulo
— Sert nous une bière, et vient t’asseoir avec nous.
L’angoisse m’avait à nouveau reprise, et c’est les genoux flageolants que je me dirigeais vers le frigo de la cuisine chercher les boissons. Je leur tendis les canettes, négligeant de donner des verres (ce qui entre nous ne sembla pas les déranger)
— Ne reste pas debout, viens t’asseoir entre nous deux.
Et comme je refusais, sa voix devint plus autoritaire et cassante :
— Je t’ai dit de venir t’asseoir et tout de suite !
Je n’avais guère le choix. Ils me firent une petite place et c’est dans un mutisme totale, jambes serrées, buste droit que je m’asseyais sur le bord du canapé.
— Décontracte-toi, on est entre amis !!! me dit-il en me repoussant sur le dossier.
— Regarde un peu ça, continua t’il en sortant son (mon ex) téléphone.— C’est un petit dossier que j’ai fait avec tes photos. Le titre c’est : » C….la salope du lycée de G… ». approche toi Paulo, on va le feuilleter tous les trois.
Il y avait un petit texte de « présentation » d’une prof du lycée en question.et surtout les photos. Les premières étaient celles que j’avais déjà vu : au bord de la piscine, puis avec mon neveu. Les suivantes étaient celles qu’il avait prises lors de son premier chantage et de mon exhibition forcée. Là on était plus dans la pornographie, voire le gynécologique que l’érotisme. Je tremblais de colère, mais je n’osais pas me révolter, de peur que le maléfique beau-père se mette en colère et me fasse subir des représailles dont j’imaginais bien la teneur. Je sentais contre moi, la présence de plus en plus insistante du dénommé Paulo. Je l’entendais respirer bruyamment, sentant presque son souffle sur mon cou. Parfois, il ricanait bêtement en accentuant la pression de sa cuisse contre la mienne. Le beau-père, reprit la parole.
— Voilà, ce que je te propose, en fait tu n’as pas le choix, dit-il cyniquement.— Regarde bien !, Ca, c’est le site Internet de ton lycée. Ça c’est le dossier. J’ai préparé l’envoi en pièces jointes. Il ne me reste plus qu’à appuyer sur « ENVOI »— Alors, écoute avec attention. Mon copain Jojo a une barque pour pêcher sur le lac de D…. il veut bien me la prêter ou me la louer pour le week-end prochain.
Je ne disais rien, pensant intérieurement que je n’en avais rien à fiche de son Jojo, de sa barque et de sa pêche. Hélas je compris quand il poursuivit
— Comme je n’ai pas trop d’argent, j’ai préféré échanger. et, en fait j’échange sa barque contre ma salope de Belle-fille. Jojo est d’accord. Et toi on ne te demande pas ton avis !
Je me levais d’un bond en hurlant
— Ça ne va pas la tête, je ne vous appartiens pas !!! vous êtes malade !!!— Tu veux que j’envoie ? éructa-t-il en brandissant le téléphone, j’ai le doigt sur « ENVOI » Alors ferme ta gueule et obéis. Commence par te foutre à poil que Jojo voit que je ne l’ais pas trompé sur la marchandise.
Un vrai cauchemar, mais que pouvais-je faire d’autre ? Sinon obéir. Et c’est les larmes aux yeux, que je commençais à retirer mes vêtements. J’espérais innocemment que ma vue en petite tenue suffirait à calmer le duo, mais l’espoir fut de courte durée.
— Magne toi salope ! enlève tout que Jojo mate ton corps de pute. On n’a pas que ça à faire.
Le Jojo était cramoisi. J’espérai secrètement, je priais même, qu’il ait une attaque cardiaque, mais hélas, il semblait tenir le coup et, au contraire, se frottait l’entrejambe avec conviction, pendant que le beau-père commentait.
— Tu as vu ces nichons, elle a dû en branler de la bite avec ça.— Assieds-toi dans le fauteuil et mets tes jambes sur les accoudoirs, ouvre ta chatte avec tes doigts.— Regarde cette moule béante Jojo, je t’avais bien dit que tu allais te régaler. Et à moi.— Met toi à genoux, salope, écarte tes fesses, montre nous ton trou du cul !!!— Je l’ai vue se faire enculer, mon Jojo, et je peux te dire qu’elle gueule quand elle jouit.
J’étais humiliée, désespérée et ce n’était plus des yeux embués, mais de véritables larmes qui me coulaient le long des joues, quand mon tortionnaire m’ordonna
— Maintenant : au boulot, la pute, viens déshabiller Jojo. S’il est content et si tu te fais bien saillir, je serai peut-être indulgent.
Je me levais, hagarde et commençais à déboutonner la chemisette de Jojo. Il suait, son odeur était âcre et son haleine chargée de relents d’alcool. Il me pétrissait les seins, caressait mes fesses, s’insinuait entre mes jambes, avec ses mains calleuses. Je n’avais jamais vu un homme aussi poilu. Des poils noirs, frisotants, trempés de sueur, lui donnant une apparence de bête ou d’homme préhistorique. J’avais l’impression d’être une femelle d’une tribu adverse que le chef de clan s’appropriait. Pendant que j’enlevais le plus lentement possible sa chemise, espérant ainsi, un quelconque évènement qui retarderait l’échéance. Il avait retiré son pantalon et son slip, ne gardant que ses chaussettes en nylon à la forte odeur d’homme négligé. Il était debout et m’appuyant sur la tête, parla, d’une voix rauque pour la première fois.
— Suce moi salope !!!
Sa queue était très raide, mais plutôt petite, ce qui dans mon malheur et devant la brutalité du bonhomme me rassura un peu. J’eu à peine le temps de décalotter son gland pour l’examiner et me rassurer, qu’il me força et, me tenant par les cheveux de chaque côté de la tête, commença à me baiser littéralement la bouche à grands coups. Dans mes larmes, je voyais du coin de l’œil, mon beau père qui se marrait et prenait des photos. Après un temps qui me parut infini, il sortit sa queue et me retournant comme un sac, rentra dans ma chatte avec brutalité. Les deux affreux commentaient
— Tu vois Jojo je t’avais pas menti, c’est de la bonne chienne, tu as vu ces nibards comme ils se balancent.— Sur !!! elle est bonne répliqua-t-il, la voix rauque, en me pétrissant les seins à m’en faire hurler. Le beau-père continuait, exposant ses projets.— J’aimerai bien chasser à nouveau, mais l’action de chasse à B…. est chère. Tu crois que si je la prêtais régulièrement aux membres de l’assos, je pourrais avoir une action gratuite ?— Propose-leur !!!! En tout cas moi, je participe.— Bon Jojo dépêche-toi de finir, tu sais qu’on a notre réunion !!! tu en profiteras mieux la prochaine fois, on la baisera à deux et tu lui feras le cul.
Devant l’impatience affichée par le vieux, il m’attrapa par les cheveux, m’obligeant à m’agenouiller à nouveau devant lui
— Branle-moi dans ta bouche, la pute !
Quand la première giclée de sperme jaillit, il me colla à nouveau contre lui, appuyant sur ma tête de sa main d’étrangleur
— Régale-toi de ce bon jus !!!!
Je m’étranglais, mais Il m’obligea à tout avaler en me tirant méchamment les cheveux puis essuya les dernières gouttes sur mon visageC’était fini,L’imminence d’une réunion, qui paraissait essentielle pour eux, m’avait sans doute épargné les assauts du père de mon mariPendant que le copain se rhabillait, mon beau père me fit un clin d’œil railleur
— J’ai fait plein de photos pour enrichir l’album photo, on va bien en profiter !!!!!! avec les copains…A la semaine prochaine !!!!
Quand, ils quittèrent les lieux, je restais recroquevillée au pied du canapé, sanglotant, ne sachant qu’imaginer pour me sortir de ce cauchemar
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